Mali - AFRITAC Ouest
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Mali - AFRITAC Ouest
Institut National de la Statistique du Mali -----------------------------Département de la Comptabilité Nationale, des Statistiques de Conjoncture, des Etudes et Analyses Economiques -------------------------------Division de la Comptabilité Nationale Méthodologie d’élaboration des Comptes Nationaux du Mali Document de Travail En cours…. Sommaire I.-Introduction ......................................................................................................................................... 3 II.-Organisation Institutionnelle autour des comptes nationaux .............................................................. 4 III.- Collecte et traitement des sources .................................................................................................... 5 III.-1.Collecte des données ................................................................. Error! Bookmark not defined. III.-2. Traitement des sources .............................................................................................................. 6 III.2.1- Agriculture .......................................................................................................................... 7 III.2.2- Élevage ................................................................................................................................ 9 III.2.3- Administrations publiques (APU) ..................................................................................... 12 III.2.4.-Banque et Assurance ......................................................................................................... 21 III.2.5- Les Déclarations Statistiques et Fiscales (DSF) ................................................................ 22 IV.- Travaux sur ERETES..................................................................................................................... 25 IV.1.- Préparation des données pour ERETES et Pré-arbitrage ........................................................ 28 IV.2.- Travaux analytiques ................................................................................................................ 30 IV.2.1- Elaboration des équilibres ressources Emplois ................................................................. 30 IV.2.2- Compte de Branche ........................................................................................................... 33 IV.2.3- Matrice de qui a qui .......................................................................................................... 35 IV.3- Synthèses sur biens et services et sur opérations de répartition ............................................... 36 IV.3.1-Contrôle de la base et Validation des ratios ....................................................................... 36 IV.3.2-Equilibre du TEI ................................................................................................................ 37 IV.4- Synthèse par secteur................................................................................................................. 38 IV.5- La synthèse finale .................................................................................................................... 38 V.-Nomenclature réduite ................................................................................................................... 38 VI.- Diffusion et validation ................................................................................................................... 39 VI.-Conclusion ...................................................................................................................................... 41 Annexes ................................................................................................................................................. 41 Annexe 1 : Nomenclature du Mali .................................................................................................... 42 2 I.-Introduction Ce document présente la méthodologie d’élaboration des comptes nationaux du Mali. La méthodologie utilisée par le Mali est conforme aux recommandations du Système de Comptabilité Nationale de 1993 (SCN93) des Nations Unies. Les nomenclatures utilisées sont celles des pays membres d’AFRISTAT. Il s’agit de la NAEMA et la NOPEMA qui ont toutefois été réduites afin de les adapter aux réalités de l’économie malienne et d’accélérer la production des comptes nationaux. Ce document de travail est structuré en quatre points : - Organisation des travaux - Collecte et préparation des sources de données - Travaux sur ERETES - Diffusion des résultats 3 Chapitre 0 : Cadre du Travail II.-Organisation Institutionnelle autour des comptes nationaux II… Organisation opérationnelle de travail (Ici, expliquer globalement comment le travail est fait pour atteindre les résultats escomptés) Les comptes nationaux du Mali sont élaborés par le département de la comptabilité nationale, des statistiques de conjoncture, des études et analyses économiques de l’institut national de la statistique (INSTAT). Le département compte 15 agents dont 11 cadres supérieurs et comporte cinq divisions : - Division de la Comptabilité Nationale - Division des Statistiques Industrielles et des Entreprises - Division des Statistiques Financières et des Services - Division des Statistiques de la Conjoncture - Division des Etudes et Analyses Economiques Les quatre (4) divisions aident celle de la comptabilité dans l’élaboration des comptes nationaux de la collecte et la préparation des sources jusqu’à la synthèse des travaux sur ERETES. Il convient de rappeler que la division de la comptabilité nationale travaille à temps plein dans l’élaboration des comptes nationaux. - Un organigramme du département comptabilité nationale, des statistiques de conjoncture, des études et analyses économiques Division de la Comptabilité Nationale Division des Statistiques Industrielles et des Entreprises Division des Statistiques Financières et des Services - Attributions détaillées de chaque cadre - Repartition des taches (A partir de ERETES) - Noter qu’on est en processus de rattrapage 4 Division des Statistiques de la Conjoncture Division des Etudes et Analyses Economiques - Calendrier de publication (Tableau publication par comptes…..) - Présenter les travaux sur les SCN 2008 qui ont été déjà faits - Parler de révision des comptes dans le document méthodologique - Parler des comptes provisoires - Parler pourquoi il y a des révisions sémi définitifs ou définitifs dus principalements à : Les DSF Les finances publiques Les BDP - Parler de la version du scn utilisé (86 ou 93 ou 2008) Chapitre : Présentation des sources Les comptes nationaux du Mali sont élaborés à partir d’une vingtaine de sources de données recouvrant tous les secteurs de l’économie malienne. Dans ce document nous nous limiterons à la présentation des sources suivantes : - La source agriculture - La source élevage - La source de l’Administration Publique (APU) - La source des entreprises (Déclaration Statistique et Fiscale-DSF-) - Et la source des collectivités territoriales - Repertoire des entreprises (à présenter aussi) Il s’agit donc d’expliquer comment les données sont collectées de manière générale et les traitements effectués à chacune des 5 sources mentionnées ci-dessus. Le travail à faire pour chaque source - Où trouver la source - Dans quelle structure - Périodicité de la disponibilité des sources - Protocole de convention avec les directions - Gestion des valeurs manquantes - Les difficultés rencontrées au niveau de chaque source - Faire un bilan de l’existant et ses limites (Une introduction du chapitre) Les fournisseurs des données Dans le processus de production des comptes nationaux, certaines sources telles que les indices des prix, les indices de production industriels, le commerce extérieur etc. sont disponibles à l’INSTAT etc. 5 Les autres sources proviennent des directions centrales concernées de l’Etat et des collectivités la Banque Centrale etc. L’élaboration des comptes nationaux du Mali est organisée sous forme de campagne. Une campagne représente les comptes d’une année donnée. Dans la suite, nous appelons n la campagne courante et n1 la campagne précédente. A l’ouverture d’une nouvelle campagne d’élaboration des comptes nationaux, un administrateur de compte est désigné par le chef de division de la comptabilité nationale avec l’accord du chef de département. Les sources sont collectées selon leur provenance et en deux étapes : - Premièrement, les sources émanant de l’INSTAT sont collectées par l’administrateur auprès des départements ou des divisions concernées - Deuxièmement, une lettre explicitant les indicateurs et documents cherchés est envoyée à chaque direction concernée. Des difficultés sont souvent rencontrées dans cette dernière étape. Il s’agit notamment, de la lenteur des directions extérieures à l’INSTAT à envoyer les données. Il arrive même souvent à l’INSTAT de relancer les lettres. Aussi, les déclarations statistiques fiscales des entreprises provenant des impôts arrivent souvent en retard. Ceci pourrait mettre en retard les traitement des données. Présenter par secteur si possible - Secteur primaire - Secteur Secondaire et secondaire III.-2. Traitement des sources Deux parties, les sources régulières et les sources occasionnelles (Le RGPH, Les enquêtes ménages, les enquêtes informelles, les autres recensements…) Pour les sources occasionnelles (Qu’est ce qu’il faut dire pour chaque source occasionnelle ?) - Le RGPH 2009 - Recensement des entreprises industrielles (chaque 2 ans) - L’enquête 1-2-3 - Enquête ISBLM - Recensement Général Agricole (RGA) - Enquête sur les taux de marges - Enquête de structure de l’économie - Enquête transfrontalier sur le commerce extérieur 6 Une fois que les sources des données sont réunies, l’étape suivante est le traitement des sources. A chaque cadre du département, est attribué un certain nombre de sources pour traitement. L’INSTAT dispose déjà des maquettes préétablies pour chaque source. Lorsqu’une nouvelle source est ajoutée, l’équipe dans le département se réunie avec les experts de la source concernée pour préparer sa maquette. Dans cette section, nous nous présenterons 4 sources : - La source agriculture ; - La source élevage ; - La source banque et assurance (Renommer aux Sociétés Financières et mettre l’accent sur les IMF) - La source des entreprises (DSF) ; - et la source des APU (Ajouter quelques mots sur le TOEF) - Balance de paiements - Commerce extérieurs - Emploi - Autres sources (comme les prix,…) - Parler si possible des perspectives sur le SCN 2008 [Les insuffisances dans les sources] Il faut par ailleurs signaler qu’une source de données peut être composée de plusieurs sources secondaires et souvent renseigne plusieurs branches d’activités. C’est le cas de la source Elevage qui permet de renseigner en plus de la branche élevage, la branche agro-alimentaire à travers les informations sur la production de viande. III.2.1- Agriculture Au Mali, la source agriculture utilise cinq sources secondaires - L’Enquête Agricole de Conjoncture (EAC) - Les prix moyens de l’Observatoire du Marché Agricole (OMA) - L’Indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) - Et les rapports d’activités de la Direction Nationale de l’Agriculture (DNA) - La Déclaration statistique et fiscale de la Compagnie Malienne du Développement des Textiles (CMDT) La source agriculture utilise 21 principaux produits de l’agriculture qui représentent un grand poids dans l’ensemble de la production agricole. La Maquette agriculture est faite en Excel et contient les feuilles suivantes 7 - EAC La source EAC renseigne la production des différents produits en année n et n-1. L’exemple des produits céréaliers est : A ce niveau, aucun calcul n’est fait. On renseigne juste les productions dans les deux années à savoir l’année de campagne n et l’année précédente n-1. - OMA La feuille OMA donne des informations sur les prix producteurs des produits Pour le prix producteur, le Mali fait la moyenne des prix des trois derniers mois de l’année (Octobre, Novembre et Décembre). En effet, ce dernier trimestre correspond à la période de récolte au Mali. - IHPC La source IHPC donne le prix moyen annuel des produits de l’agriculture. - Traitement n-1 La feuille de traitement n-1 rappelle les résultats de traitement de l’année n-1 Les hypothèses et calculs 8 Des hypothèses sont faites pour estimer la production de chaque produit. Il est à noter que toute la production agricole n’est pas destinée à la vente, une partie est consommée par le ménage producteur lui même. Ainsi, la production agricole à deux composantes à savoir la production marchande et la production non marchande. Aussi, faut-il dire qu’une partie de cette production agricole est détruite entre autre par le caractère périssable de certains produits. Production nette = Production brute (1-taux de perte) Production non marchande = Production nette*taux d’autoconsommation Production marchande = Production nette – Production non marchande Par ailleurs, il peut y arriver que les quantités de certains produits ne soient pas fournies par EAC. Pour ces cas, on fait une estimation de la quantité brute en année n de ces produits manquants en faisant l’hypothèse que la production évolue au même rythme que la population. La production étant évaluée au prix producteur, lorsque le prix d’un produit n’est pas connu, on procède à son estimation. Pour cette dernière, on utilise les ratios prix producteur/IHPC pour l’estimation. En outre, les valeurs de productions marchande et non marchande sont calculées en multipliant les quantités marchandes et non marchandes respectivement par les prix producteurs. III.2.2- Élevage Les données de cette source proviennent de la Direction Nationale des Productions et des Industries Animales (DNPIA). La source élevage collecte les informations suivantes : Effectifs du cheptel en fin d'année N (source : rapport annuel DNPIA) Effectifs calculés (source : fichier de traitement de l'année n-1, feuille "CalculProd") Données sur les prix N-1 (source : fichier de traitement de l'année n-1, feuille "CalculProd") Données sur les prix N-1 et N (source : IHPC) Données sur les prix N (source : rapport annuel DNPIA) a.-Méthode de calcul de la production de la source La source utilise plusieurs productions dans le domaine de l’élevage. La source élevage n’est pas forcément synonyme de la branche élevage dans les comptes nationaux du Mali. En effet, la nomenclature NAEMA classe certains éléments de la source dans les industries agro-alimentaires etc. Il est question de présenter ici les méthodes de calcul de la production pour les éléments concernés par 9 la source. Pour calculer les productions, plusieurs hypothèses sont faites et qui seront détaillées dans les différentes parties. a.1.- Production de l'élevage de bétail et autres agrégats a.1.1-Production de l’élevage de bétail La production de l’élevage de bétail est calculée à partir de la formule suivante : Production = Exploitation + Variation effectifs - importations Les principaux produits utilisés sont : bovins, ovins, caprins, équins, asins, camelins et porcins. Exploitation o Une hypothèse est faite sur le calcul de l’exploitation. Il s’agit de l’utilisation du taux d’exploitation donné dans le rapport annuel de la DNPIA. Ce taux d’exploitation varie selon les différents types de bétails. Soit te : le taux d’exploitation, et ∶Effectif de la campagne n L’exploitation d’un produit donné est calculée comme suite : , o ∗ Variation La variation d’un produit donné est la différence entre son effectif de la campagne n et la campagne n-1 : o Importation Pour les importations, aucune hypothèse n’est requise, la source DNPIA permet de renseigner les importations de bétails mais en général le pays n’importe pas de bétail. En revanche, il exporte. Par ailleurs, cette production totale est repartie en production marchande et non marchande. Pour calculer la production marchande, on utilise une hypothèse sur le taux de commerce qui varie selon le produit. Soit tc le taux de commerce alors 10 Production marchande = tc*production totale Production non marchande = (1-tc)*production totale Les valeurs des différents types de production sont calculées en multipliant la quantité de la production par les prix. a.1.2- Autres agrégats Il est calculé également la Formation Brute de Capital Fixe (FBCF), les variations de stocks (VS) et la consommation intermédiaire (CI) de l’industrie de l’abatage. o Calcul de FBCF et VS Le FBCF et la VS sont déterminées à partir de l’effectif des betails de la campagne n net de la campagne n-1. On fait l’hypothèse que 2/3 de cette variation est destinée à la FBCF et 1/3 à la VSF. Ainsi : FBCF = Variation*(2/3) VS= variation*(1/3) o CI (abatage) L’abatage est calculé et sert de consommation intermédiaire pour les industries agro-alimentaires. Il est déterminé en fonction de l’exploitation. En effet, les bétails qui sont exploités sont soient exploités soient utilisés à des fins de l’abatage. Donc Exploitation = Abatage + Exportation Ce qui implique CI(Abatage) = exploitation-exportations. Les valeurs sont obtenues en multipliant les prix par les quantités. a.2.- Productions de viande de chasse, de lait, des œufs, de viande de volailles et de miel Ces productions sont estimées à partir d’une hypothèse faite sur la part de kilogramme (litre) de viande (de lait) par an et par habitant. Ainsi, Production = Population (n)* part de Kg (ou l)/an/hab. Pour déterminer la production marchande, on utilise le taux de commerce. La production non marchande est déduite en faisant la différence entre la production totale et la production marchande. Les valeurs sont obtenues en multipliant les prix par les quantités de production 11 a.3.- Production de volailles La production totale de volailles est connue à travers le rapport de DNPIA. La composante marchande est déterminée à partir de l’hypothèse sur le taux de commerce. Quant à la production non marchande, elle est obtenue en faisant la différence entre la production totale et la production marchande. a.4.- Production de viande La production de viande est estimée à partir de l’effectif de l’abatage. Le poids de carcasse étant connu pour chaque type d’animal, la production totale en tonnes est égale à l’effectif des animaux abattus multiplié par leur poids moyen. Les prix producteurs sont utilisés pour calculer les valeurs des productions. La production non marchande est déterminée en utilisant le taux d’autoconsommation. La production marchande quant à elle est déduite à partir de la production marchande et de la production totale. a.5.- Production d'autres produits de l'abattage a.5.1- Cuirs et peaux La production de cuirs et peaux des animaux abattus est estimée à partir de l’effectif des animaux abattus. Mais une hypothèse est faite sur la perte de cuirs et peaux. En effet, une partie de cette production est perdue. Soit tp le taux perte, alors la production est : Production nette = Production brute (1-tp). La consommation locale est ensuite déduite à partir des exportations : Consommation locale = production nette – Exportation Production non marchande = Production nette* part de l’autoconsommation Production marchande = Production nette – Production non marchande a.5.2- Autres produits de l’abatage Il s’agit ici de calculer la production de viande dans les abattoirs des différentes régions et de Bamako. La production est la résultante des productions des zones concernées. III.2.3- Administrations publiques (APU) Champ des APU Les administrations publiques regroupent l’ensemble des entités créées par décision politique, qui ont une autorité législative, judiciaire ou exécutive sur les autres unités institutionnelles dans un domaine donné. Les fonctions principales des administrations sont de : fournir des biens et services à la communauté ou aux ménages, 12 se financer par des impôts ou d’autres revenus, redistribuer les revenus sous forme de transferts. La nomenclature des sous-secteurs du secteur des administrations publiques (0S1003) est la suivante : 0S1003001 : Administrations publiques centrales, 0S1003002 : Administrations publiques locales, 0S1003003 : Administrations publiques de sécurité sociale. Les branches d’activités concernées par les unités du secteur des administrations publiques sont : 017002 : Activités de services aux entreprises, 018000 : Activités d’administration publique, 019000 : Éducation, 020000 : Activités de santé et d’action sociale, 021000 : Activités à caractère collectif ou personnel. Au Mali, les administrations publiques sont constituées des entités suivantes : Le Trésor (y compris le budget d’investissement sur fonds propres) = 0S1003001, Le Budget d’Investissement de l’État (financements extérieurs) = 0S1003001, Les établissements publics à caractère administratif (EPA) = 0S1003001, L’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) = 0S1003003, la Caisse de Retraite du Mali (CRM) = 0S1003003, les collectivités territoriales = 0S1003002. Sources de données Les sources de données sont (cf. annexe 1) : l’exécution du budget national en dépense et en recette, le rapport sur l’exécution triennal du budget spécial d’investissement, les comptes de gestion et le bilan de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS), le bilan et le compte de gestion de la Caisse de Retraite du Mali (CRM), les états financiers des autres EPA, les comptes des collectivités territoriales. La Loi de Finance et le Tableau des Opérations Financières de l’État sont également utilisés. Le document d’exécution du budget, les états financiers des EPA et les comptes des collectivités territoriales sont collectés à la Direction Nationale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DNTCP) ou à la Direction Nationale du Budget (DNB). Le rapport sur l’exécution triennal du budget spécial 13 d’investissement est préparé par la Direction Nationale de la Planification du Développement (DNPD) du Ministère du Plan et de l’Aménagement du Territoire (MPAT). Pour ce qui est des deux autres sources, les documents sont fournis directement par les structures elles-mêmes. Traitement des sources Le Budget National Les dépenses et les recettes sont traitées séparément, de la saisie des informations jusqu’à la table de chargement. Une table de chargement permet un assemblage des informations des deux tables relatives aux recettes et aux dépenses. Le traitement des dépenses du budget de fonctionnement (Trésor) consiste à procéder à une saisie des dépenses détaillées, par nature de dépense et par unité administrative. Le détail par nature permet de distinguer les différentes opérations de comptabilité nationale concernées (dépenses de biens et services, salaires, transferts entre administrations publiques, etc.). Le détail par unité administrative permet de repérer la branche d’activité concernée (administration générale, enseignement, services de santé, etc.). Les produits concernés sont les suivants : 017001000 : services immobiliers 017002000 : services aux entreprises 018000000 : administration 019000001 : enseignement de base 019000002 : enseignements secondaire, technique et supérieur 020000001 : santé humaine 020000002 : santé animale 020000003 : action sociale 021000000 : services collectifs, sociaux et personnels. Au sein d’une unité administrative, il est possible d’avoir plusieurs produits. Dans ce cas, la distinction des produits est faite sur la base des informations contenues dans la Loi des finances, plus détaillée. Les montants retenus sont alors les montants budgétisés et le solde est affecté à l’activité 14 d’administration générale. La liste des unités administratives et des services qu’elles rendent figure à l’annexe 3a. Quant aux recettes, la procédure ne diffère pas de celle des dépenses, à ce niveau il s’agit de faire la saisie détaillée des recettes par nature. Ainsi, dans le fichier budget, on retrouve : une table de passage des recettes du Trésor aux opérations de comptabilité nationale (cf. annexe 3b), une table de passage des dépenses du Trésor (dépenses courantes et dépenses d’investissement sur financement intérieur) aux opérations de comptabilité nationale (cf. annexe 3c), une feuille de traitement des dépenses d’investissement (dépenses d’investissement sur financement extérieur – cf. annexe 3d). Le Budget Spécial d’Investissement Les données sur les dépenses d’investissements publiques sont fournies dans le rapport d’exécution triennal du budget spécial d’investissement. Ce document est disponible au niveau de la Direction Nationale de la Planification du Développement et contient toutes les données sur les projets, par secteur et sous-secteur. La structure sectorielle est : l’économie rurale, le secondaire, les infrastructures et les ressources humaines. Le détail des sous-secteurs figure à l’annexe 4a. Les informations traitées concernent le total des réalisations, la part de la FBCF dans les réalisations, et la part des études dans la FBCF, ainsi que les financements : part du budget de l’État, autres financements, autofinancement et financement extérieur. Certains des investissements concernent non pas l’administration centrale mais d’autres organismes de l’État (EPA, CRM…) ou des entreprises publiques (ONP, Sotelma…). Lorsque le financement provient de ressources allouées à l’État, les dépenses correspondantes sont alors enregistrées en transferts (courants ou de capital selon leur nature) vers ces structures. Dans le cas contraire (dépenses sur fonds propres ou allouées directement à ces structures), les dépenses correspondantes doivent être exclues de l’analyse du budget d’investissement puisqu’elles figurent normalement déjà au niveau des différentes structures concernées. 15 Dans la mesure où les dépenses sur financement intérieur sont déjà prises en compte dans l’analyse du Budget national, seules sont considérées ici les dépenses sur financement extérieur ou sur autres financements (l’autofinancement ne concerne que les EPA ou les entreprises publiques). Les autres financements correspondent généralement à des contributions de communautés villageoises. On considère alors qu’il y a transfert de capital des ménages vers l’État qui réalise la totalité de l’investissement. On suppose que pour la part des investissements financés sur ressources extérieures ou par d’autres financements, la structure des dépenses est la même que pour les dépenses totales. Il est alors possible de déterminer, par sous-secteur, la part de la FBCF, et dans la FBCF, la part des études. Des coefficients de partage, spécifiques à chaque sous-secteur, permettent ensuite de ventiler la FBCF (hors études) par produit, d’une part, et de ventiler les autres dépenses (total des dépenses moins FBCF) entre consommations intermédiaires (non spécifiées) et rémunération des salariés, d’autre part. Ces coefficients figurent à l’annexe 4b. Les Établissements Privés à Caractère Administratif (EPA) Ils sont au nombre de cent environ (cf. annexe 5a). Ils ont une certaine autonomie de gestion et fonctionnement à partir des subventions qui leurs sont accordées. Les subventions que reçoivent les EPA sont: Les subventions qui leur sont accordées par l’Etat qui constituent la source de financement des dépenses de fonctionnement et d’investissement; Les subventions reçues des partenaires. La plupart des EPA disposent également de recettes propres. Seul un nombre limité d’EPA fournit un état financier. En 2004, ils étaient au nombre de 23 et les transferts courants qu’ils avaient reçus représentaient 51% des transferts courants totaux aux EPA. Le traitement des EPA nécessite au préalable deux vérifications : une vérification de leur appartenance sectorielle ; une confrontation entre le montant de subvention qu’ils déclarent avoir reçu de l’État et celui que l’État déclare leur avoir versé. 16 - vérification de leur appartenance sectorielle : en principe, pour un organisme de l’État, les ressources propres sont inférieures aux autres ressources, on procède donc à une comparaison entre le total des ressources propres et le total des transferts ou taxes reçues. Si total des ressources propres > total des transferts ou taxes : la structure est classée en société ; Si total des ressources propres < total des transferts ou taxes : la structure est classée en administration publique. - vérification des subventions : on vérifie les subventions que les EPA déclarent avoir reçu de l’État se retrouvent dan le Budget National ou le budget d’investissement, pour le même montant. On procède ensuite à la préparation de la table de chargement à partir d’une table de passage entre les opérations telles qu’elles figurent dans les états financiers et les opérations de la comptabilité nationale. Ces tables de passage figurent aux annexe 5b (recettes) et 5c (dépenses). Les collectivités territoriales Les collectivités territoriales constituent le sous-secteur des administrations publiques locales (0S1003002). La liste des collectivités territoriales figure à l’annexe 6a. Tout comme les EPA, les collectivités territoriales transmettent la situation de leurs activités annuelles au Trésor public. Les données sont libellées par cercle et par opération au niveau de chaque région. Par conséquent, on a autant de fichiers que de régions, et pour chaque fichier (région), autant de feuilles que de cercles. Ainsi pour le traitement, on fait d’abord une synthèse au niveau de chaque région. On procède ensuite à une synthèse globale des données régionales et on établit une table de passage entre les opérations des collectivités et les opérations de comptabilité nationale. Ces tables de passage figurent aux annexe 6b (recettes) et 6c (dépenses). Enfin on centralise les données codifiées sur une table de chargement. Malheureusement, tous les cercles ne transmettent pas leurs comptes à leur région et toutes les régions ne transmettent pas les situations des différents cercles à l’administration centrale. Il est de ce fait nécessaire d’extrapoler les données traitées. Compte tenu de la difficulté à identifier précisément les 17 transferts vers les collectivités territoriales dans le Budget National, le coefficient d’extrapolation est basé sur la population des cercles. Les projections de population pour l’année courante sont fournies par le Bureau Central du Recensement de l’INSTAT. En 2004, le coefficient d’extrapolation était de 1,63. On notera une difficulté de traitement liée à l’utilisation différente qui est faite par les cercles des lignes comptables correspondant aux têtes de rubriques. Normalement, ces lignes ne sont pas utilisées mais certains cercles les utilisent cependant comme poste « non ventilé ». Cette différence de conception complique singulièrement le traitement automatisé des données. La Caisse de Retraite du Mali et l’Institut National de Prévoyance Sociale Ces deux entités constituent le sous-secteur des administrations de sécurité sociale (0S1003003). La Caisse de Retraite du Mali (CRM) fournit un État financier relativement détaillé (compte de résultat et bilan) qui permet un passage relativement simple aux opérations de comptabilité nationale. La table de passage figure à l’annexe 6a. Le traitement des données de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) est plus complexe car les comptes de gestion sont présentés par régime (A – Accident du travail, F – Prestations familiales, M – Maladie, V – Vieillesse, S – Action sanitaire et sociale et G – Administration) et il n’existe pas de situation consolidée. Par ailleurs, il y a des transferts de certains régimes vers d’autres mais la consolidation de ces transferts n’est pas nulle, comme ce devrait normalement être le cas. La table de passage entre les données de l’INPS et la comptabilité nationale figure à l’annexe 7b. 3. Calcul de la consommation de capital fixe Les seules séries longues de FBCF disponibles, nécessaires au calcul de la Consommation de capital fixe (CCF) des administrations publiques, sont les séries de l’ancienne base de comptabilité nationale (établie selon le SCN 68). Cette série ne détaille pas la FBCF par produit, les données disponibles sont, sur la période 1980 2005 : - la FBCF globale (tous secteurs confondus), aux prix courants, - la FBCF globale (tous secteurs confondus), aux prix constants de 1987, - la FBCF des administrations publiques, aux prix courants. La durée de vie moyenne des investissements des administrations publiques est supposée être de 20 ans. 18 Pour l’année 2004, la CCF est la moyenne des valeurs actualisées 2004 de la série de FBCF entre 1985 et 2004. Elle est alors calculée selon la formule suivante : 2004 CCF = FBCFAPUncour xINDprix 2004 / n 20 n 1985 FBCFAPUncour FBCFtot 2004 cour x 20 FBCFtot 2004 const n 1985 2004 = Où : totnconst FBCF / FBCF totncour FBCFAPUncour est la FBCF des administrations pour l’année n, aux prix courants FBCFtotnconst est la FBCF des administrations pour l’année n, aux prix constants (de 1987) INDprix 2004 / n est l’indice des prix de la FBCF entre l’année n et l’année 2004. La CCF est ensuite répartie par produit, branche et secteur au prorata de la production hors CCF. Les calculs sur la CCF et la production sont faits dans un fichier spécifique. En 2004, la CCF représentait 25% de la production totale des administrations publiques. 5. Améliorations possibles Les comptes du Trésor ne sont pas établis à partir d’une situation comptable intégrée (type balance du Trésor) mais à partir d’informations extracomptables. Rien ne garantit donc l’exhaustivité des données traitées. Pour pallier cette difficulté, un rapprochement devrait être fait avec le Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) établi par la Direction Nationale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DNTCP). Le TOFE est en effet sensé donner une représentation complète des opérations du Trésor (et d’autres organismes de l’État). Les données sont en particulier rapprochées de la Position Nette du Gouvernement (PNG) vis-à-vis du système financier national, ce qui permet de renforcer l’intégrité du compte. Toutefois, le rapprochement avec le TOFE est difficile du fait de sa nomenclature trop agrégée. Par ailleurs, la PNG est calculée par la BCEAO pour l’ensemble des administrations publiques (au sens statistique) et inclut donc les variations des soldes des comptes des projets financés par l’extérieur, qui peuvent être importantes. 19 La nature de certains postes de dépenses du Budget National reste floue. C’est notamment le cas des postes 649-20 : Filet social d’ajustement et 649-90 : Dépenses PPTE. Par ailleurs, les bénéficiaires (en termes de secteur et de branche) des transferts et subventions ne sont pas toujours facilement identifiables. Des séances de travail devront être organisées avec le Trésor pour éclaircir ces points. Les dépenses communes, qui incluent notamment des dépenses d’électricité, de communication, de transport et de location de bâtiments administratifs ainsi que le paiement des heures supplémentaires sont, faute d’informations, affectées en totalité à la branche « activité d’administration publique » alors qu’elles concernent aussi les autres branches d’activités (enseignement, santé…). Une clé de répartition entre branches pourrait être recherchée. Le projet en cours de production du TOFE selon les rubriques du manuel 2001 de Statistiques de Finances Publiques (SFP 2001) du FMI devrait pouvoir être mis à profit. La reprise envisagée de la production de balances du Trésor significatives, qui ont l’avantage de présenter une situation intégrée des comptes du Trésor (recettes, dépenses, financement), pourrait dans un avenir proche servir de base à l’analyse des comptes du Trésor. A moyen terme, la mise en œuvre des nouvelles directives sur les finances publiques préparées par la Commission de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), et donc l’utilisation de nomenclatures des dépenses par nature et par fonction, devrait simplifier considérablement le travail d’analyse des dépenses du Trésor. Dans tous les cas, une étroite collaboration doit être maintenue avec les cadres en charge de l’élaboration du TOFE, qui ont les mêmes préoccupations que les comptables nationaux. Les coefficients utilisés pour détailler les dépenses du BSI doivent être réestimés régulièrement. Ils doivent l’être obligatoirement lors d’un changement d’année de base. La couverture du champ des EPA devrait être améliorée. Sur une liste actualisée d’environ 100 EPA, seule une vingtaine dépose des états financiers au Trésor public. Une action directe de l’INSTAT auprès des structures non-répondantes les plus importantes devrait être envisagée. La présentation des documents financiers des EPA devrait être harmonisée. La couverture des collectivités territoriales devrait être améliorée aussi. 20 III.2.4.-Banque et Assurance Les Banques et les IMF Pour les banques, le traitement retenu par l’INSTAT consistait à se rapprocher de chaque banque de la place pour obtenir ses documents financiers et à saisir les informations dans un fichier utilisé à l’origine au Niger. Cette méthode comportait de sérieux inconvénients : L’INSTAT ne disposait pas des documents financiers de l’ensemble des banques, et notamment des deux principales (BDM-SA et la BIM-SA) d’entre elles, les données devaient être saisies directement selon les concepts de comptabilité nationale, ce qui obligeait à un travail d’interprétation préalable des comptes financiers des banques, non explicité. En conséquence, avec l’appuie technique de l’afritac de l’ouest, un processus différent a été mise en place: les données de base sont des données déjà agrégées et publiées par la BCEAO. Elles assurent l’exhaustivité de la couverture ainsi qu’une meilleure qualité des données, car, la BCEAO procédant à des contrôles des informations transmises par les banques. Par ailleurs, la BCEAO produit également la situation des établissements financiers non bancaires, qui n’étaient pas pris en compte jusqu’à présent. De plus, les données sont désormais saisies selon la nomenclature des rubriques utilisée par les banques. Une table de passage permet ensuite le passage aux concepts de comptabilité nationale (voir annexe 1). Cependant, séparément à cette phase de traitement on doit procéder à l’analyse de certaines dépenses, en s’appuyant sur les documents financiers détaillés disponibles. Cette analyse approfondie devra en particulier permettre de déterminer le détail des consommations intermédiaires ou de la FBCF, par produit. Concernant le secteur des Institutions de micro finance (IMF), le « Rapport annuel sur le secteur de la micro finance au Mali » établi par la Cellule d’Appui et de Suivi des Systèmes Financiers Décentralisés (CAS/SFD) du Ministère de la Promotion des Investissements et des Petites et Moyennes Entreprises permet de recueillir le minimum d’informations nécessaire à la prise en compte des activités des IMF. Les résultats présentés par le CAS/SFD ne portent que sur environ 40 des 59 structures identifiées dans ce secteur (soit une couverture de 68%). La couverture en terme d’activité, telle qu’elle pourrait être mesurée par le nombre de sociétaires, le montant des encours de crédits ou le 21 montant des dépôts est nettement plus importante, compte tenu du faite que les structures non répondantes sont de petite taille. Le traitement des établissements de crédits figure sur une même maquette que celui des banques. La table de passage des opérations des IMF aux opérations de comptabilité nationales figure en annexe 2. Les assurances Les comptes des entreprises d’assurance étaient établis à partir d’informations agrégées produites par le Ministère des Finances, ce qui assurait l’exhaustivité de la couverture. Ces informations avaient cependant l’inconvénient d’être présentées selon un détail très insuffisant pour les besoins d’analyse de la comptabilité nationale. De plus, le traitement retenu n’était pas adéquat. Comme pour les sociétés financières, l’appuie technique de l’afritac de l’ouest a permis de mettre en place une nouvelle table de passage, ainsi qu’une analyse complémentaire sur la base de documents financiers détaillés reçus directement des entreprises d’assurance. Ces documents détaillés permettent d’établir la structure de certaines dépenses et recettes. On suppose que cette structure est applicable à l’ensemble des entreprises d’assurance. La table de passage des opérations figure en annexe 3. Comme pour les institutions de dépôts, une plus approfondie des documents financiers des ces structures permettra d’avoir une situation plus détaillée des consommations intermédiaires ou de la FBCF, par produit. III.2.5- Les Déclarations Statistiques et Fiscales (DSF) En comptabilité nationale le compte du secteur institutionnel des sociétés non financières et des entreprises individuelles est élaboré à partir données des états financiers. Il existe un accord entre l’INSTAT et la Direction Générale des Impôts (DGI) selon lequel la DGI récupère une copie supplémentaire des états financiers des entreprises formelles pour la Statistique. C’est ainsi qu’à partir de juillet de l’année n-1, on enregistre les premiers états financiers de l’année n1. Une liste des entreprises avait été établie en 1996. Dans laquelle sont énumères les noms des entreprises repérées à cette époque. Depuis il y a eu pas mal de mouvement de création et de disparition. Malheureusement ces mouvements n’ont pas pu être pris en compte. Voila que depuis deux ans la DNSI (INSTAT) est entrain d’initialiser un répertoire d’entreprise au Mali. Dans un premier temps un recensement industriel a été réalisé par la Cellule de Planification et de Statistique du Ministère de l’Industrie et du Commerce en 2003. En 2004 la DNSI (actuelle INSTAT) dans le but de couvrir toutes les entreprises a entrepris un recensement des entreprises ne faisant pas partie du champ des entreprises industrielles. 22 Traitement Codification Une fois les DSF reçu une équipe d’accueil et de classification fait le pointage des documents pour vérifier la cohérence en termes de nombre et de contenu suivant le bordereau de transmission. Un fichier appelé « fichier accueil » permet à l’équipe de faire la codification des états financiers par branche d’activité et par produit. Ainsi, les anciennes entreprises prennent le code d’activité qui leur étaient attribuées dans le fichier et celles nouvellement crées entrent dans la base avec leur code branche d’activité et d’autres renseignements complémentaires qui permettront de les suivre dans le temps. Saisie Elle se fait dans des classeurs en Excel, des maquettes ont été conçues à cet effet. La maquette est conforme à l’esprit du plan comptable SYSCOA-OHADA. Les informations saisies sont entre autre, le détail des charges d’exploitations, des produits, des investissements. En somme il s’agit des données du compte de résultat et du TAFIRE. La saisie est faite en termes de comptabilité d’entreprise, et il nécessite donc un passage aux concepts et au champ de la comptabilité nationale, le contour du compte, ainsi que le classement et le regroupement des opérations élémentaires sont donc différent dans les deux systèmes. Par exemple, les charges d’exploitations sont essentiellement différentes de la consommation intermédiaire des comptes nationaux. Les primes d’assurances dommages, les frais liés à l’acquisition d’immobilisations et les avantages en nature accordés aux salariés sur des produits achetés, sont autant de charges d’exploitations que la comptabilité nationale n’inclut pas dans les consommations intermédiaires. Contrôle de cohérence (annexe1) Pour cela, des formules de contrôle furent insérées dans la maquette au niveau de chaque total. Cette étape est très importante, elle permet de voir la cohérence entre l’activité de l’entreprise et les données de ses états financiers. Ainsi, souvent on retrouve des entreprises de production et/ou des prestataires de services (017002) qui déclarent des achats et vente de marchandises ainsi que des variations de stocks marchandises et des ventes de marchandises. Il en ait de même pour le cas de certains BTP (011000000) et hôtels restaurants (014000000). Pour corriger, on procède a un 23 retraitement en affectant ces montants aux achats de matières 1ères/ variations de stocks matières premières/ vente de produits fabriqués ou vente de service ou travaux facturés. Pour les entreprises opérant dans le secteur minier, certaines font la recherche, l’exploration, l’extraction du minerai, la location du matériel etc…. Ces entreprises sont des prestataires de services (017002000) ont doit pas les confondre aux entreprises producteurs de l’or (009001001) qui sont généralement connus. Pour les entreprises nées à partir d’une ancienne fermée, dans le traitement des investissements il est important de faire la part des transferts de biens de l’ancienne et les investissements nouveaux de la nouvelle qui vient d’être crée (c’est le cas de TRANSRAIL-SA). Par ailleurs pour ce qui concernent des entreprises exerçants plusieurs activités comme l’EDM (production et distribution d’eau et d’électricité), l’office du Niger (location de terre et distribution d’eau) ou HUICOMA (fabrique d’huile et de savon) il est important de connaître l’activité principale pour la codification. Car la codification est faite suivant l’activité principale de l’entreprise. Dans le cas exceptionnel de ESKOM énergie Manatali, lors du traitement de la production d’énergie, on doit tenir compte du faite que toute l’énergie produit n’est pas consommé au Mali et retenir la seule consommation du Mali. Transcription des opérations de la comptabilité d’entreprises en opérations de comptabilité nationale (annexe 2) Pour la plupart des opérations de comptabilité nationale il existe une opération similaire dans la comptabilité d’entreprise. Par contre certaines opérations de comptabilité nationale n’ont pas de correspondant en terme de comptabilité d’entreprise. Ainsi en est-il par exemple des cotisations sociales imputées qui pour la comptabilité d’entreprise font partie des salaires Préparation de la table de chargement (annexe 3) La version 3.2 du module permet le chargement des fichiers Excel, donc une fois que les différentes opérations sont définies, la maquette est remplie conformément à la disposition des variables dans les colonnes. 24 Chapitre : Méthodes de travail Dans chaque partie, il faut developpement l’organisation de travail comme la synthèse où des ateliers sont organisés… - Démarche (Référence tableau de Bord ERETES) - Faire des points ou des encadrés pour expliquer les matrices de l’emploi, FBCF, CF, commerce extérieur, les impôts etc. - Comment est estimé le secteur informel dans les comptes nationaux [Si c est une enquête d’une ville, il faut preciser les différentes extrapolations, comment les utiliser dans les comptes nationaux, …la matrice emploi est très importante dans le secteur informel…Recommandation de faire des enquêtes emplois annuellement…] Pour chaque matrice : - Définition - Source - Comment tu procèdes - Les hypothèses - Les arbitrages - Les produits 1.- Matrice Emploi Les matrices emplois s’améliorent au fur et à mesure et elle n’est jamais. On fait des actualisations à tout à cours de marché. 1.- Importance de répertoire des entreprises (processus de mis à jour et autres) Le répertoire des entreprises est très important sur les comptes de branches. C’est ce qui donne une indication sur ce qu’il manque et c qu’il faut estimer. Sinon tu vas pomper une production qui n’as pas de sens. La couverture des entreprises est très importante. Les coefficients techniques aussi peuvent bouger. Tu as deux fichiers sur la population et la codification. Il faut faire un contrôle temportel. Pour cela on peut prendre trois choses comme la production, la consommation intermédiaire et les emplois. Le répertoire est important dans la maitrise de l’informel. La demographie des entreprises est le fondement des comptes de branche. 25 - 1.- Démarche (Référence tableau de Bord ERETES) - 2.-Chargement des sources (Importation) - 3.- Pré-arbitrage [Expliquer le pré arbitrage….] Définir le pré arbitrage, Prendre un exemple d’une matrice : la source, les hypotheses, le processus (les arbitrages) et le produit (le decrire). Par exple, toutes les matrices n’ont pas la même structure. Il faut faire decrire la maquette comme FBCF (on a besoin les secteurs institutionnels…) 4.- Travaux analytiques En quoi consiste les opérations analytiques (ERE, CB, QAQ (Matrice de Transfert) ERE - Description de l’ERE - Qu’est ce qu’on cherche - Le processus d’élaboration d’un ERE [ Depuis le debut, methodes d’équilibrages, l’analyse (Expliquer qu’est ce qu’on contrôle (regarde comment les emplois sont partagés par rapport à l’économie, si c’est en année courante, parler des indices prix et volumes pour les travaux en années, des exples de ERE (Un ERE de l’agriculture vivriaire, un ERE de l’Elevage avec la viande et peau, Un ERE de service, parler des particularités…] CB - Description de CB - Qu’est ce qu’on cherche - Le processus d’élaboration d’un CB [ C’est dans les comptes de branches qui te permettra le bon niveau de production, Le CB est une etape très importante et ce c’est ce qui permet de determiner la structure de l’économie. Au premier niveau, on regarde seulement la production. On veut à cet effet, un niveau suffisant de production et ce n’est qu’apres qu’on regarde les autres variables. - Montrer le lien entre ERE et CB Matrice de Transfert (QAQ) - Description de QAQ - Qu’est ce qu’on cherche - Le processus d’élaboration d’un QAQ [La source, Evaluation de la situation (Qu’est ce que nous avons et qu’est ce que nous n’avons pas, Commencer par les choses qu’on a . La 26 premiere est de cadrer au niveau de l’opération globalle. Tu dois connaitre la spécificité de chaque opération dans l’économie. C’est pourquoi il faut connaitre l’économie de manière en générale. Par exple pour les cotisations sociales, on sait c’est l’INPS.. Impots sur les revenus (les montants et les taxes), Voir le secteur de reference de l’opération pour comprendre quelle le montant global (qui sera la reference) ; Après cette étape, on commence les traitements par les secteurs connus (qu’on a les informations). Apres on fait les arbitrages. A la fin, il faut analyser (Faire des comparaisons avec l’année (n-1)…] 5.- Synthèse intermédiaire (SI) - Description de la synthèse [La convergence, la cohérence entre les agrégats, Est-ce que les ERE ont un sens, ] - Parler de l’organisation de la synthèse - Qu’est ce qu’on cherche - Le processus de la SI [Elle se fait en groupe et tout le monde doit defendre ses hypothèses avec des arguments solides. Mettre des maquettes de tableau à sortir, NB : Noter les travaux sont iteratives, on peut faire des vas et vient 6.- Deuxième Decentralisation La projection des CI en année courante [Presenter ] - La projection est faite par methode de production 7.- Synthèse Finale - Description de la synthèse finale - Qu’est ce qu’on cherche - Le processus d’élaboration de la synthèse [Preparation des tableaux, organisations, definir les conditions préalables à atteindre pour faire la synthèse, o Préparation des tableaux de synthèse o Analyse des TRE (ERE, CB) o Analyse du TCEI (Les opérations) o Arbitrage du TEI o Arbitrage du TCEI 8.- Post synthèse [ Rendre la base propre pour les prochaines campagnes, la synthèse etant faite au niveau agrégé, il faut les reporter au niveau fins. 27 Nb : Attention , à la fin de la syntèse, il doit y avoir un rapport de synthèse qui contient les différents arbitrages effectués. IV.- Travaux sur ERETES IV.1.- Préparation des données pour ERETES et Pré-arbitrage IVI.1.1.-Préparation Une fois que les données sont déjà saisies et traitées, l’étape à suivre est leurs préparations pour ERETES. Une maquette est créée pour chaque source afin rendre possible son importation vers ERETES. Cette maquette est composée de plusieurs variables encore appelées « attribut » qui sont résumées dans le tableau ci-dessous : Les attributs Définition valeur La valeur du produit concerné id_source Identifiant de la source id_campagne Identifiant de la campagne (1 pour campagne courante et 2 précédentes) id_operation Identifiant de l’opération code_princ_sec Production principale ou secondaire id_mode_valor Mode de valorisation id_produit Identifiant du produit id_branche Identifiant de la branche id_secteur_debite Identifiant Secteur debiteur id_secteur_credite Identifiant secteur crediteur id_attrib_methode Attribut méthodologique id_origine_produit Identifiant Origine du produit 28 id_mode_production Identifiant mode de production id_stat_val Identifiant Statut valeur actif Actif (yes ou no) id_qualif_patr id_qualif_patr id_lieu Identifiant de lieu id_ref_temp id_ref_temp id_duree_emploi id_duree_emploi id_nature_emploi id_nature_emploi date_creation Date de création date_maj Date de mise à jour Chaque variable à plusieurs modalités ou attributs. La nomenclature des différentes composantes est donnée dans l’annexe 1. Un exemple de la maquette avec la source agriculture est : IVI.1.2.-Pré-arbitrage Les travaux de pré-arbitrage concernent quelques sources et ils consistent à regarder la cohérence des sources avec la comptabilité nationale. Aussi, à estimer certaines données qui sont difficiles à obtenir comme le cas du secteur informel, la consommation des ménages et autres. 29 IV.2.- Travaux analytiques Les travaux analytiques consistent à l’élaboration des ERE, des Comptes de Branches et les matrices de qui à qui. Ces travaux contribuent à l’élaboration du TRE et du TCEI qui sont les deux tableaux du cadre central du SCN1993. Ils interviennent après les travaux de préparation de sources et de préarbitrage par opération. IV.2.1- Elaboration des équilibres ressources Emplois Comme son nom l’indique, l’Equilibre Ressources Emplois consiste à égaler les emplois et les ressources ou encore l’offre et la demande d’un produit en faisant souvent des hypothèses sur les produits. Les ERE du Mali sont faites en valeur mais il est également possible de les faire en quantité. L’approche méthodologique utilisée consiste à faire dans un premier temps l’ERE à prix de base et dans un second temps à prix d’acquisition pour l’année courante (prix courant et prix constant). Le prix de base se définit comme le montant que le producteur reçoit de l'acheteur par unité de bien ou de service produite, diminué des impôts sur les produits et augmenté des subventions sur les produits. Le prix de base exclut les frais de transport facturés séparément. Prix producteur : prix de base augmenté des taxes sur les produits nets des subventions. Quant au prix d’acquisition, il se définit comme étant le montant effectif payé par l'acheteur par unité de bien ou de service achetée. Il comprend les impôts, la TVA ne comptant que pour sa partie non déductible, et les subventions sur les produits sont déduites. Il comprend aussi les frais de transport acquittés séparément par l'acheteur pour prendre possession des produits au moment et au lieu voulus. Il exclut les intérêts qui viennent s'ajouter en cas d'octroi d'un crédit. Le passage à la campagne suivante permet de conserver les ERE en année de base bien équilibré. A ce niveau aucun traitement n’est fait sur les ERE. En année courante, on travaille d’abord en prix courant. Ensuite, il est établit en prix constant en utilisant des indices de prix et de volumes. S’agissant du traitement des ERE en année de courante, trois cas de figures peuvent être schématisés. Le premier cas est une disponibilité exhaustive de l’information aussi bien à prix courant et à prix constant. Le travail se limite alors à équilibrer l’ERE en égalisant les ressources et les emplois. Cette égalité est généralement obtenue en validant les sources les plus crédibles et en ajustant les sources moins crédibles. 30 Le deuxième cas est la disponibilité soit des ressources soit des emplois, mais pas des deux. L’information manquante est en général reconstituée à partir de la structure de l’année précédente soit par une répartition au prorata soit par une analyse économique visant à modifier le poids des composantes en fonction des évènements économiques. Le troisième cas est une absence totale d’information dans l’ERE. Des hypothèses d’évolutions sont formulées a cet effet soit à partir d’un raisonnement par filière soit en recherchant des proxys (variables ou produits liés connus se comportant comme la variable ou produit étudié). Pour chaque opération d’un ERE des traitements ci-dessous sont effectués La production est l’une des variables la plus importante de l’ERE. Elle est qualifiée en marchande (principale et secondaire) et non marchande (principale et secondaire). La branche de la production principale est toujours connue et celle de la production secondaire doit être indiquée (l’absence d’indication de la branche pour une production secondaire peut entrainer une perte d’information). Une relation étroite existe entre la production et les emplois. En effet, la production marchande est destinée à la consommation intermédiaire, à la consommation finale marchande, à l’investissement et aux exportations. La production non marchande quant à elle est destinée à la consommation finale non marchande et/ou à la FBCF. Il n’est pas judicieux de procéder à une répartition de la production principale par mode de production et par secteur institutionnel dans l’ERE. Les importations et les exportations sont en générale disponibles car tirées des données des douanes ou de la balance des paiements. Les ajustements consistent à reclasser la valeur ou une partie de la valeur dans un produit pour tenir compte du niveau de transformation ou à inclure des éléments liés au commerce transfrontalier et à la fraude douanière. Les indices de valeur unitaires ou des prix internationaux peuvent être utilisés pour déflater les valeurs. Les consommations intermédiaires peuvent être obtenues dans le cas du traitement d’une filière ou d’une bonne connaissance du produit ou des utilisations du produit par des entreprises. Cependant en général, une hypothèse de constance des composantes du marché domestique est formulée. La dépense de consommation finale a une composante marchande et une composante non marchande. La dépense de consommation finale marchande provient des enquêtes auprès des ménages. Lorsqu’aucune enquête n’est pas faite en année courante, une projection est faite en supposant que les dépenses évoluent de la même manière que le taux de croissance démographique. Aussi, des ajustements sont réalisés en fonction de la disponibilité de l’offre. La dépense de consommation finale non marchande dérive de la production. Une attention particulière est accordée au traitement des paiements partiels des ménages. S’agissant de La Formation Brute de Capital Fixe (FBCF), les produits concernés sont bien connus et peu nombreux. Le niveau minimal de la FBCF d’un produit est fourni par les sources de données (DSF et APU). Une correction se fait éventuellement par l’ajustement du marché domestique à l’offre du produit. 31 Les variations de stock des produits finis et de matières premières sont issues des données sources (DSF). Une analyse économique peut conduire à créer des variations de stock de produits finis (produits agricoles récoltés en n-1 et vendus en n), des encours (élevage avec des processus de production longs) ou de produits de revente (produits d’exportations détenus par des commerçants, spéculations pour une hausse des prix des produits de construction (ciment, tôles, fer) ou alimentaire (riz, sucre) Pour les impôts et taxes, une première estimation est en général disponible en ressource. Ce niveau doit être validé par le comptable en fonction de l’évolution de la législation et des niveaux de production, des importations ou de la structure des emplois. Leur ventilation dans les emplois se fait en générale avec une hypothèse de constance des taux d’imposition (en général, les indices de prix et de volume des impôts évoluent comme ceux du prix de base). Ces taux sont modifiés uniquement si la législation (code générale des impôts) a évoluée. Un indice de volume des impôts et taxe différent de l’indice de volume du prix de base indique une modification de l’assiette d’imposition ; Un indice de prix des impôts et taxe différent de l’indice de prix du prix de base indique une modification du taux d’imposition (prix de l’impôt). Les marges de commerce et de transport sont estimées à partir des emplois avec une hypothèse de constance des taux de marges (en général, les indices de prix et de volume des marges évoluent comme ceux du prix de base). Un indice de volume des marges différent de l’indice de volume du prix de base indique une modification des circuits de distribution (plus d’intervenants par exemple) ; Un indice de prix des marges différent de l’indice de prix du prix de base indique une modification du taux de marge. L’ERE est achevé lorsque toutes les équations comptables sont vérifiées. Il peut y arriver qu’après toutes ces estimations que l’ERE ne soit pas équilibré. Dans le cas échéant le solde est reporté en général sur les dépenses de consommation finales et rarement sur les variations de stocks. L’élaboration des ERE et des CB peut être itérative pour déterminer la production (selon la disponibilité de l’information, il peut être facile de calculer la production dans l’ERE ou dans le compte de branche (à partir des effectifs d’emplois ou des coûts de production). Tableau : exemple de l’ERE du Sorgho-Un produit agricole Produits Maïs Hypothèses, ratios et données Hypothèses: On n’introduit pas de variations de stocks, a priori. La TVA est supportée par les CI uniquement. Ratios: Part CF = CF /PM base n-1 Part CI = CI base n-1 base n-1 /PM n-1 Taux marge/ CI = (Marge CI) / CI n-1 Données connues (sources ou préarbitrages): ERE de l’année n-1 PM PNM M 32 ERE Prix constants PM’ = PM / IPRIX CFNM = PNM CF = (PM + M + DTI – X Ou PM’ = PM x IVOLprod base acq base CI base base n-1 base n-1 prod base ) * part CF = PM + M + DTI – X - CF Marge / CF = CF Marge / CI = CI base base TVA / CI = TVA base n-1 Taux marge/ CF = (Marge CF) / CF ERE Prix courants X =X base x Taux marge/ CF x Taux marge/ CI res n-1 PNM’ = PNM / IPRIX prod Ou PNM’ = PNM x IVOL n-1 M’ = M / IPRIX prod imports Ou PM’ = PM x IVOL n-1 imports DTI’ = DTI / IPRIX imports Ou DTI’ = DTI X’ X’ base acq =X base = X’ n-1 x IVOL imports / IPRIX exports base CFNM’ = PNM’ CF’ = CF / IPRIX base base CF DTI TVA CI’ base = PM’ + M’ + DTI’– CF’ (Marge / CF)’ = CF’ res X (Marge / CI)’ = CI’ acq base base – X’ x Taux marge/ CI base (TVA / CI)’ = (TVA / CI) / IPRIX CI NOTA : A : opération de l’année n, au prix de l’année n An-1: opération de l’année n-1, au prix de l’année n-1 A’ : opération de l’année n, au prix de l’année n-1 (1) Cet indice de prix est implicite : IPRIX = CIbase / CI’ base CI IV.2.2- Compte de Branche Le CB permet d’analyser la création et le partage de la richesse entre le travail (rémunération des salariés (RS)) et le capital (excédent brut/net d’exploitation EBE/ENE). Cette analyse se fait par mode de production afin de prendre en compte la fonction principale et le mode d’organisation des unités institutionnelles. Les analyses par mode de production sont les suivantes. Pour les Administrations publiques et sécurité sociale, l’EBE obtenue correspond à la consommation de capital fixe (CCF). En effet, leur production est déterminée comme la somme des coûts (CI, RS, autres impôts et taxes sur la production et CCF : les trois premiers coûts sont fournis par les sources de données et la CCF est déterminée à partir d’un modèle). S’agissant des Sociétés non financières : les entreprises (y compris les entreprises individuelles) assujetties à la DSF et classées dans les branches des activités non financières. Une estimation de variables des entreprises n’ayant pas retourné une DSF peut être réalisée soit à partir du répertoire des entreprises soit à partir d’un échantillon constant d’entreprises sur deux années. L’hypothèse de constance des coefficients techniques est utilisée pour calculer les CI et celle de productivité constante pour déterminer l’emploi. L’hypothèse de constance du salaire par tête permet de déterminer les salaires. Pour les Sociétés financières : les entreprises (y compris les entreprises individuelles) assujetties à la DSF et classées dans les branches des activités financières. Les informations concernant ces unités sont bien connues et une imputation des unités manquantes peut être réalisée. Pour les Ménages : les unités de production au sein de ménage (production pour compte propre) et le secteur informel. L’hypothèse de constance des coefficients techniques est utilisée pour calculer les CI et celle de productivité constante pour déterminer l’emploi. L’hypothèse de constance du salaire par tête permet de déterminer les salaires. 33 base x Taux marge/ CF (1) Les ISBLSM : les institutions sans but lucratif au service des ménages. Les Non ventilé : indique les valeurs non affectées à un mode de production. Un retour à cet effet est fait au niveau des ERE pour attribuée à chaque valeur de production son mode de production Un tableau de travail permet de ventiler la production principale par mode de production pour chacun des produits de la branche. Pour chaque opération d’un CB, les traitements suivants sont indiqués : La production S’il existe une production non ventilée (mode de production 9), il est utilisé l’outil pour la ventiler dans les modes de production pour chaque produit. Si la production est déterminée à partir des ratios économiques (productivité), on inscrit la valeur, enregistrer automatiquement et procéder à la ventilation par produit. Les consommations intermédiaires Il est souhaitable d’enregistrer automatiquement les CI par mode de production sans procéder à leur ventilation par produit (le retour au niveau fin est réservé à la ventilation des CI par produit). Le changement du coefficient technique en volume par rapport au courant de n-1 s’explique par une modification de la technologie de production. Le changement du coefficient technique en prix par rapport au volume s’explique par une modification des prix (différence d’évolution entre les prix de la production et les prix des intrants). Les salaires bruts Ils sont enregistrés lorsque des effectifs déclarés ou non déclarés existent. Les salaires par tête doivent être analysés pour détecter tout changement (modification dans la composition de l’emploi (nationaux/étranger), évolution de la valeur du point d’indice) Les cotisations sociales Les cotisations sociales (CS) effectives sont supportées par les employeurs et versées directement aux organismes de gestion des prestations (organismes publics ou privés). Les CS effectives sont souvent encadrées (CS effectives/salaires bruts < 15% en général). Les CS imputées correspondent aux prestations dont bénéficient directement les travailleurs de la part de leur employeur sans passer par un organisme (cadeau ou prise en charge lors d’un évènement (naissance, maladie)). L’Emploi L’emploi déclaré ou non déclaré correspond à des effectifs des salariés (l’emploi déclaré des entreprises formelles peut corriger par l’estimation de l’emploi non déclaré à partir des enquêtes) Les travailleurs indépendants comprenant les employeurs (ayant des salariés déclarés ou non)) et les travailleurs pour propre compte (sans salarié) et les aides familiaux. Après avoir validé tous les soldes et ratios, un outil permet, pour chaque mode de production, de ventiler les valeurs des opérations par secteur institutionnel. 34 IV.2.3- Matrice de qui a qui Les matrices de qui-à-qui présentent pour chacune des opérations de répartitions (revenus de la propriété et transfert) un cadre permettant de confronter les informations provenant des secteurs institutionnels. Ainsi, les montants déclarés versés (SI débité) sont confrontés aux montants déclarés reçus (SI crédité). Très peu de sources de données indiquent les SI destinataires des montants versés ou les SI à l’origine des montants reçus. Pour les principales opérations des QAQ, les traitements suivant sont effectués. Les Intérêts Ils sont prélevés sur les dépôts et les crédits ayant permis le calcul du SIFIM, mais aussi sur les titres autres que les actions (par exemple les bons et obligations) et les autres comptes à payer ou à recevoir (par exemple les crédits commerciaux). Les sources d’informations permettent de disposer des informations sur les intérêts versés ou reçus par les institutions financières, les APU, les SNF et le RdM. Les Revenus distribués par les entreprises Ils comprennent les dividendes déclarés et ceux attribués par arbitrage (provenant de la correction des DSF au titre de la sous-déclaration). Les dividendes reçus ou payés par le RdM sont fournis par la BdP. Les dividendes reçus par les APU sont connus. Les dividendes versés par les sociétés sont connus. Les ajustements … Les Revenus étrangers réinvestis Ils concernent uniquement les sociétés à investissement direct étranger (IDE) (source BdP ou méthodologie à partir du résultat non distribué des sociétés) Les Revenus de la propriété attribués aux assurés Ce sont des revenus des placements et des loyers perçus par les assurances qui investissent les primes payés par leurs assurés. Les Loyers nets des terres et redevances Ce sont des revenus tirés de la location des actifs non produits (terres, gisement, etc.). source de données/méthodes d’estimation Impôts courants / Revenus et Capital Le montant retenu est fourni par le TOFE (vérifier si les collectivités prélèvent aussi cet impôt). Comment se fait l’ajustement sur les secteurs qui versent ? Contributions sociales 35 Les CS effectives se calent sur le montant de l’INPS et des APU. Elles comprennent les CS effectives supportées par les employeurs, les salariés et les travailleurs indépendants. Comment se fait l’ajustement sur les secteurs qui versent ? les CS imputées sont déterminées à partir des prestations sociales imputées. Prestations sociales autres qu'en nature Elles sont fournies par les documents sources Transferts sociaux en nature Ils sont constitués de la consommation finale individualisables des APu et des ISBLSM Primes nettes d'assurances-dommages Elles sont égales aux indemnités d'assurances-dommages. Méthodologie de ventilation par secteur (% de primes allant au service d’assurance) ? Indemnités d'assurances-dommages Elles fournissent les données sur les assurances. Prise en compte BdP ? Transferts courants entre administrations Publiques Ils proviennent des données sources Coopération Internationale courante : données sources ; exclusions des PCS et PC Autres transferts courants divers : prise en compte des bourses d’étude, gains au loto, transferts entre ménages, versement aux ISBLSM, etc. ? Ajustement pour variation des droits des ménages sur les fonds de pension : il s’agit d’un poste permettant d’affecter le revenu tiré par les régimes de pension privés avec constitution de réserves aux ménages qui sont considérés comme les propriétaires de ces régimes dans le comptes de patrimoine régimes de pension privés avec constitution de réserves. De tels régimes existent-ils au Mali Transferts en capital : préciser les sources et les méthodes IV.3- Synthèses sur biens et services et sur opérations de répartition Les travaux transversaux (ERE, CB et QAQ) contribuent à l’élaboration du TRE et du TCEI qui sont les deux tableaux du cadre central du SCN1993. La synthèse consiste essentiellement à équilibrer le tableau des échanges interindustriels (TEI). Avant d’entamer cette réconciliation, il est important de contrôler la base, de valider les soldes comptables et les ratios. IV.3.1-Contrôle de la base et Validation des ratios Le contrôle de la base consiste à s’assurer que : 36 - toutes les équations de toutes les ERE sont équilibrées - les CB n’ont pas de valeurs non ventilées (mode de production 9) ou d’enregistrement sans secteur institutionnels - les productions secondaires sont ventilées par produit et par branche d’activité - les opérations du champ du TRE et du TCEI correspondent ; - les cohérences avec les sources crédibles sont validées (i.e. les écarts avec le commerce extérieur, la BdP, le TOFE, les DSF, les IF sont explicables) - Etc. La validation des soldes et ratios consiste à examiner la pertinence : - - - Par produit : o Taux de marge o Taux d’imposition o Poids des CI, CF, FBCF dans les ressources ; o CF par tête ; o Indice de volume et de prix ; o Etc. Par branche : o Productivité ; o Coefficient technique ; o Salaire par tête ; o Part des cotisations sociales effectives dans les salaires ; o Etc. Par SI : o Poids VA ; o Part des salaires dans VA ; o Taux d’épargne ; o Taux d’investissement ; o Interprétation de la capacité/besoin de financement o Etc. IV.3.2-Equilibre du TEI Il faut au préalable s’assurer que l’écart entre l’offre et la demande des CI est inférieur à 5%. Qu’est ce qui se passe au cas l’écart est supérieur à 5%. L’équilibre du TEI se fait en trois étapes : 37 1. Rapprocher l’offre et la demande de CI pour chaque case du TEI et affecter aux produits toutes les CI non ventilées des branches (phase I du TEI) 2. De manière itérative, affecter aux branches les CI non ventilées des produits puis aux produits les CI non ventilées des branches ; identifier les ERE et les CB devant être modifiés (phase II du TEI) 3. Modifier les ERE et les CB. IV.4- Synthèse par secteur IV.5- La synthèse finale V.-Nomenclature réduite 1. Historique de tout ce qui s’est passé avec la nomenclature - (Par exemple pour le cas du Mali, une revision a été faite au cours de la campagne courante-, les normes CITI, NAEMA et autres.) - Penser à parler les SCN 68 ; Les gros changements qui ont été observées avant cette nomenclature - Expérience dans la réduction des nomenclatures - Le processus de validation avant ? - Est-ce qu’il y avait des services qui s’occupaient de la nomenclature ? 2. Nomenclature des activités-produits - Parler des principaux changements : Suppression, Regroupement, Nouveaux produits ; changemennts de positions dans la nomenclature (Branches ou autres) Comme exemple, il y avait de l’agriculture viviere et industrielle mais ca été regroupé maintenant. - Normes Internationaux pour chaque nomenclature (CITI, NAEMA, NOPEMA….) 3. Dispositif de validation pour prendre en compte les préoccupations des sectorielles – Organisation d’un atelier de validation et la mise en place d’un atélier de validation – Expliquer son expérience en matière de nomenclature par type de nomenclature 4. Détails de nomenclature Les nomenclatures utilisées sont celles des pays membres d’AFRISTAT. Il s’agit de la NAEMA et la NOPEMA qui ont toutefois été réduites afin de les adapter aux réalités de l’économie malienne et d’accélérer la production des comptes nationaux. Les nomenclatures des points suivantes seront explicitées dans l’annexe 1 du document : Branches 38 Produits Operations Famille d'opérations Secteurs Sources Statuts de la valeur Modes de valorisation Modes de production Attributs méthodologiques Unités physiques Qualificatifs de patrimoine Références temporelles Origines des produits Comptes VI.- Diffusion et validation S’inspirer de l’INSEE première pour faire la même chose au Mali. Il s’agit d’un document de quatre pages au maximum qui explique les différents aspects de l’année. Par exple, un article d’informations sur l’agriculture ou autres. Parler du code de bonne pratique d’Eurostat [ Ce code parle beaucoup de choses telq le fait de ne pas donner les résultats aux politiques 24 H avant la publication des résultats et autres… Il faut télécharger le document. Ce code protège contre des interventions indésiderables… - Le processus de validation (quoi préparer) - Les résultats : expériences passées Jusqu’au compte de 2010, le Mali se limitait seulement à la validation interne. - Publications : Références pas plus - Archivage : Si réseau, récapitulatif du plan du réseau??? Définir les différents types de comptes : - Les comptes provisoires - Les comptes semi-définitifs - Et les comptes définitifs 39 L’INSTAT a publié en juillet 2012 le rapport d’analyse des comptes nationaux du Mali selon le SCN1993. Ce rapport couvre les comptes nationaux définitifs 1999 à 2008 et provisoires de 2009 et 2010. Cette nouvelle série remplace la série ‘PIB plus comparable’ qui avait intégré certaines recommandations du SCN1993 et permis une comparaison des statistiques macroéconomiques des pays de l’Union Monétaire Ouest Africaine dans le cadre de la surveillance multilatérale. Le rapport comprend trois chapitres : le premier présente les résultats de la série 1999-2010 ; le second compare les niveaux des agrégats macroéconomiques et les critères de convergence multilatérale de l’UEMOA entre la série ‘PIB plus comparable’ et la nouvelle série. Le dernier chapitre présente les informations contenues dans le TRE à prix courant et à prix constants. Une seconde publication est attendue sur les comptes économiques intégrés. Le rapport n’est pas disponible sur le site de l’INSTAT. Dans les travaux des CN le Mali a mis en place un comité national des comptes nationaux. Ce comité national est composé non seulement par des fournisseurs des données mais des aussi des utilisateurs. Pour ce qui concerne la validation des résultats, la première validation se fait au niveau de la division de la comptabilité nationale à l’INSTAT. Une fois que les cadres de la division des CN sont satisfaits. Le document est transmis au niveau du département en charge de la comptabilité nationale. Ce n’est qu’ensuite que le document est partagé avec les tous les départements du département pour observations et améliorations possibles. La dernière étape est l’organisation d’un atélier de validation des résultats au niveau de l’Institut avec tous les fournisseurs des données, les utilisateurs, les partenaires et financières pour la validation globale des données. Dans le processus de diffusion des résultats, le Mali a plusieurs partenaires. Les partenaires techniques et financières jouent un rôle très important. L’INSTAT a tisser des liens de partenariats avec des fournisseurs des données (La BCEAO, les directions sectorielles) et les utilisateurs (les prévisionnistes etc.). Ils contribuent ainsi fortement à la validation des résultats. Le document de publication des comptes nationaux du Mali prend en compte les principaux points suivants : - La première partie est consacrée à l’analyse de la série des comptes définitifs 1999-2007 et de la série provisoire 2009-2010 ; - La deuxième partie fait un rapprochement de la nouvelle série avec la série du PIB « plus comparable » et une comparaison dans les deux séries du niveau des critères de convergence de l’UEMOA ; - La dernière partie présente les principaux tableaux des comptes nationaux. 40 Comme canaux de diffusion, une version papier est imprimée et distribuée à la masse et aux différents partenaires. Une version electronique est diffusée sur le site de l’INSTAT (www.instat.gov.ml). Par ailleurs, une conférence de presse est organisée pour présenter les résultats des comptes nationaux. Parler aussi du système d’archivage des comptes nationaux En perspectives, le rapport sur les résultats des comptes nationaux et les documents méthodologiques seront mis sur le site Internet de l’INSTAT. Aussi, il compte activer un plateforme d’échange sur la validation des résultats. VI.-Conclusion Annexes 41 Annexe 1 : Nomenclature du Mali A.1- Branche Les comptes nationaux utilisent au total 62 branches dont 24 de niveau 1 et 38 de niveau 2. id_branche 001 001000 002 002001 002002 003 003001 003002 004 004000 005 005000 006 006000 007 007001 007002 007003 007004 008 008001 008002 009 009001 009002 009003 009004 009005 010 010001 010002 011 011000 012 012000 013 013000 014 014000 015 015001 015002 nom_branche AGRICULTURE VIVRIERE Agriculture vivrière AGRICULTURE D'EXPORTATION Culture du coton Autres cultures d'exportation ELEVAGE ET CHASSE Elevage Chasse SYLVICULTURE, EXPL. FORESTIERE, SERVICES ANNEXES, CUEILLETTE Exploitation forestière et cueillette PECHE Pêche ACTIVITES EXTRACTIVES Activités extractives INDUSTRIES AGROALIMENTAIRES Abattage, transformation et conservation de viande et de poisson Travail grains; fabrication de produits alimentaires à base de céréales Boissons Autres industries agroalimentaires NCA (y compris fabricaion de corps gras et tabac) FABRICATION DES TEXTILES,HABILLEMENT ET TRAVAIL DU CUIR Egrenage du coton Fabrication des textiles, cuir et habillement AUTRES ACTIVITES INDUSTRIELLES Métallurgie; fonderie Fabrication de machines et de matériels divers, de matériel de transport Fabrication de produits chimiques Matériaux de construction Autres activités industrielles NCA ELECTRICITE, GAZ ET EAU Production et distribution d'électricité et de gaz Captage, traitement et distribution d'eau CONSTRUCTION Construction COMMERCE Commerce REPARATION Réparation ACTIVITES D'HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION Hôtellereie et restauration TRANSPORTS ET COMMUNICATIONS Transports Communications 42 libelle_branche niveau_branche agri_viv_1 1 agri_viv_2 2 agri_exp_1 1 agri_exp_coton 2 agri_exp_autre 2 elevage_1 1 elevage_2 2 elevage_3 2 sylv_1 sylv_2 peche_1 peche_2 extrac_1 extrac_2 iaa_1 iaa_2 iaa_3 iaa_4 1 2 1 2 1 2 1 2 2 2 iaa_5 2 textile_1 textile_2 textile_3 autresind_1 autresind_2 autresind_3 autresind_4 autresind_5 autresind_6 energ_1 energ_2 energ_3 btp_1 btp_2 comm_1 comm_2 rep_1 rep_2 chr_1 chr_2 transp_1 transp_2 transp_3 1 2 2 1 2 2 2 2 2 1 2 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 2 id_branche 016 016001 016002 017 017001 017002 018 018000 019 019000 020 020000 021 021000 022 022000 023 023000 999 999999 nom_branche ACTIVITES FINANCIERES Intermédiation financière et auxiliaires financiers Assurance et auxiliaires d'assurance ACTIVITES IMMOBILIERES ET DE SERVICES AUX ENTREPRISES Activités immobilières Activités de services aux entreprises ACTIVITES D'ADMINISTRATION PUBLIQUE Activité d'administion publique EDUCATION Education ACTIVITES DE SANTE ET ACTION SOCIALE Activités de santé et action sociale ACTIVITES A CARACTERE COLLECTIF OU PERSONNEL Activités à caractère collectif ou personnel PRODUCTION IMPUTEE DE SERVICES BANCAIRES Production imputée de services bancaires CORRECTION TERRITORIALE Correction territoriale BRANCHE D'ATTENTE DE NIVEAU 1 BRANCHE D'ATTENTE DE NIVEAU 2 libelle_branche niveau_branche fin_1 1 fin_2 2 fin_3 2 immob_1 immob_2 immob_3 apu_1 apu_2 educ_1 educ_2 sante_1 sante_2 autres_1 autres_2 pisb_1 pisb_2 corter_1 corter_2 attente_1 attente_2 1 2 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 1 2 A2.- Produits id_produit 001 001000 001000001 001000002 001000003 001000004 001000005 001000006 001000007 001000008 002 002001 002001000 002002 002002000 003 003001 003001001 003001002 003001003 003001004 003002 nom_produit PRODUITS DE L'AGRICULTURE VIVRIERE Produits de l'agriculture vivrière Maïs Riz paddy Mil Sorgho Autres céréales Tubercules y compris plantain Légumes Fruits PRODUITD AGRICOLES DESTINES A L'INDUSTRIE OU A L'EXPORTATION Coton graine Coton graine Autres prod. agricoles destinés export°. industrie Autres prod. agricoles destinés export°. industrie PRODUITS DE L'ELEVAGE ET DE LA CHASSE Produits de l'élevage Bovins sur pied Ovins et caprins sur pied Autres produits de l'élevage Sous-produits de l'élevage Gibier 43 libelle_produit agr_viv_1 agr_viv_2 agr_viv_3 agr_viv_4 agr_viv_5 agr_viv_6 agr_viv_7 agr_viv_8 agr_viv_9 agr_viv_10 agr_exp_1 agr_exp_2 agr_exp_3 agr_exp_4 agr_exp_5 elev_1 elev_2 elev_3 elev_4 elev_5 elev_6 elev_7 niveau_produit 1 2 3 3 3 3 3 3 3 3 1 2 3 2 3 1 2 3 3 3 3 2 id_produit nom_produit 003002000 Gibier PROD. SYLVICULTURE EXPLOITATION FORET, SERV. ANEX et 004 CUEILLETTE 004000 Produits de l'exploitation forestière et de la cueillette 004000001 Bois et charbon de bois 004000002 Produits de la cueillette 005 PRODUITS DE LA PECHE 005000 Produits de la pêche 005000000 Produits de la pêche 006 PRODUITS DE L'EXTRACTION 006000 Produits de l'extraction 006000000 Produits de l'extraction 007 PRODUITS DE L'INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE 007001 Viandes, produits à base viande, produits abattage et poisson 007001001 Viandes, produits à base viande, produits abattage 007001002 Poissons 007002 Produits du travail des grains et produits alimentaires à base de céréales 007002001 Pain et pâtisserie 007002002 Autres produits à base de céréales 007003 Boissons 007003001 Boissons alcoolisées 007003002 Boissons non alcoolisées diverses 007004 Autres produits agroalimentaires NCA 007004000 Autres produits agroalimentaires NCA 008 TEXTILES ET ARTICLES D'HABILLEMENT, ARTICLES EN CUIR 008001 Produits de l'égrenage du coton 008001000 Produits de l'égrenage du coton 008002 Produits textiles, articles en cuir et articles d'habillement 008002000 Produits textiles, articles en cuir et articles d'habillement 009 PRODUITS DES AUTRES AVTIVITES INDUSTRIELLES 009001 Produits métallurgiques 009001001 Or 009001002 Autres produits de métallurgie et de fondérie 009002 Machines, équipements, matériels de transport 009002001 Machines, équipements 009002002 Matériels de transport 009003 Produits chimiques 009003001 Produits pharmaceutiques 009003002 Autres produits chimiques 009004 Matériaux de construction 009004000 Matériaux de construction 009005 Autres produits indusriels NCA 009005001 Produits pétroliers raffinés 009005002 Autres produits indusriels NCA 010 ELECTRICITE, GAZ ET EAU 010001 Electricité et gaz, supports énergétiques 010001001 Electricité 010001002 Gaz distribué 010001003 Glace alimentaire 010002 Eau distribuée 010002000 Eau distribuée 44 libelle_produit elev_8 niveau_produit 3 sylv_1 sylv_2 sylv_3 sylv_4 peche_1 peche_2 peche_3 extrac_1 extrac_2 extrac_3 iaa_1 iaa_2 iaa_3 iaa_4 iaa_5 iaa_6 iaa_7 iaa_8 iaa_9 iaa_10 iaa_11 iaa_12 text_1 text_2 text_3 text_4 text_5 autres_ind_1 autres_ind_2 autres_ind_3 autres_ind_4 autres_ind_5 autres_ind_6 autres_ind_7 autres_ind_8 autres_ind_9 autres_ind_10 autres_ind_11 autres_ind_12 autres_ind_13 autres_ind_14 autres_ind_15 ener_1 ener_2 ener_3 ener_4 ener_5 ener_6 ener_7 1 2 3 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 3 2 3 3 2 3 3 2 3 1 2 3 2 3 1 2 3 3 2 3 3 2 3 3 2 3 2 3 3 1 2 3 3 3 2 3 id_produit 011 011000 011000000 012 012000 012000000 013 013000 013000000 014 014000 014000000 015 015001 015001000 015002 015002000 016 016001 016001000 016002 016002000 017 017001 017001000 017002 017002000 018 018000 018000000 019 019000 019000001 019000002 020 020000 020000001 020000002 020000003 021 021000 021000000 022 022000 022000000 023 023000 023000000 999 999999 999999999 nom_produit TRAVAUX DE CONSTRUCTION Travaux de construction Travaux de construction COMMERCE Commerce Commerce SERVICES DE REPARATION Service de réparation Service de réparation SERVICES D'HOTELLERIE ET DE RESTAURATION Services hôtellerie et de restauration Services hôtellerie et de restauration SERVICES DE TRANSPORTS ET DE COMMUNICATIONS Services de transports Services de transports Services de communications Services de communications SERVICES FINANCIERS Services d'intermédiation financière et d'auxiliaires financiers Services d'intermédiation financière et d'auxiliaires financiers Services d'assurance et d'auxiliaires d'assurance Services d'assurance et d'auxiliaires d'assurance SERVICES IMMOBILIERS ET SERVICES AUX ENTREPRISES Services immobiliers Services immobiliers Services aux entreprises Services aux entreprises SERVICES D'ADMINISTRATION PUBLIQUE Services d'administration publique Services d'administration publique EDUCATION Education Enseignement de base Enseignement secondaire, technique et supérieur SERVICES DE SANTE ET D'ACTION SOCIALE Services de santé et d'action sociale Services relatifs à la santé humaine Services véterinaires Services d'action sociale SERVICES COLLECTIFS, SOCIAUX ET PERSONNELS Services collectifs, sociaux et personnels Services collectifs, sociaux et personnels PRODUCTION IMPUTEE DE SERVICES BANCAIRES Production imputée de services bancaires Production imputée de services bancaires CORRECTION TERRITORIALE Correction territoriale Correction territoriale PRODUIT D'ATTENTE DE NIVEAU 1 PRODUIT D'ATTENTE DE NIVEAU 2 PRODUIT D'ATTENTE DE NIVEAU 3 45 libelle_produit btp_1 btp_2 btp_3 comm_1 comm_2 comm_3 rep_1 rep_2 rep_3 chr_1 chr_2 chr_3 transp_1 transp_2 transp_3 transp_4 transp_5 fin_1 fin_2 fin_3 fin_4 fin_5 immob_1 immob_2 immob_3 immob_4 immob_5 apu_1 apu_2 apu_3 educ_1 educ_2 educ_3 educ_4 sante_1 sante_2 sante_3 sante_4 sante_5 szerv_coll_1 szerv_coll_2 szerv_coll_3 pisb_1 pisb_2 pisb_3 corter_1 corter_2 corter_3 attente_1 attente_2 attente_3 niveau_produit 1 2 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 2 3 1 2 3 2 3 1 2 3 2 3 1 2 3 1 2 3 3 1 2 3 3 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 1 2 3 A3.-Opérations id_operation 0D1 0D1001 0D100100A 0D100100B 0D1002 0D1002001 0D1002002 0D2 0D200A 0D200A331 0D200A332 0D200A340 0D200A470 0D200A900 0D200B 0D200B004 0D200B110 0D200B120 0D200B130 0D200B140 0D200B210 0D200B220 0D200B230 0D200B270 0D200B280 0D200B290 0D200B300 0D200B310 0D200B320 0D200B330 0D200B340 0D200B410 0D200B432 0D200B442 0D200B451 0D200B452 0D200B454 0D200B455 0D200B457 0D200B458 0D200B500 0D200B591 0D200B592 0D200B900 0D200B901 0D200C nom_operation Rémunération des salariés Salaires bruts Salaires bruts des salariés déclarés Salaires bruts des salariés non déclarés Cotis. sociales à la charge des employeurs Cotis. soc. effec. à la charge des employeurs Cotisations sociales imputées des employeurs Impôts sur la production et les importations TVA non déductible TVA-TPS sur Etat TVA-TPS sur Privé TVA-TPS sur Douane Pénalités sur impôts indirects TVA sur exercices antérieurs Impôts sur les importations (hors TVA) Taxe spéciale sur les produits pétroliers raffinés Droit de douane Droit Fiscal d'Importation Intérêt de crédit en douane Compensation moins-values Taxe de Coopération Régionale Taxe ORSP Taxe Préférentielle Communautaire Prélèvement Communautaire de Solidarité Prélèvement commnautaire Taxe dégréssive de protection Taxe Conjoncturelle à l'Importation Plombs et Imprimés Amendes et confiscations Vente en Douane Droit de magasinage Taxe sur boisson alcoolisée à l'importation Taxe locale sur tabac (douane) Taxe sur les colas Impôt spécial sur le thé Impôt spécial sur le lait Impôt spécial sur le sucre (Douane) Impôt spécial sur le sel Impôt spécial sur les boissons gazeuses (Douane) Impôt spécial sur les boissons (Douane) C.P.S (Douane) Impôt spécial sur la tomate (Douane) Impôt spécial sur les soupes (Douane) Recettes douane sur liquidation Impôts sur les armes et munitions Impôts sur les Exportations 46 libelle_operation niveau_operation rémusal salbrut salbrdécl salbrndécl csempl cseffmpl csimputmpl impoindir tvanondecl TVA_ETAT TVA_PRIVE TVA_DOUANE PENALITE TVA_anté impoimport tax_ppr DD DFI INTCREDIT COMPENSE TCR TAXEORSP TPC PCS PRELCOM TDP TCI PLOMBIMP AMENDE VDOUANE MAGASINAGE TALCOOL TTABACD TCOLA IMPOTHE IMPOLAIT IMPOSUCRED IMPOSEL IBOISGAZD IBOISD CPSDOUANE IMPTOMATE IMPSOUPE LIQDOUAN ARMUNIT impoexport 1 2 3 3 2 3 3 1 2 3 3 3 3 3 2 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 2 id_operation 0D200C240 0D200C490 0D200D 0D200D011 0D200D012 0D200D021 0D200D190 0D200D410 0D200D411 0D200D412 0D200D431 0D200D441 0D200D453 0D200D456 0D200D900 0D200D901 0D200E 0D200E010 0D200E011 0D200E012 0D200E013 0D200E050 0D200E060 0D200E100 0D200E130 0D200E140 0D200E141 0D200E180 0D200E310 0D200E401 0D200E402 0D200E404 0D200E405 0D200E406 0D200E421 0D200E422 0D200E423 0D200E430 0D200E440 0D200E461 0D200E901 0D200E902 0D200E903 0D200E904 0D200E905 0D200E906 0D200E913 0D200E940 0D3 0D3001 0D3009 nom_operation Taxe d'Exportation C.P.S sur l'Or Autres impôts sur les produits Droit d'enregistrement Taxes sur contrat d'assurance Droit de timbre PMU Mali Taxe sur les boissons alcoolisées (impôts) Taxe sur carburant et lubrifiant Autres Taxes sur carburant Taxe locale sur tabac (impôts) Taxe unique de consommation Impôt spécial sur le sucre (impôts) Impôt spécial sur les boissons gazeuses (impôts) Taxes d'abattage Recettes impôts sur exercices antérieurs Autres Impôts sur la production Taxes sur permis de conduire Taxes pour délivrance de permis de conduire Taxes délivrance carte grise Taxe visite technique de véhicule Taxes délivrance carte de transport Autorisation de Conduire Taxe touristique Amendes et transaction infr-rég Taxes sur transfert Taxes / transferts LA et PO en TF Recettes de lettre de voiture Vignette et Patente Permis de petite chasse Permis de pêche Permis de coupe de bois d'oeuvre Permis de coupe de bois de service Permis de coupe de bois de chauffage Transaction forestière Transaction en matière de coupe Transaction en matière de pêche Taxe sur les véhicules Taxes sur les transports routiers Droit de traversée routière Patentes Licences Taxes sur les armes à feu Taxes sur les vélocipèdes Taxes sur les pirogues Patentes sur les charrettes Droit de conservation de la propriété Amende arbitrée Subventions Subventions sur les produits Subventions sur la production 47 libelle_operation niveau_operation TEXPORT CPS_OR impoprodt DENREGIST TASSUR DTIMBRE PMUMALI TALCOOLI TCARBURANT AUTCARBUR TTABACI TCONS ISUCREI IBGAZI TABATTAGE DGIANTE impoprod TAXEPERMIS TDPERMIS TDCARTEG TVISITE TDTRANSPOR AUT_CONDUI TTOURISTE INFR_REG TTRANSFER TTRFLAPO LVOITURE VIGNETTES PCHASSE PPECHE PB_OEUVRE PB_SERVICE PB_CHAUFFE TRANSFORET TRANSCOUPE TRANSPECHE T_VEHICULE T_ROUTIERE DTRAVERSE PATENTES LICENCES TARMES TVELOS TPIROGUES TCHARETTES DCONSPRO ARBITRE subv subvprodt subvprod 3 3 2 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 2 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 1 2 2 id_operation 0D4 0D4001 0D4002 0D4002001 0D400200100A 0D400200100B 0D4002002 0D4003 0D4004 0D4005 0D400A 0D5 0D5001 0D5001120 0D5001200 0D5001201 0D5001202 0D5001211 0D5001212 0D5001230 0D5001240 0D5001261 0D5001262 0D5001263 0D5001300 0D5001410 0D5001460 0D5002110 0D5002130 0D5002210 0D5002430 0D5002450 0D5002461 0D5002901 0D5002902 0D5002910 0D5009 0D6 0D6001 0D6001001 0D6001001001 0D6001001002 0D6001001003 0D6001002 0D6002 0D6002001 0D6002002 0D6002003 0D6002004 0D6003 0D6003001 48 nom_operation Revenus de la propriété Intérêts Revenus distribués par les entreprises Dividendes Dividendes déclarés Dividendes attribués par arbitrage Revenus tirés des quasi-sociétés Revenus étrangers réinvestis Revenus de la propriété attribués aux assurés Loyers nets des terres et redevances Ajustement pour services bancaires imputés Impôts courants sur les revenus et le capital Impôts sur le revenu Prélèvement sur les honoraires des greffiers IMF sur BIC IMF sur BIC (Impôt) IMF sur BIC (Trésor) BIC secteur d'Etat BIC secteur Privé Impôts sur les revenus de valeurs mobilières Impôts sur les revenus fonciers Impôt général recouvré sur rôles Impôt général retenue (Trésor) Impôt général retenue (Impôt) Impôt synthétique Contribution forfaitaire Pénalité sur impôts directs Droits d'enregistrements 2 Droits de conservation de la propriété 2 Droits de timbre 2 Taxes sur les véhicules automobiles 2 Taxes sur les biens de main morte Droits de traversée routière 2 Impôt / population flottante Taxe sur le bétail Recettes diverses sur exercices antérieurs Autres impôts directs Contributions sociales et prestations Contributions sociales Contributions sociales effectives Cotis. sociales effectives à charge employeurs Cotisations sociales à charge salariés Cotisations sociales indépendants et sans emploi Contributions sociales imputées Prestations sociales autres qu'en nature Prestations de sécurité sociale en espèces Prestations d'assurance sociale de régime privé Prestations assurance sociale directe d'employeur Prestations d'assistance sociale en espèces Transferts sociaux en nature Prestations sociales en nature libelle_operation niveau_operation revprop interêt reventpris dividende dividdecl dividarbit revqasisoc revetrangé revassuré loyers SIFIM imodirect imporevenu PGREFF IMF_BIC IMF_BICI IMF_BICT BIC_ETAT BIC_PRIVE IRVM IRF IGRR IGR_TRESOR IGR_IMPOT SYNTHE CONTFORF PENALITED ENREGIS2 CONSPROP2 TIMBRE2 TVEHICULE2 MAINMORTE TRAVROUTE2 IPOPFLOT TBETAIL DIVANTE &impodir csetprest cs cseffect cseffempl cssal csindep& csimputé prest&qnat prsecuesp prassupriv prdirempl prassist transfnatu prestnatu 1 2 2 3 4 4 3 2 2 2 2 1 2 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 2 1 2 3 4 4 4 3 2 3 3 3 3 2 3 id_operation 0D6003002 0D7 0D7001 0D7002 0D7003 0D7004 0D7005 0D8 0D9 0D9001 0D9002 0D9009 0DZ 0DZ001 0DZ002 0DZ003 0DZ004 0DZ005 0E1 0E1001 0E1001001 0E1001002 0E1002 0E1002001 0E1002002 0E1003 0E2 0E3 0P1 0P100A 0P100A001 0P100A002 0P100B 0P100B001 0P100B002 0P2 0P3 0P300A 0P300B 0P300B001 0P300B002 0P6 0P7 0P9 0P9001 0P9001001 0P9001002 0P9002 0PM 0PM001 0PM002 nom_operation Transferts B&S individuels non marchands Autres transferts courants Primes nettes d'assurance-dommages Indemnités d'assurance-dommages Transferts courants entre admini. publiques Coopération internationale courante Autres transferts courants divers Ajustement pour variation des intérêts des ménages Transferts en capital Impôts sur le capital Subventions d'investissement Autres transferts en capital Opérations transitoires Opérations transitoires Tableau Ressources Emplois Opérations transitoires de répartition (hors TRE) Opérations transitoires sur actifs non financiers Opérations transitoires sur actifs financiers Ajustement non défini autrement Population active occupée Salariés Salariés déclarés Salariés non déclarés Entrepreneurs individuels Patrons Pour compte propre Aides familiales Population active sans emploi Population inactive Production Production marchande Production marchande vendue Production marchande stockée Production non marchande Production non marchande pour emplois finaux propr Autre production non marchande Consommation intermédiaire Dépense de consommation finale Dépense de CF en produits marchands Dépense de CF en produits non marchands Dépense de CF individ. en produits non marchands Dépense de CF collec. en produits non marchands Exportations Importations Opérations provisoires Pertes Pertes à la production Autres pertes Consommation humaine Marges Marges commerciales Marges de transport 49 libelle_operation niveau_operation tfindivnm &tfcourant primassur indemassur tfcouradmn coopintern &tfcourdiv ajustintér transfcap impocap subvinvest &tfcap optrans optranstre optransrep optransnfi optransfi ajustnda PAO salariés saldécl salndécl EI patrons EIcomptpro aides chômeurs popinact prod prodm prodmvendu prodmstock prodnm prodnmprop &prodnm ci depcf depcfpm depcfpnm depcfnmind depcfnmcol export import opéprov perte perteprod &perte consohum mg mgcommerce mgtranspor 3 1 2 2 2 2 2 1 1 2 2 2 1 2 2 2 2 2 1 2 3 3 2 3 3 2 1 1 1 2 3 3 2 3 3 1 1 2 2 3 3 1 1 1 2 3 3 2 1 2 2 id_operation AF1 AF2 AF3 AF4 AF5 AF6 AF7 AN1 AN1001 AN1001001 AN1001002 AN1002 AN1002001 AN1002002 AN1002003 AN1002004 AN1003 AN2 AN2001 AN2001001 AN2001002 AN2001003 AN2001004 AN2002 B01 B04 B05 B06 B07 B08 B09 B0A B0A001 B0A002 B0Z B11 B12 P51 P52 P5200A P5200B P5200C P5200D P53 nom_operation Or monétaire et DTS Monnaie et dépôts Titres autres que les actions Prêts Actions Réserves techniques d'assurances Autres instruments financiers Actifs produits Actifs fixes Actifs fixes corporels Actifs fixes incorporels Stocks Stocks de matières premières Stocks de produits en cours Stocks de produits finis Stocks de biens pour revente Placements en objets de valeur Actifs non produits Actifs non produits corporels Terres Actifs souterrains Ressources biologiques non cultivées Ressources en eau Actifs non produits incorporels Valeur ajoutée brute Revenu de l'entreprise Solde des revenus primaires / Revenu national Revenu disponible brut Revenu disponible ajusté Epargne brute Capacité ou besoin de financement Revenu d'exploitation Excédent brut d'exploitation (EBE) Revenu mixte Ecart Statistique Solde des échanges extérieurs de Biens & Services Solde des opérations courantes avec l'extérieur Formation Brute de capitale Fixe Variation de stocks Variation de stocks de matières premières Variation de stocks de produits en cours Variation de stocks de produits finis Variation de stocks de biens pour revente Acquisitions nettes en objets de valeur 50 libelle_operation niveau_operation or monnaie titres prêts actions réservassu &titresfi actifprod actiffix actiffixc actiffixnc stock stockmat1 stockencou stockfini stockreven actobjval actifnprod actnprodc terre souterrain biologique eau actnprodnc VAB reventrep revnation RDB RDajusté Epargnbrut capoubesfi revexploit EBE revmixte EcartStat soldextB&S soloperext fbcf vs vsmat1 vsencours vsfinis vsrevente acqobjval 1 1 1 1 1 1 1 1 2 3 3 2 3 3 3 3 2 1 2 3 3 3 3 2 1 1 1 1 1 1 1 1 2 2 1 1 1 1 1 2 2 2 2 1 A4.-Famille Opérations famille ADM ASS COT FIN IMP INT PAT PST SLD TRE TSF libellé famille Opér_ADMIN Assurance Cotisation Financiers ImpotDirec IntérêtEtc Patrimoine Prestation Opér_SOLDE Opér_TRE Transfert Nom Famille Opérations réservées à l'administateur Opérations liées à l'assurance (sauf production) Cotisations sociales Instruments financiers aut. que titres & similaire Impôts directs (courants et en capital) Revenus de la propriété hors assurance Données rattachées aux comptes de patrimoine Prestations sociales & transferts sociaux Soldes Opérations faisant partie de l'espace du TRE Transferts courants et en capital A5.- Secteurs id_secteur 0S1 0S1001 0S1001001 0S1001002 0S1002 0S1002001 0S1002002 0S1003 0S1003001 0S1003002 0S1003003 0S1004 0S1005 0S1008 0S2 0S2000 nom_secteur Secteurs résidents Sociétés non financières Sociétés non financières publiques Sociétés non financières privées Sociétés financières Institutions financières publiques Institutions financières privées Administrations publiques Administrations publiques centrales Administrations publiques locales Sécurité sociale Ménages Institutions sans but lucratif au service des ména Unité fictive Reste du monde Reste du Monde libelle_secteur sectrésid socnfin NonFinPub NonFinPriv socfin IfPub IfPriv APU Apu_Cent Apu_Loc Sécu ménages ISBLménage Uf §résid RsetDuMond A6.- Sources Id_source Ad_Privées Ad_PrivÚes ANNUSTAT BCEAO BCS BEP BP BSI Budget CMDT 51 nom_source ONG - Mosquées - Eglises - Partis Politiques ONG - MosquÚes - Eglises - Partis Politiques Annuaire Statistique National du Mali Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest Rapport du Bureau Central des Soldes Rapport du Bureau des Entreprises Publiques Balance des Paiements de la BCEAO Budget Spécial d'Investissement Rapport d'exécution du Budget d'Etat Compagnie Malienne du Développement du Textile libelle_source Admprivées AdmprivÚes ANNUSTAT BCEAO BCS Burenpub Balanpaie Buspéinves Bugetétat CMDT niveau_secteur 1 2 3 3 2 3 3 2 3 3 3 2 2 2 1 2 Id_source Comext COOPCRE DGDP DNAEMR DNAMR DND DNGM DNImp DNInd DNT DNTCP DNTP DNUC DSF EAC EBC EDS ELCONJ EMCES ESI EST_AGRI IER IHPC INPS OEFP OHVN OMA OMBEVI ON ONP OPM OT PNUD RGPH87 RGPH98 SOTELMA SPROV1 SPROV2 SPROV3 TOFE 52 nom_source Statistiques du Commerce Extérieur Coopératives de crédit Direction Générale de la Dette Publique Direction Nationale Aménag. Equipement Monde Rural Direction Nationale de l'Appui au Monde Rural Direction Nationale des Douanes Direction Nationale de la Géologie et des Mines Direction Nationale des Impôts Direction Nationale des Industries Direction Nationale des Transports Direction Nationale du Trésor et de la Compta Publ Direction Nationale des Travaux Publics Direction Nationale de l'Urban. et de la Const Décl. Stat. et Fiscales des entreprises Enquête Agricole de Conjoncture - DNSI - DNA Enquête Budget Consommation Enquête Démographique et de Santé Eléments de Conjoncture Enquête Mali. de Conjoncture Economique et Sociale Enquête sur le Secteur Informel Données estimées en agriculture Institut d'Economie Rurale Indice Harmonisé des Prix à la Consommation Institut National de Prévoyances Sociales Obs de l'Emploi et de la Formation Prof Opération Haute Vallée du Niger Observatoire des Marchés Agricoles Office Malien du Bétail et de la Viande Office du Niger Office Nationale des Postes Opération Pêche Mopti Observatoire des transports Programme des Nations Unies pour le Développement Recens Général de la Pop et de l'Habitat 1987 Recens Général de la Pop et de l'Habitat 1998 Société des Télécommunications du Mali Source provisoire 1 Source provisoire 2 Source provisoire 3 Tableau des Opérations Financières de l'Etat libelle_source Commextér COOPCRE Dettepubli Diamémonru Appuimonru Dirdouanes Dirgéomine Dirimpôts Dirindustr Dirtransp Dirtrésor DirnaTP Urbanconst Décstafisc EnqAgrConj Budgetcons Démosanté Eléconjonc EMCES Sectinform EST_AGRI Ecorurale Indharprix INPS Obsemploi Hautvallé Obmaragr OMBEVI Offiniger Offiposte Opérapêche Obstransp PNUD Recens87 Recens98 SOTELMA SPROV1 SPROV2 SPROV3 TOFE A7.- Statut valeur id_stat_val 1 2 4 A B D nom_stat_val Donnée source Pré-traitement transversal Arbitrée Source pour confrontation Source transposée pour confrontation Arbitrée pour confrontation libelle_stat_val source prétraité arbitré source prétraité arbitré A8.- Mode de Valorisation id_mode_valor 1 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 2 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 3 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 4 40 41 53 nom_mode_valor Quantité physique Valeur monétaire au prix de l'année n: non spécifié Valeur monét. au prix de l'année n-1: prix producteur Valeur monét. au prix de l'année n-1: prix de base Valeur monét. au prix de l'année n-1: prix d'acquisition Valeur monét. au prix de l'année n-1: marges transport Valeur monét. au prix de l'année n-1: marges commerciales Valeur monét. au prix de l'année n-1: taxes nettes Valeur monét. au prix de l'année n-1: TVA non déductible Valeur monét. au prix de l'année n-1: non spécifié Valeur monét. au prix de l'année n: montant couru ou constaté Valeur monétaire au prix de l'année n: prix producteur Valeur monét. au prix de l'année n: montant dû Valeur monét. au prix de l'année n: montant payé Valeur monét. au prix de l'année n-1: montant couru ou constaté Valeur monét. au prix de l'année n-1: montant dû Valeur monét. au prix de l'année n-1: montant payé ou encaissé Nombre de personnes Nombre d'emplois Prix unitaire de base Prix unitaire de base complété Prix unitaire au producteur Valeur monétaire au prix de l'année n: marges commerce Prix unitaire d'acquisition Quantité de travail Taux de marge des commerces de gros (prix année n) Taux marge des commerces de détail au prix année n Taux de marge commercial apparent aux prix année n Taux marge des commerces de gros au prix année n-1 Taux marge commerces de détail aux prix année n-1 Taux de marge de transport aux prix de l'année n-1 Taux marge commercial apparent aux prix année n-1 Taux théorique année N (Hors TVA) Valeur monétaire aux prix année n:marges transport Taux apparent année N (Hors TVA) Taux de marge de transport aux prix de l'année n libelle_mode_valor Qphysiq valn valppn-1 valpbn-1 valpan-1 mgtransn-1 mgcommn-1 valtaxn-1 valTVAn-1 valn-1 valcourn valppn valdûn valpayén valcourn-1 valdûn-1 valpayén-1 personnes emplois pxbase pxbasecp pxprod mgcommn pxacqu travail txmggron txmgdétn txmgappn txmggron-1 txmgdétn-1 txmgtrpn-1 txmgappn-1 txtheoN mgtransn txappN txmgtrpn id_mode_valor 42 43 44 45 46 47 51 52 53 54 55 56 57 58 59 6 61 63 65 7 71 72 73 74 75 76 8 9 nom_mode_valor Taux de TVA théorique année N Taux de TVA apparent année N Taux théorique année N-1 (Hors TVA) Taux apparent année N-1 (Hors TVA) Taux de TVA théorique année N-1 Taux de TVA apparent année N-1 Indice de quantité Indice effet qualité Indice de volume Indice de valeur à prix de base Indice de valeur à prix producteur Indice de valeur à prix d'acquisition Indice de prix à prix de base Indice de prix à prix producteur Indice de prix à prix d'acquisition Valeur monétaire au prix de l'année n:prix de base Coefficient technique en quantité physique Coefficient technique en valeur monétaire Ratio PSI Valeur monétaire au prix de l'année n: prix d'acquisition Ratio par actif occupé Ratio par salarié déclaré Ratio par salarié non déclaré Ratio par actif non salarié occupé Ratio par rapport au salaire Ratio par rapport à la production. Valeur monétaire au prix de l'année n:taxes nettes Valeur monétaire au prix de l'année n: TVA non déductible libelle_mode_valor txTVAthN txTVAapN txtheoN-1 txappN-1 txTVAthN-1 txTVAapN-1 iquant iqualit ivol ivalpxbase ivalpxprod ivalpxacq ipxbase ipxprod ipxacq valpbn coefphy coefmon RatioPSI valpan %ActOcc %SalDec %SalNoDec %ActNoSal %Salaire %Product° valtaxn valTVAn A9.- Mode de production id_mode_production 1 2 3 4 5 6 9 nom_mode_production Admin. Pub. et Inst.sans But Luc. au serv. ménages Entreprise à Déclarations Stat. et Fiscales Autres sociétés formelles Sous-déclaration Informel Production des ménages pour compte propre A Distribuer libelle_mode_production Apu_Isbl Sqs_dsf Aut_formel Sous_decl Informel Ménages ADIST A10.- Attribut méthodologique id_attrib_methode 1 2 9 54 nom_attrib_methode point de vue du receveur, actif, ressources B&S point de vue du payeur, passif, emplois B & S Sans objet libelle_attrib_methode Offre Demande Sans objet A11.-Unités physiques id_unite_physique 1000 unités 1000kwh hl kg km m m3 stère t unité nom_unite_physique 1000 unités Millier de kilowattheures hectolitre kilogramme kilomètre mètre mètre cube stère tonne unité libelle_unite_physique 1000unités 1000kwh hl kg km m m3 stère t unité A12.- Qualificatifs de patrimoine id_qualif_patr 1 2 3 4 6 7 8 nom_qualif_patr En cours comptable En cours économique Flux de la période Consommation de capital fixe Gains ou pertes en volume Gains ou pertes en valeur comptable Gains ou pertes en valeur économique libelle_qualif_patr encourscpt encourséco FluxPeriode CCF gainvolume gainvalcpt gainvaléco A13.- Références temporelles id_ref_temp 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 AN J1 JZ T1 T2 T3 T4 55 nom_ref_temp Mois 1 Mois 2 Mois 3 Mois 4 Mois 5 Mois 6 Mois 7 Mois 8 Mois 9 Mois 10 Mois 11 Mois 12 Année 1° jour de l'exercice Dernier jour de la période Trimestre 1 Trimestre 2 Trimestre 3 Trimestre 4 libelle_ref_temp Année Dernier Jour A14.- Origines des Produits id_origine_produit 1 2 nom_origine_produit National Importé libelle_origine_produit National Importé A15.-Comptes Identifiant I II.1.1 II.1.2 II.2 II.3 II.4 II.4.1 II.4.2 Nom compte Production ou Compte extérieur Biens & Services Compte d'exploitation Compte d'affectation des revenus primaires Compte de distribution secondaire du revenu Compte de redistribution du revenu en nature Compte d'utilisation du revenu Compte d'utilisation du revenu disponible Compte d'utilisation du revenu disponible ajusté Libellé cpte ProdExtB&S Exploit AffRevPrim DistRevSec DistRevNat UtilRevenu UtRevDisp UtRevAjust III.1 Compte de capital Capital III.2 Compte financier Financier 56 LIBELLE_CREDIT Ressources Ressources Ressources Ressources Ressources Ressources Ressources Ressources LIBELLE_DEBIT Emplois Emplois Emplois Emplois Emplois Emplois Emplois Emplois Variation des Variation des passifs... actifs Variation des Variation des passifs... actifs