Le SAKK – Entretien avec Robert Meyer
Transcription
Le SAKK – Entretien avec Robert Meyer
Analyse Le SAKK – Entretien avec Robert Meyer Le Groupe Suisse de Recherche Clinique sur le Cancer (SAKK) est une organisation à but non lucratif axée, comme son nom l’indique, sur la recherche clinique sur le cancer. Son principal objectif est d’étudier de nouvelles thérapies sur le cancer, de poursuivre le développement des traitements existants compte tenu de toutes les modalités thérapeutiques et d’améliorer les chances de guérison des patients souffrant du cancer. Le SAAK réalise ses travaux à travers des coopérations en Suisse et en collaboration avec des centres et groupes d’étude étrangers. R ea Bannier: Comment avez-vous entendu parler de la visite de sécurité de la Bâloise? Robert Meyer: Notre personne de contact à la Bâloise, Markus Stöckli, a attiré notre attention sur cette possibilité. Rea Bannier: Que pensez-vous pouvoir attendre d’une visite de sécurité? Robert Meyer: Même si nous n’avons enregistré aucun accident ou sinistre ces dernières années, il est bon de prévoir des visites de sécurité régulières. Si un sinistre se produit alors malgré tout, une visite de sécurité effectuée par un tiers et bien documentée peut être très utile pour réduire les recours en responsabilité à l’encontre de l’entreprise et de la direction. Par ailleurs, la visite de sécurité s’inscrivait à merveille dans notre projet de gestion des risques. Rea Bannier: Comment s’est déroulé la visite avec Monsieur Zaccardi? Robert Meyer: Nous avons abordé quelques sujets dont un entrepreneur n’a pas/plus ou pas tout à fait conscience. Nous avons parlé du potentiel d’amélioration et des mesures correctrices nécessaires et leur avons donné un ordre de priorité. Jusqu’à présent, la visite de sécurité a parfaitement répondu à nos attentes. Robert Meyer: La visite a été très intéressante, précieuse et efficace. Et les discussions menées avec Monsieur Zaccardi et Markus Stöckli, très détaillées, ont porté leurs fruits. Rea Bannier: Que vous a apporté au juste la visite de sécurité? 03 /2014