ce que l`arbre - Dossier

Transcription

ce que l`arbre - Dossier
Dossier de presse ::: Saison
S
11I 12
…….…….…….…….…….…
21 février au 3 mars 2012 I Théâtre de Lenche
Ce que l’arbre
m’a raconté
Contes et récits yiddish et hassidiques
Association Yankele – conte & musique tout public
Un spectacle de
Aristide Demonico, Nathalie Soussana et Yannick Thépault
……….…….
…….…….…….…….…….
…….…….…….
Contact presse:: Sylvia Duranton / 04 91 91 52 22 / [email protected]
Théâtre de Lenche - 4, place de Lenche - 13002 Marseille www.theatredelenche.info
1
Distribution
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Avec
Aristide Demonico, comédien
Yannick Thépault, clarinettiste
Sous le regard de Nathalie Soussana
Scénographie de Gérard Combes
Musique de Yannick Thépault
Le spectacle
…….…….…….…….…….…………………………………………...
« S’il y a des miracles, c’est parce que nous avons besoin d’y croire, dit le Rabbi de
notre spectacle, mais moi, je crois que ce sont les histoires qui font les miracles.
Alors, je vous le dis, mes enfants, racontez les histoires… »
…Alors, nous avons suivi sa recommandation et nous avons puisé dans la légende…
« La légende hassidique, écrit le philosophe juif Martin BUBER, a vu le jour dans
d’étroites ruelles, dans des habitations insalubres…Un murmure l’a fait naître, un
murmure l’a transmise de génération en génération…Je l’ai reçue de recueils de
légendes populaires, de cahiers et de feuilles volantes, parfois même de bouches
vivantes. Je l’ai reçue et je l’ai racontée à mon tour… ».
A notre tour, nous avons plongé dans cet univers, nous avons recueilli quelques
unes de ces histoires, contes de Rabbi Nahman de Bratslav, récits hassidiques, nous
les avons cousus ensemble selon la vieille dramaturgie du tailleur au point de
«patchworld» (connu de tous les peuples du monde) et nous avons écrit des
musiques pour leur donner un air d’hier tout à fait d’aujourd’hui… Voilà comment
s’est bâtie la charpente un peu bancale de notre maison de contes yiddish que nous
avons plantée à Kasrilevkè, bourgade juive mythique et imaginaire de Sholem
Aleikhem.
Qui mieux qu’un arbre peut rendre compte du bruissement de la légende ? Le nôtre
est couché sur la place du marché, témoin bienveillant de tout un petit peuple, ces
petits bonshommes qui courent et s’agitent, s’entraident, se querellent et vivent sans
prendre le temps de vivre ni même de regarder le ciel !
Et la nuit, les histoires qu’il a entendues, notre arbre les raconte à son tour...
Un spectacle, en somme, qui parle de choses toutes simples.
2
Sur scène un arbre, un musicien, un comédien racontent… avec des mots d’homme,
des mots d’arbre, avec une clarinette aux accents klezmer qui chante cette musique
si joyeuse venue des fêtes populaires du Moyen-âge et que le Hassidisme aura
largement contribué à répandre…ils racontent à nos oreilles, qui diront à nos
bouches, qui à leur tour…
Le Hassidisme, mouvement spirituel et religieux juif, a donné naissance à une
multitude de récits et légendes qui l’ont colporté et propagé. Par la puissance
libératrice qu’il a développée et l’influence considérable qu’il aura eu dans le
domaine des arts, littérature, poésie, musique, théâtre et peinture, le Hassidisme
déborde largement la sphère du religieux et sa portée va bien au-delà du monde juif.
Et Dieu dans tout ça ? Il est présent partout, dans tout et dans la nature. Un Dieu un
peu panthéiste en quelque sorte. A y regarder de pas trop près, le Dieu yiddish ne
semble pas tout à fait le même que le Dieu de la bible. Moins vengeur et moins
redoutable peut-être. Est-ce d’avoir habité dans les pauvres masures le long des
ruelles étroites et boueuses des shtetls (petites bourgades à majorité juive), il paraît
plus proche sinon plus clément, et il n’est pas rare que tel Rabbi lui demande des
comptes et lui fasse de lourds reproches, « Tu as de la chance, Dieu, d’habiter si
haut, sans ça on viendrait casser les vitres de Tes fenêtres ! » Le diminutif « goteniou
» donne bien l’idée de cette familiarité qui s’est installée entre lui et ses fidèles,
comme si le yiddish et le Hassidisme l’avaient amadoué, apprivoisé peut-être
même…qu’on nous pardonne cette idée hérétique ! Ce Dieu là ne nous fait pas peur.
…alors nous sommes revenus de notre plongée en eaux hassidiques avec l’envie,
mais l’envie forte d’offrir quelques unes des fleurs de poésie que nous avons
cueillies, de raconter quelques unes de ces histoires rares et édifiantes, de faire
entendre quelques unes de ces belles paroles de Rabbis, de ces mots superbes
dans leur simplicité, sans littérature, terre à terre parfois, qui nous élèvent pourtant
un peu au-dessus des pâquerettes et, sans que l’on sache ni pourquoi ni comment,
aident à vivre … peut-être parce qu’ils touchent à quelque chose d’essentiel que l’on
ne parvient pas facilement à nommer !
On raconte que vers la fin de sa vie, Rabbi Zoussya d’Hanipol prononça ces mots :
Dans le monde qui vient on ne me demandera pas « pourquoi n’as-tu pas été Moïse
? », non, la question qu’on me posera sera « pourquoi n’as-tu pas été Zoussya ? ».
C’est tout simple, non ?
Aristide Demonico
Février 2010
3
Note d’intention
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Les premières histoires que j’ai entendues en yiddish se mélangent encore
aujourd’hui à la voix de ma cousine qui tentait de m’en faire une traduction
simultanée : « ça c’est intraduisible ! » me disait-elle lorsque l’assemblée partait d’un
grand éclat de rire ou se mettait à soupirer à l’unisson. Et voilà comment le yiddish
est devenu pour moi cette langue mystérieuse aux métaphores et paraboles
«intraduisibles ».
Un peu plus tard j’ai rencontré la clarinette klezmer de Giora Feidman, ce fût un coup
de foudre, et ces histoires se sont remises à courir dans ma tête. Alors je me suis
plongée dans les récits de Sholem Aleichem, de Isaac Leib Peretz. J’ai voyagé avec
Menachem Mendl le rêveur, avec Tévié le laitier, j’ai visité Chelm, Yehoupets,
Odessa,… Et puis j’ai rencontré Aristide Demonico, et ces personnages se sont
incarnés. Ils ont eu une voix, un visage, un sourire, une manière de se frotter le nez
pour réfléchir !
J’ai dit « tu ne voudrais pas raconter des contes Yiddish sur scène ? » « OH oui »
m’a-t-il répondu. Et toute la force de notre désir commun était dans ce OH ! Si vous
me demandez pourquoi ce désir, je répondrais comme les petits bonhommes de
Kasrilevkè : « vous le voyez bien, je désire ». La question serait plutôt de savoir
comment raconter, comment faire entendre une langue que vous n’entendrez pas ou
peu, puisque les contes sont traduits en français. La clarinette s’est immédiatement
imposée. La clarinette de Yannick Thépault, la seule aujourd’hui qui me fasse rire et
pleurer, qui ait la verve et la douceur, la magnificence et l’intimité de mon Yiddish
imaginaire.
A mol iz gueven - Il était une fois - un monde de villes et de shtetls dans lequel sont
nées ces histoires. Aujourd’hui ce monde vit dans les contes, il est devenu pour nous
un royaume mythique.
Nathalie Soussana
Février 2010
4
A propos de la musique
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Comment décrire le shtetl de Kasrilevkè, ce village où les maisons ont été plantées
un peu dans tous les sens, où l’espace qui les sépare se réduit à presque rien,
comment parler de ses habitants, ces êtres délurés, faiseurs de bons mots aux âmes
vives et joyeuses, enfin par quelle magie un vieux tronc d’arbre peut-il nous
transmette les histoires dont il a été témoin ?
Par la musique ! Celle que les petits bonhommes de Kasrilevkè ont inventée : la
musique klezmer. Cette façon unique de jouer qui dans une même phrase peut vous
tirer des larmes et vous donner l’envie de tourbillonner.
Comme un conteur utilise ses propres mots, notre musicien a imaginé ses propres
notes sur le canevas klezmer : des compositions originales servies par la clarinette
ou plutôt les clarinettes qui se superposent, se donnent le rythme et sont à la
musique klezmer ce que le rire et les lamentations sont à nos petits bonshommes.
Yannick Thépault
Février 2010
Scénographie
…….…….…….…….…….…………………………………………...
« Ce que l’arbre m’a raconté »… deux éléments qui nous ramènent à l’essence de
l’homme. La parole et l’arbre.
De tout temps, l’homme s’est assis et a raconté des histoires. De tout temps,
l’homme s’est servi de l’arbre. Il l’a brûlé, transformé, replanté, façonné. Même
l’industrie s’en est mêlée. L’occasion était trop belle de pouvoir ici, par la force de
notre imaginaire, faire le chemin inverse et de redonner toute sa « nature » à un
objet manufacturé. Construire la nature nous même !
Rendre le bois aux arbres… Comme si nous avions une dette. Une dette de silence
et de complicité. Une dette de durée… Une dette de transmission. Ne parle-t-on pas
de l’enracinement des histoires, de leur attachement à un sol et à une tradition. Voilà
donc notre arbre, vivant uniquement de par la symbolique des rêves. Un arbre où l’on
peut s’asseoir, rêver, écouter et malgré tout se sentir les deux pieds bien au sol.
Gérard Combes
Février 2010
5
Une histoire de Rabbi Nahman de Bratslav
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Un jour le roi fit venir son conseiller pour lui faire part de son angoisse.
— J'ai lu dans les étoiles que tous ceux qui mangeront de la récolte prochaine seront
frappés de folie. Que faire, mon ami ?
— Eh bien Sire, c’est tout simple, nous n’en mangerons pas. La récolte de l'année
passée n'est pas encore épuisée. Il n’y a qu’à la réquisitionner, il en reste bien assez
pour vous. Et pour moi.
— Et les autres ? Les sujets de mon royaume ? Les serviteurs fidèles de la couronne
? Les hommes, les femmes, les fous, les mendiants, tu les oublies ! Et les enfants, tu
oublies aussi les enfants ?
— Je n'oublie personne, Sire. Mais votre conseiller est réaliste, il doit tenir compte
des possibilités. Nous n'avons pas assez de réserves pour donner à manger à tout le
monde. Il en reste juste assez pour vous. Et pour moi.
Alors le roi s'assombrit :
— Ta solution me déplaît. S’Il n'y en a pas d'autre, tant pis. Je ne veux pas séparer
les gens et encore moins les opposer, je refuse de demeurer lucide au milieu d'un
peuple qui ne l'est plus. Nous entrerons donc dans la folie, toi et moi, comme les
autres, avec les autres. Dans un monde en délire, il ne sert à rien d'observer du
dehors : les fous nous prendront pour des fous. Cependant j'aimerais sauvegarder
quelques reflets de notre gloire présente, de notre angoisse aussi ; j'aimerais
maintenir vivant le souvenir de notre démarche, de notre décision. J'aimerais que le
moment venu, toi et moi, nous soyons conscients.
— A quoi bon. Sire ?
— Cela nous aidera, tu verras. Qui sait, il se peut que grâce à nous les hommes
sachent résister plus tard, même s'il est trop tard.
Alors posant la main sur l'épaule de son ami :
— Nous allons graver sur nos fronts le signe de la folie. Et chaque fois que je te
regarderai, chaque fois que tu me regarderas, nous saurons l'un et l'autre que nous
sommes fous.
6
Le Hassidisme : Quelques repères
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Connaissez-vous l’histoire du forgeron qui voulut devenir indépendant ? Il acheta une
enclume, un marteau, un soufflet et se mit au travail. En vain. La forge restait inerte.
Alors un vieux forgeron, à qui il alla demander conseil lui dit : Tu as tout ce qu’il te
faut… sauf l’étincelle. L’hassidisme, c’est cela : l’étincelle.
Au milieu du 17ème siècle, les populations juives d’Europe de l’est sont dans un
profond désarroi et une grande misère. La révolte des cosaques et les massacres qui
l’ont accompagnée, laissant derrière eux mort et désolation, les ont plongées dans
un climat de terreur et de désespoir sans précédents.
Dans ce contexte va se développer un mouvement piétiste populaire qui donnera lieu
à une véritable révolution culturelle et existentielle que l’on nommera « Hassidisme ».
Dans le même temps, la philosophie des lumières, prenant la forme d’un mouvement
appelé « Haskala », faisait irruption dans le monde juif d’Europe orientale. Ces deux
mouvements constitueront des tentatives de réponse du judaïsme aux nouveaux
défis de la réalité et seront d’un grand réconfort pour les populations en détresse.
Mais tandis que la Haskala prônait l’intégration, l’européanisation de la culture juive,
« le Hassidisme tenta au contraire de recréer l’assise émotionnelle et philosophique
du désir de spécificité juive » (1).
Le Hassidisme - du mot hébreu « hassid » qui signifie « pieux » - naquit en Podolie
sous l’impulsion d’Israël ben Eliezer (1700-1760), plus connu sous le nom de BaalShem-Tov (Le Maître du Bon Nom). On pourrait dire que le Hassidisme est une
manière d’être, un plaidoyer pour une existence joyeuse, heureuse : « C’est une
danse, une ronde qui trouve la force d’ouvrir un maillon pour donner un nouveau
souffle à la vie ». Modifiant profondément les pratiques religieuses, il entraînera de
grands bouleversements sociaux et renouvellera la pensée du rapport à Dieu et à la
nature en proposant une approche de la mystique juive accessible à tous. «La force
du Baal-Shem-Tov est d’avoir sut faire surgir du magma des superstitions populaires
l'idée d'un lien spirituel capable d'établir entre les hommes de nouvelles hiérarchies
plus nobles et moins arbitraires que celles de l'argent et de l'instruction qui
régissaient la vie juive sociale et religieuse» (1).
On trouve également parmi les maîtres fondateurs du hassidisme, Rabbi Nahman de
Braslav (1772-1810) qui s’attacha à mettre en scène, sous forme de récits et
paraboles - qu'il improvisait en yiddishdevant ses fidèles -, les principes de sa
conception mystique, mais aussi les drames typiquement modernes du croyant
déchiré entre foi et raison.
« C’est ainsi que Maîtres et disciples, bâtirent une doctrine et une pratique où, dans
l'ensemble, l'aspect positif, voire révolutionnaire, l'emportait sur l'archaïsme dont le
Hassidisme fut toujours accusé… Par le chant, la danse, parfois l'allégresse de
l'alcool, la joie du coeur et du corps fut mise à l'honneur, comme moteur mais
également en tant que but et prime du progrès spirituel » (1).
Au sein de cette nouvelle organisation et de cette pratique profondément
transformée, la figure du Tsadik tient une place centrale. Contrairement au rabbin
dont la fonction officielle est octroyée à la suite d'études, le Tsadik, le juste, appelé
7
rabbi, est un élu « naturel ». Il est reconnu par les fidèles à qui il s'impose par son
charisme et son ascendant spontané. Il devient ainsi le guide spirituel d'une
communauté, on lui demande audience, on lui adresse des suppliques de tous
ordres. Quelques idées fortes et simples du Hassidisme révolutionnaire de la
première époque sont aujourd’hui encore résolument modernes : « Il ne suffit pas
que le monde tourne, comme le voudraient les anges, si semblables aux faux
personnages importants, dont parlait Rabbi Nahman, encore faudrait-il qu'il tourne
avec du sens…»
(1) I. Niborski, Introduction Théâtre Yiddish 2 – L’Arche Editeur.
8
L’équipe artistique
…….…….…….…….…….…………………………………………...
Aristide DEMONICO
Après une formation classique de comédien (Julien Bertheau et Denys d'Inès furent
ses maîtres), Aristide DEMONICO a fait partie de la grande aventure théâtrale de la
Banlieue parisienne, de lanaissance du Théâtre Gérard Philipe de Saint Denis à celle
du festival des Amandiers, d'Aubervilliers à Boulogne Billancourt... Il y a fait son
apprentissage d'acteur et réalise plusieurs spectacles sur des textes de poètes,
Maïakovski, Jacques Prévert, (avec Mouloudji au théâtre du Vieux Colombier),
Rimbaud, Baudelaire …
- Dirige pendant 2 saisons les activités théâtrales de la Maison de la culture de
Bourges. Met en scène Labiche, Nazim Hikmet, Beaumont et Fletcher.
- Création de l’ATEM avec Georges Aperghis.
- Au théâtre une soixantaine de rôles…Ces dernières années, sous la direction de
Michel Didym, Jacques Kraemer, René Loyon, Josanne Rousseau, Viviane
Théophilidès, Anne Quesmand, Dominique Verrier, Hélène Vincent, Jacques Vincey,
Lisa Wurmser…
-Tourne au cinéma avec Jean Eustache, François Dupeyron, Nicolas Klotz, Nicole
Garcia, Guillaume Nicloux, Phippe Ramos, Jacques Maillot, Michel Soutter, JeanPierre Darroussin…
- Auteur et metteur en scène, en 1982, il crée le Théâtre du Buisson avec lequel il
s'emploie à faire connaître en France le répertoire du théâtre yiddish - traductions,
lectures et spectacles (Théâtre de l'Athénée, Théâtre National de Chaillot, festival
d'Avignon). Il met également en scène Le Jeu de Hotsmakh de Itsik Manger puis
Itinéraire, spectacle évocation de ce poète. Aujourd'hui trois volumes de théâtre sont
édités chez l'Arche Editeur.
Yannick THEPAULT
Il obtient ses prix de conservatoire de clarinette, musique de chambre, formation
musicale, un premier prix de l’U.F.A.M., un prix d’excellence L.Bellan ainsi qu’un
diplôme d’état de professeur de clarinette. Il étudie le chant, la contrebasse et l’art
dramatique. Il entre dans l’orchestre des Gardiens de la Paix de Paris en 1985.
Parallèlement, il subit l’influence de Giora Feidman et se passionne pour la musique
Klezmer, il crée le groupe YANKELE en 2000.
Il prend la direction de l’orchestre d’harmonie de La Courneuve en 1990. Il est
pendant neuf ans le directeur musical de la troupe ADAMA (casino de Paris, Genève,
Istanbul...). En 2005 il dirige l’opéra Brundibar de Hans Krása à la salle Jacques Brel
de Fontenay sous Bois. Clarinettiste-comédien, il joue dans les pièces d’Anne
Quesemand Cabaret Kafka et la Fiancée d’Aleph, de Corine Laporte Schubert et
plus si affinité, de Mélanie Jackson Schubert, Deutsch 999. Il fait parti de la
compagnie l’amour fou au sein de laquelle, il joue dans la trilogie du revoir de Botho
Strauss, puis comme compositeur et interprète dans la pièce Voyage sans
surveillance de Catherine Lévy Marié.
9
Discographie :
L’Esprit du Klezmer - Yankele (Buda Musique)
Paris Klezmer – Yankele (Buda Musique)
Vagabond - Georges Moustaki (EMI)
Musiques Juives en Ballade - Adama (B.M.G.)
Les plus belles chansons d’Israël - ADAMA (Sony Music)
Comptines du Jardin d’Eden, livre disque (Didier Jeunesse)
Comptines de Babouchka, livre disque (Didier Jeunesse)
Comptines et berceuses de Bretagne, livre disque (Didier Jeunesse)
Notches, notches - Marlène Samoun
Nathalie VIAU SOUSSANA
Pianiste, accompagnatrice et pédagogue, Nathalie Soussana collabore
régulièrement avec les Editions Didier jeunesse au sein de la collection « Berceuses
et comptines du monde ». Après des études musicales couronnées par de nombreux
prix et récompenses, Nathalie Soussana suit une formation théâtrale avec Jean
Brassat et Hélène Darche. Assistante d’enseignement artistique titulaire au
conservatoire de Dugny, elle a en charge depuis 2002 l’écriture, la conception, la
réalisation et la mise en scène des spectacles du conservatoire (jusqu’à 90
participants) : « À l’ombre de l’olivier », (d’après le livre édité chez Didier Jeunesse),
« Romances de Paris », « Silence on tourne », « Avec le temps » « La traversée », «
Tango passion » « histoires de chats » …
Pianiste et comédienne, elle joue dans : « Schubert et plus… si affinités » (créé au
théâtre du Renard) et fait partie de la compagnie « L’amour fou » : tournées en
France, en Belgique et en Suisse dans la pièce de S. Zweig « Lettre d’une inconnue
». Elle crée en 2009 « La petite chronique d’Anna Magdalena Bach » avec la
compagnie du passage. Elle est l’auteur de : Berceuses et comptines du jardin
d’Eden (Prix de l’académie Charles Cros, prix Mino 2005), Berceuses et comptines
de Babouchka (Prix de l’académie Charles Cros 2006) chez Didier Jeunesse. Elle
met en scène « Comptines du jardin d’Eden » (créé au Musée d’Art et d’Histoire du
Judaïsme en 2007)
Discographie :
« Berceuses et comptine du jardin d’Eden » (Didier Jeunesse),
« Comptines de Babouchka » (Didier Jeunesse)
« Les plus belles chansons d’Israël » avec Adama (Sony Music).
Depuis 2000, elle assure le management du groupe de musique klezmer Yankele.
10
Lenche pratique
……...…….…….…….…….…….………………………………….
•
Renseignements et réservations :
| 04 91 91 52 22
| www.theatredelenche.info
•
Lieu de représentation:
Théâtre de Lenche
4, place de Lenche– 13002 Marseille
•
Dates et horaires:
Durée du spectacle : 1h05
|Mardi, Vendredi et samedi à 20h30 | mercredi et jeudi à 19h
•
Tarifs :
| Général : 16 €
| Réduit : 8 € (intermittents, - 18 ans, habitants du 2ème, adhérents théâtres partenaires,
chômeurs)
| Bénéficiaires du RSA : 2€
| Carte spectateur : (3 spectacles – carte nominative) : 18 €
| Carnet à plusieurs : (6 billets à partager, usage limité à 3 billets par représentation) : 36 €
| Le mercredi : une place au tarif général = 1 place offerte
•
Accès :
| Métro Joliette (ligne 2), Métro Vieux Port (ligne 1)
| Bus 49, Tramway arrêt Sadi Carnot
| Parking Jules Verne
I Station Vélo à proximité : place Daviel ou Bd Schuman
11

Documents pareils