Des réunions à la Second Life avec IBM Lotus Sametime Des

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Des réunions à la Second Life avec IBM Lotus Sametime Des
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 09
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6 juillet 2009
La pensée de la semaine
«Ne rien risquer est un risque encore plus grand !»
Erica Jong
Des réunions à la Second Life avec IBM Lotus Sametime
http://pro.01net.com/editorial/503846/des-reunions-a-la-second-life-avec-ibm-lotus-sametime/
La suite collaborative du fournisseur permet de créer des espaces virtuels au sein du système d'information de
l'entreprise, pour se réunir et partager des idées.
Désormais, les utilisateurs de Lotus Sametime (version 8.0.1 ou supérieure) pourront organiser des conférences et des meetings comme
dans Second Life, tout en restant dans le système d'information de l'entreprise. Grâce au nouveau module Virtual Collaboration for Lotus
Sametime (VCLS), ils pourront se glisser dans la peau d'un avatar et se réunir dans une salle ou un espace collaboratifs, tous virtuels.
« Cette nouvelle offre permet d'organiser de manière efficace des meetings et des séances de brainstorming sans perdre de temps ni
d'argent dans les voyages », explique John Allessio, vice-président d'IBM Software Services for Lotus.
Bientôt des fonctions de VoIP Lors d'une réunion virtuelle, les participants peuvent communiquer par messagerie instantanée,
partager des présentations et des documents ou noter des idées sur un chevalet de conférence virtuel. Grâce à un « mur de
brainstorming », ils peuvent également cogiter sur de nouveaux projets, avec un système de votes et de sondages. Par la suite, IBM
compte également intégrer des fonctions de voix sur IP « spatialisée », c'est-à-dire qui tiennent compte de l'éloignement des avatars
(plus quelqu'un est loin, moins on l'entendra, comme dans Second Life).
A ce jour, VCLS est d'ores et déjà utilisé par 2 500 employés d'IBM. Au cours des six derniers mois, des projets pilotes ont également été
organisés chez Manpower (intérim), Raytheon (électronique de défense) et deux établissements d'enseignement supérieur (Northeastern
University, Northcentral Technical College).
Google : « Travaillons à rendre le web plus rapide »
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39700696,00.htm?xtor=EPR-102
La firme de Mountain View se lance dans l'évangélisation pour un Internet plus rapide, en expliquant tous les progrès qui
peuvent être faits en terme de vitesse. L'idée est d'impliquer tous les acteurs.
« Que pourrait-on faire si surfer sur Internet se faisait aussi rapidement que de tourner les pages d'un magazine ? »
C'est à cette question que veulent répondre les ingénieurs de Google qui ont lancé une consultation sur le sujet à laquelle les internautes
sont invités à participer. Ils pensent par exemple que le web est de plus en plus utilisé pour consulter des contenus riches (vidéo,
musique...) et que la vitesse est la clé du confort.
« Nous n'en sommes qu'au début de ce qu'Internet peut faire en terme de vitesse », explique dans une vidéo Vic Gundotra, ingénieur. Il
suffit de se rappeler ce qu'était la vitesse de la Toile à ses débuts et où nous en sommes aujourd'hui pour comprendre la vision de
Google. « Uploader des fichiers photo à la volée, regarder des films en haute définition, exécuter des applications JavaScript complexes...
toutes ces opérations peuvent et devraient se faire instantanément à l'avenir », poursuit Vic Gundotra.
Google a beau être un acteur majeur du web, il n'en reste pas moins conscient qu'il ne relèvera pas seul ce défi de la vitesse. Il s'agit
d'une démarche collective dans laquelle Google veut apporter son aide pour « aider les développeurs à créer des programmes plus
rapides, les FAI à comprendre ce qui ralentit leur réseau et collaborer pour concevoir des protocoles Internet plus rapides ».
Pour aller encore plus loin, il faudrait même chercher à améliorer ou carrément « trouver une alternative aux protocoles TCP/IP et
HTTP». Mais d'ici là, il va falloir expliquer, démontrer et convaincre.
Un rôle d'évangélisation que Google veut semble-t-il endosser, en tant que leader du web.
A glimpse of Intel's futuristic gadgets
http://www.siliconvalley.com/news/ci_12681133
Wouldn't it be useful to have a gadget that immediately warned you when the information you just saw on the Internet or heard from a
buddy might be baloney?
How about a gizmo that helps you remember the names of people you encounter whose faces you only vaguely recall? Or a personal
robot with such a gentle touch it could fetch your reading glasses without leaving a scratch?
These are among more than three dozen futuristic concepts being explored by Santa Clara chip maker Intel. Some might seem an odd fit
for a company known for its sophisticated microprocessors, which serve as the brains of personal computers and other devices. But
Intel's researchers, often working with universities, are constantly looking for innovative products or new uses for those it already sells.
"We want to be focused on breakthrough technologies," Chief Technology Officer Justin Rattner said during an unveiling of the research
recently at the Computer History Museum in Mountain View. "We believe our mission is to take risks and define the exceptional
opportunities."
Here are a few of the ideas the company is working on:
Dispute Finder: This experiment, recently being tried out at http:// disputefinder.cs.berkeley.edu/, is designed to enable Web surfers
who install a browser extension to instantly know when a news article, blog or something else they are reading online is contradicted by
other information. Disputed snippets of text are automatically highlighted. When clicked on, these sections reveal contrary or supporting
facts, which have been submitted by other Web users, similar to the way Wikipedia compiles its information. Users also can vote on the
relative importance of the evidence, with the evidence receiving the most votes getting the most prominent display.
Robert Ennals, Intel's principal investigator for the idea, envisions people one day carrying mobile devices that can check the reliability of
what others express verbally. "The plan is to use voice-recognition software to automatically transcribe what is being heard into text" and
then compare that with a copy of the dispute-finder database stored on the device, Ennals said. "We don't think that voice recognition is
quite good enough to do this yet, but we hope that the technology will be good enough fairly soon."
He added that the mobile device might be designed to vibrate if it finds evidence contrary to what is said.
Face recognition: If you often can't remember the names of people you've met and suddenly encounter again, Intel is working on
something for you. It's a gadget you'd wear that would be equipped with a camera and a database full of images of your acquaintances.
That way, if you're at a party or other place and run into somebody whose name you can't recall, the gizmo would recognize their face
and remind you who they are.
Tour guide: Intel thinks mobile devices with visual-recognition capabilities also would prove useful to people who find themselves in
unfamiliar places.
One version might contain information about the interior layout of buildings so it could direct a patient to a doctor's office in a large
hospital, for example. Another might function like a vacation tour guide, said David Bormann, an Intel official exploring such ideas.
If you're visiting Paris and go to the Eiffel Tower, such a device would recognize the structure and provide interesting facts about it, he
said. And if you point it at a bistro where you're considering having lunch, he added, the device might find reviews of the restaurant "so
you can decide if you want to eat there."
Gentle robots: To lessen the likelihood of robotic devices damaging objects they grab, Intel is experimenting with versions of the
machines that are capable of electrolocation, an ability some fish have to detect things by bouncing electric fields off them.
The company, which has equipped a mechanical hand with that capability, says the technology gives robots the "nervous sense of
reluctant touch" that human hands display when grasping something delicate.
Intel envisions robots one day fetching and doing all sorts of other tasks for people.
"The robotics industry today is at a point analogous to the personal computing industry of the early 1980s," the company says on its Web
site. "In the next decade the number of personal robots deployed in unstructured environments like homes could grow dramatically."
Intel officials generally wouldn't speculate on how long it might take for these concepts to wind up on the market — if ever. But a poster
displayed at the event noted, "your kid's kid's kid won't think what we're doing is crazy at all."
Promotion Microsoft Windows 7 : il n'y en aura pas pour tout le monde
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/06/29/promotion_microsoft_windows_7_il_n_y_en_aura_pas_pour_tout_le_monde
Microsoft limitera à 76.000 le nombre d'exemplaires de Windows 7 proposé cet été en promotion. Un nombre qui
répondrait à la demande, selon l'éditeur.
L'offre de mise à niveau de Microsoft de Windows Vista vers Windows 7 n'est pas seulement un tantinet complexe (période
promotionnelle et de mise à jour avec tarifs différenciés). Elle est limitée en nombre.
Selon la FAQ de l'offre Windows 7 en France, Microsoft prévoit de limiter à 76.000 le nombre de d'exemplaires du nouveau système
d'exploitation qui alimentera la période promotionnelle prévue du 15 juillet au 14 août. Période durant laquelle les intéressés pourront
pré-réserver une édition de Windows 7 disponible à partir du 22 octobre, date officielle du lancement de l'OS.
Autant dire qu'il n'y en aura pas pour tout le monde. 76.000 exemplaires représentant une goutte d'eau des quelques 12 millions de PC
qui se vendent en moyenne dans l'hexagone annuellement. Pourtant, selon Microsoft, les 76.000 exemplaires suffiront à répondre à la
demande, études à l'appui. Seuls les "super enthousiastes" seraient donc intéressés par les 50 euros de l'édition Premium et les 110
euros de la version Professionnelle de Windows 7. De plus, ce quota concerne aussi bien les commandes passées sur le Microsoft Store
que celles gérées par l'ensemble des partenaires.
De notre côté, nous pensons que l'offre promotionnelle est très attractive (les tarifs passeront respectivement de 50 et 110 euros à 120
et 285 euros après le 22 octobre) et qu'elle risque de séduir plus de 76.000 utilisateurs pressés de basculer sur Windows 7 (estampillée
"E" pour l'Europe car livrée sans Internet Explorer). Bref, malgré la saison estivale, la période promotionnelle pourrait s'arrêter bien avant
le 14 août, à savoir quand les 76.000 exemplaires de Windows 7 auront été précommandés.
Linux : Richard Stallman ne veut pas de Mono
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/06/29/linux___richard_stallman_ne_veut_pas_de_mono
Le gourou du monde des logiciels libres, Richard Stallman, veut limiter la dépendance de Linux vis-à-vis de Microsoft.
Les développeurs de Tomboy, outil de prise de notes pour Linux développé en C#, doivent avoir l’impression que le ciel leur tombe sur la
tête. De fait, c’est suite à la volonté d’intégrer cet outil dans la prochaine distribution Linux Debian qu’une vaste polémique a été
lancée. Pour faire fonctionner cet outil, l’installation de Mono, le clone open source de .NET, est obligatoire. Beaucoup de puristes ne
veulent toutefois ni de Java ni de Mono dans l’installation par défaut de la Debian.
Richard Stallman s’est fendu d’un communiqué incendiaire. En résumé, il déclare qu’utiliser le langage C# est dangereux, car Microsoft
pourrait forcer les compilateurs C# à utiliser des brevets logiciels (malgré le contrat de non-agression que fournit la compagnie ?) :
"C’est un grave danger et seuls les imbéciles l’ignoreront, jusqu’au jour où il sera trop tard."
Selon Stallman, le problème ne vient pas des implémentations de C#, mais des applications écrites en C# : "Si nous perdons un jour le
droit d’utiliser C#, nous perdrons également ces applications." En d’autres termes, Mono ou Portable.NET sont des projets utiles pour
faire fonctionner des applications écrites en C#, mais les développeurs open source ne doivent pas utiliser ce langage pour
leurs logiciels. Afin de ne pas encourager les programmeurs dans cette voie, Richard Stallman considère que les distributions Linux ne
devraient donc pas mettre en place Mono ou Portable.NET lors de l’installation du système.
Heureusement, des alternatives existent. Ainsi, Vala est un compilateur proche du C#, qui n’a toutefois rien en commun avec la plateforme .NET.
Téléphonie mobile : le chargeur universel fait ses premiers pas en Europe
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/06/29/telephonie_mobile_le_chargeur_universel_fait_ses_premiers_pas_en_europe
Le chargeur universel devrait arriver sur le marché européen en 2010 au lieu de 2012 comme le préconisait la GSMA.
En début d'année, les membres de la GSMA (association qui regroupe 750 constructeurs et opérateurs télécoms) faisaient part de leur
intention de standardiser leurs téléphones mobiles autour d'un chargeur universel. Les premiers chargeurs et téléphones adaptés étaient
annoncés pour 2012.
Il semble que l'Europe veuille accélérer le mouvement. La Commission européenne a présenté, ce lundi 29 juin, un accord (plus
exactement un "Memorandum of Understanding" ou “MoU”) pour mettre en œuvre le chargeur universel dès 2010 sur le marché
européen. Accord signé par Apple, LG, Motorola, NEC, Nokia, Qualcomm, Research in Motion (RIM), Samsung, Sony Ericsson et Texas
Instruments à ce jour. Soit les principaux constructeurs du marché même si l'on note l'absence de HTC.
Le chargeur universel adoptera le format du connecteur Micro-USB par ailleurs préconisé par la GSMA. En espérant que les modèles
actuels qui ont déjà adopté le connecteur Micro-USB seront compatibles avec la nouvelle norme.
Le chargeur universel jouera la carte de l'environnement. D'abord en évitant d'acheter un nouveau chargeur à chaque fois que l'on
change de terminal. Ce qui éliminera le gâchis dû aux chargeurs en double (estimés à plus de 51.000 faute de compatibilité entre les
modèles, voire d'un modèle à l'autre chez un même constructeur). Du coup, inutile de racheter le chargeur à chaque nouveau téléphone.
Ce qui laisse espérer une vente optionnelle et, donc, une réduction de la facture du terminal.
Enfin, la consommation électrique devrait s'en trouver optimisée, notamment lorsque le téléphone est entièrement chargé et qu'il
reste inutilement branché sur le secteur. Bref, constructeurs et consommateurs ont tous à y gagner à adopter le chargeur universel (qu'il
faudrait généraliser aux ordinateurs portables).
Avec ce MoU, la Commission européenne espère bien voir l'arrivée des premiers chargeurs universels avant la fin 2010 sur son
territoire. Si l'accord porte uniquement sur le marché européen, l'adoption du chargeur universel a toutes les chances de s'étendre
rapidement à l'ensemble de la planète.
Orange Business Services lance une offre de 'cloud' basée sur la virtualisation
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-orange-business-services-lance-une-offre-de-cloud-basee-sur-la-virtualisation-20407.html
Orange Business Services lance une offre baptisée Flexible Computing qui permet aux entreprises de toutes tailles d'externaliser tout ou
partie de leurs infrastructures intranet (applications métiers au sein d'un VPN Orange) ou internet (sites Web institutionnels, sites ecommerce, plateformes Saas).
Des machines virtuelles reconfigurées en temps réel Cette offre propose des architectures de serveurs virtuels entièrement
paramétrables. L'entreprise peut ainsi définir le nombre de machines virtuelles, ainsi que la puissance du processeur, la taille mémoire et
l'espace disque alloués à chacune de ces machines. Ces paramètres pourront en outre évoluer en temps réel.
Orange Business Services offre également une garantie de temps de rétablissement de l'infrastructure. Les tarifs comprennent des frais
de mise en service et un abonnement mensuel
Google ouvre le kit de développement d'Android, Fennec s'y invite
http://www.mobinaute.com/285190-navigateur-mozilla-firefox-fennec-android-google.html
Pour son système d'exploitation mobile Android, Google a décidé d'ouvrir davantage son kit de développement et de ne plus se contenter
d'applications fonctionnant en Java mais directement en natif sur le système Linux qui compose Android.
Cette initiative devrait permettre le déploiement d'applications plus poussées et dans certains cas, plus stable à l'image du navigateur
Fennec, la déclinaison mobile de Firefox. En effet, Mike Shaver expliquait récemment que le portage de Fennec en Java présentait peu
d'intérêt dans la mesure où « cela limiterait inévitablement les fonctionnalités. Par exemple l'on devra faire l'impasse sur le nouveau
moteur de rendu JavaScript TraceMonkey puisque celui-ci génère du code natif ». Pour l'heure, cela limite donc le déploiement de Fennec
à Windows Mobile (6+) et Meamo.
Vice-président du département mobile chez Mozilla, Jay Sullivan déclare à Cnet : « je pense que notre communauté serait intéressée par
son développement parce qu'Android va se retrouver sur de plus en plus de smartphones avec une bonne ergonomie pour la navigation
sur Internet ». Ce matin nous apprenions qu'une seconde alpha de Fennec était disponible pour Windows Mobile. Android pourrait donc
être l'occasion pour la fondation Mozilla de rattraper son retard face au succès d'Opera Mobile et Mini.
Une nouvelle directrice du secteur public pour Microsoft France
http://www.lemagit.fr/article/microsoft-openxml-rgi-france-e-administration/3699/1/une-nouvelle-directrice-secteur-public-pour-microsoft-france/
Microsoft France annonce la nomination d'une nouvelle responsable du secteur public, Nathalie Wright. Cette dernière était
précédemment vice-présidente pour l'Europe du Sud (en charge de la stratégie commerciale) de l'opérateur AT&T.
Cette nomination intervient après la promotion d'Eric Bignand en juillet dernier. Ce dernier, en charge des dossiers secteur public de
l'éditeur en France depuis 2004, rejoint les équipes internationales de l'éditeur. Il devient directeur général des ventes et des opérations
de Microsoft auprès du secteur public dans la zone EMEA.
L'arrivée d'Eric Bignand au sein de la filiale hexagonale a coïncidé avec la contre-offensive de l'éditeur auprès d'un secteur tenté par les
sirènes de l'Open Source. En quelques années, Microsoft France est ainsi parvenu à enterrer la migration vers Linux des postes de travail
de la Mairie de Paris, à obtenir que son format (OpenXML) soit présent dans le document de référence de l'administration française (RGI),
absent dans une première mouture, et à modifier le vote de l'Afnor dans le cadre de la normalisation du même OpenXML.
Firefox 3.5 : la version définitive, plus rapide, fonctionnelle, adopte HTML 5
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/06/30/firefox_3_5___la_version_definitive__plus_rapide__fonctionnelle__adopte_html_5
Le nouveau Firefox 3.5 disponible ce 30 juin, adopte de nombreuses technologies issues de l’HTML5
Le navigateur web Firefox 3.5 est sans aucun doute un des produits les plus attendus de l’année. Vous pouvez le télécharger
directement sur le site web de la fondation Mozilla.
Au chapitre des nouveautés, nous trouvons le très véloce moteur JavaScript TraceMonkey, qui devrait permettre au navigateur d’aller
contrer les avancées réalisées dans ce domaine par la concurrence. C’est un élément essentiel pour les applications web 2.0. Le moteur
de rendu HTML a été mis à jour et se montre – lui aussi – nettement plus rapide.
Le mode de navigation privé est un des apports les plus visibles de cette nouvelle mouture. Les utilisateurs profiteront également
d’une meilleure gestion des fenêtres et onglets. Firefox 3.5 intègre enfin les balises audio et vidéo issues de l’HTML5 et le support des
fontes web. Une bonne nouvelle pour les utilisateurs, qui pourront accéder à des sites moins dépendants de Flash et de Silverlight.
L’intégration par défaut d’outils de géolocalisation et de fonctions permettant le stockage local des données va favoriser
l’émergence de nouvelles applications web, qui pourront éventuellement fonctionner hors ligne. Même les professionnels ne sont pas
oubliés, avec un support natif de JSON et des Web Workers.
Cette version majeure de Firefox sera prochainement comparée aux autres navigateurs web, dans le cadre d’un test exclusif.
Un netbook ARM sous Android chez Nokia ?
http://www.pcworld.fr/actualite/nokia-netbook-arm-android/81661/
Malgré son partenariat stratégique signé avec Intel la semaine dernière, on apprend via GigaOM que le géant Nokia s'intéresserait à la
possibilité de concevoir un netbook architecturé autour d'un processeur ARM et tournant sous Android, l'OS Open Source de Google.
Il s'agirait d'une machine vraiment low-cost et particulièrement pratique, qui permettrait à Nokia de faire une entrée remarquée sur ce
marché sur lequel s'écouleront quelques 25 millions de machines en 2009, contre 10 millions en 2008, si l'on en croit les spécialistes.
C'est évidemment en commercialisant ce netbook auprès des opérateurs mobiles que Nokia tenterait de l'imposer, dopant ainsi son
réseau de distribution de par le monde. Il reste néanmoins étrange que ce netbook ne soit pas pensé autour d'une plateforme Intel, et
que Android soit préféré à Moblin. Alors, info ou intox ? Le temps nous le dira...
Cisco pourrait concurrencer Microsoft dans la bureautique
http://pro.01net.com/editorial/504030/cisco-pourrait-concurrencer-microsoft-dans-la-bureautique/
L'équipementier de télécoms Cisco Systems envisage de proposer par Internet une alternative au populaire Office de Microsoft, dans le
cadre de sa stratégie d'expansion sur le Web.
Le VP de Cisco Doug Dennerline a expliqué mardi que son groupe souhaitait développer un service permettant aux professionnels de
créer des documents qu'ils pourraient ensuite utiliser et partager grâce à ses applications de collaboration et de réunion en ligne WebEx.
Les alternatives sur Internet à la série de logiciels de bureautique Office ont fleuri depuis cinq ans, mais les professionnels hésitent
encore à les utiliser. Le potentiel est important : la division Office de Microsoft a dégagé 60 milliards de dollars de chiffre d'affaires lors du
dernier exercice fiscal. Parmi les concurrents, Google propose déjà Google Apps, qui offre sur Internet un tableur, un traitement de texte
et un logiciel de présentation.
L’Union européenne et IBM Research proposent un compilateur open source "intelligent"
http://www.silicon.fr/fr/news/2009/07/01/l_union_europeenne_et_ibm_research_proposent_un_compilateur_open_source__intelligent_
Développement de grande envergure, ce compilateur qui fait appel à l'intelligence artificielle, est coordonné par l’INRIA.
MILEPOST (Machine Learning for Embedded Programs Optimisation) est un projet européen ambitieux qui vise à fournir des technologies
permettant d’optimiser automatiquement le code compilé pour les processeurs reconfigurables… ou tout simplement pour les
nouvelles architectures. Il s’appuie essentiellement sur des méthodes issues de l’intelligence artificielle. Des partenaires prestigieux
participent à ce projet, comme l’INRIA, l’Université d’Edimbourg ou encore les équipes d’IBM Research.
MILEPOST GCC 4.4.0 est maintenant disponible. Ce projet open source permet de transformer le compilateur GCC en un véritable outil
capable d’optimiser automatiquement le code, et ce, quelle que soit l’architecture cible. À cet effet, il s’appuie sur ICI 2.0
(Interactive Compilation Interface) qui permet d’accéder aux techniques internes d’optimisation du GCC et de les modifier. ICI va puiser
dans la vaste base de connaissances du Collective Tuning Center (un autre projet du programme MILEPOST).
Des tests effectués par IBM Research montrent que ce produit permet déjà d’améliorer de 18 % les performances de certains
systèmes embarqués. "Notre technologie apprend automatiquement comment tirer les meilleures performances du matériel – qu’il
s’agisse de téléphones mobiles, d’ordinateurs de bureau, ou de systèmes entiers. Les logiciels fonctionnent ainsi plus rapidement et
induisent une consommation énergétique plus faible", souligne le Dr Bilha Mendelson, directeur des technologies d’optimisation du
code chez IBM Research à Haïfa (Israël). "Nous avons modifié le compilateur afin qu’il puisse accéder aux technologies
d’intelligence artificielle et d’apprentissage. Il peut ainsi déterminer exactement quelles sont les optimisations qui devraient être
utilisées et quand les appliquer afin d’augmenter les performances du code généré."
OpenOpen-Source Data Glove
http://www.technologyreview.com/computing/22838/?nlid=2147
AcceleGlove can be programmed for many applications.
Gloves that are wired with sensors can provide useful information about a user's motions, and they offer a novel way to interact with
computers beyond the keyboard and mouse. At the end of May, AnthroTronix, a company based in Silver Spring, MD, released its first
commercial version of the AcceleGlove, a programmable glove that records hand and finger movements. Other gloves--like 5DT's Data
Glove, used primarily in virtual reality--normally cost $1,000 to $5,000, but the AcceleGlove costs just $499. It comes with software that
lets developers use Java to program it for any application they wish. AnthroTronix initially developed the glove with the U.S. Department
of Defense for robotic control. The glove could also be used in video games, sports training, or physical rehabilitation.
A. Accelerometers An accelerometer rests just below each fingertip and on the
back of the hand. When the user's hand moves, the accelerometers can detect the
three-dimensional orientation of the fingers and palm with respect to Earth's gravity.
Measured to within a few degrees, this information allows programs to distinguish
even very slight changes in hand position.
B. Data Board
The accelerometers feed the position information through
lightweight copper wires to a printed circuit board, which sits on the back of the
hand. When the user makes a gesture, such as pinching fingers together or holding
the open palm outwards, the board transmits the data to a computer through a USB
cord plugged in under a flap on top of the glove's wrist. The glove also receives its
power through the cord, avoiding the need for a cumbersome battery pack.
C. Glove Made of a breathable nylon mix that can stretch to fit hands of different
sizes, the glove features open fingertips so a user can type or write while wearing it.
D. Arm Tracker The glove can track the movement of the user's arm through an optional component. The arm link consists of two
pieces of stretchy fabric, connected by a thin microcontroller, that wrap below the elbow and around the biceps. A potentiometer
measures how the elbow flexes, and an accelerometer in the band around the biceps measures the rotation of the arm. The arm link also
calculates the location of the wrist with respect to the shoulder, identifies where the wrist is with respect to the rest of the body, and
records its movements. This precise measurement allows a user to monitor a football throw or manipulate a robotic arm, for example.
The arm tracker plugs in under the same flap in the glove as the USB cord.
Cisco: Billions Ahead in Smart Connected Buildings
http://www.internetnews.com/infra/article.php/3827966/Cisco+Billions+Ahead+in+Smart+Connected+Buildings.htm
New effort aims to manage and optimize commercial buildings' energy usage while raking in the dough.
Commercial buildings use a lot of power, not all of it wisely. It's an area that Cisco sees as being ripe with opportunity to help energy
producers, building managers and the cities in which they exist all manage power more efficiently.
Cisco (NASDAQ: CSCO) today announced a new initiative -- dubbed Smart Connected Buildings -- to connect building systems together so
they can be controlled and managed for power utilization and efficiency.
The new market area is one that Cisco executives forecast to be worth $12 billion over the next several years. The Smart Connected
Buildings initiative includes a number of new products and builds on Cisco's EnergyWise initiative announced earlier this year.
"The Smart Connected Building solution is focused on energy management for all building systems and devices -- things like facilities
items like heating, air conditioning and lighting," Marthin De Beer, senior VP of Cisco's emerging technologies group, said.
"What we are going to be all about when it comes to Smart Connected Buildings will be to have all of these building systems connect to
an IT network," he said. "This IT network will enable everything to communicate, and instead of having a single view of energy use
across an entire building, we will be able to see how energy efficient each of systems are, and we can set policy for how the systems
work together and how energy gets used on a granular level."
Cisco's EnergyWise program began with an effort to control energy use in IT systems. With the new Smart Connected Building initiative,
De Beer explained that a building can be enabled to turn on lights and air conditioning when an employee enters the building and turn
them off when employees have left. Additionally, any other unnecessary systems that are left on when there is no one in a building can
be turned off. As part of the solution, Cisco will enable building managers to have a central policy server so they can even control groups
of buildings. According to De Beer, Cisco's early trials has produced energy savings of 15 to 25 % as a result of deploying Smart
Connected Building solutions.
At the core of the solution is the Cisco Network Building Mediator, which is the physical hardware that connects the building systems
together and provides energy utilization policy.
Two versions of the Mediator are currently available. Cisco Network Building Mediator 4800 has support for up to 5,000 energy
information points, with each point representing a single item of information in a building control system -- a room's temperature, duct
pressure of an air handling unit (AHU), and chiller water flow rate. Cisco Network Building Mediator 2400 supports up to 1,000 points.
Market opportunity De Beer noted that over the next two to three years, Cisco forecasts the total Smart Connected Building market
for building overhauls to be worth $12 billion. It also expects that figure to grow to $20 billion by 2015.
"We think the Smart Connected Building piece will be a billion-dollar-plus business for Cisco, hence the announcement of this new
technology," De Beer said. "We don't announce any new emerging technology if we don't think they have the potential to be a billiondollar business for Cisco."
GMail améliore la gestion de ses libellés
http://www.01net.com/editorial/504126/gmail-ameliore-la-gestion-de-ses-libelles/
Ces dossiers permettant de classer les courriels dans la messagerie électronique de Google prennent de la couleur et
s'enrichissent de nouvelles fonctions.
Les « libellés » de GMail prennent du galon. Jusqu'ici cantonnés aux tréfonds de la page d'accueil de la messagerie Web de Google, ces
dossiers (également appelés labels), qui permettent de classer ses e-mails, remontent désormais presque au niveau de la boîte d'envoi
(en haut à gauche de la page pour la plupart des langues, en haut à droite pour les versions en arabe, en hébreu et en ourdou). C'est
peut-être un détail pour vous, mais pour les utilisateurs de GMail, cela veut dire beaucoup.
Autre possibilité : cacher les libellés dont on ne se sert que rarement. Et, pour égayer le tout, l'internaute peut maintenant attribuer une
couleur à ses dossiers préférés. Pratique pour retrouver une thématique et pour s'y repérer.
Un simple clic sur le nom du dossier, et un espace de dialogue s'affiche, proposant de sélectionner une couleur, de renommer le libellé,
de le supprimer ou de le masquer.
Enfin – et c'est le côté le plus ludique de l'affaire –, GMail permet maintenant de « glisser-déposer » (drag and drop) un courriel
directement de la boîte de réception vers un libellé donné. Pour cela, il suffit de cocher l'e-mail concerné puis, en pressant le bouton
gauche de la souris (sur PC), de déplacer le fichier dans le dossier voulu.
35 millions de compteurs électriques communicants sur CPL en 2016 en France
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-35-millions-de-compteurs-electriques-communicants-sur-cpl-en-2016-en-france-20453.html
ERDF, société qui commercialise l'électricité en France, est engagée dans un programme de longue haleine pour déployer
35 millions de compteurs électriques de nouvelle génération. Première installation : le 8 mars 2010.
A quand la fin de l'obligation d'être présent lorsque le préposé vient relever le compteur électrique de votre domicile ? Ce n'est pas pour
tout de suite, mais on s'en rapproche. Le premier compteur communicant sera posé le 8 mars 2010.
ERDF, filiale d'EDF responsable de l'exploitation du réseau public de distribution d'électricité, s'attaque au déploiement
de compteurs électriques communicants. Les informations sont transmises par la technologie CPL (Courant porteurs en ligne). Ils
seront expérimentés en 2010. Et si tout marche bien, ils seront généralisés au niveau de tout le territoire entre 2012 et 2016.
La phase d'expérimentation se déroulera jusqu'en octobre 2010. Elle concernera 300 000 compteurs installés en Indre et Loire, et dans la
région lyonnaise à partir de mars 2010. ERDF devra également poser 5000 concentrateurs.
On peut noter qu'en amont de ce projet colossal, ERDF aura été obligé de développer un système de pilotage du déploiement des
compteurs communicants. L'application permet de planifier les interventions de pose, de programmer et suivre l'exécution des travaux
préparatoires et de piloter l'avancement du déploiement des compteurs. Ce logiciel a été confié à la SSII Steria et a été développé sur
une plate-forme Java de Bea (filiale d'Oracle).
Ce système permettra de gérer le remplacement de 3 000 compteurs par jour en Indre-et-Loire et dans la région lyonnaise
durant la première phase, puis de 35 000 compteurs par jour sur tout le territoire durant la phase de généralisation. Ce système «
constitue une brique essentielle du projet de déploiement des 35 millions de compteurs nouvelle génération. Le traitement de millions
d'informations remontées lors des opérations de pose des compteurs va nous permettre de mesurer la qualité du service rendu pour
répondre au mieux aux attentes de nos clients, mais également nous aider à mesurer nos performances afin d'améliorer continuellement
nos processus » déclare Jean Vigneron, Directeur Général du Comptage, ERDF.
Il poursuit concernant la première phase du développement : « Cette première étape était extrêmement importante puisqu'elle
conditionne toute la suite du projet jusqu'à la mise en place du premier compteur en 2010. »
Rappel du calendrier :
- 5 mars 2008 : lancement de l'appel d'offres pour le système de gestion des compteurs d'ERDF.
- Phase d'expérimentation d'avril 2009 à octobre 2010 : remplacement de 100 000 compteurs en Indre-et-Loire, 200 000 compteurs en
région lyonnaise et pose de 5 000 concentrateurs dans les deux régions.
- Analyse de l'expérimentation par la CRE (Commission de Régulation de l'Energie) et ERDF fin 2010 pour décision de généralisation à
tout le territoire.
- Phase de généralisation de 2012 à 2016 : remplacement des 35 millions de compteurs sur l'ensemble du territoire français.
La technologie CPL pour transmettre les informations
Les compteurs électriques installés aujourd'hui en France sont en majorité des compteurs électromécaniques. S'ils mesurent la
consommation et sont particulièrement adaptés aux tarifs réglementés, ils ne répondent pas forcément à l'évolution des besoins des
différents acteurs du marché de l'électricité en matière de communication d'informations et d'offres tarifaires.
Le système installé par ERDF est d'origine Linky. C'est un automate de contrôle connecté avec les systèmes d'information d'ERDF. Le
compteur est un système « esclave » qui reçoit des ordres qu'il exécute, et transmet en retour des comptes rendus et des mesures
validées.
Le système repose sur cinq éléments principaux :
- le compteur communicant,
- le concentrateur qui joue un rôle d'intermédiaire entre le système d'information central et les compteurs. Il interroge les compteurs et
traite et stocke les informations
qu'il reçoit avant de les transmettre groupées au système d'information central. Le concentrateur est situé dans les postes électriques,
- le système d'information central qui reçoit les demandes de la part des systèmes d'information internes d'ERDF, et les traite via un
système automatisé,
- le réseau de communication local (LAN) qui permet la communication entre les compteurs communicants et les concentrateurs. Il
repose sur la technologie Courant Porteur en Ligne (CPL), utilisant le réseau électrique basse
tension pour échanger des données et des ordres entre compteurs et concentrateurs,
- le réseau de communication étendu (WAN) qui permet la communication entre les concentrateurs et le système d'information central
d'ERDF. Ce réseau s'appuie sur le réseau télécom, via les technologies associées (ex : GPRS).
55 % des compteurs sont situés dans les habitations, ce qui nécessitera la présence du client pour effectuer l'intervention de
remplacement. Le remplacement des compteurs est gratuit et ne modifiera pas le contrat des clients.