+ O - le moteur a eau
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+ O - le moteur a eau
AVANT-PROPOS Ce condensé d’informations a pour but de vulgariser le principe du moteur à eau, afin de faciliter la connaissance de ce système (révolutionnaire, mais connu depuis longtemps !). Bon nombre de personnes se bornent à répéter « Le moteur à eau n’existe pas », et n’écoutent même pas comment celui-ci fonctionne. Quelle démarche scientifique…! Tout comme Galilée, le fou, le menteur, qui avait osé affirmer à l’encontre de la Science de l’époque que la Terre tournait, des scientifiques tels que Stanley Meyer ont réussi à mettre au point un moteur à eau. Evidemment, ce n’est pas l’eau qui au final produit l’explosion nécessaire au mouvement du moteur, mais l’hydrogène qu’elle contient (tout comme ce n’est pas le pétrole qui fait avancer une voiture, mais sa version raffinée, l’essence). Nous entendons ici par moteur à eau un moteur dans lequel on met de l’eau dans le réservoir en guise de carburant. Trop beau pour être vrai ? OUI ! Et c’est bien pour cela que cette invention reste inconnue. Les groupes pétroliers et les Etats percevant les taxes y voient un manque à gagner considérable… quitte à détruire la planète ! Le partage des moyens et des connaissances est une force phénoménale ; le Peer-toPeer n’est qu’un exemple de la puissance qu’offre le partage, et a démontré qu’il était capable de refonder tout un système (sa moralité est un autre débat). Alors, je compte sur vous pour faire connaître ce système autour de vous ! L’énergie gratuite et non polluante existe ! « Les fous ouvrent des voies qu’empruntent ensuite les sages. » Carlo Dossi PREMIERE PARTIE : LE PRINCIPE LE PROBLEME DE BASE PREMIERE METHODE : L’ELECTROLYSE « CLASSIQUE DEUXIEME METHODE : L’ELECTROLYSE « PULSEE » LE PROBLEME DE BASE Les moteurs qu’utilisent les voitures habituelles emploient à la base du pétrole raffiné (de l’essence). Cette essence est mélangée à de l’air (afin d’obtenir un mélange détonant) et est vaporisée dans les cylindres du moteur ; une étincelle produit alors l’explosion du mélange et fait descendre le piston qui va entraîner le système de rotation des roues. Cette explosion produit entre autre du CO2, néfaste pour l’environnement. En remplaçant ce mélange air-essence par un mélange d’hydrogène et d’oxygène gazeux, les résidus obtenus après l’explosion dans le moteur ne sont en réalité que de l’eau. Pour les scientifiques, l’équation de la réaction est la suivante : 2H2 (g) + O2 (g) = 2H2O (l) Mais tout le problème consiste à fabriquer l’hydrogène et l’oxygène ! PREMIERE METHODE : L’ELECTROLYSE « CLASSIQUE » Si nous pouvons obtenir de l’eau à partir d’hydrogène et d’oxygène, il est théoriquement possible d’obtenir de l’hydrogène et de l’oxygène à partir de l’eau. La méthode qui permet de faire cette réaction inverse est appelée électrolyse. Elle consiste à prendre le pôle + et le pôle – d’un générateur électrique de courant continu (pile, batterie,…) et de les plonger dans l’eau. A ce moment, l’eau se décompose d’un côté en hydrogène et de l’autre en oxygène. Le problème est que cette méthode offre un très mauvais rendement ! (il faut beaucoup d’électricité pour obtenir peu d’hydrogène et d’oxygène) On aurait meilleur temps de brancher le générateur électrique directement sur un moteur électrique… Il faut donc trouver une autre méthode pour décomposer l’eau ! DEUXIEME METHODE : L’ELECTROLYSE « PULSEE » La méthode qui permet d’augmenter la production d’hydrogène et d’oxygène n’est en fait qu’une version « améliorée » de l’électrolyse couramment utilisée. Elle consiste à envoyer du courant dans l’eau, mais en faisant des « coupures » de manière très rapide. Pour simplifier, on allume puis on éteint très rapidement le générateur de courant plusieurs milliers de fois par seconde, c’est-à-dire qu’on envoie du courant à une certaine fréquence. Cette fréquence n’est pas prise au hasard : il s’agit de la fréquence de résonance de l’eau. En fait, en envoyant des ondes dans de l’eau à cette fréquence de résonance, on met l’eau dans un état instable. C’est le principe du micro-onde, qui à force de rendre l’eau instable la réchauffe. Si en plus de ces ondes on rajoute du courant directement dans l’eau, on va faire une électrolyse, mais qui sera beaucoup plus facile à réaliser du fait de l’instabilité de l’eau. DEUXIEME PARTIE : LE FONCTIONNEMENT COMPRENDRE L’ELECTROLYSE COMPOSITION DE L’EAU ETUDE DE L’ELECTROLYSE « CLASSIQUE » A L’ECHELLE ATOMIQUE ETUDE DE L’ELECTROLYSE « PULSEE » A L’ECHELLE ATOMIQUE LE GAIN D’ENERGIE EXPLICATIONS SCIENTIFIQUES SIMPLIFIEES COMPRENDRE L’ELECTROLYSE 1/3 Imaginez l'expérience suivante : un homme de 80 kg est assis sur une balançoire. Une fillette de 10 ans tente de la soulever à 1 m du sol. En supposant qu'elle y arrive, elle aura du déployer énormément de force pour y parvenir, et de manière continue. C’est dur ! 1m COMPRENDRE L’ELECTROLYSE 2/3 Si maintenant elle pousse la balançoire un petit peu, puis utilise les mouvements de va-et-vient pour avoir plus de "force", la balançoire avec l'homme assis dessus finira par atteindre 1 m de hauteur, voir même beaucoup plus ! C’est beaucoup plus facile ! 1,5 m COMPRENDRE L’ELECTROLYSE 3/3 On voit donc qu’il est beaucoup plus facile pour la fillette d’utiliser le mouvement naturel de la balançoire pour amener l’homme à une hauteur de 1 m. C’est sur cette même idée qu’est basée l’électrolyse pulsée. Utiliser la fréquence naturelle (la fréquence de résonance) des atomes qui composent l’eau pour les éloigner de plus en plus jusqu’à les séparer, au lieu de vouloir les séparer en « tirant dessus ». Voyons de quoi l’eau est composée, et comment l’électrolyse fonctionne à l’échelle atomique. LA COMPOSITION DE L’EAU 1/2 La formule chimique de l’eau est H2O. Cela signifie que la molécule d’eau comporte 2 atomes d’hydrogène et 1 atome d’oxygène. Les atomes d’hydrogène (H) sont reliés à l’atome d’oxygène (O) par des liaisons de covalence. Lorsque vous avez de l’eau liquide dans votre main, vous avez en réalité des milliards d’atomes d’hydrogène et d’oxygène reliés entre eux comme ci-dessous ! H H O Molécule d’eau LA COMPOSITION DE L’EAU 2/2 Si on casse ces liaisons de covalence, les atomes d’hydrogène vont se séparer de l’atome d’oxygène, et s’associer pour former d’une part du dihydrogène (H2), et d’autre part du dioxygène (O2). C’est ce que nous recherchons ! Brisure des liaisons de covalence H H O H Formation de dihydrogène et de dioxygène H H H H H O O O ETUDE DE L’ELECTROLYSE « CLASSIQUE » A L’ECHELLE ATOMIQUE L’électrolyse classique consiste à attirer les atomes d’oxygène vers le pôle – de la pile, l’anode, et les atomes d’hydrogène vers le pôle + de la pile, la cathode, et de les attirer suffisamment fort pour casser les liaisons de covalence. Mais l’énergie électrique qu’il faut mettre en œuvre pour réaliser cette fission est énorme comparée au peu d’hydrogène et d’oxygène qu’on obtient. Anode Générateur de courant continu + + - H + Cathode O + H ETUDE DE L’ELECTROLYSE « PULSEE » A L’ECHELLE ATOMIQUE 1/3 L’électrolyse pulsée reprend le principe de l’électrolyse classique, mais ici on va faire « bouger » les atomes en même temps qu’on va les attirer à chaque pôle. La fréquence avec laquelle on va les « agiter » est la fréquence de résonance de l’eau, autrement dit une fréquence propre à l’eau qui va rendre l’eau instable. Les atomes vont être attirés à chaque pôle, puis « relâchés », puis attirés, puis relâchés, et ainsi de suite. Leur mouvement va s’amplifier, jusqu’à obtenir « l’écartement » voulu entre les atomes (comme on l’a fait avec la balançoire). Mais le but est de briser les liaisons de covalence. Il faut donc amplifier l’écartement jusqu’à ce que les atomes se séparent ! Le schéma de la page suivante montre comment les atomes se séparent. ETUDE DE L’ELECTROLYSE « PULSEE » A L’ECHELLE ATOMIQUE 2/3 1 4 H O « Etirement » H « Relâchement » O H 5 2 « Relâchement » H H H « Etirement » O O H H 6 3 « Etirement » H H Brisure des liaisons O H O H ETUDE DE L’ELECTROLYSE « PULSEE » A L’ECHELLE ATOMIQUE 3/3 On voit que les mouvements s’amplifient au fur et à mesure, et qu’avec une force croissante, on peut utiliser le mouvement de vaet-vient des atomes pour les écarter jusqu’à casser leurs liaisons. C’est le même principe qu’avec la balançoire (on pourrait imaginer qu’avec un peu plus de force, les cordes qui retiennent la balançoire finiraient par se rompre si l’on amplifiait d’avantage le mouvement). Mais au final, l’énergie qu’il faut déployer pour cette électrolyse n’est-elle pas égale à celle d’une électrolyse classique ? LE GAIN D’ENERGIE L’énergie qu’il faut déployer pour réaliser une électrolyse classique est environ égale à 3 fois l’énergie dégagée par la combustion de l’hydrogène fabriqué. Autrement dit, pour récupérer 1 Watt, il faut d’abord en dépenser 3. Au final, on a donc moins d’énergie que ce qu’on avait au départ. Mais l’énergie qu’il faut déployer pour réaliser une électrolyse pulsée est beaucoup plus petite ! Et elle est inférieure à l’énergie que l’on récolte au final quand on fait exploser l’hydrogène. Dans ses expériences, Stanley Meyer a rapporté que le rendement de l’électrolyse pulsée est supérieur de 1 700 % par rapport à l’électrolyse classique, voire plus… Mais comment cela est-il possible, quand on connaît les lois de la thermodynamique ? EXPLICATIONS SCIENTIFIQUES SIMPLIFIEES Ce qui vient d’être dit semble être en contradiction avec le second principe de thermodynamique. Pourtant, il n’est est rien. Ce principe ne s’applique qu’à partir du moment où l’énergie a été libérée, pas avant ! Or dans le cas de l’électrolyse pulsée, c’est l’énergie contenue dans les atomes qui est libérée ; elle n’est pas produite ! Les atomes renferment de l’énergie, et avec de petites impulsions électriques, on libère de plus en plus l’énergie contenue dans les atomes (on les polarise). En se libérant, cette petite quantité d’énergie rend les atomes instables. Et plus ils sont instables, plus ils peuvent libérer de l’énergie ! A force, les atomes sont comme « affaiblis », et il ne reste plus qu’à « tirer un peu dessus » pour les « détacher » (briser leur liaison de covalence). L’énergie n’est donc pas produite, elle n’est que libérée ! TROISIEME PARTIE : DANS LA PRATIQUE SCHEMA SIMPLIFIE DU MONTAGE EXPLICATIONS DU MONTAGE SCHEMA SIMPLIFIE DU MONTAGE Vers la chambre à combustion du moteur Interface de contrôle (accélérateur) Batterie 12 V Générateur de fréquence EXPLICATIONS DU MONTAGE La batterie 12 Volts alimente les circuits électroniques. Le circuit de contrôle permet de régler la fréquence. Ainsi, on peut augmenter ou ralentir la quantité de gaz (hydrogène + oxygène) produite, et donc faire accélérer ou ralentir le moteur. Les fils sortant du générateur de fréquence sont reliés chacun à un des tubes en inox espacés de 1 à 5 millimètres (1 étant le mieux). Le gaz produit est récupéré et amené dans la chambre de combustion du moteur, où il explose et fait bouger les pistons, ce qui entraîne les roues. Note : les détails peu importants à la compréhension ont été supprimés, telle la soupape de sécurité ; consulter les brevets pour des explications détaillées. CONCLUSION Quoique puissent en dire les mauvaises langues, le moteur à eau existe et fonctionne. Et à défaut d’avoir un moteur complet, bon nombre d’amateurs ont réussis à produire de l’hydrogène en plus grande quantité avec ce système qu’avec une électrolyse classique. Partant de là, les brevets sont plus que crédibles, et le moteur à eau devient accessible à qui prendra la peine de le fabriquer. Stanley Meyer n’était pas le premier à créer des systèmes de ce genre ; cependant, seules ses montages ont pu être testés et approuvés. Il vous appartient maintenant de diffuser (ou non…) ces informations, et de savoir si l’avenir de la planète (et la gratuité pour ceux que ça intéresse) est quelque chose d’important pour vous ou non. Sur ce, bon vent ! LIENS A CONSULTER http://quanthomme.free.fr/carburant/WFCMeyer.htm Un tour rapide de la vie de Meyer, avec des explications fondamentales sur les principes mis en œuvre dans ses expériences http://moteuraeau.free.fr/ Des tests réalisés par un français (avec succès ! ;) ) ainsi que les schémas et brevets relatifs au sujet http://www.essenceciel.tk/ Le guide pour fabriquer son moteur à eau, avec un forum d’entraide Me contacter : [email protected] LICENCE J’autorise toute divulgation de tout ou partie de ces informations, tant à des fins pédagogiques que commerciales, industrielles, culturelles, informatives ou autres. 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