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Une semaine consacrée à la science en Indianocéanie
du 26 au 30 octobre 2015 – Balaclava, Maurice
SANTE – RECHERCHE - INNOVATION – TECHNOLOGIE – DEVELOPPEMENT
Table des matières
Une semaine scientifique, deux événements d’envergure ............................................................................................................................................................... 3
Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien – 3ème édition .................................................................................................................................................... 4
Objectif des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien .................................................................................................................................................. 5
Ambition des organisateurs .......................................................................................................................................................................................................... 5
Déroulement des Journées ........................................................................................................................................................................................................... 6
Le projet Veille sanitaire................................................................................................................................................................................................................ 7
Une seule santé ............................................................................................................................................................................................................................. 7
Chiffres .......................................................................................................................................................................................................................................... 8
Premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie............................................................................................................................................. 9
Objectif des Assises ..................................................................................................................................................................................................................... 10
Participants.................................................................................................................................................................................................................................. 10
Ambitions affichées ..................................................................................................................................................................................................................... 11
Programme prévisionnel ............................................................................................................................................................................................................. 12
29 octobre 2015 ...................................................................................................................................................................................................................... 12
30 octobre 2015 ...................................................................................................................................................................................................................... 15
Présentation des institutions .......................................................................................................................................................................................................... 18
La Commission de l’océan Indien ................................................................................................................................................................................................ 18
L’Agence française de développement ....................................................................................................................................................................................... 18
L’Académie des sciences ............................................................................................................................................................................................................. 18
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Une semaine scientifique, deux événements d’envergure
Pour la première fois, la Commission de l’océan Indien organise une semaine autour de la science en Indianocéanie . Du 26 au 30 octobre,
épidémiologistes, médecins et vétérinaires, chercheurs et universitaires, agronomes, entrepreneurs et urbanistes, se réuniront à l’hôtel Intercontinental de
Balaclava autour de deux événements qui mettront à l’honneur la science, l’innovation et la technologie comme vecteur de développement.
La troisième édition des Journées de la veille sanitaire dans l’océan Indien ouvrira cette semaine scientifique les 26 et 27 octobre. Organisée par
le projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien financé par l’Agence française de développement, cet événement sera l’occasion de prendre la
mesure des enjeux de santé publique dans les pays membres de la Commission de l’océan Indien et des réponses en matière de surveillance et de riposte.
A la suite de ces Journées consacrées à la santé, la Commission de l’océan Indien organise, avec le soutien de l’Agence française de développement et le
concours de l’Académie des sciences de France, les premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie en Indianocéanie les 29
et 30 octobre. Evénement inédit, ces Assises réuniront des scientifiques, des entrepreneurs et des universitaires de secteurs variés (agronomie, climat,
santé, océanographie, urbanisme, nouvelles technologies…) pour réfléchir aux moyens de mobiliser la connaissance scientifique au service du
développement durable de la région.
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Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien – 3ème édition
26 et 27 octobre 2015 – hôtel Intercontinental, Balaclava, Maurice
La mondialisation des échanges se double d’une mondialisation des risques sanitaires. Les îles de l’Indianocéanie sont particulièrement exposées au risque
épidémique. La réponse régionale, organisée autour de la Commission de l’océan Indien, a démontré sa pertinence. C’est tout l’intérêt des Journées de la
Veille sanitaire : échanger et s’informer pour prévoir et agir collectivement.
Un événement du projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien
Financé par
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Objectif des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien
Après les rendez-vous de Madagascar en 2012 et de La Réunion en 2013, cette troisième édition des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien
permettront de débattre des enjeux actuels et futurs de santé publique régionale.
Les médecins, vétérinaires, épidémiologistes et scientifiques conviés à Balaclava échangeront leurs expériences, prendront connaissance des défis sanitaires
qui se profilent dans les Etats membres de la Commission de l’océan Indien et évalueront des réponses et capacités de ripostes régionales.
Ces troisièmes Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien constituent aussi une opportunité de lier la recherche scientifique à la pratique de terrain
en matière de santé publique. Ainsi, les gestionnaires de santé humaine et animale des pays membres de la Commission de l’océan Indien prendront
connaissance des résultats des recherches sur les thématiques qui les intéressent directement. Ces journées permettent donc aussi de rapprocher la
recherche scientifique et l’innovation technologique de la gestion de terrain des risques sanitaires.
Ambition des organisateurs
« Notre capacité à répondre efficacement aux risques épidémiques
dépend dans une large mesure de la communication et de la diffusion de
l’information entre les services de santé de nos pays. Les Journées de la
Veille sanitaire dans l’océan Indien constituent un ce titre un rendezvous utile : c’est un temps de rencontre et de réflexion qui permet de
partager de l’information, des savoirs, des résultats et donc de mieux
outiller nos pays face aux risques sanitaires notamment grâce à
l’articulation entre santé humaine et santé animale. Le projet Veille
sanitaire de la Commission de l’océan Indien entend capitaliser sur les
travaux pour consolider la surveillance épidémiologique régionale ainsi
que le réseau SEGA One Health qui a témoigné de son efficacité ».
Dr Loïc Flachet, chef du projet Veille sanitaire de la COI
Surveillance sanitaire sur le terrain à Madagascar © UVS-COI
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Déroulement des Journées
Les Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien se tiendront les 26 et 27 octobre 2015 à l’hôtel Intercontinental de Balaclava, Maurice.
Durant ces deux jours, 33 scientifiques et experts présenteront à 120 participants des communications sur les thématiques suivantes :
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Recherche intégrée et veille internationale ;
Surveillance épidémiologique axée sur les infections respiratoires et le paludisme entre autres ;
La leptospirose dans l’océan Indien ;
Les investigations d’épidémies (conjonctivites, peste porcine africaine, dengue, peste pulmonaire…)
Les résistances et impacts sur la santé publique, dont la résistance aux antibiotiques ;
L’évaluation et les enquêtes épidémiologiques ;
Le contrôle du paludisme, expérience de l’Union des Comores ;
Le concept « Une seule santé », mise en lumière du lien entre santé animale et santé humaine au travers d’études de cas ;
Cette troisième édition des Journées de la veille sanitaire dans l’océan Indien seront officiellement ouvertes le 26 octobre au soir, à Balaclava, par :
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Anil Gayan, ministre de la Santé et de la Qualité de la vie de Maurice ;
Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien ;
Laurent Garnier, ambassadeur de France à Maurice ;
Matthieu Discour, directeur de l’Agence française de développement à Maurice ; et,
Un représentant du ministère de l’Agroindustrie et de la Sécurité alimentaire de Maurice.
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Le projet Veille sanitaire
Le réseau SEGA One Health
L’épidémie de chikungunya, qui a touché en 2005 et 2006 des centaines de milliers de personnes
dans la région, a servi de révélateur aux pays membres de la Commission de l’océan Indien
(Union des Comores, Madagascar, Maurice, France/Réunion, Seychelles). Les maladies
infectieuses, qui peuvent avoir des conséquences économiques et sociales désastreuses sur les
populations, se propagent en effet très vite d’une île à l’autre. Face aux épidémies, l’information
constitue une arme de prévention efficace. C’est dans ce sens que le réseau régional de
Surveillance épidémiologique et de gestion des alertes (réseau SEGA) a été créé en 2009 dans le
cadre du projet de surveillance et d’investigation épidémiologique (RSIE) financé par l’Agence
française de développement.
Le projet Veille sanitaire lancé en 2013, avec l’engagement renouvelé de l’Agence française de
développement pour un montant de 6 millions d’euros sur cinq ans, capitalise sur le réseau
SEGA, qui a démontré son utilité, et l’enrichit en y associant le réseau de surveillance de la santé
animale « Animal Risk ». Ainsi, le projet Veille sanitaire apporte une réponse globale aux enjeux
de santé publique conformément au concept « One Health » de l’Organisation mondiale de la
santé.
Grâce à ce projet, la Commission de l’océan Indien ambition de disposer l’horizon 2017 d’une
Unité de veille sanitaire qui puisse fonctionner de manière pérenne en s’appuyant sur des
équipes régionales d’experts, socle d’un futur département de santé publique au sein de
l’organisation régionale.
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25 épidémiologiques de terrain formés d’ici 2017
La mise en place d’un laboratoire de biologie
moléculaire aux Seychelles en 2012
Un programme de contrôle qualité externe
chikungunya-dengue pour les cinq laboratoires de
biologie moléculaire de l’océan Indien depuis
2013
Un laboratoire mobile de diagnostic Ebola en
partenariat avec l’Institut Pasteur de Madagascar
Des services de surveillance mieux équipés
(matériels informatiques, connexions Internet,
véhicules, kit de télécommunication)
Une mise en réseau avec les centres d’excellence
régionaux et les organisations internationales
Une seule santé
60% des maladies infectieuses chez l’homme sont d’origine animale. Une surveillance épidémiologique efficace oblige donc à tenir compte des risques
épidémiques dans les populations animales. C’est en 2008 que l’Organisation mondiale de la santé a lancé l’initiative « One Health ». Cette initiative, que
met en œuvre dans la région le projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien, met en réseau les autorités de santé publiques, les services
vétérinaires et les institutions chargées de l’environnement. Le réseau SEGA qui intègre depuis 2013 ces nouvelles dimensions est donc devenu le réseau
SEGA One Health.
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Chiffres
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Premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie
en Indianocéanie
29 et 30 octobre 2015 – hôtel Intercontinental, Balaclava, Maurice
« L’innovation est un facteur déterminant de la croissance et des performances de l’économie mondialisée. Elle donne naissance à de nouvelles technologies
et de nouveaux produits qui aident à répondre aux enjeux mondiaux comme ceux de la santé ou de l’environnement. En transformant les modalités de
production des biens et de prestation des services, elle stimule la productivité, crée des emplois et contribue à améliorer la qualité de vie des citoyens. »
« Innovation et croissance », Synthèses, OCDE, 2007
Un évènement organisé par
Avec le concours de
Financé par
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Objectif des Assises
Ces première Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation offrent l’opportunité de réfléchir aux moyens de mobiliser la recherche scientifique
et de stimuler l’innovation en faveur du développement de long terme de l’Indianocéanie.
Plus spécifiquement, cet événement inédit sera l’occasion de :
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évaluer les acquis régionaux en matière de sciences et de capacité nationale et régionale à innover ;
identifier les priorités de recherche et d’innovation pour l’Indianocéanie au regard de ses défis économiques, sociaux et environnementaux ;
apporter de nouvelles compétences scientifiques aux politiques publiques en recherche et innovation ;
favoriser la coopération entre les institutions de recherche et d’enseignement supérieur de la région ;
amplifier et étendre les réseaux scientifiques de la recherche et de l’innovation en Indianocéanie, notamment en vue de créer une plateforme
Education – Recherche au sein de la COI;
promouvoir toute action de partenariat entre acteurs publics et privés, en matière de recherche et d’innovation.
Participants
Une centaine de participants des 5 pays membres de la Commission de l’océan Indien sont attendus à ces premières Assises de la Science, de la
Technologie et de l’Innovation. Pendant deux jours, chercheurs, universitaires, dirigeants d’instituts de recherches, entrepreneurs, économistes, urbanistes,
pédagogues, médecins discuteront des grands enjeux scientifiques de l’Indianocéanie et plus encore des moyens de libérer cet extraordinaire potentiel de
croissance durable que représente l’économie de la connaissance.
Les Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation en Indianocéanie seront officiellement ouvertes par Ameenah Gurib-Fakim, présidente de la
République de Maurice, Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien et Matthieu Discour, directeur de l’Agence française
de développement.
Une conférence inaugurale sera donnée par Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation, Secrétaire perpétuel
de l’Académie des sciences de France.
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Les Assises verront la participation de conférenciers, chercheurs et entrepreneurs reconnus dont :
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Ramesh Caussy, président et fondateur de Partnering 3.0., spécialiste de la robotique ;
Frédéric Cadet, vice-président du Conseil régional de La Réunion chargé des Relations internationales, de la Coopération, de l’Innovation et de la
Recherche ;
Jean-Marc Chataigner, directeur général délégué de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) ;
Dhanjay Jhurry, fondateur et directeur de l’ANDI Centre for Excellence for Biomedial and Biomaterials Research ;
ou encore Harinjaka Andriankoto Ratozamanana, directeur du Habaka Madagascar Innovation Hub.
Ambitions affichées
« Je suis convaincu que la promotion de la science, de la technologie et de l’innovation est de nature à enrichir considérablement notre action pour le
développement durable de notre région. C’est de cette conviction profonde qu’est né le projet de ces « Premières Assises de la Science, de la Technologie et
de l’Innovation en Indianocéanie ». Cet événement marque de façon symbolique notre volonté collective d’insérer l’Indianocéanie dans le réseau mondial des
producteurs de recherches et de découvertes et de la faire ainsi participer activement à l’économie de la connaissance génératrice de croissance et
d’emplois. »
Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien
« Lorsque Jean Claude de l’Estrac a sollicité l’Académie des sciences pour soutenir la Commission de l’océan Indien dans son projet des « Premières Assises de
la Science, de la Technologie et de l’Innovation en Indianocéanie » j’ai pensé qu’il s’agissait là d’une occasion unique d’appuyer une initiative porteuse pour la
France et pour l'Indianocéanie, reliées par une histoire commune et un présent partagé. La science et l’innovation ne sont plus cantonnées aujourd'hui aux
laboratoires et aux entreprises des pays du Nord. Au cœur de l’océan Indien, à la charnière entre les grands pôles de croissance asiatiques et africains, les
pays de la Commission de l’océan Indien ont une carte à jouer pour s’inscrire dans ce réseau complexe, créateur de richesses matérielles et immatérielles, que
sont la science, la technologie et l’innovation. Il y faut de la volonté politique. Ces Assises, organisées par la Commission de l’océan Indien, nous permettent
d'ouvrir ensemble de nouveaux horizons de connaissance et de croissance durable. »
Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation,
Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences de France
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Programme prévisionnel
29 octobre 2015
10.00
Accueil des participants
SEANCE INAUGURALE
10.30
S.E.M. Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI).
M. Matthieu Discour, Directeur de l’Agence Française de Développement (AFD) pour Maurice et les Seychelles
S.E. Mme Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation et Secrétaire perpétuel de l’Académie des
sciences de France.
S.E. Mme Ameenah Gurib-Fakim, G.C.S.K., Présidente de la République de Maurice.
Pause-café
SESSION I –LES GRANDS ENJEUX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES DE L’INDIANOCEANIE
Président de séance : M. Jean-René Garcia, Professeur des universités associé en Droit public à l’Université Paris 13 - Sorbonne Paris Cité,
Conseiller auprès des Secrétaires perpétuels de l’Académie des sciences de France.
11.30
Agronomie
M. Christian Hoste, Directeur des Relations Internationales d’Agreenium: « Enjeux scientifiques et technologiques pour l’agriculture,
l’alimentation, l’environnement et les espaces ruraux »
Questions et débats
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Transferts technologiques, moteurs d’innovation et de développement
M. François Guinot, président honoraire de l’Académie de Technologie de France, président du Groupe Inter académique pour le
Développement (GID).
Questions et débats
Santé
Mme Henriette Ratsimbazafimahefa Rahantalalao, présidente du conseil d’établissement de la Faculté de médecine d’Antananarivo, vicedoyenne chargé des Sciences et Médecine vétérinaires au sein de la Faculté de médecine d’Antananarivo, experte auprès de l’OMS. « Des
nouvelles technologies pour l’amélioration de la qualité des soins en Indianocéanie. »
Questions et débats
13.15
Pause Déjeuner
SESSION I suite – LES GRANDS ENJEUX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES DE L’INDIANOCEANIE
14.15
Table Ronde sur les nouvelles technologies
Président de séance : M. Bertrand Moingeon, Professeur à HEC (Hautes Etudes Commerciales) Paris, membre du GREGHEC-CNRS
(Groupement d’Etudes et de Recherche en Gestion HEC- Centre National de la Recherche Scientifique)
Participants :
M. Nicolas Schmutz, directeur général de Réuniwatt, membre de Qualitropic.
M. Harinjaka Andriankoto Ratozamanana, directeur général du Habaka Madagascar Innovation Hub.
M. Olivier Sautron, directeur général d’OSCADI, le numérique au service de la santé
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Robotique et économie numérique au service de la lutte contre les effets du changement climatique
M. Ramesh Caussy, président et fondateur de Partnering 3.0, Professeur en Robotique de Services et Ethique de l’ENSIMAG-INP-LIG de
Grenoble, inventeur du robot Diya One. « L’économie numérique et la robotique au service de la lutte contre les effets du changement
climatique. »
Questions et débats
Applications spatiales
M. Philippe Escudier, expert du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) dans le domaine des applications. « Sciences, innovation et
croissance : le paradigme du spatial»
Questions et débats
La science à l’épreuve de la communication
M. Arnaud Benedetti, Professeur des universités associé en Histoire à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne, collaborateur à l’Académie
des sciences de France, directeur de la communication à l’INSERM. « Information et communication scientifique : un enjeu politique, une
question sociale. »
Questions et débats
17.30
Fin de la Première journée
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30 octobre 2015
08.30
Accueil des participants
SESSION II – TABLE RONDE : L’ENTREPRENEURIAT AU SERVICE DE L’INNOVATION ET DU DEVELOPPEMENT DE NOS TERRITOIRES
09.00
Président de séance : M. Rabin Bhujun, journaliste
Participants : M. Nivel Mauree, architecte-urbaniste
M. Dhanjay Jhurry, Mauritius Research Council / Université de Maurice, ANDI Centre of Excellence for Biomedical and
Biomaterials Research (CBBR).
M. Georges Chung Tick Kan , économiste, entrepreneur
SESSION III – SCIENCE, EDUCATION ET SOCIETE
Président de séance : Mme Romeela Mohee, Vice-chancelière de l’université de Maurice
10.00
M. Thierry Sauzier, directeur général adjoint – Medine Limited. « International Campus for Sustainable and Innovative Africa (ICSIA), à
Maurice : Défi universitaire, social et international pour l’Indianocéanie».
Questions et débats
Mme Odile Macchi, membre de l’Académie des sciences française, Fondation de coopération scientifique « Main à la Pâte ».
«L’enseignement des sciences fondé sur l’investigation: un atout durable pour le développement. Vingt ans d’efforts de La main à la pâte »
Questions et débats
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SESSION IV – RECHERCHE COOPERATION ET DEVELOPPEMENT
Président de séance : M Philippe Jean-Pierre, président du Comité Régional pour l’Innovation (CRI) de La Réunion.
11.30
Dr Arjoon Suddhoo, directeur du Mauritius Research Council (MRC), Chairman d’Air Mauritius. « L’état des lieux de la science, de la
technologie et de l’innovation : le cas de l’économie bleue en Indianocéanie. »
Questions et débats
12.00
Pause déjeuner
13.30
M. Ahmed Ouledi, directeur exécutif du Centre technique pour la Gestion des risques de catastrophes, la durabilité et la résilience urbaine
en Afrique australe, ancien coordonnateur des programmes de recherche de l’université des Comores. « Développer un cadre stratégique
régional en faveur de la science et de la technologie en tant qu’outils de développement. »
Questions et débats
M. Jean Marc Chataigner, directeur général délégué de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) « Quels instruments de
recherche pour répondre aux enjeux de développement de l’Indianocéanie ? »
Questions et débats
Pause-café
SESSION V – SCIENCE, TECHNOLOGIE ET INNOVATION : QUELLE PLACE POUR LE SECTEUR PRIVE ?
Président de séance : M Raju Jaddoo, Secrétaire général de la Chambre de commerce et d’industrie de Maurice
15.00
M. Frédéric Cadet, vice-président du Conseil régional de La Réunion chargé des Relations internationales, de la Coopération, de l’Innovation
et de la Recherche. « Une stratégie de développement pour La Réunion dans l'océan Indien, axée sur l'innovation »
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Questions et débats
M. Laurent Blériot, directeur de Bioalgostral, Vice-Président de Qualitropic. « Retour d’expérience pour une "clusterisation" réussie :
l’exemple du pôle de compétitivité Qualitropic à La Réunion »
Questions et débats
M. Vigile Hoareau – créateur du logiciel Ansamb. « Ce que l’Indianocéanie peut offrir à ses startupeurs. »
Questions et débats
M. Xavier Estico, Chief Executive Officer du National Institute for Science, Technology and Innovation (NISTI) des Seychelles. « La mise en
place d’un écosystème local et régional d’innovation pour la restauration des récifs coralliens. »
Questions et débats
CLÔTURE
17.30
S.E. Mme Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation et Secrétaire perpétuel de l’Académie des
sciences de France.
S.E.M. Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien
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Présentation des institutions
La Commission de l’océan Indien
Créée en 1982 à Port-Louis (Maurice) et institutionnalisée en 1984 par l'Accord de Victoria (Seychelles), la Commission de l'océan Indien est une
organisation intergouvernementale qui réunit cinq pays de la région océan Indien : Union des Comores, France/Réunion, Madagascar, Maurice, Seychelles.
Sa mission principale est de resserrer les liens d’amitié et de solidarité entre les populations de l’Indianocéanie, et de bâtir des projets régionaux de
développement durable, destinés à les protéger, améliorer leurs conditions de vie et préserver les ressources naturelles dont elles dépendent fortement.
Seule organisation régionale africaine composée exclusivement d’îles, la COI défend leurs intérêts insulaires sur la scène régionale et internationale et
promeut un développement plus durable et solidaire. C’est dans ce sens que la COI agit dans les domaines de la santé publique, prérequis essentiel au
développement de long terme, et de plus en plus dans le domaine de la recherche, de l’innovation et de la technologie qui constituent des leviers d’une
croissance durable pour l’Indianocéanie. Pour en savoir plus : www.coi-ioc.org
L’Agence française de développement
Etablissement public au cœur du dispositif français de coopération, l’AFD agit depuis plus de soixante-dix ans pour lutter contre la pauvreté et favoriser le
développement dans les pays du Sud et dans l'Outre-mer. Au moyen de subventions, de prêts, de fonds de garantie ou de contrats de désendettement et de
développement, elle finance des projets, des programmes et des études et accompagne ses partenaires du Sud dans le renforcement de leurs capacités.
L'amélioration de l'accès aux soins et l'amélioration de la santé maternelle et infantile sont les principaux axes d’intervention de l’Agence dans le domaine
de la santé, tout comme la préservation de la sécurité sanitaire considérée aujourd’hui comme un bien public mondial. Pour en savoir plus : www.afd.fr
L’Académie des sciences
Depuis sa création en 1666, l’Académie des sciences se consacre au développement des sciences et conseille les autorités gouvernementales en ce domaine.
Indépendante et pérenne, placée sous la protection du président de la République, elle est l'une des cinq académies siégeant à l’Institut de France. Au début
des années 2000, l’Académie s’est dotée de nouveaux statuts lui permettant d’augmenter et rajeunir son effectif, afin de répondre à l’accroissement des
connaissances scientifiques et à l’élargissement des domaines de recherche. Aujourd'hui riche de 263 membres, 125 associés étrangers et 91
correspondants, élus parmi les scientifiques français et étrangers les plus éminents, l’Académie des sciences est pluridisciplinaire et largement ouverte à
l’international. Ses membres réalisent leurs travaux au sein de comités de réflexion thématiques en interaction étroite avec les instances de gouvernance
statutaires. L’Académie exerce cinq missions fondamentales : encourager la vie scientifique, promouvoir l'enseignement des sciences, transmettre les
connaissances, favoriser les collaborations internationales et assurer un rôle d'expertise et de conseil. Pour en savoir plus www.academie-sciences.fr
Unité de communication
Blue Tower, 3ème étage
Rue de l’Institut, Ebène – Maurice
Tél. : (+230) 402 61 00 [email protected]
www.coi-ioc.org

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