Louis Roussel (1921-2011)
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Louis Roussel (1921-2011)
Population-F http://www.necplus.eu/POF Additional services for Population-F: Email alerts: Click here Subscriptions: Click here Commercial reprints: Click here Terms of use : Click here Louis Roussel (1921-2011) François Héran Population-F / Volume 65 / Issue 04 / December 2010, pp 621 - 634 DOI: 10.4074/S0032466310004014, Published online: 15 June 2011 Link to this article: http://www.necplus.eu/abstract_S0032466310004014 How to cite this article: François Héran (2010). Louis Roussel (1921-2011). Population-F, 65, pp 621-634 doi:10.4074/S0032466310004014 Request Permissions : Click here Downloaded from http://www.necplus.eu/POF, IP address: 78.47.27.170 on 15 Feb 2017 Louis Roussel (1921-2011) Louis Roussel est décédé le 26 janvier 2011, à la veille de ses 90 ans. Pour ses collègues de l’Ined et de l’Université Paris-Descartes, comme pour le public plus large qu’il avait su conquérir, il fut l’un des premiers chercheurs français à s’appuyer sur l’analyse démographique pour décrire en profondeur l’évolution des structures familiales et donner ses lettres de noblesse à une spécialité négligée jusque-là, la sociologie de la famille. Sa production la plus connue s’étend du milieu des années 1970 à la fin des années 1990. Aussi affable que discret, Louis Roussel ne parlait guère sur son passé. Il vaut la peine cependant de retracer sa trajectoire, qui ne manque pas de cohérence. Si l’on retient aujourd’hui ses essais sur l’évolution de la famille, à la perspicacité toujours empreinte de nostalgie, le fait est qu’il revendiquait son diplôme d’expertdémographe. Longtemps, il privilégia les données d’observation avant de se croire autorisé à livrer son point de vue personnel sur l’évolution de la société. Pour beaucoup, ce changement de genre à la fin des années 1980 fut une surprise tant il paraissait tardif : Roussel avait déjà 68 ans quand parut son essai le plus connu, La famille incertaine. La plupart des sociologues en vue sur la place de Paris « ne l’avaient pas vu venir ». Avec le recul, il ne fait plus de doute qu’il a toute sa place dans l’histoire de la science sociale française. La jeunesse de Louis Roussel est marquée par la guerre, qui interrompt ses études. En 1943, il suit les formations de cadres du groupe de résistance Périclès, qui s’était constitué en Haute-Savoie avant de basculer sur le Jura. En octobre 1944, il est mobilisé et reçoit la croix de guerre avec deux citations. Il décroche en 1947 un diplôme de philosophie à la Faculté d’Aix-en-Provence et enseigne en lycée pendant une dizaine d’années. Mais sa véritable vocation est ailleurs. Lecteur des travaux de Jean Stoetzel, de Pierre George et d’Alfred Sauvy, il décide à 35 ans d’entamer un nouveau cursus universitaire. Il décroche des certificats de psychologie sociale et d’économie politique avant de s’inscrire à l’Institut de démographie de la Sorbonne, d’où il sort avec le diplôme d’expertdémographe. Il a déjà 40 ans. Ayant présenté sa démission de l’enseignement secondaire en 1961, Louis Roussel entre comme chargé d’études à la Société d’études pour le développement économique et social (Sedes), un organisme lié à la Caisse des dépôts et à la Banque française pour le commerce extérieur et dont est issue l’actuelle Agence française pour le développement. Au lendemain des indépendances, la Sedes menait des études de marché sur le développement du tiers-monde, Population-F, 65 (4), 2010, 621-634 Louis Roussel mais ces études éparses devaient être replacées dans des synthèses plus générales sur les mutations socioéconomiques des pays concernés. Ce fut la mission dévolue à Roussel, qui rédigea dans ce cadre plusieurs synthèses de démographie et de sociologie sur la Côte d’Ivoire et l’Afrique de l’Ouest (voir bibliographie). Ces travaux furent longtemps cités par les ethnologues français de l’Ehess et de l’Orstom (devenu IRD) et Roussel y fera lui-même de discrètes allusions dans ses écrits des années 1970 et 1980. On est frappé, en lisant aujourd’hui ces premiers travaux, d’y repérer des préoccupations que Roussel développera plus tard à propos de la société française. Ainsi, quand il étudie les Senoufo de Côte d’Ivoire, dont les migrations s’étaient développées avec la fin du travail forcé, il s’attache à décrire la diversité des « modèles d’union », l’existence coutumière de comportements sexuels très libres avant le mariage et le fait que le couple ne forme pas encore une véritable unité de décision : le mari est une sorte de visiteur, les enfants de la femme restent sous la dépendance du frère. Mais la modernisation fait son œuvre, les Senoufo « voient actuellement le système général de leurs institutions se désagréger », les jeunes ne songent qu’à y échapper en se jetant dans l’exode rural, portés par des aspirations qui ne se résument pas à la recherche d’emploi mais qui répondent au désir d’autonomie et à la quête de reconnaissance. Dès cette époque, Louis Roussel montre une autre préoccupation notable : la méthodologie des enquêtes. Il travaille en cheville avec les administrateurs de l’Insee, qui débutaient souvent leur carrière dans les instituts de statistique des pays africains. Il s’intéresse à la mise au point de protocoles d’observation efficaces, comparant les enquêtes ponctuelles et les enquêtes à passages répétés. L’ étude qu’il cosigne en 1968 dans Population traite de la mobilité des ménages à Abidjan. La composition du ménage et sa définition même y sont soigneusement explorées. L’ article se conclut sur un appel à créer un observatoire continu des migrations en milieu urbain, une idée prémonitoire que les démographes du développement ne mettront en œuvre que beaucoup plus tard. Roussel témoigne à cette occasion d’un précieux savoir-faire en matière d’enquêtes. Dès ces écrits de la quarantaine se manifeste la propension à lier l’observation empirique à des interprétations plus générales, de type psychosocial, le tout dans une langue sobre et élégante. Au cours des six années passées à la Sedes (1961-1967), Louis Roussel reste en contact avec ses maîtres de l’institut de démographie de Paris. Sous la direction du géographe Pierre George, il soutient en 1967 une thèse de 3e cycle sur les migrations temporaires et durables en Afrique francophone. En octobre 1967, à 46 ans, il est nommé maître-assistant à la Sorbonne aux côtés de Jean Stoetzel et d’Alain Girard. L’ année suivante, l’Ined le recrute à temps partiel comme chargé d’études. Il conservera jusqu’à sa retraite la double affiliation entre la Sorbonne et l’institut. Le directeur de l’Ined donne cette justification au ministère : « collaborant avec M. Girard à la Faculté, il est du plus grand intérêt que M. Roussel puisse collaborer aussi avec lui à l’Ined ». 622 Louis Roussel À cette phase de sa carrière, Louis Roussel apparaît comme un collaborateur plutôt discret d’Alain Girard, alors chef du département de psychosociologie de l’Ined. Le domaine dans lequel il se spécialise, la sociologie de la famille, est encore jugé des plus mineurs. C’est là pourtant qu’il commence à donner toute sa mesure, réalisant coup sur coup une série d’enquêtes novatrices, accompagnées de synthèses percutantes, qui contribueront à changer le regard des chercheurs français sur le domaine. En 1974, il soutient sa thèse d’État sous la direction d’Alain Girard, Le mariage dans la société française contemporaine, publiée l’année suivante dans un Cahier de l’Ined. Dans cette somme impressionnante, où la culture statistique alterne avec les références littéraires et sociologiques, Roussel se situe expressément dans le sillage de Durkheim et d’Halbwachs. Il reconnaît sa dette envers les pionniers des études de la famille : Andrée Michel, Alain Girard, Jean Carbonnier et, plus encore, Philippe Ariès. Lecteur attentif des sociologues anglo-saxons et scandinaves (c’est à ces derniers qu’il empruntera l’expression de « cohabitation juvénile »), il constate le retard flagrant des travaux français en matière de sociologie de la famille et entreprend de le combler en leur donnant une assise démographique. Dès cette époque, son travail manifeste une tension évidente entre, d’un côté, l’impérieuse nécessité d’asseoir ses spéculations sur des données solides et, de l’autre, le modèle de l’essai de haute volée, illustré par des auteurs comme David Riesman (La foule solitaire), Margaret Mead (Le fossé des générations) ou Serge Moscovici (La société contre nature), qu’il cite avec admiration. Conscient du hiatus qui sépare les deux genres, Louis Roussel s’en excuse presque, tout en finissant par le revendiquer. Le mariage dans la société française contemporaine cherche à coupler deux types de données, les séries démographiques et les données d’opinion. Roussel démontre qu’elles sont largement convergentes et qu’elles traduisent une véritable mutation des comportements depuis le milieu des années 1960, en même temps qu’un éclatement des modèles. Avec la modestie feinte dont il jouait souvent, il déclare renoncer à toute théorisation sur l’évolution du mariage, se contentant de « repérer, dans la richesse encore désordonnée des informations, quelques promesses d’une intelligibilité qui est le moteur de toute recherche en même temps que son inaccessible objectif ». Il se contente, à ce stade, de graduer les comportements sur une échelle qui va « de la plus grande permissivité à l’extrême rigorisme », tout en appelant de ses vœux une typologie plus fine s’appuyant sur des échantillons plus représentatifs. Parallèlement à la rédaction de sa thèse, Louis Roussel participe, aux côtés de Patrick Festy, à plusieurs enquêtes destinées à préparer la grande réforme du divorce de 1975. Mais la principale production de ces années très fécondes reste incontestablement son enquête sur « la famille après le mariage des enfants », sous-titrée « étude des relations entre les générations », qu’il réalisa en 1974 avec un financement du ministère de la Justice et publia en 1976. Dans cette enquête, il interroge simultanément un échantillon de 1 260 enfants mariés de moins de 45 ans ayant encore au moins un parent survivant, et un échantillon de 1 280 parents de moins de 80 ans ayant au moins un enfant 623 Louis Roussel marié de moins de 45 ans. Si les échantillons restent modestes au regard des normes actuelles, l’entreprise frappe par la somme des innovations accumulées, tant dans la thématique que dans la méthode. Roussel étudie les données de fait (comme la proximité des résidences), les comportements (fréquence des contacts entre les générations, nature des services rendus, transmission des biens, relations affectives), qu’il relie aux données subjectives (motivations, perceptions). Autre nouveauté, il s’adjoint la collaboration d’une psychologue, Odile Bourguignon, qui complète l’enquête statistique par une quarantaine d’entretiens qualitatifs. Il ressort de cette enquête sur les liens entre générations que l’indépendance des enfants mariés n’exclut pas une solidarité étroite avec les parents : l’autonomie croissante des ménages n’est pas synonyme de rupture. Roussel montre, par exemple, que la montée de l’espérance de vie modifie les rapports entre générations et que le modèle de la marche inexorable vers la famille nucléaire, tel que l’avait hâtivement développé Talcott Parsons, ne tient pas : les relations entre ménages proches issus d’une même famille sont plus intenses qu’on ne croit (ce point sera largement développé et confirmé au sein de l’Ined par les enquêtes de Daniel Courgeau, Catherine Bonvalet et Éva Lelièvre). Louis Roussel et Odile Bourguignon soulignent également l’asymétrie des échanges entre générations : les parents dispensent aide matérielle et sécurité tandis que les enfants les paient surtout de leur affection. Analyse pour le moins pessimiste : la norme du désintéressement continue de prévaloir en apparence, mais les relations entre générations forment « un jeu d’illusions complices », où la possessivité le dispute à la générosité, le chantage affectif à la confiance. Développant une hypothèse de Nicole Tabard et d’Agnès Pitrou, il redoute que la famille ne se fragilise au moment même où elle tend à devenir un refuge permettant d’échapper aux évolutions indésirables de la société dominante. À l’extrême fin des années 1970, Louis Roussel décline l’invitation de la direction de l’Ined à prendre la succession d’Alain Girard à la tête du département de psychosociologie. Les années de liberté qu’il se réserve ainsi déboucheront sur son essai le plus accompli, La famille incertaine, publié par Odile Jacob en 1989. Dans cet ouvrage, qui rencontrera un vif succès, il synthétise les principales transformations de la famille observées depuis le « retournement » de 1965 : divorce par consentement mutuel, recompositions familiales, progression de la cohabitation sans mariage et des naissances dites naguère « illégitimes », maîtrise instrumentale de la fécondité, engagement massif des femmes dans l’activité salariée, remaniement des rôles masculins et féminins. La famille n’est plus centrée sur un modèle unique, elle se diffracte dans des types inédits. Louis Roussel en distingue cinq : la « famille traditionnelle », aujourd’hui disparue, qui se contentait d’un régime affectif « tiède », scandé de loin en loin par des fêtes chargées de réactiver la tension ; la « famille moderne », née au XIXe siècle, où l’on poursuivait raisonnablement le bonheur dans le respect de l’institution matrimoniale ; la « famille fusionnelle », qui relègue le mariage à un simple rite formel, en s’efforçant de « prolonger la ferveur aussi longtemps que possible » ; 624 Louis Roussel la « famille-club », où les partenaires ont fait leurs calculs et se contentent d’un « concordat » fondé sur le donnant-donnant ; la « famille-histoire », enfin, où les conjoints travaillent à relever le « défi du désenchantement » par un long travail d’accommodement – type auquel allait clairement sa préférence. Frappé par la parenté de cette typologie avec la sociologie du rite et des variations de l’engagement dans les institutions (entre ferveur et démotivation), j’avais rendu compte de La famille incertaine en montrant de quelle façon elle retrouvait les grandes oscillations de la pensée sociologique sur le sens des institutions (Revue suisse de sociologie n° 19-1, 1993). J’insistais sur le fait qu’il était difficile d’établir une correspondance rigoureuse entre cette typologie des modèles et les données démographiques, tant le sens intime du conformisme ou le non-conformisme institutionnel est difficile à interpréter. Roussel avait tenu à commenter cette analyse dans le numéro suivant de la même revue, avec toute l’aménité et la finesse dont il était capable. Inutile d’entrer ici dans le détail de cette discussion. Citant Tocqueville, il concluait que le sociologue n’avait pas à trancher du bien et du mal mais seulement à « plaider pour la lucidité » en prenant sa part dans l’identification des « préférences collectives » et la recherche de nouvelles « certitudes ». De fait, dans cet essai comme dans ceux qui ont suivi, l’attitude de Louis Roussel devant les mutations de la famille ne laissait pas d’être ambivalente. D’un côté, il se défendait de toute visée normative. De l’autre, il s’inquiétait de la « désinstitutionnalisation généralisée » et de « l’oblitération du sens » qui menaçait une société sans projet commun. Démographe doublé d’un moraliste, au sens premier du terme (l’analyste des mœurs), Roussel se rattache en fin de compte à la longue chaîne des auteurs qui portent sur l’évolution sociale un regard désabusé et pessimiste, que l’on pourrait volontiers qualifier de conservateur, mais à la manière dont Tocqueville ou Durkheim étaient conservateurs. C’est précisément de la nostalgie de l’ordre social et familial ancien que ces auteurs tirent leur singulière lucidité sur l’ampleur des changements sociaux, ainsi que cette capacité à saisir avant d’autres la cohérence des mouvements observés çà et là, et à percevoir la lame de fond qui les porte. Doté de ce sismographe ultra-sensible, Louis Roussel a su percevoir l’ampleur des mutations qui s’annonçaient dès le milieu des années soixante. Il a frayé la voie aux chercheurs et aux analystes qui ont compris que le déclin du modèle familial traditionnel ne signait pas simplement la fin d’un monde mais ouvrait l’éventail des possibles et multipliait les modèles de comportement. Nous savons désormais que la reproduction sociale, et notamment la transmission des biens et des valeurs d’une génération à l’autre, mise désormais sur la flexibilité des structures plutôt que sur leur rigidité. Comme l’a montré François de Singly, l’autonomie des acteurs peut s’accommoder du maintien de solides références familiales. C’est en grande partie au travail pionnier de Louis Roussel que nous devons ces nouvelles approches. François Héran Institut national d’études démographiques 625 Louis Roussel Chronologie 14 février 1921 • Naissance à Metz 1943 • Suit les formations de cadres du groupe de résistance Périclès Octobre 1944 - Juillet 1945 • Mobilisé (croix de guerre, deux citations) 1947 • Diplôme de philosophie à la Faculté d’Aix-en-Provence 1948-1961 • Professeur certifié de philosophie dans l’enseignement secondaire 1958 • Certificats de psychologie sociale et d’économie politique 1961 • Diplôme d’expert-démographe de l’Institut de démographie de l’Université de Paris 1961-1967 • Détaché à la Société d’études pour le développement économique et social (Sedes) 1967 • Thèse de 3e cycle en géographie, sous la direction de Pierre George, Déplacements temporaires et migrations en Afrique francophone Octobre 1967 • Maître-assistant à la Sorbonne Août 1968 • Chargé d’études à temps partiel à l’Ined, tout en restant maître-assistant à la Sorbonne Octobre 1970 • Chargé de mission à l’Ined 1974 • Thèse d’État sous la direction d’Alain Girard, Le mariage dans la société française contemporaine 1976 • Maître de conférences à l’Université de Paris X-Nanterre Août 1977 • Conseiller technique à l’Ined, au niveau de maître de recherche Octobre 1978 • Professeur titulaire à l’Université de Paris X-Nanterre Juillet 1980 • Chevalier de la Légion d’honneur Octobre 1989 • Retraité de l’Université et de l’Ined 26 janvier 2011 • Décès 626 Louis Roussel Travaux et publications Ouvrages 1973 • Roussel Louis, Gani Léon, Analyse démographique : exercices et problèmes, Paris, A. 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L’Expérience des divorcés, Paris, PUF/Ined, Cahier n° 72, XII-256 p. • Roussel Louis, Girard Alain, Le mariage dans la société française contemporaine : faits de population, données d’opinion, Paris, PUF/Ined, Cahier n° 73, 408 p. 1976 • Roussel Louis avec la collaboration de Bourguignon Odile, La famille après le mariage des enfants : étude des relations entre générations, Paris, PUF/Ined, Cahier n° 78, 262 p. 1978 • Roussel Louis, Bourguignon Odile, Girard Alain, Générations nouvelles et mariage traditionnel : enquête auprès de jeunes de 18-30 ans, Paris, PUF/Ined, Cahier n° 86, VIII-292 p. 1989 • La famille incertaine – essai, Paris, Odile Jacob, 283 p. 1991 • Roussel Louis, Hibert Thérèse (dir.), La nuptialité : évolution récente en France et dans les pays développés, actes du 9e Colloque national de démographie, Paris, 3, 4 et 5 décembre 1991, Paris, Ined/PUF, Congrès et colloques n° 7, VIII-280 p. 1997 • Chasteland Jean-Claude, Roussel Louis (dir.), Les contours de la démographie au seuil du XXIe siècle : actes du colloque international « 1945-1995 : un demi-siècle de démographie, bilan et perspectives, Paris, 25-27 octobre 1995 », Paris, Ined/PUF, Congrès et colloques, VIII-434 p. 1999 • La famille incertaine – essai, Paris, Odile Jacob, Opus 90, 334 p. 2001 • L’enfance oubliée, Paris, Odile Jacob, 295 p. 2004 • Chasteland Jean-Claude, Loriaux Michel, Roussel Louis (dir.), Démographie 2000 : une enquête internationale par Internet auprès des démographes, Louvainla-Neuve, Bruylant-Academia, 368 p. 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