« Vaux » mieux « con-vaincre » que vaincre. «

Transcription

« Vaux » mieux « con-vaincre » que vaincre. «
« Vaux » mieux « con-vaincre » que vaincre.
L'homme fait toutes ses choses « all-en-vers »
Il part de l'extérieur, pour mieux connaître son intérieur.
Pour ensuite comprendre que tout est lié et ne forme qu'une seule entité.
Il vit égoïstement dans un groupe, et parle d'UN collectif. En vérité il « sait-touffe », il « sait-souffle ».
Alors l'homme croit depuis toujours qu'il court et va dans la bonne direction,
qu'il va « allant-droit », or en réalité, il est tordu et se perd dans son droit.
Bref, l'homme s'étonne qu'il marche sur la têêêête, et devient bêêêête comme ses pieds.
L'homme fait toutes les choses « allant-vers »
Il juge les autres, au lieu de se juger « lui-m'aime ».
Il veut diriger les autres, au lieu de se diriger « lui-m'aime ».
Il croit « co-naître » l'autre, mais ne se connaît pas « lui-m'aime ».
Il croit connaître l'avenir, mais ignore l'histoire de ses « an-ce(p)tre »
Bref, l'erreur est « hume-haine », ce que la perfection état « D.'yeux ».
L'homme fait toutes choses à l'envers.
En prenant sa gauche pour sa droite et le plafond pour le plancher,
il est évident que l'homme est à la croisée de ses chemins, et qu'il cherche son chemin en évitant le centre.
Remettons la signalisation « allant-droit » car la voi(x)(e) vers soi-m'aime, reste inaudible et sinueuse.
Bref, arrêtons de croire en sa croix, de croisé et décroiser, mais sachons vivre en ses choix pour décroisé se qu'il a été croisé.
« Vaut » mieux « qu'on-vaincre » que vaincre.