Fiche Troyes

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Fiche Troyes
COMMUNAUTE DE L’AGGLOMERATION TROYENNE
La mise en place d’une démarche intégrée
en vue de favoriser l’accès à l’emploi et à la formation des
habitants du quartier prioritaire Chantereigne-Montvilliers
Ce projet a pour objet la réalisation de six actions : action 1, élaboration de plans de mobilité inter et
intra entreprises ; action 2, création d’un poste de chargé de mission mobilité ; action 3,
accompagnement individuel à l’apprentissage de la mobilité ; action 4, création d’un site de
covoiturage ; action 5, création de vélos-stations et expérimentation sur le quartier concerné et au pôle
d’échange gare ; action 6, équipements de priorité aux feux des lignes de transport desservant le
quartier concerné.
LE TERRITOIRE
LES ACTEURS DU PROJET
Au sein de la région Champagne-Ardenne et du
département de l’Aube, la Communauté de
l’Agglomération Troyenne recense 126 000
habitants.
Les
communes
directement
concernées par le projet sont celles de La
Chapelle Saint-Luc (13 615 habitants au 1er
janvier 2010), Les Noës Près Troyes (3 212
habitants) et Troyes (63 456 habitants).
Pilotage du projet et maîtrise d’ouvrage
L’AOTU est la Communauté de l’Agglomération
Troyenne, porteuse et pilote du présent projet.
Les quartiers concernés
Le quartier Chantereigne–Montvilliers, situé sur
les villes de la Chapelle Saint-Luc et Les Noës
Près Troyes est concerné par le projet. Il est
inscrit en ZFU, et bénéficiaire d’un PRU et du
contrat urbain de cohésion sociale de Troyes. Il
compte 12 084 habitants (soit 9,6% de la
population de la Communauté d’agglomération)
et 89% de logements sociaux.
Les zones d’emploi concernées
La zone industrielle de La Chapelle Saint-Luc
est orientée principalement sur les activités
industrielle et artisanale. Située à l’ouest du
quartier Chantereigne-Montvilliers, elle n’en
n’est distante que de quelques centaines de
mètres. Avec ses 5 732 salariés, la zone
industrielle concentre plus de 80% des salariés
de la commune et près de 13% du total des
salariés de l’agglomération.
Le quartier Chantereigne-Montvilliers est en
Zone Franche Urbaine, ce qui améliore l’offre
de services localement (centres commerciaux)
et permet d’accueillir des TPE en pied
d’immeuble.
Le pilotage institutionnel du projet est assuré
par le Président de la Communauté de
l’Agglomération Troyenne, représenté par le
Vice-président en charge de l’aménagement de
l’espace.
Le pilotage technique du projet sera assuré par
une équipe pluridisciplinaire (Chargé de mission
emploi ; Chargé de mission CUCS ; Chargé de
mission PDU ; Chargé de mission développement
durable ; Responsable du point conseil emploi
situé sur le quartier Chantereigne-Montvilliers ;
Chargé de mission CUCS de la ville de La
Chapelle Saint Luc).
La coordination sera assurée par le chargé des
dispositifs contractuels. La mise en œuvre se
fera également en lien avec la Déléguée du
Préfet présente sur le quartier.
Les différents partenaires du projet
L’Etat, notamment la DDCSPP ; Le Conseil
Régional ; Le Conseil Général ; Le Pôle Emploi ;
La TCAT (régie de transports en commun de
l’agglomération) ; La Chambre des Métiers et
de l’industrie ; L’ADEME ; Les entreprises
engagées dans l’élaboration d’un PDE ; Les
organismes de formation les plus fréquentés par
les habitants du quartier ; Les associations
notamment celles situées sur le quartier dont
l’action porte sur les domaines de l’insertion,
de l’emploi et de la mobilité ; Les collectifs
d’habitants / usagers.
LES ENJEUX ET LES OBJECTIFS
Les enjeux
1 – « La mobilité pour tous : un enjeu de
cohésion sociale »
Améliorer la desserte des quartiers en difficulté
pour rendre la ville plus accessible nécessite la
coordination des politiques publiques. Favoriser
l’accès à la mobilité est indispensable pour
l’insertion des populations en difficulté et le
renforcement du lien social.
La mobilité devra être facilitée en adéquation
avec les mesures pour lutter contre le
réchauffement climatique : développer des
alternatives aux véhicules particuliers.
2 – « Passer d’une logique du « tout permis »
à une « logique globale de mobilité »
Il s’agit de lutter contre le réflexe systématique
de recrutement conditionnant l’embauche à la
détention du permis de conduire réduisant la
capacité de mobilité à un mode de
déplacement (véhicule individuel).
Une connaissance fine des besoins est
indispensable à la mise en œuvre d’actions
adaptées à la réalité.
- Adapter l’offre de transports en commun aux
besoins des salariés (réseau limité, amplitude
horaire insuffisante, itinéraires insuffisants).
- Influencer les modes de déplacement d’une
population aux ressources modestes par une
offre adaptée de transports en commun.
3 – « Un manque d’autonomie de plus en plus
fréquent dans les déplacements »
- Une exclusion du monde du travail faute
d’être en capacité de se déplacer de manière
autonome.
- Des freins cognitifs peu propices réduisant la
capacité de déplacement.
Il s’agira de lutter contre ces freins par des
outils adaptés.
4 – « Une offre d’emploi dispersée et
contraignante »
Les métiers les plus accessibles à une
population à faible niveau de qualification
requièrent des conditions de mobilité difficiles
à mettre en place.
Comment faire quand les conditions de la
mobilité induites par les emplois offerts
représentent des freins à l’emploi ?
Les moyens de la mobilité doivent donc être
pris en cohérence avec la répartition spatiale
des activités (zones d’emplois et de formation).
Les objectifs et les résultats attendus
- Favoriser l’autonomie dans les déplacements
et lever les freins d’accès à l’emploi
(apprentissage de la langue, santé, mobilité,
confiance en soi).
- Adapter l’offre de transports aux besoins
réels des entreprises, des demandeurs d’emploi
et des personnes en formation.
- Faire évoluer l’identification des besoins de
mobilité dans les politiques de recrutement.
- Initier dans la vie quotidienne des salariés des
nouvelles
habitudes
de
déplacements,
induisant une réduction des coûts tant
économiques, sociaux qu’environnementaux.
Les publics visés sont les habitants et usagers
du quartier Chantereigne-Montvilliers : jeunes
en formation, demandeurs d’emploi et salariés.
L’action apprentissage de la mobilité touchera
principalement
le
public
en
difficulté
d’insertion
sociale
et
professionnelle,
notamment féminin.
Ces éléments s’appuient sur des diagnostics
réalisés à l’occasion de l’élaboration de divers
documents contractuels tels que le Contrat
Urbain de Cohésion Social, les conventions
ANRU ou encore la réponse à l’appel à projets
urbain FEDER. Ces documents ont été réalisés
en interne, avec la contribution de nombreux
acteurs locaux, experts en leur domaine.
Ils doivent toutefois impérativement être
complétés par des données non recensées à ce
jour ou obsolètes, notamment en ce qui
concerne les usages et pratiques à l’œuvre sur
le territoire. Pilier du projet, ce travail sera
effectué par le chargé de mission mobilité,
cœur de l’action 2 du projet.
LE PROJET
Les types d’action
1. L’amélioration de la qualité des service des
transports
3.Le développement de service de mobilité
4. Le développement de plan de déplacements
d’entreprise (PDE)
6. La création et la diffusion d’une information
accessible
7. L’apprentissage de la mobilité
8. Des aménagements de proximité
Les actions projetées
Action 1 : Elaboration de plans de mobilité :
ils permettront d’obtenir des informations
relatives aux besoins des entreprises et des
salariés, permettant d’adapter l’offre de
déplacements en conséquence afin de faciliter
pour les salariés et demandeurs d’emploi les
conditions de l’accès aux entreprises. Ils
constituent une des premières étapes du projet
visant à actualiser les données sur les
conditions et besoins en déplacement.
Action 2 : Création d’un poste de chargé de
mission mobilité et son environnement :
disposer d’une ingénierie permettant à la
collectivité
d’atteindre ses objectifs en
matière de mobilité et favorisant la
transversalité avec les autres compétences
obligatoires
(développement
économiqueemploi et politique de la ville). L’agent aura en
charge de :
- développer les plans de mobilité en lien avec
le chargé de mission emploi,
- suivre l’évolution du réseau de transports
urbains et son adaptation aux besoins des
usagers,
- suivre l’évolution du service de vélo-station,
- mener des actions de communication en
direction de tout public,
- coordonner les actions de la CAT favorisant la
mobilité (apprentissage de la mobilité,
formation à la conduite de vélos…).
Action 3 : Accompagnement individuel à
l’apprentissage de la mobilité : l’action est
structurée autour de 3 axes :
- « L’apprentissage de la mobilité » : les thèmes
abordés porteront sur le repérage dans
l’espace, le facteur distance-temps de
déplacement ou encore la sécurisation dans les
déplacements. Il s’agira de faire évoluer les
automatismes de déplacement.
- « La formation à la conduite vélo » : module
de formation d’initiation au vélo (description
d’un vélo et son fonctionnement, déplacements
en milieu protégé, mise en circulation). Cette
action s’inscrit en complémentarité de
l’apprentissage à la mobilité et en articulation
avec les aménagements réalisés dans le cadre
des programmes de rénovation urbaine et plus
globalement du PDU.
- «L’accès à la formation» : installation d’une
borne interactive au Point Conseil Emploi située
dans le quartier permettant à tout usager
utilisateurs d’accéder à l’ensemble des
informations portant sur les modes de
déplacement infra et extra communautaires en
lien avec le projet de centrale de mobilité
régionale.
Action 4 : Création d’un site de covoiturage :
créer et / ou déployer à l’échelle de
l’agglomération
un
outil
sur
internet
permettant la mise en relation des personnes
souhaitant partager un véhicule sur un trajet
commun. Ce projet s’intégrera à la centrale de
mobilité régionale favorisant les déplacements
intermodaux sur la région.
Action 5 : Création de vélos stations :
expérimentation sur le quartier ChantereigneMontvilliers : création d‘un pôle de services
dédiés au vélo (location de cycles et
accessoires, local à vélo gardienné, service
d’entretien et de réparation, etc. le projet
démarrera par l’implantation d’une vélo-station
expérimentale
au
cœur
du
quartier
Chantereigne-Montvilliers.
Action 6 : Equipements de priorité aux feux
sur les lignes de transports en commun
desservant
le
quartier
ChantereigneMontvilliers : modification de la programmation
des carrefours à feux afin de donner la priorité
à l’axe emprunté par les bus permettant ainsi
d’augmenter la vitesse commerciale des lignes
et améliorer ainsi les déplacements des
usagers.
Les différentes étapes du projet
2010
- Mise en place du comité de pilotage ainsi que
des groupes de travail thématiques.
- Recrutement du chargé de mission mobilité.
- Sensibilisation des entreprises à la démarche
des plans de mobilité.
- Installation de la borne interactive.
- Mise en place des sessions d’apprentissage à
la mobilité et à l’utilisation du vélo
- Mise en place du site de covoiturage.
- Installation des équipements de priorité aux
feux.
- Production du bilan annuel.
2011
- Réunion des groupes de travail thématiques.
- Sensibilisation des entreprises à la démarche
des plans de mobilité.
Mise en place des comités de pilotage de suivi
des Plans de Mobilité.
- Formation à l’utilisation de la borne
interactive
- Sessions d’apprentissage à la mobilité et à
l’utilisation du vélo.
- Déploiement et communication sur le site de
covoiturage.
- Implantation de la 1ère vélo-station.
- Production du bilan annuel.
prévention routière pour l’apprentissage à la
mobilité.
- avec la CRCI et l’Ademe pour le
développement des Plans de Mobilité.
- avec l’Agence d’Urbanisme pour cartographier
les éléments issus des diagnostics.
2012
- Réunion des groupes de travail
thématiques.
- Sensibilisation des entreprises à la
démarche des plans de mobilité.
- Réunion des comités de pilotage de suivi
des Plans de Mobilité.
- Formation à l’utilisation de la borne
interactive.
- Sessions d’apprentissage à la mobilité et à
l’utilisation du vélo.
- Déploiement et communication sur le site
de covoiturage.
- Implantation de la 2ème vélo-station.
- Production du bilan annuel.
- Production du bilan global du projet.
Les financeurs contribuant au projet
Fonds européens ; Conseil Régional ; ADEME ;
CUCS ; Recettes ; Etat (AAP mobilité) ;
Autofinancement.
LES COUTS ET LES MOYENS
Les coûts
Le budget global du projet s’élève à
1 927 400€, dont 1 632 000€ de fonctionnement
et 295 400€ d’investissement.
Les moyens nécessaires au projet
Les moyens humains dédiés au projet.
- à la CAT :Chargée de mission PDU ; Chargé de
mission CUCS ; Chargé de mission emploi ;
Chargée de mission développement durable ;
Chargée des dispositifs contractuels.
- à la Ville de La Chapelle Saint Luc :
Responsable du Point Conseil Emploi de La
Chapelle Saint Luc ; Chargée de mission CUCS
de la ville de la Chapelle Saint Luc.
Il est prévu de recruter un chargé de mission
mobilité pour renforcer l’équipe.
D’autres ressources sont disponibles auprès des
différents partenaires extérieurs, notamment
- avec la TCAT, l’association Handiquad
Solidarité, les associations de quartier et de
Les moyens matériels nécessaires au projet
sont : les outils informatiques et bureautiques ;
les outils de cartographie et SIG ; un logiciel de
covoiturage ; une borne interactive ; des
équipements de priorité aux feux ; des vélostations.
LE PILOTAGE ET LES CRITERES
D’EVALUATION
Les modalités de mise en oeuvre du dispositif
Le pilotage et la coordination de la démarche
seront assurés par la Communauté de
l’agglomération troyenne (CAT), sous la
responsabilité du Vice-président en charge de
l’aménagement de l’espace.
L’équipe technique de pilotage assurera
l’animation des groupes de travail thématiques
constitués au fur et à mesure du traitement des
problématiques et du montage des projets
et/ou des réflexions, avec les différents acteurs
locaux concernés par le projet.
La mise en œuvre se fera également en lien
avec le Délégué du Préfet présent sur le
quartier.
Le comité de pilotage se réunira tous les 6 mois
afin d’évaluer l’état d’avancement de
l’ensemble des opérations et de décider des
orientations à prendre
Pour chacune des actions, un bilan sera produit.
Un bilan global annuel sera également réalisé
afin de vérifier de la compatibilité entre les
actions et les enjeux. Enfin, afin de suivre
l’évolution du projet tout au long de sa
réalisation de manière permanente, un tableau
de bord, recensant l’ensemble des indicateurs
de toutes les opérations projetées, sera réalisé
et mis à jour mensuellement.
Les objectifs opérationnels à la fin de l'appel
à projets
- Faire évoluer l’identification des besoins de
mobilité dans les politiques de recrutement.
- Adapter l’offre de déplacement aux besoins
identifiés.
- Faire évoluer le caractère déterminant du
permis de conduire dans les critères
d’embauche des employeurs.
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle
des personnes accompagnées.
- Favoriser l’autonomie dans les déplacements
et lever les freins d’accès à l’emploi
(apprentissage du français, santé, mobilité).
- Inciter au développement des moyens de
déplacements doux, y compris dans le cadre
professionnel.
- Favoriser la mobilité des habitants du quartier
Chantereigne-Montvilliers en améliorant la
performance du réseau de bus.
- Offrir à ceux qui n’ont pas de véhicule, un
moyen de se rendre sur leur lieu de travail ou
de formation.
- Renforcer la mobilité des jeunes / des
demandeurs d’emploi / ceux dont les
ressources ne permettent pas l’acquisition d’un
véhicule.
- Réduire le budget « transports » qui pèse
lourdement sur le budget des salariés.
Les objectifs opérationnels annuels de l’appel
à projet
2010
- Disposer de données et ressources sur les
pratiques et besoins en déplacement des
habitants du quartier Chantereigne.
- Sensibiliser les entreprises sur la démarche
Plans de Mobilité.
- Faire évoluer le caractère déterminant du
permis de conduire dans les critères
d’embauche.
- Mettre en place les conditions d’accès à
l’information sur les modes de déplacement
(transports en commun + covoiturage).
- Créer les conditions de mise en place des
ateliers de formation et d’apprentissage de la
mobilité.
- Améliorer la performance du réseau de
transport urbain.
2011
- Accompagner des entreprises dans la
démarche de plan de mobilité.
- Développer l’utilisation des modes de
déplacement alternatifs à la voiture (transports
en commun + covoiturage) dans les
déplacements professionnels et domiciletravail.
- Pérenniser les ateliers de formation et
d’apprentissage de la mobilité.
- Augmenter la mobilité des demandeurs
d’emploi, des jeunes et des personnes de
faibles ressources.
- Implanter la 1ère vélo-station.
2012
- Favoriser tous les modes de transport
(transport en commun + covoiturage + vélo)
dans les déplacements professionnels et
domicile-travail.
- Favoriser l’autonomie des demandeurs
d’emploi dans leurs déplacements.
- Adapter l’offre de transport.
Les principaux indicateurs de résultats
- Le nombre de salariés ayant changé leur
moyen de locomotion dans leurs déplacements
Domicile / Travail, dans leur quotidien.
- Le coût / salarié / jour des déplacements
avant et après le plan de mobilité.
- Le nombre et la typologie des aménagements
réalisés en faveur des bus, des vélos.
- Le nombre d'utilisation de ces aménagements
par les demandeurs d'emploi n'ayant pas de
moyen de transport pour se rendre aux centres
de formation, aux entretiens d’embauche.
- Les taux d'émission de gaz à effet de serre
(EqCO2), Indice ATMO (NO2, SO2, PM 10).
- L’évolution du retour à l'emploi des habitants
du quartier inscrits au PCE.
- Le nombre de demandeurs d'emploi sans
permis de conduire ou sans moyen de
locomotion personnel ayant trouvé un emploi.
- Le nombre de personnes ayant trouvé une
réponse d’insertion professionnelle dans les 12
mois suivant les actions visant à l’autonomie
dans les déplacements.
- Le nombre de personnes ayant retrouvé un
emploi grâce à la mise en place d'une offre
diversifiée de mode de transports alternatifs.
Les principaux indicateurs du bilan annuel :
- Le nombre d'entreprises ; d'établissements
publics engagées dans la démarche de PDE, %
d'entreprises ayant mis en place un plan de
mobilité et recruté un habitant du quartier ;
L’évolution du retour à l'emploi des habitants
du quartier inscrits au PCE ; Les types d'emplois
pourvus ; Le nombre de déplacements en
covoiturage-TC-vélo / jour / hab ; Le nombre
de salariés participant aux groupes de travail
internes.
- Le nombre et les types d’aménagements
réalisés en faveur des bus / des vélos.
- Le nombre de personnes accompagnées par le
projet d’apprentissage à la mobilité ; Le taux
de fréquentation de la borne interactive et de
connexion
au
logiciel ;
Le
nombre
d’abonnements TCAT contractés ; Le nombre de
vélos achetés dont ceux par microcrédits.
- Le nombre de connexions / jour au site de
covoiturage ; Le nombre de personnes ayant
effectivement pratiqué le covoiturage grâce au
site ; Le profil des usagers ; Le nombre de
demandeurs d'emploi utilisant le site.
- Le nombre de vélos empruntés auprès de la
vélo-station ; Le profil des usagers ; La mesure
de la vitesse commerciale des bus (km / h) ;
Taux de régularité des bus ; L’amplitude
horaire des lignes équipées ; Le profil des
usagers ; La fréquentation des lignes équipées.
Responsable du projet : M.elle. Emmanuelle
Perrot
Fonction : Chargée des dispositifs contractuels
Adresse : Communauté de l’Agglomération
Troyenne, 1 place Robert Galley, 10001 Troyes
Cedex
Téléphone : 03 25 72 51 78
Mail : [email protected]