Services métier de l`entreprise : comment aller vers une
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Services métier de l`entreprise : comment aller vers une
Services métier de l’entreprise : comment aller vers une production de masse ? La réduction du cycle de vente et du cycle de conception des nouveaux produits ainsi que l’accélération des changements demandés par l’environnement des entreprises est une nouvelle donne des années 80. Cette exigence a soutenu l’expansion de nouvelles technologies et conduit l’adaptation progressive des entreprises pour intégrer plus de mobilité, plus de traçabilité, une logistique à flux tendus. Celle-ci ayant pour conséquence la prise en compte des évènements de gestion au fil de l’eau. Parallèlement, sous la pression extérieure, l’informatique centre de coût est passée à un impératif de réduction de ses coûts, de redistribution des métiers, voire d’externalisation des développements et / ou de la production informatique. Le mainframe : Une constante adaptation aux nouvelles technologies – quid des applications ? Dans l’infrastructure informatique, les mainframes continuent à gérer le cœur du SI et restent les principaux fournisseurs de services métier. Ces services sont encapsulés dans des moniteurs transactionnels offrant des services sécurisés en temps réel. Le cœur du SI est en permanence ouvert sur le monde extérieur pour échanger des données et prendre en compte des événements de gestion qui modifient l’état des données d’entreprise. Ces systèmes transactionnels ont été conçus pour le temps réel et le traitement au fil de l’eau mis en œuvre à partir d’un réseau fini de terminaux propriétaires. L’ouverture des réseaux, l’émergence des architectures ouvertes ainsi que le développement des progiciels de type ERP, CRM, systèmes front office et moteurs de règles ayant vocation à remplacer certaines parties du cœur du SI a conduit à un nouveau rapport de forces. 1. Le cœur du SI est maintenant multiple : il reste coté mainframes mais s’est multiplié du coté des progiciels ERP, CRM, qui doivent se synchroniser en permanence avec les mainframes détenteurs de pans entiers de données et de règles de gestion sur mesure. Cette synchronisation est délicate, nécessite une adaptation en développement et en exploitation. Cette synchronisation coûte d’autant plus d’énergie à maintenir que la chaîne de liaison entre les différents cœurs est longue et complexe. Les fournisseurs de cette chaine d’intégration ont intérêt à conserver cette complexité pour défendre leur marché. 2. Les grands mainframes ne sont pas morts, bien au contraire : IBM reste le maître dans la scalabilité des grands systèmes. Si les serveurs d’entreprise ont explosés en quantité, cette explosion a plus été perçue comme un échec à la maîtrise de la croissance des SI que comme un succès de la vague du downsizing. La tendance est maintenant bien établie à la recentralisation des serveurs d’entreprise autour d’une infrastructure de mémoires de masse et de serveurs partitionnés le tout usant largement de la virtualisation des ressources disques, mémoire, CPU, et unités d’échange allouées à chaque unité de traitement. Le mainframe s’intègre maintenant pleinement dans cette nouvelle architecture dont il fut le précurseur. White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 1 Si la virtualisation apporte une solution à l’industrialisation de l’exploitation, le développement et l’adaptation des logiciels existants aux changements restent lents et coûteux. C’est un formidable gisement de profit pour les intégrateurs, mais au détriment de la réactivité et de l’adaptabilité des entreprises aux changements qui l’attendent. Au cours du dernier siècle, l’industrie a subi une révolution la propulsant d’un stade de production sur mesure d’objets faits pour durer à une ère de production de masse faite pour s’adapter à la demande. Cette transformation touche maintenant les directions informatiques. Le moteur de cette évolution - la demande - vient des métiers de l’entreprise, eux-mêmes soumis à la pression de la concurrence, du benchmarking généralisé des grandes entreprises entre elles, de la finance et des apporteurs de capitaux qui exigent leur part dans la course à la performance. La nature des produits de l’industrie a aussi changé : on est passé du sur mesure artisanal au jetable industriel, du prêt-à-porter au T-shirt imprimé à votre convenance. L’industrie informatique s’est elle aussi adaptée rapidement vers l’industrialisation. Mais cette évolution est encore devant nous pour la création de services. Or c’est bien là que le bât blesse : Tout l’édifice des apporteurs de solutions en matière d’interopérabilité est bâti sur le principe que le mainframe est orienté service. Si vous interrogez les architectes de ces entreprises, ils vous diront que c’est fait ou en voie de l’être…. Mais si vous comptez les transactions du mainframe en les différenciant selon qu’elles sont orientées service ou non, vous aurez une toute autre vision de la réalité … Pour transformer une fonctionnalité de mise à jour existant en mode écran sur un mainframe en fonctionnalité orientée service, il faut entre un et plusieurs mois de développements, tests et intégration. Ceci sans compter que vous créez par là même une deuxième version du service, la précédente sert toujours ! Appliquez le coefficient d’un projet moyen qui en comporte une centaine et vous avez un confortable surcoût sans aucune valeur ajoutée pour le projet métier. Une belle aventure pour les directions Etudes ! Mais au fait, avec quelles ressources vontelles pouvoir se lancer dans une telle entreprise vers le SOA ready ? Bien souvent les ressources en développement ne sont pas suffisantes, ou pas disponibles quand on les attend. Cela freine le prototypage des premières briques d’une SOA. Le mainframe contient la majeure partie des services du cœur de métier de l’entreprise, mais nous ne savons pas les réutiliser Si le SOA vise bien à produire des composants réutilisables, il laisse au bord de la route tout l’existant non conforme aux pré-requis de cette architecture. L’inconvénient de cet oubli est qu’il représente encore la grande majorité du patrimoine applicatif des grands comptes. Livrer un nouveau service basé sur le mainframe, testé et documenté en quelques jours ? Et intégrer ces services exactement comme des services nativement SOA dans un BPM ou un ESB ? C’est là où l’éditeur SCORT apporte toute sa valeur. Livrer un nouveau service basé sur le mainframe, testé et documenté en quelques jours ! C’est ouvrir la porte à des prototypes ne nécessitant pas d’investissements lourds, à des prototypes « jetables » non pas parce qu’ils ne valent rien, mais parce qu’ils sont faciles à produire à partir d’une « machine » bien rôdée. White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 2 Or bien souvent, les métiers de l’entreprise n’osent pas formuler leurs demandes car elles craignent la facture. Avant de voir le premier livrable, elles devront attendre une estimation des travaux préliminaires, la planification des ressources en développement, et prier pour que le projet ne soit pas purement et simplement enterré sur l’autel de la rentabilité à court terme. L’histoire est connue : La MOA formule une demande, les études estiment le coût bien plus cher que prévu, alors on réduit le périmètre, les fonctionnalités, et la montagne fini par accoucher d’une souris mais avec le temps de gestation d’un cétacé… Une Approche bottom-up avec la bonne granularité Si l’approche Top-down seule nécessite de récrire les services, l’approche bottom-up est souvent critiquée parce qu’elle ne présente pas le bon niveau de granularité : les services qui en sont issus sont peu réutilisables dans une approche top down. Cela tient aux contraintes de réutilisation d’un existant monolithique. SCORT Fastrack est précisément conçu pour cette situation. Il vous permettra d’exploiter toute la logique métier sans nécessiter de récrire pour des raisons techniques. C’est vous qui décidez de réutiliser ou de redévelopper. Vous pouvez donc mixer une approche top-down qui garantit le design correct - avec une approche bottom-up de réutilisation - qui garantit les couts. Avec SCORT FT vous définissez le service à exposer puis vous le réalisez simplement par réutilisation, sans réécriture). Pour faire le T-shirt personnalisé dont la MOA a besoin il faudra plusieurs prototypes, donc faire du rapide, du jetable, basé sur la réutilisation. Les fonctionnalités nouvelles seront ajoutées dans le service métier quand on aura validé les premières maquettes. Ainsi quand les actuaires d’une MOA d’assurance travaillent sur un nouveau produit, le prototypage doit devenir une opération simple et banale. Aujourd’hui voici comment cela se passe : 1. soit on fait un prototype du nouveau service sur le mainframe, ça dure un an et ça coûte 5 à 10 années/homme. Si le prototype devient un produit tout le monde est soulagé, mais sinon c’est la catastrophe ! 2. soit on fait un prototype en Excel, on le teste 6 mois et si on veut en faire un produit, il faut tout recommencer et le produit est prêt 12 mois plus tard. L’idéal est bien de construire les nouvelles étapes du SI autour de services basés sur des composants homogènes qu’ils soient issus de services mainframes nativement orientés services ou issus de services par réutilisation Un capital de plusieurs centaines d’années hommes à valoriser Le mainframe est le détenteur d’un grand nombre de vos services métiers. Ils sont fiables, maitrisés et représentent bien souvent un capital de plusieurs centaines d’années hommes. L’entreprise ne peut pas se permettre de réécrire son système d’information du sol au plafond pour la beauté de l’architecture. Ceci ne signifie pas qu’on s’interdit de toucher à l’existant - voire externaliser certaines briques - mais on le fera • soit pour répondre à un besoin de fonctionnalité nouvelle ou en profitant d’une profonde modification pour orienter le SI en services SOA natifs. White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 3 • Soit parce qu’un service particulier tel un moteur de règle peut être plus utile et surtout mieux partagé par tous les acteurs métier s’il est à l’extérieur du mainframe que dedans. Aucun autre éditeur ne propose à ce jour une intégration industrielle du legacy à la fois dans le monde Java et dans le monde .NET. Vous avez un ESB ou vous projetez d’en avoir un ? Vous planifiez l’utlisation d’un outil de BPM pour automatiser les tâches et piloter la performance des processus métier ? Vous préférez .Net ou Java pour vos nouveaux développements ? Vous avez choisi le transport MQ ou souhaitez migrer vers une nouvelle technologie plus performante et plus simple ? Toutes ces questions ont une réponse dans l’offre SCORT. Son originalité est de faire de vos mainframes des producteurs ou des consommateurs de services sans intrusion et sans nécessiter de nouveaux investissements lourds, faisant ainsi du mainframe une pièce maîtresse d’une architecture ESB et/ou BPM1. Avec SCORT, vos applications mainframes - telles quelles - vont s’intégrer naturellement dans n’importe quelle infrastructure SOA du monde Java comme du monde .NET. Les approches vers le SOA SCORT vient compléter une approche top-down du SOA en exploitant l’intégralité des services métiers existants dans une approche bottom up. Il permet d’exposer des points de service et surtout de sélectionner la granularité du service pour la faire correspondre à l’approche top down. 1 Les solutions SCORT proposent une intégration sans couture des mainframes dans les ESB leaders et dans les BPM tels que ALBPM (BEA) ,TIBCO, WebSphere Process Server, LOMBARDI, PEGA, et Biztalk (Microsoft) White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 4 L’approche bottom-up vient ainsi se réconcilier avec l’approche top-down pour le plus grand bien de la maîtrise des coûts La couverture SOA des produits SCORT Les composants SCORT sont déployables dans tout serveur J2EE ou .NET. Ils implémentent JCA et offrent une performance et une scalabilité sur tout type de plate-forme. Un exemple de l’intégration du mainframe dans un BPM White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 5 SCORT offre une palette de solution d’intégration du mainframe dans une architecture SOA de type java ou .Net. Les modules Fastrack et Data Mapper apportent les points de service du mainframe Le module Call Out permet au mainframe d’intégrer un service externe (un bean java, un Web Service, ou un composant .NET) comme s’il était local en environnement transactionnel ou batch. Les points de service Data Mapper et Fastrack sont déployés sous forme de composants Java (Beans simples ou EJB) ou composants .NET Ils exposent tous les services métiers • Services SOA Ready à travers SCORT Data Mapper • Services non SOA Ready (orientés écrans) à travers SCORT Fastrack Ces services peuvent être issus de back ends hétérogènes et assemblés en applications composites. Les connecteurs sont standard: il n’y a jamais d’intrusion sur le mainframe ni adaptation préalable des applications existantes • Connecteurs IBM – IMS Connect ou IMS TM Resource Adapter – CICS Transaction Gateway – MQ Series • Autres Back-end – Bull TDS sous Gecos 7 ou 8 – HP iTS Terminal Client Pathway Qui sommes-nous ? SCORT est un éditeur de logiciels spécialisé dans l'intégration des Mainframes dans les architectures J2EE et .Net. SCORT a adopté une politique de partenariats ciblés, qui lui permet d'étendre la portée de son offre technologique et fonctionnelle en Europe. Ainsi, une filiale a été créée en Espagne en 2002 et des contrats de distribution ont été passés en 2004, avec des entreprises spécialisées dans ces technologies, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne et en Italie. White Paper Industialiser les Services métier d’entreprise page 6