demission collective des membres de la commission vol

Transcription

demission collective des membres de la commission vol
DEMISSION COLLECTIVE DES MEMBRES DE LA COMMISSION VOL LIBRE/PARA-MOTEUR
RETRAIT DE L’AVION DE CHAMBERY
RETRAIT DE L’ULM DE BOULOGNE
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Démission collective vol libre
Depuis l’Assemblée Générale de Pleaux, bien des évènements se sont produits. Je me dois de vous apporter maintenant
quelques explications. Si je ne l’ai pas fait plus tôt c’est que je me plaisais à penser que la démarche engagée par le
Comité Directeur, de mettre en place la commission ad ‘hoc était juste et que les problèmes allaient ainsi se régler
tranquillement.
Malheureusement les décisions prises en Comité Directeur sur propositions de la commission ad ‘hoc, à la majorité des
membres du Comité Directeur, excepté par les représentants de la Commission Vol Libre/para-moteur ont fait que,
n’acceptant pas les règles de la démocratie, dans un bel ensemble les membres de la commission Vo Libre/Para-moteur
ont démissionnés. Le comité Directeur a reçu les lettres de démission le jour d’une séance de celui-ci les 20 et 21
octobre 2011 (Comité directeur qui avait à son ordre du jour l’examen des comptes rendu d’activités et élaboration du
budget 2012). En toute démocratie Le Comité Directeur a pris acte et accepté à l’unanimité cette démission.
Je me répète peut être mais j’insiste sur le fait que ces décisions ont été prises de façon on ne peut plus démocratique à
l’inverse de ce que dit Michel FLORY dans un de ses courriers.
Il est bien évident que je regrette cette démission collective, et je pense qu’il y aurait pu avoir convergence de vue si le
Président de la Commission Michel FLORY avait bien voulu comprendre que sa vérité n’est pas forcement celle des
autres, et que la vraie démocratie est bien celle qui est en place en ce moment au sein du Comité Directeur de l’ANEG,
puisque ce n’est pas le Président qui prend les décisions tout seul, mais bien l’ensemble des membres du Comité
Directeur à la majorité. Au demeurant si tel n’était pas le cas je ne pense pas que nous aurions fait dans cette affaire et
d’autres, l’unanimité des représentants des organisations syndicales!
Il faut également noter que le fonctionnement de la Commission Vol Libre/Para-Moteur ‘’devait rapporter gros’’
puisque Michel FLORY s’est empressé de monter ce qu’il appelle le "club des IEG" ! Et on continue, mais n’étant pas à
l’ANEG il risque de n’y avoir plus qu’un double financement au lieu du triple !!!
Vous trouverez ci-joint l’ensemble des courriers, lettres de démission et les nombreux échanges épistolaires et je vous
demande de les lire attentivement car ils sont dans leur ensemble le descriptif de cette affaire, et ainsi vous pourrez
vous faire votre propre opinion.
Retrait de l’avion de Chambéry
Le retrait de l’avion de la SSA de Chambéry s’est fait à la demande du Président de la CMCAS Pays de Savoie suite à un
vote unanime des présents au Conseil d’Administration de la CMCAS. Cette décision a été prise en fonction de
comportements inacceptables de la part des nouveaux dirigeants de la SSA.
Compte tenu des problèmes que l’A.N.E.G. a également rencontrés avec cette SSA, liés à différentes prises de position
de ces mêmes dirigeants :
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Refus de mettre en place une organisation de la SSA conforme aux statuts de l’A.N.E.G., en harmonie avec un
document que j’avais élaboré et qui explicite les termes des statuts. Michel FLORY membre de la SSA de
Chambéry a été très actif en ce domaine car il était le premier à s’y opposer.
Mise à disposition pour une semaine en Corse de l’avion affecté "réponse tardive à l’enquête, faite une fois que
toutes les affectations étaient programmées" et refus de le mettre à disposition pour la seule semaine possible,
cause de ce refus : Vol d’un adhérent du club non A.N.E.G. pour un vol d’environ 15 heures dans la semaine
"environ 37 h en Corse" !
Lors de l’Assemblée Générale de la SSA, vote de personnes non AD/OD.
Mise en accusation permanente d’un adhérent, appuyée par des éléments extérieurs et liée à des faits
antérieurs pas nécessairement en rapport avec la SSA. Situation qui pourri passablement l’ambiance. Il faut
préciser que lors de la rencontre avec le Président de l’Aéro club de Savoie le jour du départ de l’avion, celui-ci
nous a indiqué que la personne incriminée par ses ’’collègues’’ était très appréciée par les membres du club
pour sa disponibilité, son dévouement et son esprit associatif !
L’ANEG a approuvé à la majorité des membres du Comité Directeur le retrait de l’avion, et suite à une conférence
téléphonique entre le Président de la CMCAS, le responsable des Clubs Nationaux à la CCAS et le Président de l’ANEG,
et ceci dans une mesure d’apaisement il est décidé que l’avion reviendra à Chambéry si au 30 septembre 2011 (soit
deux mois pour préparer et réaliser):
- La dissolution de la SSA non conforme aux statuts
- De nouvelles élections organisées en présence d’un représentant de la CMCAS et qu’un nouveau Bureau de la
SSA soit élu, conformément aux termes de nos statuts.
- Un projet de convention CMCAS/SSA soit rédigé et proposé à la CMCAS pour signature
- Un nouveau projet de convention CMCAS/AEROCLUB/SSA soit proposé à la signature de chacune des parties.
Or au 30 septembre 2011 rien n’a été réalisé et ne semblait pas vouloir l’être. Devant cette situation il était hors de
question d’un retour de l’avion à Chambéry. D’ailleurs la CMCAS n’en a pas fait la demande.
En conséquence l’avion ne pouvant être arrêté il a été décidé à l’unanimité du Comité Directeur de réviser
mécaniquement la machine avant de l’attribuer à la " CMCAS ARDENNE AUBE MARNE" seule CMCAS intéressée à ce
jour.
Notons cependant que la SSA et la CMCAS ont entamées les démarches souhaitées et qu’il devrait en sortir des
décisions concrètes lors d’un prochain conseil d’administration de la CMCAS.
Retrait de l’ULM de Boulogne
La prise de décision de retrait de l’ULM de Boulogne n’a pas non plus été prise à la légère. En effet pendant trois ans des
demandes de résultats d’activités et financières ont été formulées aussi bien auprès de la CMCAS de Boulogne
qu’auprès de la SSA. Ces demandes sont restées sans réponses des deux côtés, il était donc de notre devoir de réagir à
cette situation, ce que nous avons fait sans plaisir ni jubilation. En effet comme pour le Vol Libre et le retrait de l’avion
de Chambéry nous prenons cette situation comme un échec.
Alors bien évidemment j’ai également reçu de la part du Président de la SSA de Boulogne un courrier, me traitant
d’indigne irrespectueux etc. (voir en annexe) comme cela s’est passé pour le vol libre et Annecy. Mais lorsqu’on lit le
courrier du Président du Club (voir en annexe) et que l’on constate au bout du compte le nombre d’adhérents ULM à la
SSA de Boulogne, on ne se pose plus la question de savoir à qui l’ULM était affecté, 34 élèves au club support, aucun à
l’ANEG ! Fallait-il laisser cette machine à Boulogne ? C’est en l’enlevant que nous avons découvert cette situation, à la
vue du résultat nous avons bien fait de réagir de la sorte. Depuis j’ai eu enfin un contact avec le Président de la SSA,
même si la discussion a été un peu tendue, et ayant la volonté de me rencontrer je suis sûr qu’il y a possibilité de
redémarrer sur de bonnes bases. Nous nous y emploierons.
L’ULM a été affecté pour une période d’observation de deux ans à la SSA de Nantes, où se situe un potentiel de 20
pilotes!
Conclusion
Nous ne pouvons pas bien sûr nous satisfaire de telles situations, mais nous ne pouvons pas non plus cautionner de tels
agissements qui sont contraires à nos valeurs et celles de nos institutions mais aussi contraires à notre déontologie.
C’est pour cette raison que nous continuerons à suivre ce chemin coute que coute qui, j’en suis sûr est salutaire pour la
poursuite de nos activités. Nous ne devons pas prêter le flanc à tous nos détracteurs, y compris au sein de nos
institutions, qui se feraient un malin plaisir de les voir disparaître. En cela je n’oublie pas certains représentants
syndicaux qui rêvent de mettre en place les chèques vacances en lieu et place des clubs nationaux.