Communique de presse 1 - CRDP Basse
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Communique de presse 1 - CRDP Basse
COMMUNIQUE DE PRESSE n° 1 Levallois-Perret, le 22 juin 2006 Chers Amis, La trente-deuxième édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville, aura lieu cette année : er Du vendredi 1 au dimanche 10 septembre 2006 Le cinéma américain est celui qui a façonné l’Histoire du Cinéma au cours de son premier siècle d’existence, tant au niveau des contenus et des techniques qu’au niveau culturel et économique. Ce sont les personnalités de ce cinéma, autant réalisateurs, acteurs que producteurs qui ont donné au cinéma américain ses lettres de noblesse et ont permis de le qualifier de mouvement artistique. Le Festival du Cinéma Américain de Deauville soutient ce cinéma depuis 1975, date de sa création, en rendant des hommages aux principaux auteurs du cinéma américain ; en créant un événement autour des avant-premières ; et en valorisant désormais, à travers ses récompenses, le cinéma indépendant américain. Le festival s’articulera donc autour de : - La Compétition longs métrages - Les Avant-premières - Le Panorama - "Les Docs de l’Oncle Sam", dédiée aux documentaires Comme chaque année, des hommages à des producteurs, réalisateurs et/ou comédiens seront rendus, un Prix Littéraire sera remis à un auteur américain pour son livre publié en 2005 et le Prix Michel d’Ornano récompensera un premier scénario français adapté à l’écran, permettant ainsi d’aider à sa reconnaissance, sa promotion et son exportation à l’international. Le Fonds Culturel franco-américain, en partenariat avec la Directors Guild of America (DGA), la Motion Pictures of America (MPA), la Writers Guild of America (WGA) et la SACEM, s’étant donné pour vocation de promouvoir la création cinématographique française aux Etats-Unis, d’encourager les jeunes talents et d’inciter le dialogue entre les professionnels des deux pays renouvellera, dans le cadre du Festival du Cinéma Américain de Deauville, une « Master Class » à laquelle participera un metteur en scène et/ou un scénariste américain. Le Festival du Cinéma Américain de Deauville est compétitif depuis 1995 et sa sélection a révélé certains auteurs marquants du cinéma, tels que : Edward Burns avec Les Frères McMullen, Tom Di Cillo avec Ca Tourne à Manhattan , les frères Wachowski avec Bound, Paul Thomas Anderson avec Hard Eight, Todd Solondz avec Bienvenue à l’âge ingrat, Neil LaBute avec En Companie des Hommes, Darren Aronofsky avec Pi, Amos Kollek avec Sue perdue dans Manhattan, Spike Jonze avec Dans La Peau de John Malkovich, Christopher Nolan avec Memento, John Cameron Mitchell avec Hedwig and the Angry Inch, Duncan Tucker avec Transamerica, Paul Haggis avec Collision (« Crash », grand vainqueur des Oscars 2006)… Les avant-premières présenteront, à nouveau, de nombreux inédits. LE JURY LONGS METRAGES Le Jury Longs Métrages de la 32è édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville sera présidé par la réalisatrice et comédienne : NICOLE GARCIA Nicole Garcia est remarquée en 1974 comme interprète dans « Que la Fête commence » de Bertrand Tavernier. Elle sera ensuite sollicitée par les plus grands réalisateurs, elle tournera notamment dans « le Cavaleur » de Philippe de Broca pour lequel elle décroche le César du meilleur second rôle féminin en 1978, « Mon oncle d’Amérique » d’Alain Resnais en 1980, « Les uns et les autres » de Claude Lelouch dont le succès assoit sa popularité, « Garçon ! » de Claude Sautet, « Péril en la demeure » et « Le quatrième pouvoir » de Michel Deville. Nicole Garcia entame également une carrière de réalisatrice : d’abord un court métrage « 15 Août » (1986) en sélection officielle au Festival de Cannes, puis les longs métrages « Un week-end sur deux » (1989), « Le Fils préféré » (1993), « Place Vendôme » (1997) pour lequel Catherine Deneuve a reçu le prix d’interprétation féminine à la Mostra de Venise, « L’adversaire » (2002) en sélection officielle au Festival de Cannes, et dernièrement « Selon Charlie » (2006) également en sélection officielle au Festival de Cannes. Elle poursuit parallèlement sa carrière d’actrice pour d’autres réalisateurs : « Kennedy et moi » de Sam Karmann, « Betty Fisher et d’autres histoires » (2001) et « La petite Lili » (2003) de Claude Miller, « Ma place au soleil » (2006) de Eric de Montalier… Nicole Garcia a également tourné pour la télévision et joué au théâtre tout au long de sa carrière. FILMOGRAPHIE Réalisatrice 1989 1993 1997 UN WEEK END SUR DEUX LE FILS PREFERE PLACE VENDOME Prix d'interprétation féminine à la Mostra de Venise 1998 pour Catherine DENEUVE 2005 SELON CHARLIE... Comédienne 1976 DUELLE de Jacques RIVETTE LE CORPS DE MON ENNEMI de Henri VERNEUIL 1977 LA QUESTION de Laurent HEYNAMENN 1978 LE CAVALEUR de Philippe De BROCA LES INDIENS SONT ENCORE LOIN de Patricia MORZA César de la Meilleure Actrice dans un second rôle en 1980 1979 1980 1981 1982 1983 UN PAPILLON SUR L'EPAULE de Jacques DERAY MON ONCLE D'AMERIQUE de Alain RESNAIS LE MORS AUX DENTS de Laurent HEYNEMANN TUNEL de Gillo PONTECORVO LES UNS LES AUTRES de Claude LELOUCH LE GRAND PAYSAGE D'ALEXIS DROEVEN de Jean-Jacques ANDRIEN ROSA NOTTE de Gianni GAGLIARDO QU'EST QUI FAIT COURIR DAVID ? de Elie CHOURAQUI BEAU PERE de Bertrand BLIER A COUTEAU TIRE de Roberto FAENZA L'HONNEUR D'UN CAPITAINE de Pierre SCHOENDORFFER GARCON de Claude SAUTET LES MOTS POUR LE DIRE de José PINHEIRO STELLA de Laurent HEYNEMANN 1984 PERIL EN LA DEMEURE de Michel DEVILLE 1985 CA N'ARRIVE JAMAIS de Jacques ROUFFIO 1987 1989 1993 1994 1999 PARTENAIRES de Claude D'ANNA UN HOMME ET UNE FEMME...20 ANS DEJA de Claude LELOUCH MORT PAR UN DIMANCHE DE PLUIE de Joël SANTONI LA LUMIERE DU LAC de Francesca COMMENCINI L'ETAT DE GRACE de Jacques ROUFFIO SERVICE CANON de Etienne PERIER OUTREMER de Brigitte ROÜAN AUX PETITS BONHEURS de Michel DEVILLE FUGUEUSES de Nadine TRINTIGNANT KENNEDY ET MOI de Sam KARMANN 2000 BETTY FISHER ET AUTRES HISTOIRES de Claude MILLER 2002 TRISTAN de Philippe HAREL Prix d'interprétation au Festival de Montréal (ex-aequo avec Sandrine Kimberlain et Mathilde Seigner) Nominée pour le César de la Meilleure actrice dans un second rôle - 2002 2003 NE FAIS PAS CA ! de Luc BONDY 2004 LE DERNIER JOUR de Rodolphe MARCONI 2006 LA PETITE LILI de Claude MILLER LE DERNIER JOUR de Rodolphe MARCONI MA PLACE AU SOLEIL de Eric de MONTALIER HOMMAGE aux 25 ANS DU SUNDANCE INSTITUTE Les belles histoires ne demandent qu'à être racontées, et il leur faut pour cela de véritables artistes. Les conteurs élargissent notre horizon : ils éveillent notre intérêt, nous provoquent, nous inspirent, et au bout du compte, ils créent des liens entre les hommes. Même les plus influents conteurs de notre temps, cinéastes et dramaturges, sont vulnérables face aux pressions financières. Trop souvent, on demande aux artistes indépendants de faire des concessions, de préférer le prévisible à l'unique, le profit au défi. Voilà la raison d'être du Sundance Institute depuis 25 ans : encourager les artistes singuliers à raconter leurs histoires à leur façon. Nos programmes de développement artistique réunissent les artistes au sein d'une communauté créative où ils peuvent affûter leurs talents, prendre des risques et innover, et notre Festival du Film de Sundance permet au public de découvrir des films indépendants vraiment audacieux. C'est un grand honneur pour nous de travailler avec de tels artistes qui incarnent l'esprit d'indépendance, et nous sommes reconnaissants à chacun d'entre eux de nous faire partager leurs formidables histoires et leur regard sur le monde, profondément original. Et, comme nous partageons la même philosophie, nous sommes très heureux de fêter le 25ème anniversaire du Sundance Institute au Festival du Film Américain de Deauville. Robert Redford Président et Fondateur Sundance Institute HISTOIRE DU SUNDANCE INSTITUTE Il y a maintenant 25 ans, Robert Redford réunissait plusieurs de ses amis et confrères dans les montagnes de l'Utah, bien décidés à favoriser l'esprit d'indépendance, de découverte et d'innovation du cinéma américain. Ce printemps-là, dix réalisateurs prometteurs étaient invités au premier Sundance Institute Filmmakers Lab, où ils ont pu collaborer avec les meilleurs scénaristes et réalisateurs, et développer leurs propres projets de manière autonome. Dans cet espace naturel reculé, échappant aux pressions de l'industrie du cinéma, chaque artiste en herbe se voyait encouragé à prendre des risques et à élaborer un film personnel et audacieux. Depuis ce premier laboratoire, le Sundance Institute a pris de l'ampleur, et présente désormais chaque année le Festival du Film de Sundance : il propose une large palette de programmes de développement artistique qui fournissent un soutien matériel, stratégique et artistique aux réalisateurs indépendants de fiction ou de documentaires, aux scénaristes, producteurs de films indépendants, compositeurs de musique, auteurs et artistes dramatiques. 25 ans après sa création, les activités de l'Institut sont toujours régies par ces mêmes principes d'indépendance, de découverte et de diversité artistique. Le Festival du Film de Sundance Réalisation majeure du Sundance Institute, le Festival du Film de Sundance a évolué depuis sa première mouture qui, en 1978, était le Festival du Film Américain de l'Utah, et se concentrait alors sur des rétrospectives de films et des ateliers de réalisation. Parallèlement, une sélection de longs métrages produits de manière indépendante était également organisée afin d'attirer l'attention sur ces jeunes talents prometteurs. En 1981, le Festival s'est établi à Park City, dans l'Utah, et a pris de l'importance, ajoutant au programme de longs métrages des documentaires et des courts métrages. C'est en 1985 que le Festival du Film est devenu partie intégrante du Sundance Institute, association à but non lucratif, et a élargi sa programmation à des films venus du monde entier. Cette structure lui permettait désormais de disposer d'un personnel permanent, de soutiens financiers, d'un réseau de contacts, tandis que le Sundance Institute avait trouvé là un support très efficace de mise en valeur des travaux indépendants de réalisateurs, qu'ils soient américains ou non. En 1991, le Festival a officiellement été rebaptisé le "Sundance Film Festival". Aujourd'hui, le Festival s'est développé au point de présenter une sélection de 120 longs métrages et films documentaires, de 80 courts métrages et de travaux liés au cinéma qui incarnent tous les aspects de la réalisation indépendante contemporaine aux Etats-Unis et à l'étranger. Le Festival a permis au public américain de découvrir bon nombre des films les plus audacieux des vingt dernières années, dont Sex, Mensonges et Vidéo, Clerks, Les employés modèles, Phoenix, Arizona, In the Bedroom, American Splendor, Napoleon Dynamite, Camera Kids, Moi, toi et tous les autres. Le site officiel du Festival du Film de Sundance, www.sundance.org, fait partager l'expérience du Festival bien au-delà des rues de Park City à un public très vaste, grâce à la diffusion de courts- métrages et d'interviews de réalisateurs, à des informations sur l'actualité du secteur et sur le boxoffice. Les programmes de développement artistique Le Laboratoire de l'Institut et ses ateliers offrent aux artistes un environnement propice à l'innovation artistique en leur fournissant du temps et de l'espace, en les soustrayant aux pressions de la vie quotidienne et de l'industrie du film. Des professionnels reconnus du cinéma, du théâtre, et de la musique les conseillent et les soutiennent en les aidant à formaliser leurs propres histoires originales. Parmi les 175 cinéastes indépendants prometteurs qui ont bénéficié du soutien du Programme Long Métrage du Sundance Institute, on peut citer Moi, toi et tous les autres de Miranda July, Maria pleine de grâce de Joshua Marston (Grand Prix 2004 au Festival du Cinéma Américain de Deauville), Hedwig and the Angry Inch de John Cameron Mitchell (Grand Prix – Deauville 2001), Boy's don't cry de Kimberly Peirce et Central do Brasil de Walter Salles. Grâce aux laboratoires de scénario et de réalisation, mêlant conseils créatifs ou plus concrets, aux projets de post-production et au soutien financier de la profession, le Programme a aidé plus de 500 réalisateurs au cours des 25 dernières années. Le Programme du Sundance Institute pour le Documentaire a soutenu 339 documentaires, dont Camera kids de Zana Briski et Ross Kaufman (présenté à Deauville en 2005), Why we fight de Eugene Jarecki, et Lost boys of the Sudan, de Megan Mylan et Jon Shenk. Grâce à des bourses du Fonds du Sundance pour le Documentaire et toute une série d'ateliers, le Programme promeut des films portant sur des thèmes tels que les droits de l'homme, la justice sociale et la liberté d'expression. De nombreux musiciens, classiques ou rock, ont participé au Programme de Musique de Film de l'Institut. En favorisant les rencontres entre musiciens et réalisateurs soutenus par le Programme pour le Long Métrage et le Documentaire de l'Institut, le Laboratoire de Composition permet à des musiciens accomplis de découvrir les caractéristiques de la musique de film tout en familiarisant les réalisateurs à l'importance de la musique dans un long métrage. Le programme de Sundance pour le Théâtre a, de son côté, soutenu plus de 200 œuvres, dont Angels in America de Tony Kushner, I am my own wife de Doug Wright, et The light in the piazza de Craig Lucas et Adam Guettel. Le Programme soutient largement la créativité des dramaturges américains grâce à des laboratoires, des stages pour auteurs dramatiques, et grâce à un atelier de création musicale et d'œuvres collectives. Il tente ainsi d'entretenir la diversité de l'expression artistique tant parmi les artistes établis que chez les jeunes espoirs. Sherman Alexie, Shiley Cheechoo, Chris Eyere, Alanis Obomsawin, Randy Redroad et Taika Waititi sont au nombre des 45 artistes indiens qui ont bénéficié de l'Initiative pour les indiens de l'Institut. Cette Initiative veille à la participation des Indiens dans les Programmes de développement artistique de l'Institut et a permis la projection de 100 films indiens au Festival du Film de Sundance. En renforçant constamment ses efforts envers la communauté des réalisateurs indiens, l'Initiative a créé des ateliers du Forum Indien qui favorise la rencontre entre réalisateurs d'origine indienne, producteurs et grands médias. A l’occasion de cet hommage, le Festival projettera une rétrospective des films du Sundance Institute. HOMMAGE à SIDNEY LUMET en sa présence SIDNEY LUMET Réalisateur et scénariste Né le 25 juin 1924 à Philadelphie en Pennsylvanie, d’un père acteur et d’une mère danseuse, Sidney Lumet débute sur les planches à l’âge de cinq ans au sein du Yiddish Art Theater de New York. Après avoir fait de nombreuses représentations dans des productions à Broadway, il fonde en 1947 une troupe de théâtre Off Broadway avec des comédiens formés par Lee Strasberg, comme Yul Brynner ou Eli Wallach. Trois ans plus tard, Sidney Lumet travaille pour la télévision, réalisant plus de 250 téléfilms et émissions, souvent en direct, puis fait ses débuts de metteur en scène de théâtre. Il signe en 1957 son premier long métrage pour le cinéma, « 12 hommes en colère », dans lequel il dirige Henry Fonda. Le film rencontre un succès à la fois public et critique, remportant notamment l’Ours d’Or au festival de Berlin et trois nominations aux Oscars, dont celui du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur. Cinéaste de la critique sociale, Sidney Lumet aborde tout au long de sa longue carrière de nombreux thèmes liés à la société américaine, comme la corruption policière (« Serpico », 1973, « Le prince de New York », 1981 et « Dans l’ombre de Manhattan », 1997), la télévision (« Un après-midi de chien, 1975, et « Main basse sur la TV », 1976), la justice (« 12 hommes en colère », 1957, « Le verdict », 1982, « Une étrangère parmi nous », 1992, et « L’avocat du diable », 1993), le MacCarthysme (« Daniel », 1983), l’alcoolisme (« Le lendemain du crime », 1986) ou encore le racisme (« Contre-enquête », 1990). En plus des cinquante nominations aux Oscars obtenues par ses films, Sidney Lumet est nommé trois fois encore à l’Oscar du Meilleur Réalisateur, pour « Un après-midi de chien » (1975), « Main basse sur la TV » (1976) et « Le verdict » (1982). Il reçoit le D. W. Griffith Award de la Directors Guild of America pour l’ensemble de sa carrière en 1993 et le Musée d’Art Moderne de New York fait également une rétrospective de ses oeuvres. L’année dernière, Sidney Lumet devient Membre Honoraire de l’Académie des Oscars. Le réalisateur est également l’auteur du best-seller « Making Movies », un livre considéré comme l’un des plus aboutis sur la manière de faire des films. A l’occasion de cet hommage, le festival projettera son nouveau film, en sa présence, « Find Me Guilty », dont il a écrit le scénario. « Find Me Guilty » est son quarante-troisième long métrage. Le festival projettera également une rétrospective de ses films. FILMOGRAPHIE Réalisateur 1957 1958 12 ANGRY MEN (12 hommes en colère) STAGE STRUCK (Les feux du théâtre) 1959 THAT KIND OF WOMAN THE FUGITIVE KID (L’homme à la peau de serpent) 1961 A VIEW FROM THE BRIDGE (Vu du pont) 1964 THE PAWNBROKER (Le prêteur sur gages) 1965 THE HILL (La colline des hommes perdus) 1968 BYE BYE BRAVERMAN 1969 THE APPOINTMENT 1970 KING: A FILMED RECORD… MONTGOMERY TO MEMPHIS 1962 1966 LONG DAY’S JOURNEY INTO NIGHT (Long voyage vers la nuit) FAIL-SAFE (Point limite) THE GROUP THE DEADLY AFFAIR (M.15 demande protection) THE SEA GULL (La mouette) LAST OF THE MOBILE HOT SHOTS 1971 THE ANDERSON TAPES (Le dossier Anderson) 1973 THE OFFENCE 1974 MURDER ON THE ORIENT EXPRESS (Le crime de l’Orient-Express) 1975 DOG DAY AFTERNOON (Un après-midi de chien) 1977 EQUUS 1980 JUST TELL ME WHAT YOU WANT 1982 DEATHTRAP (Piège mortel) 1972 1976 1978 1981 1983 1984 1986 1988 CHILD’S PLAY SERPICO LOVIN’ MOLLY NETWORK (Main basse sur la TV) THE WIZ PRINCE OF THE CITY (Le prince de New York) THE VERDICT (Le verdict) DANIEL GARBO TALKS (A la recherche de Garbo) POWER (Les coulisses du pouvoir) THE MORNING AFTER (Le lendemain du crime) RUNNING ON EMPTY 1989 FAMILY BUSINESS 1992 A STRANGER AMONG US (Une étrangère parmi nous) 1990 1993 1997 1999 2006 Q & A (Contre-enquête) GUILTY AS SIN (L’avocat du diable) NIGHTS FALLS ON MANHATTAN (Dans l’ombre de Manhattan) CRITICAL CARE GLORIA FIND ME GUILTY Scénariste 1981 1990 PRINCE OF THE CITY (Le prince de New York) Q & A (Contre-enquête) 1997 2006 NIGHTS FALLS ON MANHATTAN (Dans l’ombre de Manhattan) FIND ME GUILTY HOMMAGE à SYDNEY POLLACK en sa présence SYDNEY POLLACK Réalisateur, scénariste et comédien Né le 1er juillet 1934 à Lafayette, dans l’Indiana, Sydney Pollack quitte sa ville natale pour étudier l’art dramatique à New York. Révélé dans les années 60, il est d’abord comédien – il est formé par Sanford Meisner – puis réalisateur de télévision. Il signe sa première mise en scène pour le cinéma avec le drame intimiste « Trente minutes de sursis » en 1965. Il connaît son premier succès un an plus tard avec le drame « Propriété interdite », d’après une pièce de Tennessee Williams. En 1968, il aborde le film de guerre avec « Un château en enfer » et confirme l’année suivante son talent avec l’adaptation cinématographique du roman de Horace McCoy, « On achève bien les chevaux ». En 1972, il dirige Robert Redford dans le western « Jeremiah Johnson », où domine le thème des rapports de l’homme avec la nature. Sydney Pollack ne cesse de remettre en cause les institutions américaines et les médias, entre autres dans « Les trois jours du condor » (1976), « Le cavalier électrique » (1979), « Absence de malice » (1981) et « La firme » (1993). Il touche ainsi à tous les genres cinématographiques et ses films totalisent quarante-six nominations aux Oscars, dont trois en tant que réalisateur. « Tootsie » obtient notamment dix nominations aux Oscars en 1983 et « Out of Africa » remporte sept Oscars en 1986, dont ceux du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur. Egalement comédien, Sydney Pollack est au générique des longs métrages « The Player » de Robert Altman (1992), « Maris et femmes » de Woody Allen (1992), « Eyes Wide Shut » de Stanley Kubrick (1999) et récemment « Fauteuils d’orchestre » de Danièle Thompson (2006). En 1985, Sydney Pollack fonde Mirage Productions et produit entre autres sous cette bannière « Susie et les Baker Boys » de Steven Kloves (1989), « Présumé innocent » d’Alan Pakula (1990), « Dead Again » de Kenneth Branagh (1991), « Raison et sentiments » d’Ang Lee (1995), « Le talentueux Mr. Ripley » (1999) et « Retour à Cold Mountain » (2003) d’Anthony Minghella, son partenaire au sein de Mirage Productions depuis 2000. Sydney Pollack est membre fondateur du Sundance Institute, président honoraire de l’American Cinemathèque, fondateur de la Film Foundation de la Directors Guild of America et fait partie du comité de direction de la Motion Picture and Television Fund Foundation. En 1986, il reçoit du gouvernement français la Médaille de Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres. FILMOGRAPHIE Réalisateur 1965 1966 THE SLENDER THREAD (Trente minutes de sursis) THIS PROPERTY IS CONDEMMED (Propriété interdite) 1967 THE SCALPHUNTERS (Les chasseurs de scalp) 1968 CASTLE KEEP (Un château en enfer) 1972 JEREMIAH JOHNSON 1975 THE YAKUZA (Yakuza) 1969 1973 1976 THEY SHOOT HORSES, DON’T THEY? (On achève bien les chevaux) THE WAY WE WERE (Nos plus belles années) THREE DAYS OF THE CONDOR (Les trois jours du condor) 1977 BOBBY DEERFIELD 1981 ABSENCE OF MALICE (Absence de malice) 1979 1982 1985 THE ELECTRIC HORSEMAN (Le cavalier électrique) TOOTSIE OUT OF AFRICA 1990 HAVANA 1995 SABRINA 2005 THE INTERPRETER (L’interprète) 1993 1999 THE FIRM (La firme) RANDOM HEARTS (L’ombre d’un soupçon) SKETCHES OF FRANK GEHRY – documentaire Producteur 1972 JEREMIAH JOHNSON 1976 THREE DAYS OF THE CONDOR (Les trois jours du condor) 1975 1977 THE YAKUZA (Yakuza) BOBBY DEERFIELD 1980 HONEYSUCKLE ROSE de Jerry Schatzberg 1982 TOOTSIE 1985 OUT OF AFRICA 1981 1984 ABSENCE OF MALICE (Absence de malice) SONGWRITER d’Alan Rudolph 1988 BRIGHT LIGHTS, BIG CITY de James Bridges 1989 THE FABULOUS BAKER BOYS (Susie et les Baker Boys) de Steven Kloves 1990 SCROOGED (Fantômes en fête) de Richard Donner PRESUMED INNOCENT (Présumé innocent) d’Alan Pakula KING RALPH de David Ward WHITE PALACE (La fièvre d’aimer) de Luis Mandoki 1991 1992 1993 HAVANA DEAD AGAIN de Kenneth Branagh LEAVING NORMAL d’Edward Zwick THE FIRM (La firme) SEARCHING FOR BOBBY FISCHER (A la recherche de Bobby Fischer) de Steven Zaillian FLESH AND BLOOD de Steven Kloves 1995 SENSE AND SENSIBILITY (Raison et sentiments) d’Ang Lee 1998 1999 SABRINA SLIDING DOORS (Pile & face) de Peter Howitt FOR LOVE OF THE GAME (Pour l’amour du jeu) de Sam Raimi RANDOM HEARTS (L’ombre d’un soupçon) 2000 2001 2002 2003 THE TALENTED MR. RIPLEY (Le talentueux Mr. Ripley) d’Anthony Minghella UP AT THE VILLA (Il suffit d’une nuit) de Philip Haas BLOW DRY de Paddy Breathnach IRIS de Richard Eyre BIRTHDAY GIRL (Nadia) de Jez Butterworth HEAVEN de Tom Tykwer THE QUIET AMERICAN (Un américain bien tranquille) de Philip Noyce COLD MOUNTAIN (Retour à Cold Mountain) d’Anthony Minghella 2005 THE INTERPRETER (L’interprète) 2006 MARGARET de Kenneth Lonnergan SKETCHES OF FRANK GEHRY – documentaire BREAKING AND ENTERING d’Anthony Minghella Comédien 1982 1992 1998 1999 2001 2006 TOOTSIE THE PLAYER de Robert Altman DEATH BECOMES HER (La mort vous va si bien) de Robert Zemeckis HUSBANDS AND WIVES (Maris et femmes) de Woody Allen A CIVIL ACTION (Préjudice) de Steven Zaillian EYES WIDE SHUT de Stanley Kubrick RANDOM HEARTS (L’ombre d’un soupçon) CHANGING LANES (Dérapages incontrôlés) de Roger Mitchell FAUTEUILS D’ORCHESTRE de Danièle Thompson A l’occasion de cet hommage, le Festival projettera une rétrospective de ses films. Sont confirmés à ce jour : JEREMIAH JOHNSON (1972) TOOTSIE (1982) OUT OF AFRICA (1985) THE INTERPRETER (L’Interprète) (2005) SKETCHES OF FRANK GEHRY (2005) La conférence de presse du festival aura lieu Lundi 31 juillet à Deauville. FONDATEURS & DELEGUES GENERAUX DU FESTIVAL Lionel CHOUCHAN André HALIMI DIRECTEUR DU FESTIVAL Bruno BARDE RENSEIGNEMENTS PUBLIC OFFICE DU TOURISME - Tel : 02 31 14 40 00 CID (Centre International de Deauville) – Tel : 02 31 14 14 14 RELATIONS PRESSE 40, rue Anatole France – 92594 Levallois-Perret Cedex Alexis DELAGE-TORIEL / Céline PETIT / Alexandra FAUSSIER / Emilie GOULEME Tel : 01 41 34 22 01 / 21 26 Fax : 01 41 34 20 77 E-mail : [email protected] POUR TOUTE DEMANDE D’ACCREDITATION, merci de l’envoyer à l’adresse suivante : Pour la PRESSE : [email protected] Pour les PROFESSIONNELS : [email protected] SITE OFFICIEL DU FESTIVAL www.festival-deauville.com