Navrantes et plates excuses de Franck Dubosc aux Marocains

Navrantes et plates excuses de Franck Dubosc aux
Marocains
resistancerepublicaine.eu /2016/06/16/navrantes-et-plates-excuses-de-franck-dusbosc-aux-marocains/
Christine Tasin
Le Maroc a culturellement 10 siècles de retard.
C’est un fait. Pourquoi ce dhimmi a-t-il éprouvé le besoin de s’excuser et d’ajouter des poncifs ?
«Chers amis marocains (et autres) je suis désolé et je tiens à m’excuser de mes propos malheureux et
déplacés sur « le retard culturel » de votre pays» écrit-il. Je n’en pense pas un mot bien sûr, ils sont les
dires d’un homme blessé et déçu qui voit son nouveau bébé (Camping 3) interdit aux enfants dans un
pays qui m’a si souvent accueilli». Franck Dubosc ajoute: «Vous n’avez pas un retard culturel comme je
l’ai bêtement dit, nous sommes différents c’est tout». Il regrette que «là où (ses) enfants rient, les vôtres
doivent fermer les yeux» et confie: «C’est cela qui m’attriste». L’interprète de Patrick Chirac conclut ensuite
son message: «Je vous aime et continuerai à dire à mes petits que nous sommes tous pareils sur cette
terre, en espérant qu’un jour j’ai raison. Merci de m’avoir lu».
http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/franck_dubosc_s_excuse_aupres_des_marocains_367198#xtor=RSS50&utm_source=yahoo&utm_medium=rss&utm_campaign=yahooActu
Et voilà… Il l’a dit. Vous n’êtes pas en retard, nous sommes différents…
Ils disaient déjà cela il y a 30 ans ceux qui voulaient laisser exciser les petites filles au nom de la différence…
Ils disent cela ceux qui ne condamnent pas les migrants agresseurs et violeurs…
Ils disent cela ceux qui ne veulent pas savoir qu’il n’y a pas un vrai prix nobel dans le monde musulman (je ne
parle pas des galéjades comme le prix nobel de la paix), ceux qui ne veulent pas voir l’horreur de la condition
féminine dans les pays musulmans…
Vous mentez, Franck Dubosc. Eva, certes, nous avait expliqué que, pour protéger la famille de votre femme,
chrétienne d’Orient, vous deviez prendre des précautions :
http://resistancerepublicaine.eu/2013/11/22/si-franck-dubosc-faisait-de-lhumour-sur-lislam-la-famille-de-sonepouse-serait-massacree-par-eva/
Mais tout de même…
Il est justement bien placé pour savoir ce qu’est l’islam, l’état culturel, économique et sociétal dramatique des 57
pays musulmans… Et à ce titre, ne rien dire, ou, pire encore, se renier c’est être complice des persécutions
subies par les chrétiens d’Orient.
L’islam est un enjeu majeur. S’il a peur pour sa famille, il se tait, il la fait déménager ou il change de métier. Mais
il est prié de ne pas trahir le camp de la civilisation occidentale.
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CHAPITRE XIII (13) « L’islam et la psychologie du
Musulman
http://servier1923fr.w ordpress.com/2007/12/01/13/
December 15, 2011
La Société Musulmane est une Société théocratique. -La loi religieuse, inflexible et
immuable, régit les institutions comme les actes de l’individu. -La législation. –
L’instruction. -Le gouvernement. – La condition de la femme. – Le commerce. – La
propriété. – Dans les institutions musulmanes, aucune originalité. – L’Arabe a imité
en déformant. – Dans les manifestations de l’activité intellectuelle, il apparaît
comme un paralytique et comme il a imprégné l’Islam de son inertie, les peuples qui
ont adopté cette religion sont frappés de la même stérilité. – Tous les musulmans,
quelle que soit leur origine ethnique, pensent et agissent comme un Bédouin
barbare du temps de Mahomet.
Après avoir étudié l’histoire de l’Empire arabe et pénétré les causes de sa chute, il
n’est pas impossible de comprendre la psychologie du musulman où plutôt la
déformation que l'influence
fluence arabe a fait subir, par l’instrument de l’Islam, à tous les
individus qui ont adopte cette doctrine.
La Société musulmane est une société théocratique. Tout y est régi par la loi
religieuse : les moindres actes de l’individu aussi bien que les institutions. Dieu est le
maître suprême, Le savoir n’est considéré que comme un moyen de le mieux
connaître, pour le mieux servir. L’intelligence humaine, l’activité humaine, n’ont d’autre
but que de le glorifier. L’individu est plié à cette conception par tout un réseau de
mesures et de prescriptions, ourdi au deuxième siècle de l’Hégire par les docteurs de
la foi.
Ibn-Khaldoun dit, dans ses Prolégomènes, que l’une des marques distinctives de la
civilisation musulmane, c’est l’habitude d’enseigner le Koran aux enfants. Il aurait pu
ajouter que l’enseignement exclusif du Livre sacré constitue à lui seul, pour les
musulmans, le programme des études primaires, secondaires et supérieures. Dieu
étant le dispensateur de tous les biens, tout est ramené à lui : sciences, arts,
Manifestations de l’activité humaine. Connaître sa parole est l’unique préoccupation
du fidèle ; mais le Koran est écrit dans une langue morte qu’un musulman ne saurait
comprendre sans une étude spéciale ; aussi en, est-on arrivé, pour simplifier la tâche,
à se contenter de lire le texte sacré, sans chercher à le comprendre. Le bien lire, en
prononcer correctement les vocables, voilà tout le scibile des nations islamiques.(1)
(01) SAWAS PACHA. – Et. sur le droit musulman.
Au surplus, il ne servirait de rien à un fidèle de pouvoir comprendre la parole divine,
puisqu’il n’a ni le droit de l’interpréter, ni celui de la prendre pour règle de conduite, en
1′appliquant aux événements et aux circonstances. L’explication du Koran a été fixée,
une fois pour toutes, par les commentateurs orthodoxes : cette interprétation est
définitive et aucun musulman ne peut la modifier sous peine d’apostasie. Cette
défense formelle et irrévocable interdit tout progrès aux nations mahométanes.
Exécutée à une époque barbare, l’interprétation orthodoxe n’est plus, depuis