christophe - Châteauvallon

Transcription

christophe - Châteauvallon
CHÂTEAUVALLON.COM
AMPHITHÉÂTRE
PROCHAINEMENT
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GENRE
MUSIQUE
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DATE(S)
MARDI 11 JUILLET 2017
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HORAIRE(S)
22H00
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DURÉE
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SPECTACLE
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1H30
CHRISTOPHE
TARIF SPECIAL
30€ AVEC LA CARTE CHÂTEAUVALLON
AU LIEU DE 40€
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MENTIONS
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Productions - capitole music france - Live Art Factory by Caramba
CHRISTOPHE
Embarquement immédiat pour les Paradis Perdus avec Christophe ! Émotion rare
d’écouter sa voix cristalline dérouler le long ruban de sa vie, entre histoires
murmurées, mondes imaginés et mots susurrés. Ses envolées symphoniques et
poétiques nous feront décoller vers des ailleurs connus («Les Mots bleus»…)
ou inexplorés comme son nouvel opus «Les vestiges du Chaos», mûri depuis 7
ans et tellement attendu. Un treizième album studio comme autant de tours et
de détours dans 50 ans d’artisanat musical sans cesse enrichi par sa créativité
et la virtuosité de la jeune génération qui l’accompagne : Maxime Le Guil à la
coréalisation, la jeune plume Laurie Darmon ou Clément Ducol qui habille l’album
de cordes ultra-sensibles. Bref, du blues, de l’électro-rock, de poétiques nappes
de synthés, un hommage à Lou Reed, un duo avec Alan Vega ou l’incroyable voix
d’Anne Mouglalis parmi de nombreuses pépites à donner le vertige !
Christophe a esquissé d’une main de maître un treizième album studio, fruit de
plus de 50 ans de carrière, mûri depuis 7 ans, et tellement attendu…
Jean-Michel Jarre, l’homme des «Paradis Perdus» et des «Mots bleus» vient
seconder Christophe pour l’écriture des paroles du titre « Les vestiges du Chaos »
qui lui en aura inspiré le titre de ce nouvel album.
Mais aussi, Boris Bergman (« Ange sale»), Daniel Bélanger («Tangerine», «Drone»),
la jeune plume Laurie Darmon («Océan d’amour», «Stella Botox», «Tu te moques»).
Du blues, de l’électro-rock, de poétiques nappes de synthés, se côtoyant
merveilleusement avec un hommage à Lou Reed, un duo avec Alan Vega ou
l’incroyable voix d’Anne Mouglalis… entre autres.
Tout homme transporte avec lui son chaos intime. Christophe, sans doute, plus
qu’un autre. Un big bang originel forgé à partir de souvenirs d’enfance, d’émotions
déflagratoires, de pensées magiques, de mélodies happées au vol, de rythmes primitifs,
d’images furtives imprimées à jamais dans son cortex et qui constituent le disque dur
de sa mémoire. Depuis plus de cinquante ans, il en fait la matière brute de son œuvre.
Ajoutez-­y un certain goût pour les extrêmes et son amour sincère d’esthète pour les
mots qui sonnent, et vous comprendrez pourquoi « Les vestiges du Chaos », est devenu
celui du treizième album studio du dandy « un peu maudit, un peu vieilli » à la voix
de soie rose froissée.
Du chaos surgit toujours la lumière.
Pourtant, à force de l’attendre, on avait failli ne plus y croire. On avait presque
renoncé à espérer de nouveaux morceaux de la légende vivante…
Aujourd’hui, je suis ce que je suis.
Les vestiges, c’est toute la poussière que je
traîne…
Je marche à la passion et dans les hasards de
la rencontre.
Christophe
Cependant, la surprise est là, éblouissante. Un album-­m onde où le maestro
du son, en peintre sûr de sa patte, de ses textures et de ses couleurs, montre
toutes les facettes de son art, dévoile tous ses visages en même temps. L’artiste
de variété capable de mélodies d’une beauté limpide et d’une bouleversante
profondeur d’interprétation (« Dangereuse », « E Justo ») ; le bluesman barré
et sidéral initié par John Lee Hooker, l’aventurier des mondes infinis, amoureux
des programmations de Trent Reznor, Kanye West, Black Atlass ou Lana Del Rey,
voguant sur de sensuelles ou ténébreuses nappes de synthés («Drone», «Les
vestiges duChaos », «Ange sale ») ; le dandy électrique des origines croonant de
concert avec Alan Vega, le chanteur vétéran de «Suicide», sur un électro rock d’une
élégance racée toute eighties («Tangerine »).
Seul sur Mars, l’icône copernicienne est secondée pour les paroles par Jean-­Michel
Jarre («Les vestiges du Chaos »), Boris Bergman («Ange sale»), Daniel Bélanger
(«Tangerine», «Drone »), la jeune plume Laurie Darmon («Océan d’amour», «Stella
Botox », «Tu te moques»), Muriel Teodori («Lou»), Claire Le Luhern («Dangeureuse»
et « Lou »), Maud Nadal («Definitivement») et Isabelle Prim qui a accompagné
Christophe à l’écriture du titre «Les mots fous».
Un opus d’une fulgurante modernité imaginé par Christophe.
Aux commandes d’un album mystérieux et cinématographique, expérimental et
grand public, excitant et jamais nostalgique, lyrique et fun, aussi brillant qu’un
diamant noir, il croise le passé, le présent et l’avenir, rend hommage à Lou Reed,
l’ami-­idole de toujours qui le réclamait à chacun de ses passages à Paris et dont
il narre les derniers instants sur terre, invite à déclamer, de sa voix grave, l’actrice
Anna Mouglalis, travestit les mots bleus en mots fous, fait feu de tout bois.
Ces « Vestiges du Chaos » nous mettent K.O… Debout.
PRESSE
Ce nouveau disque est le seul pour lequel j’ai vraiment souffert. Je me suis perdu.j’ai
touché le fond. J’ai parfois eu du mal à me faire comprendre de ceux avec qui je travaillais.
Sans doute parce que ma démarche est solitaire. Je travaille la nuit, dans mon salon.Je
ne crée pas de mélodies, je cherche des sons.Je compose avec des synthétiseurs d’époque,
des instruments analogiques que je mélange aux nouvelles technologies. Depuis mes
débuts, je dis que je ne suis pas chanteur; J’ai du mal à l’expliquer mais ce qui m’intéresse,
c’est moins la chanson que la matière, la texture, les nuances ... J’enregistre un disque
comme je ferais une peinture. J’avance à tâtons, j’accumule les pistes. Pour cet album,
j’ai ressorti d’innombrables fragments de chansons, des poussières de son qui remonrent
aux «Paradis perdus» et que j’ai conservées sur bande Revox.j’ai aussi enregistré avec
mon téléphone des voix, des bruits, des ambiances ... j’ explore.
Télérama
Ce nouvel album de l’entrée dans le grand âge est aussi paradoxalement son plus
adolescent [...]. Gorgé de sève, de pulpe, de chair, où Christophe, en maître de
marionettes, redéploie l’éternité de sa figure d’homme aux mots galants, à qui les
passions filent entre les doigts tel un sablier jamais comblé. [...] «Les vestiges du chaos»
marque un retour sur un point de classicisme, qui a aussi pour lui valeur de point
d’origine - la valeure «tube». [...] Chaque chanson retrouve ainsi son unité, son climat,
son humeur orgueilleise, coulée dans le raffinement plastique de norias de bourdons
synthétiques, de frissonnement de cordes, d’envolées maladives, entre deux ruissellemens
du piano qui perle ses mélodies pour machines émotives. [...]
Libération

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