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Une semaine consacrée à la science en Indianocéanie du 26 au 30 octobre 2015 – Balaclava, Maurice SANTE – RECHERCHE - INNOVATION – TECHNOLOGIE – DEVELOPPEMENT Table des matières Une semaine scientifique, deux événements d’envergure ............................................................................................................................................................... 3 Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien – 3ème édition .................................................................................................................................................... 4 Objectif des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien .................................................................................................................................................. 5 Ambition des organisateurs .......................................................................................................................................................................................................... 5 Déroulement des Journées ........................................................................................................................................................................................................... 6 Le projet Veille sanitaire................................................................................................................................................................................................................ 7 Une seule santé ............................................................................................................................................................................................................................. 7 Chiffres .......................................................................................................................................................................................................................................... 8 Premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie............................................................................................................................................. 9 Objectif des Assises ..................................................................................................................................................................................................................... 10 Participants.................................................................................................................................................................................................................................. 10 Ambitions affichées ..................................................................................................................................................................................................................... 11 Programme prévisionnel ............................................................................................................................................................................................................. 12 29 octobre 2015 ...................................................................................................................................................................................................................... 12 30 octobre 2015 ...................................................................................................................................................................................................................... 15 Présentation des institutions .......................................................................................................................................................................................................... 18 La Commission de l’océan Indien ................................................................................................................................................................................................ 18 L’Agence française de développement ....................................................................................................................................................................................... 18 L’Académie des sciences ............................................................................................................................................................................................................. 18 2 Une semaine scientifique, deux événements d’envergure Pour la première fois, la Commission de l’océan Indien organise une semaine autour de la science en Indianocéanie . Du 26 au 30 octobre, épidémiologistes, médecins et vétérinaires, chercheurs et universitaires, agronomes, entrepreneurs et urbanistes, se réuniront à l’hôtel Intercontinental de Balaclava autour de deux événements qui mettront à l’honneur la science, l’innovation et la technologie comme vecteur de développement. La troisième édition des Journées de la veille sanitaire dans l’océan Indien ouvrira cette semaine scientifique les 26 et 27 octobre. Organisée par le projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien financé par l’Agence française de développement, cet événement sera l’occasion de prendre la mesure des enjeux de santé publique dans les pays membres de la Commission de l’océan Indien et des réponses en matière de surveillance et de riposte. A la suite de ces Journées consacrées à la santé, la Commission de l’océan Indien organise, avec le soutien de l’Agence française de développement et le concours de l’Académie des sciences de France, les premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie en Indianocéanie les 29 et 30 octobre. Evénement inédit, ces Assises réuniront des scientifiques, des entrepreneurs et des universitaires de secteurs variés (agronomie, climat, santé, océanographie, urbanisme, nouvelles technologies…) pour réfléchir aux moyens de mobiliser la connaissance scientifique au service du développement durable de la région. 3 Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien – 3ème édition 26 et 27 octobre 2015 – hôtel Intercontinental, Balaclava, Maurice La mondialisation des échanges se double d’une mondialisation des risques sanitaires. Les îles de l’Indianocéanie sont particulièrement exposées au risque épidémique. La réponse régionale, organisée autour de la Commission de l’océan Indien, a démontré sa pertinence. C’est tout l’intérêt des Journées de la Veille sanitaire : échanger et s’informer pour prévoir et agir collectivement. Un événement du projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien Financé par 4 Objectif des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien Après les rendez-vous de Madagascar en 2012 et de La Réunion en 2013, cette troisième édition des Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien permettront de débattre des enjeux actuels et futurs de santé publique régionale. Les médecins, vétérinaires, épidémiologistes et scientifiques conviés à Balaclava échangeront leurs expériences, prendront connaissance des défis sanitaires qui se profilent dans les Etats membres de la Commission de l’océan Indien et évalueront des réponses et capacités de ripostes régionales. Ces troisièmes Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien constituent aussi une opportunité de lier la recherche scientifique à la pratique de terrain en matière de santé publique. Ainsi, les gestionnaires de santé humaine et animale des pays membres de la Commission de l’océan Indien prendront connaissance des résultats des recherches sur les thématiques qui les intéressent directement. Ces journées permettent donc aussi de rapprocher la recherche scientifique et l’innovation technologique de la gestion de terrain des risques sanitaires. Ambition des organisateurs « Notre capacité à répondre efficacement aux risques épidémiques dépend dans une large mesure de la communication et de la diffusion de l’information entre les services de santé de nos pays. Les Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien constituent un ce titre un rendezvous utile : c’est un temps de rencontre et de réflexion qui permet de partager de l’information, des savoirs, des résultats et donc de mieux outiller nos pays face aux risques sanitaires notamment grâce à l’articulation entre santé humaine et santé animale. Le projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien entend capitaliser sur les travaux pour consolider la surveillance épidémiologique régionale ainsi que le réseau SEGA One Health qui a témoigné de son efficacité ». Dr Loïc Flachet, chef du projet Veille sanitaire de la COI Surveillance sanitaire sur le terrain à Madagascar © UVS-COI 5 Déroulement des Journées Les Journées de la Veille sanitaire dans l’océan Indien se tiendront les 26 et 27 octobre 2015 à l’hôtel Intercontinental de Balaclava, Maurice. Durant ces deux jours, 33 scientifiques et experts présenteront à 120 participants des communications sur les thématiques suivantes : Recherche intégrée et veille internationale ; Surveillance épidémiologique axée sur les infections respiratoires et le paludisme entre autres ; La leptospirose dans l’océan Indien ; Les investigations d’épidémies (conjonctivites, peste porcine africaine, dengue, peste pulmonaire…) Les résistances et impacts sur la santé publique, dont la résistance aux antibiotiques ; L’évaluation et les enquêtes épidémiologiques ; Le contrôle du paludisme, expérience de l’Union des Comores ; Le concept « Une seule santé », mise en lumière du lien entre santé animale et santé humaine au travers d’études de cas ; Cette troisième édition des Journées de la veille sanitaire dans l’océan Indien seront officiellement ouvertes le 26 octobre au soir, à Balaclava, par : Anil Gayan, ministre de la Santé et de la Qualité de la vie de Maurice ; Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien ; Laurent Garnier, ambassadeur de France à Maurice ; Matthieu Discour, directeur de l’Agence française de développement à Maurice ; et, Un représentant du ministère de l’Agroindustrie et de la Sécurité alimentaire de Maurice. 6 Le projet Veille sanitaire Le réseau SEGA One Health L’épidémie de chikungunya, qui a touché en 2005 et 2006 des centaines de milliers de personnes dans la région, a servi de révélateur aux pays membres de la Commission de l’océan Indien (Union des Comores, Madagascar, Maurice, France/Réunion, Seychelles). Les maladies infectieuses, qui peuvent avoir des conséquences économiques et sociales désastreuses sur les populations, se propagent en effet très vite d’une île à l’autre. Face aux épidémies, l’information constitue une arme de prévention efficace. C’est dans ce sens que le réseau régional de Surveillance épidémiologique et de gestion des alertes (réseau SEGA) a été créé en 2009 dans le cadre du projet de surveillance et d’investigation épidémiologique (RSIE) financé par l’Agence française de développement. Le projet Veille sanitaire lancé en 2013, avec l’engagement renouvelé de l’Agence française de développement pour un montant de 6 millions d’euros sur cinq ans, capitalise sur le réseau SEGA, qui a démontré son utilité, et l’enrichit en y associant le réseau de surveillance de la santé animale « Animal Risk ». Ainsi, le projet Veille sanitaire apporte une réponse globale aux enjeux de santé publique conformément au concept « One Health » de l’Organisation mondiale de la santé. Grâce à ce projet, la Commission de l’océan Indien ambition de disposer l’horizon 2017 d’une Unité de veille sanitaire qui puisse fonctionner de manière pérenne en s’appuyant sur des équipes régionales d’experts, socle d’un futur département de santé publique au sein de l’organisation régionale. 25 épidémiologiques de terrain formés d’ici 2017 La mise en place d’un laboratoire de biologie moléculaire aux Seychelles en 2012 Un programme de contrôle qualité externe chikungunya-dengue pour les cinq laboratoires de biologie moléculaire de l’océan Indien depuis 2013 Un laboratoire mobile de diagnostic Ebola en partenariat avec l’Institut Pasteur de Madagascar Des services de surveillance mieux équipés (matériels informatiques, connexions Internet, véhicules, kit de télécommunication) Une mise en réseau avec les centres d’excellence régionaux et les organisations internationales Une seule santé 60% des maladies infectieuses chez l’homme sont d’origine animale. Une surveillance épidémiologique efficace oblige donc à tenir compte des risques épidémiques dans les populations animales. C’est en 2008 que l’Organisation mondiale de la santé a lancé l’initiative « One Health ». Cette initiative, que met en œuvre dans la région le projet Veille sanitaire de la Commission de l’océan Indien, met en réseau les autorités de santé publiques, les services vétérinaires et les institutions chargées de l’environnement. Le réseau SEGA qui intègre depuis 2013 ces nouvelles dimensions est donc devenu le réseau SEGA One Health. 7 Chiffres 8 Premières Assises de la Science, de l’Innovation et de la Technologie en Indianocéanie 29 et 30 octobre 2015 – hôtel Intercontinental, Balaclava, Maurice « L’innovation est un facteur déterminant de la croissance et des performances de l’économie mondialisée. Elle donne naissance à de nouvelles technologies et de nouveaux produits qui aident à répondre aux enjeux mondiaux comme ceux de la santé ou de l’environnement. En transformant les modalités de production des biens et de prestation des services, elle stimule la productivité, crée des emplois et contribue à améliorer la qualité de vie des citoyens. » « Innovation et croissance », Synthèses, OCDE, 2007 Un évènement organisé par Avec le concours de Financé par 9 Objectif des Assises Ces première Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation offrent l’opportunité de réfléchir aux moyens de mobiliser la recherche scientifique et de stimuler l’innovation en faveur du développement de long terme de l’Indianocéanie. Plus spécifiquement, cet événement inédit sera l’occasion de : évaluer les acquis régionaux en matière de sciences et de capacité nationale et régionale à innover ; identifier les priorités de recherche et d’innovation pour l’Indianocéanie au regard de ses défis économiques, sociaux et environnementaux ; apporter de nouvelles compétences scientifiques aux politiques publiques en recherche et innovation ; favoriser la coopération entre les institutions de recherche et d’enseignement supérieur de la région ; amplifier et étendre les réseaux scientifiques de la recherche et de l’innovation en Indianocéanie, notamment en vue de créer une plateforme Education – Recherche au sein de la COI; promouvoir toute action de partenariat entre acteurs publics et privés, en matière de recherche et d’innovation. Participants Une centaine de participants des 5 pays membres de la Commission de l’océan Indien sont attendus à ces premières Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation. Pendant deux jours, chercheurs, universitaires, dirigeants d’instituts de recherches, entrepreneurs, économistes, urbanistes, pédagogues, médecins discuteront des grands enjeux scientifiques de l’Indianocéanie et plus encore des moyens de libérer cet extraordinaire potentiel de croissance durable que représente l’économie de la connaissance. Les Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation en Indianocéanie seront officiellement ouvertes par Ameenah Gurib-Fakim, présidente de la République de Maurice, Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien et Matthieu Discour, directeur de l’Agence française de développement. Une conférence inaugurale sera donnée par Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation, Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences de France. 10 Les Assises verront la participation de conférenciers, chercheurs et entrepreneurs reconnus dont : Ramesh Caussy, président et fondateur de Partnering 3.0., spécialiste de la robotique ; Frédéric Cadet, vice-président du Conseil régional de La Réunion chargé des Relations internationales, de la Coopération, de l’Innovation et de la Recherche ; Jean-Marc Chataigner, directeur général délégué de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) ; Dhanjay Jhurry, fondateur et directeur de l’ANDI Centre for Excellence for Biomedial and Biomaterials Research ; ou encore Harinjaka Andriankoto Ratozamanana, directeur du Habaka Madagascar Innovation Hub. Ambitions affichées « Je suis convaincu que la promotion de la science, de la technologie et de l’innovation est de nature à enrichir considérablement notre action pour le développement durable de notre région. C’est de cette conviction profonde qu’est né le projet de ces « Premières Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation en Indianocéanie ». Cet événement marque de façon symbolique notre volonté collective d’insérer l’Indianocéanie dans le réseau mondial des producteurs de recherches et de découvertes et de la faire ainsi participer activement à l’économie de la connaissance génératrice de croissance et d’emplois. » Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien « Lorsque Jean Claude de l’Estrac a sollicité l’Académie des sciences pour soutenir la Commission de l’océan Indien dans son projet des « Premières Assises de la Science, de la Technologie et de l’Innovation en Indianocéanie » j’ai pensé qu’il s’agissait là d’une occasion unique d’appuyer une initiative porteuse pour la France et pour l'Indianocéanie, reliées par une histoire commune et un présent partagé. La science et l’innovation ne sont plus cantonnées aujourd'hui aux laboratoires et aux entreprises des pays du Nord. Au cœur de l’océan Indien, à la charnière entre les grands pôles de croissance asiatiques et africains, les pays de la Commission de l’océan Indien ont une carte à jouer pour s’inscrire dans ce réseau complexe, créateur de richesses matérielles et immatérielles, que sont la science, la technologie et l’innovation. Il y faut de la volonté politique. Ces Assises, organisées par la Commission de l’océan Indien, nous permettent d'ouvrir ensemble de nouveaux horizons de connaissance et de croissance durable. » Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation, Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences de France 11 Programme prévisionnel 29 octobre 2015 10.00 Accueil des participants SEANCE INAUGURALE 10.30 S.E.M. Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI). M. Matthieu Discour, Directeur de l’Agence Française de Développement (AFD) pour Maurice et les Seychelles S.E. Mme Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation et Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences de France. S.E. Mme Ameenah Gurib-Fakim, G.C.S.K., Présidente de la République de Maurice. Pause-café SESSION I –LES GRANDS ENJEUX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES DE L’INDIANOCEANIE Président de séance : M. Jean-René Garcia, Professeur des universités associé en Droit public à l’Université Paris 13 - Sorbonne Paris Cité, Conseiller auprès des Secrétaires perpétuels de l’Académie des sciences de France. 11.30 Agronomie M. Christian Hoste, Directeur des Relations Internationales d’Agreenium: « Enjeux scientifiques et technologiques pour l’agriculture, l’alimentation, l’environnement et les espaces ruraux » Questions et débats 12 Transferts technologiques, moteurs d’innovation et de développement M. François Guinot, président honoraire de l’Académie de Technologie de France, président du Groupe Inter académique pour le Développement (GID). Questions et débats Santé Mme Henriette Ratsimbazafimahefa Rahantalalao, présidente du conseil d’établissement de la Faculté de médecine d’Antananarivo, vicedoyenne chargé des Sciences et Médecine vétérinaires au sein de la Faculté de médecine d’Antananarivo, experte auprès de l’OMS. « Des nouvelles technologies pour l’amélioration de la qualité des soins en Indianocéanie. » Questions et débats 13.15 Pause Déjeuner SESSION I suite – LES GRANDS ENJEUX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES DE L’INDIANOCEANIE 14.15 Table Ronde sur les nouvelles technologies Président de séance : M. Bertrand Moingeon, Professeur à HEC (Hautes Etudes Commerciales) Paris, membre du GREGHEC-CNRS (Groupement d’Etudes et de Recherche en Gestion HEC- Centre National de la Recherche Scientifique) Participants : M. Nicolas Schmutz, directeur général de Réuniwatt, membre de Qualitropic. M. Harinjaka Andriankoto Ratozamanana, directeur général du Habaka Madagascar Innovation Hub. M. Olivier Sautron, directeur général d’OSCADI, le numérique au service de la santé 13 Robotique et économie numérique au service de la lutte contre les effets du changement climatique M. Ramesh Caussy, président et fondateur de Partnering 3.0, Professeur en Robotique de Services et Ethique de l’ENSIMAG-INP-LIG de Grenoble, inventeur du robot Diya One. « L’économie numérique et la robotique au service de la lutte contre les effets du changement climatique. » Questions et débats Applications spatiales M. Philippe Escudier, expert du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) dans le domaine des applications. « Sciences, innovation et croissance : le paradigme du spatial» Questions et débats La science à l’épreuve de la communication M. Arnaud Benedetti, Professeur des universités associé en Histoire à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne, collaborateur à l’Académie des sciences de France, directeur de la communication à l’INSERM. « Information et communication scientifique : un enjeu politique, une question sociale. » Questions et débats 17.30 Fin de la Première journée 14 30 octobre 2015 08.30 Accueil des participants SESSION II – TABLE RONDE : L’ENTREPRENEURIAT AU SERVICE DE L’INNOVATION ET DU DEVELOPPEMENT DE NOS TERRITOIRES 09.00 Président de séance : M. Rabin Bhujun, journaliste Participants : M. Nivel Mauree, architecte-urbaniste M. Dhanjay Jhurry, Mauritius Research Council / Université de Maurice, ANDI Centre of Excellence for Biomedical and Biomaterials Research (CBBR). M. Georges Chung Tick Kan , économiste, entrepreneur SESSION III – SCIENCE, EDUCATION ET SOCIETE Président de séance : Mme Romeela Mohee, Vice-chancelière de l’université de Maurice 10.00 M. Thierry Sauzier, directeur général adjoint – Medine Limited. « International Campus for Sustainable and Innovative Africa (ICSIA), à Maurice : Défi universitaire, social et international pour l’Indianocéanie». Questions et débats Mme Odile Macchi, membre de l’Académie des sciences française, Fondation de coopération scientifique « Main à la Pâte ». «L’enseignement des sciences fondé sur l’investigation: un atout durable pour le développement. Vingt ans d’efforts de La main à la pâte » Questions et débats 15 SESSION IV – RECHERCHE COOPERATION ET DEVELOPPEMENT Président de séance : M Philippe Jean-Pierre, président du Comité Régional pour l’Innovation (CRI) de La Réunion. 11.30 Dr Arjoon Suddhoo, directeur du Mauritius Research Council (MRC), Chairman d’Air Mauritius. « L’état des lieux de la science, de la technologie et de l’innovation : le cas de l’économie bleue en Indianocéanie. » Questions et débats 12.00 Pause déjeuner 13.30 M. Ahmed Ouledi, directeur exécutif du Centre technique pour la Gestion des risques de catastrophes, la durabilité et la résilience urbaine en Afrique australe, ancien coordonnateur des programmes de recherche de l’université des Comores. « Développer un cadre stratégique régional en faveur de la science et de la technologie en tant qu’outils de développement. » Questions et débats M. Jean Marc Chataigner, directeur général délégué de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) « Quels instruments de recherche pour répondre aux enjeux de développement de l’Indianocéanie ? » Questions et débats Pause-café SESSION V – SCIENCE, TECHNOLOGIE ET INNOVATION : QUELLE PLACE POUR LE SECTEUR PRIVE ? Président de séance : M Raju Jaddoo, Secrétaire général de la Chambre de commerce et d’industrie de Maurice 15.00 M. Frédéric Cadet, vice-président du Conseil régional de La Réunion chargé des Relations internationales, de la Coopération, de l’Innovation et de la Recherche. « Une stratégie de développement pour La Réunion dans l'océan Indien, axée sur l'innovation » 16 Questions et débats M. Laurent Blériot, directeur de Bioalgostral, Vice-Président de Qualitropic. « Retour d’expérience pour une "clusterisation" réussie : l’exemple du pôle de compétitivité Qualitropic à La Réunion » Questions et débats M. Vigile Hoareau – créateur du logiciel Ansamb. « Ce que l’Indianocéanie peut offrir à ses startupeurs. » Questions et débats M. Xavier Estico, Chief Executive Officer du National Institute for Science, Technology and Innovation (NISTI) des Seychelles. « La mise en place d’un écosystème local et régional d’innovation pour la restauration des récifs coralliens. » Questions et débats CLÔTURE 17.30 S.E. Mme Catherine Bréchignac, Ambassadeur délégué à la Science, la Technologie et l’Innovation et Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences de France. S.E.M. Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire général de la Commission de l’océan Indien 17 Présentation des institutions La Commission de l’océan Indien Créée en 1982 à Port-Louis (Maurice) et institutionnalisée en 1984 par l'Accord de Victoria (Seychelles), la Commission de l'océan Indien est une organisation intergouvernementale qui réunit cinq pays de la région océan Indien : Union des Comores, France/Réunion, Madagascar, Maurice, Seychelles. Sa mission principale est de resserrer les liens d’amitié et de solidarité entre les populations de l’Indianocéanie, et de bâtir des projets régionaux de développement durable, destinés à les protéger, améliorer leurs conditions de vie et préserver les ressources naturelles dont elles dépendent fortement. Seule organisation régionale africaine composée exclusivement d’îles, la COI défend leurs intérêts insulaires sur la scène régionale et internationale et promeut un développement plus durable et solidaire. C’est dans ce sens que la COI agit dans les domaines de la santé publique, prérequis essentiel au développement de long terme, et de plus en plus dans le domaine de la recherche, de l’innovation et de la technologie qui constituent des leviers d’une croissance durable pour l’Indianocéanie. Pour en savoir plus : www.coi-ioc.org L’Agence française de développement Etablissement public au cœur du dispositif français de coopération, l’AFD agit depuis plus de soixante-dix ans pour lutter contre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud et dans l'Outre-mer. Au moyen de subventions, de prêts, de fonds de garantie ou de contrats de désendettement et de développement, elle finance des projets, des programmes et des études et accompagne ses partenaires du Sud dans le renforcement de leurs capacités. L'amélioration de l'accès aux soins et l'amélioration de la santé maternelle et infantile sont les principaux axes d’intervention de l’Agence dans le domaine de la santé, tout comme la préservation de la sécurité sanitaire considérée aujourd’hui comme un bien public mondial. Pour en savoir plus : www.afd.fr L’Académie des sciences Depuis sa création en 1666, l’Académie des sciences se consacre au développement des sciences et conseille les autorités gouvernementales en ce domaine. Indépendante et pérenne, placée sous la protection du président de la République, elle est l'une des cinq académies siégeant à l’Institut de France. Au début des années 2000, l’Académie s’est dotée de nouveaux statuts lui permettant d’augmenter et rajeunir son effectif, afin de répondre à l’accroissement des connaissances scientifiques et à l’élargissement des domaines de recherche. Aujourd'hui riche de 263 membres, 125 associés étrangers et 91 correspondants, élus parmi les scientifiques français et étrangers les plus éminents, l’Académie des sciences est pluridisciplinaire et largement ouverte à l’international. Ses membres réalisent leurs travaux au sein de comités de réflexion thématiques en interaction étroite avec les instances de gouvernance statutaires. L’Académie exerce cinq missions fondamentales : encourager la vie scientifique, promouvoir l'enseignement des sciences, transmettre les connaissances, favoriser les collaborations internationales et assurer un rôle d'expertise et de conseil. Pour en savoir plus www.academie-sciences.fr Unité de communication Blue Tower, 3ème étage Rue de l’Institut, Ebène – Maurice Tél. : (+230) 402 61 00 [email protected] www.coi-ioc.org