bIbliographie Doc au CDI - Lycée Europe R.Schuman

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bIbliographie Doc au CDI - Lycée Europe R.Schuman
CDI du Lycée Europe – Cholet
juin 2014
BIBLIOGRAPHIE SUR L'ALIMENTATION ET LA SANTÉ
ET SUR LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE
Livres documentaires :
•
Reymond, William. « Toxic Food : enquête sur les secrets de la nouvelle malbouffe », J’ai lu,
2011. 315 p. Cote : 337 REY
« Notre mode alimentaire, issu de l’industrie, s’oppose à nos gènes qui n’ont pas
évolué aussi vite que notre alimentation. Et cela nous rend malades ». La malbouffe
ne concerne pas seulement les hamburgers… L’industrie agroalimentaire a modifié la
nature profonde de notre alimentation. Alors que la toxic food devient notre pain
quotidien, certains cancers, ou d’autres maladies comme la maladie d’Alzheimer,
connaissent une expansion sans précédent. Si le rapport de cause à effet semble clair,
cette enquête polémique montre que le sujet de l’agro-alimentaire reste encore
tabou.
•
Vardot, Marie-Claude. « Des Fraises en hivers et autres besoins inutiles de notre
alimentation ». Delachaux et Niestle, 2010. 174 p. Cote : 337 VAD
Plaidoyer contre la malbouffe et l’hérésie des achats de fruits et de légumes en dehors des saisons de
production, nécessitant des transports interplanétaires. Témoignage d’une société de consommation
qui n’est plus capable de faire le bon achat au bon moment et qui est manipulée par les grands
groupes de l’agroalimentaire. Au consommateur d’être attentif aux produits de saison et d’origine, au
respect des droits des hommes qui cultivent ou aux réductions des dépenses d’énergie nécessaires
pour produire.
•
BIO
« Le bio : indispensable ou inutile? » Dans la revue 52 mn Actus n°2, 03/2010. Cote : 338.1
La production de produits bio est-elle devenue un simple phénomène de mode, une
arnaque ou un coup marketing? Le consommateur y trouve-t-il un réel intérêt? Le
parcours de ces produits est-il vraiment contrôlable? Comment des produits
estampillés bio obtiennent-ils un label? Comment décoder les étiquettes? Le monde
de demain sera-t-il biologique? La France a pris la mesure de son retard et a lancé un
véritable New deal. Objectif: tripler les surfaces cultivées. Mais si la planète se
convertit totalement à l'agriculture biologique, pourra-t-elle nourrir les 9 milliards
d'habitants attendus en 2050?
•
Robin, Marie - Monique. « Le monde selon Monsanto ». La découverte, 2008. 367 p. Cote :
338.1 ROB
Implantée dans 46 pays, Monsanto est devenu le leader mondial des OGM, mais aussi l'une des
entreprises les plus controversées de l'histoire industrielle. Production de PCB (pyralène), d'herbicides
dévastateurs (l'agent orange de la guerre du Viêtnam) ou d'hormones de croissance bovine et laitière
(interdites en Europe) : depuis sa création, en 1901, la firme a accumulé les procès en raison de la
toxicité de ses produits. Pourtant, aujourd'hui, Monsanto se présente comme une entreprise des
"sciences de la vie", récemment convertie aux vertus du développement durable. Qu'en est-il
exactement ? Ce livre reconstitue la genèse d'un empire industriel qui, à grand renfort de rapports
mensongers, de pressions et de corruption, est devenu l'un des premiers semenciers de la planète. Il
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montre comment, derrière l'image de société propre et verte que décrit la propagande publicitaire,
se cache un projet menaçant la sécurité alimentaire du monde mais aussi l'équilibre écologique de la
planète.
•
Pietro, Marc et Assen, Slim. « Consommer moins pour vivre mieux ? » Idées reçues sur la
décroissance. Le Cavalier bleu, 2010. 151 p. Cote : 338.9 PRI
Partant de l’idée qu’il ne peut y avoir de croissance infinie dans un monde fini, la
décroissance exige de repenser radicalement notre manière de travailler, de
consommer, de vivre ensemble. De plus en plus de personne se révèlent sensibles à
ces nouvelles pratiques, et en particuliers celle de la « simplicité volontaire » qui
milite pour la fin de la consommation de masse et du gaspillage qui y est associé.
Derrière cela, un concept existe que d’ailleurs, peu d’adeptes de la décroissance
connaissent et qui est loin de faire l’unanimité. Assen Slim et Marc Pietro en font
l’analyse en dehors de tout discours partisan. Ils permettent au lecteur de se forger
sa propre opinion sur ce concept de décroissance présenté alternativement comme
La solution ou comme une dangereuse utopie.
•
« Consommer autrement ». Alternatives économiques, 05-2014.(Poche, n°68). 112 p. Cote :
339.47 ALT
Bio, équitable, circuits courts : nouveaux enjeux, nouveaux repères. Alimentation, vêtements,
transports, logement... : changer ses habitudes, c'est possible. Consommation responsable,
consommation durable.
•
Feillet, Pierre. « Nos Aliments sont-ils dangereux ? » 60 clés pour comprendre notre
alimentation. Quae éditions, 2012. 175 p. Cote : 363.19 FEI
Nous demandons beaucoup aux aliments : nous nourrir, nous faire plaisir, protéger
notre santé, être bon marché, faciles à préparer, à acheter et à conserver. Depuis
quelques années, s’alimenter, c’est aussi consommer de manière citoyenne sans
mettre en danger les grands équilibres de la planète. Qu’est-ce que « bien
manger » ? Faut-il plébisciter une alimentation naturelle et condamner les produits
industriels ? Pourquoi les agriculteurs vivent-ils si mal de leur travail alors que les
aliments sont de plus en plus chers ? Les aliments sont-ils plus dangereux
qu’autrefois ? Faut-il interdire les pesticides et les engrais fabriqués par l’industrie
chimique ? Est-il bien raisonnable de transformer la « biomasse alimentaire »
agricole et biocarburant ? Pourra-t-on nourrir neuf milliards de Terriens en 2050 ?
Quelle alimentation les chercheurs nous préparent-ils dans leurs laboratoires ? Autant
d’interrogations dont l’auteur livre les clés pour mieux comprendre le « système alimentaire », celui
qui débute dans les champs et se termine dans notre corps.
•
Parmentier, Bruno. « Faim zéro : En finir avec la faim dans le monde ». La découverte,
2014. 256 p. Cote : 363.8 PAR
En 2000, les Nations unies établissaient les « objectifs du millénaire » visant à réduire drastiquement
le nombre d'affamés dans le monde en 15 ans. Mais, en 2015, on comptera autant de personnes qui
ont faim qu'en 2000 et qu'en… 1900, soit 850 millions. Toutes les 10 secondes, un enfant continue à
en mourir. Cette situation se paye au prix fort : insécurité, guerres, piraterie, terrorisme, émigration
sauvage, épidémies. La faim tue bien plus que les guerres… Pourquoi, alors qu'on a réussi en un siècle
à nourrir 5 milliards de personnes supplémentaires, ne peut-on l'éradiquer ? Aujourd'hui, la faim n'est
plus seulement fille de l'ignorance ou des incidents climatiques, mais principalement de la cupidité,
de l'incurie et de l'indifférence : il s'agit d'un phénomène politique, et son élimination relève donc de
l'action politique.
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•
Charvet, Jean-Paul. « L’Alimentation dans le monde : mieux nourrir la planète ». Larousse,
2009. 128 p. Cote : 630 CHA
Aujourd'hui, plus de 950 millions de personnes ne mangent pas à leur faim tous les jours. Comment,
dans ce cas, pourrons-nous subvenir aux besoins d'une population qui devrait s'accroître de 3
milliards d'individus d'ici à 2050? La réponse est difficile, d'autant que l'accroissement de la
production agricole ne devra pas se faire au détriment de l'environnement, ni de la qualité sanitaire
et nutritionnelle des aliments. Après un panorama complet de la situation, cet ouvrage aborde les
différentes voies possibles pour réussir à relever ce formidable défi.
•
Menzel, Peter. “Hungry Planet what the World Eats.” Ten Speed Press, 2006. 2787 p. Cote :
630 MEN
Depuis quelques années, la pratique de partager un repas de
famille autour de la table est bouleversée partout dans le monde à
cause de la transformation des habitudes alimentaires et l’évolution
des modes de vie. Les auteurs de ce livre ont ainsi immortalisé 30
familles du monde entier – notamment en France, en Australie, au
Japon, aux Etats-Unis, en Egypte, au Tchad – et réalisé une description
détaillée de leurs achats alimentaires hebdomadaire et le montant
alloué à ces achats. Ce livre comportant des photographies de familles
qui sont à la maison, au marché ou au sein de leurs communautés entourées de leurs vivres pour une
semaine, offre un regard fascinant sur ce que mange réellement le monde et sur la disparité du coût
de l’alimentation entre les pays.
•
Pujol, Florence. « Les 100 mots de la diététique et de la nutrition. » Puf, 2010. 127 p. Cote :
641 PUJ
Peur de grossir ou de ne pas maigrir, peur d'avoir faim, peur d'être intoxiqué, peur
de ne pas être comme les autres, peur du cancer, peur de ne pas finir son assiette
comme on nous l'a appris. A l'heure d'un certain diktat du "bien manger" et des
recommandations nutritionnelles tous azimuts, manger est devenu une activité
risquée. Se nourrir serait un acte élémentaire. Alors pourquoi est-ce si compliqué ?
Voici cent mots pour comprendre comment notre organisme fonctionne et quels
sont ses besoins, connaître ce que nous apportent les aliments, décoder les
étiquettes des produits empilés dans nos caddies, en finir avec les croyances
alimentaires les plus farfelues, relativiser les menaces pesant sur notre santé et
retrouver du même coup une certaine sérénité nutritionnelle. Cent mots pour faire
de notre liberté alimentaire un synonyme de bien-être et faire rimer, enfin, santé avec gourmandise.
DVD documentaires :
•
« C'est pas sorcier : Nourrir la planète. » France Télévision, 2009. 1 DVD (1h45mn). Cote : D
CES
4 émissions "C'est pas sorcier" sur le thème de l'alimentation dans le monde. Les dangers des
pesticides utilisés dans l'agriculture: les impacts sur la faune et la flore, et sur la santé humaine.
L'agriculture biologique en France: son fonctionnement. La pêche: comment équilibrer la pêche et le
renouvellement des populations de poissons. La pisciculture: comment fonctionne un bassin
d'élevage.
•
Robin, Marie - Monique. « Le monde selon Monsanto. » Arte Vidéo, 2008. 109 mn. Cote : D
ROB
Implantée dans 46 pays, Monsanto est devenu le leader mondial des OGM, mais aussi l'une des
entreprises les plus controversées de l'histoire industrielle. Production de PCB (pyralène), d'herbicides
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dévastateurs (l'agent orange de la guerre du Viêtnam) ou d'hormones de croissance bovine et laitière
(interdites en Europe) : depuis sa création, en 1901, la firme a accumulé les procès en raison de la
toxicité de ses produits. Pourtant, aujourd'hui, Monsanto se présente comme une entreprise des
"sciences de la vie", récemment convertie aux vertus du développement durable. Qu'en est-il
exactement ?
•
Waegenhoffer, Erwin. “We feed the world. Le marché de la faim. » Editions Montparnasse,
2007. 1 DVD (1h36min). Cote : D WAG
Chaque jour à Vienne, la quantité de pain inutilisée, et vouée à la destruction
pourrait nourrie la seconde plus grande ville d’Autriche, Graz… Environ 350 000
hectares de terres agricoles, essentiellement en Amérique latine, sont employés à
la culture du soja destiné à la nourriture du cheptel des pays européens alors que
près d’un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique.
Chaque Européen consomme annuellement 10 kilogrammes de légumes verts,
irrigués artificiellement dans le Sud de l’Espagne, et dont la culture provoque des
pénuries d’eau locales…
Périodiques :
Sur le gaspillage alimentaire :
•
Nebia, Amelle. « Gaspillage alimentaire : poubelle, morale et marketing ». Marketing
magazine 177 . 01-06-2014. p.14-20.
Le point sur le gaspillage alimentaire en France et sur les mesures envisagées par certaines
entreprises. Exemples d'opérations de sensibilisation menées par des distributeurs, des organismes
institutionnels, des associations. Encadrés : cas du comité anti-gaspi de Carrefour ; point de vue de
Paul Mennecier (ministère de l'Agriculture) sur l'application du Pacte national de lutte contre le
gaspillage alimentaire ; cas du site Internet Zéro Gâchis et de l'implantation de ses rayons en grande
surface.
• « Qu’est-ce qu’on mange ? ». Alternatives internationales Hors-série n°15 (05/2014)
Du champ à l’assiette, le tour du monde de l’alimentation et de ses enjeux.
•
Lalanne, Aurélie. « Gaspillage alimentaire : la fin du tabou ? ». Points de vente 1144. 21-102013. p.20-33.
Dossier sur le gaspillage alimentaire. Données sur les produits gaspillés, sur l'origine des pertes, le
gaspillage lié au calibrage. Exemples de mesures prises par les industriels et distributeurs pour limiter
le gaspillage. Coûts induits par le gaspillage. Limites des mentions DLC et DLUO sur les emballages.
Intérêt des unités de méthanisation pour valoriser les déchets de la grande distribution. Le point sur
les dons aux banques alimentaires ; avantages fiscaux pour les distributeurs. La problématique du
conditionnement des produits. Encadré : point de vue de Maurice Lony (réseau des Banques
Alimentaires) sur les évolutions de l'aide européenne aux plus démunis.
•
Dupont-Calbo, Julien. « Alimentation : n'en jetez plus ! » Monde. Dossiers et Documents
429. 01-04-2013. p.9.
Le point sur le gaspillage alimentaire : les origines de ce gaspillage, les conséquences de la
transformation des produits. La situation aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Belgique.
Définition d'un produit bio.
• Allavoine, Louise. « Gaspillage alimentaire : tous responsables ! ». Géo 407 . 2013. p.58-59.
Données statistiques sur le gaspillage alimentaire : déchets alimentaires par habitant ; impact
carbone indirect ; responsables du gaspillage alimentaire ; gaspillage annuel par habitant au
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Royaume-Uni, en France et au Danemark. Initiatives de divers pays pour limiter le gaspillage
alimentaire.
•
Pacary, Catherine / Thévenin, Chantal. « Dis-moi ce que tu manges... » Monde. Dossiers et
Documents 403. 01-12-2010. p.1-8.
Dossier, en 2010, sur l'alimentation dans le monde. L'impact de la crise économique sur les
comportements alimentaires des Européens. Le bilan sur le gaspillage alimentaire. Les déviances
alimentaires (obésité, anorexie...). La consommation de fruits et légumes en France. Les OGM et la
consommation de produits transgéniques. Alicaments et compléments alimentaires. L'évolution des
habitudes alimentaires des Français. La hausse de la restauration rapide. L'arrivée des insectes à la
place de la viande. La gastronomie française inscrite au patrimoine de l'UNESCO.
•
Capdepuy, Vincent. « Nourrir la planète. » Sciences humaines 244 . 2013. p.64-65.
Analyse en 2013, de la question alimentaire dans le monde : des données statistiques contrastées ; la
réalité du gaspillage alimentaire ; les questions posées par les inégalités alimentaires.
•
Pacary, Catherine / Dupont, Gaëlle. « Nourriture jetée, récolte perdue : grand gâchis
alimentaire. » Monde. Dossiers et Documents 393. 2010. p.10.
Bilan, en 2010, sur le gaspillage de nourriture et d'eau dans les pays développés : le cas de la GrandeBretagne.
•
Vibert, Emmanuelle. « Gaspiller moins pour gagner plus. » Terra eco 019. 01-11-2010.p.5063.
Dossier, en 2010, sur les moyens de réduire les déchets engendrés par les attitudes de consommation
des pays occidentaux et d'alléger l'empreinte carbone : emballages, recyclage, troc et économies
d'énergie. Reportage sur des actions individuelles limitant la surconsommation et l'impact
environnemental. Présentation des créations artistiques des photographes Bruno Mouron et Pascal
Rostain, dévoilant le contenu des poubelles de différents pays.
•
Delambily, Florian. « 5 métiers de déchets ». Science & vie junior 253 [Périodique]. 01-102010.p.88-89.
Présentation, en 2010, de métiers liés au domaine des déchets : rudologue (ingénieur en
environnement spécialiste des déchets), responsable d'une usine d'incinération, agent de
compostage, technicien des déchets, agent de compostage et agent de la propreté urbaine. Pour
chaque métier, le point sur le niveau d'études requis, les avantages et les inconvénients, la
rémunération. Témoignage d'une rudologue sur son parcours professionnel et sur les évolutions de
son métier.
Sur l’alimentation et la santé :
« Le grand n'importe quoi [Alimentation]. » Monde. Dossiers et Documents 411. 01-092011.p.2-3.
Dossier de 2011 sur l'alimentation et ses dangers. Les résultats de l'enquête menée par l'Agence
nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation de l'environnement et du travail (Anses) sur les
risques liés à l'alimentation en Europe. Les risques liés à l'alimentation biologique et à l'alimentation
industrielle. Les conséquences des nouvelles habitudes alimentaires (viande et produits laitiers) sur la
santé, sur l'élevage et sur l'environnement. La situation du marché du bio en France.
•
Rivais, Rafaële. « Encore un peu de viande ? Non, merci » Le Monde 20599. 15-042011.p.23.
Point, en 2011, sur la consommation de produits carnés par les Français, lors de la journée sans
viande lancée par l'association américaine Farm. Point de vue de spécialistes de la nutrition sur les
dangers qu'elle représente pour la santé. Quantités recommandées. L'intérêt d'une alimentation
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végétarienne. Témoignages de personnes qui ont arrêté d'en consommer. Présentation de l'ouvrage
du philosophe français Dominique Lestel "Apologie du carnivore" : signification de la consommation
de viande ou de son refus.
•
Molénat, Xavier. « Malbouffe : comment lutter ? » Sciences humaines 251. 01-08-2013.p.4445.
Analyse des moyens mis en place en France pour faire reculer l'alimentation industrielle : l'apparition
de la notion de "malbouffe" en 1999 ; l'émergence du surpoids comme problème de santé publique
au cours des années 1990-2000 ; les actions mises en place par les pouvoirs publics et par les
industriels et la difficulté à réduire les inégalités sociales en matière d'alimentation ; la complexité des
problèmes à résoudre.
•
Delaby, Marie-Noëlle. « Pourquoi consommer 5 fruits et légumes par jour ? » Sciences et
avenir 797. 01-07-2013.p.74-75.
Enquête sur la consommation de fruits et légumes : la recommandation de l'INPS (Institut national de
prévention et d'éducation pour la santé) de manger 5 portions de fruits et de légumes par jour pour
prévenir le cancer, les maladies cardio-vasculaires ou lutter contre le vieillissement grâce aux
minéraux et vitamines qu'ils contiennent.
•
Etilé, Fabrice / Pech, Thierry. « Pour une autre politique de l'alimentation. » Alternatives
économiques 321. 01-02-2013.p.76-77.
Entretien avec l'économiste Fabrice Etilé sur l'évolution des habitudes alimentaires et leurs
conséquences : l'abondance alimentaire, la diffusion de produits de plus en plus transformés, les
effets sur la santé de l'usage des graisses et des sucres par les industriels, les limites de l'éducation du
consommateur, l'enjeu de la transformation de l'environnement alimentaire, la réflexion sur les
politiques publiques à mener.
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