ESPRIT RACING

Première sortie du Terrine Team #17, élu « équipage galère » de la 1ère de l’ERT
Présentation :
Pilote N°1=Stéphane Perche
Monture= GPZ 500 de 98 nommé « Tigrou »
Signe particulier=rarement calme
Club : Racing Team 28
Pilote N°2=Loïc Legendre
Monture= 500GSE de 90 nommé « Hénaff »
Signe particulier=rarement énervé
Club : Racing Team 28
Vendredi 3 :
Départ de Chartres (28) vers 4h00.Les voitures ont été chargées la veille au soir et en se
levant ce matin nous sommes heureux de voir que les pares chocs ne touchent pas encore par
terre.
Nous prenons la route pour arriver au petit jour sur
Carole et en espérant éviter un contrôle de
PTRA.Après un détour par l’aérogare N°xx de Charles
de Gaule, nous arrivons sur le paddock et nous nous
installons à coté du pif paf et de la parabolique.
Nous mettons en place notre motor-home avec
quelques difficultés et en prenons possession avec
plaisir. Que d’espace, cela change de nos deux places
de parking à la maison où nous « optimisons » nos
dragsters.
Nous faisons ensuite un repérage autour du circuit et sur le paddock en montant notre fidèle
destrier, j’ai nommé le brave « Rolling Stone ».
Un petit tour chez AMPcompèt pour tâter de la belle gomme tendre dont nos montures n’ont
encore jamais eu la chance d’être équipée.
Un petit tour pour prendre la température au niveau du contrôle technique et découvrir
comment cela se passe.
Retrouvailles pour Stéphane avec Christophe #92 en RC rencontré en protwin il y a quelques
temps et prise de contact avec Claude #18 en RC qui tente de venir à bout de l’avancée de sa
caravane en l’amarrant sur notre voiture et remorque, finalement les bourrasques de vent
auront le dernier mot.
Les essais libres :
La première séance s’annonce mais c’est la pluie qui rentre en piste. Nos deux machines
resteront sur le paddock malgré les beaux gommards que Stéphane a payé au GPZ. Nous en
profitons pour faire une petite sieste.
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Pour la deuxième séance, Stéphane a faim de roulage et a besoin de se rassurer car sa
dernière sortie à carole s’est terminée à plat ventre et le GPZ sur l’arrière train de « Ben Hur »
La piste séchant à vitesse grand V, c’est Loïc qui
regrette de ne pas avoir gratifier sa mobylette de
beaux pneus car le besoin de rouler se fait ressentir.
Après quelques photos, et seulement une dizaine de
tours Stéphane rentre et premier coup dur, le moteur
du GPZ tourne mal, çà claque. Çà craint et les doutes
s’installent.
Le GPZ tourne si bien en
course de côte, il ne peut pas
nous claquer dans les pattes
maintenant.
Loïc va chercher les rennsport
pour le GSE
L’arrivée de Pascal (notre fireman et logisticien) va nous redonner un
coup de fouet.
La décision est prise, Stéphane va tenter les essais chronos avec le
GPZ. S’il doit rendre l’âme qu’il le fasse avant Dimanche.
La soirée sera un peu plus détendue et un peu arrosée (par la pluie bien sûr).à la Terrine
team !
Message à Christophe dont je tairais le surnom : Le Chouchen est déjà au frais pour Spa,
n’oublies pas ton Gewurzt, tu l’as promis.Saaaannndrine, le Gewurzt au frais STP !!
Ensuite nous avons dû vagabonder un peu avec le « Rolling Stone » vu l’état dans lequel nous
l’avons retrouvé le matin.
Heure de coucher = pas très tard mais nous ne nous en souvenons plus.
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Samedi 4
Réveil embrumé pour les trois compères et préparatifs
pour les essais chronos du matin.
Les couvertures chauffantes sont installées sur les
deux motos. (ouais des vraies qui chauffent super
bien !! jamais utiliser de genre de chose. La première
fois c’est long à installer)
10h20,
Stéphane rejoint la pré-grille aussi peu rassuré qu’avec
un GPZ aussi peu rassurant.
Après deux passages calmes pour chauffer les pneus et
le pilote, le GPZ ne va pas bien.
Stéph veut savoir où en est la moto donc il décide de taper dedans un petit peu.
Le verdict sera sans appel, sortie parabolique, pleine ligne droite, poignée essorée, une bielle a
envie de liberté.Steph anticipe bien la casse moteur, il coupe tout en direction de
l’échappatoire.La déception est là mais malgré tout la séance n’est pas terminée. Loïc ramène
en pré grille le GSE et Stéph peut repartir avec une mobylette qu’il n’a jamais eue entre les
mains.
Il rentre ayant à peine eu le temps de faire plus ample connaissance avec le GSE
Il annonce à Loïc que l’embrayage du GSE est loin d’être top. Loïc n’est pas très étonné mais
lui la mécanique ce n’est pas son truc, si tu lui donnes un 103SP, il sera ravi !!
La galère a pris pour otage le Terrine Team
Les commissaires de piste ramènent le GPZ. Confirmation, une bielle s’est fait la belle. Beau
trou dans le carter moteur.
GPZ HS, KAWA grosse merde, Steph est faché. Il se jure de retourner chez Suz’. Un GPZ est à
vendre ainsi qu’un stock de pièces non inventorié car quantité trop importante.
Meilleur temps pour Steph : 1’25’’, peu faire beaucoup mieux.
10h45,
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Loïc part pour sa première séance et premier roulage du week-end sur le GSE avec
l’embrayage malade.
La séance se passe bien.Loïc est habitué à son embrayage de mer**.
Meilleur temps pour Loïc : 1’18’’. Pépère mais il sait qu’il peut faire mieux.
Après réflexion, on essaie de trouver un embrayage pour le GSE. Après quelques coups de fil
aux concess’ du coin, à des connaissances locales et d’aileurs, on se résigne. Ce n’est pas le
genre de pièce que l’on a en stocke. Nous nous imaginons assez mal faire les 3 heures avec
l’embrayage dans cet état. Même si çà ne gène pas Loïc. Rien ne l’arrête lui !!
Coup de génie de Steph qui appelle plusieurs potes dont un a un GSE qui traîne dans un coin.
Et en plus il nous confirme que son embrayage est correct. Problème : il est sur la moto qui
est dans la région de Chartres et son propriétaire se prépare pour partir à un mariage.
Rendez vous est pris pour 15h.
Pascal nous a fait un petit gueuleton dont il a le secret
Et après confirmation que la 2nde séance d'essais chrono n'est pas obligatoire, Steph prend sa
caisse à outils et la revue technique du GSE. Il saute dans sa voiture et direction Chartres pour
récupérer l’embrayage.
Pendant ce temps Loïc va faire sa séance chrono
14h25,
Il s’incruste dans la première série, après avoir réussi à doubler un collègue (Eric ou Christian
de la 23), en pleine ligne droite sortie parabolique (encore celle là), c’est l’échappement qui
rend l’âme et un morceau manque de percuter la moto voire le pilote de la 23.Loïc se retourne
après alpha, il est pas content sur la 23 mais apparemment il n’a rien. Loïc sort de la piste et
retourne direct au paddock sans même avoir pu boucler un tour chrono. C’est déprimant.
Heureusement, il y a une ligne de secours (d’origine). Christophe et Pascal revenant de la ligne
d’arrivée lui filent un sacré coup de patte pour réparer l’échappement. Malheureusement il se
présente 50 secondes avant la fin de la séance.
14h55,
On le laisse gracieusement accéder à la piste avec un embrayage cuit, une ligne d’origine mais
l’envie de grappiller du temps.
La séance se passe bien. Loïc prend du plaisir et ça frotte d’un peu partout. Les sv sont
impressionnantes mais que dire des CB n°108 et N°28. Ils arrachent tout et en plus avec
élégance et tout le bazar. Le grande classe. Messieurs je vous salue, vous faites au moins un
envieux !
Meilleur temps: 1’18’’
Loïc fait un détoure du coté du camion motors events ou se trouvent les motos de « casa del
campo » et la n°23 pour prendre des nouvelles et avec joie il rencontre le pilote qu’il a failli
décapiter et qui le rassure en lui confirmant qu’il a été surpris par cette attaque détonante
mais que ni lui ni la moto n’ont subi de dommage. OUF !
Avec Pascal, ils rentrent au paddock pour une petite collation bien méritée et ils préparent la
moto pour la greffe qu’elle va subir dans pas longtemps.
Les courses de RC, SRC et promotion ont lieu. Quel régal !à regarder ils ont l’air d’être «
facile ».
Retour de Stéph vers 18h avec l’embrayage de substitution.
Il demande pourquoi on a changé le pot. Bof ! Rien de bien
grave mais l’autre ne doit plus passer au sonomètre !
Nous attaquons ; vidange, dépose du carter d’allumage, du
carter moteur. On voit l’embrayage, on le démonte.
D’apparence il n’a pas l’air rincé. On remonte les disques de
celui de secours. Repose du carter moteur et Houpssss le
petit ressort /circlip maintenant le joint situé derrière le doigt
d’allumage est coincé à travers le joint.on redépose , le
ressort est abîmé mais on n’en a pas d’autre.
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On remonte le tout, un peu d’huile et essayage autour du circuit. Loïc prend le guidon et
manque de se casser les cervicales tellement la « surpuissance » du GSE est transmise
violemment. En effet, Loïc confirme qu’il devait y avoir un léger souci.
Cela laisse de bon présage pour la course de demain et nous sommes rebooster, même si nous
partirons de la dernière ligne, de la dernière place. Peu importe, le principal, c’est que nous
soyons au départ
La malchance va peut être enfin nous quitter. Après tout cela, il ne peut plus rien nous
arriver, nous sommes blindés ! (Enfin, c’est ce que nous croyions à ce moment)
21h00 : arrivée des filles pour l’apéro chez le voisin et bonne petite soirée.
Dimanche 5
Lever de bonne heure et remontage du protège carter. Apparemment tout va bien sur la moto.
Un petit nettoyage, encore quelques autocollants.
Les courses d’endurance des RC et superRC se déroulent.
Un petit tour du coté des stands pour prendre la température et surtout pour apprendre le
déroulement des ravitaillements, des changements de pilote.
Au fur et à mesure l’excitation augmente et la petite pointe de stress se fait ressentir.
Des visiteurs montrent leur bout du nez Ils avaient promis de venir soutenir le terrine team, ils
sont tous venus.
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14h35
Les caïds de la SRC nous laissent la place et nous prenons possession de notre « stand » qui
va malheureusement se transformer en garage « dépann’express ».
15h00
Départ, l’excitation est à son
comble. Steph fait semblant
d’être paisible et lance ses
dernières vannes histoire de
ne pas penser à son sphincter
anal qu’il a du mal à
contrôler.
Tellement
concentré sur le départ,
qu’une fois la piste évacuée
et les feux passant du rouge
au vert, il se décide de passer
la première et d’éviter de
justesse un copain d’à côté
qui n’avait pas trop bien
gérer le mégaboost de sa
chignole.
Malgré l’effet de surprise du
passage au vert pétant des
feux, steph colle en queue de
peloton. Sur les quelques mètres de la ligne de départ à alpha, le GSE reste accroché au
peloton. Loïc est hystérique. Que personne ne lui parle, il profite, il prend son pied.
Les premières motos réapparaissent sortie golf et à toc sur la grande ligne droite. Premier
passage sur le ligne pour les premiers et steph sort seulement de golf. Quelle tasse dans les
lignes droites, une vieille envie de quelques poneys en plus traverse la pensée du terrine team.
Mais on s’en moque on roule. Surtout qu’au cours du deuxième tour, steph passe une moto et
au fil des tours, il va de plus en plus vite. Il descend le chrono jusqu’à 1’18’’ et l’écart avec le
peloton devant se réduit.
Au bout de 20 min de course , Steph fait signe et va rentrer pour changer de pilote croyait-on.
Cela fait tôt, nous avions prévu des relais de 30 mins minimum voire si le pilote va bien
jusqu’à 45 mins.
Il s’arrête devant le stand, on béquille et il braille le cochon. Il a la botte recouverte d’huile.
AVIS AU TERRINE TEAM : BIENVENUE A GALERELAND, LA SUITE.
On essuie le tout, on localise le problème sous le protège carbone, ce n’est pas une fuite au
niveau carter moteur, verdict : le circlip/ressort tordu lors du remontage de l’embrayage ne
joue plus son rôle. Solution, on décide de démonter et de colmater le tout avec ce que l’on
aura sous la main. Steph repart pour 2 tours le temps de préparer le maximum de matériel.
Il re-rentre direct au stand et c’est parti. décollage du protège carbone, démontage de
l’allumage. Jackpot, top moumoute, çà pisse derrière l’allumage, patte à joint sur le carter
d’allumage, derrière l’allumage. On referme le tout et on repositionne le carter carbone.
C’est Loïc qui reprend le guidon. Il enchaîne les tours mais la moto ne tourne pas rond. En fait,
grand mécanicien en puissance, Loïc a donné un coup de main à la remonte en ayant déjà mis
ses gants !!! Résultat la poignée d’accèl lui glisse entre les mains. Obligé de s’y reprendre en 2
temps pour mettre la poignée dans l’angle. C’est le bazar et après 20 mins, Loïc décide de
rentrer. Çà glisse de trop, les freinages sont laborieux et il en rate même le passage de
vitesse.
Retour au stand, les commissaires se penchent sous la moto, il y a de la graisse coté gauche :
ouf, graisse de chaîne seulement ; ils passent le doigt au niveau carter moteur, ça à l’air d’aller
mais ils dégottent une petite coulure derrière le protège carter en carbone. Il ne nous laisse
pas repartir et nous dise que c’est fini. Nous nous regardons et nous hurlons comme des
abrutis notoires sur les commissaires de piste (mille fois pardon, mais il y a des « gros mots »
qu’il ne faut pas prononcer à l’égard du TERRINE TEAM, « ABANDON » en est un) en leur
disant que nous re-démontons et que nous allons étanchéifier le problème. Loïc a un carter
l’allumage en stock, On entoure de téflon le joint du contact de pression d’huile, bourrage à la
pâte à joint et Loïc va reprendre la piste juste après avoir remis le protège carter carbone.
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Mais Où est-il ??? PuTXXX de nom de diouuuuu ! Loïc est rentré tout à l’heure sans la
protection qui est restée sur la piste. Toute la définition du nom que nous avons donné à notre
team est résumé : TERRINE !!
Les commissaires nous interdisent de repartir sans la protection. Plusieurs appels aux
commissaires de piste sont réalisés, personne n’a la pièce à portée de vue. Steph dans un élan
de déprime suicidaire se lance vers la piste sans rien dire à personne (comme d’habitude) et là
ce sont de très grand moment de solitude, Pascal est dépité, il n’a même pas eu l’occasion de
nous aider lors des ravitaillements. Loïc décide justement de faire le plein au cas où quelqu’un
retrouverait le protège carter. Nous sortons la moto sur la voie des stands, nous faisons le
plein et nous la repositionnons à sa « place » dans le stand.
C’est alors que Loïc aperçoit Steph « à pied » arrivant sur golf. Steph est en train de faire le
tour du circuit « A PIED » (nom de dioooouuuu) pour retrouver le protège carter. Loïc décide
de partir vers hôtel « A PIED » (si c’est pas de la TERRINE çà !! un équipage en train de faire
le tour du circuit à pied pendant la course …!). Quand les deux coureurs de fond (en remarque
c’est toujours de l’endurance, pour SPA soit on change de moto, soit on se prépare sur les
hauts plateaux du Kenya avec les gars de là-bas) se retrouvent sans avoir dégotter la pièce,
Steph lance l’idée de prendre le protège carbone du GPZ. Glorieuse pensée, ils foncent (enfin
tout est relatif, nous, c’est l’endurance notre truc et surtout pas le sprint !) vers le paddock,
Loïc arrive en premier (comme d’hab) taxe des tourne vis à un voisin qui est en train de ranger
son campement. Steph arrive, décroche sans problème le protège gauche. Loïc est toujours en
train d’essayer d’avoir le droit. Nous verrons bien lequel sera le moins difficile à adapter.
On se précipite vers les stands quand un de nos accompagnateurs vient vers nous pour nous
annoncer que la pièce avait été retrouvée sur la piste par un commissaire et qu’elle est en
train d’être remontée. « Remonter » est un grand mot, « harnacher »est plus juste. Fil de fer,
rouleau de scotch américain.
C’est Loïc qui reprend la piste alors qu’il reste encore 1 heure 15 de course.
La moto va bien, Loïc a passé le soixantième souffle, niveau physique, il est bien échauffé. Les
tours s’enchaînent. Il rassure son stand et C’est parti : 1 tour de chauffe et c’est l’arsouille. Ca
frotte presque à tous les virolos, il se paye même un exter tout par terre dans la parabolique
sur un gars (en SV) qui devait être mort de fatigue après les 2 heures de course déjà
effectuées. Les chronos sont régulier en 1’18 puis il se fait déposer par la 28 ( et bien d’autres
d’ailleurs) repérable de très loin et aussi et surtout par la 108 à hôtel qui va lui permettre, en
le suivant d’alpha à la parabolique, de découvrir une trajo excellente et une position géniale
sur la moto. Les tours suivants seront géniaux : le panneautage affiche 1’17’’, 1’16’’4, puis
meilleur temps 1’16’’2. Le pied total, plaisir à son maximum, et c’est le panneau « box » qui
s’affiche. Retour au stand tour suivant.
Steph est prêt pour le dernier relais mais un commissaire a la judicieuse mais compréhensible
réflexe de mettre le doigt là où ça fait mal, verdict : micro-fuite, rien du tout mais c’est
suffisant pour ne pas nous permettre de repartir. Il reste 20 mins de course et la moto et
encore arrêtée. On tente le tout pour le tout, nous décidons d’utiliser le stock de scotch qu’il
nous reste « à l’arrache » enfin plutôt « à la terrine » (c’est synonyme). Nous réalisons un
paquetage digne des scouts dans les allées des supermarchés la semaine précédant Noël. Si
les quelques gouttes d’huile qui ont décidées de nous faire suer jusqu’à la fin de course
décident de s’écouler elles le feront discrètement dans le sabot. De toute façon les
commissaires ne pourront plus vérifier, ils ne peuvent plus passer la main (malin, la Terrine !).
Les commissaires, avec le sourire en coin, laisse Steph repartir pour le fun et en 15 mins, le
cochon, il s’éclate comme un gamin (qu’il est d’ailleurs). Çà frotte et le 1’17’’ est apparu sur
les chronos de nos panneauteuses.
Les 3 heures de course s’affichent, Steph passe le drapeau à damier avec le sourire jusqu’aux
oreilles. Il s’arrête remercier le commissaire se trouvant à alpha qui a ramener le GPZ le
samedi matin et qui a, apparemment, retrouvé le protège carter (Saint Bernard du Terrine
Team) Loïc n’est pas moins fiers d’avoir terminer la course même si nous n’avons pû rouler
qu’un peu plus d’1 heure 30! Nous terminons à la 20 ème position sur 23 ( il y a eu 3
abandons)
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PIRE QUE LA DEFAITE…
… L’ABANDON !!!!
LOLE & STEPH – Terrine Team #17
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C’est promis, nous serons de la fête à Spa.
Nous espérons avec une autre moto, et peut-être à deux pilotes (Steph vient de laisser son
permis en Bretagne !!)
Nous tenons à remercier :
*Notre Team du jour: Calou, les filles : Paméla et Sophie, nos supporters : Julie, Nicolas,
Philippe, aurélie, Odette, Sylvain
*Nos voisins : en particuliers Christophe RC92 et Claude (Claudius sur esprit racing) RC18
pour leur aide et leur conseil (tu vois Claudius, ça a été long mais nous l’avons écrit ce CR que
tu voulais).
*Gégé et son embrayage
*Les commissaires de piste, que nous avons haï (sur le moment) sauf notre Saint Bernard, qui
nous ont laissé faire notre tambouille et y croire jusqu’au bout.
*L’organisation pour cet historique Week-end pour le Terrine Team.
*Le Racing Team 28 et TITI#69 en protwin pour le matos que nous leur avons emprunté.
*Le mécanicien inconnu avec sa cote DUCATI et ses bons conseils lors de la course.
Longue vie aux E.R.T
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