L`écriture de la marginalisation / La marginalisation de l`écriture

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L`écriture de la marginalisation / La marginalisation de l`écriture
STUDIA UNIVERSITATIS BABE -BOLYAI, PHILOLOGIA, LIII, 2, 2008
L’ÉCRITURE DE LA MARGINALISATION / LA
MARGINALISATION DE L’ÉCRITURE CHEZ J.M.G. LE CLÉZIO
ET GÖRAN TUNSTRÖM
Par le langage, l'homme s'est fait le plus solitaire
[…] du monde, puisqu'il s'est exclu du silence.
J.M.G.Le Clézio, L’inconnu sur la terre
ROXANA GULICIUC*
ABSTRACT. Marginalization represents for J.M.G. Le Clézio and Göran Tunström the
essence of society. We are, in fact, all alone because, according to the French writer,
«nobody needs anybody». As surprising as it may seem, the characters of J.M.G. Le Clézio
and Göran Tunström can feel isolation and marginalization only when they are surrounded
by other people. The other human beings destroy the beauty of loneliness, by using words,
by expressing their feelings through the speech. Or, what the authors want to tell us is that
loneliness represents the structure of every novel. That is why we can find two different
kinds of marginalization in J.M.G. Le Clézio and Göran Tunström’s books: one operated by
society and one operated by the characters themselves.
From the first page to the very last, marginalization is seen as a fact of life and
therefore a necessary, aesthetic act.
Key-words: Identity, communication, marginalization
Introduction
Celui qui a lu les romans de J.M.G. Le Clézio et de Göran Tunström a
sûrement remarqué la fréquence de certains thèmes qui constituent des inépuisables
sources d’inspiration pour le lecteur. L’imaginaire créatif se nourrit dans ce cas
surtout de la marginalisation, phénomène qui occupe une place considérable dans
l’univers romanesque de nos deux auteurs. La marginalisation est, dans ce cas,
l’équivalent d’un isolement devenu un vrai axis mundi.
La question essentielle sur laquelle nous allons nous pencher le long de cet
article sera celle de l’esthétique de la marginalisation. Nous voulons montrer le fait que
la marginalisation a aussi un côté positif, désiré et des bénéfices très bien délimités. En
se trouvant en marge de la société ou de la famille, le héros a une meilleure perspective
sur la vie, ainsi que le temps d’opérer des changements définitifs quant à son existence.
En s’assumant la marginalisation, les personnages de ces deux auteurs trouvent dans la
limite la beauté de la vie. Cela fait que, pour avoir une vision réelle sur la
marginalisation dans les livres de ces deux écrivains, il faut ajouter le côté assumé,
*
Babe -Bolyai University Cluj-Napoca, Romania. E-mail: [email protected]
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l’isolement comme choix conscient des protagonistes. L’écrivain français reconnaît,
d’ailleurs, l’impossibilité de s’intégrer dans une communauté bien déterminée1, et le
besoin de trouver son refuge dans l’écriture: «Je dois reconnaître que cela m’a rendu
assez malheureux, pendant très longtemps, d’être de nulle part»2.
I. L’écriture de la marginalisation
L’écriture de la marginalisation dans le roman Le chercheur d’or, ainsi que dans
Mondo et autres histoires, suppose la présence d’un style particulier, de certains mots
employés uniquement pour désigner les enfants mis de côté. La perspective des récits
mentionnés insiste sur l’aspect linguistique qui manque et sur son rôle dans l’exclusion
du personnage du monde de l’enfance. Nous remarquons souvent l’angoisse du
personnage lorsqu’il s’agit d’entamer un discours. Le silence exprime le défi contre le
monde réel et il apportera la marginalisation non assumée des protagonistes.
Il y a tout d’abord le silence au temps édénique de l’enfance. Pourtant, il est
évident que le silence n’apporte pas dans ce cas l’absence de toute parole, juste parce
que le fait de parler peut donner aux personnages l’impression de liberté. Mais, comme
le disait Ewelina Ardelli, «ce qui est important c’est de ne pas parler des choses sans
importance»3. Parler signifie dans la logique de J.M.G. Le Clézio rendre son âme.
C’est une des raisons pour lesquelles les mots prononcés par les héros de cet auteur ne
sont jamais utilisés par hasard. Et de toutes les paroles entendues, seule la voix de Mam
n’est pas détruite par le passage du temps. Cette voix représente une sorte d’image
idôle de l’enfant, une marque d’identité. Tout en essayant de se rappeler la modulation
de la voix de sa mère, Alexis refait un chemin identitaire. Ce qu’il réorganise, donc, ce
n’est pas seulement la voix de Mam, mais à la fois l’image de soi.
«Il y a aussi la voix de Mam. C’est tout ce que je sais d’elle maintenant, c’est
tout ce que j’ai gardé d’elle. J’ai jeté toutes les photos jaunies, les portraits, les lettres,
les livres qu’elle lisait, pour ne pas troubler sa voix. Je veux l’entendre toujours,
comme ceux qu’on aime et dont on ne connaît plus le visage, sa voix, la douceur de sa
voix où il y a tout, la chaleur de ses mains, l’odeur de ses cheveux, sa robe, la lumière,
l’après-midi finissant quand nous venions, Laure et moi, sous la varangue, le cœur
encore palpitant d’avoir couru, et que commençait pour nous l’enseignement»4
1
J.M.G. Le Clézio a toujours affirmé son double identité- mauricienne et française. Il affirmait même à un
certain moment: «Ce n’est pas confortable d’être entre deux mondes. D’un autre côté, pour toutes sortes
de raisons, par choix personnel, je ne peux me faire à l’idée d’être entièrement d’un monde, ou de l’autre.
Je crois qu’appartenir aux deux m’aide dans ce que j’écris, dans le goût que j’ai d’écrire. C’est une
situation inconfortable où je trouve mon confort. J’ai besoin de ce déséquilibre. J’ai besoin d’avoir deux
portes». J.M.G. le Clézio-Ailleurs, entretiens avec Jean-Louis Ezine, Paris, Arléa, 1995, p. 92-93.
2
Apud, Magazine Littéraire, no 430, avril 2004, «J.M.G. Le Clézio: «Mon, père, l’Africain», Gérard
de Cortanze, p. 69.
3
Ewelina Ardelli, «L’enfant dans ses rapports avec la société et la nature d’après les nouvelles
Mondo et autres histoires de J. M. G. Le Clézio», site consulté le 13 janvier 2008,
http://www.lettresfrancaises.umk.pl/
4
J. M. G. Le Clézio, Le chercheur d’or, Paris, Gallimard, 1985, p. 24.
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L’ECRITURE DE LA MARGINALISATION ...
Le fait de parler est vu comme motif prédominant de l’âge adulte. En effet,
si on regarde attentivement, nous observons que les enfants de Le Clézio ne parlent
presque jamais, alors que les adultes éprouvent le besoin de «dire» les autres:
«Elle ne me parle jamais de cela.» ou «Les yeux de Denis brillent quand il
me regarde. Sans parler, il me montre la haute mer bleu sombre [...].»
«Il n’est pas comme les autres enfants qui vivent dans les beaux domaines.
Il n’a pas besoin de parler. Il est mon ami, et son silence, ici, à côté de moi, est une
façon de le dire».5
Le contact avec la langue devient visible par l’intermédiaire de la parole.
Ne trouvant pas des personnes pour communiquer, les héros de J.M.G. Le Clézio
ou de Göran Tunström se parlent à eux-mêmes, comme pour maîtriser la langue,
comme pour démontrer son existence. Car ce qui caractérise une personne ce n’est
pas le visage, ce n’est pas la manière de sourire, de manger, de regarder: «La voix
est la partie la plus identifiable de l’être humain»6, avouait l’écrivain dans une
interview avec Pierre Lhoste.
Très suggestif pour la compréhension des personnages, le regard, marque
intrinsèque de chaque personne, n’est pas seulement un moyen de connaître le
monde, mais à la fois un moyen de communiquer avec les autres. Lorsqu’il ne
trouve pas les mots pour s’exprimer, le personnage de Le Clézio regarde. Le héros
du romancier méprise les mots superflus, les mots insignifiants. Le langage même
se divise entre le langage propre à un monde occidental et un langage propre aux
pays exotiques, de l’Afrique, de l’Asie. Il s’agit de deux cultures différentes qui
s’unissent dans le texte de l’écrivain mauricien. Pour soutenir cette thèse, nous
rappelons la remarque de Jean-Xavier Ridon: «Pour Le Clézio le monde occidental
est caractérisé par la fermeture et le cloisonnement par le langage».7 En effet, le
langage est propre à la «civilisation», à ces «pays riches», qui ont perdu le sens de
leur identité. Pour les manafs, pour les Rodriguais, le fait de parler est superflu.
Il y a quand même, quelques termes que l’écrivain mauricien utilise pour
mettre en évidence les héros marginalisés. Des mots comme «chassés», «gunnies»,
«banqueroute», «yangue», «sirdars», «chiots», «macchabés», «Zeta», «kandja»,
«kir», «manaf», «Eretzrael», ainsi que le choix du créole comme langue native des
personnages accentuent leur isolement.
Lorsque l’écrivain décrit la nature, la structure de la phrase est plus ample,
tandis que pour exprimer ses sentiments sur la ville ou les gens qui y habitent, les
propositions deviennent saccadées, angoissantes: «Elle détourne le regard. «C’est
lui ! C’est lui qui a tout fait !» dit Laure. Je voudrais bien qu’elle se taise. Elle est
pâle et tremble, sa voix tremble aussi. «Je le déteste !». «Tais-toi !», dit Mam»8.
5
Ibid, p. 13, 54, 57.
Pierre Lhoste, Conversations avec J. M. G. Le Clézio, Paris, Seghers, 1971, p. 117.
7
Jean-Xavier Ridon, Henri Michaux, J. M. G. Le Clézio- L’exil des mots, Paris, Kimé, 1995, p. 59.
8
J.M.G. Le Clézio, op.cit., p. 96.
6
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La plupart des personnages le cléziens n’ont pas de famille, ne sont pas
intégrés dans la société. Ils sont des gens libres, maltraités, exclus, des mendiants, des
voleurs etc. Mais le fait de leur donner le premier plan de ces romans montre en quelle
mesure l’écriture de Le Clézio représente une écriture de et contre la marginalisation.
II. La marginalisation de l’écriture
Chez Göran Tunström, les marginalisés sont décrits par l’intermédiaire du
mot «bohémien», comme dans la phrase: «Johan déglutit. Il savait que c’était des
gens comme lui, les autres le lui avaient dit. Les bohémiens étaient ceux qui
avaient des carreaux cassés et des vêtements crasseux et que personne ne voulait
fréquenter, un bohémien était quelqu’un dans le dos duquel on chuchotait, mais à
voix haute pour qu’il entende»9.
Mais dans les romans de Göran Tunström nous pouvons parler, à la fois, d’une
marginalisation de l’écriture. Nous observons à travers l’histoire décrite par l’auteur
suédois, que ce qui est lié à l’écriture comme trait interne du personnage montre
l’exclusion. Johan, protagoniste du roman Le voleur de Bible, doit se cacher dans la
bibliothèque de son maître pour pouvoir lire. Il est le seul à constater que le pouvoir de
la lecture est plus suggestif que le pouvoir physique. C’est la raison pour laquelle
Fredrik, son père adoptif, se sentira inférieur par rapport à son enfant et le méprisera.
Malgré le fait que les personnages le cléziens ou tunströmiens aiment lire
et partager leurs lectures avec les copains, l’écriture reste tout le temps en marge,
chez les deux auteurs. Soit qu’il s’agit d’écrire des mots, des lettres, des poèmes ou
même un journal, l’acte d’écrire ne s’intègre pas sur le plan social. Ainsi, les héros
de Le Clézio doivent lire leurs journaux préférés dans le grenier: «C’est là que
Laure et moi venons souvent pour lire et regarder les images. Nous sommes
allongés sur le ventre dans la poussière, devant les piles de vieux journaux, et nous
tournons lentement les feuilles»10.
L’écriture exprime le goût du personnage pour la vie en marge de la société,
elle favorise le rêve et donc la rupture avec le présent. Les enfants ne sont pas détruits
pas la réaction négative des autres quant à leurs préoccupations, parce qu’ils vivent à
l’intérieur d’un univers «intouchable», utopique, où le seul désir est celui de se
«centraliser», de se recréer. Le côté linguistique de la marginalisation est, d’ailleurs,
l’aspect le plus suggestif, qui provoque le développement de l’histoire, tout en adoptant
un point de vue mythique. Une raison de plus de comprendre que nous ne pouvons pas
avoir une écriture de la marginalisation sans reconnaître son double, exprimé par le
biais de la marginalisation de l’écriture: «Ainsi conçue, la langue française devient la
langue porte-parole des damnés de la terre»11.
9
Göran Tunström, Œuvres romanesques 1, traduit du suédois par Pascale Balcon, Marc de
Gouvenain, Lena Grumbach, coll. «Thesaurus», Paris, Actes Sud, 1999, p. 565.
10
Ibid., p. 33.
11
Lectures d’une oeuvre. J.M.G. Le Clézio, collectif coordonné par Sophie Jollin-Bertocchi et Bruno
Thibault, Nantes, Editions du Temps, 2004, p.14.
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Les mots, la phrase représentent dans les romans de Le Clézio ou de Göran
Tunström des symboles pour lutter contre les limites imposées par les autres. Cette
structure se rencontre surtout dans le métatexte. Lorsqu’il s’agit de s’exprimer sur
d’autres sujets, les personnages de Le Clézio éprouvent un malaise, le silence
devenant une nécessité: «elle ne savait pas pourquoi elle voulait ce silence.
Simplement, c’était bien, c’était nécessaire»12.
Ainsi, isolé dans l’Enfoncement du Boucan, Alexis ne parle que du trésor
du Corsaire Inconnu, ou des livres qui ont une liaison avec ce thème. Considéré un
personnage étrange, à cause de son discours qui porte toujours sur l’existence d’un
trésor fictif, Alexis sera marginalisé par les Rodriguais ainsi que par les manafs:
«Fritz Castel se relève. Son regard exprime toujours la même curiosité, la même
crainte. De quoi a-t-il peur, de qui? De moi, de l’homme qui a marqué cette pierre,
il y a si longtemps?»13
De l’autre côté nous avons Johan, protagoniste du roman Le voleur de
Bible, de Göran Tunström. L’aspect linguistique est important chez lui, car le héros
est marginalisé d’une part par la famille parce qu’il refuse le langage impropre de
ses frères, et simultanément par la société, parce qu’il lit trop: «L’excitation qu’il
ressentait devant des livres, la joie qu’il éprouvait quand le monde s’ouvrait et se
présentait d’une manière stable l’avaient plutôt inquiété puisqu’il pouvait rarement
communiquer ses découvertes. Celles-ci étaient quelque chose dont on avait honte
dans la famille, quelque chose qu’il lui fallait garder pour lui»14.
Cette marginalisation linguistique revoit à une négation de la culture dans
le cas des enfants de Göran Tunström et à une réinterprétation de la culture et de la
civilisation chez Le Clézio.
III. Peut-on parler d’une esthétique de la marginalisation?
Chez J.M.G. Le Clézio et Göran Tunström, la marginalisation acquiert un
nouveau aspect: nous n’avons plus un phénomène, mais un décor, et plus encore,
un centre. La dualité centre/marginalité est fascinante dans les livres de nos deux
auteurs. Mais ce qui est surprenant c’est d’apercevoir le fait que le centre de
l’existence est, en effet, la marge, la limite, par l’intermédiaire de laquelle s’opère
la découverte de l’identité et l’intégration dans le monde du silence, des damnés.
Dans ce décor très bien décrit apparaissent les personnages.
Cette classification passe au-delà de l’encadrement conceptuel allant
jusqu’au niveau esthétique. Il est clair que l’esthétique de l’écriture suggère la
présente d’une esthétique de la marginalisation qui se fonde sur un champ lexical
déjà mentionné. Cependant, nous pouvons parler d’une esthétique de la
marginalisation seulement en relation avec l’auto marginalisation. Le choix
12
J.M.G. Le Clézio, Etoile errante, Paris, Gallimard, 1992, p. 14.
J.M.G. Le Clézio, Le chercheur d’or, Paris, Gallimard, 1985, p. 332.
14
Göran Tunström, op.cit., p. 584.
13
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conscient de l’isolement se fonde sur la beauté de la marginalité. Mondo refuse le
contact avec les autres pour être libre, pour errer, pour se promener selon sa propre
volonté. Dans son cas, la marginalisation suppose la mise en valeur d’une
esthétique du laid.
Par contre, la marginalisation non assumée n’exprime à aucun moment le
désir de l’enfant d’être situé en marge. Si le héros s’approprie l’isolement, ce n’est
pas en vertu de la beauté de cet acte, mais pour ne pas perdre la notion de
centralité. Dans l’exclusion de la communauté s’inscrit l’expérience de la perte
d’identité. Or le héros a besoin d’un point fixe, stable, qui lui permettrait de se
recréer. Dans ce cas, l’appropriation de la marginalisation n’est pas du tout le
résultat d’une décision délibérée, mais plutôt le geste inconscient de retrouver le
point de départ de l’exil, la maison natale, le centre.
Notons, pour conclure, que l’esthétique de la marginalisation est
partiellement présente dans les romans de J.M.G. Le Clézio et de Göran Tunström
sous la forme de l’auto marginalisation. Elle met en lumière les divers aspects de
l’isolement, ayant comme but de suggérer la beauté de la solitude: «Il aimait bien
se promener sans but, tourner au coin d’une rue, puis d’une autre, prendre un
raccourci, s’arrêter un peu dans un jardin, repartir. [...] Mondo aimait bien marcher
ici, tout seul, à travers la colline»15.
B IB LI O GRAP H I E
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
15
Göran Tunström, Œuvres romanesques 1, traduit du suédois par Pascale Balcon,
Marc de Gouvenain, Lena Grumbach, coll. «Thesaurus», Paris, Actes Sud, 1999.
J.M.G. Le Clézio, Mondo et autres histoires, Paris, Gallimard, 1978.
J.M.G. Le Clézio, Le chercheur d’or, Paris, Gallimard, 1985.
ARDELLI, Ewelina, «L’enfant dans ses rapports avec la société et la nature
d’après les nouvelles Mondo et autres histoires de J. M. G. Le Clézio», site
consulté le 13 janvier 2008, http://www.lettresfrancaises.umk.pl/
LHOSTE, Pierre, Conversations avec J. M. G. Le Clézio, Paris, Seghers, 1971.
RIDON, Jean Xavier, Henri Michaux, J. M. G. Le Clézio - L’exil des mots, Paris,
Kimé, 1995.
*** J.M.G. le Clézio - Ailleurs. Entretiens avec Jean-Louis Ezine, Paris, Arléa, 1995.
*** Lectures d’une oeuvre. J.-M.G. Le Clézio, collectif coordonné par Sophie
Jollin-Bertocchi et Bruno Thibault, Nantes, Editions du Temps, 2004.
Magazine littéraire, no. 430, avril 2004.
J.M.G. Le Clézio, Mondo et autres histoires, Paris, Gallimard, 1978, p. 14, 41.
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