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PETIT COMPTECOMPTE-RENDU DE SEJOUR SKI
Nous partîmes à dix, et revînmes toujours à dix, mais il s’en est fallut de peu que certains ne rentrent plus
vite…
Nous partîmes donc à dix, deux véhicules dont le trafic gentiment prêté par Combourg, trois surfs, 950 km,
un petit-déj à 3 heure du matin, une arrivée 13 heures plus tard après les quelques km de bouchon des
vacances à Chambéry, et puis l’installation au chalet, au pied des pistes.
Dès le lendemain, chacun est sur son surf, les six jeunes ayant choisi cette activité plutôt que le ski.
Après trois jours de gamelles en tout genre, avec nous ou avec les moniteurs de l’ESF, tous les jeunes
peuvent commencer à s’élancer sur des pistes un peu plus intéressantes que celle des débutants… et puis le
mercredi, c’est l’accident ! Ou du moins le début des accidents…
En cour de surf, un des jeunes chute et arrête le cours. Nous le récupérons et allons directement au cabinet
médical, situé à quelques mètres du chalet, précédent de peu un autre jeune, sur un autre cours, qui s’est lui
aussi fait mal et redescend en « barquette »… Il nous rejoint donc quelques minutes plus tard… Bilan, deux
fractures au niveau du poignet et deux résines : SUPER !
Nous continuons avec les quatre survivants, jusqu’à la dernière descente pendant laquelle un skieur vient
gêner un des jeunes, qui tombe et se fait mal lui aussi… Nous connaissons désormais bien le chemin du
cabinet médical...
Et la suite … troisième résine…
Dernier jour : les troupes sont réduites de moitié, mais les derniers sont volontaires, sans peurs et sans
reproches, à part, peut-être, celui qui se fait mal au bout d’une heure ?
Donc direction …. LE CABINET MEDICAL !
Mais là, c’est même pas une fracture, « juste » une entorse, et encore, peut être juste pour faire comme les
copains… on la compte pas celle-là !!!
Bref, nous revînmes quand même à dix, un peu alourdis par les « plâtrés », quand même contents de cette
semaine, avec toutefois quelques petites phrases qui restent en suspend dans l’air pur de la Savoie : « c’est
trop con, juste quand on commençait à y arriver… »
Ben oui, c’est ballot…
Laurent BERTIN