News Letter nº 6 - Femmes en Mission Humanitaire
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News Letter nº 6 - Femmes en Mission Humanitaire
FEMMES EN MISSION HUMANITAIRE NEWS LETTER 6 AUTOMNE 2014 DANS CE NUMERO -EDITO P1 -TEMOIGNAGE DE VOLONTAIRES : PEROU INDE P2 -NOUVEAUX PARTENAIRES: VIETNAM HAÏTI PEROU P 3 -LE CHOC CULTUREL: MADAGASCAR P 4 -TEMOIGNAGE D’UN PARTENAIRE BENIN P5 -MISSIONS DE L’AUTOMNE P 6 Edito. À la fin d'un été bien rempli il est temps de faire un premier bilan. Avec plus de 60 départs sur les 3 mois d'été chez 14 partenaires, notre marque de fabrique est décidément « le collier de perle » : faire en sorte que les volontaires se succèdent chez le même partenaire afin de stabiliser chez lui une force de travail constante, qu'il peut mettre à la disposition de ses bénéficiaires, que ce soit en soutien scolaire, dans l' aide à la vie quotidienne dans les structures d'accueil nuit et jour, grâce à des infirmières ou des personnes compétentes dans la rédaction de projets en direction des bailleurs de fonds internationaux. Dire que nous y sommes parvenu à chaque fois serait mentir! Toutefois la continuité a été meilleure que l'an passé et bien supérieure à celle de l'année précédente. Même si, individuellement, pour chaque volontaire, cet effet n'est pas toujours perceptible, cela renforce indéniablement nos partenaires: Pour Madagascar où il y a une ou deux volontaires en continu depuis Avril 2013, le niveau de français des enfants suivis à l'orphelinat progresse et les enfants qui présentaient l'examen d'entrée en 6ème ont tous été reçus . Ceux du Bénin qui bénéfice d'un soutien scolaire régulier depuis plusde 2 ans ont tous eu l'examen d'entrée en 6ème, 3 sur 5 ont eu le brevet et 4/5 leur entrée en seconde. Même si la rupture en test de dépistage est venue compliqué le travail des infirmières intervenant chez notre partenaire Burkinabé au point de les confronter parfois à l'inaction, elles auront ressenti l'impuissance à laquelle sont confrontés, sans cesse, nos partenaires qui souffrent souvent d'un cynisme ou de l'incompétence de leurs organismes locaux de tutelle; ministre de la santé ou ministre de l'Education Nationale qui eux n'ont aucun problème pour assurer leur subsistance quotidienne!! Nos trois nouveaux partenaires au Vietnam et en Haïti et au Pérou ont été ravis de l'intervention de 4 volontaires chacun et l'ont bien rendu aux volontaires qui sont revenues riches de leurs expériences. Nous suivre sur Facebook Notre site: Femmes en missin Humanitaire mail : contact@mission- humanitaire-femmes.eu Nos coordonnées 4 rue de Belfort 75011 Paris Tel Fax : (33) 01 47 97 54 94 Nuestra web: Mujeres en mision humanitaria mail : contacto@misiones- humanitarias-mujeres.com Nuestra dirección Arane 21 - 3ºC - 48012 BILBAO Tel: (34) 653013957 Pour l'Inde, si avec 2 des 3 partenaires tout c'est bien passé, l'un nous a donné du fil à retordre et va nous demander un travail de réadaptation de sa demande. Vous toutes, qui avez collaboré cette année au renforcement de nos partenaires soyez ici remerciées.! 1 Témoignage des volontaires EXTRAIT de l’EVALUATION de la MISSION COURTE réalisée par Juliette Nom de la mission: enseignement à l'école de Pamparomas auprès denfants de la communauté Andienne. avec les élèves ou d’autres personnes du village. EXTRAIT de l’EVALUATION de la MISSION COURTE réalisée par Cécile Quelle serait ton évaluation de cette mission? J’ai été ravie de cette mission, de travailler dans une école et d’aider les enseignants. L’expérience a été très intéressante et positive. Chez notre partenaire de Jaïpur au Rajasthan Juillet 2014 10 ème volontaire chez ce partenaire. Elle m’a apporté beaucoup et je suis très heureuse de ce que j’ai fait. Pays d’intervention: PÉROU. Pamparomas. Province de Chimbote 03∕03∕2014 - 30∕06∕2014 Évaluation générale de la mission : Dans le cas de vouloir effectuer de nouveau une mission courte, choisirais-tu n ot r e a s s oc i ati o n ? Oui, car le contact avec Ana Rosa et Myriam a été très facile, c’était agréable de parler et de travailler avec elles. Elles m’ont beaucoup aidé et j’ai été en mesure de discuter avec d’autres volontaires, ce qui m’a été très utile (un peu plus serait encore miex si la connexion internet était plus facile). J’ai vraiment aimé cette mission. Elle m’a fait beaucoup de bien, tant personnellement que par rapport à mon futur métier d’enseignante. J’ai rencontré de nouvelles personne, une autre culture et vécu ma première expérience de travail dans une école. Une excellente expérience ! Quel serait le point le plus positif à souligner de cette expérience ?. La possibilité de découvrir une nouvelle culture. Vivre dans le village comme une « vraie » péruvienne, découvrir le pays, pouvoir améliorer mon espagnol avec les enfants et les gens du village. Quel serait le point le plus négatif ? Ne pas être en mesure de travailler davantage avec les enfants de l’école primaire, parce que je n’avais pas beaucoup d’heures avec les classes secondaires et je m’ennuyais parfois. De même, je n’avais « rien » à faire l’après-midi et je pense qu’il serait bon de programmer d’autres activités Comment s’est globalement passé la mission ? Très bien, Nithesh a été bien présent pour nous tout au long de la mission, en hésitant pas à nous faire par de ses impressions quand à notre travail avec les enfants et à prendre en compte notre point de vue et nos observations. Il nous a mis à l’aise dès le départ. Les enfants sont très agréables, mais le niveau au sein des différents groupes de classe est très inégal, et ce, même après une répartition des groupes en fonction des niveaux. Comme l’a suggéré une ancienne volontaire, il serait important de créer un cahier de liaison entre les volontaires, je voulais le mettre en place mais prise dans le cours dans les événements j’ai oublié de le faire! Que nous conseilles-tu pour améliorer notre travail ? Pouvoir contacter d’autres bénévoles avant et pendant le temps de la mission. Des volontaires qui ont été ou qui sont dans le pays Cusco Lima Huaordchiri pour parler du travail et d’autres choses. (Avec des volontaires qui ont le temps de répondre régulièrement) En effet, je me suis personnellement rendu compte que certains enfants ne savaient pas lire dans mon groupe qui devait être celui dont le niveau était le plus élevé, et ce, au bout de deux semaines de travail! Le problème est qu’avec seulement 2h de cours par jours, nous ne pouvons pas prendre le temps pour les élèves en difficulté. Car oui, comme dans toutes les écoles, certains élèves ont plus de facilités que d’autres et ces différences nous apparaissent très vite. 2 Durant les cours, c’était le plus souvent les élèves aux facilités qui participaient, et ceux dont le niveau était plus faible se mettaient en retrait. J’ai personnellement essayé de faire participer tout le monde, mais je ne pouvais m’attarder et essayer d’apprendre, à lire par exemple, aux élèves qui n’y arrivaient pas car cela pénalisait ceux qui savaient déjà lire, qui s’ennuyaient rapidement. Sinon, j’ai pu ressentir beaucoup de respect de la part des enfants envers Nitesh, sa femme, et envers nous. De plus, Nitesh prend soin des enfants et les écoute. EXTRAIT de l’EVALUATION des MISSIONS COURTES au Vietnam, Haïti et Perou Vietnam Dans la précédente Newsletter nous vous annoncions l’ouverture d’une mission « aide à la vie quotidienne auprès d’enfants porteur de handicap » au Vietnam. pes en fonction de leur handicap ; Dans la mesure du possible, chaque volontaire a pu choisir sur quel groupe intervenir Elles se sont toutes senties intégrées à l’équipe dans laquelle elles travaillaient ; Voici ce que rapporte Elodie : jeux et activités avec les enfants. Notre partenaire, qui accueillait pour la première fois des volontaires a été très enthousiaste et souhaite étendre la mission sur l’ensemble de « Malgré les difficultés de communication verbale, de nombreux échanges très positifs ont eu lieu à travers des danses, l'apprentissage réciproque de comptines pour enfants... …Le centre a très peu de matériel éducatif mais j'ai été assez impressionnée par la créativité de certaines des professionnelles pour proposer aux enfants des ateliers adaptés. » Les missions sont ouvertes tout au long de l’année, des volontaires seront présentent de septembre à Janvier, mais il reste de la place ! Haïti Une nouvelle mission a démarré cet été au Cap Haïtien, il s’agit de soutenir en français, les élèves d’une institution : école, collège et orphelinat. 4 volontaires sont parties, de mi juin à fin août ; après un voyage assez long ; avion jusqu’à Saint Domingue, puis car jusqu’à Cap Haïtien, elles ont été accueillies très chaleureusement par l’équipe et les enfants. l’année. D’ors et déjà elle accueillera de nouvelles volontaires de mi octobre à mi décembre puis de Février à avril. Perou Cet été la chaîne de bénévolat au Pérou a bien fonctionné sur 3 destinations Cusco et Huarochiri, il reste le mois le décembre qui est toujours plus difficile de couvrir à cuase des Fêtes de noël ou nous préferons être dans famille. En Pamparomas, avec plus de hauts et des bas mais en allant mieux à l'égard de l'année antérieure, donc nous sommes très animés par le résultat. L’hébergement s’est fait sur place, dans de bonnes conditions, les volontaires pouvant être au maximum à trois en même temps. La demande de notre partenaire se situe auotur de l’acquisition et al pratique quotidienne du Français « de France » 4 volontaires ont pu participer à cette action durant l’été: Ce qu’elles en disent est particulièrement positif : Les volontaires se sont senties accueillies :Quelqu’un les attendaient à leur arrivées, leurs démarches ont été facilitées ; les chambres sur place sont propres et confortables. Les relations ont été chaleureuses avec l’ensemble du personnel et ce malgré la barrière de la langue. Le cœur de la mission : Les enfants sont répartis dans différents grou- Très rapidement, le travail s’est organisé, le matin travail sur l’expression en français ; à partir de thèmes variés pour les plus grands (projets d’avenir, lectures, cuisine…) et de sujets plus simples (couleurs, animaux, parties du corps…) pour les plus jeunes. Pour tous l’objectif étant de parler spontanément, d’acquérir du vocabulaire. De plus des séances de soutien en grammaire, conjugaison… .ont été mises en place L’après-midi était consacré à des En Lima le projet cela est dans ses commencements et espérons pour le 2015 que les missions sont préparées et dans un actif, donc nous vous encourageons à participer. Merci beaucoup à toutes les volontaires que vous avez participe, votre pas par ces Ongs, c'a été très important pour sa continuité. 3 Nos Partenaires... Madagascar ou le choc culturel.... Madagascar est, avec le Bénin, le partenaire qui a reçu le plus de volontaires en 2 ans. La chaîne est continue depuis Avril 2013 et 17 volontaires y ont participé sur des séjour d'un à 4 mois.. Le principal constat est que le choc culturel est fort et les divergences parfois grandes. Pour toutes nos inteventions chez tous nos partenaires, il est important de comprendre que,: si cette structure est en place et fonctionne, elle repose sur l’énergie , la vision et l’Ego de leur principal leader. Ces femmes, et ces hommes parfois, savent où elles veulent aller et comme beaucoup d'entre nous le font parce qu'elles y trouvent un intérêt personnel: Intérêt de répondre aux besoinx de leur communauté, intérêt d'être reconnue comme dirigeant(e) , intérêt financier «gagner sa vie et celle de ses enfants» mais cela n'est pas le choc culturel ça c'est l'universalité de l'être humain. Le choc vient du fait qu'on imagine que ces leaders ont dépassé tout cela et font de l'action humanitaire auprès de leurs bénéficiaires avec une abnégation, un altruisme et un sens de la responsabilité face à l'avenir.... Mais Madagascar est un pays secoué régulièrement par le chaos émanent de graves crises politiques , avec un Etat totalement absent du secteur social . Le choc ou la désaprbation que nous ressentons lorsque que nous constatons par exemple qu'il y a des vêtements dans les armoires alors que les enfants ont froid ne tient pas compte de l’impérieuse nécéssité de «garder une (ou trois)poire pour la soif» ! que cela pourra être monnayé pour plus essentiel si, à nouveau, les humanitaires et les bailleurs internationaux , publics ou privés , se retirent pour plusieurs années à la suite d'un nouveau chaos politique. Le choc vient aussi des méthodes pédagogiques datant du début du 20ème siècle quand les orphelines de nos villes et de nos campagnes se retrouvaient «au Bon Pasteur» d'où on attendait d'elles qu'elles deviennent de «bonne épouse» ou de « bonne petite fiancée de Dieu »... La question de la poursuite du partenariat se pose car les chaitments corporel sont difficiles à supporter, mais en plus d'encourager les 28 filles et fillettes à parler français et à accéder plus tard au secteur tertiaire, le fait qu'elles rencontrent sans cesse des jeunes filles presque de leur âge qui voyagent seules -leur ouvrant ainsi un autre possible—ou des femmes plus âgées qui leur apportent une tendresse dont elles manquent souvent, nous incitent à continuer «notre collier de perles» et à maintenir une présence constant sur ce site. Notre partenaire du Bénin fait son compte rendu de m i ssi on Arrivée à la maison famille le 29 juin 2014 GAYA était bien accueillie par les enfants et les collaborateurs AMICI DI FRANCESCO de Dassa. Elle avait bien commencé le travail avec les enfants de la maison famille et le jeudi 03 juillet nous étions à Gnonkpingnon et à ZANKOUMADON pour travailler avec les enfants de ces villages et tous les lundis nous étions avec les enfants de GBAFFO et d’AWAYA. Tous les enfants étaient très contents parce qu’ils ont travaillé pendant les vacances et du coup ils ont échappé à quelques jours de travaux champêtres A l’arrivé de Ludivine nous avions toujours continué le travail comme cela se doit. Ludy était aussi bien accueillie par les enfants et les agents. Nous avons travaillé dans les documents qu’elles ont apportés, faire la lecture, l’écriture et beaucoup d’autres exercices. Les mardis, mercredis, vendredis et des fois les samedis nous travaillons à la « maison famille » et les lundis et jeudis nous travaillons dans les villages. Pour le travail, à la « maison famille » et dans les villages, chacune d’elle a mis en œuvre sa méthode de travail et tout est allé comme sur les roulettes à part quelques enfants qui n’avaient pas du tout la volonté d’étudier. Quelque fois, elles vont au sport avec les enfants de la « maison famille » ou vont visiter certaines parties dans la ville de Dassa. Avec elles nous étions allés visiter le palais royal d’Abomey et de Savalou. A Gbaffo et Gnonkpingnon tous les enfants ne venaient pas suivre les cours par contre à Zankoumadon, ils venaient tous. Nous aussi, nous étions très contents du travail fait par Gaya et Ludy plus précisément moi, Amadou, car j’ai récuperé des méthodes pour travailler avec les enfants et j’ai appris beaucoup de choses. Les deux jours dans les villages ne suffisaient pas pour les cours à cause du niveau des enfants mais la 4 prochaine fois qu’on aura encore des volontaires nous allons travailler plus de deux jours dans les villages. En ce qui concerne le menu à la maison, elles étaient d’accord avec le menu seulement qu’elles exigeaient des fruits et de la salade, ce à quoi on n’avait pas du tout pensé Aline le leur faisait et pour elles tous avec les enfants, donc après le repas Aline leur servait des fruits et de la salade. Tous les enfants mangeaient avec Gaya et ludy ils sont toujours contents du repas qu’on leur servait parce qu’ils n’étaient pas habitués à toujours croquer quelque chose comme dessert. Elles ne voulaient pas que les enfants des voisins viennent surtout partager le repas avec nos enfants car elles estimaient que c’est un profit de leur part. Elles leur ont aussi appris à fabriquer des perles de différentes sortes et leur ont aussi permis des moments de jeux après les cours. Tous les enfants et surtout ceux de la maison étaient tristes du départ des volontaires car ils s’attachaient tout le temps à elles et faisaient pratiquement tout ensemble car ces volontaires là se sont vraiment données comme si c’étaient leurs propres enfants et les avaient au cœur. Elles n’ont jamais cessé de demander à avoir de leur nouvelle car elles ont finalement dit que la mission s’est transformée en une mission d’une maman qui après des années d’absence était revenue voir ses enfants et leur a donné tout l’amour dont ils avaient besoin. Nous les agents aussi étaient très contents de leur travail et du fait que nous n’avons pas eu des problè- mes avec eux et pour la prochaine fois nous souhaiterions travailler plus dans les villages avec les volontaires qui viendront et travailler beaucoup sur les leçons plus que dans les livres. Tout est bien qui fini bien, elles sont rentrées saines et sauves chez elle et promettent une fois encore revenir et en parler autour d’elles. Amadou SAMBO et Désiré AHOU Je suis Ana Rosa, co-fondatrice de la FMH-MMH. Cet automne, je vais visiter les ONG qui collaborent avec nous au Pérou. Je suis très heureuse à l’idée de pouvoir vous rencontrer à nouveau et de travailler main dans la main sur nos projets, mettre à jour les missions et surtout cultiver notre amitié, parce qu’Internet et Skype seuls ne suffisent pas, et pour nous il est essentiel de traiter directement avec les ONG partenaires. Missions d'évaluation Afrique et America du Sud Après la mission d'évaluation au Vietnam faite par Hoang-Hà et celle en Inde faite par Pascale, toutes deux bénévoles de « Femmes en Mission Humanitaire » ce sera le tour d'AnaRosa responsable de notre antenne dans l´Etat Espagnol (voir article) d'aller évaluer les missions menées avec nos 4 partenaires en Amérique Latine et celui de Myriam, directrice de la structure, de partir en mission d'évaluation: Ana Rosa en Paracas Connaître les gens qui vont accueillir et travailler avec les bénévoles, ainsi que les bénéficiaires de ces ONG, renforce notre confiance dans notre projet, car nous savons très bien que ce n'est pas facile de voyager toute seule dans des pays si différents de notre culture. Alors moi aussi je voyage toute seule pour suivre les parcours que devront faire les bénévoles... hébergement... missions... je repère les risques et, avec l'ONG, nous mettons en place les moyens pour renforcer la sécurité au maximum à tout moment. Myriam en Togo Octobre, Burkina et Côte d'Ivoire, Novembre, Togo, Bénin et Janvier Burundi et Rwanda. Ce sera l'occasion de redefinir les besoins de nos partenaires, leurs exigences sur la façon dont ils souhaitent que nous y répondions; d'analyser avec eux ce qui s'est passé jusque là et régler certains points qui ont pu être source de désappointement de part et d'autres. Ainsi donc, ce voyage n'est pas dénué d'aventures ! Mes pas me conduiront en Bolivie et en Équateur, pays nouveaux pour moi, là où nous voulons étendre notre réseau de bénévoles. Avec chacune de ces missions d'évaluation nous alimenterons un blog afin d'échanger avec celles d'entre vous qui sont parties et aussi avec celles qui se posent la question de le faire. === 5 Missions à pourvoir en permanence sur l'année soutien sco Bénin Porto Novo PÔ Burundi Bujumbura Cameroun SA'A Togo Lomé Côte d'Ivoire Ghana Haïti Inde 2 Boukumbé Buurkina aide vie quoti- enseignement dienne français / anglais infirmière rédaction projet compta/ gestion 1 Pérou Vietnam 1 1 1 1 Bouaké 1 1 Accra 2 Cap Haïtien 2 Djopur 2 Jaïpur 2 1 Antananarivo 1 Cusco 2 Huarochiri 1 Pamparomas Lima HochiMinh Ville 1 1 2 Pondichéry Madagascar autre 1 1 1 1 1 1 1 2 6