Résumé Le GHQ est un auto-questionnaire d`évaluation des

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Résumé Le GHQ est un auto-questionnaire d`évaluation des
Résumé
Le GHQ est un auto-questionnaire d'évaluation des troubles psychopathologiques
ressentis au cours des semaines passées. Plusieurs versions ont été publiées, parmi
lesquelles le GHQ-28 et le GHQ-12 que nous présentons en annexe. De très nombreuses
études l'ont utilisé tant en épidémiologie qu'en médecine générale. Il permet de quantifier
au plan dimensionnel le degré de souffrance psychologique subjective et, au plan
catégoriel, de définir, à partir de notes-seuil, des "cas" pathologiques ou non.
Introduction
Le General Health Questionnaire (GHQ) est un instrument d'auto-évaluation, donc rempli
par le sujet, mis au point par Goldberg afin de dépister des troubles psychiatriques chez
des sujets de la population générale ainsi que chez des patients consultant dans des
structures de soins non psychiatriques comme, par exemple, des consultations
ambulatoires de médecine générale.
Il a connu un très grand développement et est largement utilisé dans de nombreux pays,
essentiellement dans deux domaines : la psychiatrie sociale et la détection des "cas"
psychiatriques en médecine générale ou chez des patients présentant des affections
somatiques.
Historique et présentation
Le développement du GHQ a été décrit dans l'ouvrage de Goldberg (1972). Depuis cette
date, de nombreuses versions (GHQ-60, GHQ-30, GHQ-28 et GHQ-12) ont été mises au
point ainsi que des traductions dans 38 langues différentes. Son utilisation dans les
contextes les plus variés au plan culturel ainsi que les nombreuses études qui s'y réfèrent
lui ont assuré une large audience.
Mode de construction
Au plan théorique, la construction du GHQ repose sur un modèle hiérarchique des
troubles psychiatriques. Dans le cadre d'un tel modèle, le niveau le moins différencié des
maladies mentales inclut des troubles dysthymiques, une tendance à développer des
symptômes somatiques minimes et un changement dans le comportement social
observable du sujet (Goldberg et Williams, 1988).
L'objectif de l'auteur du GHQ était donc de couvrir quatre domaines : dépression, anxiété,
comportement objectivement observable et hypocondrie. Le questionnaire a été construit
en regroupant des items sélectionnés à partir d'une étude américaine de Veroff, Feld et
Gurin, des questions provenant du Cornell Medical Index, du Taylor's Manifest Anxiety
Scale, de l'Eysenck's Personality Inventory et du MMPI auxquels les auteurs ont ajouté 30
items supplémentaires, aboutissant ainsi à une version préliminaire de 140 items. Cette
version a alors été étudiée chez des sujets normaux et des patients légèrement et
sévèrement malades. Une analyse des items discriminant ces diverses populations a
permis de ne retenir que 93 items sur lesquels a été effectuée une analyse en
composantes principales. Cinq facteurs ont été retenus dont le premier est un facteur
général "sévérité de la maladie" expliquant à lui seul 45,6 % de la variance totale. L'auteur
a retenu les 21 items ayant le poids le plus élevé sur ce facteur ainsi que 36 items ayant
les poids les plus élevés sur les 4 autres facteurs ; en incluant également 3 items
"positifs", c'est-à-dire pour lesquels une réponse positive correspond à un bon état de
santé psychologique, il a construit un questionnaire de 60 items : le GHQ-60.
En fait, certains patients présentant des troubles somatiques ont des réponses élevées à
certains items du GHQ alors même qu'ils ne présentent guère de difficultés
psychologiques. Ces items ont été enlevés et Goldberg a, par la suite, retenu un nombre
équilibré d'items indiquant santé ou maladie et a sélectionné les items ayant le poids le
plus élevé dans l'analyse antérieure (en fait essentiellement sur le premier facteur de
sévérité générale). Ces modifications ont abouti à deux versions plus courtes : le GHQ-30
et le GHQ-12 (présenté en annexe).
Ultérieurement et dans un premier temps, à partir d'une analyse sans rotation des
réponses de 523 patients consultant en médecine générale, Goldberg et Hillier (1979) ont
isolé six facteurs facilement conceptualisables au plan clinique, selon eux, et représentant
53,5 % de la variance.
Après rotation Varimax, ils ont proposé une solution à 4 facteurs ayant chacun 7 items :
symptômes somatiques, anxiété et insomnie, dysfonctionnement social et dépression
sévère. Ces 28 items constituent le GHQ-28 présenté en annexe dans sa traduction
française.
Quelles que soient ces différentes versions, toutes sont constituées d'items pour lesquels
les réponses proposées se présentent de la façon suivante : chaque item est coté sur une
échelle en 4 points allant de "moins que d'habitude" ou "pas du tout" à "beaucoup plus que
d'habitude". Cette cotation doit permettre d'éviter des réponses bimodales et, par le
nombre pair de graduations, d'éliminer si possible les tendances à des réponses
médianes.
Etudes de validation
La fidélité du GHQ appréciée par la méthode du split-half et du coefficient de consistance
interne de Cronbach est bonne. La fidélité test-retest semble plus difficile à évaluer car,
comme avec toute évaluation liée à l'état du sujet à un moment précis, sa répétition est
soumise à des facteurs de changement. Cependant, une étude de Pevalin (2000) utilisant
le GH12 sur près de 5000 sujets conclut à l'absence d’effets test-retest lorsque
l'instrument est appliqué à des intervalles de temps d'environ un an.
La validité de contenu est liée au mode de construction. La validité de construction a été
vérifiée par de nombreuses analyses factorielles. Des différences liées à la culture ont
cependant pu être notées. Une étude publiée en 2000 par Werneke et al. portant sur 15
centres de différents pays et regroupant 16000 GHQ-12 et plus de 5000 GHQ-28 conclut
que dans les 2 inventaires, les échelles dysfonctionnement social et dépression sont les
plus stables, alors que les échelles anxiété et troubles somatiques tendent à se regrouper
en un seul facteur. De plus la structure factorielle du GHQ-28 aurait évolué avec le temps.
Néanmoins ces variations d'après les auteurs ne diminuent pas les qualités de l'échelle
pour la détection des cas morbides. Quant à la validité concourante, elle a donné lieu à
plus de 50 études publiées et réalisées dans divers pays (Goldberg et Williams, 1988). Le
GHQ a été comparé au Clinical Interview Schedule, au Present Status Examination, au
Diagnostic Interview Schedule et plus récemment au SF36. Différentes notes-seuils ont
été testées et analysées en fonction de leur sensibilité, de leur spécificité et de leur valeur
prédictive. Certaines études ont également eu recours à une ROC analyse pour
déterminer la note-seuil optimale. En 2004, Wilmott et al. ont indiqué que la médiane
pourrait être un meilleur estimateur du seuil que la moyenne et qu'elle serait mieux
corrélée à la prévalence des troubles que cette dernière du fait du caractère non normal
des distributions. Ces résultats demandent à être confirmés.
La version la plus largement validée est le GHQ-30 avec une sensibilité médiane de 81 %
(72 à 100 %) et une spécificité de 51 à 94 %. Le GHQ-60 a une sensibilité du même ordre
(médiane 79 % allant de 55 à 91 %) et une spécificité variant de 76 à 97 %. Quant au
GHQ-28, sa sensibilité est de 44 à 100 % et sa spécificité de 74 à 93 % (médiane 82 %).
Mode de passation
Il s'agit d'un auto-questionnaire rempli par le sujet en fonction de son état au cours des
semaines passées. La nature même des réponses (on demande au patient de se situer
par rapport à l'habitude) implique que le GHQ puisse ne pas s'appliquer dans les troubles
chroniques et durables.
Dans ce cas Goldberg suggère d'ajouter deux questions :
- Prenez-vous des médicaments ou des pilules pour vos nerfs ?
- Pensez-vous avoir une maladie de nerfs ?
Goodchild et Duncan-Jones (1985) ont proposé par ailleurs un nouveau mode de cotation
pour tenir compte de ce problème (cf. infra).
Enfin la possibilité d'une passation en utilisant Internet doit être confirmée au vu de
publications récentes qui montrent des différences au niveau de l'échelle de
dysfonctionnement social (Vallejo et al., 2007).
Cotation
Chaque item peut être coté de deux façons :
- selon une échelle de Likert en 4 points de 0 à 3,
- ou en réponse bimodale (cotation dite "GHQ") en notant 0 les réponses "moins que
d'habitude" ou "pas plus que d'habitude" et 1 celles "un peu plus" ou "bien plus que
d'habitude".
Il existe une troisième manière de coter, dite CGHQ, proposée par Goodchild et DuncanJones (1985), et permettant de tenir compte des affections durables pour lesquelles les
sujets peuvent estimer que leur état ne s'est pas modifié par rapport à l'habitude. Selon
cette nouvelle cotation les items négatifs sont cotés 0111, et les items positifs 0011. L'un
des avantages serait d'obtenir une gamme de notes globales se rapprochant davantage
d'une distribution normale. En 2004, Richard et al., à partir d'un groupe de 1100 patients
provenant de la clientèle de médecins généralistes, ont proposé d'utiliser simultanément la
cotation GHQ et la cotation cGHQ de manière à minimiser le nombre de faux négatifs de
chacune des 2 méthodes. Ils confirment d'autre part les résultats de Goodchild et DuncanJones.
Quel que soit le mode de cotation, on obtient ainsi un score global du GHQ qui permet
d'évaluer de manière dimensionnelle l'état du sujet.
Les scores des quatre sous-échelles du GHQ-28 peuvent également être calculés comme
suit : symptômes somatiques : items de 1 à 7, anxiété et insomnie : items de 8 à 14,
dysfonctionnement social : items de 15 à 21 et dépression sévère : items de 22 à 28. Là
encore ces scores ne font que refléter des aspects dimensionnels de la symptomatologie
mais ne correspondent pas nécessairement à des diagnostics psychiatriques.
Si l'on désire détecter des "cas", différentes notes-seuils ont été proposées. Pour le
GHQ-28 celle couramment retenue est de 4/5. En fait il convient de tester, par une étude
de validité concourante, la note-seuil qui semble appropriée à la population que l'on
étudie. Ce conseil a été réitéré par l'auteur de l'échelle en 1998.
Applications
Selon l'auteur, le score du GHQ peut être interprété de trois manières :
- sévérité d'un trouble psychologique,
- estimation de la prévalence d'un trouble psychiatrique,
- indicateur de morbidité.
On peut donc utiliser le GHQ, comme nous l'avons vu, dans une perspective catégorielle
(note-seuil au-dessus de laquelle on définit un cas) ou dimensionnelle (score global).
L'utilisation des scores aux différents facteurs semble moins pertinente, sauf, peut-être,
pour le GHQ-28.
Le GHQ est très largement utilisé dans des populations les plus variées :
- en épidémiologie pour détecter des cas morbides en adoptant notamment des stratégies
en deux phases : GHQ chez tous les sujets, puis entretien clinique structuré chez ceux
ayant des scores supérieurs à une note-seuil, mais également en étudiant les facteurs de
risque psychosociaux liés à des scores élevés,
- en médecine interne pour faciliter la détection par des non psychiatres, comparer des
troubles au sein d'une même population, à des temps différents.
- son utilisation en milieu carcéral est plus délicate, les notes-seuils (au moins avec le
GHQ-28) semblant devoir être relevées (entre 9 et 11) pour obtenir des performances
acceptables.
- dans l'enseignement, selon Goldberg, en apprenant aux étudiants à reconnaître les
principaux symptômes psychopathologiques.
Quel GHQ utiliser ?
Selon Goldberg et Williams (1988), si l'on désire utiliser des sous-échelles, il convient de
choisir le GHQ-28.
Si l'on désire identifier des "cas" dans une population donnée, le choix dépendra
essentiellement du temps de passation dont on dispose (voire du fait que chez certains
individus illettrés l'enquêteur pourra être amené à poser directement les questions).
On peut enfin remarquer que le GHQ-60 contient de nombreux items redondants et
préférence sera donc donnée aux versions plus courtes (GHQ-30, 28 ou 12).
Intérêts-limites
Ce questionnaire est très facile à faire passer et est bien compris par des patients de
milieux et de niveaux culturels les plus variés. De plus, très largement utilisé, il permet des
comparaisons avec les résultats d'autres études. Cependant, il s'agit d'une autoévaluation qui est donc soumise à des phénomènes de minimisation éventuelle par le
sujet.
Il n'existe pas de question sur la durée des symptômes ressentis par le sujet, donc le
score est sensible à des troubles très transitoires susceptibles de guérir spontanément. De
ce fait la définition du cas est extensive (faux positifs et spécificité moyenne).
Par ailleurs, ce questionnaire ne mesure que des variations d'état et ne tient pas compte
des manifestations symptomatiques de trait, ni des troubles plus durables ou plus anciens,
inconvénient qui peut sans doute être partiellement limité par l'utilisation du cGHQ. Enfin,
le GHQ apprécie surtout une notion de souffrance générale envisagée sur le plan
dimensionnel, plus ou moins en tant que classe morbide unique, et ne permet pas
d'individualiser de dépistage, il ne peut permettre de faire des diagnostics cliniques, ce
qui, signalons-le, pour Goldberg, n'est pas un problème majeur dans la mesure où il
estime que les manifestations psychopathologiques mineures observées, tant en
population générale qu'en médecine générale, ne correspondent que très imparfaitement
aux catégories diagnostiques psychiatriques les plus classiques.
Dernier point, il n'existe pas en France à notre connaissance de données normatives
publiées. L'étude de Pariente et al. (1992) confirme la stabilité de la structure factorielle et
la validité de l'instrument en manière de dépistage.
Bibliographie
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the French Version of the GHQ-28 and PSYDIS in a Community Sample of 20 years olds
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Outil d’évaluation : Sommaire
1 - Questionnaire de santé GHQ-28
2 - Questionnaire de santé GHQ-12
Outil d’évaluation 1
NOM :
PRENOM :
SEXE :
AGE :
DATE :
Veuillez lire ce qui suit avec attention :
Nous aimerions savoir si vous avez eu des problèmes médicaux et comment, d'une manière générale, vous
vous êtes porté(e) ces dernières semaines.
Veuillez répondre à toutes les questions, en cochant la réponse qui vous semble correspondre le mieux à
ce que vous ressentez.
Rappelez-vous que nous désirons obtenir des renseignements sur les problèmes actuels et récents, et non
pas ceux que vous avez pu avoir dans le passé.
Il est important que vous essayiez de répondre à toutes les questions.
Merci beaucoup de votre aide.
Récemment
1. Vous êtes-vous senti(e) parfaitement bien et en bonne santé ?
❑ moins bien que d'habitude
❑ mieux que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ beaucoup moins bien que d'habitude
2. Avez-vous éprouvé le besoin d'un bon remontant ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
3. Vous êtes vous senti(e) à plat et pas dans votre assiette ("mal fichu(e)") ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
4. Vous-êtes vous senti(e) malade ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
5. Avez-vous eu des douleurs à la tête ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
6. Avez-vous eu une sensation de serrement ou de tension dans la tête ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
7. Avez-vous eu des bouffées de chaleur ou des frissons ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
8. Avez-vous manqué de sommeil à cause de vos soucis ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
9. Avez-vous eu de la peine à rester endormi(e) ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
10. Vous êtes-vous senti(e) constamment tendu(e) ou "stressé(e)" ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
11. Vous êtes-vous senti(e) irritable et de mauvaise humeur ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
12. Avez-vous été effrayé(e) et pris(e) de panique sans raison valable ?
❑pas du tout
❑pas plus que d'habitude
❑un peu plus que d'habitude
❑bien plus que d'habitude
13. Vous êtes-vous senti(e) dépassé(e) par les événements ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
14. Vous êtes-vous senti(e) continuellement énervé(e) ou tendu(e) ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
15. Avez-vous réussi à rester actif(ve) et occupé(e) ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins que d'habitude
❑ bien moins que d'habitude
16. Avez-vous mis plus de temps à faire les choses habituelles ?
❑ moins de temps que d'habitude
❑ autant que d'habitude
❑ plus que d'habitude
❑ beaucoup plus de temps que d'habitude
17. Avez-vous eu le sentiment que dans l'ensemble vous faisiez bien les choses ?
❑ mieux que d'habitude
❑ aussi bien que d'habitude
❑ moins bien que d'habitude
❑ beaucoup moins bien que d'habitude
18. Avez-vous été satisfait(e) de la façon dont vous avez fait votre travail ?
❑ plus satisfait(e)
❑ comme d'habitude
❑ moins satisfait(e) que d'habitude
❑ bien moins satisfait(e)
19. Avez-vous eu le sentiment de jouer un rôle utile dans la vie ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins utile que d'habitude
❑ bien moins utile
20. Vous êtes-vous senti(e) capable de prendre des décisions ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins capable que d'habitude
❑ bien moins capable
21. Avez-vous été capable d'apprécier vos activités quotidiennes normales ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins que d'habitude
❑ bien moins que d'habitude
22. Vous êtes-vous considéré(e) comme quelqu'un qui ne valait rien ?
❑pas du tout
❑pas plus que d'habitude
❑plus que d'habitude
❑bien plus que d'habitude
23. Avez-vous eu le sentiment que la vie est totalement sans espoir ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
24. Avez-vous eu le sentiment que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
25. Avez-vous pensé à la possibilité de vous supprimer ?
❑ certainement pas
❑ je ne pense pas
❑ m'a traversé l'esprit
❑ oui certainement
26. Avez-vous pensé que parfois vous n'arriviez à rien parce que vos nerfs étaient à bout ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
27. Vous est-il arrivé de souhaiter être mort(e) et loin de tout ça ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ plus que d'habitude
❑ bien plus que d'habitude
28. Est-ce que l'idée de vous supprimer réapparaissait continuellement dans votre esprit ?
❑ certainement pas
❑ je ne pense pas
❑ m'a traversé l'esprit
❑ oui certainement
Outil d’évaluation 2
NOM :
PRENOM :
SEXE :
AGE :
DATE :
Veuillez lire ce qui suit avec attention :
Nous aimerions savoir si vous avez eu des problèmes médicaux et comment, d'une manière générale, vous
vous êtes porté(e) ces dernières semaines.
Veuillez répondre à toutes les questions, en cochant la réponse qui vous semble correspondre le mieux à
ce que vous ressentez.
Rappelez-vous que nous désirons obtenir des renseignements sur les problèmes actuels et récents, et non
pas ceux que vous avez pu avoir dans le passé.
Il est important que vous essayiez de répondre à toutes les questions.
Merci beaucoup de votre aide.
Récemment, et en particulier, ces dernières semaines
1. Avez-vous été capable de vous concentrer sur tout ce que vous faites ?
❑ mieux que d'habitude
❑ moins bien que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ beaucoup moins que d'habitude
2. Avez-vous manqué de sommeil à cause de vos soucis ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
3. Vous êtes-vous senti(e) capable de prendre des décisions ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins bien que d'habitude
❑ beaucoup moins que d'habitude
4. Vous êtes-vous senti(e) constamment tendu(e) ou "stressé(e)" ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
5. Avez-vous eu le sentiment de jouer un rôle utile dans la vie ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins utile que d'habitude
❑ beaucoup moins utile que d'habitude
6. Avez-vous eu le sentiment que vous ne pourriez pas surmonter vos difficultés ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
7. Avez-vous été capable d'apprécier vos activités quotidiennes normales ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ moins que d'habitude
❑ bien moins que d'habitude
8. Avez-vous été capable de faire face à vos problèmes ?
❑ mieux que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ un peu moins que d'habitude
❑ beaucoup moins que d'habitude
9. Avez-vous été malheureux(se) et déprimé(e) ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
10. Avez-vous perdu confiance en vous-même ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
11. Vous êtes-vous considéré(e) comme quelqu'un qui ne valait rien ?
❑ pas du tout
❑ pas plus que d'habitude
❑ un peu plus que d'habitude
❑ beaucoup plus que d'habitude
12. Vous êtes-vous senti(e) raisonnablement heureux(se), tout bien considéré ?
❑ plus que d'habitude
❑ comme d'habitude
❑ un peu moins que d'habitude
❑ beaucoup moins que d'habitude