Philippe Meirieu, Lettre à un jeune professeur, ESF éditeur

Philippe Meirieu, Lettre à un jeune professeur, ESF éditeur
1. Entre l’amour des élèves et celui des savoirs, nous n’avons pas à choisir. (p.13)
2. C’est pourquoi je défends l’idée iconoclaste selon laquelle il conviendrait que toute
personne qui prend des responsabilités administratives ou pédagogiques garde un
contact régulier avec des élèves : que le chef d’établissement continue à
enseigner quelques heures par semaine dans sa discipline d’origine… (p.25)
3. Notre projet de transmettre ne fait pas bon ménage avec les pressions sociales
sur l’Ecole. (p.27)
4. Ne pas se perdre dans les délires organisationnels, mais se donner des projets qui
supportent notre désir d’enseigner et suscitent la volonté d’apprendre des élèves…
(p.32)
5. Nous avons organisé la pédagogie quand nous aurions dû « pédagogiser
l’organisation ». (p.36)
6. Notre horizon professionnel n’est donc pas celui de la rentabilité économique des
modèles libéraux. (p.44)
7. Principes
fondateurs :
préparer
minutieusement
le
travail,
soigner
l’environnement, être ferme sur les consignes, faire en sorte que chacun ait une
place dans l’entreprise collective. (p.58)
8. Nous ne pouvons enseigner que si nous faisons de la discipline en classe notre
problème. (p.63)
9. valeurs spécifiques : la reconnaissance de l’altérité, l’exigence de précision, de
rigueur et de vérité, l’apprentissage conjoint de la construction du bien commun
et de la capacité à « penser par soi-même ». (p.67)
10. L’école doit aider l’enfant à renoncer à être au centre du monde. (p.68)
11. L’école doit enseigner le droit comme discipline pleine et entière et mettre en
œuvre, tout au long de la scolarité, une véritable formation à la démocratie.
(p.77)
12. La démocratie reste, pour le professeur, la seule utopie de référence possible.
(p.79)
13. se méfier de l’esthétisme de la désespérance : Résister au plaisir narcissique du
pessimisme et continuer
pédagogique ». (p.80)
à
œuvrer
pour
la
contagion
de
« l’événement
14. Vous ne pouvez abandonner le combat car vous avez fait profession du futur.
(p.86)