info-steven-gunnel-18-novembre-2014

Transcription

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Animation Pastorale
Ceci est une invitation à rencontrer
Le mardi 18 novembre 2014
de 10h10 à 12h ou de 14h à 15h45 avec les élèves de seconde du lycée St
Joseph au centre paroissial St Georges
Steven GUNNEL
Vaincre la fatalité L’ancien membre du boys band Alliage s’est confié non sans émotion sur la "fatalité" de son
parcours pour l’émission "Dans les yeux d’Olivier" sur France 2. Il avoue également un scoop :
Il a failli devenir prêtre.
Dans les années 90, les boys band faisaient fureur en France. Avec un concept importé des USA et
des frenchies au physique avantageux, la recette était assurée. Steven a fait partie de l’aventure au
sein du groupe Alliage, durant trois ans. Le groupe connait le succès pendant environ deux ans,
de 1997 à 1999, après la sortie de Baila, vendu à plus de 450 000 exemplaires en 1997.
Un premier album intitulé L'Album, commercialisé en
1997, se vendu à plus de 500 000 exemplaires.
Le groupe s’est dissout en 1999, ne résistant pas bien longtemps aux nouvelles modes musicales de l’an 2000. Pour France 2, l’homme
aujourd’hui âgé de 40 ans s’est confié sur ces quelques années. Du passage de l’anonymat à la célébrité, à la fatale descente aux enfers, il a
passé en revue les moments forts de sa vie.
Il raconte qu’il a quitté sa ville natale, Nice, pour tenter sa chance à Paris. Alors âgé de 20 ans, il passe un casting pour intégrer un boys band. A
l’époque, il n’est pas un grand fan du concept, il avoue même que ce n’était que "vaguement" qu’il en avait entendu parler. Pourtant, quand il
est validé par la production, il fonce. S’ensuivent trois années de tubes, de scènes et de premières payes. Il confie "Je n'étais pas prêt pour cela.
Quand je gagnais 10.000 francs (1.524 euros), j'en dépensais 20.000 (3.049 euros)". Quand la mode des boys band s’essouffle, c’est
850.000 francs de dettes (129.582 euros) que le jeune homme de 23 ans comptabilise. Il tombe alors dans une sérieuse dépression.
C’est sur les conseils de sa mère qu’il se rend dans une chapelle, en guise de dernier recours "J'en suis ressorti heureux. Pendant Alliage, j'ai
pété les plombs, je n'étais plus moi-même".
Il retourne par la suite à Nice, où il envisage sérieusement de devenir prêtre pour finalement fonder une famille. Deux enfants plus tard,
c’est donc avec beaucoup de lucidité et de sagesse que le père de famille marié et reconverti…professionnellement est revenu sur ce parcours
qui s’inscrit dans l’émission d’Olivier ayant pour thème "Vaincre la fatalité".
Après la conférence, aura lieu une rencontre débat
Fabrice Richet Le directeur
Jean-Paul Horhant l'adjoint en pastorale scolaire