Département Études patristiques
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Département Études patristiques
2016-2017 Patristique www.centresevres.com L Le département Études patristiques propose des enseignements sur la littérature de l’Antiquité chrétienne. Il s’efforce d’allier une connaissance sérieuse des textes anciens à une réflexion de fond sur la portée philosophique et théologique de ces textes. Il offre de nombreux cours ou séminaires, depuis le niveau propédeutique jusqu’au niveau de la recherche, dans les champs de la patrologie grecque, latine et orientale. Il bénéficie, grâce à la bibliothèque du Centre Sèvres, d’un nombre important de livres et de périodiques sur le christianisme ancien. Les ressources du département permettent à des étudiants de préparer au Centre Sèvres un Master ou un Doctorat spécialisé en théologie patristique. Un séminaire de recherche se réunit dans le cadre de ce département, et permet une collaboration féconde avec des chercheurs appartenant à d’autres institutions universitaires. Le département est en outre lié par convention avec l’Institut des Sources Chrétiennes. Responsables : Isabelle BOCHET, s.f.x. et Michel FÉDOU, s.j. 2 Soirée organisée par le département Études patristiques du Centre Sèvres en collaboration avec l’Institut des Sources Chrétiennes La théologie de Cyrille d’Alexandrie (à l’occasion de la parution des livres III à V du Contre Julien dans la collection Sources Chrétiennes) Mercredi 30 novembre de 19h30 à 21h30 Avec la participation de Marie-Odile BOULNOIS, directrice d’études à l’École Pratique des Hautes Études (sciences religieuses), traductrice des livres III-V du Contre Julien Bernard MEUNIER, directeur de l’Institut des Sources Chrétiennes, auteur de Le Christ de Cyrille d’Alexandrie (Beauchesne, 1997). A u terme de la soirée, présentation des autres volumes de Sources Chrétiennes parus en 2016 par Paul MATTEI, Université Lumière – Lyon 2 et Institut des Sources Chrétiennes. Libre participation aux frais 3 n Cours Catherine SCHMEZER Grec patristique A01C (26h) • Jeudi de 14h30 à 16h30 les 13 octobre, 3 et 17 novembre, 1er et 15 décembre, 12 et 26 janvier, 16 février, 2, 16 et 30 mars, 20 avril et 4 mai Le cours s’adresse à ceux qui ont déjà une certaine connaissance du grec (environ 2 ans) et qui souhaitent aborder les grands textes patristiques dans la langue originelle. Le corpus sera choisi en commun en début d’année. La traduction sera toujours associée à un temps de commentaire, afin de mesurer en quoi le contact avec le texte originel permet de mieux saisir la pensée théologique de l’auteur. ECTS 2 / Tarif : 229 € Michel CORBIN Le repas du Seigneur dans les derniers traités de saint Augustin sur l’évangile de Jean A01C (32h30) • Samedi de 14h30 à 17h45 les 15 octobre, 19 novembre, 10 décembre, 7 et 28 janvier, 25 février, 25 mars, 29 avril, 20 mai et 17 juin Comment les Pères peuvent-ils nous guider dans l’intelligence des Écritures, nous faire retrouver des puits d’eau vive ? Cette double interrogation, nous l’honorerons en lisant les Traités 24 à 27 et une partie des Traités 55 à 103 de Saint Augustin sur l’évangile de Jean. Les uns expliquent le discours de Jésus sur le pain de vie, les autres commentent son discours après la Cène. À ce monument, qui contient des passages magnifiques sur la prière et la charité, sur l’humilité de Jésus et le don de l’Esprit, nous consacrerons dix samedis, articulés en deux ou trois temps : un exposé, un libre partage en groupe et, si besoin, une reprise. Aucune compétence spéciale n’est requise, sinon le désir de mieux « goûter comme est bon le Seigneur » (Ps 33, 9). ECTS 3 / Tarif : 284 € Catherine SCHMEZER Les pères apologistes A11C (16h) • Jeudi de 17h à 19h du 3 novembre au 5 janvier Pour répondre aux attaques des païens, les apologistes doivent se situer sur le seul terrain qu’ils aient en commun avec eux : celui de la raison. Comment montrer alors la nouveauté radicale de la Révélation ; comment faire admettre que le christianisme n’est ni absurde, ni immoral ; comment, enfin, adopter les catégories philosophiques de l’auditoire tout en demeurant fidèle au kérygme ? Nous essaierons de le voir au travers de leurs textes. ECTS 2 / Tarif : 144 € 4 Pierre MOLINIÉ Les Pères et la Bible A11C (14h) • Vendredi de 14h30 à 16h30 du 4 novembre au 6 janvier Ce cours se situe à la frontière entre les études patristiques et les études bibliques. En étudiant de près des exemples d’homélies et de commentaires bibliques, nous examinerons les principes et les méthodes déployés par les Pères pour entrer dans une intelligence de l’Écriture. Nous tenterons d’en saisir les spécificités, les différences avec les méthodes en usage aujourd’hui, et le fruit que nous pouvons en tirer pour notre propre lecture. ECTS 2 / Tarif : 127 € Michel CORBIN Les Homélies sur le Cantique de saint Grégoire de Nysse A01C (14h) • Mardi de 14h30 à 16h30 du 3 janvier au 21 février Comment les Pères sont-ils des guides rigoureux dans la lecture des Écritures et des puits d’eau vive pour l’existence dans l’Esprit ? On tentera d’honorer cette question en lisant quelques-unes des quinze Homélies sur le Cantique que Saint Grégoire de Nysse a composées à l’extrême fin de sa vie. N’est ici demandé que le désir de découvrir des textes d’une grande beauté. ECTS 2 / Tarif : 127 € François CASSINGENA-TRÉVEDY À l’aube de la poésie chrétienne (Ier-IIIe siècles) A01C (12h) • Mardi de 14h30 à 16h30 du 7 mars au 25 avril Épousant l’élan lyrique qui soulève les psaumes et traverse çà et là les écrits néotestamentaires, le christianisme naissant, d’abord méfiant à l’endroit de la poésie antique, manifeste un véritable génie créateur, dès avant la grande éclosion hymnographique du IVe siècle. On visitera divers monuments de ce premier âge de la poésie chrétienne, depuis les inscriptions funéraires jusqu’aux fulgurations de Commodien. ECTS 2 / Tarif : 110 € n Séminaires de 1er cycle Isabelle BOCHET La grâce : Augustin en débat avec Pélage Réservé en priorité aux étudiants A11S (26h) • Mercredi de 9h45 à 12h du 5 octobre au 18 janvier Le séminaire proposera la lecture de trois traités du début de la controverse antipélagienne, dans lesquels Augustin expose sa conception de la grâce, en discutant les thèses de Pélage : L’Esprit et la lettre, La nature et la grâce, La grâce du Christ et le péché originel. .../... 5 Dans le De spiritu et littera, écrit en 412, Augustin ne nomme pas ses adversaires, mais son argumentation est commandée par sa lecture du Commentaire des épîtres de Paul de Pélage. Contre les pélagiens, Augustin soutient que le libre arbitre et la loi ne suffisent pas pour vivre selon la justice : l’homme a besoin de la grâce, c’est-à-dire du don de l’Esprit. La fin du traité précise les rapports de la grâce et du libre arbitre dans l’acte de foi. L’ouvrage a exercé une influence décisive sur Luther. Dans le De natura et gratia, écrit en 415, Augustin réfute directement Pélage. Ayant eu connaissance du De natura de Pélage, il en cite de larges extraits afin d’en discuter les thèses majeures : qu’il s’agisse des forces de la nature humaine, de la possibilité d’être sans péché, de la nature du péché, de la conception de la justice ou de celle de la grâce. Dans le De gratia Christi et de peccato originali, rédigé à Carthage en 418, Augustin alerte ses interlocuteurs sur l’équivoque des déclarations d’orthodoxie de Pélage : il montre, en citant le Pro libero arbitrio de Pélage, que sa conception de la grâce n’est pas celle que défend l’Église catholique. Le séminaire permettra de préciser les enjeux du débat qui oppose Augustin à Pélage : leur conception respective de l’homme et du salut. ECTS 8 Bibliographie yyAugustin, L’Esprit et la lettre, trad. J.-D. Burger, Neuchâtel, 1951. yyAugustin, La nature et la grâce, trad. G. De Plinval et J. de la Tullaye, Bibliothèque Augustinienne 21, Paris, 1966. yyAugustin, La grâce du Christ et le péché originel, trad. J. Plagnieux, Bibliothèque Augustinienne 22, Paris, 1975. Pierre MOLINIÉ Saint Cyrille d’Alexandrie : une christologie pour nous ? Lecture des Deux dialogues christologiques Réservé en priorité aux étudiants A11S (26h) • Mardi de 9h45 à 12h du 14 février au 23 mai Cyrille d’Alexandrie (v. 380 – 444) est l’une des figures majeures de l’histoire de la christologie. Son nom est en particulier attaché au troisième concile œcuménique, celui d’Éphèse (431), dont il fut l’un des principaux protagonistes ; mais ses écrits sont pour l’Église une référence incontournable et une source d’inspiration durable. En débat avec Nestorius et avec d’autres courants de pensée (docétisme, apollinarisme…), Cyrille affirme l’unité fondamentale entre le Verbe éternel du Père et l’homme Jésus : on ne peut pas « séparer » ou « diviser » l’unique Christ, qui est le même hier, aujourd’hui et pour toujours (He 13.8). C’est bien à lui qu’il faut attribuer tant les attributs de la divinité que les marques d’une humanité faible et limitée, soumise à la souffrance et au changement. L’enjeu ne concerne pas seulement la christologie au sens étroit. Certes, il s’agit bien de dire qui est le Christ et ce que signifie l’expression « Dieu s’est fait homme ». Mais ces questions renvoient au problème sotériologique : quelles sont les conséquences de l’Incarnation pour nous ? Si Dieu veut vraiment faire de nous des fils et nous diviniser, peut-on se satisfaire d’une christologie dualiste, qui range sous une même appellation deux êtres différents, et qui laisse ainsi Dieu à distance de l’homme ? Affirmer l’unité du Verbe divin et de l’homme Jésus, c’est donc affirmer que Dieu se livre vraiment, que quelque chose de vraiment nouveau s’accomplit entre Dieu et les hommes, qui dépasse les limites de ce qu’on pourrait rationnellement définir comme « divin » et « humain ». Plus qu’une christologie « d’en haut » ou « d’en bas », Cyrille propose ainsi une réflexion sur la manière dont Dieu réalise, en Jésus, sa volonté de 6 sauver tous les hommes. Nous nous appuierons sur deux traités consacrés par Cyrille à ces questions de christologie, en amont et en aval de la polémique contre Nestorius : le Dialogue sur l’Incarnation et Le Christ est un. Nous complèterons cette lecture en empruntant à d’autres ouvrages de Cyrille et aux textes du concile d’Éphèse. ECTS 8 Bibliographie y yCyrille, Lettres festales, Paris, Cerf, 1991 (SC 372). y yCyrille, Deux dialogues christologiques, Paris, Cerf, 1964 (SC 97). y B. y Meunier, Le Christ de Cyrille d’Alexandrie : l’humanité, le salut, et la question monophysite, Paris, Beauchesne, 1997 (Théologie historique 104). y N. y Russell, Cyril of Alexandria, London, Routledge, 2000 (The Early Church Fathers). y S. y Wessel, Cyril of Alexandria and the Nestorian Controversy : The Making of a Saint and of a Heretic, Oxford, University Press, 2004. n Ateliers de 2e cycle Catherine SCHMEZER Les homélies sur Anne de Jean Chrysostome Réservé en priorité aux étudiants A22A (12h30) • Vendredi de 14h15 à 16h45 du 6 janvier au 3 février Les cinq homélies de Jean Chrysostome sur une figure de femme, Anne, la mère de Samuel, représentent un cas unique dans la patristique. Nous nous demanderons pourquoi le prédicateur s’est lancé dans une telle entreprise, qui ne présente pas seulement un intérêt exégétique, mais dans laquelle on peut également voir un petit traité sur la prière, sur la justice sociale ou sur l’éducation des enfants. ECTS 2 Alban MASSIE Saint Augustin, les Écritures et le peuple juif Réservé en priorité aux étudiants A22A (12h30) • Jeudi de 17h à 19h30 du 2 au 30 mars Saint augustin accorde au peuple juif un statut particulier dans l’histoire du salut. L’étude du Contra Faustum manichaeum, des traités sur l’évangile de Jean, des commentaires sur les psaumes et du Sermon contre les Juifs permettront de préciser le sens de la théologie augustinienne du peuple juif, « peuple prophétique » et « nation témoin ». ECTS 2 Isabelle BOCHET Foi et intelligence selon saint Augustin Réservé en priorité aux étudiants A22A (12h30) • Mardi de 14h15 à 16h45 du 14 mars au 25 avril Pour penser la foi (fides) dans son rapport à l’intelligence, Augustin utilise la conception platonicienne de la croyance (pistis) tout en l’infléchissant, afin de respecter le statut spécifique de la foi dans le christianisme. Pour le mettre en lumière, nous étudierons quelques questions tirées des 83 Questions diverses, les livres 4 et 13 du De Trinitate et la Lettre 120 à Consentius. ECTS 2 7 n Séminaire de 2e cycle Michel FÉDOU La connaissance de Dieu selon Denys l’Aréopagite Réservé en priorité aux étudiants A22S (32h30) • Lundi de 9h30 à 12h du 10 octobre au 30 janvier Après avoir été tenu, pendant des siècles, pour le disciple de Paul à l’aréopage d’Athènes, l’auteur du Corpus areopagiticum est aujourd’hui considéré comme ayant vécu vers le début du VIe siècle. Son œuvre comprend notamment Les Noms divins, dont la postérité fut immense au Moyen Âge ; elle traite aussi du monde créé, avec le diptyque que constituent La hiérarchie céleste et La hiérarchie ecclésiastique ; elle inclut en outre le bref écrit intitulé La théologie mystique, ainsi que quelques lettres qui contribuent à éclairer l’ensemble du corpus. La doctrine du « Pseudo-Denys » est centrée sur la recherche et la connaissance de Dieu. Cette quête à la fois philosophique et spirituelle se joue déjà à travers l’existence chrétienne au sein de l’Église : les croyants sont appelés à entrer, par la médiation des paroles et des rites, dans une contemplation des mystères divins et dans une participation à ces mystères. Mais Denys est surtout sensible à la radicale transcendance d’un Dieu qui dépasse toujours les représentations de l’esprit humain. Le chemin de la connaissance implique donc une incessante purification du langage, et l’œuvre de Denys est justement célèbre pour la place qu’elle donne à la « théologie négative ». Quel sens reconnaître à cette démarche ? Comment la préoccupation de l’Un préserve-t-elle, en particulier, la confession de foi trinitaire et christologique ? La réponse à ces questions devrait aider à surmonter un débat de fond entre les interprètes de Denys : faut-il souligner que celui-ci était avant tout influencé par le néoplatonisme (notamment celui de Proclus), ou ne doit-on pas plutôt reconnaître l’inspiration profondément chrétienne d’une œuvre qui, dans l’esprit de son auteur, devait par elle-même accomplir la rencontre du christianisme et de la philosophie grecque ? ECTS 12 Bibliographie y Denys y L’Aréopagite, Les Noms divins et La hiérarchie céleste, dans la collection « Sources Chrétiennes », Cerf, Paris, 2016 et 2006. y M. y de Gandillac, Oeuvres complètes du Pseudo-Denys l’Aréopagite, Aubier, Paris, 1943 (rééd. 1980). Voir aussi Rainer BERNDT, De l’écrit au dit. Cheminement spirituel de l’exégèse à la prédication chez les Victorins, p. 107 du programme général 2016-2017 8 de Recherche L’exégèse patristique des récits d’apparition du Ressuscité (A33S) Isabelle BOCHET, Marie-Odile BOULNOIS, Martine DULAEY, Michel FÉDOU Vendredi 25 novembre, 27 janvier et 9 juin de 14h à 17h A près avoir travaillé successivement sur l’exégèse patristique de Romains 9-11, sur celle du Psaume 118, et sur celle de l’épître aux Galates, le séminaire s’est engagé, à l’automne 2013, dans une nouvelle recherche sur l’exégèse patristique des récits d’apparition du Ressuscité. Les réflexions des auteurs médiévaux sur le corps ressuscité se sont très souvent appuyées sur les textes pauliniens, au risque de laisser croire que les récits d’apparition dans les évangiles étaient de moindre importance pour une théologie de la Résurrection. Cette impression est cependant trompeuse si l’on en juge, non seulement par les commentaires scripturaires de l’époque médiévale, mais aussi par certains développements des « Sommes » scolastiques. L’exégèse contemporaine, en tout cas, a prêté une attention renouvelée aux récits d’apparition dans les évangiles, et la réflexion théologique en a été fortement marquée. Il est important de se demander, dans un tel contexte, comment les Pères ont lu et commenté les récits d’apparition que nous ont transmis les quatre évangiles, et cela d’autant plus qu’une telle étude n’a guère fait l’objet de recherches jusqu’à ce jour. Les séances de l’année 2014-2015 ont donné lieu à plusieurs communications sur les lectures patristiques de Lc 24, 13-49. Celles de l’année 2015-2016 ont porté sur l’exégèse de Jn 20 chez les Pères grecs. La recherche va porter, en 2016-2017, sur l’exégèse de Jn 20 chez les Pères latins ; on envisage d’aborder ensuite l’exégèse de Jn 21. Inscription Le séminaire est ouvert à des enseignants et chercheurs ainsi qu’à des étudiants en cycle doctoral. Le nombre de participants est limité. Pour toute précision, contacter Michel FÉDOU : [email protected] 9 Les Enarrationes in Psalmos 46-50 d’Augustin (A33S) Isabelle BOCHET, Martine DULAEY Samedis 26 novembre, 28 janvier et 29 avril de 9h30 à 17h30 C e séminaire de recherche prépare la publication des Commentaires des Psaumes dans la collection de la Bibliothèque Augustinienne. Après avoir travaillé en 2015-2016 sur les Enarrationes in Psalmos 44, 45 et 47, nous poursuivons notre recherche sur les Enarrationes in Psalmos 46 et 48-50. Chaque samedi est consacré à l’approfondissement d’une enarratio par l’un des auteurs du volume à paraître. Le but est de mettre au point l’introduction, la traduction et les notes complémentaires requises pour comprendre le texte d’Augustin. Nous discutons des questions posées par la traduction ; nous étudions la version latine du Psaume que commente Augustin ; nous cherchons les éléments qui permettent de préciser la datation de l’enarratio ; nous comparons l’exégèse augustinienne du Psaume à celle des autres Pères de l’Église ; nous étudions les usages du Psaume dans le reste de l’œuvre d’Augustin ; enfin, nous examinons les questions historiques, philosophiques ou théologiques posées par l’enarratio. Inscription Le séminaire est destiné aux enseignants, chercheurs et doctorants. Le nombre de participants est limité. Pour toute précision, contacter Isabelle BOCHET : [email protected] ou Martine DULAEY : [email protected] Des réductions sont accordées : – 75 % aux étudiants de moins de 26 ans sur justificatif – 50 % aux demandeurs d’emploi sur justificatif – 50 % à l’un des conjoints pour l’inscription d’un couple au même cours. 10 BOCHET Isabelle, enseignante ordinaire n p. 5, 7, 9, 10 Membre de la communauté apostolique Saint-François-Xavier, titulaire d’une maîtrise en théologie, agrégée de philosophie, docteur de 3e cycle en philosophie, HDR, professeur et doyen de la Faculté de philosophie, chercheur au CNRS (Laboratoire d’Études sur les Monothéismes), membre du comité scientifique de la Bibliothèque Augustinienne, du comité de lecture de la Revue d’Études Augustiniennes et Patristiques, du comité d’édition de l’Augustinus-Lexikon, du comité de rédaction des Archives de philosophie. BOULNOIS Marie-Odile (Mme), enseignante invitée n p. 9 Ancienne élève de l’ENS, agrégée de lettres classiques, docteur et habilitée à diriger des recherches, Directrice d’études à l’École Pratique des Hautes Études (Sciences religieuses, Paris) en patristique grecque et histoire des dogmes. CASSINGENA-TRÉVEDY François, enseignant invité n p. 5 Moine de Saint-Martin de Ligugé, ancien élève de l’ENS (Ulm), docteur en théologie, enseignant à l’Institut Supérieur de Liturgie (ICP), collaborateur aux éditions des Sources Chrétiennes, écrivain, maître de chœur et émailleur sur cuivre. CORBIN Michel, enseignant invité n p. 4, 5 Jésuite, professeur honoraire à l’Institut catholique de Paris, docteur ès lettres, docteur en théologie. DULAEY Martine (Mme), enseignante invitée n p. 9, 10 Directrice d’études émérite de l’EPHE (Histoire et doctrines du christianisme latin – Antiquité tardive), membre de l’Institut d’Études Augustiniennes, membre du comité scientifique de la Revue d’Études Augustiniennes et Patristiques, directrice de la collection de la Bibliothèque augustienne. FÉDOU Michel, enseignant ordinaire n p. 8, 9 Jésuite, agrégé de lettres classiques, docteur en théologie, professeur de patristique et de théologie dogmatique. Participe au conseil de rédaction des Recherches de Science Religieuse, au conseil scientifique de Sources Chrétiennes et au conseil de direction de l’Association Cardinal de Lubac, membre de plusieurs groupes œcuméniques. MASSIE Alban, enseignant invité n p. 7 Jésuite, docteur en théologie et en sciences religieuses. Diplômé en philo-sophie, sciences de la communication et histoire. Enseigne la théologie sacramentaire et fondamentale à l’Institut d’Études Théologiques à Bruxelles ; membre associé du CNRS/LEM à l’Institut d’Études Augustiniennes ; directeur de la Nouvelle revue théologique (Bruxelles). MOLINIÉ Pierre, enseignant invité n p. 5, 6 Jésuite, doctorant en théologie patristique et en histoire du christianisme ancien, diplômé d’HEC, licence canonique en théologie (Centre Sèvres), master en Histoire des mondes antiques (Paris-Sorbonne). SCHMEZER Catherine (Mme), enseignante invitée n p. 4, 7 Ancienne élève de l’ENS, agrégée de lettres classiques, maître de conférences HDR (grec) à l’Université Bordeaux III, chercheuse à l’Institut d’Études Augustiniennes. 11 Centre Sèvres - Paris Facultés jésuites 35 bis, rue de Sèvres – 75006 Paris Tél. : 01 44 39 75 00 www.centresevres.com