Contacts presse : Nadia Taleb, Directeur communication GS1
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Contacts presse : Nadia Taleb, Directeur communication GS1
Contacts presse : Nadia Taleb, Directeur communication GS1 France Aurélie Oudin, Assistante presse tél : 06 37 67 63 46 / [email protected] Sommaire Fiche 1 Introduction conférence catalogues électroniques Fiche 2 Programme de la journée Fiche 3 Les enjeux des catalogues électroniques Fiche 4 Chiffres clés Fiche 5 Les utilisateurs ont la parole Fiche 6 Les offreurs de solutions présents durant l’événement Fiche 7 L’organisation GS1 Fiche 8 Grâce au code à barres, 11 milliards d’euros économisés 2 Fiche 1 : Introduction conférence catalogues électroniques Éditorial « Depuis toujours l’information produit a été un enjeu important pour les industriels, les distributeurs, ainsi que leurs partenaires. Nous sommes passés d’une époque où les entreprises réalisaient leurs fiches-produits au format papier sur la base du langage Gencod, dans les années 1995, jusqu’à l’arrivée de la fiche-produit développée en version électronique. De nombreuses étapes ont été franchies depuis... En 2008, les distributeurs parlent d’une même voix et s’accordent sur 5 principes fondamentaux qui favorisent la « connexion » des fournisseurs sur les catalogues électroniques : un point d’accès unique à tous les distributeurs ; les mêmes informations pour tous ; l’usage des processus standard ; les priorités de déploiement et la gestion des prix. Pendant deux ans, nous avons accompagné nos adhérents dans le déploiement de la fiche-produit dans les secteurs alimentaires. Les résultats sont là ! En 2011, le cap des 2 000 entreprises françaises utilisatrices de catalogues électroniques a été franchi. Cette conférence du 12 juin poursuit cette dynamique et lance de nouveaux chantiers. Les témoignages des utilisateurs confirmeront que l’échange de fiches-produits fonctionne, que des gains existent et que finalement, ça marche ! Aujourd’hui de nouveaux secteurs comme la parfumerie sélective, le bâtiment ou la restauration hors domicile s’apprêtent à intégrer les catalogues électroniques dans leur logistique. Le point d’orgue de cette journée sera les ateliers distributeurs, où chacun d’entre eux présentera leur process interne lié aux catalogues électroniques avec des sessions de questions/réponses. » Alain Tardy, Directeur Déploiement, GS1 France 3 Fiche 2 : Programme de la journée L’échange de fiches-produits dans les catalogues électroniques : pourquoi ça marche ! Programme Conclusion de la matinée par Alain Tardy, Directeur du Déploiement, GS1 France. 8h30-9h00 : Accueil café. 9h00-9h25 : Introduction de Pierre Georget, Président du Directoire, GS1 France. Présentation de GS1 France et de la journée, AlainTardy, Directeur du Déploiement, GS1 France. 9h25-10h05 : Réussite sectorielle : secteur vitivinicole. • Introduction d’Alain Tardy • Témoignages. Caroline Coutant, Responsable Data Synchronisation, Carrefour France et Fabien Devos, Directeur Informatique, GRM Guiraud Vins. 10h05-10h30 : Les clés du succès : point sur les solutions qualifiées, les bénéfices/ROI et état des lieux du déploiement dans différents secteurs. AlainTardy, DirecteurduDéploiement,GS1France et Benjamin Couty, Responsable Echanges Electroniques, GS1 France. 10h30-11h00 : Pause. Market Place des offreurs de solutions. 11h00-11h30 : Témoignages et conseils de fournisseurs utilisateurs. Raymond Chiappara, Responsable Administration des Ventes, Fête Latine et Dominique Gerelli, Responsable du Support de la Supply Chain, Sara Lee Coffee and Tea France. 12h30-14h00 : Pause Déjeuner. Market Place des offreurs de solutions. 14h00-16h00 : Ateliers Distributeurs (1 atelier toutes les 30 minutes, 2 sessions en parallèle) : Carrefour (Caroline Coutant, Responsable Data Synchronisation et Thierry Villate, Responsable Référentiel France), Casino (Nicole Hamelin, Responsable Data Synchronisation et Yves David, Directeur des Projets Transverses), Cora-Match (Ménouar Lounes, Responsable Référentiel) • La descente des informations-produits dans les systèmes internes : le devenir des données une fois synchronisées avec l’enseigne. • Les conseils des distributeurs auprès de leurs fournisseurs: comment réussir au mieux un projet de synchronisation des données. • Les données les plus souvent erronées rencontrées par les distributeurs. • Questions / Réponses 15h00-15h30 : Pause. Market Place des offreurs de solutions. Ateliers 11h30-12h10 : L’enjeu de la qualité des données. Chiffres clés, bénéfices, fiche-produit française. • Les Défis de la distribution et le témoignage de 2 fabricants : Benjamin Couty, Responsable Échanges Électroniques, GS1 France, Catherine Massardo, Coordinatrice Systèmes, Kimberly Clark et Frédéric Loriaux, Data Quality Manager, Nestlé France. Atelier 1 Atelier 2 Pause Atelier 3 12h10-12h30 : Prochaines étapes : les nouveautés de la synchronisation des données. Point sur les nouveaux messages (Prix, Image), les nouveaux secteurs visés par les distributeurs. Ménouar Lounes, Responsable Référentiel, Cora-Match et Patrice Minzolini, Responsable Partenariats Logistiques, Cadbury-Kraft >> Ils seront présents avec un stand lors de cette conférence. Venez découvrir leurs produits et services : @GP, Agena 3000, Edicom, Equadis, GFK, Mobiletag, SwingMobility, Trace One, TX2 Concept et Verticalwine. >> Vous pourrez suivre la conférence sur le fil twitter @iloveGDS Horaires salle 1 salle2 14h00-14h30 CASINO CORA 14h30-15h00 CASINO CARREFOUR 15h00-15h30 CORA 15h30-16h00 CARREFOUR 4 Fiche 3 : Les enjeux des catalogues électroniques L’échange de fiches-produits entre les fournisseurs et les distributeurs impacte toutes les strates de l’entreprise, tous les services sont concernés : la logistique, le marketing, les services administratifs ou commerciaux, la qualité… Des enjeux logistiques • • • • Meilleur taux de remplissage des camions. Accélération des réceptions en entrepôts. Amélioration du taux de service. Diminution du temps de saisie des informations sur les produits dans « le référentiel produits ». • Augmentation de la productivité de la gestion des fiches-produits. Des enjeux de merchandising & de marketing • Accélération de l’introduction de nouveaux produits (gain d’une semaine). • Gestion des promotions facilitée. • Gestion des images dans les brochures publicitaires. • Amélioration de l’information produit. • Meilleure disponibilité des produits en linéaire et assortiment plus riche. • Réduction du prix de vente consommateur (-0,5%). • Données prêtes à l’emploi pour des usages m-commerce et e-commerce. Des enjeux administratifs • Moins d’erreurs, donc diminution du taux de litiges fournisseurs. • Augmentation de la productivité du traitement des commandes. • Gain de temps : l’information produit est saisie une fois pour l’ensemble des clients. • Réduction des coûts de rapprochement facture (gain : 50%). Quels gains pour tous les acteurs de la supply chain ? La gestion de la fiche produit dématérialisée via catalogue électronique contribue presque immédiatement à la réduction de coûts, notamment administratifs. Une fiche-produit échangée par format papier est coûteuse à gérer : en moyenne 65 € par fiche-produit, par an et de qualité variable. En proposant un point d’accès unique à l’information produits et en facilitant ainsi sa diffusion, le réseau des catalogues électroniques permet de ramener ce coût de gestion de l’information à moins de 10 €. C’est l’application du « Publier une fois pour diffuser à tous » Optimiser les processus d’affaires La qualité des échanges des informations sur les produits a un impact fort sur le bon déroulement des transactions commerciales mais également sur la bonne circulation des produits dans la chaîne d’approvisionnement. D’après une étude du GCI et de Capgemini, les défauts dans l’alignement de données coûtent 0,5% du chiffre d’affaires du commerce de détail, soit 1,75 milliard d’euros à la chaîne d’approvisionnement française. La résolution de ce problème représente pour une entreprise un potentiel de 10 à 15% d’amélioration de son résultat net. 5 Fiche 4 : Chiffres clés Actuellement 2 142 entreprises sont connectées au réseau des catalogues électroniques (réseau GDSN*), ce qui représente : • 1 272 984 fiches-produits en circulation sur le marché français. • 5 distributeurs connectés (Carrefour, Casino, Auchan, Cora et Leclerc). • 2 200 fournisseurs de produits de grande consommation dématérialisent leurs fiches-produits. • 706 dans le secteur vin et alcool. • 612 dans le secteur des produits frais. • 209 dans le secteur bazar & textiles. • 65 € est le coût de gestion d’une mauvaise qualité des données d’une fiche produit papier par an. • 1,75 milliard d’Euros, est le coût annuel de la mauvaise qualité des données pour le commerce de détail français. Le nerf de la guerre, améliorer la qualité des données Aujourd’hui, 50% des données échangées entre industriels et distributeurs ne sont pas alignées et ne correspondent pas à la réalité physique. La qualité des données c’est disposer d’informations à la fois... Cohérentes : les données sont identiques d’un système à l’autre. Exhaustives : toutes les données requises sont transmises. Exactes : les données correspondent à la réalité physique. Standardisées : les données sont conformes aux standards de l’industrie. Valides dans le temps : les données sont mises à jour à temps. Telles que requises par les partenaires commerciaux : les données répondent à des exigences du marché. Et uniques : un produit ou un lieu doivent être identifiés par un code GS1 et un seul (respectivement un GTIN et un GLN). … pour garantir la fiabilité des échanges et les bénéfices associés. Des bénéfices à la fois financiers et organisationnels. La qualité des données se révèle un élément clé pour fiabiliser les échanges d’informations et ainsi faciliter les relations d’affaires entre industriels et distributeurs. L’inexactitude et le manque de fiabilité des informations produits sont coûteux pour les partenaires de la chaîne d’approvisionnement. Avec des échanges informatisés qui explosent au sein des entreprises, actuellement près d’un million de fiches-produits dématérialisées sont en circulation. *Le réseau GDSN, c’est quoi ? La GDSN, ou Global Data Synchronisation Network, est un réseau d’échange d’informations produits entre industriels et distributeurs pour conduire toutes les opérations, depuis la mise sur le marché d’un produit jusqu’à la disponibilité en rayon. 6 ( Fiche 4 ) Un contexte propice à l’amélioration des données En 2011, les fournisseurs français ont envoyé plus de 11 millions de factures électroniques à leurs clients de la distribution. Fin 2011, 2 200 d’entre eux échangent également des fiches-produits électroniques avec leurs partenaires commerciaux via un catalogue électronique. Et cela, sans compter la multiplication des usages des autres messages électroniques de type EDI (la commande, l’avis d’expédition, l’avis de réception) en France et dans le monde. Avec l’essor du e-commerce, les échanges d’informations électroniques fiables deviennent un enjeu majeur. Aujourd’hui, les 72% des français qui achètent en ligne (source Médiamétrie 2009), risquent de ne pas disposer d’une information produit correcte et à jour, ce qui est pourtant essentiel dans l’acte d’achat des consommateurs. Ces milliards de données commerciales transmises chaque jour électroniquement correspondent à des milliards d’euros d’échanges commerciaux et obligent toutes les entreprises à se préoccuper de la qualité des informations échangées. Sans qualité des données, le potentiel économique de la dématérialisation des opérations courantes n’est pas exploité totalement. Les gains s’amenuisent, les litiges qui existent ne sont pas résolus et le retour sur les investissements réalisés pour dématérialiser est plus long à atteindre. 7 Fiche 5 : Les utilisateurs ont la parole Témoignage d’Eva Alcaide, B2B Manager, Auchan Témoignage de Patrice Minzolini, Responsable Partenariats Logistiques, Cadburry « Le terme de Global Data Synchronisation (ou GDS pour les intimes) nous a longtemps paru barbare, voire incongru. « Le comité de pilotage déploiement des catalogues électroniques de GS1 a, je dois le dire, œuvré positivement et a réussi à imposer un rétro-plan ferme qui se base sur les standards internationaux. Par sa sophistication sémantique et sa technicité, le sujet de la GDS semblait réservé à une poignée d’initiés. Aujourd’hui, les choses ont évolué positivement. La GDSN va tous nous aider à la mise en oeuvre de la qualité des données dans nos outils de gestion interne. La terminologie a fait son chemin… Même si l’équilibre reste fragile et si le spectre de la « fiche Excel » est toujours présent, le cap du million de fiches produit échangées a été franchi ! Aujourd’hui, chacun peut être rassuré : les bases de la GDS sont saines et solides, les outils de travail en cohérence avec les standards existent et sont stables, le besoin est avéré. L’arrivée du e-commerce donne encore plus de sens à la GDS pour les distributeurs. Tout le monde ira, cela ne fait aucun doute ! Cela donne donc du sens, côté industriel, à une stratégie GDS globale, en lieu et place d’une simple réponse opportuniste à une demande client plus ou moins isolée. » Le fait d’envoyer des informations normées GS1 nous oblige désormais à pratiquer un data cleaning de tous les instants. Cela nous force aussi à revisiter l’ensemble de nos processus de codification et considérer l’utilisateur final plutôt que les clients internes. Nous devons raisonner codification consommateur et non plus codification industrielle, les deux sont nécessaires, mais le pivot principal doit être impérativement la manière dont notre consommateur va utiliser le produit final. C’est un changement majeur qui nécessite quelquefois des révolutions au sein de nos entreprises pour réussir ce changement de paradigme. » 8 Fiche 6 : Les offreurs de solutions présents durant l’évÉnement Ils sont exposants. Venez découvrir leurs produits et services ! 9 Fiche 7 : l’organisation GS1 L’organisation générale de GS1 Créée en 1972 par des entreprises pour des entreprises (fabricants et distributeurs), l’activité de GS1 est étroitement liée à l’évolution des technologies de l’information. Les standards promus par GS1 qu’il s’agisse du code à barres, de l’EDI (Echanges de Données Informatisées) des catalogues produits ou de la RFID, chacun d’entre eux ont modernisé les processus de distribution et les habitudes de consommation dans notre société. La création du code à barres a révolutionné le passage en caisse, plus rapide, plus efficace, nous sommes aujourd’hui à l’ère du self-scanning. L’EDI a facilité la dématérialisation des échanges commerciaux, plus de papier pour passer un bon de commande ou accuser la réception d’un produit, tout est automatisé. Les catalogues produits électroniques ont, quant à eux, permis l’explosion des références. Distributeurs et industriels peuvent s’échanger des informations sur leur produit via ses catalogues en toute sécurité. Parce qu’ils ont prouvé leur efficacité dans les Produits Grande Consommation, les standards GS1 sont aujourd’hui également utilisés dans les secteurs de la santé, des transports, des matériaux de construction, ou de la défense etc. GS1 s’associe alors aux fédérations et organisations professionnelles, qui contribuent à promouvoir les standards GS1. L’organisation GS1 est active dans plus de 20 secteurs d’activité (distribution, commerce de détail, PGC, santé-beauté, transport et logistique, Défense…). GS1 dispense également son expertise et ses compétences, des écoles et des instituts de formation. Chiffres clés : • 31 000 entreprises françaises font déjà confiance à GS1 dont 90% de PME. • GS1 compte 1 million d’entreprises adhérentes dans le monde. • 110 organisations nationales • 150 pays utilisent les standards GS1 • 20 industries et secteurs utilisateurs : distribution, commerce de détail, construction, PGC, santé, transport… Mission de GS1 La mission de GS1 est de s’assurer de la diffusion et la promotion d’un langage commun fondé sur des standards d’échange d’information éprouvés, reconnus et adaptés aux besoins de chaque intervenant de la chaîne d’approvisionnement. Ce travail se réalise à l’échelle internationale et se caractérise au quotidien par la volonté d’accompagner les entreprises dans leur accès à l’économie numérique. GS1 International GS1 est une organisation internationale qui, par sa construction, est en elle-même un exemple de réussite de mise en réseau. Elle compte 110 organisations, 150 pays utilisateurs et un million d’adhérents. L’Assemblée générale de GS1 assure la gouvernance mondiale, pilote la conception des standards et soutient les mises en oeuvre nationales. Chaque organisation nationale participe à l’élaboration des standards et pilote le déploiement local des standards. En déployant un système à la fois fiable et stable, GS1 s’engage en faveur d’une circulation libre, responsable et sécurisée des marchandises et des informations qui leur sont liées, in fine utiles à tous, y compris au consommateur. 10 Fiche 8 : Grâce au code à barres, 11 milliards d’euros économisés GS1 contribue également de manière très probante à la compétitivité des petites et moyennes entreprises. Si l’EDI (Echanges de données informatisées) n’existait pas, le monde du commerce devrait absorber un coût supplémentaire de 11 milliards d’euros chaque année ! Grâce au recul dont nous disposons, nous sommes en mesure en effet de calculer l’impact économique des standards sur la chaîne d’approvisionnement. Le code à barres permet d’économiser à lui seul 5,69% du chiffre d’affaires annuel de la distribution (selon les résultats d’une étude menée par PWC, 20 ans après sa mise en oeuvre). Les gains directs, tangibles et quantifiables liés à l’utilisation du code à barres s’élèvent à 2,8% des ventes. Ils se retrouvent sur la réduction du temps de passage aux caisses, la diminution des erreurs d’enregistrement et une meilleure utilisation du temps des opérateurs de caisse. Les gains indirects s’élèvent à 2,89% des ventes et sont liés à l’accroissement des ventes par un meilleur service rendu au client, par un meilleur suivi des stocks et des flux en magasin, par la réduction de la démarque inconnue. Chiffres clés : Des réponses concrètes aux enjeux d’optimisation de la chaîne logistique et aux enjeux de sécurité Si pour de nombreuses entreprises, les échanges manuels sont encore monnaie courante (papier, fax, téléphone), tout le monde convient que ces habitudes pénalisent la performance des entreprises sur leurs marchés. A l’inverse, une circulation fluide et sécurisée d’informations nombreuses et fiables constitue autant d’atouts concurrentiels et une simplification de l’interaction entre partenaires. C’est pourquoi 50% des industriels et 100% des distributeurs de PGC (produits de grande consommation) ont d’ores et déjà fait le choix des échanges de données informatisées (EDI). Intégrée en amont, la standardisation constitue d’ailleurs un atout supplémentaire pour faire face aux réalités du marché. Afin de convaincre les entreprises n’ayant pas encore dématérialisé leurs échanges commerciaux, GS1 propose un outil de mesure de leur ROI après adoption des standards, permettant de calculer les gains à chaque étape de la chaîne d’approvisionnement. • La standardisation représente 11 milliards d’économie pour les entreprises. • En France, 794 millions d’euros sont économisés chaque année grâce à l’EDI. • En France, 28 millions de commandes sont échangées annuellement dans le secteur du commerce. • 2 200 fournisseurs de produits de grande consommation dématérialisent leurs fiches produits en France. • Le code à barres permet d’économiser 5,69% du chiffre d’affaires annuel de la distribution (étude PWC). 11 2, rue Maurice Hartmann 92137 Issy-les-Moulineaux cedex T +33 (0)1 40 95 54 10 E [email protected] www.gs1.fr