siete sueños - Halle aux grains
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siete sueños - Halle aux grains
SIETE SUEÑOS Composition musicale, écriture et piano Gerardo Jerez Le Cam Mise en scène Christian Germain Chant Sandra Rumolino Chant et percussions Minino Garay Violon Iacob Maciuca SIETE SUEÑOS Lumière Sam Mary / création vidéo Mariano Zadunaisky / ingénieur du son Luc Padiou Traduction du texte Diego Vecchio et Christian Germain JEREZ LE CAM ENSEMBLE .................................. C L’ISS D EN VEN UE D U SPETE À CTAC LE JEUDI 21 AVRIL 2016. 20H30 ----------------------------------------------------------------------------------- Comme les pas d’un tango lourd et puissant mêlés à la légèreté du présent et de l’oubli. L’amour, les rêves et la solitude, survolent le temps et racontent... Compositeur et pianiste né en 1963, diplômé au conservatoire Dipolito à Buenos Aires. Il réalise des études supérieures avec le pianiste et compositeur Alberto Mercanti, musique de chambre et interprétation avec entre autres les maîtres Jose Bondar, Lejrko Spiller et Juarez Johnson. En Argentine, Il dirige pour des compagnies d’Opéra, intègre des ensembles de musiques classiques et contemporaines, folklore et tango. Halle aux grains / 1h20 Arrivé en France en 1992, il rencontre le violoniste Iacob Maciuca et d’autres musiciens des pays de l’Est qui l’influencent fondamentalement dans son langage musical original. Il crée différentes formations comme le Cuarteto Jerez, Translave, et plus récemment son quatuor le Jerez Le Cam quartet et trio. CO-PRODUCTION ET RÉSIDENCE L’ARC, SCÈNE CONVENTIONNÉE DE REZÉ. CE PROJET A REÇU L’AIDE À LA CRÉATION DU CONSEIL RÉGIONAL DES PAYS DE LA LOIRE, DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LOIRE ATLANTIQUE ET DE LA SPEDIDAM. LE JEREZ LE CAM ENSEMBLE REÇOIT L’AIDE À LA STRUCTURATION DE L’ETAT - PRÉFECTURE DE LA RÉGION DES PAYS DE LA LOIRE – DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES ET L’AIDE AU FONCTIONNEMENT DU CONSEIL RÉGIONAL DES PAYS DE LA LOIRE. PRODUCTION DÉLÉGUÉE JEREZ LE CAM ENSEMBLE La feuille de salle est téléchargeable sur la page du spectacle www.halleauxgrains.com Il se produit dans de nombreuses salles de spectacle et festivals : Festival Musica à Strasbourg, Festival Al Bustan à Beirut, Festival de tango de Buenos Aires, Folles journées à Nantes, Festival d’Île-de-France, Théâtre de la Tempête, Théâtre de la Bastille, Théâtre de Chaillot à Paris, Festival Bach à Dordrecht, Konzerthaus à Vienne. Des tournées en Uruguay, Serbie, Italie, Espagne, Russie, Ukraine, Georgie, Portugal, Slovaquie, Roumanie, Moldavie et Belgique. Gerardo Jerez Le Cam compose également pour des spectacles tels que Pas à deux, Charbons ardents, Anque moi, Comment je suis devenu une agence de tourisme cubaine avec Eduardo Manet, mise en scène Camila Saraceni, La grande Magie de Eduardo De Filippo, Dormez, je le veux de Georges Feydeau, Vinetta de Moritz Rinke, Montedidio de Erri de Luca, ou encore Entre les actes de Virginia Woolf, mise en scène Lisa Wurmser. En tant qu’interprète il se produit entre autres avec Juan Jose Mosalini, Minino Garay, Gotan Project, Julia Miguenes, Raul Garelo, Tomas Gubitsch, Osvaldo Calo, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’Orchestre National d’Île-de-France, la compagnie in-Senso. Chansons de Siete Sueños, une fable amoureuse au pays de l’horreur. Siete Sueños (Sept Songes), est à la foi un « petit opéra tango », et un conte musical et poétique construit en sept mouvements distincts : retour, voyage, déluge, bal tango, football, le parti, et miroirs. Le texte se présente comme une suite de monologues qui s’entrecroisent. Récits faits de bribes de souvenirs, d’éclats de pensées, de fragments de rêves ou de cauchemars. Si chaque passage met en jeu un espace et un temps parfaitement défini - nous sommes en effet en Argentine, à Buenos Aires et sa grande banlieue à la fin des années 1970 et au tout début des années 1980 - en revanche, chaque passage est aussi le rêve de ce moment réel. Tout le livret repose sur cette tension entre rêve et réalité. Entre la parole et le chant. Le monde réel se teinte des couleurs du songe. La parole, en se transmuant en chant, devient métaphorique et poétique. Siete Sueños est avant tout une singulière histoire d’amour. Les deux personnages qui narrent et chantent cette fiction portent des noms qui nous conduisent directement dans l’univers du conte. La femme se nomme Angeles (Anges) et l’homme Sapo (Crapaud). Tous deux sont artistes et musiciens, il est batteur, elle est chanteuse. Si les noms des personnages semblent issus d’un conte pour enfant, en revanche, le contexte dans lequel leur histoire d’amour s’inscrit renvoie à la sombre réalité historique de l’Argentine. Même si les événements ne sont jamais explicitement nommés, il est clair que l’aventure se déroule pendant la dictature militaire (1975-1983). Elle évoque les actes de barbarie qui lui sont attachés tout au long de cette période, et plus particulièrement lors du mondial de football de 1978, sous la main de fer du sinistre Général Videla suivi par le non moins sinistre Général Galtieri, au pouvoir lors de la guerre des Malouines (1982), guerre perdue qui va précipiter la chute du régime. Siete Sueños est donc une fable amoureuse au pays de l’horreur. Siete Sueños, trace un point de tension entre la petite histoire – celle de l’intime – et la grande Histoire, celle du pays lors du siècle dernier. Le destin de nos deux héros est tragique : Sapo sera envoyé combattre aux Malouines, Angeles, elle, payera son engagement politique au prix fort, elle fera partie des 30 000 disparus de cette dictature argentine, nommée pudiquement « Processus de réorganisation nationale ». Dictature sanglante qui sera aussi responsable des 15 000 fusillés, des 9 000 prisonniers politiques, et du 1,5 million exilés pour 30 millions d’habitants. Gerardo Jerez le Cam a donné à son livret la forme d’une boucle, le premier mouvement est chronologiquement le dernier, puisque les deux héros se lèvent pour venir nous conter leurs amours et les dernières semaines de leur trop courte vie. Pour clore cette présentation, je vais citer quelques vers de deux poèmes d’un autre Gérard : Gérard de Nerval *, qui résonnent étrangement avec Siete Sueños : « La Treizième revient... C’est encor la première ; Et c’est toujours la Seule, - ou c’est le seul moment : Car es-tu Reine, ô Toi ! La première ou dernière ? Es-tu Roi, toi le seul ou le dernier amant ? Aimez qui vous aima du berceau dans la bière ; Celle que j’aimai seul m’aime encor tendrement : … Sainte napolitaine aux mains pleines de feux, Rose au coeur violet,… Roses blanches, tombez ! Vous insultez nos Dieux, Tombez, fantômes blancs, de votre ciel qui brûle : - La sainte de l’abîme est plus sainte à mes yeux ! … Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ; J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène... Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. » * vers tirés d’Artémis et de El Destichado Christian Germain. SIETE SUEÑOS - (SEPT SONGES) Operita Tango / Gerardo Jerez Le Cam - 2013 Traduction de l’espagnol (Argentine) de Diego Vecchio et Christian Germain 1 . ESPERA /ATTENTE Je continue à attendre dans un coin. La gorge et l’estomac noués. Je suis une âme blessée dans son insouciance Souillée par un groupe d’hommes qu’une obscure violence a réuni.. Viol aveugle de l’amour. Mon Sapo : Je suis restée dans cette vaste étendue d’eau stagnante Me sentant coupable d’être victime Mais ressentant ton souffle proche fait de murmures, d’oiseaux et de chansons… Tu pourras toujours me retrouver tant que je serai capable de fuir ce sol humide, cet éternel cachot. Tant que je serai capable de rêver à cette rencontre, à ce moment, à cette rue plantée d’arbres, ensanglantée par le crépuscule. 2 . EL APRIETE / LE HARCÈLEMENT Allez, on bouge Il y a de la place au fond ! Ce bus, une cocotte minute sous pression Vapeurs et odeurs Une bande de mecs Profite de la foule Pour coller Et peloter les filles Chauds, chauds les marrons À l’arrêt du bus Ça pète Les coups de poings fusent Chauds, chauds les marrons C’est la faute à une femme Qui n’a pas voulu Qui n’a pas mérité mon amour C’était pas moi C’était l’autre Celui qui lui a foutu la main Elle a rouspété M’a giflé S’est cassée Ecrasés de chaleur Dégouttant de sueur. Toutes ces nuques, ces aisselles, ces cuisses Mettent mes émotions en ébullition Je me suis collé à une déesse Petit minois charmant Moi, restant à l’affut L’air de rien Attendant le bon moment À l’arrêt du bus Ça pète Les coups de poings fusent Chauds, chauds les marrons C’est la faute à une femme Qui n’a pas voulu Qui n’a pas mérité mon amour C’était pas moi C’était l’autre Celui qui lui a foutu la main Elle a rouspété M’a giflé S’est cassée Je rentrais du boulot La nuit tombait Mon esprit s’enlisait Insatisfait et ballot 3 . HUMO VERDE / FUMÉE VERTE Les lumières des feux tricolores changent et disparaissent Combien de personnes traversent seules les rues ? Par de claires matinées Un rideau de miroirs satiné Des gens traversent la grande avenue en disséquant leurs rêves D’un seul coup ils s’arrêtent et ferment leurs yeux sombres D’un seul coup une plume blanche Chute lentement D’un seul coup ton ventre fige le temps L’eau coule solitaire et le feu esquisse son inquiétude Fumée verte Sous-marine 4 . CALLES DE LOMAS / RUES DE LOMAS Loin de la mer, de la douleur et de la lumière Dans ce quartier perdu et sombre Je t’ai vu courir près du soleil Vêtue de fougue et d’alcool Le temps est vin et le vin horloge Les jours frappent sur la cuirasse de l’amour Traversant des quartiers de lune, traversant le tripot J’envisage ton visage de brume et de liqueur Laissant passer le vent Laissant une voix murmurer J’entends des plaintes de comptoir et d’exil Arrimé au cœur d’un puissant alcool de genièvre Gisent le vertige et l’impasse D’un double rendez-vous Rue du Douze octobre, Rue Castelli, L’inondation dévale le pavé, rue Pereyra Lucena Un chien hurle à la mort son abandon Et la pluie crie à son éternelle résurrection Le temps est vin et le vin horloge Les jours frappent sur la cuirasse de l’amour Traversant des quartiers de lune, traversant le tripot J’envisage ton visage de brume et de liqueur 5 . LA INUNDACIÓN / L’INONDATION En arrivant à l’arrêt de bus J’ai vu des nuages de coton Recouvrir le ciel azur d’une obscure cloison Le terre saturée de chaleur Ouvrait les vannes de ses veines. On avançait à grand peine En cet après midi de sueur De lourdes gouttes Allaient tombant Et le tonnerre allait tonnant Sur la ville entière Des vents furieux Des cyclones Arrachaient les toits De tôle, les abris de carton 6 . EN EL ZAGUÁN / DANS L’ENTRÉE À force de t’attendre Je fais reluire les pavés du quartier Enivrant les après–midis d’été. Dans ce même coin de rue sous le même lampadaire avec la même clope et le même vélo rouillé Ne change rien Retiens ton souffle Chasse les chiens nonchalants Et écoute… Dans l’entrée de la maison Une couleur se métamorphose en musiques Tandis qu’à nouveau Se meurt le dimanche. Débordante de passion L’inondation dévale L’avenue Cordoba , celle de Libertador Celles de Corrientes et de Pueyrredon Dans ce même quartier J’enfonce mes talons dans la boue et soupire Echo de crépuscule Inachevé… Débordante de passion L’inondation dévale De la Boca à San Telmo Du Retiro à la Constitution 7 . CLUB ALMAFUERTE À la tombée du jour Dans les rues submergées J’ai vu disparaître engloutis des voitures et des hommes Largué dans la ville À écluser des bars Je me suis saoulé d’alcool de genièvre Et j’ai dragué la nuit Buenos Aires Amoureuse sous l’eau Que lentement le fleuve Noie. Mon pantalon Ruisselait Trempé jusqu’à mes hanches Trempé jusqu’à mon cœur Débordante de passion L’inondation dévale L’avenue Cordoba, celle de Libertador Celles de Corrientes et de Pueyrredon Débordante de passion L’inondation dévale De La Boca à San Telmo Du Retiro à la Constitution Je me suis acheminé vers le terrain vague En donnant des coups de pieds Dans des gros bidons de fer blanc Et en crachant des noyaux Sur le chien de Don Miguel Il y avait Tate-le-crépu qui paradait dans la cage du goal « -Vas-y t’as qu’à tirer Essaye un peu de le mettre au fond, si t’as des couilles ! » Ils sont venus de la banlieue, de Villegas, Aldo Bonzi, et Laferré. Il y avait ceux des petits clubs du coin, de Seminara Ceux du club Vemme, ceux de Sadop. Nous avions le Huguito, le Gustavo, le Willy, Legisamon. 8 . ABANDONADO / ABANDONNÉ Un après-midi, tu es resté seul, abandonné Avec la Croix du Sud Et une bouilloire oubliée sur le feu. Dans une rue pavée, Sous des lampadaires, près d’une porte rouillée. Tu es resté seul, abandonné A côté d’un bateau sur le fleuve Au bord d’une autoroute. C’était un dimanche crépusculaire. Et le soleil tombait n’importe où Loin, à l’opposé moi. Tu es le tison incandescent tout proche du cœur Qui se consume lentement Fumée des jours qui se succèdent. 9 . VIENTO SUR / VENT DU SUD Paysan, ta charrette Avance dans les rues désertes Lourde de boue et de plomb Ta silhouette de fantôme erre Nimbée de vert Et d’une misérable lumière La nuit les champs sont réveillés Par les gargouillements des ventres affamés Les vents du sud tournoient comme des chevaux épuisés Peu à peu tu noies D’obscurs désirs Maté après maté Dans les bouges du sud, les cloches font la bringue Elles sonnent en rêvant dans les vapeurs d’alcool La lune solitaire flotte dans le noir de la nuit Et les rêves se lèvent en avalant l’aube Les vents tournoient creusant les sillons du soleil 10 . CALLES / RUES Comme le soleil d’une matinée ordinaire Pénètre l’épaisse fumée d’un café Comme les pas s’enfoncent dans les feuilles Nous parvient le son d’une voix disparue Sur le chemin j’ai vu ton regard piqué par des clous de pluie Sur ta peau glissaient des brumes automnales Toi, la rue que j’ai perdue : pas lointains, trottoirs, lampadaires et alcool L’étoile du désir brille Dans les lueurs de ton rêve. Et c’est le bout du chemin Que l’oubli efface. Comme le soleil d’une matinée ordinaire Pénètre l’épaisse fumée d’un café Comme les pas s’enfoncent dans les feuilles Nous parvient le son d’une voix disparue PROCHAINEMENT... 11 . MELANCOLIA / MÉLANCOLIE Angeles Ton regard est transporté Aussi loin que possible par une caresse La pointe de mes doigts Frôle la limite extrême de ta peau Ce ventre, lac profond Où je veux plonger ma tête Entre les gouttes et les larmes Je chuchote les mots de ma soif. Nous engloutissons des fleurs Tandis que les pensées de la pluie t’enveloppent Loin de toute mélancolie Loin de toute mélancolie Perfusion de roses Et de poisons sauvages Dévorant les langues Des serpents véloces Tes yeux absorbent La lumière humide d’une étoile Nous engloutissons des fleurs Tandis que les pensées de la pluie t’enveloppent Loin de toute mélancolie Sapo (Récitatif ) : Que tes seins se dressent, chavirés par la caresse Que tes tétons frissonnent au bout de mon doigt. Douce surface du lac de ton ventre Je veux y nicher ma tête sans même frôler d’un millimètre ta peau. Entre fluides et larmes, la plaine lisse de ton corps glisse et s’affaisse, plus proche encore de mes mains grâce à ma retenue. Ce souffle liquide agite les vents, mordille les herbes nerveuses enracinées, incarnées au coeur de tes entrailles. Au plus profond encore, perdu à l’intérieur du passage étroit. Avec des yeux et des lèvres de pluie, prêts à se livrer un combat inégal. Courir et courir encore dans les bois, nus, sous le regard complice des arbres de la nuit Respirer ensemble ce feu qui nous consume Sans jamais pouvoir apaiser nos gorges folles de douceur Et la pluie… Angeles Pénètrent dans tes os Des pétales flottant comme des lèvres Comme du sable qui se dissout dans la mer Comme le vent s’engouffrant dans les nuages Et qui dessine le creux d’une vague dans tes draps et ta peau Nous engloutissons des fleurs Tandis que les pensées de la pluie t’enveloppent 12 . ENCUENTRO / RENCONTRE D’un seul coup, Tu m’es apparue En train de rêver. Je me suis réveillée Etourdie Dans tes songes Tous les deux Enlacés Invulnérables et vierges Dans la pureté de hauts nuages Marchant main dans la main Oubliant les chiens dans les parcs Tournant inexorablement aux coins des rues Sans imaginer tout ce qui nous imagine. Déjà ensemble, unis, A côté du fleuve qui s’écoule Et nous reflète Et nous entraîne lentement Sans nous écouter. Nous sommes à présent ce que nous avons toujours pensé Dans l’attente de l’après-midi Voulant être dans cet oiseau qui dessine Les lumières pâles de nos regards Tandis que nous disparaissons. ORCHESTRE SYMPHONIQUE RÉGION CENTRE - VAL DE LOIRE/TOURS Lundi 25 avril 2016. 20h30. Halle aux grains DIRECTION JEAN-YVES OSSONCE BEETHOVEN, ET ENCORE BEETHOVEN L’OSRCVLT est à ce jour l’une des meilleures formations orchestrales françaises, de par la qualité de ses musiciens et l’originalité et la diversité de ses programmations. À Blois, ce sera un programme entièrement consacré à Beethoven : Ouverture de Coriolan opus 62, Symphonie n°6 Pastorale et Symphonie n°5. RÊVES URBAINS #4 Du 9 au 30 avril avril 2016. 20h30. Blois / Vendôme / Montoire Pour sa quatrième édition, le Festival Rêves urbains propose de nombreux rendez-vous, spectacles et animations autour du hip-hop et des arts urbains : concerts, danse, création amateur, graff, battles, slam, hip-hop, cinéma, performances, … Programme proposé par la HaG : FTT . Abderzak Houmi . Hip-hop > jeudi 28, vendredi 29 avril. 19h30 LE VERNISSAGE . Benjamin Villemagne . Graff > samedi 30 avril. 20h30 QUATUOR DIOTIMA Mardi 3 mai 2016. 20h30. Halle aux grains H. Dutilleux : Ainsi la nuit / G. Ligeti : Métamorphoses nocturnes A. Schönberg : La Nuit transfigurée (sextuor) Le Quatuor Diotima est un quatuor à cordes fondé par des lauréats des conservatoires de Paris et de Lyon. Il mène un travail de recherche et de création, des actions de diffusion en direction d’un public national et international, avec une volonté de transmission et de partage de savoirs. Depuis une dizaine d’années, il consacre son grand talent, largement reconnu, à faire partager sa passion pour la musique de chambre, en particulier contemporaine.