Complément d`infos

DOSSIER DE PRESSE
• PRÉSENTATION ..................................................... page 2
• CRÉDITS .................................................................. page 3
• OPÉRA NATIONAL DE ROSTOV-SUR-LE-DON .... page 4
• BIOGRAPHIE .......................................................... page 6
• L’OPÉRA ET LA COMPAGNIE .............................. page 7
© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
• LA TRAVIATA ......................................................... page 8
• CONTACT PRESSE
Aline Loué - Attachée de production
+33 1 43 75 64 32 - [email protected]
2, rue Louis Pergaud - 94700 Maisons-Alfort
http://www.franceconcert.fr
Dossier de presse - Franceconcert - La Traviata interprété par l’Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don - 2015/2016
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Opéra en trois actes de Giuseppe Verdi
créé le 6 mars 1853 à La Fenice de
Venise.
Livret de Francesco Maria Piave
d’après le drame d’Alexandre Dumas fils
La Dame aux Camélias.
© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
La Traviata, chef-d’œuvre cruel et sublime,
dépeint la gloire et la déchéance d’une
courtisane au grand cœur.
Après avoir rencontré Alfredo Germont,
jeune provincial issu de la bourgeoisie,
Violetta abandonne son métier pour vivre
le grand amour avec le jeune homme.
Voyant l’honneur de sa famille menacé
par cette relation scandaleuse, le père
d’Alfredo parvient à convaincre Violetta
de renoncer à son amant et rompre. La
tuberculose dont elle était déjà atteinte,
s’intensifie. Rongé par le remord, son père
avoue à Alfredo que Violetta n’a jamais
cessé de l’aimer, et qu’elle a sacrifié son
amour pour sa réputation. Alfredo se
précipite à son chevet, mais trop tard :
épuisée par la maladie, Violetta meurt
dans ses bras.
Histoire
romantique
universelle,
promenade avec l’amour et la mort, La
Traviata est l’un des portraits de femme
les plus émouvants du répertoire lyrique.
Chef-d’œuvre absolu, cet opéra du
sacrifice est aussi celui de la solitude
d’une femme et de tout être humain face
à l’arbitraire
Les solistes, les chœurs et l’orchestre
de l’Opéra National de Russie nous font
vibrer et revivre la cruauté d’une pièce où
le drame humain est mis à nu.
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Opéra en 3 actes interprété par l’Opéra et l’Orchestre de
L’OPÉRA NATIONAL
DE ROSTOV-SUR-LE-DON
© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
Musique : Giuseppe VERDI
Libretto : Francesco Maria PIAVE
d’après le roman d’Alexandre DUMAS fils
Directeur Artistique : Viatcheslav KUSHCHEV
Chef d’Orchestre : Maurizio DONES
Régisseuse : Susanna TSIRYUK
Costumes : Natalia ZEMALINDINOVA
Décors : Sergueï GRITSAÏ
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L’Opéra National de Rostov-sur-le-Don
fête cette année son 84ème anniversaire.
Originallement fondée en 1931, la
compagnie est aujourd’hui basée au sein
d’un complexe à l’architecture unique, à
Rostov-sur-le-Don, le plus grand centre
culturel du sud de la Russie. Il comprend
trois salles qui peuvent accueillir plus de
1500 personnes.
L’installation de la compagnie dans ces
infrastructures a favorisé la création d’un
orchestre symphonique de plus de 100
musiciens, l’enrichissement du répertoire
d’opéras et de ballets, la création d’une
chorale d’enfants et l’ouverture du
département de danse de l’Ecole Régionale
d’Etat de Rostov. L’Opéra National de
Rostov-sur-le-Don présente à ce jour près
de 300 représentations par an.
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© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
Les chefs d’orchestre régulièrement
invités Maurizio Dones, Robert Lyall et
Marcello Mottadelli, rejoignent les chefs
résidents Andrey Anikhanov, Alexandre
Gontcharov, Alexei Shakuro et Michail
Pabuzin.
Les deux compagnies d’Opéra et de Ballet
ont parcouru l’Europe avec grand succès,
notamment en Grande-Bretagne, Irlande,
Allemagne, Italie, Espagne et Portugal.
L’Opéra National de Rostov-sur-le-Don a
reçu de nombreux prix dont trois masques
d’or pour sa production de Lady Macbeth
de Chostakovitch de Mtsensk, Juno et
Avos, et également le prix de l’événement
théâtral d’exception de Russie.
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Viatcheslav KUSHCHEV
Directeur Artistique et Directeur de la Compagnie
En
1999,
Viatcheslav
Kushchev
a restructuré non seulement les
compagnies de l’Opéra National et du
Ballet de Rostov, mais a aussi fondé
Le Chœur des enfants et une faculté
d’apprentissage chorégraphique, au
sein même du plus ancien théâtre de
comédies musicales du sud de la Russie.
Viatcheslav Kushchev a intégré en tant
que directeur artistique de nombreux
opéras et ballets tels que Pagliacci de
Leoncavallo (2000), Madame Butterfly de Puccini (2002),
Eugène Onéguine de Tchaikovsky (2003), Barbier de
Séville de Rossini (2003) ou encore Casse-Noisette de
Tchaikovsky (2002).
© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
Viatcheslav Kushchev a convaincu un bon nombre de
musiciens de renommé internationale de rejoindre
la compagnie, dont le chef d’orchestre Robert Lyall
(Directeur Général de l’Opéra de la Nouvelle-Orléans),
Maurizio Dones (Directeur Artistique et Musical de l’Opéra
Hans Swarowsky de Milan), Marcello Mottadelli (gagnant
du concours des Chefs d’Orchestre d’Ovada) ou encore
le réputé Yuri Alexandrov (Metteur en scène du Théâtre
de Mariinsky et gagnant du plus prestigieux prix de Saint
Petersbourg le Golden Sophit).
Pour récompenser l’ensemble de son œuvre au sein du
Ballet de Rostov, Viatcheslav Kushchev s’est vu attribué le
prestigieux diplôme de la Fondation de Diaghilev. En 2002,
l’Union des acteurs de théâtre de Russie l’a nommé Homme
de l’année et le Président de la Fédération de Russie lui a
décerné, en 2003, le titre honorifique de «Mérite pour la
Patrie ».
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La ville de Rostov porte une grande
tradition de l’opérette et de l’opéra
depuis le 19ème siècle. L’Opéra
National de Rostov, fondé en 1931, a
donc naturellement perpétué et amené
cette tradition jusqu’au 21ème siècle.
Le répertoire de la compagnie
comprend désormais des œuvres
majeures de Mozart, Rossini, Verdi et
Puccini, qui forment environ les deux
tiers des productions, tandis que
l’autre tiers est composé d’opéras
de compositeurs russes comme
Tchaïkovski, Chostakovitch, RimskyKorsakov et Borodine.
La
compagnie
représente
les
chanteurs des conservatoires de
toute la Russie sous leur chef de
chœur Elena Klinicheva, connue pour
ses performances énergiques et
enthousiastes.
© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
Parmi les solistes, sont présents la
lauréate Natalia Dmitrievskaya dont
les rôles incluent la Reine de la Nuit,
Violetta et Michaela, mais aussi le
baryton Peter Makarov qui a incarné les
rôles populaires de Figaro (Il Barbiere
di Siviglia) Onéguine, Rigoletto, Le
Prince Igor et Marcello international.
La direction artistique est assurée par
Yuri Alexandrov du Saint-Pétersbourg
Opéra, Georgy Isaakyan de l’Opéra de
Perm et Yuri Laptev, ancien directeur
du Théâtre Mariinski.
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La Traviata est un opéra en trois actes de
Giuseppe Verdi crée à la Fenice de Venise sur
un livret de Francesco Maria Piave d’après le
roman d’Alexandre Dumas fils, «La Dame aux
camélias » (1848).
La première est donnée le 6 mars 1853 dans
les décors et les costumes du XVIIIè siècle. La
distribution n’est pas celle souhaitée par Verdi.
Les interprètes demeurent incrédules face au
réalisme si peu conventionnel de l’œuvre. Malgré
son physique et son âge, seule la soprano est à
la hauteur de la musique de Verdi.
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© Franceconcert - Opéra d’État de Rostov-sur-le-Don
Lors des premières représentations, l’œuvre
s’est heurtée à l’incompréhension du public,
dérouté par le modernisme de son drame
romantique, à contre-courant des mécanismes
traditionnels de l’époque. L’œuvre dépeint
les travers de la société bourgeoise à laquelle
appartient l’amant de Violetta, courtisane
sincèrement amoureuse.
Cette approche novatrice que nous offre
l’intrigue de la Traviata donna à Verdi l’occasion
de composer une mélodie expressive et réaliste.
Elle constitue une approche innovante car
elle est non plus envisagée comme une
succession d’airs et d’ensembles, mais comme
une représentation à part entière d’une crise
dramatique. Verdi renouvelle ainsi l’écriture de
l’Opéra.
Peu à peu, La Traviata sera reconnue à sa juste
valeur et deviendra au XXème siècle l’une des
œuvres les plus jouées à travers le monde.
Oeuvre parmi les plus célèbres du répertoire,
elle fait partie, avec « Rigoletto » (1851) et « Il
Trovatore » (1853), de la « Triade » qui a conféré
à Verdi une gloire internationale et incontestée.
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