ANNIE GAGNON Chorégraphe et interprète Extraits de presse

Transcription

ANNIE GAGNON Chorégraphe et interprète Extraits de presse
ANNIE
GAGNON
Chorégraphe
et
interprète
A
propos
des
pièces
La marche invisible,
Les femmes de la lune rouge
et
Reviens vers moi le ventre en premier Extraits
de
presse
(…)
La
sculpture,
la
danse
et
l’image
qu’elles
créent
sont
d’égale
importance,
et
cette
démocratie
multidisciplinaire
est
chouette
à
voir.
(…)
Gagnon
et
Rancourt
dansent
avec
une
complicité
physique
évidente.
Les
deux
pièces
abordant
la
fécondité,
la
maternité,
la
transformation,
la
difficulté
de
l’intimité
sans
jamais
devenir
ni
ésotérique
ni
cucul‐la‐praline,
et
se
n’est
pas
rien.
(…)
Catherine
Lalonde,
LE
DEVOIR.com,
4
octobre
2010
(…)
Aucun
mot
n’est
prononcé
dans
ce
spectacle
sensuel,
ni
dans
la
trame
sonore
ni
sur
scène.
Et
avec
raison.
Car
tout
ici
parle
d’énergies
essentielles,
pré
langagières.
Le
corps
est
conscience
et
la
conscience
est
corps.
A
revoir
et
réabsorber.
Marie‐Chantal
Scholl,
Dfdanse
(le
magazine
de
la
danse
actuelle
à
Montréal),
6
février
2010
(…)
La
marche
invisible
is
one
of
those
rare
shows
in
which
all
elements
work
perfectly
together
(…)
(…)
Gagnon
might
be
a
Young
choregrapher,
but
her
work
is
mature
and
courageous?
She
is
not
afraid
to
be
serious
in
her
art.
She
is
also
unafraid
of
choreographic
silences.
She
understands
that
they
are
just
as
much
a
material
as
sound,
that
one
can
sculpt
with
them,
that
they
are
necessary
for
rhythm.
They
also
provide
contrast
an
build
anticipation
for
the
next
movement
:
when
?
what
?
where
?
To
reiterate
,
by
blending
dance,
sculpture
and
performance
art.
Gragnon
and
Lareau
are
crafted
one
of
the
best
shows
of
the
year.
Sylvain
Verstricht,
www.indyish.com
(…)
La
femme,
dans
sa
dimension
spirituelle
et
sacrée,
est
célébrée
dans
cette
succession
d’images
poétiques
qui
rappellent
des
tableaux
vivants.
(…)
Josianne
Desloges,
le
Soleil
(Québec),
31
janvier
2013
(…)
Empreinte
de
féminité,
la
pièce
permet
de
déambuler
à
travers
l’exposition
Samouraï
(…)
J.
Ledoux,
Voir
Québec,
6
février
2013
(…)
L’interprète
évolue
avec
un
certain
brio
entre
l’état
primal,
sauvage
et
une
beauté
plus
polie,
sans
céder
tout
à
fait
à
l’un
ou
l’autre.
(…)
le
travail
du
corps,
la
quête
d’états
de
métamorphose
ouvrent
des
pistes
franchement
intéressantes.
A
suivre.
Frédérique
Doyon,
LE
DEVOIR
Libre
de
penser,
28
février
2014
(…)
Ce
solo
de
cinquante
minutes,
interprété
par
la
chorégraphe,
offre
une
performance
touchante
et
pertinente
sur
la
thématique
de
la
représentation
de
la
femme
et
de
l’animalité.
(…)
une
des
grandes
qualités
du
phrasé
d’Annie
Gagnon
est
sa
grande
accessibilité
:
tout
est
justifié
et
précis,
sans
que
l’on
ne
tombe
dans
la
facilité
et
le
«
premier
degré
».
Les
gestes
ne
sont
jamais
trop
illustratifs,
ni
trop
abstraits.
Ils
ont
cette
qualité
de
pouvoir
suggérer
une
image
sans
en
imposer
le
sens.
(…)
Reviens
vers
moi
le
ventre
en
premier
donne
envie
de
dire
«
je
reviendrai
»
en
sortant
de
la
salle.
Il
est
agréable
de
voir
le
dialogue
de
chacun
des
éléments
constitutifs
du
spectacle
et
de
voir
qu’une
réelle
réflexion,
un
besoin
de
communiquer,
en
sont
la
base.
Point
ici
de
réflexion
creuse
sur
le
geste,
mais
bien
un
questionnement
très
pertinent
sur
la
représentation
de
la
femme.
De
cela
découle
un
spectacle
sensible
et
intéressant,
accessible
et
riche.
William
Durbau,
Artichautmag.com,
3
mars
2014
Si
le
titre
de
la
nouvelle
pièce
d’Annie
Gagnon
Reviens
vers
moi
le
ventre
en
premier,
ne
vous
a
pas
déjà
mis
l’eau
à
la
bouche,
soyez
certains
qu’elle
saura
se
frayer
un
chemin
instantané
jusqu’au
plus
profond
de
vos
ventricules.
(…)
Annie
Gagnon
se
dévoile
dans
une
personnification
riche
et
étoffée,
aux
multiples
facettes,
toujours
un
peu
mystérieuse,
toujours
tellement
engagée.
C’est
principalement
cette
présence
qui
hypnotise.
(…)
la
finale
arrive
comme
un
baume
sur
le
cœur,
la
concrétisation
de
toutes
ces
maintes
transformations
traduites
en
une
surprise
d’une
étincelante
beauté
et
d’une
sensibilité
époustouflante.
(…)
Reviens
vers
moi
le
ventre
en
premier,
est
le
résultat
d’un
travail
brillant,
que
l’on
reçoit
comme
un
bonbon
et
une
décharge
à
la
fois,
on
en
ressort
ancré
et
planant
et
comme
public,
c’est
grandement
satisfaisant.
Audray
Julien,
DFDANSE,
28
février
2014
Avec
ce
solo
qu’elle
chorégraphie
et
interprète
en
toute
intensité,
Annie
Gagnon
fait
un
pas
de
géant
vers
l’avant.
Une
enjambée
remarquée
et
décisive,
autant
pour
sa
danse
que
du
point
de
vue
de
la
performance
et
de
l’expérience
artistique.
Brigitte
Manolo,
DFDANSE,
2
mars
2014
(…)
«
Etant
donné
que
Reviens
vers
moi
le
ventre
en
premier
est
un
solo,
le
travail
de
transition
a
été
très
important
».
Ce
qui
rend
la
pièce
très
structurée
tout
en
laissant
de
la
place
au
moment
présent.
Les
transitions
sont
écrites,
les
états
du
corps
sont
clairs
et
définis,
le
reste
laisse
place
à
l’instinct.
«
Mon
objectif,
c’est
toujours
de
créer
un
monde,
un
univers
dans
lequel
le
spectateur,
grâce
à
son
propre
lexique
et
son
bagage,
va
voyager
et
ressentir
ses
propres
sensations
».
Margot
Cascarre,
DFDANSE,
25
février
2014