Atelier n°1 - Améliorer la connaissance des accidents en mer
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Atelier n°1 - Améliorer la connaissance des accidents en mer
DISCOURS D’OUVERTURE XAVIER de la GORCE •Président de la SNSM RÉGINE BRÉHIER Directrice des affaires maritimes , ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts • Améliorer la connaissance des accidents en mer : pour une réponse à la mesure des risques et la préservation de la mer comme espace de liberté. GÉRARD d’ABOVILLE •Navigateur, Président du Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques CORNACCHIA •Chargé ERNEST de mission Prévention de la SNSM PASCAL BINET •Président du conseil des moniteurs des Glénans JEFF HOEDT •Responsable de la Division « Sécurité en mer » des US Coast Guards, Washington DC (VIDÉO) DENAMUR •AdjointVINCENT au sous-directeur de la sécurité maritime à la Direction des affaires maritimes MANUELLE SALATHÉ Secrétaire générale de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) • ANTOINE PICHON •Secrétaire général du Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques GÉRARD d’ABOVILLE Navigateur, Président du Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques ERNEST CORNACCHIA Chargé de mission Prévention de la SNSM Objectifs du recueil des données relatives à l’activité de la SNSM Rendre des comptes aux donateurs Permettre d’adapter les structures BDD SAUVAMER RETEX Améliorer et adapter les formations Améliorer et adapter le matériel Cibler et objectiver les messages de prévention DONNÉES 2013 – SAUVETEURS EMBARQUÉS 2011 2012 2013 Interventions 3 468 3 279 3 372 Personnes secourues 6 593 5 984 5 937 Flotteurs impliqués 2 667 2 841 2 927 Principaux motifs d’alerte SAR 1 254 (37%) Pb matériels 51% MAS 1 667 (48%) Avarie moteur 35% Échouements 55 (2%) Hélice engagée 6% Dérive inexpérience 2% Divers 220 stations dont 35 saisonnières Durée moyenne d’intervention : 1h40 Distance moyenne d’intervention : 3,7 N Avarie barre 3% Voie d’eau 4% Rupture mouillage 3% 15% DONNÉES 2013 – NAGEURS-SAUVETEURS 2011 2012 2013 Nombre N-S 1 410 1 437 1 397 Interventions 1 452 2 070 1 495 Personnes secourues 1 361 2 087 1 657 Personnes soignées sur les plages 21 475 20 796 18 668 Baigneurs 54% Plaisance 13% Engins de plage 33% 273 postes de secours de plage DONNÉES 2013 – Décès et disparitions Motif alerte - nature évènement Décès Disparitions Baignade 5 3 Plongée apnée 4 2 Plongée autonome 2 1 Chavirement 5 5 Chute falaise 1 2 EVAMED 3 EVASAN 1 Homme à la mer 20 Inquiétude 2 Isolement marée 3 Autres SE 23 1 2 46 NS 39 DONNÉES 2013 – FDSM Répartition par CROSS de rattachement des communes Postes de secours 273 Communes 143 37% des plages surveillées ETEL 33% LA GARDE 43% CORSEN 5% JOBOURG 6% 22% sous coordination CROSS GRIS-NEZ 13% Interventions 1 454 FDSM reçues 1 330 FDSM traitées hors information CROSS 1043 DONNÉES 2013 – FDSM Répartition par zone d’intervention Voie publique 5% Non communiqué 14% Zone interdite 2% > 300 m 7% Litt non surveillé < 300m 10% Sur la plage 32% Plage surveillée < 300m 28% Interventions hors zone de responsabilité PS : 21% Port et accès 2% DONNÉES 2013 – FDSM Nombre de décès Âge 5 1 7 3 0 0 0-24 A 25-44 A 45-64 A plus de 65 A JOURNÉES DE COMPTAGE DU PORT DU GILET 2013 70 60 60 51 50 40 40 30 20 10 0 UK en 2012 42% - 75% 20 7 11 Moins de 5 m Entre 5 et 10 Plus de 10 m m Adultes -Enfants 11,5% - 53% sur 6284 – 658 observés Journées nationales de comptage 2014 programmées les 12 et 13 juillet 2014 Le concept des visites de courtoisie La visite de courtoisie offre aux plaisanciers l’opportunité de bénéficier de l’expérience de la SNSM en matière de sauvegarde de la vie en mer. • • Elle porte principalement sur le matériel de sécurité et sa mise en œuvre ; Elle ne concerne pas la structure même du navire. La visite de courtoisie est gratuite. • • Réalisée à la demande expresse du propriétaire du navire ; Effectuée par des équipes bénévoles des stations locales de la SNSM. Elle permet de mieux appréhender la réglementation en vigueur et d’évaluer ses capacités. • Seul le propriétaire peut décider, le cas échéant, des actions correctives qui s’avèreraient nécessaires. La visite ne constitue en aucun cas une inspection ni un contrôle technique. Les informations recueillies font l’objet d’un traitement statistique anonyme. Le concept des visites de courtoisie Une visite et un questionnaire au service de la sécurité en mer Améliorer la connaissance des accidents en mer Depuis 2011, sentiment de régression dans la connaissance de l’accidentologie en mer : - plus d’agrégation des données CROSS ; - pas de publication des données issues du recueil des FDSM (Instruction SG MER du 24/11/2011). Alors que : - les techniques de traitement de l’information progressent ; - des structures autres que les CROSS disposent de données spécifiques (INVS,SDIS DDTM …). La SNSM souhaite la création d’une structure capable de pouvoir répertorier, rassembler et analyser ces données. La SNSM est en mesure de partager les données non nominatives dont elle dispose. PASCAL BINET Président du conseil des moniteurs des Glénans Les Glénans 5 bases en France en Manche, Atlantique et Méditerranée 15 000 adhérents 110 00 journées/stagiaires en mer 1 200 moniteurs dont 900 bénévoles 400 embarcations tous types confondus 70 navires habitables utilisés en moyenne 35 semaines/an Environ 500 000 miles parcourus chaque année par les Glénans L’organisation de la sécurité Des documents et procédures Un règlement intérieur des activités nautiques (RISAN) Des dispositifs de sécurité et d'intervention (DSI) Des procédures d'urgence Une collecte centralisée et une analyse des rapports de mer Des structures professionnelles et bénévoles parmi lesquelles : Une commission Sécurité du Conseil des moniteurs Un pôle technique national de recherche et développement Un observatoire des accidents Des formations spécifiques à la sécurité : Formations des moniteurs (accidents maritimes, brevet de secourisme) Stages sécurité de perfectionnement des moniteurs Stages normalisés (STCW 95 et ISAF) Le suivi sécurité des activités nautiques Par les responsables d’activités avant chaque stage Briefing sécurité moniteurs Briefing sécurité stagiaires Débriefing individuel moniteur (sécurité et pédagogie) Par le moniteur au début du stage Briefing sécurité adapté Par le moniteur avant chaque navigation Consignes particulières Enquête de perception de la sécurité auprès des stagiaires La boucle annuelle d’observation et d’amélioration Déroulement des stages Collecte des rapports de mer Chaque année Évolution des documents Évolution des équipements Évolution de la formation Évolution des pratiques ? ? Information des moniteurs Observatoire des accidents Synthèse et analyse des évènements Retour d’expérience Mouillage dans une zone de hauts fonds 14h30 - Orin dans l'hélice à l'appareillage 14 h 35 - Échouement 15 h 00 - Demande d'assistance auprès d'un semi-rigide de passage 15h 15 - Mauvaise interprétation de la manœuvre par l'équipage du semi-rigide 15 h30 - Abandon d'assistance par le semirigide 16 h 00 - Le navire est drossé à la côte 17 h 00 - Pan Pan 17 h30 - Intervention et déséchouement réussis par la SNSM Analyse de l’accident et actions de progrès Cause initiale Mauvais choix de zone de mouillage Cause principale Mauvaise maîtrise d'appareillage avec une ancre oringuée Causes concourantes Mauvaise gestion de la demande d'assistance et de la communication Demande officielle d'assistance tardive Actions de progrès Complément de formation concernant l'utilisation d'un orin Information à tous les moniteurs (médias internes) Renforcement de la formation concernant les zones de mouillage Renforcement de la formation concernant les demandes d'assistance La réaction sur évènement Des évènements qui ont nécessité des actions rapides Équipements : défaut de déclenchement automatique des gilets autogonflants Tests supplémentaires Modification de l’ensemble de nos gilets Pratiques : chute à la mer au port Sensibilisation lors des briefings sécurité Information par l’intranet des moniteurs En conclusions Nécessité d'un référentiel documentaire et d'une organisation L'importance de "connaître" pour engager des actions de progrès Être capable de réagir promptement sur des évènements Améliorer la sécurité par des actions sur la formation et l'information La nécessité de vigilance, même en l'absence de certains types d'accidents Les limites actuelles de notre dispositif : La nécessité de traiter les "presque accidents" La difficulté d’évaluer avec de faibles échantillons, certains types d'accidents Le besoins de connaissances plus larges, la nécessité d’un observatoire national des accidents vous remercient de votre attention JEFF HOEDT Responsable de la division « Sécurité en mer » des US Coast Guards, Washington DC VINCENT DENAMUR Adjoint au sous-directeur de la sécurité maritime à la Direction des affaires maritimes Améliorer la connaissance des accidents en mer Direction des affaires maritimes Etat des lieux et perspectives www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: périmètre • Opérations de sauvetage et d’assistance relatives aux navires immatriculés • Opérations de sauvetage sur les personnes, baigneurs, pratiquants de loisirs nautiques, lorsque que le CROSS assure la coordination. www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: objectifs • Mesurer l’activité des CROSS et des moyens de sauvetage • Connaître les modalités de l’alerte (SMDSM) www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: modalités • Une priorité: faciliter la saisie par l’opérateur en CROSS • Un système d’information: SECMAR-WEB www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: 2013 Chiffres clés: 10 221 opérations dont 4958 sauvetages (SAR) et 3552 assistances (MAS) 30 309 personnes impliquées dont 370 morts et disparus (337 en zone France) www.developpement-durable.gouv.fr Bilan par moyen d’intervention – MOYENS AERIENS zone « CROSS + MRCC » FGC NOMBRE ARMEE DE L’AIR 59 SECURITE CIVILE 4,07% ARMEE DE L’AIR 35,51% 471 DOUANE 37,59% DOUANE 74 GENDAMERIE NATIONALE 212 MARINE NATIONALE SECURITE CIVILE GENDARMERIE NATIONALE MARINE NATIONALE 16,92% 5,91% 445 TPS (heures) ARMEE DE L’AIR 176 SECURITE CIVILE 624 DOUANE 138 GENDAMERIE NATIONALE 8,29% ARMEE DE L’AIR SECURITE CIVILE 44,06% 29,41% 249 DOUANE GENDARMERIE NATIONALE MARINE NATIONALE MARINE NATIONALE 935 6,50% 11,73% Bilan par moyen d’intervention – MOYENS NAUTIQUES zone « CROSS + MRCC » FGC + SNSM NOMBRE AFFAIRES MARITIMES 59 DOUANE GENDARMERIE MARITIME 471 74 GENDAMERIE NATIONALE 212 MARINE NATIONALE 445 SDIS 1008 SNSM 3261 AFFAIRES MARITIMES 3,56% 2,13% 1,57% 4,37% 2,42% DOUANE GENDARMERIE MARITIME GENDARMERIE NATIONALE 20,29% MARINE NATIONALE 65,65% SDIS SNSM TPS (HEURES) AFFAIRES MARITIMES 366 DOUANE 319 GENDARMERIE MARITIME AFFAIRES MARITIMES 3,58% 4,11% 2,95% 4,63% 2,92% DOUANE GENDARMERIE MARITIME GENDARMERIE NATIONALE 263 11,46% GENDAMERIE NATIONALE 412 MARINE NATIONALE 260 SDIS 1020 SNSM 6261 MARINE NATIONALE SDIS 70,34% SNSM Les statistiques des CROSS: 2013 Décès et disparitions: 337 en zone française • • • • • • • 35 en pêche professionnelle 14 au commerce 65 en plaisance immatriculée 35 en baignade 23 en activité subaquatique 3 en canoë kayak 162 en catégories autres dont 88 liés à l’immigration www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: 2013 Plaisance 5 202 opérations dont 1 633 SAR et 2 958 assistances dont 3 023 « moteur » et 2179 « voile » 10 629 personnes impliquées dont 223 blessés dont 65 décès et disparitions www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: 2013 Plaisance Typologie des accidents mortels: Chute à la mer: 22 victimes Chavirement: 12 Blessure ou maladie à bord: 6 Baignade le long du bord: 3 Abordages: 3 Echouement: 1 Autres cas ou incertitudes: 18 (égarés, heurt hélice, suicides présumés, cause nd) www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: 2013 Plaisance Mode d’alerte « navire-CROSS »: • VHF (ASN – phonie): 60 % • Téléphone GSM: 37 % • Signal pyrotechnique, RLS: < 3 % www.developpement-durable.gouv.fr Les statistiques des CROSS: défis • La nécessité de remonter aux paramètres initiaux - Objet immédiat / activité initiale exemple: « découverte de corps » • La difficulté de considérer des situations très diverses exemple:« baignade le long du bord » • La nécessité de s’informer auprès de la chaîne avale des secours www.developpement-durable.gouv.fr La connaissance précise de l’accidentologie - défis • La complexité institutionnelle: - La difficulté inhérente aux circuits de collecte et à la saisie des données - Le risque de redondance • Le partage des objectifs et des moyens - Un gage d’efficacité • Le défi technique: un SID performant - Saisie facilitée voire transparente (systèmes d’exploitation) - Géolocalisation - Logique de réseau www.developpement-durable.gouv.fr La connaissance précise de l’accidentologie • Un partenariat entre parties prenantes: - Fournisseurs de données - Analystes • Une approche progressive www.developpement-durable.gouv.fr Merci de votre attention « Les chiffres sont des êtres fragiles qui, à force d'être torturés, finissent par avouer tout ce qu'on veut leur faire dire. » Alfred Sauvy www.developpement-durable.gouv.fr MANUELLE SALATHÉ Secrétaire générale de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) Recueils des données et analyses sur les accidents de la route Manuelle Salathé Secrétaire Générale de l’ONISR Mortalité routière et trafic Évolution comparée de la mortalité et de la circulation routière entre 1953 et 2012 35 000 600 565,3 545,4 2012 2000 1972 1953 500 25 000 Personnes tués à 30 jours 400 20 000 18 034 300 15 000 200 234,8 10 000 8170 100 Volume de trafic motorisé (milliards de véh.x Km) 30 000 5 000 3653 0 1952 0 1962 1972 77 tués / milliards de véh.x Km 1982 1992 2002 2012 15 tués / milliards de véh.x 6 tués / milliards Km de véh.x Km L’ONISR : Observer pour comprendre Rattachement : Délégué interministériel à la sécurité et à la circulation routière Mission : - Collecte et diffusion des informations nécessaires à la préparation et à la mise en œuvre de la politique nationale de sécurité routière. A ce titre, l’ONISR - Rationalise et unifie la collecte des données statistiques provenant des différentes sources nationales et internationales, assure leur mise en forme, leur interprétation et leur diffusion, - Effectue le suivi des études générales ou sectorielles sur l’insécurité routière, - Évalue les mesures de sécurité routière prises ou envisagées. Le recueil des données « accidents » BASES REGLEMENTAIRES L’arrêté du 27 mars 2007 relatif aux conditions d'élaboration des statistiques relatives aux accidents corporels de la circulation Un accident corporel (mortel ou non mortel) de la circulation routière : - implique au moins une victime, (tués dans les 30 jours, blessés hospitalisés + ou – 24 h) - survient sur une voie ouverte à la circulation publique, - implique au moins un véhicule routier. Circulaire annuelle sur le suivi des accidents (remontées rapides). Le recueil des données « accidents » LE TRAITEMENT DES ACCR PAR LES FORCES DE L’ORDRE ● Intervention sur tout accident corporel rapporté ● Constatations d'usage sur les lieux de l'accident et audition des victimes et des témoins éventuels → Procédure judiciaire (outils informatiques). ● Comptes rendus hiérarchiques (également utilisés pour les remontées rapides) ● Établissement des statistiques de sécurité routière (BAAC) Travail conséquent – 60 000 ACCR – plus de 5000 ETP Le recueil des données « accidents » Remontées Rapides Préfectures ACCR BAAC DGPN et DGGN Contrôle « accidentalité routière » Bilan hebdomadaire Bilan mensuel à 2 jours Baromètre mensuel Bilan consolidé à 45 jours Bilans activité des FO et des préfectures « Fichier national » Contrôle local Bilan national annuel Études menées par le réseau scientifique national Études locales et internationales Le BAAC BULLETIN D’ANALYSE DES ACCIDENTS CORPORELS 1 - Gendarmerie nationale IDENTIFIANT CODE UNITE 3 9 NUMERO DE PV 10 14 ETABLI PAR 17 1 – CARACTERISTIQUES DATE Hors agglomération - 1 En agglomération - 2 CODE INSEE LIEU ACCIDENT HEURE mois 20 an heure 22 25 Dép artement minute 27 29 Commune 30 33 CATEGORIE 1 2 3 4 5 6 Autoroute Route nationale Route dép artementale Voie communale Hors réseau p ublic Parc de stationnement ouvert à la circulation p ublique 9 - Autre R O U T E ROUTE : A sens unique Bidirectionnelle A chaussées sép arées Avec voies d'affectation variable etc. Bicy clette 11 Cy clomoteur 12 Voiturette, tricy cle 13 Scooter immatriculé 14 M otocy clette 15 Side-car 16 V.L. seul 17 V.L. + caravane 18 V.L. + remorque 19 V.U. seul (1,5T <PTAC< 3,5T20 LETTRE 21 99 CONVENTIONNELLE - CODE ROUTE 18 19 20 21 4 - USAGERS PLACE DANS LE VEHICULE 2 - roues : 2 1 C ATEGO RIE 1 2 3 4 - Conducteur Passager Piéton Piéton en roller ou en trottinette 3 Plat Pente Sommet de Côte Bas de côte 31 32 4 7 1 5 8 6 3 9 2 GRAVITE 1 2 3 4 1 2 3 4 5 - Conducteur Véhicule volé Prop riétaire consentant Administration Entrep rise VEHICULE SPECIAL 1 2 3 4 5 6 9 - - Indemne Tué Blessé grave Blessé léger 21 22 Taxi Ambulance Pomp ier Police - Gendarmerie Transp ort scolaire M atières dangereuses Autre CATEGORIE SOCIO - PROFESSIONNELLE 29 ( standard 2002) TYPE DE C O LLIS IO N 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Accident imp liquant : - deux véhicules 1 - Frontale 2 - Par l'arrière 3 - Par le côté - trois véhicules et p lus 4 - En chaîne 5 - Collisions multip les 6 - Autre collision 7 - Sans collision CO veille de fête jour de fête Indicateur de proven Latitude 65 66 Adres s e pos tale - Indiquer le numéro, la natu - RESIDENCE DEPARTEMENT 2 3 OU PAYS 4 NAISSANCE Mois Année 5 30 34 37 39 43 Défectuosité mécanique Éclairage - signalisation Pneumatique usé Éclatement de p neumatique Chargement Dép lacement du véhicule Incendie du véhicule Autre ASSURANCE 1 - Oui 2 - Non 3 - Non prés entation 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 45 47 LARGEUR ( en mètres ) Terre p lein , , 41 43 Route hors TPC 46 , , - Véhicule en stationnement - Arbre - Glissière métallique - Glissière béton - Autre glissière - Bâtiment, mur, p ile de p ont - Sup p ort signalisation verticale ou Poste d'ap p el d'urgence - Poteau - M obilier urbain - Parap et - Îlot, refuge, borne haute - Bordure de trottoir - Fossé, talus, p aroi rocheuse - Autre obs. fixe sur chaussée - Autre obs. fixe sur trottoir ou accotement - Sortie de chaussée sans obstacl 48 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 7 - 44 45 , , 1 2 3 4 5 9 - DATE D'OBTENTION DU PERMIS M ois 48 49 1 2 - Normale M ouillée Flaques Inondée Enneigée Boue Verglacée Corp s gras - Huile Autre 49 AMENAGEMENT INFRAS TRUC TURE 1 - Souterrain - tunnel 2 - Pont - Autop ont 3 - Bretelle d'échangeur ou de raccordement 4 - Voie ferrée 5 - Carrefour aménagé 6 - Zone p iétonne 7 - Zone de p éage 50 1 2 4 5 6 9 Domicile - travail Domicile - école Courses - achats Utilisation p rof. Promenade - loisir Autre - Piéton Véhicule Véhicule sur rail Animal domestique Animal sauvage Autre 02 - M ême sens, même file 03 - Entre 2 files 04 - En marche arrière 05 - A contresens 06 - En franchissant le terre-p le 07 - Dans le couloir de bus - dan 08 - Dans le couloir de bus - dan POINT DE DEPORTE CHOC INITIAL CHANGEANT11 - A gauche 1 - Avant DE FILE 12 - A droite 2 - Avant droit TOURNANT 15 - A gauche DEPASSAN 3 - Avant gauche 16 - A droite 4 - Arrière 19 - Traversant la chaussée 5 - Arrière droit 20 - M anœuvre de stationneme 6 - Arrière gauche 21 - M anœuvre d'évitement 7 - Coté droit 22 - Ouverture de p orte 8 - Coté gauche 23 - Arrêté ( hors stationnemen 9 - Chocs multip les 24 - En stationnement (avec occ ( tonneaux ) Code CNIT :recopier le "t ype" inscrit s 52 61 MANŒUVRE D EQUIPEMENT DE SECURITE EXISTENCE Ceinture Casque Disp ositif enfant quip ement réfléchissant Autre - 1 2 3 4 9 UTILISATION 1 - A + 50 m. du p assage p 2 - A - 50 m. du p assage p i 5 6 7 8 2ème infraction 59 LOCALISAT ION DU P IET O SUR CHAUSSEE 1 - Oui SUR P ASSAGE P IET ON 2 - Non 3 - Sans signalisation lumin 3 - Non dé- 4 - Avec signalisation lumin DIVERS INFRACTION NATINF 1ère infraction 53 54 Lieu de l’accident 51 Année 51 SITUATION DE L'ACCIDENT 1 - Sur chaussée 2 - Sur bande d'arrê d'urgence 3 - Sur accotement 4 - Sur trottoir 5 - Sur p iste cy clab OBSTACLE MANŒUVRE PRINCIPALE AVAN MOBILE HEURTE CIRCULANT 01 - Sans changement de directi TRAJET Valide Périmé Susp endu Conduite en auto-école Catégorie non valable Défaut de p ermis Conduite accomp agnée TAUX D'ALCOOLEMIE 1 2 3 4 5 6 7 8 9 50 51 PERMIS DE CONDUIRE ALC O O LEMIE Médicament - drogu Infirmit é At t ent ion pert urbée Ivresse apparent e 1 2 3 4 OBSACLE FIXE HEURTE FACTEUR LIE AU VEHICULE=FACV 1 2 3 4 5 6 7 9 ETAT S URFAC E POINT KILOMETRIQUE OU REPERE ( s e repérer par rapport à la borne amont ) N° de borne Mètres 33 Caractéristiques de l’accident 40 TRACE EN PLAN ( sens du 1er véhicule décrit ) Partie rectiligne En courbe à gauche En courbe à droite En S - 1 - Conducteur p rofessionnel Imp ossible 2 - Agriculteur Refusé 3 - Artisan, commerçant, p rofession indép endante Prise de sang 4 - Cadre sup érieur, p rofession 7 - Retraité Éthy lomètre libérale, chef d'entrep rise 8 - Chômeur Résultat non connu 5 - Cadre moy en, emp loy é A - Étudiant Dép istage négatif 6 - Ouvrier 9 - Autre FACTEUR LIE A 1 - M asculin L'USAGER SEXE 2 - Féminin 1 - Malaise - fat igue 1 - Resp onsable p résumé 18 19 20 - APPARTENANT A Département ou Mois Année pays 22 23 24 27 29 43 44 1 - P.K. ou P.R. croissant 2 - P.K. ou P.R. décroissant LETTRE CONVENTIONNELLE DATE de 1ère mis e en circulation TRICULATION SENS DE CIRCULATION 4 - roues : 27 28 V.U. + caravane V.U. + remorque P.L. seul (3,5T <PTAC< 7,5T) P.L. seul ( PTAC>7,5T ) P.L. + remorque Tracteur routier seul Tracteur routier + semi remorque Transp ort en commun de p ersonnes Train + tramway Engin sp écial Tracteur agricole Autre IMMA- 1 - Véhicule en fuite 2 - Conducteur en fuite ↓ ↓ PROFIL EN LONG 1 2 3 4 CATEGORIE ADMINISTRATIVE - ↓ 1 - Piste cy clable 2 - Bande cy clable 3 - Voie réservée Lettre indice A Bis - 2 B Ter - 3 C Numéro ou Finato … 20 25 26 3 - VEHICULES ↓ 1 2 3 4 VOIE 18 19 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 - - 38 39 Nombre total de voies de circulation VOIE SPECIALE REGIME DE CIRCULATION - Normale Pluie légère Pluie forte Neige - grêle Brouillard - Fumée Vent fort - temp ête Temp s éblouissant Temp s couvert Autre 36 37 2 – LIEUX C O D E CONDITION ATMOSPHERIQUE 1 - Hors intersection En intersection ou à p roximité immédiat 2 - En X 3 - En T 4 - En Y 5 - A p lus de 4 branches 6 - Giratoire 7 - Place 8 - Passage à niveau 9 - Autre LOCALISATION Plein jour - 1 Crép uscule ou aube Nuit sans éclairage p ublic - 3 Nuit avec éclairage p ublic non allumé - 4 allumé - 5 jour 3 - C.R.S 4 - P.A.F 5 - Sécurité Publique INTERSECTION LUMIERE 18 BULLETIN D'ANALYSE D'ACCIDENT CORPOREL DE LA CIRCULATION 2 - Préfecture de police de Paris N° FEUIL 15 64 65 - 66 Sur Sur Sur Sur trottoir accotement ou BAU refuge contre allée Véhicules impliqués Usagers impliqués Mortalité routière selon l’âge Evolution de la mortalité par classe d'âge par million d'habitants de la même classe d'âge 350 300 0-14 ans 25-44 ans 75 ans et + 15-17 ans 45-64 ans 18-24 ans 65-74 ans 250 200 150 100 50 0 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 Mortalité routière selon les usagers Total Rappel 2000 2010 2012 2013 prov Progression 2012-2013 Progression 2010-2013 Progression 2000-2013 Piétons 848 10% 485 12% 489 13% 454 14% Vélos 273 3% 147 4% 164 4% 151 5% Cyclos 461 6% 248 6% 179 5% 153 5% Motos 947 12% 704 18% 664 18% 642 20% VT 5351 66% 2117 53% 1882 52% 1616 50% PL 124 2% 65 2% 56 2% 61 2% Autres 166 2% 226 6% 219 6% 173 5% 8 170 100% 3 992 100% 3 653 100% 3 250 100% -7% -8% -14% -3% -14% 9% -21% -11% -6% 3% -38% -9% -24% -6% -23% -19% -46% -45% -67% -32% -70% -51% 4% -60% Les grands invariants un tiers de la mortalité piétonne est hors agglomération Personnes tuées 7% 28% un tiers de la mortalité cycliste est en agglomération Autoroutes 65% Routes hors agglomération Agglomération Mortalité 4 motocyclistes tués sur 5 roulent en +125cm3 Femmes 25% 7% hospitalisés Blessés Autoroutes 53% Hommes 75% 40% Routes hors agglomération Agglomération Les conducteurs au permis de moins de 2 ans impliqués dans un quart des accidents 14% des personnes tuées le sont dans un accident impliquant un poids lourd L’action locale LES OBSERVATOIRES DÉPARTEMENTAUX DE SÉCURITÉ ROUTIÈRE Leurs missions : - Fiabiliser la base de données : vérification des données brutes, correction des anomalies et/ou contrôle avec l’aide des PV - Exploiter le fichier : analyse conjoncturelle, par type d’usager, de réseau et âge… - Piloter des études complémentaires - Diffuser la connaissance : production de bilans mensuels, annuels. - Participer à l’élaboration du Document Général d’Orientation (diagnostic des enjeux locaux et plan d’action départemental) Mortalité moy 2010-12 /million hab 58 62 75 82 90 Reprise des indicateurs nationaux Personnes tuées taux m oyen 2010-2012 1 7 26 38 69 73 74 Ain Ardèche Drôme Isère Rhône Savoie Haute-Savoie Métropole total 2012 Evolution 2012/2011 39 28 45 61 53 40 49 315 -13% -20% -6% -12% -22% 60% 14% -8% tous âges des 18-24 pour 1 m illion ans pour 1 habitants m illion de 18(pop2012) 24 ans 76 91 92 56 37 76 58 61 280 348 245 113 91 235 131 148 en m oyenne 2010-2012 part dans la m ortalité des personnes tuées en 2RM 17% 36% 15% 20% 30% 20% 34% 24% dans un dans un accident avec accident avec conducteur conducteur alcoolisé / novice m oins alcool connu de 2 ans 30% 18% 26% 25% 26% 26% 23% 24% 35% 32% 23% 32% 31% 24% 44% 31% Les études et la recherche Les partenaires : IFSTTAR, CEREMA, INSEER, UTAC, Universités… Le système Infrastructures – Véhicule – Conducteur : -Conducteur : éducation, prévention, contrôle -Véhicule : sécurité active, sécurité passive -Infra : analyses au plan national / local La vision globale : observer pour comprendre Les analyses thématiques selon les grands enjeux Les mesures de sécurité routière Évolution de la mortalité routière en France métropolitaine et les mesures prises en matière de sécurité 1970 - 2013 (moyenne glissante sur 12 mois) 1973 : premières limitations100 km/h puis90km/h route, 20 000 120 km/h autoroutes 18 000 1974 : limitations généralisées : 90 km/h routes 110 km/h voies express 130 km/h autoroutes 1982 : limitation de vitesse sur chaussée mouillée 16 000 14 000 12 000 Les mesures de limitation de vitesses 1970 : 1,2 gr/l taux délictuel - 0,8 g/l taux contraventionnel 10 000 8 000 1983 : 0,8 g/l taux délictuel 1986 : retrait immédiat du permis en cas d'ivresse 6 000 1990 : 50 km/h en ville 1990 : contrôles d'alcoolémie à l'initiative des forces de l'ordre 1999 : responsabilité pécuniaire du propriétaire 2008 : zone de rencontre 20km/h 1995 : 0,5 g/l taux contraventionel 4 000 2 000 2003 : déploiement des radars automatiques 2010 : éthylotest anti-démarrage sur nouveaux autocars de transports d'enfants 0 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2013 : Radar mobile nouvelle génération 2003: entre 0.5 et 0.8 g/l retrait de 6 points 2004: 0.2 g/l pour les conducteurs de TC Les mesures de lutte contre l'alcoolémie 2012: radar vitesse moyenne 2000 2005 2010 2013 Manuelle Salathé Secrétaire Générale de l’ONISR Site internet : taper « ONISR » sur un moteur de recherche Adresse mail : [email protected] ANTOINE PICHON Secrétaire général du Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques