Dossier de presse bestiaire

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Dossier de presse bestiaire
Exposition
Bestiaire
08.10.11 – 04.11.11
Le Belvédère
Place Saint Michel
56380 Guer
T 02 97 22 14 47
M [email protected]
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Biographie des artistes présentés
Claudine CAPDEVILLE
Claudine CAPDEVILLE plasticienne-photographe réalise des séries de photos-textes sur différents thèmes et sujets : messages
téléphoniques («Le message y est »), relation entre personnes et lieux de vie (Triptyques pour Saint-Papoul et La cabane d’Hyppolite en
Bretagne), échange croisé d’une photo par jour et d’une phrase par jour pendant deux ans (« Éphémérides 2001-2002 »).
Henri CUECO
Né à Uzerche (Corrèze) en 1929. Il vit et travaille en région parisienne et en Corrèze.
Le thème permanent, récurrent de son travail est le rapport de l’homme à la nature. Contrairement à de nombreux artistes de sa
génération, il est préoccupé par le rôle social de l’artiste et par la réalisation d’une peinture qui ne se satisfait pas de n’être que la
déclinaison de la peinture elle-même. Personnalité marquante de la Nouvelle Figuration ou Figuration critique, Cueco participa
activement au salon de la Jeune Peinture, à la Coopérative des Malassis, dont il fut membre fondateur en 1969.
Réflexion sur l’image, l’itinéraire de Cueco est fait de ruptures apparentes. Les cassures du temps, idéologiques, psychologiques,
génèrent les cycles de son travail.
Se succèdent de 1965 à 1975 Les Jeux d’Adultes et Les Hommes Rouges ; de 1972 à 1976, Les Chiens et Les Claustras ; de 1977 à 1987,
Les Herbes/Paysages dessinés marquent un retour au motif ; de 1987 à 1990, Sols d’Afrique , série inspirée, non pas par un récit de
voyage (Je hais le folklore), mais d’après des livres sur l’Afrique dont les photos l’émeuvent.
En 1993, il publie son journal d’atelier, ou, Journal d’une pomme de terre . À l’occasion de cette parution, la galerie Louis Carré & Cie
présente 150 petits portraits de pomme de terre, œuvres réalisées parallèlement à l’écriture de son journal.
Collectionneur dans l’âme ou âme d’un collectionneur – L’humanité se divise en deux catégories : les jeteurs et les gardeurs. C’est de
famille – Cueco supporte mal qu’on jette, qu’on détruise. Si bien qu’en plus des trésors arrachés aux décharges ou chinés, il vit parmi
tous les objets dont il refuse de se défaire : cailloux, noyaux et queues de cerises, noyaux de pêches, de prunes, noisettes, amandes,
cailloux, bouts et entaillures de crayons, papiers froissés, ficelles, élastiques de bureau, etc.
Dès 1986, il peint les objets qu’il accumule sur des petits formats tout en déclarant : J’ai voulu prendre un risque avec la banalité et
parfois c’est elle qui a gagné . Il dresse l’inventaire de sa collection dans son livre Le collectionneur de collections paru en 1995 aux
Éditions du Seuil.
Durant l’été 2000, l’artiste s’installe avec son matériel de peintre dans les prés au Pouget, et peint le ciel et les nuages, les couchers de
soleil, les arbres, les haies et les clôtures par beau et mauvais temps.
Une série de 155 tableaux illustre la campagne de Corrèze racontée dans un ouvrage intitulé La petite Peinture , reproduction exacte, en
couleurs, des pages de son carnet d’artiste, publié aux éditions Cercle d’art en 2001.
2003, année de la canicule. Cueco se tourne vers les misères subies par son jardin durant cet été. Il collecte les grandes feuilles
vrillées du paulownia, les saxifrages brûlées, les saules noirs en dentelle, les petites feuilles crispées des noisetiers, celles tannées du
chêne. Il les dessine aussi ordonnées et précises dans leurs plis que ceux des robes des sœurs de Port-Royal ; des frondaisons entières
fossilisées par le feu des soleils. L’exposition Brûlures des “saxiphrages” est présentée en février 2005 à la galerie Louis Carré & Cie.
Cueco apporte son concours à l’association Pays-Paysage dont il fut un des fondateurs en 1979. Cette association est riche d’une
collection de près de 700 livres d’artistes axés principalement sur les thèmes de l’enfance et du paysage.
Esprit doué d’un grand sens de l’humour, il publie aussi de nombreux textes ; L’Arène de l’art , essai écrit avec P. Gaudibert en 1988,
critique virulente d’un minimalisme académique et d’un art conceptuel devenus trop officiels, à son goût, en France ; Journal d’atelier ,
1988-1991 ou Le Journal d’une pomme de terre , paru à l’Énsb-a, 1993 ; Comment grossir sans se priver , publié aux éditions Frank
Bordas en 1997 ; Le Volcan , Paris, éditions Balland, 1998 ; Discours inaugural du centre national de la faute d’orthographe et du lapsus ,
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La Louvière, éditions Le Daily-Bul, 1998 ; Le Troubadour à plumes , Brive-la-Gaillarde, éditions François Janaud, 1999 ; L’Inventaire des
queues de cerises , Paris, éditions du Seuil, 2000 ; Dessine-moi un bouton , Paris, Éditions du Seuil, 2000 ; Dialogue avec mon jardinier ,
Paris, Éditions du Seuil, 2000.
Henri Cueco est aussi un homme de radio : il participe régulièrement depuis de nombreuses années aux émissions radiophoniques Les
Décraqués et Les Papous dans la tête de Bertrand Jérôme et Françoise Treussard sur France Culture dont les éditions Gallimard
publient, en 2004, l’anthologie.
Thomas DE LA PINTA
Panda
«C'est par mon père, peintre-graveur, et au lycée Vauban de Brest que j'ai appris les bases du dessin. J'ai choisi alors le
chemin de l'illustration et de la bande dessinée, et me suis dirigé vers l'école supérieure de l'image d'Angoulême où j'ai
approché les techniques de narration et d'expression».
Mais c'est la gravure qui l'emporte: «En 2004, je décide de revenir en Bretagne et de me consacrer à la gravure. C'est au
travers d'elle que je raconte mes histoires, inspirées de mes souvenirs d'enfance en Espagne et du monde dans lequel je vis.
Elle me permet d'exprimer ce que je ne sais dire ou écrire et de faire partager mes émotions. En 2007, j'ai ouvert mon atelier
à Nantes».
FORMATION :
2002-03 Ecole supérieure de l' Image à Angoulême
1997-99 Ecole des Beaux Arts de Cornouaille à Quimper
EXPOSITIONS:
2011 - "L'Art prend l'air" Atelier 28.
- "Les Ateliers du possible" à Bécherel.
- "Estampes" Atelier-Expo Catherine Pouplain à Lorient.
2010 - "Biennale de l' Estampe" à St-Brévin-les-Pins.
Barry FLANAGAN
Né en 1941 à Prestatyn, dans le comté de Flint, au nord du pays de Galles.
Barry Flanagan est un sculpteur britannique, célèbre notamment pour ses sculptures de lièvres en bronze,
mais dont la carrière est bien plus diverse qu'il n'y paraît. Né au Pays de Galles pendant la Seconde Guerre
mondiale.
A l'âge de 16 ans, il commence à suivre des cours d'architecture au Birmingham College of Art and Crafts et
suit en même temps des cours de dessin d’après nature. Il apprend par la suite à modeler, à mouler et à tailler la pierre. Il fréquente
ensuite différentes écoles de beaux-arts et passe trois mois à la St. Martin’s School of Art, où il suit les cours du soir du sculpteur
Anthony Caro. En 1963, Barry Flanagan épouse Sue Lewis, étudiante en scénographie. Le couple habite d’abord à Bristol puis emménage
à Cambridge, dans le comté de Gloucester, pour s’occuper d’un magasin d’antiquités. C'est l'époque des rencontres... Flanagan découvre
Alfred Jarry et devient un adepte de sa " science des solutions imaginaires ". Il rencontre Joan Miro au vernissage de son exposition à
la Tate Galerie. Il crée l’hebdomadaire Silâns avec Rudy Leenders et Alastair Jackson. Il participe avec Yoko Ono et Tony Cox à
"Destruction in Art Symposium". En 1966, il réalise sa première exposition personnelle à la Rowan Gallery de Londres, galerie à laquelle
il restera fidèle jusqu'en 1975.
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De 1967 à 1971 il enseigne à la St Martin's School of Art et a la Central School of Art Crafts à Londres et expose dans des institutions
prestigieuses à travers tout le Royaume-Uni : Londres, Oxford, Dublin, Liverpool... Durant cette période, il réalise sa première oeuvre en
bronze, un portrait d'Emlyn Lewis et fait sa première visite a New York à l'occasion d'une exposition à la Fishbach Gallery, suivie d'une
visite au Japon en 1970. Sa participation à l'exposition historique « Quand les attitudes deviennent forme », en 1969, est déterminante
pour la suite de sa carrière. Artiste pluridisciplinaire, Flanagan développe dans les années 1970 sa pratique de la gravure, réalise un
film, suit des cours de danse auprès de Carolyn Carlson, sculpte le marbre et produit des céramiques, etc.,.
À partir des années 1980, son oeuvre connaît un essor sans précédant. Ses sculptures monumentales investissent les plus grands
musées du monde: Londres, Tokyo, New York, Paris... En 1980 a lieu sa première exposition de bronzes à la Galerie Durand Dessert. En
1982, Barry Flanagan avait représenté la Grande-Bretagne à la Biennale de Venise et exposé un lièvre de 2,50 mètres de long à la
Documenta VII de Kassel. En 1984 il participe au Liverpool Garden Festival, à cette occasion il produit des sculptures de marbre
disposées au Watlington Park, quatre sculptures de bronze ("Baby Elephant", "Hare on Bell", "Nine Foot hare", "Horse and Cougar"). En
1987 il est élu associé de la Royal Academy of Arts de Londres.
En 1987, l’artiste s’installe à Ibiza pour, selon ses dires, "débuter une nouvelle vie".
En 1993-1994 à lieu une exposition, rétrospective majeure sur son oeuvre organisée par la fondation "Caixa", la même année il crée le
Centre de Sculpture à Montolieu, France avec Louise Romain et John Cockin. Jusqu'à sa mort, en 2009, il était Président d'Honneur de
cette association sans but lucratif.
Mathilde MARLOT
Née le 18 juillet 1980 à Fleury sur Orne (14). Vit a Loutehel (56).
Illustratrice, elle intervient auprès de nombreuses structures pour l’animation d’atelier d’illustration.
Laissez vous emporter dans mon petit monde teinté de poésie, de magie et de rêve. « Mes sources
d'inspirations se situent dans la nature, le cinéma, la BD, le fantastique et la littérature. Je suis
passionnée par le romantisme du 19ème siècle, les préraphaélites; par le moyen-âge, le Japon et par les
contes du monde entier ». Mathilde Marlot, pour cette exposition, nous prpose une installation faite de 50
lapins, plus amusants les uns que les autres.
Chacune de ses créations vous raconte une histoire, une anecdote; à vous de trouver celle qui vous appelle, qui vous
ressemble ou qui reflète de loin ou de près une histoire, un parfum, une image de votre enfance...
Jean-Jacques OSTIER
Né en 1945, à Saïgon (Ho Chi Min ville), au Vietnam.
Toujours vivant. (Mouton)
Lithographie imprimée en brun sur papier Lana.
Rapatrié en 1946, il passe le baccalauréat à 16 ans, puis entreprend des études d'architecture à
l'Ecole des Beaux Arts de Paris. Brièvement architecte-décorateur de 1968 à 1970, il devient
manouvre dans le bâtiment, puis gérant d'un journal d'extrême gauche et participe au lancement du journal Libération avant de partir,
en 1974, dans le Sud de la France où il décide enfin de faire ce qui le passionnait depuis l'adolescence, c'est à dire la peinture, tout en
exploitant quelques hectares de vigne. De retour à Paris en 1980, il travaille une dizaine d'années dans la galerie d'art japonais ancien
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de ses parents où il perfectionne notamment ses connaissances relatives au travail de l'encre et du papier. Cette double culture, tant
dans le rapport aux matériaux de la peinture - encre-papier/cire et pigments-toile - que dans sa philosophie, particulièrement dans son
rapport au temps et à la perspective est une des caractéristiques de son travail. Il vit et travaille dans un village des Yvelines.
Yanick PEN’DU
Né en 1960, vit et travaille en Bretagne
Expositions personnelles
2010
Exposition Espace Culturel Lucien Prigent, à Landivisiau (Bretagne)
2009
Exposition Galerie Delacroix, à Tanger (Maroc)
Exposition Galerie de l'Institut Français, à Rabat (Maroc)
Exposition au Fort de Combrit-Sainte Marine (Bretagne)
2008
Galerie Gaultier ,Quimper
Jean-Pierre PINCEMIN
Né le 7 avril 1944 à Paris et mort le 17 mai 2005 à Arcueil (Val-de-Marne).
Jean-Pierre Pincemin, artiste autodidacte, commence sa carrière de peintre sous l’encouragement du galeriste Jean Fournier. Celui-ci
lui présente Claude Viallat, alors que les deux artistes partagent les mêmes méthodes. Ils éliminent le pinceau et rapportent sur toile
libre des empreintes de matériaux divers (briques, tôles ondulées, grillages etc.). Ils adoptent également l’assemblage par agrafage ou
collage. Pincemin découpe et colle des carrés, des losanges, des échelles de toiles préalablement passés dans un bain de teinture. En
1969 il organise avec Viallat une exposition à l’Ecole d’Architecture de Paris. Les artistes participant à cette exposition constituent le
noyau du groupe Support-Surface, qui proclame la peinture elle-même (sa surface, ses supports, la toile, le cadre, le châssis) comme
objet de la peinture. Jean-Pierre Pincemin expérimente l'utilisation de matériaux les plus divers : planches, tôles, grillages carrés de
toile trempés dans la peinture (série des Palissades et des Portails).
Pincemin se fait connaître en participant aux principales expositions du Support-Surface. Mais il s’éloigne bientôt de ses condisciples, à
partir de 1973 il suit sa propre voie. Au milieu des années 1970, il revient au châssis et au pinceau, poursuit son travail sur les
harmonies
et
les
contrastes
colorés
avec
des
œuvres
de
plus
en
plus
monumentales.
Sensible à la peinture et à la culture des Etats-Unis, il s’inspire de Jackson Pollock, Rothko et Franz Kline. Jusqu’en 1984 il réalise des
peintures abstraites. Or, il se distingue des autres artistes abstraits par le travail sur la couleur, qui révèle une vibration sur les bords
de ses bandes. Le changement brutal survient en 1985 sous diverses influences, dont le choc produit par les avant-gardes allemande,
italienne, américaine, et le déplacement des intentions de la peinture. Dès lors, parallèlement à des formes géométriques comme
cercles et damiers, les formes végétales affleurent, Pincemin modifie sa manière de peindre et sa conception de l’espace.
En 1989, il expose des sculptures faites d’assemblages de petites facettes de bois colorées. Puis il choisit de travailler dans l’histoire de
la représentation, s’inspire de gravures anciennes, opère une transmission lente de la réalité, et réalise de grandes peintures (sujets
religieux, scènes de genre, portraits). Il a été longtemps professeur à l’Ecole des Beaux-Arts de Poitiers puis d’Angers. Il était
également chargé de plusieurs missions de l’A.F.A.A. (structure culturelle du Ministère des Affaires étrangères).
En 1995, à Liège, il figure la création du monde sur un plafond de 200 m2 à l'hospice du Balloir, en respectant à la lettre le récit biblique.
On lui doit également le plafond du théâtre de Villeneuve-sur-Yonne. La plupart de ses œuvres ne portent aucun titre. Son œuvre est
souvent qualifiée d’une des plus grandes et « surprenantes » de sa génération. Depuis son entrée sur la scène artistique, au milieu des
années 1960, Jean-Pierre Pincemin se pose en empiriste. De cette époque d’une rigoureuse expérimentation, début du minimalisme aux
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États-Unis, prémices du groupe Supports-Surfaces en France auquel il participe, il a gardé l’esprit d’une ouverture à de nouveaux
possibles de la peinture, l’esprit d’invention. « Représenter, c’est le but de la peinture. Il faut organiser des réponses à ce que l’on
voit », disait-il. La peinture est perception, travail sur l’épaisseur, la chair du sensible, c’est le « lieu de volupté » du rouge des
peintures géométriques des années 1970, des surfaces vibrantes de chacune de ses toiles. Elle est plaisir de « fabriquer », de
surprendre les hasards de la couleur dans une palette sensuelle et raffinée. L’œuvre de Jean-Pierre Pincemin est une « œuvre
ouverte » : elle mêle librement les tons et les genres, elle est réflexive et matérialiste, créative et critique. Car elle se moque du style
unique, de la signature, recherche les ruptures. Elle convoque la tradition de la peinture dans son ensemble sans didactisme, récrit à
chaque nouvel ouvrage sa propre histoire, dans une réflexion toujours renouvelée sur le lieu pictural, ses limites, qui se dessinent sur
la toile.
Le mouvement Supports/Surfaces
« Le mouvement Supports/Surfaces s'est attaché à énoncer les composants de "la peinture" : la toile, le plus souvent sans châssis,
ses dimensions, la couleur et son étendue, le lieu et l'accrochage, pour en finir avec le tableau comme illusion d'un thème ou comme
débauche sentimentale des états d'âme de l'artiste. "Peindre" ne signifie jamais "peindre quelque chose" (et surtout pas soi-même).
C'est un travail sur la méthode. »1
Œuvres visibles à la galerie Oniris à Rennes.
Alain SECHAS
Né en 1955 à Colombes, vit et travaille à Paris.
Il est connu notamment pour ses œuvres graphiques, sculptures et installations inspirées de la
bande dessinée et ses personnages de chats et martiens.
Depuis ses débuts en 1984 dans une usine à Hagondange (Lorraine), Alain Séchas s’emploie à
restaurer un rapport immédiat, c’est-à-dire ne requérant pour s’établir aucune médiation culturelle,
avec le public de ses expositions. Au nombre des moyens mis en œuvre pour y parvenir, on comptera
le dessin, comme médium privilégié, ainsi que le chat et le martien, comme figures récurrentes.
Ainsi depuis 1996, date de la première occurrence du chat dans son travail, A. Séchas a-t-il
homogénéisé sa production par le réemploi systématique de ces deux figures familières, élues comme équivalents anthropologiques
pour leur capacité à susciter l’adhésion du plus grand nombre. Le choix du dessin comme médium privilégié (la sculpture étant chez lui
assujettie au dessin comme un vitrail ou un vêtement l’est à son patron) trouve là aussi une première justification. Si 1996 marque ainsi
l’accession du travail à sa pleine maturité, c’est qu’en fixant son esthétique, ces décisions relatives aux moyens de son art ont permis à
l’artiste de se concentrer uniquement sur le déploiement d’une idée du monde assez sombre, où l’humour n’est bien souvent que la face
risible du négatif.
Expositions personnelles
2010
Galerie Baronian-Francey, Bruxelles, Belgique.
2009
Galerie Chantal Crousel, Paris, France.
Marouflette, , dans le cadre de l'exposition Jeffmute, MAMCO, Genève, Suisse.
Ping, Pang, Pong, Galerie Pietro Spartà, Chagny, France.
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François SOUTIF
Vit et travaille à Rennes.
Après des études d’arts plastiques à Rennes, François Soutif a longtemps enseigné cette discipline dans
un collège de la banlieue parisienne. Aujourd’hui, il est retourné vivre en Bretagne où il partage son
temps entre le dessin et la sculpture, l'enseignement des arts plastiques au sein d'ateliers destinés aux
enfants et aux adultes, l'illustration pour la presse et l'édition jeunesse.
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Informations pratiques
Exposition :
Du mardi au vendredi de 14h à 18h
Fermée les jours fériés
Entrée libre.
Visite de groupes gratuite sur
réservation
Julie Marcinkzak
02 97 22 14 47
8
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