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Dossier
de presse
m¡longa
de Sidi Larbi Cherkaoui
Une production de Sadler’s Wells, Londres
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Du 23 au 29 mai 2013
Théâtre du Jorat, Mézières (VD)
© Diego Franssens
Vidy-L
Main sponsor :
http://www.richardmille.com
Théâtre Vidy-Lausanne
Presse et communication
Sarah Turin/Coralie Rochat
Av. E.-Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
Tél. 021/619 45 21/74
[email protected]
[email protected]
www.vidy.ch
Du 23 au 29 mai 2013
Chorégraphie :
Sidi Larbi Cherkaoui
Scénographie et vidéo :
Eugenio Szwarcer
Consultante tango :
Nelida Rodriguez
Musique :
Fernando Marzan
Szymon Brzóska
Olga Wojciechowska
Costumes :
Tim Van Steenbergen
Lumière :
Adam Carree
Son :
Gaston Briski
Construction décor :
Ateliers du Théâtre Vidy-Lausanne
Théâtre du Jorat
Avec :
Danseurs de tango :
Esther Garabali
Martin Epherra
Melina Brufman
Claudio Gonzalez
Gisela Galeassi
Nikito Cornejo
Maricel Giacomini
Bruno Gibertoni
Valentina Villaroel
Cristian Cisneros
Danseurs contemporains :
Damien Fournier
Silvina Cortés
Musiciens :
Fernando Marzan
Federico Santisteban
Guillermo Rubino
Alejandro Sancho
Roberto Santocono
Genre:
danse
Billetterie uniquement
au Théâtre du Jorat
021 903 07 55
www.theatredujorat.ch
Jeudi
Vendredi
Samedi
Dimanche
Lundi
Mardi
Mercredi
23.05.20h00
24.05.20h00
25.05.20h00
26.05.17h00
27.05.relâche
28.05.20h00
29.05.20h00
Coaccueil :
Théâtre Vidy-Lausanne
Théâtre du Jorat, Mézières
Production :
Sadler’s Wells, Londres
Coproduction :
Théâtre Vidy-Lausanne
Steps, Festival de Danse du Pour-cent culturel Migros
Théâtre du Jorat, Mézières
deSingel, Antwerp
Les Théâtres de la Ville de Luxembourg
Les Nuits de Fourvière, Lyon
Movimentos Festwochen der Autostadt in Wolfsburg
Festspielhaus St. Pölten
Fondazione Musica per Roma
Eastman
Création au Théâtre du Jorat le 23 mai 2013
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Du 23 au 29 mai 2013
Présentation
Théâtre du Jorat
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Profondément enraciné dans la culture argentine, le tango ne cesse de séduire par sa
sensualité, sa force et sa beauté. Ce pouvoir de séduction unique a inspiré l’un des
chorégraphes contemporains les plus renommés à créer «m¡longa».
Sidi Larbi Cherkaoui jouit d’une réputation internationale pour ses productions d’avantgarde acclamées par la critique. Il travaille avec des artistes tels que Akram Khan ainsi
que María Pagés et ses œuvres primées comprennent «Sutra», avec les moines du
Temple Shaolin, et «Babel(words)» avec Damien Jalet. Ici, il travaille en collaboration avec
une troupe de danseurs et musiciens argentins et appose sa signature unique sur l’art
du tango.
En prenant comme point de départ l’idée d’une milonga, c’est-à-dire ces soirées
dansantes qui ont lieu dans des bars de nuit intimes à Buenos Aires, Cherkaoui
s’inspire de la tradition et ajoute une note contemporaine. C’est la première fois qu’un tel
spectacle international est dirigé par un artiste non-argentin, offrant ainsi des possibilités
intéressantes d’explorer la danse traditionnelle depuis une autre perspective culturelle.
Cherkaoui, fasciné par le tango depuis le tout début de sa carrière, dit : «Ce qui m’attire
le plus dans le tango, c’est l’enlacement éternel des danseurs. Lorsqu’un couple danse
le tango, l’on ressent ce dialogue hypnotique entre les deux corps qui se rejoignent
intuitivement et se fondent l’un dans l’autre. Si j’ai bien un «style» de danse, il est
enraciné dans le toucher, le contact physique – ce qui est inhérent au tango.»
La musique de «m¡longa» est du compositeur argentin Fernando Marzan et de Szymon
Brzóska, collaborateur de tout temps de Sidi Larbi Cherkaoui. Le design vidéo et
scénique est signé Eugenio Szwarcer et les costumes sont l’œuvre du créateur de
mode renommé Tim Van Steenbergen ; le spectacle marie l’esthétique argentine
traditionnelle et la technologie de pointe. Avec une troupe de 10 danseurs de tango
de Buenos Aires, 2 danseurs contemporains et un orchestre de tango composé
de 5 musiciens argentins, le spectacle promet une exploration fascinante du tango
traditionnel et contemporain pour le XXIe siècle.
Du 23 au 29 mai 2013
Tango radical avec
Sidi Larbi Cherkaoui
Théâtre du Jorat
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En revisitant le tango à sa lumière contemporaine, Sidi Larbi Cherkaoui met la relation
humaine au centre et insuffle une énergie décapante aux clichés plaqués sur la tradition.
Dos à dos, l’homme et la femme esquissent quelques pas de tango traditionnel, exposant
leurs corps et leurs jambes dans un retournement chorégraphique radical. Trois
hommes dansent en cercle, mains étroitement liées, multipliant les figures improbables
exhibant sans fards leur sensualité. Une femme s’immisce dans un couple créant une
insoutenable dissonance qui s’équilibre peu à peu en triade harmonieuse… Proposée
par Sidi Larbi Cherkaoui, chorégraphe sensible d’une grande force créative, «m¡longa»
est une magnifique relecture du tango entre ruptures et décalages, mais toujours avec
un profond respect pour ce qui est et a été, et avec une grande délicatesse. Caresse
pour l’âme, pour le corps, cette création renouvelle le regard porté sur le tango.
Sidi Larbi Cherkaoui. Un nom de sage pour un chorégraphe résolument contemporain
capable de créer des liens à travers le temps. Fils d’immigré marocain et de mère
flamande né à Anvers, Sidi Larbi Cherkaoui sublime le multiculturalisme dans le respect
des identités. «Au fond, ce n’est pas la dissemblance qui m’intéresse, c’est le lien qui
se crée entre les différences», affirme-t-il. Ses chorégraphies théâtralisées explorent
la question identitaire sous toutes ses facettes et la restitue entre sublimation de
l’esthétique et mise en valeur de la spiritualité humaine comme dans son tryptique
«Foi», «Myth» et «Babel (words)» ou ses récentes créations avec des moines Shaolin et
autour du flamenco, avec María Pagés.
Avec une enfance à fleur de peau entre des parents qui ont laissé leur sens artistique
au placard pour se consacrer entièrement au travail, Sidi Larbi Cherkaoui devait être
ailleurs. «Je me sentais prisonnier de cette vie. J’ai eu une perforation de l’estomac
à quinze ans due au stress qu’aurait pu subir un homme de quarante ans. Je devais
fabriquer mon propre destin, sinon j’allais littéralement mourir.»
Il abandonne ses études et devient danseur de variété à la télévision belge en imitant
à la perfection ceux qu’il a longuement observés sur le petit écran. «Mes professeurs
ne comprenaient pas, selon eux il y a avait les gens intelligents qui ne bougeaient pas
et les imbéciles qui dansaient ! Pour moi, au contraire, l’art de la danse était beaucoup
plus complexe qu’une équation mathématique…»
Remarqué pour son talent d’autodidacte, il décide d’entamer une formation
professionnelle en danse contemporaine. Son style énergique et fluide séduit. Dès
ses premières chorégraphies, on le considère comme «l’enfant prodige» de la danse
contemporaine internationale. «En passant par la discipline du corps, je me suis libéré
l’esprit. La danse m’a aidé à réfléchir plus librement. A avoir une pensée originale.»
Larbi voyage aux confins de l’être et du monde. Il associe macro et microcosme dans un
constant va-et-vient. «J’aime l’artisanat, les références anciennes. J’adore les emmener
dans un univers très contemporain où elles reprennent sens dans l’instant présent.»
Corinne Jaquiéry
Du 23 au 29 mai 2013
Sidi Larbi Cherkaoui
© DR
Théâtre du Jorat
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La carrière de chorégraphe de Sidi Larbi Cherkaoui débute en 1999 avec la comédie
musicale contemporaine «Anonymous Society» d’Andrew Wale. Depuis lors le
chorégraphe belgo-marocain a créé plus de 15 œuvres chorégraphiques complètes et a
reçu un grand nombre de prix, y compris le Fringe First Award à Edimbourg, le prix spécial
au Festival BITEF à Belgrade, le prix du Chorégraphe prometteur aux Nijinsky Awards
à Monte Carlo, le prix Movimentos en Allemagne et le prix Helpmann en Australie en
2007. En 2008, il est devenu artiste associé de Sadler’s Wells et en 2009 il a reçu le prix
Kairos de la Fondation Alfred Toepfer pour sa philosophie artistique et sa recherche du
dialogue culturel. En 2008 et 2011, le magazine de danse Tanz l’a nommé Chorégraphe
de l’Année. Il a été récemment élu European Cultural Ambassador 2013.
Tandis que les pièces initiales de Cherkaoui datent de l’époque où il travaillait au sein du
collectif belge Les Ballets C de la B («Rien de rien» en 2000, «Foi» en 2003 et «Tempus
Fugit» en 2004), il a également entrepris des projets en parallèle qui ont à la fois élargi
et consolidé sa vision artistique. «Ook» (2000) est issu d’un atelier pour comédiens
handicapés mentaux organisé par le Theater Stap à Turnhout avec le chorégraphe
Nienke Reehorst ; «D’avant» (2002) est né de sa rencontre avec son partenaire artistique
de longue date, Damien Jalet, ainsi que Juan Kruz Diaz de Garaio Esnaola et Luc
Dunberry de la compagnie Sasha Waltz & Guests ; et «zero degrees» (2005) est une
collaboration avec son ami, le chorégraphe Akram Khan. Il a travaillé au sein de divers
théâtres, opéras et compagnies de danse, mais de 2004 à 2009 Cherkaoui était artiste
en résidence au Toneelhuis à Anvers, où «Myth» (2007) et «Origine» (2008) ont vu le jour.
La première de «Sutra» eut lieu en 2008 à Sadler’s Wells. Cette œuvre primée, fruit de sa
collaboration avec Antony Gormley et les moines Shaolin, poursuit sa tournée mondiale
et rencontre l’enthousiasme des critiques. A la suite de sa première commission en
Amérique du Nord, «Orbo Novo» (pour le Cedar Lake Contemporary Ballet), d’une série
de pas de deux tels que «Faun» (qui faisait partie de «In the Spirit of Diaghilev» à Sadler’s
Wells) et «Dunas» avec la danseuse de flamenco María Pagés (les deux en octobre
2009), il a lancé Eastman, sa nouvelle compagnie établie au deSingel International Arts
Campus et au Toneelhuis à Anvers.
Au printemps 2010, il a retrouvé son co-chorégraphe Damien Jalet et le sculpteur Antony
Gormley dans la création de «Babel(words)», troisième volet du triptyque initialement formé
de «Foi» et «Myth». Cette même année il a créé «Rein», un pas de deux mettant en scène
Guro Nagelhus Schia et Vebjørn Sundby, ainsi que «Play», avec la danseuse de kuchipudi
Shantala Shivalingappa, et «Bound», un pas de deux pour Shanell Winlock et Gregory
Maqoma dans le cadre du Southern Bound Comfort. «Babel(words)» connut un succès
retentissant aux Laurence Olivier Awards, en tant que meilleure nouvelle production de
danse et pour la remarquable réalisation d’Antony Gormley ; un prix Benois de la danse
fut également décerné au Bolshoï à Moscou.
L’année 2011 a vu la création de «TeZukA», une nouvelle pièce pour 15 interprètes
inspirée de l’œuvre du maître du manga japonais, Osamu Tezuka. Depuis sa création,
«TeZukA» poursuit une grande tournée internationale. Cette même année, Cherkaoui a
également conçu «Labyrinth» pour le Ballet National Hollandais.
En 2012, il a participé à «Automaton» pour la compagnie de danse américaine Pilobolus.
Sa création «Puz/zle», conçue pour sa propre compagnie, a débuté au Festival
d’Avignon à la Carrière de Boulbon. Cette ancienne carrière lui a inspiré le choix de
la pierre comme élément de base pour sa chorégraphie. Avec la complicité de ses 11
danseurs, de l’ensemble polyphonique corse A Filetta, de la chanteuse libanaise Fadia
Tomb El-Hage et du musicien japonais Kazunari Abe, il remet en question les énigmes
sous-jacentes de toute relation humaine. Il a également collaboré avec Joe Wright, en
créant la chorégraphie de son film «Anna Karenina».
Du 23 au 29 mai 2013
Théâtre du Jorat
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Renseignements
Du 23 au 29 mai 2012
Au Théâtre du Jorat
Théâtre du Jorat, Mézières (VD)
Billetterie uniquement au Théâtre du Jorat
021 903 07 55
www.theatredujorat.ch
Billetterie
Catégorie A B C D E et F
Plein tarif :
Fr. 68.– | 58.– | 48.– | 38.– | 28.– | 18.–
Adhérent Vidy 2012-13 :
Fr. 50.– | 45.– | 38.– | 28.– | 20.– | 18.–
–26 ans et étudiants :
Fr. 34.– | 29.– | 24.– | 19.– | 18.– | 18.–
Pour les billets à prix réduit, une pièce justificative est demandée à l’entrée.
Accès
Arriver à Mézières
En voiture
De Genève A1 : sortie Lausanne-Vennes, suivre Moudon
De Berne A12 : sortie Vaulruz, suivre Oron
Du Valais A9-A12 : sortie Chexbres, suivre Moudon
Veuillez parquer dans les parking indiqués.
En bus
Prendre le bus n° 62 à Lausanne (Les Croisettes) ou Moudon
Arrêt du bus Mézières-Station à 50 mètres du théâtre
Consultez les horaires du bus de la ligne 62 (www.t-l.ch)
Vidy-L
Théâtre Vidy-Lausanne
Presse et communication
Sarah Turin/Coralie Rochat
Av. E.-Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
Tél. 021/619 45 21/74
[email protected]
[email protected]
www.vidy.ch
Théâtre Vidy-Lausanne
Saison 2012-2013
Chapiteau extérieur
Du 5 au 23 juin 2013
Face Nord
La Passerelle
Du 7 au 23 juin 2013
Le cri quotidien
Salle Charles Apothéloz
Du 12 au 22 juin 2013
An Old Monk
Par la Compagnie Un loup pour l’homme
Mise en scène :
Un loup pour l’homme
et Pierre Déaux
Par la Compagnie Les Anges au plafond
Mise en pli :
Brice Berthoud
de Josse De Pauw et Kris Defoort
Texte :
Josse De Pauw
Composition :
Kris Defoort
inspiré par Thelonious Monk
Renseignements :
Théâtre Vidy-Lausanne
Av. E. Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
du mardi au samedi
de 10h00 à 19h00
Tél : 021/ 619 45 45
Fax : 021/619 45 99
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internet : www.vidy.ch
Point de vente :
Payot Librairie
Place Pépinet 4, Lausanne
du mardi au vendredi
de 13h00 à 18h30
le samedi
de 10h00 à 14h00 et de 14h30 à 18h00
(pas d’achat par téléphone chez
Payot)