Revue 28 Noël 2009 - Institut Saint
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Revue 28 Noël 2009 - Institut Saint
Revue 28 Une école en projet Noël 2009 St Berthuin-Malonne Comme promis, nous remercions, à nouveau, les sponsors qui nous avaient soutenus pour la revue de Juin 2009 Sommaire : Editorial : • Gribouille, qu’est-ce que c’est ? Concernant l’école : • • • • • • • • • • • • • • • Premières, Bienvenue ! Coups de coeur, coups de gueule Poèmes des deuxièmes (Classe de Mr. Devienne) Une américaine parmi nous Les nouveaux professeurs se dévoilent Un ancien nous parle Retarder les pensions dans l’enseignement, une solution ? Sortie au parlement Ambleteuse Echange linguistique Le 24ème FIFF Le coin des plus petits Oxfam à l’école St Berthuin, 39 ème école sur 4000 ! Dessin des élèves de M. Van Dyck Divertissement : • • • • • • Histoire de Noël Quizz sur les séries télé Tout sur Twilight et public ennemies Jeux Recette pour les fêtes Les lauriers des anciens Editrial Gribouile, qu’est-ce que c’est ? Si, comme beaucoup d’autes personnes, vous ouvrez cete revue pour la première fois, vous alez sans dout vous poser cete queston. Nous alons donc tntr une réponse ! Ente journal ofciel d’une école exceptonnele et revue informatve de personnes créatves, Gribouile rest un moyen pratque de se tnir au courant des diférents actvités et projets réalisés par les élèves de l’insttut. Il peut contnir aussi des pages de divertssement, des recetes gourmandes, des idées de voyage, de sortes ou autes. Gribouile peut donc se défnir comme un journal d’informatons scolaires et de divertssements. Gratuit et disponible pour tus avant les vacances de Noël et en fn d’année scolaire. Quoi qu’il en soit, gribouile rest le rendez-vous inconturnable des parents qui veulent suivre les nombreuses actvités et sortes de leurs enfants ; des étudiants euxmêmes, qui peuvent, dans cete revue, se faire connaîte des lecturs par des txts de leur compositon, sélectonnés par les rédacturs. Ou plus simplement encore, Gribouile peut ête un souvenir chaleureux d’une année passée à Saint Bertuin Malonne. La Rédaction Un tout grand merci à tous ceux, élèves et professeurs, qui ont participé d'une manière ou d'une autre à l'élaboration de cette revue. Premières, bienvenue ! En tant qu’élèves de secondaire, nous nous souvenons tous du grand moment qu’est le passage en rénové. Cet instant tant attendu par les sixièmes primaires et parfois si difficile. Voici le début d’une tout autre aventure qui commence pour vous, première année de Saint-Berthuin. Cette année est marquée par énormément de changements autant au niveau des cours, des professeurs que des nouvelles rencontres que vous allez faire. La différence avec le primaire est frappante. Ici, c’est la cour des grands ; règles plus strictes, plus de contraintes et, bien sûr, plus de travail. Le rythme est différent mais, heureusement, on s’y habitue très rapidement. Vous avez la chance d’avoir une équipe enseignante qui vous encadre et qui vous soutient tout au long de votre apprentissage. C’est un moment crucial pour vous car c’est là que vous acquérez les bases qui vous seront nécessaires pour vous former et ainsi vous préparer aux années à venir. Vous trouverez votre méthode de travail et apprendrez à gérer votre temps. Certains d’entre vous auront plus de facilités ou de difficultés que d’autres, mais il ne faut surtout jamais baisser les bras. Il faut s’accrocher jusqu’au bout, car c’est votre avenir qui se joue tout au long de ces six années de secondaire. Celles qui vous prépareront pour vos études supérieures, pour votre métier. C’est rentrer dans la vie du bon pied. Marchal F. De Keuster E. En ce début d’année à Saint-Berthuin, nous pouvons remarquer quelques changements qui améliorent le confort des élèves. Des changements qui ne font que commencer ! Une agréable surprise est la magnifique salle informatique, remplie de nouveaux ordinateurs bien plus modernes que les ancêtres des autres années ! Des « Macs Minis » dotés d’écrans plats. Le changement est radical ; il nous faudra donc un temps d’adaptation pour comprendre leur fonctionnement mais une fois habitués, leur utilisation se révèlera très simple. La cafétéria a elle aussi subi de nombreuses améliorations. Un gain de place considérable par exemple grâce à la suppression du couloir qui la longeait. Le but étant de l’agrandir et de recevoir davantage d’élèves. De plus, un plafond bientôt rénové… espérons! Nous avons aussi remarqué l’effort esthétique apporté aux journaux de classe, ce qui ravit les élèves qui, pour une fois, ne sont pas obligés de recouvrir l’outil de travail indispensable pour chaque étudiant. Le coup de cœur des 5èmes : Nous vous annonçons que le voyage à Barcelone se fera car bien plus de 90% des élèves ont confirmé leur participation. Nous avons tous déjà hâte d’y être ! Depuis septembre, nous avons la chance de disposer de nouvelles toilettes. Génial ! Lors de la rentrée, nous avons, pour la plupart des filles, directement remarqué qu’il manquait quelque chose d’essentiel… LES MIROIRS ! De plus, le chemin du hall est toujours dans un état aussi exécrable;nous redoutons l’arrivée de l’hiver ! Une simple question : Pourquoi faut-il, chaque année, redessiner des rangs de plus en plus mal placés ?! A croire qu’on ne nous considère pas encore comme responsables ! Pourquoi pas, tant qu’on y est, nous tenir la main 2 par 2 ? Qu’est devenue la fontaine promise par le groupe Oxfam ? Le projet a-t-il déjà été abandonné ? Nous allons prendre nos renseignements prochainement pour de plus amples informations. Florence Boreux, Joy Dugardeyn, Florence Léglise Détnt en rimes. Poésies réalisées par les élèves de M. Devienne Le déf Relever le déf Ne laisser planer aucun dout Se débatre comme un beau diable Tout perdre Réessayer Saisir la bale au bond Et tut gagner. Coleen Lambert 2A La jeunesse et la vieilesse Tout commence par l’âge ingrat Où l’on est doux comme un agneau Ensuit vient l’âge de raison Où l’on a soif d’apprendre Et puis l’âge rebele Où l’on rêve d’ête libre comme l’air Et encore l’âge mur Où l’on ente dans la vie Et voilà enfn qu’on arrive à l’âge avancé Où l’on comprend nos erreurs et où on arrêt d’essayer. Louise Coupez 2B Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck Une Américaine parmi nous a Vous souvenez-vous de Oranat ? Une jeune étudiante thaïlandaise venue passer l’année 2007-2008 à l’Institut SaintBerthuin, pour découvrir notre beau pays qu’est la Belgique. Un échange très enrichissant pour elle, comme pour nous. Nous avons eu également la chance d’accueillir à SaintBerthuin, Hilary, venue des Etats-Unis pour refaire une deuxième rhétorique. Cette année encore, une jeune étudiante choisi notre école pour faire une année d’immersion en Belgique. Elle s’appelle De Noyo Claire, elle a dix-huit ans et elle nous vient d’Oregon, Etats-Unis. Spécialement pour nous, elle répond à nos questions. - Quelles sont tes raisons d’avoir choisi la Belgique ainsi que l’institut Saint-Berthuin ? Aux Etats-Unis, j’ai étudié le français durant quatre ans. J’aimais bien donc je voulais le parler couramment. Ainsi, mes deux options étaient la France et la Belgique. J’ai décidé de choisir la Belgique comme premier choix (et la France en deuxième) pour certaines raisons. Je n’étais jamais venue en Belgique et je trouvais que ça pouvait être intéressant. Aussi, il y avait un étudiant qui y était déjà allé et il disait tout le temps que la Belgique était un pays magnifique ! Après la Belgique et la France, mes choix étaient l’Italie, le Brésil et l’Argentine. Et je vais à l’institut Saint-Berthuin car mes deux sœurs d’accueil (Amandine et Gwennoline Willame) y vont. - Pour quelles raisons as-tu décidé de refaire une deuxième rhétorique dans un pays étranger ? Quand j’étais un « junior » (l’équivalent de 5ème) j’ai décidé que je voulais passer un an dans un pays étranger mais je n’ai pas voulu manquer mon « senior year » (l’équivalent de la rhétorique) ou attendre ma 3ème année d’université (c’est la période où beaucoup d’Américains étudient dans un pays étranger). J’ai fait quelques recherches et j’ai trouvé le programme « gap year », on prend un an entre « High school » (lycée) et « college» (université) pour étudier dans un pays étranger. J’ai donc décidé que c’était parfait pour moi ! - Quelles sont tes attentes et tes objectifs pour cette année à venir ? J’essaye de ne pas avoir trop d’attentes parce que je ne sais jamais ce qui va se passer, mais j’ai beaucoup d’objectifs ! D’ici la fin de l’année, j’espère que je pourrai parler le français couramment. Je veux aussi me faire de nouveaux amis, apprendre sur la culture Belge et Européenne, et bien les représenter aux Etats-Unis. - Y a-t-il de nombreuses différences entre notre école et la tienne ? Oui, il y en a beaucoup ! Mon école aux Etats-Unis est plus grande que Saint-Berthuin (plus de 2000 élèves) et il y a seulement quatre années, « 9th-12th grade » (équivalent de 3ème-6ème). Le premier cours commence à 7h35 et le dernier finit à 14h20, et c’est la même chose tous les jours, y compris pour le mercredi. Il n’y a pas de petites pauses durant la journée comme ici et, à Saint-Berthuin, il y a plus de congés que dans mon école aux Etats-Unis. En plus des cours obligatoires, dans mon école aux USA, il y a aussi des cours «d'amusement » que l’on appelle « électives ». Par exemple, il y a des cours d’art (peinture, dessin, photographie, calligraphie, graphique), musique (orchestre et chant), théâtre, et des cours pour se préparer à une profession spécifique (biologie marine, menuiserie, militaire, éducation sanitaire, psychologie, etc…. - As-tu de grosses difficultés et lesquelles ? La langue est le fond de tous mes problèmes et de mes difficultés ! (Ah! Ah !) Mais ce n’est pas grave parce que je pense que mon français s’améliore….doucement, mais sûrement ! - Que penses-tu de la langue française, du pays, des Belges et de notre école ? Tout d’abord, j’aime le français ! Je trouve que la langue est très belle mais que c’est difficile à apprendre ! A propos de la Belgique, c’est un pays très beau, les gens sont très gentils et le chocolat y est plus que meilleur ! Au niveau de l’école, c’est difficile encore mais je l’aime parce que j’aime le défi et que je peux y voir mes amis tous les jours. - Qu’est ce que tu as préféré lors de ton arrivée ? Quand je suis arrivée, ma famille d’accueil m’a emmenée faire ce qui s’appelle « le tour de Belgique », c’est ce que j’ai adoré. Ils m’ont emmené dans beaucoup de villes Belges et même à la plage en France ! - Est-ce que tu te sens bien ici ? As-tu été bien accueillie ? Oui ! Je suis ici depuis presque trois mois et je me sens comme chez moi (sauf que tous parlent français !). Ma famille d’accueil m’aide toujours avec mes problèmes (Ils corrigent mon français !), je les aime beaucoup. Tout le monde ici aime m’aider avec mon français, c’est très gentil ! - Ne te sens-tu pas trop perdue, désorientée ? Au début, oui. Mais maintenant, certains jours sont juste plus difficiles que d’autres, mais en général, les choses deviennent plus faciles avec le temps. - Avais-tu des craintes avant ton arrivée ? Ben oui! J’avais peur que ma famille et les élèves ne m’aiment pas et que je n’apprenne jamais le français ! Mais, quand je suis arrivée, j’étais si enthousiaste que j’ai oublié mes peurs. Marchal F. De Keuster E Fini les cachoteries, fini les secrets : les nouveaux professeurs nous confient tout. Mr Mullier est le nouveau professeur de sciences économiques de l'institut St Berthuin. - Quelles études a-t-il poursuivi ? Tout d'abord, il a fait ses études à l'UCL de Louvain-la-neuve pour ensuite faire son agrégation à la faculté d'économie et de gestion de Mons. - Qu'est-ce qui lui plait dans les sciences économiques ? Pour lui, il est très difficile de répondre à cette question puisqu'elle est très large. Mais il fini par dire que l'économie est une branche qui touche à beaucoup de domaines tels que le domaine social, politique ou encore culturel. Puisqu'il est très récurrent que dans l'actualité on parle de choses ayant des rapports avec les sciences économiques. Par contre, ce qu'il ne lui plait vraiment le moins dans l'économie, c'est la partie plutôt judiciaire de la matière. - Pourquoi avoir choisi St Berthuin ? Il n'a pas vraiment choisi Malonne même s'il ne le regrette pas le moins du monde. En fait, il a eu une perte d'heure de cours à cause de la fusion entre le collège St André à Fosses-la-ville et celui d'Auvelais. Alors il a postulé à St Berthuin, qui recherchait justement un professeur diplômé dans cette matière. Il a accepté car cet emploi lui permet d'être quand même assez proche de chez lui. -Professeur de sciences économiques, un rêve de toujours ? Non, ce n'était pas son objectif de base. Après être sorti de l'UCL, pendant plus ou moins 5 à 6 mois, il recherche du travail dans les banques mais il ne trouve que quelques propositions intéressantes à Bruxelles. Etant donné la longue distance entre ces emplois et son domicile, il décide de se tourner provisoirement vers l'enseignement qui restait une option à laquelle il ne fermait pas la porte puisque ses parents sont aussi dans l'univers de l'enseignement. -Combien de cours assure-t-il à Saint-Berthuin ? Il enseigne ici à St Berthuin à trois classes de sciences économiques à raison de 4h semaine par groupe. - On dit souvent qu'un nouveau professeur a plus de mal à se faire accepter par les élèves, est-ce son cas ? Non, ce n'est pas son cas. Mais il dit quand même qu'il manque un peu d'autorité parfois. Cette question ne peut pas être totalement objective puisqu'il donne son propre avis sur la question. - Quelles sont « ses relations » avec les autres professeurs ? Il l'a de bonnes relations avec les autres professeurs de l'institut car il n'a vraiment jamais eu de réels problèmes avec ses confrères dans le passé. Mais il faut quand même un temps d'adaptation pour être totalement « intégré ». - Malgré qu'il ne soit pas là depuis longtemps, que retient-il de St Berthuin ? Il retient que c'est une école familiale avec un bon esprit convivial, si on omet la grandeur de l'école. Il trouve que les élèves sont très bien disciplinés et que l'école a plutôt bien réussi son organisation tel que son site internet,..., . - Quelles sont ses résolutions pour l'année à venir ? Il est assez compliqué de répondre à la question car il ne sait pas vraiment s'il conservera son emploi pour l'année à venir. Si tel est le cas, il espère être encore mieux intégré dans l'institut et voudrait aussi créer des partenariats avec d'autres professeurs tels que ceux de géographie ou encore d'anglais. Il espère pouvoir organiser plus d'activités extra-scolaires tout en restant dans les objectifs du cours de sciences économiques. Une prof au top! Cette année, nous avons accueilli une nouvelle prof dans l'institut. Passionnée de biologie et de lecture, mademoiselle Moiny nous vient tout droit... de Saint Berthuin. Et oui! Elle a suivi ses études secondaires dans ce même institut! Rappelons toutefois qu'il y a eu d' énormes changements depuis lors! Il n'y avait pas de cuisine, la cafétéria était divisée en plusieurs salles de cours, et les classes actuelles se tiennent là où étaient placés les dortoirs à son époque. C'est donc un énorme changement et elle nous avoue qu'elle a encore du mal à s'y retrouver. Après sa rétho dans l'institut, Mademoiselle Moiny s'est dirigée vers les FNDP de Namur pour suivre une licence en biologie et une agrégation par la suite. C'est une série de coïncidences qui l'ont poussée à devenir prof de sciences. Tout a commencé dans notre école, quand elle passait déjà beaucoup de son temps à aider ses camarades de classe en leur réexpliquant les matières qu'ils n'avaient pas comprises. Par la suite, elle a voulu se lancer dans une licence de recherches en laboratoire, mais la concurrence était trop importante. Elle risquait de ne pas trouver d'emploi par la suite, donc elle s'est dirigée vers l'enseignement, qui correspondait lui aussi à ses attentes. Tout au long de son parcours, elle a continué à donner des cours particuliers aux élèves en difficulté. Des cours non rémunérés, bien sûr! Saint Berthuin était une école connue pour elle, elle connaissait les profs, mais elle a a eu l'occasion de les voir différemment: en collègues et non en professeurs. Mademoiselle Moiny avoue toutefois qu'elle a eu quelques surprises à leur sujet.Elle tient à préciser que le corps enseignant s'est montré très accueillant quand elle est arrivée et que tous forment une équipe très soudée. Une chose revient toujours dans son attrait pour la pédagogie: l'envie de communiquer son savoir aux jeunes. Elle enseigne pour le moment à des classes de troisième, de cinquième et de rhéto. On sait qu'à l'heure actuelle beaucoup d'élèves éprouvent des difficultés envers les sciences. Mademoiselle Moiny a cependant un plan solide pour remédier à ce problème: Elle rappelle que dans les sciences, il faut suivre pour ne pas accumuler de matières incomprises, mais pour ce, elle compte motiver ses élèves en proposant des sujets concrets qui conviennent au plus grand nombre d'entre eux. Et en plus, elle est prête à consacrer des heures en dehors des cours à la remédiation. Sans doute un grand projet qui va permettre à beaucoup de se rattraper. Un merci n'est certainement pas superflu! Pour terminer, Mademoiselle Moiny, professeur dévoué pour ses élèves, nous fait part de sa seule résolution pour l'année à venir, à savoir, amener le plus grand nombre de ses élèves à la réussite. Binamé C. Petites questions à une nouvelle prof de Math En plus de Mademoiselle Moiny la nouvelle prof de sciences, et Monsieur Mullier, prof de Sciences économiques, Saint-Berthuin a également accueilli Mademoiselle Van Tongelen. Elle est prof de mathématiques et donne cours à un groupe d’élèves de math 4 heures en 5eme. Lors d’une petite pause d’entre-cours nous avons pu lui poser quelques petites questions pour en savoir un peu plus sur cette nouvelle enseignante de l’Institut. • - • Les élèves c’est mitigé. Il y en a quelques uns avec qui c’est dur d’avoir un vrai contact, de pourvoir arriver à une conversation. Où enseignez-vous à part à Saint Berthuin ? - • Oui, il y a une bonne ambiance. Et les élèves ? - • Oui, même si je n’ai que 6h à Saint Berthuin, je m’y sens déjà très bien. Les profs sont-ils sympas ? - • Vous sentez-vous bien intégrée ? J’ai déjà enseigné à Floreffe, l’année passée. Cette année c’est à Malonne et à Saint Aubain, à Salzinnes. Comment avez-vous eu contact avec l’école ? - J’ai juste remis mon Cv. Comme Mme Genard était absente pendant quelques temps, la direction m’a prise comme remplaçante. Puis quand elle est revenue, j’ai pris un groupe de math 4h car les élèves étaient très nombreux dans chaque groupe. • Quel est votre parcours ? - • Quelle est la chose la plus difficile dans le métier d’enseignant ? - • Assurer la légitimité, faire passer le message malgré les élèves. Ceux-ci n’ont pas toujours envie de travailler, d’apprendre alors que c’est pour leur bien que nous sommes là. Cela, il ne s’en rendent pas toujours compte. Depuis quand voulez-vous être professeur ? - • J’ai commencé par une candidature en sciences économiques. Ensuite j’ai fait une maîtrise en informatique à Namur. Après cela j’ai travaillé 2 ans et demi pour Oxfam solidarité et l’année passée j’enseignais donc au séminaire de Floreffe. Pas longtemps. Il m’a fallu un an et demi de réflexion avant de prendre ma décision définitive. Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? - Pour passer un message. C’est la même raison pour laquelle j’ai travaillé chez Oxfam solidarité. C’est surtout le côté relationnel qui m’a attirée dans ce métier. Je veux amener une bonne manière de penser. C’est pour ça que je me suis un peu plus intéressée à la Belgique au lieu des autres pays en difficultés. Il y a d’abord des choses que je peux faire dans mon pays avant de m’investir pour un autre endroit. Joy Dugardeyn ; Florence Léglise Dessins réalisés au cours de Mr Van Dyck Nouvelles d’un ancien Par l’intermédiaire de Florence, sa sœur, nous avons eu la chance de pouvoir poser quelques questions à Jérémy Monfils, un ancien élève de Saint Berthuin, étudiant aux Fac à Namur. Cela fait toujours plaisir d’avoir quelques nouvelles de ceux qui nous ont quitté récemment pour prendre leur envol dans la société. • Quelles sont tes études ? Ingénieur de gestion aux Fac à Namur. • Pourquoi avoir choisi cela ? Parce que j’aimais bien les mathématiques, c’était une branche dans laquelle j’étais à l’aise et de plus, l’économie me passionne. • Quels sont tes projets ? Premièrement, le plus important c’est de réussir mon année. Pour la suite on verra plus tard, comment les choses vont évoluer d’une bonne ou d’une mauvaise manière. • Comment réagissent tes proches suite à tes choix ? Ils n’ont pas tellement d’avis. Ils sont d’accord avec mes choix. Le principal pour eux est que cela me plaise. Ils sont heureux pour moi. • Tes études actuelles sont-elles fort différentes des secondaires ? En quoi ? Oui, elles sont extrêmement différentes ! Déjà, les cours se passent dans des auditoires, bien plus grands que les classes de Saint-Berthuin. Ils y a plus d’élèves, tout est plus grand il faut un temps d’adaptation important. Les cours sont plus difficiles aussi bien sûr, il faut travailler beaucoup plus. • Y a-t-il beaucoup plus de pression sur tes épaules ? Un peu. Tout est plus dur là-bas. Mais mes parents ne me mettent aucune pression et pour l’instant on est encore un peu cool vu que ce n’est que le début de l’année. • Te sens-tu déjà un peu plus responsable ? Non pas trop. C’est moi qui décide d’aller aux cours ou non, c’est moi qui serai pénalisé mais je suis conscient de ce que je fais quand même. • Quels sont les conseils que tu pourrais nous donner pour nos études supérieures ? Je n’ai pas encore de conseils à vous donner car ça ne fait que 2 mois que j’ai commencé mes études supérieures et j’avance petit à petit. • Regrette-tu les secondaires ? Pourquoi ? Oui ! Il y a moins de travail et l’ambiance est plus cool. • Garde-tu des contacts avec tes amis de secondaires ? Oui, j’ai encore de nombreux contacts. Il y a aussi des amis que j’avais déjà à SaintBerthuin qui sont là-bas aussi. (François Piraprez, Kevin Evrard,…). Je me suis également fais beaucoup d’amis à l’Université. • Message à faire passer ? J Travaillez et gardez courage ! 10% de profs en moins!? Le jeudi 17 septembre, les élèves de St Berthuin on vu leur temps de midi prolongé d'une heure. En effet la ministre de l'enseignement obligatoire Marie-Dominique Simonet a proposé de reculer l'âge de la prépension des enseignants (actuellement fixé à 55 ans) au-delà de 2011 ainsi que d'augmenter le temps de travail de deux heures. Les syndicats des enseignants ont vivement réagi à cette proposition car le véritable problème n'est pas de travailler deux heures de plus mais les nombreux licenciements que cela causerait. Selon Régis Dohogne (secrétaire général de la Fédération des Instituteurs chrétiens) le nombre de professeurs licenciés en Belgique serait entre 2000 et 3000! Concrètement, à St Berthuin, cela représenterait une diminution du nombre de professeurs de 10%! C'est à cause de cela que, le 17 septembre, les syndicats ont consacré une heure de cours à expliquer la situation aux professeurs. Les arguments des politiciens qui défendent le projet de la ministre Simonet sont que la Communauté française a vu son budget diminué de 611 millions d'euros et que le secteur de l'enseignement doit lui aussi participer aux efforts budgétaires Malgré avoir proposé ces réformes, les négociateurs disent « veiller à ce que l'enseignement soit le moins touché par les mesures économiques ». Au vu des réactions assez vives des syndicats et des enseignants, ce projet a été abandonné. JOURNEE D’ETUDE POUR LES RHETOS OUVERTURE A L’EUROPE. La visite au Parlement européen ce mardi 10 novembre s’articulait autour d’un bref historique et d’un débat sur l’Europe. Initialement, les rhétoriciens qui participaient à cette activité visitaient une salle d’apparat, utilisée notamment pour les conférences de presse. Actuellement, et pour un an et demi encore, c’est un local plus modeste qui accueille les jeunes visiteurs. Mais si l’attrait lié à l’apparence imposante de la grande salle de presse n’y était plus, le cours d’histoire que nous avons reçu valait le détour. Il consistait en une introduction à l’Union Européenne : bref historique, causes et buts, structure générale… Madame de Toussignant, chargée de la présentation, donna un cours interactif, structuré et clair. Sur base d’une fine sélection, elle transmit une vision claire de l’UE. LE MUSEE DES SCIENCES NATURELLES Après un repas de midi, arrivée au Musée des Sciences Naturelles. Les galeries et expositions diverses sont vivantes et fraîchement rénovées pour certaines. La galerie de l’évolution, notamment, était particulièrement interactive, à partir d’un fil conducteur qui permet de recadrer les informations et de raccrocher à ce qui nous est déjà connu. Les reconstitutions, grandeur nature, des squelettes de cétacés, les animaux empaillés, les images, films et interview… autant d' éléments qui rendent le musée attrayant. Le tout dans un langage facile d’accès pour tous. Maxime Lebeau AMBLETEUSE 2009. Comme chaque année, au mois de Septembre, les élèves de deuxième eurent la chance de vivre une semaine de classes de mer au « Cap d’Opale » d’Ambleteuse. Promenades, visites, découvertes culturelles et scientifiques se succédèrent à un rythme effréné. Un récit détaillé de cette semaine vous parviendra dans la revue de fin d’année. Mais cette aventure ne s’est pas terminée le 18 septembre … En effet, de nombreuses exploitations de ce projet sont menées dans différents cours. C’est pourquoi nous vous invitons, dès à présent à une soirée « exposition-souper » au cours de laquelle vous pourrez découvrir les nombreux travaux réalisés, le film et les diaporamas de la semaine. Retenez bien la date !!! Le vendredi 29 janvier, dès 17h30 Nous espérons vous y voir très nombreux et vous communiquerons de plus amples renseignements sur cette soirée dans le courant de la première semaine de rentrée. Les élèves et les professeurs de 2ème Echange linguistique/Taaluitwisseling Comme chaque année à cette époque, c’est en ce mois d’octobre qu’a lieu la première rencontre entre les élèves de 4eme et leurs correspondants néerlandophones. Des correspondants brugeois de l’école d’OLVA. Une première expérience d’échange linguistique souvent très intéressante aussi bien pour prouver que la seule différence entre le Nord et le Sud n’est que la langue et que celle-ci n’est même pas un obstacle à la création de nouveaux amis. Après avoir rempli une fiche de description ou écrit une petite lettre, les professeurs de Néerlandais ont essayé de trouver le double flamand de chaque élève, ce qui n’est pas toujours facile ! On s’échange aussi quelques courriers, histoire de connaître un peu plus de choses sur l’inconnu chez lequel vous aller vous loger. Les cours précédant le jour J aident à se remémorer peut-être quelques mots assez importants de la vie courante qu’on aurait oublié et sans lesquels nous serions bien embêtés (surtout au moment du souper : fourchette, couteau, …). Ces cours sont aussi destinés à discuter de nos sentiments avant la rencontre. Certains sont stressés, d’autres confiants ou encore anxieux à cette idée. Le jour même, rendez-vous à la gare de Namur pour le commencement d’une journée bien remplie. Quelques heures de train (très longues ou très courtes selon les avis) et nous voici dans la belle Venise du Nord. On aperçoit directement de nombreux vélos, moyens de transport préférés de ces Brugeois (bien sûr vu qu’il fait tout plat !). Le premier contact est parfois un peu mitigé ou au contraire rassurant. Durant la journée se déroulent beaucoup d’activités diverses (sports, quiz, le fameux Tourniquet ou chaise musicale : le but est de connaître le plus d’informations sur chaque personne pour ensuite les présenter le plus complètement possible, …). Après cette journée épuisante, l’épisode souvent le plus dur : le retour à la maison ! Quelques élèves organisent des soirées d’autres choisissent la kermesse, ce qui permet toujours aux élèves wallons de retrouver leurs amis. Les voyages se faisant toujours à vélo ! Aller & retour ! Il est donc question de pouvoir toujours être capable de tenir sur un vélo pour rentrer ! Le lendemain matin, lorsqu’on arrive à OLVA tous les élèves se sentent un peu mieux après avoir passé la soirée avec la famille du « penvriend » ! Après encore quelques activités presque identiques à la veille, il est déjà temps de dire au revoir aux nouveaux amis, attendant impatiemment les retrouvailles au mois de mai ! Léglise Florence Journée au FIFF Cette année, les thèmes du FIFF (Festival International du Film Francophone) sont les droits de l’homme et la citoyenneté. Les élèves du 3ème degré s’y sont rendus le lundi 5 et le jeudi 8 octobre. Ces journées sont organisées, notamment, dans le but d’amener une discussion dans le cours de religion de Madame Woltèche. Le film passé aux 5ème était un documentaire sur les chercheurs d’or au Burkina Faso : « Ceux de la colline ». Il a été réalisé par le suisse Berni Goldblat, habitant non loin de cette colline. On rentre totalement dans l’ambiance ; dans le monde hostile des chercheurs d’or, où chacun fait son maximum pour survivre. Ensuite, ils ont eu droit de participer à un débat avec le producteur très animé car certaines personnes n’ont pas hésité à exprimer ouvertement leur avis. Cette discussion leur a permis de mieux comprendre le message que Berni Goldblat voulait faire passer à travers son œuvre. Celui-ci débordait d’émotions très contradictoires les unes aux autres (tristesse, haine, pitié,…). La matinée achevée, les élèves ont été répartis dans 4 activités : Géologie, jeux de rôles (avec les maillons des chaînes commerciales), jeux de la ficelle en rapport avec l’environnement et débat sur les différences écologiques entres les pauvres et les riches. Dessins réalisés au cours de Mr Van Dyck Nous avons eu la chance de pouvoir connaître certains avis sur cette journée particulière, en dehors de l’école, qui a permis (ou pas) d’avoir une nouvelle vision sur la société actuelle. Voici un témoignage d’un élève de 5eme : « La partie de la journée au FIFF qui m’a le plus marquée est la vision du film. Celui-ci était très poignant. Les difficultés que rencontrent « Ceux de la colline » n’ont pas été masquées ni amplifiées. Le réalisateur a fait part d’une grande objectivité malgré sa proximité d’habitation avec ces personnes. Le tournage était fort proche des gens, ce qui nous permettait de bien mieux les comprendre, de réaliser les difficultés de la vie dans des endroits pareils - où tous doivent prouver qu’ils sont plus forts qu’un autre, montrer leur capacités à pouvoir survivre alors que tout se paye au prix fort - et d’améliorer nos connaissances sur les minerais et le métier de chercheur d’or. Ce documentaire était rempli d’émotions grâce aux nombreux témoignages (désarroi, espoir, crainte, joie, …). Les activités étaient elles aussi très intéressantes. La mienne (n°1) m’a donné de nouvelles notions scientifiques sur la terre et les roches composantes des minerais. Elle était moins en rapport avec les problèmes de société mais quand même très instructive. » Florence Boreux, Joy Dugardeyn, Florence Léglise De s si n r é ali s é a u c o ur s d e M r V a n D y c k Le coin de plus petits Manon, Pauline, Catherine, Maud & Félicien, élèves de première, nous font part de leurs impressions : « Il y a pas mal de changements entre l'école primaire et secondaire. Maintenant nous avons un prof pour chaque cours. L'horaire est vraiment différent car il y a des nouveaux cours. Il y a plus d'élèves dans l'école et donc, la cafétéria est plus grande. Ce qu'on aime vraiment ce sont les activités comme Oxfam. On peut mettre nos fardes et cahiers dans notre casier. De plus, on perd du temps entre chaque cours. En secondaire, il faut plus étudier mais il y a moins de devoirs. Malheureusement, certains profs sont sévères et on doit porter nos fardes et mallette tout le temps. Avant on n'avait pas besoin de tout ça, il y avait des bancs pour tout ranger. Malgré cela, Saint-Berthuin c'est vraiment chouette. » Pourquoi ont-ils choisi Saint-Berthuin ? : « Je suis venue ici parce que mon frère et ma soeur y étaient déjà. »; « Et moi, parce que c'est plus proche de chez moi. »; « Moi je ne voulais pas quitter mes amies, alors je les ai suivies. » Ils nous ont aussi fait part de leur intimidation face aux plus grands: « On sait qu'ils sont les plus forts, on n'ose pas trop les chercher. » Lisa, Adélaïde, Maximilien et Guillaume : « Presque tous nos amis de primaires sont avec nous. Tout est plus grand. Les cours sont beaucoup plus nombreux, il y en a des nouveaux, comme musique, sciences, technologie, Edm, Latin (c'est vraiment dur Latin! J'arrête l'année prochaine!),... On est contents de pouvoir choisir nos options. Il faut bien s'organiser maintenant qu'on est en secondaire. Par rapport aux plus grands, on n'a pas peur mais ça fait bizarre de ne plus dominer. On les respecte quand même. On a hâte d'être en 6ème pour à nouveau dominer. » Délina : « J'ai choisi cette école car elle n'est pas encore trop grande et on ne risque pas de se perdre. Avant, en primaire, on était toujours dans la même classe. Ici, on peut se défouler entre chaque cours, mais je préfère quand même avoir un seul prof car il peut mieux s'occuper de nous. Je respecte les plus vieux car j'ai peur de leurs réactions. » Arnaud et Quentin, eux aussi, aiment Saint-Berth : « Au début de l'année, on était un peu perdus dans les couloirs de l'école, car c'est plus grand que notre ancienne petite école. Certains plus vieux font un peu peur. Ils devraient plus nous respecter, car on est nouveaux, on a besoin d'être aidés pour bien nous intégrer. » Camille & Sabrina : « A St-Berthuin, il y a une bonne ambiance, c'est une bonne école, où personne n'embête les autres sauf quelques plus grands qui ne sont pas très sympas. Nous avons hâte d'être les plus grandes de l'école pour être respectées. » Maxence : « Saint-Berthuin, c'est une chouette école. J'ai plus d'amis que l'année passée. Je suis venu ici car le plupart de mes copains y étaient et je ne voulais pas les perdre et me retrouver tout seul. En plus, tout le monde dit que c'est une bonne école. » Maxence comparé aux autres n'a pas du tout peur des grands: « Les grands, je n'en ai pas peur! S'ils me bousculent, moi, je leur écrase les pieds et c'est bon! » Boreux Florence, Dugardeyn Joy & Leglise Florence. Oxfam Qu'est-ce que c'est Oxfam? Oxfam est une association qui vend de la nourriture, des boissons et des vêtements. Elle fait en sorte que des personnes qui vivent dans des pays pauvres puissent survivre dans notre société. Les habitants de ces pays cultivent leurs matières premières et les transforment en marchandises. Oxfam n'est pas comme les multinationales qui payent une fois que la marchandise est arrivée à bon port. Oxfam paye 50% de la marchandise avant qu'elle ne parte et 50% une fois qu'elle est arrivée. Cela permet aux petits producteurs de pouvoir continuer à cultiver la marchandise entre le départ et l'arrivée de celle-ci. De qui se compose le groupe Oxfam ? Comment les participants sont-ils « formés »? Le groupe accepte les élèves à partir de la deuxième jusqu'à la sixième, il y a des profs pour les encadrer (mesdames Duquesne, Libois, et Pairon). Une fois par année certaines personnes du groupe (celles qui le veulent) partent à une journée de formation pour faire des activités entre JM ( Jeune Magasin Oxfam) de Wallonie: -Liège, -Namur, -Charleroi, -Luxembourg. Oxfam organise aussi une journée, tous les deux ans, sur un thème défini. L'année dernière, cette journée était sur le thème de l'eau. En prolongation, une fontaine à eau sera prochainement installée et inaugurée. Le programme journée: de la Cette année, cela s'est passé Au matin, les premières et le 7 octobre à la Marlagne. deuxièmes ont eu un petitdéjeuner (produits Oxfam). Que fait Oxfam dans l'école? Ensuite ils ont eu une activité Oxfam a un petit magasin pour leur faire prendre dans la cafétéria à côté de celui conscience des richesses dans des éducateurs. Oxfam vend le monde. Les autres élèves ont des produits équitables un peu eu cours toute la matinée. plus chers que le magasin des -Pendant le temps de midi, il éducateurs, qui est fourni par y a eu le « concert » d'un des multinationales. groupe (Tarabisco ). Les tarifs de quelques produits: -Après-midi, les élèves (des • des chips à 1euro, 3èmes aux 6èmes) ont assisté à des chocolats à 70 cents une conférence sur la • des barres de céréales à consommation de l'eau donnée 70 cents par Ricardo Petrella (détenteur • des jus à 60 cents et avec d'un doctorat en science 10 cents de caution, politique et social de • des barres de sésames à l'université de Florence). 60 cents, • de l'ice tea à 80 cents. St Berthuin, 39ème école sur près de 4000 Les médias en parlent de temps en temps : la Région wallonne a, depuis 2006, promis de changer l’équipement informatique des écoles (datant de 1999) dans un grand plan ‘Cyberclasse’ destiné à équiper toutes les écoles (primaires, secondaires et celles de promotion sociale), soit près de 4000 établissements de Wallonie et de la Communauté germanophone (qui fait partie de la Région pour ceux qui l'ignorent). Je vous passe toutes les péripéties et rebondissements aussi bien au niveau politique et attribution de marché qu’au niveau de notre école, mais le 13 et 14 août, le matériel était installé à l’école. L’institut devenait la 39 ème école équipée … cela fait un joli plus pour permettre à chacun de bénéficier de matériel récent et ‘à la pointe’ … Nous avons donc une nouvelle salle équipée de 25 machines type PC et, dans le CDI, 12 nouveaux MAC sont venus trouver une place. Rappelons qu’il y a une troisième salle équipée de 25 PC offerts par l’Association des Parents dans le courant de l’année scolaire dernière … Tout cela est ‘surveillé’ par un nouveau serveur APPLE. Chaque machine peut-être équipée d’une webcam et d’un casquemicro pour utiliser « à fond » le potentiel audio-vidéo de ces postes. Ils sont également équipés de la suite libre ‘OpenOffice’ ainsi que d’autres logiciels tout aussi libres et néanmoins efficaces comme Audacity (édition de fichiers sonores), Gimp (édition d’images, presque du niveau de Photoshop), Scribus (logiciel de mise en page) … Sur les photos vous pouvez voir deux rédactrices de la revue en plein travail ainsi que les deux nouvelles salles Ph Lénelle Deux dessins des élèves de M. Van Dyck. (D'autres dessins illustrent certaines pages .. vous pouvez les découvrir en couleur sur le site de l'école) Voici une histoire de Noël avant l'heure afin de vous mettre dans l'ambiance des festivités qui arrivent à grands pas. Histoire de Noël : Il descendait rapidement le chemin enneigé qui s’enfonçait abruptement dans la sapinière. La pleine lune arrivait à éclairer partiellement la voie malgré les imposants conifères. L’air était glacé, mais l’absence de vent rendait l’atmosphère plus lourde encore. L’homme, qui continuait toujours à avancer, se mit à allonger le pas. Il se retournait régulièrement et avait sur son visage des rides de peur qui commençaient à se dessiner. On aurait dit qu’il fuyait le diable, ses yeux cherchaient quelque chose, mais on voyait qu’il espérait de tout cœur ne pas la trouver. Une personne sensée l’aurait sans doute supplié pour ne pas qu’il s’aventure dans cet endroit pendant une nuit de pleine lune, et qui plus est un soir de noël. Mais il ne voulait pas croire aux légendes locales, pour lui, ces histoires de disparitions n’étaient que des ragots de vieux villageois pour faire fuir les éventuels touristes. Il arrivait maintenant à un petit pont. Plus qu’une trentaine de mètres, et il sortirait enfin de la sapinière, il serait presque en sécurité, hors d’atteinte. Soudain, un grognement profond retentit. Son sang se glaça. Elle était là, quelque part autour de lui, elle l’attendait… Il savait qu’il était cerné. Il se tint immobile. C’était son seul échappatoire : espérer qu’elle rebrousserait chemin voyant qu’il ne voulait pas se prêter à son jeu. Après quelques secondes qui lui parurent une éternité, elle se montra enfin. Eclairée par la lumière de la lune, elle paraissait encore plus grosse que ce que l’on racontait. Elle avait des poils drus, hérissés et une tête plus effrayante que le diable avec une mâchoire d’où sortaient des crocs acérés. Elle s’approchait doucement, calculant tous ses mouvements, toujours en fixant l’étranger qui avait osé traverser sa forêt. Dans un dernier espoir, il fit demi tour et prit son élan, mais le sol enneigé restait glissant et la bête fut plus rapide que lui. C’est un hurlement de douleur qui vint rompre le silence de la forêt sombre cette nuit-là. Et il fut suivi par un profond hurlement qui ramena le calme et la tranquillité dans cette nuit de noël… Binamé C. Pour les mordus du petit écran. Tu es un mordu de séries télé américaines? Tu penses être incollable sur le sujet? Alors fais-ce test, il ne t'en coûtera rien, et tu pourras ainsi prouver ton savoir! Mais attention, on n'est jamais à l'abri d'un doute! Bonne chance! 1.Friends. - De combien de New-Yorkais est composée la bande d'amis ? • A : De 4 New-Yorkais. • B : De 6 New-Yorkais. • C : De 5 New-Yorkais et un Londonien. - Où les amis se rejoignent-ils pour discuter des aléas de leur quotidien ? • A : Dans l'appartement de Monica et Rachel. • B : Dans l'appartement de Chandler et Joey. • C : Dans leur café préféré : « Le central perk ». - A partir d'où, Chandler et Monica n'ont-ils plus été que de simples amis ? • A : Après le mariage de Rachel et Ross à Las-Vegas. • B : Après le mariage mythique de Emily et Ross à Londres. • C : Après un séjour à la mer pour aider Phoebe à retrouver sa mère biologique. 2. Lost, les disparus. - Quel était le nom du vol de l'avion qui s'est écrasé sur l' île déserte ? • A : Le vol Océanique 915. • B : Le vol Océanique 815. • C : Le vol Océanique 615. - Lesquels de ces survivants ont-ils eu la chance de quitter l'île ? • A : Seulement 5 sur les 48 ont quitté l'île. • B : Personne n'a pu quitter l'île. • C : Six ont pu quitter l'île (Kate, Sun, Jack, Hurley, Sayid, Aaron) - Pendant trois ans, après les autres soient partis, quel est le nouveau couple de l'île ? • A : Sawyer et Charlotte. • B : Benjamin et Kate. • C : Sawyer et Juliette. 3. Ghost Whisperer. - Quel est le pouvoir de Mélinda Gordon ? • A : Elle voit des personnes disparues. • B : Elle voit et parle avec les esprits. • C : Elle lit l'avenir des gens dans les lignes de la main. - Qu'est-il arrivé à Jim, la mari de Mélinda ? • A : Il est mort d'une crise cardiaque. • B : Il l'a quittée pour une autre femme. • C : Il est mort d'une balle et son esprit est entré dans le corps d'un autre homme juste avant sa mort (Sam). - Qu'apprend Mélinda après que Sam se soit souvenu qu'il était « Jim » ? • A : Qu'elle est malade. • B : Qu'elle va mourir. • C : Qu'elle est enceinte. 4. Les frères Scott. - Que s'est fait tatouer Haley, la petite amie de Nathan dans le bas du dos ? • A : Le numéro de téléphone de Nathan. • B : Un signe chinois. • C : Le numéro de maillot de Nathan. - Quelle est la signification de la comète dans la série des frères Scott ? • A : Cela signifie la marque de la voiture de Brooke. • B : Cela signifie le nom du café de sa mère. • C : Cela signifie la marque de la voiture de Peyton. - Qu'est-il arrivé à Peyton dans la saison cinq de cette série mythique ? • A : Elle va mourir en accouchant de sa fille, Sawyer. • B : Elle a failli mourir en donnant naissance à sa fille, Sawyer. • C : Elle est morte dans un accident de voiture ainsi que l'enfant qu'elle portait. 5. Grey's anatomy. - De qui Meridith Grey est-elle tombée amoureuse dans la première saison ? • A : De Mark Sloan. • B : De Derek Shepard. • C : De Alex Karev. - Après Burke, avec qui Cristina va-t-elle sortir ? • A : Avec le docteur Hunt. • B : Avec le docteur Weber. • C : Avec le docteur Karev. - Dans la saison cinq, que va-t-il arriver à Isobel alias Izzie ? • A : Elle va se marier avec Alex. • B : Elle a vécu les deux. • C : Elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer de la peau qui s'est propagé au cerveau. 6. Prison Break. - Pour quelle raison, Michael a-t-il été incarcéré ? • A : Parce qu'il a braqué une banque. • B : Parce qu'il avait tué un homme. • C : Parce qu'il a braqué une banque dans le seul intérêt d'être incarcéré dans la même prison que son frère pour l'aider à s'évader. - Qu'ont découvert les deux frères dans la quatrième et dernière saison ? • A : Que leur mère n'était pas morte. • B : Que leur père n'était pas vraiment leur père naturel. • C : Que leur père est mort dans une fusillade. - Comment est mort Michael ? • A : Il est mort d'une tumeur au cerveau. • B : Il est mort d'électrocution dans une prison pour sauver Sara. • C : Il est mort d'une balle dans la tête. 1. Friends. - Q1 : B - Q2 : C - Q3 : B 4. Les frères Scott. - Q1 : C - Q2 : C - Q3 : B Les réponses. 2. Lost, les disparus. - Q1 : B - Q2 : C - Q3 : C 5. Grey's Anatomy. - Q1 : B - Q2 : A - Q3 : B 3. Ghost Whisperer. - Q1 : B - Q2 : C - Q3 : C 6. Prison Break. - Q1 : C - Q2 : A - Q3 : B Calculez maintenant vos points pour savoir quel est votre niveau de connaissance des séries américaines en sachant que chaque bonne réponse à ces questions correspond à un point. - De 0 à 9 bonnes réponses. Après toutes ces années où ces séries américaines, ont été diffusées sur toutes les chaînes télévisées possibles et imaginables. Vous n'êtes même pas capable de faire un score potable. Ouh la honte !!! Certains d'entre vous se lancent dans ce test par simple envie de défi, parce qu'ils veulent réaliser cette épreuve à tout prix même s'ils ignorent totalement le sujet dont ce test parle. Vous êtes tellement pitoyable. Mais honnêtement, combien d'épisodes de chacune de ces séries avez-vous vus ? A votre niveau, il faut absolument tout reprendre depuis le commencement de chacune de ces séries. Donc vous avez de boulot !!! Rien de tel pour devenir un incollable de séries américaines et vous finirez peut-être un jour sur la première place du podium. - De 10 à 19 bonnes réponses. De toute évidence, vous connaissez ces séries américaines. Pas sur le bout des doigts, pas au point de vous rappeler des détails plus qu'insignifiants pour vous mais vous connaissez ces séries. L'inconvénient est que pour ce genre de test, il ne faut pas se contenter d'une bête connaissance approximative de ces six séries américaines. Le secret de la réussite pour ce genre de test est plus que simple, c'est un mélange de concentration, de mémoire et de justesse. Croyez en mon expérience, ça marche à tous les coups !!! - De 20 à 23 bonnes réponses. Sans aucun doute, vous faites bien partie du noyau des fans purs et durs des séries américaines qui ne se limitent donc pas du tout aux six séries reprises dans ce test de connaissance. Vous êtes maintenant prêt à réaliser vous-même vos propres tests de connaissance sur toutes les séries américaines possibles. C'est donc à votre tour, de poser des questions pièges à vos amis et de devenir enfin le grand champion ou la grande championne des séries américaines. Hé! redescendez sur terre, bande de fainéants !!! Parce que passer sa vie à manger des chips et des bonbons devant la télévision comme des gloutons, ça n'a rien de glorieux. Elodie M. A lire!...Twilight "Mon sang bouilonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon soufe devint heurté et erratque. Mes doigts agrippèrent ses cheveux, colant sa têt conte la mienne. Mes lèvres s’ouvrirent et j’inhalai à fond son odeur capituse. Aussitôt, il se pétifa. Ses mains douces mais fermes, me repoussèrent. Rouvrant les yeux, je vis qu’il était sur ses gardes." Fascinaton, Stfenie Meyer P etit ré s u m é de l'hi stoire: Qui n'a jamais entendu parler du nouveau phénomène de Stefenie Meyer ? Les livres, ainsi que le premier film connaissent un succès fou auprès des ados. Quelle en serait la cause? La perfection époustouflante d'Edward? La pureté & le côté aventureux de Bella? Ou simplement la profondeur de l'écrit de l'auteur? L'histoire d'une jeune fille banale, dont la vie l'a conduite à quitter le soleil de l'Arizona pour la petite ville de Forks, où vit son père qu'elle n'a vu que quelques fois depuis son enfance. Une fois là-bas, son quotidien va totalement basculer. Elle tombe sous le charme d'un garçon mystérieux aux prunelles dorées. Un être parfait, mais gardant un lourd secret que Bella ne tardera pas à découvrir... Voici quelques citatons cults que vous touverez dans le livre: « Dors, ma Bela. Fais de beaux rêves. Tu es la seule à avoir tuché mon cœur. Il t’appartendra tujours. Dors, mon unique amour. » *** " Vote liaison est étange. Il est si ... protctur envers ti. Comme s’il était prêt à se jetr − devant une bale de pistlet pour t sauver. Et ce n’est pas que lui. Tu verrais tn comportment en sa présence. Tu t déplaces comme si tu t’orientais systématquement en foncton de lui. Lorsqu’il bouge, même un tut pett peu, tu ajusts ta positon à la sienne. On dirait des aimants ... une sort de réacton gravitatonnele. A croire que tu es un satlit. C’est tès bizarre. " *** − Qui c’est ce garçon aux cheveux blond-roux, demandais-je. Au moment où ele se redressait pour voir de qui je parlais, il leva brusquement la têt. Il déturna les yeux, plus vif que moi, alors que, soudain tès gênée, j’avais aussitôt baissé les miens. Edward. Il est superbe, mais inutle de perdre tn tmps. Apparemment aucune des fles − d’ici n’est assez bien pour lui. − Jessica renifa avec une tle rancoeur que je me demandai quand il avait refsé ses avances. Il me sembla bien que la joue d’Edward tessailait, comme si lui aussi étufait un rire. Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck Public Ennemies Public Ennemies est un film policier réalisé par Michael Mann (qui a également réalisé Miami Vice en 2006 ou encore Le sixième sens en 1986) avec Johnny Depp dans le rôle principal. L’histoire, basée sur une histoire vraie se déroule dans les quartiers sombres de Chicago, dans les années 1930. Elle retrace la vie palpitante de John Dilinger, un braqueur de banques dont la réputation n’est plus à faire. Lors de la préparation d’un plan des plus brillants de sa carrière, il rencontre la femme de sa vie, Billie Frechette, incarnée par l’actrice française Marion Cotillard, pour qui il est prêt à tout sacrifier. Arrêté plusieurs fois, il est toujours arrivé à s’évader. Après cela, Melvin Purvis (Christian Bale), un gars du FBI, un des meilleurs des Etats-Unis, se lance à la recherche du braqueur. La traque de l’ennemi public numéro 1 est sans relâche. Mais le bandit reste humain et les sentiments se mélangent en lui.. Restera-t-il aussi parfait dans chacune de ses actions ? La seule petite erreur ou la moindre confidence de trop lui coûtera-t-elle le prix fort ? Léglise Florence Sudoku : Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck Mot croisés sur les grands-mères : Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck Recette pour noël : Noël approche à grands pas, et vous ne savez toujours pas quel dessert offrir à vos invités. Devezvous perpétuer les traditions avec l’éternelle bûche de Noël ou oseriez-vous tenter quelque chose de plus… nouveau ? Et pourquoi pas un choix de verrines qui ravirait grand nombre de vos hôtes ? Je vous présente ici une idée de dessert facile et délicieux! Duo de mousses en verrine : Pour six personnes Temps de préparation : 20 minutes Temps de cuisson : 15 minutes Ingrédients : • 225g de chocolat noir • 60cl de crème liquide • 3 cuillères à soupe de miel • 150g de sucre en poudre • 3 cuillères à café d’extrait de café • 6 jaunes d’œuf • 20cl de lait • 3 cuillères à café de farine • 3 cuillères à café de liqueur de café • Vin : un crémant du Jura (pétillant) Préparation : Râpez le chocolat avec une grosse râpe. Versez la moitié de la crème liquide dans une casserole, portez à ébullition puis ajoutez le miel et le chocolat. Faites fondre doucement en remuant, retirez du feu et répartissez la crème dans 6 coupes. Réservez. Versez le lait et l’extrait de café dans une casserole, faites chauffer doucement. Fouettez les jaunes d’œufs avec le sucre. Ajoutez la farine et la liqueur de café. Versez le lait bouillant en filet en fouettant sans arrêt. Transvasez le tout dans la casserole et faites épaissir sur feu doux en remuant. Retirez du feu, laissez refroidir. Fouettez le reste de crème liquide en chantilly et incorporez-la délicatement à la crème au café. Versez la mousse au café sur la crème au chocolat. Réservez au frais. Décorez de grains de café au chocolat et servez très frais. BON APPETIT ! LES LAURIERS DES ANCIENS Voici un aperçu de résultats obtenus par des anciens dans l’enseignement supérieur ou universitaire au cours de l’année académique 2008-2009. Nos félicitations et nos meilleurs vœux pour la poursuite de leur cursus. UNIVERSITE CATHOLIQUE DE LOUVAIN William RIGUELLE (2006) 2ème Bac en information et communication Laurent WILVERS (2002) 1ère année du master en criminologie Florence DEMOULIN (2004) 1ère année du master en Droit Cyrielle CLAES (2002) Master complémentaire en Droit européen Sébastien FREDERICK (2003) 1ère année du master en sciences de motricité Xavier VAUSE (2003) 2ème master ingénieur civil électricien Gaétano TERMINE (2002) 2ème master en sciences européennes Jean-François LAVIS (1978) Master complémentaire en pédagogie universitaire Diane BERTRAND (1998) 2ème master en sciences de l’éducation Emmanuela DE DECKER (2007) 1er Bac ingénieur civil Elodie DELVAUX (2007) 1er Bac ingénieur civil Robin LEFRANT (2006) 1er Bac ingénieur civil Dimitri DEVILLERS (2006) 2ème bac en sciences de l’ingénieur, ing civil. Natassia SCHUTZ (2003) 2ème master en langues et littératures germaniques Charlotte DIJON (2005) 2ème bac en kinésithérapie et réadaptation Martin DUBOIS (2006) 2ème bac en kinésithérapie et réadaptation Nicolas DECONINCK Année prépar au master en politique écon. et soc. Natacha DUMORTIER (1989) 2ème master en politique économique et sociale Virginie LUCCHETTA (1996) 3ème année d’étude spécialisée en psychothérapie Chloé deTHOMAZ de BOSSIERE 2ème bac en sc psychologiques et de l’éducation Elise DERMIENCE (2006) 2ème bac en sc psychologiques et de l’éducation Mélanie DEBRUXELLES (2003) 3ème bac en sc psychologiques et de l’éducation Marion AVRIL (2005) 3ème bac en sc psychologiques et de l’éducation Kee Sung CAILTEUX (2004) 1ère année du master en sciences psychologiques et de l’éducation Simon-Pierre MATHY (2003) 2ème master en sciences psychologiques et de l’éducation Margaux YSEBAERT (2007) 1er bac en langues et litt. modernes. Stéphanie TERWAGNE (2004) 1er master en langues et littératures modernes Carla PLOMPTEUX (2004) 1er master en langues et litt romanes. Anaïs BERGER (2003) 2ème master en sciences biomédicales Catherine GROSLAMBERT 1er bac en sociologie et anthropologie. UNIVERSITE DE LIEGE Julie MABILLE Céline DERMIENCE Cécile DUPAGNE Alexandra JANSE Pierre GERARD Emilie FAURE Annabelle DELIRE 3ème bac pharmacie Master complémentaire en pharmacie hospitalière 1er bac en langues et littératures modernes 3ème licence en sciences psychologiques doctorant en sciences de l’ingénieur (ing civil) Agrégation enseignement secondaire supérieur Doctorante en sciences chimiques Master en sciences de gestion EPHEC Roman BRIQUET Bachelier en marketing FACULTES UNIVERSITAIRES DE GEMBLOUX Christophe FISHER Jean-Michel ROMNEE 2ème master en bio-ingénieur chimie et bio-industries Doctorat en sciences agronomiques et ingéniérie biologique HENAM Timothée ANCIAUX Ludivine AUBRY Claire AVRIL Jonathan BAJART Aurélie CAEKEBEKE Delphine CAMBIER Marion CHEFFERT Pauline CRASSET Sophie DEBLIECK Raphaël DEHENEFFE Bastien DELVAUX Catherine DEMOULIN Stéphanne DIEUDONNE Fanny DREZE Amélie DREZE Gwennaëlle DUVIVIER Aurélien FIVET Maxime FORTHOMME Frédéric FROIDBISE Géry GAEREMINCK Amédée GALLOUX Théodora GILLET Sophie HALLEUX Thomas HENDRICK Nastasia LAHAUT Elodie LAMBERT Elodie LEONET Diana MALHERBE Lindsay MARION Jérôme MARNEFFE Magali MARTEAU Madelyne MATHYS Simon PECHEUX Laetitia RASE Arnaud ROSSOME Sylvie SOMERS Elodie URBAIN Alexandra VITTOR 1er bac en Informatique et systèmes 3ème bac assistante sociale 2ème r bac Education physique 3ème bac comptabilité et gestion 1er bac en Normale secondaire Sciences 1er bac Normale préscolaire 2ème bac marketing 1er bac Normale secondaire, Sciences Eco 3ème bac en soins infirmiers 2ème bac en gestion des resoources humaines 3ème bac en éducation physique 3ème bac normale primaire 3ème bac en droit 1er bac Normale primaire 1er bac Bibliothécaire - Documentaliste 2ème bac assistante sociale 1er bac Soins infirmiers 3ème bac Normale secondaire, Education Physique 3ème bac en Droit 3ème bac en Informatique et systèmes 1er bac Normale secondaire, Sciences humaines 2ème bac Normale primaire 2ème bac en éducation physique 3ème bac en soins infirmiers 1er bac normale primaire 2ème bac assistante sociale 2ème bac en Comptabilité - fiscalité 2ème bac en économie familiale et sociale 2ème bac assistante sociale 2ème bac en marketing 3ème bac bibliothécaire-documentaliste 2ème bac en soins infirmiers 1er bac en Droit 2ème bac en comptabilité 1er bac Bibliothécaire - Documentaliste Spécialisation en orthopédagogie 2ème bac en Marketing 2ème bac en soins infirmiers Amandine VOLAND 1er bac Normale primaire FACULTES UNIVERSITAIRES NOTRE-DAME DE LA PAIX NAMUR Anne-Sophie ROMAINVILLE Bénédicte BRYSSE Marie ROSIERE Aude KUBJAK Lionel GROETAERS Gabrielle PONCELET Thierry MOUTON Céline MATHIEU Népher GILET Esteban ANTON-NAVA Mathilde REMON Bastien VAUTHIER Manoëlle BULON Sarah DOCHEZ Florentine PATINY Guillaume ROSIERE Perrine THIROT Lydie HOUBION Eileen LENOBLE Laurence MELOT Romain PIRSON Bastien DEMANET Laura LOWIES Quentin BRACAVAL Mathieu DEMOULIN Jean-François ROMAINVILLE Aurélien THIROT Mathieu REDERICKX Grégory MELONI Carole MOINY 3ème bac en langues et littératures romanes 3ème bac en langues et littératures romanes 3ème bac en histoire 2ème bac en histoire de l’art et archéologie 3ème bac en information et communication 1er bac en Sciences politiques de l’information et communications 1er bac en Droit 1er bac en Droit 2ème bac en droit 2ème bac en Droit 1er bac en Droit 1er bac en Sciences économiques et de gestion 1er bac en Sciences économiques et de gestion 1er bac en médecine 2ème bac en médecine 1er bac en médecine 1er bac en médecine 3ème bac en sciences pharmaceutiques 3ème bac en sciences pharmaceutiques 2ème bac en sciences mathématiques 1er bac en Sciences biologiques 1er bac en Sciences biologiques année prépa au 2ème cycle en Sciences de gestion 1er master en ingénieur de gestion 2ème master en sciences économiques 2ème master en sciences économiques 2ème master en ingénieur de gestion 2ème master en ingénieur de gestion 2ème master en sciences informatiques Agrégation de l’enseignement secondaire supérieur Comme promis, nous remercions, à nouveau, les sponsors qui nous avaient soutenus pour la revue de Juin 2009