LOT 13 ELECTRICITE oct 2009 - Communauté de Communes du

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Les ISLETTES
Construction d’un pôle scolaire
Phase : DCE Octobre 2009
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LOT 13 – ELECTRICITE – COURANTS Forts et Faibles
CHAPITRE 1
GENERALITES
1.1 OBJET DU PROJET
Le présent document définit les conditions techniques d’exécution relatives au lot ELECTRICITE
1.2 CONSTITUTION DU DOSSIER
Le présent dossier est constitué des pièces suivantes :
Le présent C.C.T.P.
Le C.C.T.P. pas de caractère limitatif et l’Entrepreneur doit exécuter tous les travaux nécessaires, y compris les
travaux de préparation à la parfaite finition des ouvrages de sa prestation, en application des règles de l’art et
des diverses normes et règlements en vigueur.
Autres documents à consulter :
• le Cahier des Clauses Administratives Particulières (C.C.A.P.) applicable aux marchés de travaux
établis par le Maître d’ouvrage et (ou) les Maîtres d’œuvres. Si des contradictions apparaissent entre
le C.C.A.P. et le C.C.T.P., le C.C.A.P. prévaut en tant que pièce contractuelle prioritaire,
• le Règlement de Consultation de l’opération,
• l’ensemble des pièces administratives constituant le dossier de consultation,
• les plans Architecte (seuls les plans Architecte sont contractuels).
1.3 CONSISTANCE DES TRAVAUX
Les prestations du présent lot consistent en : la fourniture, la pose et les prestations annexes nécessaires,
définies par lle présent C.C.T.P.
Electricité - Courants forts :
Alimentation de chantier.
La création d’un TGBT compris raccordement au réseau d’alimentation générale.
Le décomptage interne BT pour la zone « Cuisine ».
Le réseau de terre principal.
Les circuits de terre et équipements de protection contre les mises sous tension accidentelle des masses
métalliques.
La fourniture et pose d’un tableau de protection général des installations (T.G.B.T.) dans le local tarif
jaune (rangement).
LOT 13 : ELECTRICITE COURANTS fort et Faibles
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La fourniture, pose et raccordement d’armoires divisionnaires pour le nouveau bâtiment et le batiment
existant.
L’équipement électrique des locaux : appareils d’éclairage, petit appareillage, prises, plinthes…
Les attentes à disposition des autres lots : plomberie et équipements de cuisine.
L’éclairage de sécurité du bâtiment.
Courants faibles :
Fourniture et pose d’une nouvelle centrale d’alarme incendie
Fourniture et pose d’une installations téléphoniques.
Equipement des locaux depuis les installations V.D.I.
L’éclairage extérieur des abords du bâtiment, cours et parkings.
Les travaux et prestations annexes : dessins et calculs d’exécution, les échantillons, l’installation de
chantier, les essais et réglages des installations, la fourniture des plans de recollement…
La protection intrusion du bâtiment.
1.4 CONNAISSANCE DU PROJET - RESERVES - DOCUMENTS D'ETUDES
Le soumissionnaire devra avoir pris connaissance, avant d'établir sa soumission de l’ensemble des pièces
écrites et graphiques concernant l'opération.
Une omission sur un plan ou dans le devis descriptif du présent lot ne saurait le soustraire à exécuter les
ouvrages tels qu'ils sont dessinés ou décrits. Sauf stipulation contraire, le fait de devoir la pose entraînera la
fourniture et le raccordement si nécessaire du matériel demandé.
Il lui appartiendra de signaler en temps utile (période d’étude de sa proposition), et obligatoirement avant la
remise de son offre, les omissions, imprécisions ou contradictions qu'il aurait pu relever dans les documents
fournis et de demander les éclaircissements nécessaires.
L’entrepreneur devra vérifier soigneusement toutes les côtes portées au dessin et s’assurer de leur
concordance entre les divers plans (Architecte et B.E.T.).
Quelles que soient les directives données pour le choix des moyens ; l’Entrepreneur de ce lot est tenu de
garantir sous son entière responsabilité tous les résultats imposés ou non qui n’auraient pas fait l’objet de
réserves de sa part.
1.5 PRESTATIONS ET FOURNITURES EXCLUES DU PRESENT LOT
• les travaux nécessaires à la construction des gaines et locaux techniques électrique,
• les réservations > à 10 x 10 cm dans les ouvrages en béton et maçonnerie lourde (voiles, poutres,
poteaux....) d’après les indications des plans de réservations fournis par le présent lot,
• la fourniture et la pose des grilles de ventilations haute et basse des locaux techniques y compris
cadre et scellement,
• le comptage électronique,
• la réalisation de socles antivibratiles ou non effectués en béton y compris armatures,
• les trappes d'accès dans les faux plafonds,
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1.6 PRESTATIONS ET FOURNITURES ANNEXES INCLUSES AU PRESENT LOT
• les percements < à 10 x 10 cm dans tous les ouvrages : bétons, maçonnerie, cloisons...
• le rebouchage soigné de tous les percements et réservations,
• l'amenée, l'établissement et l'enlèvement de tous les appareils, engins, échafaudages nécessaires à
la réalisation et aux essais des installations,
• l'enlèvement des gravois et déchets provenant des installations du présent lot et leur transport à la
décharge publique,
• le nettoyage de toutes les parties de l'installation et locaux,
• la mise en peinture antirouille des fourreaux, colliers et autres parties métalliques oxydables,
• l'exécution des trous de scellements et les scellements des supports, colliers, guides, points fixes,
consoles et toutes autres fixations d'appareils,
• les supports de canalisations, appareils d'éclairage, chemins de câbles...,
• la réalisation des découpes et adaptations des faux plafonds aux emplacements des équipements
techniques (luminaires, blocs de secours, bouches de ventilation…),
• les anneaux de repérage sur câbles, bornier et appareils de protection et de commande dans
l'armoire,
• la mise à la terre de tous les appareils fournis au titre du présent lot et liaisons équipotentielles,
• la main d’œuvre et le matériel nécessaires aux essais et réglages de l'installation.
• la tranchée extérieure pour mise en place des alimentations,
• les tranchées pour l’alimentation de l’éclairage des abords ou parkings,
• la fourniture et la mise en place des fourreaux extérieurs,
• la fourniture et la pose des bandeaux ou ventouses d’asservissement des PCF,
• l’installation éventuelle de renforts dans les cloisons,
• les découpes, les reprises et les finitions des carrelages aux emplacements d’appareillage
(interrupteurs, prises,…),
• les découpes, les reprises et les finitions des sols souples aux emplacements d’appareillage (boîtiers
de sols…),
• la peinture définitive du matériel,
• la fourniture de l'électricité nécessaire aux essais des installations.
1.7 MARQUES ET QUALITES DES MATERIELS
Les références à des marques indiquées dans le présent devis descriptif n'ont pas pour but d'éliminer d'autres
fabricants qui leur seraient équivalents. Elles ne sont précisés que pour désigner les types d'appareils ou de
matériaux recherchés et n'ont pas de caractère impératif dans la mesure où les matériels ou matériaux
proposés en remplacement par l'entreprise sont au moins techniquement équivalents.
Par contre, la proposition des concurrents devra préciser exactement les marques et types des matériels prévus
dans son offre.
La réalisation des installations devra se faire avec les matériels prévus dans la proposition retenue.
Les matériels et appareillages faisant l'objet d'un agrément ou d'un label de qualité devront en cas de
remplacement avoir obtenu le même label (Label NF, agrément du CSTB, Norme ISO 9000 etc...).
1.8 PIECES A FOURNIR PAR L'ENTREPRISE
Appel d’offres :
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Lors de la consultation l’entreprise remettra avec son offre un mémoire technique comprenant :
⇒ Les caractéristiques techniques et visuelles du matériel prévu.
Avant l'exécution des ouvrages :
L’ensemble du dossier technique comprenant :
•
•
•
•
•
les plans de détails et de réservations, aménagement du local technique ou gaines…,
les caractéristiques des matériels prévus,
les P.V. des matériaux mis en œuvre...à transmettre au bureau de contrôle pour accord,
les notes de calculs : chutes de tension, éclairement, section des câbles…,
les schémas des armoires, coffrets ou tableaux.
Tous les plans de détails ou d'atelier demandés par le bureau de contrôle ou Maître d’œuvre.
Pendant l'exécution des ouvrages :
L'entrepreneur effectuera toutes les démarches nécessaires concernant ses installations auprès des différents
services extérieurs pour que l'installation puisse être en fonctionnement à l'ouverture des locaux et notamment :
• l’autocontrôle de ses installations, fournitures et interface avec les autres corps d’état,
• les services techniques du distributeur d’énergie afin de coordonner et réaliser ses travaux en
fonction : l’emplacement du point de livraison exacte, les limites de prestations….,
• les services de France Télécom pour l’alimentation du bâtiment,
• obtenir du Bureau de contrôle l’accord sur les documents transmis.
En fin de travaux :
Obligatoirement avant la réception des ouvrages, l'Entrepreneur devra remettre au Maître d'oeuvre, le dossier
des ouvrages exécutés (D.O.E.) qui comprendra :
• les plans et les schémas d'exécution "certifiés conformes" à la réalisation de ses installations en 4
exemplaires (les plans, schémas seront fournis sur support informatique au format DXF ou DWG pour
les documents graphiques et sous format PDF pour les notes et notices techniques),
• les consignes détaillées de fonctionnement des installations permettant à toute personne chargée de
la maintenance d'intervenir sans erreur, ni omission,
• les garanties sur les différents matériels mis en œuvre,
• une liste des pièces de rechange de première nécessité à approvisionner par le Maître d'ouvrage,
ainsi que la nomenclature de tous les matériels mis en œuvre (marques et caractéristiques des
appareils, notices de fonctionnement et d'entretien).
1.9 CONDITIONS DE REALISATION
Les ouvrages seront réalisés suivant les prescriptions des textes réglementaires et normatifs en vigueur avec
tout le soin requis pour obtenir la meilleure qualité d'exécution.
Les traversées et encastrements localisés éventuellement pratiqués dans les murs et cloisons seront effectués
avec des outils mécaniques et avec un minimum de dégradations. Les rebouchages et raccords de finition
seront réalisés avec les matériaux convenables et particulièrement soignés.
Les incorporations de canalisations et de boîtiers dans les cloisons légères seront effectuées suivant les règles
propres à ce type de réalisation, en mettant l'accent sur la précision de la disposition des conduits pour ne pas
diminuer les caractéristiques mécaniques et acoustiques des éléments de paroi.
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Les ouvrages apparents seront disposés en respectant les règles d'alignement et de parallélisme, assurant le
meilleur aspect et, dans certains cas délicats, après consultation éventuelle du Maître d'Ouvrage, ils seront
fixés solidement par tamponnage, agrafages, scellement, etc., adaptés au matériau support.
Les gravois, emballages et chutes de matériaux seront évacués chaque soir par l'entreprise après nettoyage
des lieux où elle aura pratiqué des interventions.
1.10 ESSAIS – RECEPTION – CONTROLE TECHNIQUE
Essais et réception :
Lorsque les installations seront terminées, que les réglages et la mise sous tension auront été effectués par
l'Entrepreneur, il sera procédé aux essais et vérifications de conformité avec les prestations de son marché.
Si des discordances étaient constatées, les représentants du maître d’œuvre pourraient demander le
remplacement du ou des matériaux qui ne répondraient pas à leur objet. Seules, les modifications demandées
par écrit seront prises en considération.
De plus, les dégradations causées aux autres corps d'état seront réparées par ceux-ci aux frais de l'entreprise.
Pour ces essais, l'entreprise sera tenue de se faire représenter par un personnel compétent et de fournir tous
les appareils nécessaires aux essais. Si ces conditions n'étaient pas remplies, l'organisme chargé d'effectuer la
réception sera autorisé à facturer les déplacements complémentaires.
Si la réception ne peut être prononcée qu'avec des réserves, les installations pourront toutefois être mises en
service sous la responsabilité de l'Entrepreneur.
Contrôle technique :
En fin de travaux, l'entreprise devra faire vérifier ses travaux par un organisme agréé et obtenir de celui-ci un
rapport détaillé qui sera transmis au bureau de contrôle avec l’attestation de conformité établie et à la charge du
présent lot.
Lors de la vérification, l’Entrepreneur d’électricité devra assister le contrôleur pendant toute la durée des
vérifications et remédier immédiatement aux anomalies détectées. Les frais du bureau de contrôle seront à la
charge de l’entreprise.
L'Entreprise devra également satisfaire à toutes les obligations du COPREC et fournir tous les documents
nécessaires et effectuer les essais et vérifications figurant au document n°1 publié dans le Moniteur des
Travaux Publics et du Bâtiment du 17.12.1982.
Les résultats de ces essais et vérifications devront être consignés dans des procès verbaux suivant modèles
figurant au document n°2, paru dans la même publica tion.
En conséquence, l’entreprise remettra pour contrôle, vérification et approbation un dossier technique
comprenant :
• l’ensemble des calculs d’exécution : plans, schémas, notes de calcul,
• la liste des différents appareils électriques en précisant la marque, le type, référence du constructeur
avec indication du degré I.P. correspondant, et des locaux où ils sont installés,
• la liste des différents types de câbles avec leur mode de pose, les locaux ou zone où ils sont installés,
• un schéma de câblage électrique avec indications des protections.
1.11 GARANTIES
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L’installation sera garantie d’après les spécifications du C.C.A.P. de l’opération.
L'Entrepreneur sera tenu d'entretenir son installation en état de fonctionnement pendant la période comprise
entre l'achèvement des travaux et la mise en service des installations et la réception définitive des travaux.
Cette garantie portera sur :
Le fonctionnement et du matériel.
La garantie du matériel installé portera sur tous les défauts visibles ou non des matériaux employés, contre tous
les vices de construction et de conception de l’ensemble des installations.
En tout état de cause, le délai de garantie sera prolongé pour les organes et pour ceux qui en dépendent d'une
durée qui sera déterminée conformément à la loi sur les ouvrages de construction. Cette période sera de deux
ans.
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CHAPITRE 2
BASES DES CALCULS - ELECTRICITE
2.1 SECTIONS DES CONDUCTEURS
Elles seront choisies en fonction :
Du courant maximal ou courant d’emploi susceptible de les parcourir.
De la chute de tension.
A l’exception des installations à courant faible, en aucun cas la section des conducteurs ne sera inférieure à :
• 1,5 mm² pour l’éclairage,
• 2,5 mm² pour les prises de courant 10/16 A et les alimentations en attente,
• 8 mm² pour les prises 20 A.
Courant d’emploi IB :
Il est égal à la somme des courants absorbés, non par tous les appareils installés, mais seulement par ceux
susceptibles de fonctionner simultanément.
Le courant d’emploi d’un circuit ne doit pas être supérieur au courant assigné ou de réglage du dispositif de
protection contre les surintensités, disjoncteur, pour la section correspondante des conducteurs du circuit.
Le courant d’emploi est calculé d’après les formules suivantes :
• en monophasé : IB (ampères) = P (watts) / U0 (volts) x cos ϕ.
• en triphasé
: IB (ampères) = P (watts) / U1 (volts) x √3  ϕ.
Circuit Force motrice (triphasé) :
La formule devient : In = Pu (watts) / U1 √3 r cos ϕ.
Lorsque plusieurs moteurs fonctionnent simultanément, le courant d’emploi est calculé à partir du courant
nominal du moteur le plus puissant en prenant en compte son courant de démarrage.
Pour les autres moteurs IB = In
Echauffement :
Compte tenu de la température du milieu dans lequel sont placés les canalisations et appareillages, les
intensités admissibles compatibles avec l’échauffement seront celles indiquées par la norme C 15.100 et les
recommandations des constructeurs.
2.2 ÉQUILIBRAGE – CHUTE DE TENSION – PUISSANCE A SOUSCRIRE
Les phases seront équilibrées au tableau de protection général. Dans le cas contraire, la chute de tension
tiendra compte de ce déséquilibre.
La chute de tension sera calculée pour la phase la plus chargée en tenant compte du courant de démarrage
des moteurs.
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La chute de tension maximale à pleine charge entre le tableau général basse tension et le point le plus
défavorisé ne devra pas dépasser :
• 5 % pour les circuits Force Motrice.
• 3 % pour les circuits d'éclairage.
Le facteur de puissance moyen de l'installation sera à 0.80. Les appareils d'éclairage fluorescents seront donc
compensés localement.
L'installation doit être conçue pour avoir le degré de sélectivité le plus grand.
Puissance installée :
La puissance doit être exprimée en kVA.
•
•
•
•
•
pour l’éclairage à incandescence et le chauffage par résistance : cos ϕ = 1, d’où P = UI = S.
pour l’éclairage par lampe à décharge : S = P / cos ϕ,
pour les appareils à ballasts compensés et électroniques : cos ϕ > 0,95,
pour les appareils à ballasts non compensés 0,3 < cos ϕ < 0,5,
pour la force motrice S = P / cos ϕ > 0,8 (moteur utilisé à pleine puissance).
Facteur d’utilisation :
La détermination de la section des conducteurs sera élaborée en fonction des chutes de tension ci-dessus
précisées, des directives des tableaux de la norme C 15.100 et des coefficients d’utilisation ci-après :
• lumière et chauffage électrique :
◊ canalisation principale
◊ canalisation secondaire
K = 1,
K = 0,9.
• force et prises de courant :
◊ pour la Force, la valeur de la puissance qui sera communiquée par le titulaire du lot considéré,
◊ l’installation totale correspondante étant majorée de la valeur du 1/3 de l’intensité au démarrage du
moteur le plus puissant de cette installation :
pour les prises de courant 10/16 A : puissance unitaire 100 w – K = 0,6
pour les prises de courant Force : puissance unitaire 1000 w – K = 0,5
Facteur de simultanéité :
On tiendra compte du fonctionnement non simultané des matériels en appliquant aux différentes puissances
alimentées un coefficient.
A titre indicatif, on pourra utiliser les coefficients ci-dessous :
•
•
•
•
éclairage – Chauffage électrique – Conditionnement – Chauffe eau
appareil de cuisson
prises de courant
moteurs :
◊ le plus puissant
◊ le suivant
◊ les autres moteurs
1,00
0,70
0,10 + 0,9 / N
1,00
0,75
0,60
Des facteurs de simultanéité (0,7 à 0,8) peuvent être appliqués par niveau aux installations de force motrice,
dans la mesure où les moteurs ne sont plus susceptibles de fonctionner simultanément (en particulier dans les
ateliers de mécanique d’entretien).
Puissance totale appelée :
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Elle sera déterminée par local, puis par bâtiment, enfin pour tout l’établissement, en tenant compte des facteurs
d’utilisation et de simultanéité.
Puissance souscrite :
La puissance totale appelée sera répartie en postes horaires, de façon à permettre d’évaluer la puissance à
souscrire.
2.3 ÉCLAIRAGE
L'éclairage des locaux sera calculé pour obtenir les flux lumineux (Em) conformes aux recommandations de
l'A.F.E. et les normes promotelec et aux recommandations éducation national à savoir :
•
•
•
•
•
•
•
restaurant
sanitaires
salle de cours, évolution
dégagements
archives, réserves
locaux techniques
cuisine
300 Lux/m2
250
400
200
200
150
500
Les implantations et nombre de luminaires indiqués sont des minima, ils devront être contrôlés par le présent lot
avant la remise de son offre.
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CHAPITRE 3
REGLEMENTS – NORMES - DTU
Toutes les installations seront réalisées conformément à la réglementation en vigueur, dans son édition la plus
récente, à toutes les normes, D.T.U. (cahier des charges et règles de calcul), avis techniques, essais,
homologations, agréments des matériaux et des matériels formulés par les organismes officiels comme le
Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (C.S.T.B.), le Service Technique des Assurances Constructions
(S.T.A.C.), etc.
Ne seront donc pas considérés comme travaux supplémentaires, les modifications imposées par les
organismes de contrôle et notamment en cas d'application des règlements de sécurité, normes, textes de lois et
règles de l'art en vigueur un mois avant la remise de l'offre par l'entreprise.
D'une manière générale, les indications données dans le présent devis ne portent que sur les points non
précisés par les règlements, sur les bases à admettre pour les calculs et en aucun cas sur les règlements que
l'entrepreneur déclare, par le fait même qu'il soumissionne, parfaitement connaître.
Les projets remis seront étudiés en toute connaissance de cause et seront au minimum conformes aux textes
réglementaires référencés ci-après.
Si une modification à une norme ou à un règlement intervenait après la date d'établissement de l'étude d'appel
d'offres (un mois avant la date de cet appel d'offres), il appartiendrait à l'adjudicataire, sous sa seule
responsabilité, d'en informer le Maître d’œuvre par écrit, (ou sur le compte rendu de chantier) en indiquant les
conséquences techniques et financières résultant de cette modification.
Le Maître d’œuvre soumettra la proposition, avec éventuellement l'avis motivé du bureau de contrôle, au Maître
d'Ouvrage, qui prendra la décision nécessaire. Si cette décision était négative, l'installateur devra demander la
notification par écrit.
Documents Techniques Unifiés (D.T.U.) compris tous additifs et mises à jour.
Règles de l'Art de la profession.
Les Normes Françaises AFNOR, UTE, NFC 15.100 et annexes.
Les prescriptions techniques du C.S.T.B. notamment les Avis Techniques.
Les prescriptions des constructeurs.
Code de la construction et de l'habitation, articles R 123.1 à R 123.55.
Arrêté du 25 Juin 1980 modifié par divers arrêtés portant approbation des dispositions complétant et
modifiant le règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les E.R.P.
Les travaux soumis à la réglementation en vigueur en ce qui concerne les conditions de salubrité,
protection de l'environnement, des nuisances de chantier, servitudes d'accès.
Les spécifications techniques imposées par le secteur local de distribution d'énergie électrique.
Label de qualité (conformité aux normes NF EDF).
Cahiers de la prévention.
Décret du 4 août 1980 : handicapés physiques.
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L’arrêté du 02/04/91 pour les locaux techniques non accessibles au public.
Décret du 14 Novembre 1988 : installations électriques.
Le décret 65/48 du 08/01/65 portant règlement d’administration public concernant la sécurité des
travailleurs et notamment dans le bâtiment et les travaux publics.
C.C.T.G. (décret n° 81.1075 du 4/12/81).
Les exigences de la qualification d'entreprise AP-MIS.
Les règles imposées par les services de distribution d’énergie, FRANCE TELECOM, ses services
techniques locaux.
Les recommandations de l’Association Française de l’Eclairage.
Les recommandations PROMOTELEC.
Le décret 72/1120 du 14/12/1972 relatif aux contrôles et à l’attestation de conformité des installations
électriques aux normes de sécurité.
Le Code du travail :
• articles L 231.1 à L 231.51 : hygiène et sécurité,
• articles R 233.14 à R 233.48 : prévention incendie.
Les normes AFE
La référence au recommandation éducation national.
Toute l'installation de sécurité sera réalisée suivant les règles de l'art. Il devra y avoir référence à la norme NFS
61 932 sur la qualité et la résistance au feu des câbles requis nécessaires au fonctionnement du système de
sécurité incendie. Les protections électriques et mise à la terre devront être respectées, les connexions aux
bornes des détecteurs et autres équipements périphériques seront exécutés proprement et solidement.
Les appareillages mis en œuvre devront répondre aux textes et normes de construction les concernant et aux
règles de l'U.T.E. et porter l'estampille USE.
Les câbles seront agréés UTE ou CEI/EN, tous produits non répertoriés seront refusés.
Les réservations (en dalles, poutres), scellements, incorporations diverses sont à la charge du titulaire du
présent lot, y compris tous les percements, rebouchages et calfeutrements coupe-feu, y compris enduits de
préparation pour reprises de peinture.
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CHAPITRE 4
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PRESCRIPTIONS TECHNIQUES – COURANTS FORTS
Les prescriptions techniques énumérées ci-dessous sont une synthèse non limitative de la norme NF C 15100. L’ensemble des travaux et prestations à réaliser devra être conforme à cette norme et aux règlements en
vigueur.
4.1 CANALISATIONS
Le choix des canalisations sera effectué en tenant compte :
Du mode de pose et du montage en respect des tableaux 52 A et B de la NF C 15-100.
Des influences externes si elles sont posées en apparent et suivant les tableaux 4a à 4d de la NF C 15100.
Types de canalisations :
Une canalisation sera réalisée principalement :
• en conducteurs isolés H07V posés sous conduits, moulures, plinthes, chambranles, goulottes,
• en câbles (conducteurs isolés assemblés par construction sous une même gaine afin d’assurer leur
protection mécanique) posés en colliers, chemins de câbles, tablettes, corbeaux, en goulottes, en
gouttières ou enterrés,
• en conducteurs blindés à isolant minéral,
• en éléments préfabriqués.
Localisation
: Règle générale.
Câbles usuels :
• Rigides :
◊ U 1000 R2V,
◊ FR-N 05 W-U ou R (U 500 VGV),
◊ U 1000 RVFV
• Souples :
◊ 07 RN-F (U 1000 SC12N)
◊ A 05 W-F (U 500 SV0V ou SV1V).
Localisation
Couleurs des conducteurs :
Les conducteurs doivent être repérés, les couleurs suivantes doivent être utilisées.
• Conducteurs isolés sous conduit, moulure ou goulotte :
◊ protection (terre)
: bicolore vert-et-jaune
◊ neutre
: bleu clair
◊ phases
: toutes couleurs sauf vert, jaune, vert-et-jaune et bleu clair.
• Câbles de section < ou = à 25 mm² :
◊ monophasé
◊ triphasé (3 Ph)
◊ triphasé (3 Ph+N)
: phase noir
: phase noir et brun
: 2 phases noir + 1 phase brun.
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• Câbles de section > à 25 mm²
Ces câbles n’existent pas en 5 conducteurs.
Si le conducteur neutre fait partie de la canalisation, il doit être bleu clair ou repéré.
Si le conducteur de protection est incorporé à la canalisation, il doit être vert-et-jaune ou repéré.
Un conducteur vert-et-jaune ne doit jamais être utilisé pour une autre fonction que celle de conducteur de
protection, même bagué aux extrémités. Il ne doit comporter aucun autre repére.
Localisation
4.2 POSE DES CANALISATIONS
Les canalisations peuvent être :
Apparentes : câbles fixés aux parois ou reposant sur des chemins de câbles, conducteurs sous conduits
ou profilés, canalisations préfabriquées.
Encastrées dans les parois : conducteurs ou câbles sous conduits.
Posées dans les vides de construction : conducteurs sous conduits, câbles.
Enterrées : câble avec ou sans fourreau.
Les câbles seront posés conformément à la norme NF C 15-100 et en particulier :
Les presse-étoupe, obturateurs, passe-fils assureront l’étanchéité sur une gaine et non sur les isolants
des conducteurs.
Les armatures métalliques seront soigneusement coupées avant l’entrée dans un presse-étoupe et
arrêtées par un dispositif : colliers, bride, cerclage ou soudure et permettant d’assurer la mise à la terre
de l’armature.
Les câbles peuvent être passés dans des conduits à condition de les tirer et les retirer facilement.
Les conduits MRL ou CSA pourront être utilisés pour la protection mécanique des câbles. Si ces câbles
ne comportent pas de gaine ou revêtement métallique, ils sont considérés de classe II et les conduits
métalliques n’ont pas à être mis à la terre dans ce cas.
Les câbles sont admis dans les profilés plastiques.
Localisation
Canalisations posées en apparent :
Les canalisations doivent être choisies en fonction des influences externes du local ou de l’emplacement où
elles sont installées selon la norme NF C 15-100.
Dans les locaux à influences externes ordinaires sont admis les conducteurs sous conduits non propagateurs
de la flamme, moulures, goulottes. La protection devra être assurée de façon continue et plus particulièrement
aux extrémités des canalisations et aux endroits de pénétration dans les appareils et appareillages.
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Dans un local présentant un risque d’incendie (risque BE2) seules sont admises les canalisations nécessaires à
l’éclairage dudit local et au fonctionnement des appareils qui y sont installés.
Localisation
: Locaux techniques.
Canalisations posées dans les vides de construction :
Par vide de construction, on entend tout espace existant dans les parois des bâtiments (murs, cloisons,
planchers, plafond, etc.) accessible seulement à certains emplacements.
Les canalisations doivent être constituées :
• par des conducteurs isolés (H 07 V-U, R ou K) protégés par un conduit,
• par des câbles (série FR-N 05 W-U, R, A 05W-F, U 1000 R2V) posés sans conduit ou sous-conduit.
Les conduits doivent pouvoir pénétrer librement dans le vide de construction.
Les conduits doivent être étanches et non-propagateurs de la flamme.
Les huisseries métalliques et les faux-plafonds non démontables sont considérés comme des vides de
construction.
Localisation
: Ensemble des locaux, sauf locaux techniques et distributions en
comble ou vide sanitaire
Traversées :
Dans les traversées de parois, les câbles nécessitent une protection mécanique complémentaire par fourreau.
Les traversées aboutissant à des locaux à risques d’incendie ou d’explosion doivent être obturées du côté de
ces locaux de façon à restituer le degré coupe-feu de la cloison traversée.
Toutes doivent être prises pour que les traversées faisant communiquer des locaux d’état hygrométrique
différent ne soient pas à l’origine de migrations d’eau entre ces locaux. Il en est de même pour les traversées
aboutissant à l’extérieur.
Localisation
Voisinage avec des canalisations non électriques :
En règle générale les canalisations apparentes seront espacées d’une distance d’environ 3 cm.
On évitera de placer les canalisations :
• au-dessous de canalisations pouvant provoquer des condensations ou transportant des produits
susceptibles de les détériorer,
• à une distance suffisante d’une température nuisible pour leurs isolant,
• ne pas emprunter les mêmes gaines que les canalisations non-électriques sous certaines conditions.
Localisation
Faux plafonds et plénums techniques :
Lorsque les plafonds suspendus des faux plafonds sont constitués de panneaux démontables, les canalisations
électriques doivent être fixées sur la partie non démontable du plafond.
Les canalisations électriques doivent être choisies en fonction des caractéristiques du local considéré.
Les faux plafonds non démontables sont considérés comme des vides de construction.
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Localisation
Canalisations encastrées :
Les conducteurs ou câbles seront posés obligatoirement sous conduit.
L’encastrement pourra être réalisé avant, pendant ou après la construction.
Il est interdit d’exécuter des encastrements dans les parois des conduits de fumée ou dans les cloisons de
doublage de ces parois.
Toute canalisation encastrée doit être terminée par une boîte de connexion.
Localisation
Fixation :
Les moyens de fixation seront choisis et disposés de manière à ne pas pouvoir endommager les câbles.
Dans les parcours verticaux, il y a lieu de s’assurer que les efforts de traction exercés par le poids des câbles
ne risquent de porter préjudice aux âmes conductrices.
Sur les chemins de câbles ou tablettes, les câbles doivent être disposés en une seule couche.
Le rayon de courbure des câbles ne doit pas être < à :
• FR-N 05 W-U ou R 1000 R2V
• U 1000 RVFV
: 6 fois le ø extérieur,
: 8 fois le ø extérieur.
La distance entre deux points de fixation successifs ne dépasse pas en parcours horizontal :
• FR-N 05 W-U ou R 1000 R2V
• U 1000 RVFV
: 0,40 m,
: 0,75 m.
En parcours vertical, ces distances seront augmentées jusqu’à 1 m.
Les câbles seront fixés de part et d’autres de tout changement de direction et à proximité immédiate des
entrées dans les appareils.
Localisation
Raccordement des câbles :
Il devra être effectué dans des boîtes ou sur des bornes des appareils prévus à cet effet.
Ces boîtes doivent assurer la protection contre les contacts directs (degré au moins égal à IP 2x) et les
influences externes conformément à la NF C 15-100.
Dans les locaux humides les boîtes seront rendues étanches : coiffes d’extrémité, presse-étoupe…
La liaison d’une canalisation fixe à un appareil fixe ou mobile installé à poste fixe soumis à vibrations, sera
réalisée par un câble souple (H ou A 07 RN-F) ou des conducteurs souples (H 07 V-K) sous conduit, ICA, ICTA
gris et CSA.
Localisation
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4.3 CONDUITS
Modes et conditions de pose :
Les conduits peuvent être posés :
• en apparent, dans les galeries, gaines, caniveaux,
• en encastré,
• dans les vides de construction.
Ils pourra être utilisé des conducteurs isolés seront du type : H 07 V-U, R ou K (U500V, D ou SV) ou des câbles
unipolaires ou multipolaires.
Localisation
Passages des conducteurs :
On devra pouvoir tirer et retirer facilement les conducteurs ou câbles après la pose des conduits et de leurs
accessoires.
Cette règle ne s’applique pas à de courtes longueurs en parcours rectiligne (fourreau et traversée de parois).
Localisation
Raccordement des conduits :
La protection des conducteurs doit être assurée mécaniquement sans discontinuité.
Le raccordement des conduits entre eux devra s’effectuer à l’aide d’accessoires de raccordement. Dans le cas
où les conduits sont encastrés, les accessoires devront assurer l’étanchéité pendant le temps de prise du
rebouchage.
Localisation
Rayon de courbure :
Les rayons de courbure minimaux des conduits de ø extérieur (d) inférieur à 40 mm sont donnés ci-dessous :
• MRL, ICTL
• IRL, ICTA, ICA
: 6d
: 3d
Localisation
Conduits posés en apparent :
Ils devront être choisis en fonction des influences externes pouvant se présenter ;
Les conduits ICTL et ICTA de couleur orange sont interdits.
Les conduits seront fixés à l’aide de pattes, colliers ou étriers de fixation.
Les distances de fixation sont recommandées :
• IRL, MRL
• ICA, ICTL, ICTA
• CSA
Localisation
: 0,80 m
: 0,60 m
: 0,33 m
Conduits encastrés :
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Les conduits peuvent, suivant le cas, être mis en place :
• avant la construction, par exemple, dans les dalles ou les chapes, où seuls sont admis les conduits
ICTL, ICTA.
• après construction, dans des saignées réalisées à la machine à rainurer.
L’encastrement par saignées est interdit dans les planchers.
Les conduits ICTL et ICTA, de couleur orange, doivent être complètement enrobés dans des matériaux
incombustibles.
Les couvercles des boîtes de raccordement doivent rester accessibles et démontables même après
encastrement.
Localisation
Conduits dans les vides de construction et dans les matériaux d’isolation :
Les conduits seront non propagateurs de flamme (P) et étanches (E), ce qui interdit les con,duits ICTL et ICTA
de couleur orange.
Localisation
Goulottes :
Elles doivent posséder les degrés de protection IP correspondant au local ou emplacement ou elles sont
installées.
Les conditions de remplissage des goulottes doivent tenir compte des dimensions des conducteurs et, s’il y a
lieu des connexions. Il est recommandé de se limiter à 3 circuits par alvéole.
Les goulottes métalliques contenant des conducteurs H 07 V constituent des masses et devront être mises à la
terre.
Les conducteurs H 07 V, les câbles sont admis dans les goulottes à parois pleines, ainsi que les dispositifs de
connexion.
Dans les goulottes perforées seuls les câbles y seront admis.
Localisation
4.4 CHEMINS DE CABLES
Généralités :
Toutes les canalisations primaires et secondaires seront passées et posées sur chemins de câbles.
Un chemin de câbles sera utilisé dès que plus de 3 câbles emprunteront un même trajet.
Ceux-ci auront pour origine le TGBT et les tableaux divisionnaires pour les courants forts et le répartiteur
général pour les courants faibles.
Ils chemineront en vide sanitaire, en faux plafond des circulations, bureaux et locaux divers.
La séparation physique des chemins de câbles courants forts et courants faibles est obligatoire pour permettre
de garantir le transport des données et des informations ; celles-ci étant particulièrement sollicitées et
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perturbées par les interférences provoquées par les équipements techniques courants forts (éclairage,
extracteur de VMC, aérothermes…). Ceux-ci seront séparés au minimum de 300 mm en règle générale.
Les chemins de câbles courants forts et faibles seront dimensionnés de façon à avoir une réserve de 30% et les
câbles seront posés en nappe.
Sur tous les chemins de câbles courants forts, il sera déroulé un câble cuivre nu de 25 mm², le conducteur sera
fixé sur l’aile du chemin de câbles par une borne laiton tous les 10 à 15 m.
Une bretelle en cuivre nu de même section sera réalisée entre le chemin de câbles courants forts et faibles tous
les 10 à 15 m.
Localisation
: En comble.
: En faux plafond ou plénums techniques des locaux.
: Dans les locaux techniques.
Nature :
Les chemins de câbles seront constitués de fils d’acier soudés à bords ondulé et soudure en « T », marque
CABOFIL ou techniquement équivalent.
• hauteur d’aile
• fléche admissible
: 48 mm
: 1 cm maxi.
Supportage :
Tous les accessoires nécessaires à la mise en œuvre des chemins de câbles (éclisses, pendards, équerres de
fixation, consoles, étriers, vis, etc…) devront obligatoirement avoir la même protection anti-corrossion que les
chemins de câbles sur lesquels ils seront installés.
Localisation
Mise en oeuvre :
La réalisation des assemblages droits, des dérivations, des coudes à 90°, des coudes à grand rayon, se fera en
respectant les notices de mise en œuvre du fabricant.
Pour les parcours verticaux, il sera prévu des couvercles de protection.
La mise en place des câbles dans les chemins de câbles se fera par torons maintenus aux fils d’acier des CdC
au moyen de colliers en polyamide à tête tangentielle de marque COLSON ou techniquement équivalent.
Les chemins de câbles seront étiquetés. Il sera prévu un étiquetage tous les 10 m. dans les circulations
horizontales, à chaque changement de direction, à chaque traversée de parois et à chaque traversée de dalle
pour les cheminements verticaux.
Localisation
4.5 PETIT APPAREILLAGE
Définition de l’appareillage :
Type encastré décoratif modèle Mosaïc 45 de marque LEGRAND ou équivalent.
Type en saillie étanche de type Plexo 55 S de chez LEGRAND ou équivalent.
Les boîtes d’encastrement seront auto extinguible 850°, à fixations par étriers dans les cloisons creu ses.
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La fixation de l’appareillage se fera par vis.
Dans les cloisons d’épaisseur inférieure ou égale à 10 cm, il sera interdit de positionner les boîtiers
d’encastrement dos à dos afin d’éviter les ponts phoniques. Ces derniers seront solidement scellés à la cloison.
Localisation
: Voir tableau recap
Commande éclairage :
La commande des allumages s’effectuera soit :
• par interrupteur en simple allumage ou va et vient en règle générale dans les petits locaux.
• par bouton poussoir, dans les locaux ayant un accès sur des circulations différentes.
• par détecteur de mouvement pour : les dégagements, sanitaires éléves…
Les boutons poussoirs seront tous équipés de voyant.
Les appareillages se trouveront à une hauteur de 0,90 m et 1,35 m dans les cuisines.
Localisation
Prises de courant :
Les prises de courant seront de même nature que les commandes suivant le local.
Les prises de courant seront implantées suivant les indications ci-dessous :
• au-dessus de la plinthe à 0,40 m du sol fini dans la majorité des cas,
• au-dessus des plans de travail à 1,20 m ou à 0,80 m du sol suivant le cas,
• sur la goulotte en plinthe dans le bureau et les salles de cours.
Toutes les prises seront à éclipses.
Chaque circuit alimentera de 6 à 8 prises de courant 16A bipolaire + terre.
La subdivision de 30 mA sera demandée pour toutes les prises de courant alimentant les appareils mobiles ou
portatifs.
Les prises de courant dédiées à l’informatique seront munies de détrompteur.
Localisation
Arrêt d’urgence Force :
Il sera prévu des dispositifs d’arrêt d’urgence à poignée à accrochage mécanique et déverrouillage par clé
conformément aux normes.
Les arrêts d’urgence seront positionnés comme ci dessous
• dans la zone cuisine (nbr : 2).
Ils seront munis d’une étiquette « arrêt d’urgence électrique ».
L’arrêt d’urgence n’aura aucune action sur les circuits éclairage.
Localisation
: En zone de cuisine.
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Coupure d’urgence électrique :
Les tableaux divisionnaires ainsi que le TGBT disposeront d’une coupure d’urgence générale hors de portée du
public.
Cette coupure agira sur l’interrupteur général du tableau correspondant assurant une coupure omnipolaire de
l’ensemble des installations électriques desservies par le tableau correspondant.
Ces coupures d’urgence seront à double signalisation et à émission de courant. Ils seront également muni
d’une étiquette de signalisation.
Localisation
: Près de l’accès principal du bâtiment (hall d’entrée).
4.6 PRISE ET RESEAU DE TERRE
Prise de terre :
La prise de terre doit être constituée par une électrode métallique non corrodable en bon contact avec le sol.
Cette électrode peut être :
• un câble enterré à moins un mètre de profondeur, cuivre nu de 25 mm² de section au moins en en
acier galvanisé d’au moins 95 mm² de section.
• un feuillard en acier d’au moins 100 mm² de section et 3 mm d’épaisseur disposé de préférence sur
chant, ou un câble en acier d’au moins 95 mm² de section, noyé dans le béton de propreté des
fondations du bâtiment, enrobé sur ses côtés d’une épaisseur de béton d’au moins 3 cm.
• un ou plusieurs piquets enfoncés verticalement au-dessous du niveau permanent d’humidité, à une
profondeur minimale de 2 m.
Ces piquets peuvent être en acier galvanisé ø 25 mm minimum ou en barres en cuivre d’au moins ø 15 mm.
La résistance de la prise de terre sera fonction de ses dimensions, de sa forme et de la résistivité du terrain.
On devra établir les prises de terre de préférence dans les fonds de fouille des bâtiments, dans les caves et, de
toute façon, en des endroits abrités de la sécheresse et du gel.
Les prises de terre seront éloignées des dépôts ou infiltration pouvant les corroder (fumier, purin, produits
chimiques…).
Elles ne doivent jamais être constituées de pièces métalliques plongées dans l’eau, ni établies dans les pièces
d’eau, des rivières ou puits.
Lorsque le bâtiment est construit, on peut profiter des raccordements divers (eau, gaz, électricité) pour poser
dans la même tranchée le câble de terre.
Localisation
Liaisons de la prise de terre aux masses :
La connexion à la prise de terre devra être sûre, durable et protégée contre la corrosion.
Si la connexion met en contact deux métaux de nature différente et qu’elle n’est pas soudée, elle doit être
réalisée hors sol. Il est souhaitable dans ce cas d’installer un regard de visite et d’envelopper la connexion d’un
manchon assurant l’étanchéité.
Les conducteurs de protection (terre) doivent recevoir une protection mécanique dans la traversée de
planchers, parois, etc…, et en tout endroit où il y a un risque particulier ;
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• liaison appelée « conducteur de terre » entre prise de terre et borne ou barrette de mesure : 16 mm²
en cuivre isolé, 25 mm² en cuivre nu.
• liaison appelée « conducteur principal de protection » entre bornier ou barrette de mesure et le
tableau de répartition.
Toutefois, lorsque cette alimentation est en conducteurs de 25 ou 35 mm² en cuivre, la section du
conducteur principal de protection peut être limitée à 16 mm².
• liaison appelée « conducteur de protection » du tableau de répartition aux appareils d’utilisation et aux
prises de courants : même section que les conducteurs actifs correspondants.
Localisation
Liaison équipotentielle principale :
La liaison équipotentielle principale doit relier à la borne principale de terre les éléments conducteurs suivants :
• les canalisations d’alimentation à l’intérieur du bâtiment, par exemple eau, gaz…,
• les canalisations métalliques de chauffage central,
• les éléments métalliques accessibles de la construction.
Lorsque de tels éléments conducteurs proviennent de l’extérieur du bâtiment, ils doivent être reliés aussi près
que possible de leur pénétration dans le bâtiment.
La section minimale doit être au moins égale à la moitié de la plus grande section des conducteurs de
protection de l’installation, avec un minimum de 6 mm² en cuivre et un maximum de 25 mm² cuivre.
Localisation
4.7 TABLEAU GENERAL BASSE TENSION
Généralités :
L'ensemble sera conçu pour recevoir des matériels agréés de même marque. Le tableau sera conforme à la
norme NF EN 60-439-1 Forme 2a.
Caractéristiques du tableau :
De marque LEGRAND ou équivalent.
Il sera dimensionné afin de recevoir les différents départs principaux du bâtiment.
Il sera équipé de portes avec serrure.
Les manoeuvres de sectionnement s'effectueront par l'intermédiaire d'organes de commandes situés en face
avant.
Des plastrons prédécoupés seront mis en place. Ils interdiront tous contacts fortuits avec les éléments
conducteurs sous tension et assureront une bonne présentation de l'ensemble.
Le jeu de barres sera réalisé en cuivre ou en aluminium et calculé pour supporter sans dommages et sans
déformations le courant de court-circuit. Les écartements des barres et supports seront calculés pour satisfaire
à une bonne tenu dans une atmosphère légèrement humide.
Les dérivations seront impérativement exécutées par cosses avec plage de raccordement de même nature que
le jeu de barres et fixées par vis.
Les ISLETTES
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Afin de pallier d'éventuelles modifications ultérieures, les enveloppes du TGBT permettront une extension
minimum de 30% des équipements en un seul bloc et une seule zone accessible.
A l'intérieur des tableaux, les équipements seront soigneusement repérés, chaque appareil sera identifié par
une étiquette gravée sur plastique rigide, à l'exclusion des systèmes autocollants type "DYMO" ou équivalent.
Ces étiquettes ne seront fixées ni sur l'appareil lui-même, ni sur les couvercles de goulot tes mais sur des
supports fixes ne permettant aucune inversion possible lors d'interventions.
Les distributions principales se feront obligatoirement par l'intermédiaire de barres préfabriquées.
L'identification des circuits principaux sera réalisée par les couleurs suivantes :
•
•
•
•
phase 1 : brun,
phase 2 : noir,
phase 3 : orange,
neutre: bleu clair.
Les repérages de filerie seront réalisés de la manière suivante :
• distribution 220 V onduleur de couleur orange,
• télécommande et signalisation 220 V de couleur noire,
• 24 V de couleur rouge et bleu.
La totalité de la filerie sera équipée à chaque extrémité de repères imperdables type WEIDMULLER PHOENIXCONTACT ou équivalent.
L'ensemble des câbles sera repéré par étiquettes à colliers de marque CRITCHLEY ou équivalent.
Tout le câblage y compris celui des auxiliaires sera soigné et sera installé sous goulotte PVC.
Le câblage puissance sera réalisé au moyen de barres cuivre, gainées aux couleurs conventionnelles au
moyen de gaines plastiques thermorétractibles.
Le câblage fil fin (inférieur ou égal à 10 mm²) réalisé en fils et câbles H07VK, disposé sous goulotte plastique
PVC et aboutissant à un bornier de raccordement.
La double coloration vert-jaune sera exclusivement réservée aux circuits de protection.
Entre deux connexions, aucune épissure ni soudure ne sera admise sur les câbles qu'ils appartiennent à des
circuits principaux, auxiliaires ou de protection.
Toutes les extrémités de conducteurs seront munies de cosses serties à la pince.
Les plages de raccordement seront dimensionnées en fonction de l'intensité maximale admissible et traitées
pour recevoir tout type de câbles agréés.
Avant de passer à l'exécution de celui-ci, l'entreprise adjudicataire devra présenter au Maître d'ouvrage, au
bureau de contrôle et au BET, pour approbation ses plans de tableaux avec la disposition du matériel et toutes
les notes de calculs s'y référant.
Les protections principales seront réalisées à l'aide de disjoncteurs tétrapolaires différentiels de marque
MERLIN GERIN ou équivalent. Conformément aux dispositions citées plus haut.
Une sélectivité ampèremétrique devra être assurée entre les différents niveaux de protection.
Les ISLETTES
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La sélectivité des protections différentielles sera chronométrique et réalisée en partant de l'aval (tableaux
divisionnaires ou spécialisés) vers l'amont (TGBT).
• au premier appareil : instantané (ouverture totale en 50 ms) de 30 mA pour les circuits spécialisés et
de 300 mA pour les autres circuits.
• au deuxième appareil : retardé à 50 ms (ouverture totale en 400 ms) de 300 mA pour les circuits
spécialisés et de 1000 mA pour les autres circuits.
• au troisième appareil : retardé à 400 ms d'intensité de défaut égale à 2 fois celle de l'appareil
précédent.
Un schéma représentant le matériel mis en place, avec légende correspondant à l’étiquetage des appareils,
sera mis en place dans une pochette plastifiée fixée à l’intérieur de l’armoire.
Localisation
: Local rangement.
4.8 ARMOIRES DIVISIONNAIRES
Généralités :
En aval des canalisations principales, il sera installé des ensembles pré montés regroupant tous les organes de
commande et de protection des circuits secondaires par zone géographique.
L'ensemble sera conçu pour recevoir des matériels agréés de même marque et pour le projet de LEGRAND ou
équivalent.
Caractéristiques des tableaux :
Ces armoires divisionnaires du type à usage fonctionnel de chez LEGRAND ou équivalent approuvé seront
réalisées par assemblage d'éléments préfabriqués.
Elles seront en tôle électrozinguée, pliée, nervurée, excellente résistance à la corrosion et aux rayures, avec
fond soudé, cadres latéraux, toit et porte, avec indice de protection adapté aux conditions du local
d'implantation.
L'appareillage, les organes de protections et de commande seront fixés sur platine en U ou rail DIN, formant
châssis. Des caches composés de plastrons préfabriqués, de présentation soignée, rendront inaccessibles,
sauf intervention volontaire, les contacts directs avec les éléments conducteurs.
Dans tous les cas, les pénétrations seront étanches au minimum à la poussière et seront de présentation
soignée.
Dans les cas de plusieurs canalisations apparentes, de qualité différente (tubes ou câbles), il sera installé des
caches de même qualité et présentation que les armoires.
Les armoires équipées de portes fermeront à clé, dans tous les cas, il ne sera prévu qu'un seul type de clé.
Les manœuvres de sectionnement s'effectueront par l'intermédiaire d'organes de commandes situés sur la face
avant des armoires avec voyants de présence tension.
Dans tous les cas, les armoires seront surdimensionnées avec une réserve de place d'environ 30% pour
permettre des adjonctions de matériels en vue de modifications éventuelles du schéma. Cette réserve de place
sera effective en un seul bloc et sur une seule zone accessible.
En aucun cas, ces armoires seront usinées et montés sur le chantier.
La disposition du matériel à l'intérieur de ces ensembles devra être homogène entre les différentes armoires.
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Dans chaque armoire, en reprise du ou des câbles d'arrivée, il sera prévu un organe d'isolement.
NOTA : Les armoires divisionnaires alimentant des zones ou équipements secourus seront équipées d'un
normal/secours et seront alimentées depuis le groupe électrogène installé sur le site. En tête de cette armoire
sera prévu un inverseur de source automatique par disjoncteur de marque SCHNEIDER ou équivalent
approuvé.
• à l'intérieur :
◊ un interrupteur de coupure omnipolaire avec commande en façade,
◊ les disjoncteurs différentiels principaux à coupure protégeant tous les pôles actifs pour chaque
circuit d'éclairage, de prises de courant, de force, etc. . .
• équipement minimum :
◊
◊
◊
◊
◊
◊
◊
◊
◊
X départs pour les circuits lumière (300 mA instantané) (1 circuit public, 1 circuit non public),
X départs pour les circuits PC Normales (30 mA instantané) (1 circuit public, 1 circuit non public),
X par départ force divers (300 mA instantané),
pour chaque circuit terminal d'éclairage, de prises de courant, un disjoncteur unipolaire + neutre
protégeant tous les pôles actifs,
les télérupteurs de commande pour les éclairages,
les contacteurs de commande,
les disjoncteurs des circuits de commande et de signalisation,
collecteur de terre,
les repérages de filerie seront réalisés de la manière suivante :
distribution 220 V onduleur de couleur orange,
télécommande et signalisation 220 V de couleur noir,
24 V de couleur rouge et bleu.
La totalité de la filerie sera équipée à chaque extrémité de repères imperdables type WEIDMULLER, PHOENIXCONTACT ou équivalent, l'ensemble des câbles sera repéré par étiquettes de marque CRITCHLEY ou
équivalent approuvé.
Répartiteur interne ou jeu de barres
• sur la façade de la porte :
◊ le voyant sous tension,
◊ la commande de l'interrupteur général (suivant localisation des armoires),
◊ les barrettes à bornes pour les circuits de commande, de signalisation. de puissance, éclairage,
prises de courant, force,
◊ le repérage et l'étiquetage gravé.
Il ne sera installé aucune protection par coupe-circuit et interrupteur différentiel.
Le matériel d'équipement des tableaux divisionnaires sera de marque LEGRAND, MERLIN GERIN,
TELEMECANIQUE, ou équivalent approuvé.
Spécifications particulières :
Chaque disjoncteur protègera au maximum 8 points d'éclairage ou de prises de courant 2 P+ T 10/16 A.
Les locaux pouvant recevoir plus de cinquante personnes auront au moins deux circuits d'éclairage sous
protection différentielle distincte, les commandes seront pour moitié locale, J'autre moitié étant centralisée par
commande à clé ou situé en local non accessible au public. Cette subdivision limitera l'effet des perturbations
ou dérangements affectant l'une ou l'autre des parties.
Sur chaque départ divisionnaire sera repris 8 à 10 départs terminaux au maximum.
Les prises des locaux techniques seront repris sur des disjoncteurs différentiels séparés.
Les ISLETTES
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Les éclairages des circulations, dégagements et escaliers, seront commandés par deux ou plusieurs zones
d'allumage; ces zones seront reportées sur deux circuits différents de protection différentielle (cette division
limitera l'effet des perturbations ou dérangements affectant l'une de leurs parties}.
La distinction devra être réalisée en ce qui concerne la répartition des circuits de fonction :
• des locaux à risque d'incendie,
• des locaux humides.
Dans tous les cas, les circuits terminaux de prises de courant des locaux et circulations auront leur protection
avec sensibilité de 30 mA à déclenchement instantané ( en règle générale, toutes les prises de courant
alimentant des appareils mobiles et portatifs}.
Une sélectivité ampèremétrique devra être assurée entre les différents niveaux de protection.
L'ensemble des armoires sera câblé en fils souples H07 V-K avec embouts type STARFIX et identifié par le
système CAB3 de marque LEGRAND ou équivalent.
Si les circuits de commande sont alimentés directement sous la tension d'alimentation, les axes des boutons de
commande devront être séparés des parties accessibles par une double isolation renforcée.
Localisation
Les ISLETTES
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CHAPITRE 5
DESCRIPTIONS DES OUVRAGES
NOTA : les quantités, emplacement ou autres indications fournis lors de l’appel d’offres sont à titre indicatif.
L’entreprise adjudicataire réalisera tous les plans d’exécution et détails à sa charge et reste responsable de ses
ouvrages.
5.1
Dépose des installations
L’entreprise devra la mise en place d’une installation provisoire de chantier, conformément au demande des
entreprise intervenant sur le chantier, la demande du coordinateur SPS et de la réglementation en vigeur.
5.2
Alimentation en énergie
L'entreprise en accord avec EDF aura à sa charge :
La fourniture et pose d’un coffret de branchement avec comptage conforme aux spécifications EDF.
Elles tiendront compte des évolutions de la nouvelle norme UTE C 14.100 concernant les limites du domaine
E.D.F. de l'interrupteur cadenassable.
Passage du câble principal entre le coffret de branchement et le T.G.B.T. – Câble U1000 RO2V sous fourreau.
5.3
Tableau général basse tension
L'ensemble des distributions : éclairage, PC et force du bâtiment, aura pour origine le tableau général à
implanter dans un placard technique.
Distribution :
En triphasé 400 V + neutre sous régime : TT.
Conception :
Sauf indications contraires, le tableau général sera conforme aux normes des séries NF C 60, NF C 63; et en
particulier la norme NF C 63.410.
L'ensemble sera fermé par :
⇒ des panneaux démontables en tôle d'acier pliée 15/10 à chaque extrémité et sur la face arrière,
⇒ des tôles démontables et perforables pour le passage des câbles aux parties inférieure et
supérieure,
⇒ des portes ouvrant en face avant afin de permettre l'accès à l'appareillage.
Les portes seront conçues de manière à ce qu'il n'y ait de déformation en position ouverte, elles seront munies
de crémones commandées par des poignées à serrure incorporée.
Un porte document sera prévu au dos d'une porte pour recevoir le schéma du tableau.
L'enveloppe assurera une protection adaptée au local où sera installé.
Il sera prévu une réserve permettant l'adjonction de 30 % de départs supplémentaires au moins égal à 30 % en
puissance.
Les ISLETTES
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L'aération permettra la circulation d'air destinée à limiter les échauffements en service continu et l'évacuation
des gaz ionisés produits lors de la coupure des disjoncteurs.
Les connexions puissance et les jeux de barres seront entièrement capotés ainsi que les plages de
raccordement.
Tous les circuits seront protégés par des disjoncteurs omnipolaires, une sélectivité totale sera assurée entre les
différents niveaux de protection.
Cette sélectivité sera totale en protection différentielle.
Le tableau général sera équipé en tête d'un interrupteur général tétrapolaire.
Raccordement du T.G.B.T. :
L'alimentation sera réalisée en câble U 1000 R2V, la pénétration étant réalisée en partie supérieure du tableau.
Les raccordements seront réalisés par la face avant du tableau, jusqu'au calibre 250 A compris au niveau de
l'appareil, pour les calibres inférieurs sur bornes. Les bornes seront du type à plage de raccordement.
Caractéristiques des départs :
Les disjoncteurs seront du type fixe LEGRAND ou similaire.
Caractéristiques générales :
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
coupure omnipolaire,
tous pôles protégés,
déclencheurs magnétothermiques réglables,
pouvoir de coupure approprié au courant du court-circuit,
protection différentielle sélective pour l'alimentation des tableaux, fixe pour les PA.
Définition des protections :
En règle générale, les protections des départs seront assurées par disjoncteur magnétothermique (sauf
exception) . Protection suivant régime du neutre :
⇒ Régime du neutre direct à la terre, schéma TT la coupure sera omnipolaire les phases seront protégées.
Dans ce dernier cas, la protection magnétothermique sera complétée par un dispositif de protection à courant
différentiel résiduel, de sensibilité et de retard réglables, dont les valeurs figurent sur les schémas généraux
unifilaires. Les valeurs définitives de réglage seront recalculées par l'entreprise en fonction de la valeur
mesurée de la résistance de prise de terre des masses et en respectant une sélectivité complète aux différents
niveaux de l'installation.
Les dispositifs de protection devront tenir compte des pointes de courants des différents matériels (moteurs,
transformateur, etc..) et des différentes possibilités d’alimentation.
Les moteurs seront protégés contre la marche en monophasé par action des percuteurs des fusibles sur un
micro-contact commandant l'ouverture du contacteur de ligne, ou par des disjoncteurs type moteur conforme à
la norme.
Tous les moteurs seront protégés individuellement. Si les conditions d'exploitation supposent le fonctionnement
simultané de plusieurs moteurs, le sectionneur-fusibles et le contacteur de ligne pourront être communs, mais
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chacun des moteurs sera protégé individuellement par un relais magnétothermique indépendant dont le
déclenchement provoquera l'ouverture du contacteur commun.
Dans les cas où les relais thermiques ne pourraient assurer la protection des moteurs, ils comporteront une
protection ipsothermique.
Conducteur de terre :
Le tableau comportera un collecteur de terre pour le branchement des conducteurs de protection et sur lequel
sera raccordée l'ossature métallique du tableau considéré. Des shunts de continuité équipotentielle seront
placés au droit des éclissages de cellules, ainsi qu'au droit des charnières de portes.
Repérage :
Repérage de tous les appareils et borniers par étiquette dilophane.
Raccordements :
Sauf indications contraires dans le devis descriptif, tous les câbles tenant et aboutissant seront raccordés par
l'entreprise qui fournit le tableau.
Les pénétrations de câbles se feront soit par caniveau à la partie inférieure, soit par un couloir à câbles ménagé
dans le panneau supérieur de l'armoire et équipé d'un joint Néoprène.
Les câbles extérieurs seront raccordés par l'intermédiaire de bornes de jonction adaptées à la section des
conducteurs avec un pas minimum de 6 mm.
Les raccordements sur des appareils de fort calibre s'effectueront par l'intermédiaire de plages cuivre auxiliaires
étudiées en fonction de la section, du rayon de courbure et du nombre des conducteurs raccordés.
En aucun cas, il ne sera admis de raccorder des câbles directement sur les bornes d'appareils de distribution.
Les extrémités de conducteurs multibrins seront équipées de cosses serties.
Etiquetage et repérage :
Le T.G.B.T. sera repérés au moyen d'étiquettes en dilophane gravé, fixées par vis ou rivets.
Tous les appareils de commande, protection ou asservissements regroupés dans un même tableau seront
repérés individuellement par un dispositif durable.
Tous les câbles de liaisons extérieures porteront à chacune de leurs extrémités un repère inaltérable.
Les barres seront repérées aux couleurs conventionnelles, de façon qu’aucune erreur ne soit possible en
quelque point que ce soit, en particulier à proximité des dérivations et des plages de raccordement.
Description des équipements :
Le choix des appareils de protection et de coupure devra tenir compte des intensités nominales mises en jeu,
du pouvoir de coupure, du degré de sélectivité.
Les ISLETTES
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Le calibre nominal d'un appareil sera supérieur de 10 t à son intensité de service, de façon à éviter tout
échauffement susceptible de nuire à son fonctionnement.
Le pouvoir de coupure des disjoncteurs devra être supérieur à la valeur efficace du courant de court-circuit
calculée à leur point d'installation.
Il sera, de plus, vérifié que le courant de court-circuit minimum en bout des lignes est susceptible de faire
fonctionner sa protection amont.
En schéma T.T., le pouvoir de coupure monophasé du disjoncteur devra être supérieur au courant de courtcircuit phase-neutre au point d'installation.
Tout défaut devra provoquer le déclenchement du seul disjoncteur immédiatement placé à l'amont, sans nuire à
la continuité de service des départs voisins.
Cette sélectivité pourra être obtenue soit par retard de déclenchement, sait par réglage des déclencheurs
magnétiques.
Le T.G.B.T. sera équipé au minimum de :
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
une coupure générale par sectionneur avec poignée extérieure,
des disjoncteurs principaux de protection :
disjoncteurs différentiels « éclairage des locaux non accessible au public » RdC,
disjoncteurs différentiels « éclairage des locaux accessible au public » RdC,
disjoncteurs différentiels « prises de courant – locaux non accessible au public » RdC,
disjoncteurs différentiels « prises de courant – locaux accessible au public » RdC,
disjoncteur différentiel « centrale incendie » + parafoudre,
disjoncteur différentiel « force » pour les extracteurs de VMC avec signalisation « défaut » en façade de
l’armoire,
disjoncteur différentiel « éclairage extérieur » compris inter crépusculaire et horloge de programmation,
disjoncteur différentiel pour l’alimentation de la pompe a chaleur,
disjoncteur pour l’alimentation de l’armoire divisionnaire de chaque zone,
disjoncteur pour l’alimentation de l’armoire divisionnaire de l’office de réchauffage,
disjoncteur différentiel pour l’alimentation de la centrale double flux,
disjoncteurdifferentiel pour la centrale intrusion
voyant « mise sous tension »,
les télérupteurs, minuteries…
les disjoncteurs secondaires DPN.
Dans les classes les circuits éclairage et prises seront obligatoirement issus de 2 organes de protections
différents.
5.4
Armoires divisionnaires
L'ensemble des distributions : éclairage, PC et force de la zone desservie ou niveau aura pour origine une
armoire implantée comme suit :
⇒ une armoire pour chaque zone ( maternelle, primaire, office)
Alimentation :
En triphasé 400 V + neutre sous régime : TT. - Depuis le TGBT de l’opération.
Les ISLETTES
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Conception :
Chaque armoire sera conforme aux normes des séries NF C 60, NF C 63; et en particulier la norme NF C
63.410.
Leur conception et équipement seront identiques au TGBT.
Les portes seront conçues de manière à ce qu'il n'y ait de déformation en position ouverte, elles seront munies
de crémones commandées par des poignées à serrure incorporée.
Un porte document sera prévu au dos d'une porte pour recevoir le schéma du tableau.
L'enveloppe assurera une protection adaptée au local où sera installé.
o
L’armoire divisionnaire bâtiment maternelle sera équipée au minimum de :
⇒ une coupure générale par sectionneur avec poignée extérieure,
⇒ des disjoncteurs principaux de protection :
o disjoncteur différentiel « éclairage des locaux non accessible au public »,
o disjoncteurs différentiels « éclairage des locaux accessible au public »,
o disjoncteur différentiel « prises de courant – locaux non accessible au public »,
o disjoncteurs différentiels « prises de courant – locaux accessible au public »,
⇒ voyant « mise sous tension »,
⇒ les télérupteurs, minuteries…
⇒ les disjoncteurs secondaires DPN.
o
L’armoire divisionnaire Bâtiment primaire sera équipée au minimum de :
o disjoncteur différentiel « éclairage des locaux non accessible au public »,
o disjoncteurs différentiels « éclairage des locaux accessible au public »,
o disjoncteur différentiel « prises de courant – locaux non accessible au public »,
o disjoncteurs différentiels « prises de courant – locaux accessible au public »,
o disjoncteur différentiel « centrale incendie » + parafoudre,
o disjoncteur différentiel « force » pour les extracteurs de VMC avec signalisation « défaut » en
façade de l’armoire,
o disjoncteur différentiel « éclairage extérieur » compris inter crépusculaire et horloge de
programmation,
o disjoncteur différentiel pour l’alimentation de la chaufferie,
⇒ voyant « mise sous tension »,
⇒ les télérupteurs, minuteries,
o
L’armoire divisionnaire « office » sera équipée au minimum de : (à vérifier)
o disjoncteur différentiel « éclairage des locaux »,
o disjoncteur différentiel « prises de courant »,
o disjoncteur différentiel « four de mise en T° »,
o disjoncteur différentiel « machine à laver »
o disjoncteur différentiel « ventilation hotte laverie + attentes pour lot chauffage»,
o contacteur sur arrêt d’urgence en façade et un 2ème dans le local office,
⇒ un voyant « mise sous tension »,
⇒ les télérupteurs, minuteries,
Les ISLETTES
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Eclairage de la salle de restauration depuis l’armoire ci-dessus via un tableau de commande.
Raccordement depuis le TGBT. – Reprise du contact sec « alarme » mis à disposition du présent lot par le
CHAUFFAGE
La localisation des armoires sera la suivante :
•
•
•
•
5.5
1 armoire pour l’extension dans un local rangement,
1 armoire pour le batiment salle de classe 1-2-3.
1 armoire pour le batiment salle de classe 4-5
1 armoire pour le batiment bibliotheque
Canalisations
Le présent chapitre concerne l’ensemble des canalisations de distribution force et lumière à partir du tableau
général basse tension.
L’ensemble des distributions intérieures se fera en mode mixte :
⇒ Apparentes : sur chemins de câbles, conduit PVC rigide, moulures PVC, goulottes techniques.
⇒ Encastrées sous conduit.
Sections des conducteurs :
Les câbles basse tension et leurs accessoires seront conformes aux normes séries NF C 63, NF C 32.
Le bâtiment sera alimenté par une installation en livraison basse tension par E.D.F. les chutes de tension seront
égales aux valeurs suivantes :
- 3 % pour la distribution éclairage,
- 5 % pour les autres usages.
Ces valeurs s'entendent depuis le point de livraison de l'énergie par E.D.F. jusqu'au dernier point du circuit
terminal le plus défavorisé.
En aucun cas, les sections ne devront être inférieures à celles capables de transporter en permanence les
courants correspondants au réglage des protections amonts.
Les câbles de distributions principales B.T auront une section telle qu'ils puissent supporter une augmentation
de puissance minimum de 20 % correspondant à la réserve disponible au point d'alimentation.
Nature et mise en œuvre des câbles :
•
Nature des câbles :
L'ensemble de la distribution électrique basse tension sera réalisé avec des câbles à isolement sec de la série
U 1000 RO2 V à l'exception de la distribution lumière ou prises de courant, de section inférieure ou égale à 6
mm², réalisée en H 07 V-U ou R - H 07 V-K ou H 05 VV-F - FR-NO5 VV-F - FR-N05 VV-U ou R sous conduit.
Les câbles intéressant la sécurité contre les risques d'incendie seront réalisés soit en câbles résistant au feu,
soit en câbles posés sous gaine coupe feu 1/2 heure (ou 2 heures pour les IGH).
La confection et la mise en œuvre de cette gaine seront à la charge du présent lot. Sa conception devra
permettre un accès tous les 10 mètres et à chaque changement de direction sous forme de trappes de visite de
même degré coupe feu.
Les ISLETTES
•
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Mise en œuvre
Quel que soit le mode de pose, outre les séparations demandées entre les natures de tension, les fonctions, les
câbles et conducteurs ne devront jamais être mélangés, ou être à des distances aux valeurs prescrites par la
norme C 15.100 avec des canalisations de fluides autres qu'électriques.
Lorsque le cheminement d'une canalisation électrique impose la traversée d'un dégagement, d’un escalier ou
d'une circulation protégée, cette canalisation devra être posée sous fourreaux type Eternit, MRB, PVC non
propagateur de la flamme, sur la longueur de la traversée, de façon à éviter toute propagation de fumée. Le
conduit devra être entier sans raccordement.
Pour toute traversée de cloisons, niveaux, une protection mécanique des câbles devra être assurée et le degré
coupe feu reconstitué (presse étoupe type AFIMES MCT ) .
Dans les parties verticales des gaines, les câbles seront posés sur chemins de câbles, dans lesquels ils seront
parfaitement peignés et correctement fixés, de façon à n'admettre aucune dégradation des isolants, par
contrainte de traction due à leur propre poids.
Pose sur chemin de câbles :
Cette pose sera réalisée sur les chemins de câbles en vide de construction, locaux techniques et faux-plafonds.
Une protection mécanique sera réalisée dans les remontées verticales (hauteur minimum 2 m ).
Les chemins de câbles seront constitués par des dalles au profil en C avec ailes de 48 mm de hauteur, en tôle
perforée, galvanisée. Si le CCTP le précise, elles seront galvanisées à chaud après perforation.
Le raccordement des dalles se fera par éclisses en L, en tôle perforée, également galvanisée à chaud (si le
CCTP le précise).
Les dalles seront supportées par des consoles galvanisées, elles mêmes fixées à des éléments verticaux
d'échelle.
Toutes les pièces seront assemblées par des boulons poêliers zingués.
Les consoles seront fixées sur les échelles au moyen de deux goupilles.
Les chemins de câbles seront du type Cablofil au cas où ce type de matériel est précisé dans le CCTP.
Dans ce cas, tous les accessoires de pose et fixation seront de type Cablofil .
Les chemins de câbles seront dimensionnés de manière à laisser disponible une réserve 20 % de la largeur.
Chaque dalle de chemins de câbles sera supportée par au moins deux consoles, soit un support pour 1 , 50 m.
Ces supports seront constitués d'éléments préfabriqués tels que définis au paragraphe précédent. Si, toutefois,
il s'avérait nécessaire de confectionner des supports sur mesure, ceux-ci seraient conçus de sorte que l'on
puisse introduire latéralement les câbles préalablement déroulés au sol .
La fixation des supports sera telle que l'on puisse leur appliquer une charge ponctuelle de 80 Kg sans
modification ni du support ni des scellements.
Il ne sera admis aucun angle saillant faisant obstacle à la courbure des câbles ni dans les changements de
direction en plan ou en élévation, ni dans les dérivations ou "pattes d'oie" ni dans les élargissements ou
rétrécissements. toutes ces modifications de parcours seront traitées avec des pièces curvilignes, soit
préfabriquées. soit façonnées à la demande.
Les ISLETTES
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Les chemins de câbles seront pourvus de couvercle au droit des traversées de dalles dans les parcours
verticaux. La protection mécanique des câbles par couvercle sera maintenue jusqu'à une hauteur de 1,50 m au
dessus du niveau du plancher.
Tous les chemins de câbles seront obligatoirement reliés à la terre.
Les chemins de câbles supportant des câbles haute tension seront capotés en parcours vertical à l'intérieur des
postes et sur tout leur parcours lorsqu'ils circuleront à l'extérieur des locaux électriques. Ils porteront tous les 15
mètres et à chaque changement de direction une signalisation par panneau triangulaire figurant l'homme
foudroyé et par une affiche "danger haute tension".
Règles d’exécution des travaux de calfeutrement :
Les travaux de génie civil laissés à la charge de l'entreprise (traversées de cloisons, saignées, etc...) seront
exécutés de telle sorte que les raccords de toutes natures passent inaperçus, tant au point de vue maçonnerie
que des carrelages, enduits, etc. . .
⇒ Dans les cloisons et éléments non porteurs :
Tous les trous, saignées, percements, scellements, tampons, taquets, garnissages, rebouchages et
calfeutrements nécessaires à la mise en place de l'exécution des différents ouvrages seront effectués par
l'Entrepreneur du présent lot.
Les traversées, saignées et scellements seront réalisés le plus soigneusement possible et aux dimensions
strictement nécessaires et ne devront pas affaiblir les éléments de construction.
⇒ Traversées :
Les traversées de cloisons, murs, dalles seront protégées par des fourreaux, des conduits de diamètres et
caractéristiques dûs par l'entrepreneur du présent lot.
Les traversées de mur coupe feu 2 heures pour les passages de câbles devront être équipées de dispositif anti
propagateurs de feu homologués par l'APSAIRD genre AFIMES ou similaire.
Dans le cas où l'entreprise par retard, viendrait à terminer ses travaux après le passage des peintres, elle aurait
à sa charge la reprise et la finition des peintures non faites ou endommagées.
Canalisations intérieures apparentes :
Les câbles en parcours isolés seront posés :
⇒ sous conduits plastiques non jointifs IRO APE pour les montages apparents dans les locaux ne
présentant pas de risques mécaniques,
⇒ sous tube acier dans les locaux non humides à risques mécaniques,
⇒ sous tube acier galvanisé dans les locaux humides à risques mécaniques,
Tous les tubes acier seront soigneusement ébarbés et pourvus d'embouts en matière plastique à chaque
extrémité.
Ils seront fixés par attaches plastiques ou colliers bichromatés suivant le type de conduit utilisé, à raison d'une
fixation tous les 0,60 m et de part et d'autre des boîtes de dérivation et des changements de direction.
Raccordements :
Sauf indications contraires dans le devis descriptif, tous les câbles tenant et aboutissant seront raccordés par
l'entreprise qui fournit le tableau.
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Les pénétrations de câbles se feront soit par caniveau à la partie inférieure, soit par un couloir à câbles ménagé
dans le panneau supérieur de l'armoire et équipé d'un joint néoprène.
Lorsque les armoires ou tableaux secondaires seront installés dans des locaux humides, les pénétrations de
câbles se feront par presse étoupe eux-mêmes montés sur un panneau amovible.
Les câbles extérieurs seront raccordés par l'intermédiaire de bornes de jonction adaptées à la section des
conducteurs avec un pas minimum de 8 mm.
Les raccordements sur des appareils de fort calibre s'effectueront par l'intermédiaire de plages cuivre auxiliaires
étudiées en fonction de la section, du rayon de courbure et du nombre des conducteurs raccordés.
Les extrémités de conducteurs multibrins seront équipées de cosses serties.
Etiquetage et repérage :
Repérage des câbles
Les conducteurs devront toujours être repérés selon les couleurs normalisées :
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
1ère phase
2ème phase
3ème phase
Neutre
PE, PEN
: rouge,
: noir,
: brun,
: bleu,
: vert/jaune.
Tout conducteur dont la couleur ne correspond pas à celle imposée par la réglementation devra être repéré par
gaine thermorétractable sur toute sa longueur visible. Le conducteur vert/jaune ne devra pas être utilisé dans ce
cas (voir norme C 15. 100 - Guide 514. 3. 2. 4 page 21 A).
De plus, les conducteurs devront être repérés par numéro ou lettre, selon les repérages du circuit concerné
(manchons, etc) . Les repérages du câblage interne à l'armoire sera fait aux deux extrémités du conducteur.
Toutes les bornes seront repérées en corrélation avec les conducteurs concernés.
Les canalisations ne laissant pas apparaître les repères des câbles contenus, devront être munies d'une plaque
signalétique.
Tous les câbles de liaisons extérieures porteront à chacune de leurs extrémités un repère inaltérable.
Le repérage des conducteurs sera effectué par la méthode Fournier Venot simplifiée.
Il est bien entendu que tous les repères ci-dessus devront être conformes aux schémas de principe et plans de
dépannage.
Tous les coffrets, armoires, boîtes de connexion (répartiteurs) et appareillages seront également repérés à
l'aide d'étiquettes rigides à lettres indélébiles (type dilophane) fixées par vis.
Les étiquettes de repérage rigides seront blanches avec lettres noires pour les circuits normaux et rouges avec
lettres blanches pour les circuits de sécurité. D'autres coloris pourront être retenus selon certaines fonctions
(voir normes prévues à cet effet) .
Choix des canalisations :
Elles seront constituées de conducteurs agréés UTE. Toutes les canalisations comporteront un conducteur de
protection vert-jaune permettant la mise à la terre.
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Toutes les canalisations seront réalisées en câble de la série U 1000 R2V.
•
•
6 mm² pour les prises de courant 2OA+T,
8 mm² pour les prises de courant 32A+T.
La section des canalisations et leurs longueurs exactes, les calibres de disjoncteur et les Icc seront reportés sur
les schémas électriques d'exécution.
Pose des canalisations encastrées :
La distribution sera réalisée :
•
Dans les parois béton, par système « pieuvre » comprenant les boîtes de centre, les boîtes de
descente et les boîtiers de réservation pour l’appareillage.
Les boîtiers pour appareillage seront du type mixte vis-griffres avec anneau pivotant autobloquant au serrage.
•
Dans les parois maçonnées, en fil HO7V de section appropriée posés sous conduits ICT
encastrés. Les boîtes d’encastrement seront du type universelles pour fixation à vis et à griffes.
L’exécution des saignées, des rebouchages et raccords soignés est à la charge du présent lot.
•
Dans les cloisons sèches, en fils HO7V posés sous conduits ICT encastrés.
Locaux particuliers :
Les locaux à risque d'incendie ne devront contenir que les matériels et canalisations électriques nécessaires à
leur exploitation.
Toutes les traversées coupe-feu seront réalisées suivant des directives des spécifications techniques.
Une gaine coupe-feu 2 H sera à réaliser afin de permettre le passage des canalisations.
5.6
Distribution lumière
D'une manière générale, les sources lumineuses seront constituées de tubes fluorescents diamètre 16 mm,
d'une qualité de lumière de IRC 85.
L'accrochage des tubes fluorescents devra être parfait et empêcher tout risque de chute due aux vibrations.
Les appareils étanches à la poussière et à l'humidité seront équipés d'entrées de câbles par presse-étoupe.
L'appareillage sera du type ballasts électroniques Cos Phi > 0.95 de façon à éliminer les effets de
papillotements très fatigants pour la vue.
Dans tous les cas, l'appareil proposé devra être d'un entretien facile et ne nécessitant qu'une seule personne
pour celui-ci.
Les appareils utilisant des lampes à incandescence ou mini-fluorescence seront munis des culots suivants :
⇒ E 22 jusqu'à 100 W,
⇒ E 27 jusqu'à 300 W.
La fourniture des lampes à incandescence, tubes fluorescents et lampes mini-fluorescence fait partie du présent
lot, et est à la charge de l'entrepreneur de ce lot.
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Spécifications des appareils d’éclairage :
Les appareils donnés en référence ont été pris comme base en ce qui concerne les qualités photométriques et
caractéristiques techniques.
Si d'autres appareils possédant les mêmes qualités et caractéristiques pourront être proposés.
Appareillage de commande :
Les interrupteurs et les boutons poussoirs seront conformes à la norme :
⇒ NF C 61.110 : interrupteurs, commutateurs, boutons de minuterie ou de sonnerie, d'usage courant et de
courant nominal ou plus égal à 10 A.
Les appareils de commande seront du type à bascule. Leur manœuvre devra toujours se faire dans le plan
vertical et l'allumage sera obtenu pour la position basse de la bascule.
Les interrupteurs, inverseurs, boutons poussoirs seront du même type pour l'ensemble de l'installation.
Ils auront un calibre minimum de 10 A sous 250 V. Il appartient à l'entrepreneur de vérifier que ce calibre est
suffisant en fonction du nombre d'appareils à commander. Si cette condition n'était pas respectée, il
conviendrait de prévoir une coupure du circuit d'éclairage télécommandée par télérupteur et contacteur.
Les appareils de commande seront fixés à proximité des accès, côté "ouvrant" des portes, à une hauteur
comprise entre 1, 10 m et 1, 50 m du sol fini.
Les prises de courant seront agréées NF - USE avec brochage normalisé.
Elles seront conformes aux normes C 61.300 additif N° 2, C 61.303 et C 61 .316.
Les boutons poussoirs en circulation et locaux aveugles seront munis de voyants.
⇒ Remarques particulières : Tous les départs prises de courant seront munis d'une protection différentielle
30 mA.
Chaque disjoncteur bipolaire protégera au maximum 8 à 10 points d'éclairage de prises de courant 2 P + T 16 A
par phase.
L’éclairage des salles de cours seront répartis obligatoirement sur deux circuits protégés individuellement (Ex :
éclairage des luminaires de la salle + éclairage tableau).
Les prises de courant seront munies d’un système d’obturation automatique.
Dans chaque salles de classes mise en place d’un interrupteur pour la coupure électrique de toutes les prises
électriques de la salle concernée.
Nature et mise en œuvre du petit appareillage :
Dans tous les locaux autres que les locaux techniques et sauf spécifications contraires, le petit appareillage
sera du type encastré, marque LEGRAND ou équivalent type Mosaïc.
Dans les locaux techniques, le petit appareillage sera du type étanche en matière moulée de choc avec entrée
de câbles par presse étoupe, de marque LEGRAND ou équivalent type Plexo
Les dérivations ou connexions à l'intérieur de ce type d'appareillage sont interdites.
⇒ Boutons poussoir domestiques :
Les boutons poussoir domestiques sont des types suivants :
Les ISLETTES
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- unipolaire 10 A - 250 V, en saillie
- unipolaire 10 A - 250 V, encastré, avec boîte d'encastrement avec correction d'aplomb
⇒ Interrupteurs industriels :
Matière : isolante moulée, auto-extinguible
Indice de protection : fonction du local équipé (minimum IP 445)
Les interrupteurs sont du type unipolaire 10 A - 250 V en saillie
⇒ Boutons poussoir industriels
Matière : isolante moulée, auto-extinguible
Indice de protection : fonction du local équipé (minimum IP 445)
Les interrupteurs sont du type unipolaire 10 A 250 v en saillie
⇒ Prises de courant domestiques
Les prises de courant domestiques sont des types suivants :
- 2 P + T normalisé 10/16 A - 250 V en saillie, fixation par vis
- 2 P + T normalisé 10/16 A - 250 V encastré, avec boîte d'encastrement avec correction d'aplomb
Appareils de connexion :
Les boîtes de dérivation seront du type étanche, en saillie en matière plastique, avec pénétration des conduits
par entrées défonçables.
L'intérieur renfermera des bornes de dérivation isolées du type anticisaillant. Les plaques de recouvrement
seront facilement accessibles.
Dans les locaux techniques et locaux avec faux plafonds C.F., ces boîtes seront montées en apparent. Elles
seront alors en matière moulée avec pénétrations de câbles.
En règle générale, les interrupteurs simple allumage et va et vient ainsi que les boutons poussoirs seront
apparents du type MOSAIC 45 de LEGRAND dans les bureaux et les locaux publics. De type Plexo IP 557 en
apparent dans les locaux techniques et humides (chaufferie, cuisine, etc. . . ).
Il sera prévu la commande de l’éclairage à clé pour la salle d’éducation physique.
La commande de l’éclairage extérieur est réalisée par un programmateur associé à une cellule photo-électrique.
La programmation et la commande de l’éclairage des cours de récréation (primaire et maternelle) sont réalisées
depuis le bureau Direction.
5.7
Eclairage de secours
Réglementation complémentaire :
⇒ Décret N° 73. 1007 du 31 octobre 1973.
⇒ Décret du 14 novembre 1988 relatif à la protection des travailleurs.
⇒ Guide UTE C15.103 - Mars 1986.
Les ISLETTES
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Balisage :
Sauf réglementation particulière liée au local, il est à réaliser par des blocs autonomes 60 lumens,
débrochables, non permanents, télécommandés de degrés de protection IP en accord avec le lieu où ils sont
implantés. Des autocollants apposés sur les blocs fournissent des instructions complémentaires pour une
meilleure évacuation d'urgence.
Le coffret de télécommande des blocs est à installer dans le T.G.B.T.
Ambiance :
Dans le respect des réglementations, les locaux le nécessitant sont à équiper d'un éclairage d'ambiance :
⇒ la salle de restauration
⇒ la salle d’évolution.
Principe :
L'éclairage de sécurité du bâtiment sera alimenté depuis le TGBT.
Conformément à la réglementation des établissements assujettis à la législation du travail et recevant du public,
l'éclairage de sécurité sera du type C non permanent.
Les éclairages seront réalisés par blocs autonomes. Ces derniers devront satisfaire aux normes et règlements
en vigueur et plus particulièrement à l'arrêté ministériel du 2 octobre 1978, aux prescriptions de l'arrêté du 10
novembre 1976, de la circulaire du 27 juin 1977, ainsi qu'aux normes NFC 71 800 et 71 801.
Description des installations :
Le materiel sera de marque LEGRAND type ARCOR2 ou techniquement équivalent en apparent ou encastré
suivants les cas.
L'éclairage de sécurité répondra aux objectifs suivants :
⇒ Le balisage des circulations et les issues de secours.
⇒ Permettre la reconnaissance des obstacles.
⇒ La signalisation des moyens de lutte contre l’incendie (extincteurs…)
Description des blocs :
Les blocs de balisage et de signalisation seront incandescents, flux lumineux 60 lumens autocontrôlables,
autonomie 1 heure, et comporteront un voyant lumineux témoin de bon fonctionnement.
Comme pour les appareils d'éclairage, ils respecteront les risques particuliers de la norme C 15.100, ils seront
IP 449 dans les locaux techniques et cuisine IP 227 dans les autres cas.
Les blocs autonomes seront implantés à chaque changement de parcours, l'interdistance entre bloc ne sera
pas supérieure à 15 m.
Dans tous les locaux techniques., il sera prévu un bloc autonome portable raccordé sur une prise de courant
spécifique à charge du présent lot
Eclairage d’ambiance :
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Dans les salles équipées d’un éclairage d'ambiance mise en place de blocs autonomes 300 lumens
autocontrôlables représentant 5 lumens/m² répartis uniformément.
Installation :
L'alimentation de chaque bloc sera reprise en aval du dispositif de protection de l'éclairage normal
correspondant et en amont du dispositif de commande et ceci par circuit.
Les canalisations spécifiques à l'éclairage de sécurité seront distinctes des autres canalisations et emprunteront
des parcours différents.
Un dispositif de mise au repos et un boîtier de commande programmé (autotest) de l'ensemble de l'éclairage de
sécurité (extinction réallumage), sera implanté dans le T.G.B.T.
5.8
Installation force & attentes
Le présent chapitre traite de la distribution force du bâtiment et des attentes mises à disposition des autres lot et
réparties dans le bâtiment.
Les alimentations force auront pour origine le tableau T.G.B.T.
Les alimentations force seront constituées de câbles à relier sur les matériels électriques (B.E.C.S., chaufferie,
extracteurs de VMC, attentes pour EQUIPEMENTS de CUISINE).
Alimentation chauffe eau :
Chaque alimentation sera protégée en tête par un disjoncteur différentiel et comportera un interrupteur de
coupure à proximité de l’appareil.
Coffret d'arrêt d'urgence :
Suivant la réglementation de sécurité ERP une coupure générale d'urgence de l'établissement sera réalisée
dans le bureau Direction par l'intermédiaire d'un boîtier "coup de poing" avec report de signalisation.
Les équipements électriques de l’office et de la laverie seront sous dépendance de 2 coffrets d’arrêt d’urgence.
Coffret local technique :
Fourniture et pose d’une ligne 32 A pour l’alimentation du local chaufferie à disposition du lot CHAUFFAGE.
Cette ligne sera protégée en tête par un disjoncteur différentiel.
Fourniture et pose d’un coffret de sécurité à action mécanique, équipé des disjoncteurs Force et Lumière avec
voyants « présence tension ».
Reprise du contact sec « défaut général » du local mis à disposition par le lot CHAUFFAGE – Raccordement à
la centrale d’alarmes techniques.
Attentes VMC :
Fourniture et pose par le présent lot, sur chaque groupe de VMC, d’un pressostat de contrôle en coordination
avec le lot CHAUFFAGE.
Fourniture et pose par le présent lot, sur chaque groupe double flux, d’un pressostat de contrôle en coordination
avec le lot CHAUFFAGE.
Les ISLETTES
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Ligne lovée en attente – Longueur 2 ml minimum. – Reprise du contact sec des pressostats pour raccordement
à la centrale d’alarmes techniques.
Attentes diverses :
L’entreprise devra les attentes électriques de tous les autres lots
⇒ La Micro station
⇒ La pompe de relevage.
⇒ Ascenseurs
⇒ Et toutes les autres des autres lots.
5.9
Réseau de terre
La prise de terre générale de l'installation sera réalisée par la mise en place, à fond de fouille des tranchées,
d’un câble cuivre nu de section minimale 29 mm².
La valeur de la résistance de la prise de terre est en principe déterminée en tenant compte de la limite
conventionnelle de la tension de contact présumée, fixée à 50 V dans les conditions normales.
Pour les installations informatiques, il sera nécessaire d’avoir une résistance proche de zéro.
Mise à la terre des masses métalliques :
Devront donc être reliés à la terre :
⇒ tous les conduits métalliques et chemins de câbles,
⇒ tous les câbles armés ou blindés,
⇒ tous les appareils et appareillages électriques présentant une partie métallique accessible notamment les
armoires et les luminaires,
⇒ les huisseries métalliques,
⇒ les armatures de faux plafond et de faux plancher,
D'une façon générale :
⇒ toutes les ossatures, charpentes, fenêtres, portes et masses métalliques entrant dans la construction de
bâtiment,
⇒ toutes les canalisations métalliques de toute nature, ainsi que les appareillages non électriques qui y sont
rattachés (eau chaude, eau froide, vidange, baignoires métalliques, canalisations de gaz, etc).
Conducteur de protection :
Le conducteur de protection pourra être :
⇒ de même nature que les conducteurs de phase ; il pourra alors faite partie du même câble ou emprunter le
même circuit,
⇒ de nature différente et devra alors être séparé des conducteurs de phase.
Il sera conforme à la norme C 15.100
Dans tous les cas, le conducteur de protection aura une gaine de couleur vert/jaune. Cette couleur lui sera
exclusivement réservée.
Section du conducteur de protection :
Les ISLETTES
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La section du conducteur de protection sera déterminée en fonction de l'intensité et de la durée du courant
possible de défaut, de manière à prévenir sa détérioration par échauffement, ainsi que tout risque d’incendie
provenant de cet échauffement.
Mise à la terre des masses :
A partir du répartiteur de terre en local TGBT, l'entreprise prévoira toutes les connexions avec les masses
métalliques.
Terre des masses :
⇒ Tous les moteurs des installations fixes, toutes les prises de courant, tous les tableaux, armoires de
distribution châssis métalliques ainsi que les menuiseries métalliques seront mis à la terre sur réseau de
terre général.
⇒ Tous les chemins de câbles comporteront un conducteur de mise à la terre sur toute leur longueur. Ce
conducteur sera fixé sur l'aile du chemin de câbles par attaches tous les 0,40 m au maximum.
Les liaisons équipotentielles seront réalisées de manière à être "visitables".
5.10
Alarme incendie type 2B
Le système de sécurité incendie de marque CHUBB Sécurité, Gamme RESONANCE ou équivalent, sera
organisé autour d'un centralisateur de mise en sécurité de catégorie B, type UTC.com.
Le matériel central sera hors de porté du public, installé dans un local surveillé facilement accessible par les
services de sécurité, à proximité de l’accès principal (local secrétariat).
Le matériel central se présentera en coffret mural.
Le matériel central sera certifié NF selon les normes NF S 61-930 à NF S 61-940.
•
Déclencheurs manuels d’alarme :
Les déclencheurs manuels, de marque CHUBB Sécurité ou équivalent, associés à l’équipement de contrôle et
de signalisation, seront installés dans les circulations, à chaque niveau, à proximité de chaque escalier, au rez
de chaussée à proximité des sorties.
Ils seront placés à 1,30 mètres au-dessus du sol.
Ils se présenteront sous la forme d'un boîtier en matière thermoplastique de couleur rouge, du type double
action avec verre à briser prédécoupé ou membrane déformable.
•
Portes de recoupement des circulations horizontales et des escaliers :
Les portes de recoupement des circulations horizontales et d’accès aux escaliers seront commandées par
zones de compartimentage.
Les blocs porte certifiés et estampillés NF selon la norme NF S 61-937, seront équipés de maintiens
magnétiques, alimentés par manque tension, en 24 ou 48 vcc.
Les portes installées entre deux zones de compartimentage seront équipées de contacts fin de course afin de
reporter, par zone de compartimentage la position de sécurité (porte fermée), sur l’unité de signalisation.
•
Diffuseurs sonores non autonomes (sirène) :
Les diffuseurs sonores non autonomes avec flash intégrer, de marque CHUBB Sécurité, type Chorus ou
équivalent, seront audibles en tout point du bâtiment, le son émis sera conforme à la norme NF.S 32-001.
Les ISLETTES
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Ils seront hors de portée du public et des chocs par éloignement (hauteur minimum d’installation : 2,25m) ou par
interposition d’un obstacle.
La maintenance des éléments de gestion et d’alimentation devra être aisée.
Règlements – Objet et définition des ouvrages :
Outres la prescription et la localisation des travaux à réaliser, le présent chapitre contient les prescriptions qui
complètent- les obligations et dispositions définies par les réglementations et documents de référence:
•
Les décrets et arrêtés concernant la sécurité et les installations électriques dans les bâtiments
recevant du public (arrêté du 25.06.80, du 25.05.89 et du 02.02.93).
•
Les normes AFNOR NF S 61 . 930 à 61 . 940, NF S 61 . 950 et NF S 61 962.
•
Les normes électriques NF C 15. 100.
NOTA : Cette liste ne pourra être considérée comme limitative.
L'Entrepreneur du présent lot aura à sa charge la fourniture du certificat de conformité attribué par le
constructeur du matériel, après vérification des installations.
En outre, l'Entrepreneur aura à sa charge le réglage et la mise au point de tous les organes et les appareils
nécessaires au bon fonctionnement de l'installation ainsi que les raccordements
⇒
⇒
⇒
⇒
les essais et mise en route,
l'entretien gratuit de l'installation durant la période de garantie,
la fourniture des notices, plans et schémas de l'installation,
l'assistance technique du fabricant, pour l'obtention du certificat de conformité.
Alimentation :
L'alimentation électrique est à la charge du présent lot, ainsi que le câble d'alimentation, le disjoncteur qui sera
repris sur le T.G.B.T. avec une protection par parafoudre.
Canalisations :
Les sections et les natures des câbles sont données à titre indicatif, il est nécessaire de tenir compte de leur
longueur, de la puissance installée et de leurs implantations (traversées de locaux à risques par exemple),
Eléments commandés
MATERIEL CENTRAL
Centralisateur de mise en
sécurité
MATERIEL PERIPHERIQUE
Déclencheur manuel
SIGNALISATION
D’ALARME
Diffuseur sonore d’alarme
générale
DAS ou DCT
Maintien magnétique de
porte de recoupement
Tension
Sections
Super-visée
Modes de
transmission
Types de
câbles
230 v
Tension permanente
C2 (SYT1)
3 x 1,5²
NON
24 vcc
Tension permanente
C2 (SYT1)
1 p 8/10
OUI
24 vcc
Emission de tension
CR1
(Résistant au
feu)
2 x 1,5²
Manque tension
C2 (U1000
RO2V)
2 x 1,5²
OUI
24 ou 48
vcc
NON
Les ISLETTES
5.11
PAGE 43 / 49
Réseau télévision
Une installation de réception et de distribution de télévision sera prévue dans l’établissement.
L’installation comportera :
⇒ La fourniture et pose d’un mat, des antennes, des amplificateurs permettant la réception des signaux
hertziens TNT.
L’ensemble comprendra toutes les sujétions de pose, main d’œuvre ainsi que tous appareils, organes et
accessoires nécessaires au bon fonctionnement de ces installations avec une réception parfaite des images et
du son.
Les essais et mesures préalables à la réception, ainsi que l’entretien pendant la période de garantie, seront
prévus dans les prestations du présent lot.
Les programmes à distribuer sont :
⇒ Les chaînes françaises.
Les canalisations de descente comprendront les boîtes de répartition et dérivation.
La distribution sera réalisée en étoile par câble coaxial faible perte et sera séparée physiquement des câbles de
courants forts.
Toutes les connexions seront du type blindé.
Les prises TV seront conformes aux normes NF C 90-123 et EN 500 83, de même série que l’appareillage
prévu.
Installation de prises dans les locaux suivants :
⇒ Salle informatique.
5.12
Téléphone
L’entreprise devra la fourniture et pose d’un autocom de communication tel que défini ci-après :
La fourniture et pose de l’autocom sera prévu en OPTION
L’installation devra autoriser le raccordement de 3 lignes extérieures coté réseau :
⇒ Une ligne téléphone.
⇒ Une ligne fax.
⇒ Une ligne pour les besoins informatiques.
⇒ Une ligne pour raccordement des alarmes du bâtiment (incendie, techniques et intrusion).
Coté utilisateur : raccordement des terminaux aux lignes réseau ci-dessus.
Les ISLETTES
PAGE 44 / 49
Distribution :
En aval des lignes de France Télécom arrivant dans le local Secrétariat, la distribution se fera en câbles de la
série STY1. Ils chemineront dans les compartiments des chemins de câbles et goulottes réservés aux courants
faibles.
Les répartiteurs permettant d’assurer les fonctions de brassage et de raccordement seront équipés d’éléments
de répartition type LSA Plus de marque LEGRAND ou équivalent.
Les conjoncteurs seront de type 8 contacts conformes aux prescriptions du § appareillage.
5.13
Sonnette
Mise en place d’un système de sonnette avec diffusion sonore dans l’ensembe de l’établissement.
Le combiné sera de type portable et aura les fonctions suivantes :
⇒ Sonnerie électronique.
⇒ Réglage du volume.
Bouton poussoir de rue
⇒ Boîtier aluminium.
⇒ Montage encastré.
Les sonnettes seront placée comme suit :
⇒
⇒
⇒
⇒
⇒
5.14
1 sonnerie batiment classe 1-2-3
1 sonnerie batiment classe 4-5
1 sonnerie batiment extension
1 sonnerie zone restauration
2 sonneries exterieure ( 1preau et 1 cour haute)
Alarme intrusion
Un système d’alarme intrusion sera installé pour la surveillance des locaux :
tous les locaux du niveau RdC avec accés vers l’exterieur,
les dégagements et circulations.
Matériel NF-A2p type 2 filaire de marque CHUBB type Solemnis 24. Elle pourra gérer jusqu’à 24 entrées
d’alarme intrusion ou d’alarme technique et 19 sorties. La centrale comprendra :
une alimentation,
un carte de traitement,
un clavier LCD TE 12 déporté.
La centrale sera alimentée par batterie lui conférant une autonomie de fonctionnement de 36 heures.
La surveillance se fera par détecteurs infrarouges type 360° ou rideau 25 ou 40 m suivant les locaux.
L’avertissement d’une intrusion se fera par :
une sirène intérieure,
Les ISLETTES
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une sirène extérieure,
un transmetteur/modem intégré à la centrale.
Le titulaire du présent lot devra l’alimentation secteur de la centrale et toutes les liaisons entre la centrale et les
appareils terminaux. Les câbles courants faibles seront séparés physiquement des câbles courants forts.
La centrale intrusion devra permettre le raccordement sur les entrées libres de :
du contact de la centrale d’alarme incendie,
des informations de la centrale d’alarmes techniques.
5.15
Alarmes techniques
Fourniture, pose et raccordement, dans le local de surveillance (Secrétariat) d’un tableau d’alarme technique
modulaire, équipé d’un système de connexion permettant de raccorder le boîtier d’alimentation au boîteir
directions sans câblage.
La configuration de base comprendra : 8 directions.
Le tableau d’alarme sera équipé de :
un voyant rouge par direction,
un poussoir test lampes et ronfleur,
un poussoir acquittement sonore,
un poussoir acquittement lumineux,
un ensemble batterie, accumulateur étanche au nickel-cadmium.
Le tableau sera raccordé à la centrale intrusion pour transmission de l’alarme via le transmetteur téléphonique
de cette dernière.
Le tableau permettra de gérer les alarmes suivantes :
autocommutateur,
le défaut général chaufferie,
le défaut des groupes de VMC,
Raccordement des contacts secs laissés en attente par chaque corps d’état, l’entreprise devra l’ensemble des
canalisations nécessaires au bon fonctionnement.
5.16 APPAREILS D’ECLAIRAGE
Les niveaux d’éclairement seront conformes aux recommandations relatives à l’éclairage intérieur rédigées par
l’A.F.E.
Le plan d’implantation et les luminaires décrits joint au dossier DCE sont un minimum, l’Entrepreneur devra
vérifier les calculs d’éclairement et rectifier le cas échéant les quantités et leurs implantations lors de la remise
de son offre.
5.17
Localisation
: Suivant tableau
Réseau informatique
Les ISLETTES
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L'ensemble des installations informatiques du présent lot devra avoir reçu l’aval du Maître d’ouvrage pour : le
type de câbles, la mise en œuvre, les procédures de réception des ouvrages….
Baie de brassage :
Fourniture et pose dans la salle informatique d’une baie de brassage, marque LEGRAND ou équivalent type XL
VDI 19’’. – Dimensions : 600 x 800 x 2108 avec porte avant vitrée et serrure à clé n° 2433A.
Dimensionnement de la baie pour les besoins décrits ci-dessus + une réserve de 30%.
Cette baie sera équipée des accessoires suivants :
plaques avec ventilateurs et cordons en partie haute et socle en partie basse,
pieds réglables,
plaque passa-fil avec balai,
tablettes fixes pour produits actifs,
glissières, rail DIN,
bloc d’alimentation de 5 prises 2 P + T avec parafoudre et filtre anti-parasistes,
switch Ethernet,
panneaux de brassage téléphone et informatique 19‘’.
Câblage :
Le support de câbles s’effectuera en fonction de l’environnement.
Quel que soit le type de canalisations (chemins de câbles, goulotte, plinthe,…), elles devront être
dimensionnées pour permettre des angles droits tout en respectant le rayon de courbure minimum des câbles.
Généralement, on adoptera les valeurs suivantes :
8 à 10 fois le diamètre pour les câbles à paires torsadées,
15 fois le diamètre pour les fibres optiques.
Les croisements des canalisations courants faibles / courants forts s’effectueront à angle droit sans respecter la
règle d’écartement.
Distribution verticale :
Les dimensions de supports des câbles dépendront de l’importance des locaux et des installations. Toutefois,
les colonnes montantes devront être largement dimensionnées (50% d’espace libre) afin de permettre un
recâblage. De plus, les passages entre étages seront obturés de façon ignifuge pour éviter la propagation du
feu.
Distribution capillaire :
Le câblage horizontal du bâtiment empruntera plusieurs types de canalisations :
goulotte,
chemins de câbles,
parcours en faux-plafond,
en plinthe technique.
Les ISLETTES
PAGE 47 / 49
Dans le cas d’une desserte par plinthe technique devra comporter 3 compartiments, il ne sera pas nécessaire
que les cloisons de séparation soient en alu si la distance entre le compartiment supérieur accueillant les
courants forts et le compartiment inférieur destiné aux courants faibles VDI est au moins égale à 50 mm.
Pour les câbles courants faibles alimentant un poste de travail, il conviendra de prévoir un passage d’une
section utile de 200 mm².
De plus, afin de limiter l’épaisseur de la couche des câbles et de faciliter l’exploitation ultérieure des chemins de
câbles, il sera prévu de doubler la section utile.
La distribution capillaire devra supporter des réseaux hauts débits et sera de classe E – catégorie 6.
On utilisera au minimum des câbles écrantés FTP 100.
Protection – Compatibilité Electro-magnétique :
Le soin apporté à la réalisation du câblage conditionnera le résultat final.
En vue de la CEM, il conviendra de respecter les règles de mise en œuvre conformément à la norme EN 55022
relative aux perturbations sur les appareils de traitement de l’information.
Pour avoir une bonne installation CEM, il sera nécessaire de réaliser un maillage des masses, de différencier la
circulation des câbles courants forts et courants faibles, d’utiliser des câbles écrantés, de filtrer éventuellement
les alimentations et de mettre des protections (parasutenseurs) sur les câbles venant de l’extérieur.
A cette fin, il sera nécessaire d’avoir une alimentation électrique dédiée à l’informatique totalement
indépendante de l’alimentation électrique desservant tout le reste. Ensuite, on évitera les boucles de courants,
génératrices de champ magnétique, en rapprochant les câbles de données et l’alimentation électrique de
l’informatique.
En outre, on recherchera un éloignement maximum avec les sources parasites :
courants forts tels que le secteur,
moteurs électriques,
appareils électroniques,
tubes fluorescents à stater dont la distance avec les câbles sera d’au moins 50 cm.
Enfin, si les câbles cheminent parallèlement avec des courants forts, autres que l’alimentation électrique de
l’informatique, des distances minima d’éloignement devront être respectées en l’absence de protection
mécanique particulière.
Prises terminales :
Le connecteur unique sera l’embase RJ 45 monté sur support encliquetable de dimensions 45 x 45 mm. –
adaptable sur les plinthes techniques des locaux.
En outre, il incorporera un porte étiquette permettant de loger une étiquette amovible.
Procédures de recette technique :
Les tests de mesures à effectuer auront pour objet de vérifier que chaque paire est conforme d’une part, au
plan d’installation, et d’autres parts, à la quantité de transmission exigée. Ces tests se feront en coordination
avec le Maître d’ouvrage.
Les ISLETTES
PAGE 48 / 49
A ce titre, le contrôle devra s’assurer pour chaque paire :
de la mesure de la diaphonie et du taux de réflexion,
du raccordement correct de chaque extrémité,
de la continuité de chaque paire,
du respect des polarités,
de l’absence de court-circuit entre ses deux conducteurs,
de l’isolement par rapport à la terre et autres conducteurs,
de l’absence de dépairage,
du non-dépassement de la longueur maximale autorisée,
de la résistance en boucle,
de l’exactitude de son identification par rapport aux plans d’installation.
Enfin, un test dynamique sera exigé.
Plinthes techniques :
La distribution informatique, et les courants forts des prises de courant se fera dans des goulottes préfabriquées
à compartiments.
Cette goulotte sera placée en plinthe.
Chaque plinthe horizontale sera « remonté » verticalement pour rejoindre le faux plafond.
•
Sur les plinthes fourniture et pose de postes de travail comprenant chacun :
1 prise type RJ 45, sauf spécification contraire
5.18 ÉCLAIRAGE EXTERIEUR
En périphérie des bâtiments l’éclairage extérieur des abords sera assuré par :
Des projecteurs de type fluocompact avec ampoule à allumage instantanée, chaque projecteur sera
prévu avec détecteur de présence.
o
o
o
3 sur le batiment classe 1-2-3
3 sur le batiment classe 4-5
6 sur le batiment Neuf
Les projecteurs seront sous dépendance d’un programmateur avec horloge J/H.
Localisation
: Suivant tableau
Les ISLETTES
CHAPITRE 6
6.1
PAGE 49 / 49
DESCRIPTIONS DES OUVRAGES - OPTION
OPTION
L’entreprise prévoira dans toutes les classes un système de variation de l’éclairage en fonction de la lumière
naturelle en comprenant les éléments suivants :
Double bouton poussoir,
La cellule photoélectrique
Le module de gestion
er
Le système regulera plusieurs rampes. (1 le long des vitrages et la seconde le long de la circulation..)
6.2
OPTION Autocom
Le present lot devra prévoir la fourniture et pose d’un autocom comme décrit au chapitre téléphone.

LOT 13 ELECTRICITE oct 2009 - Communauté de Communes du

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