Le projet Fédéral - Fédération Française de Course d`Orientation

 PROJET F
FEDERAL 2014‐2017 Projet fédéral 2014‐2017 1/15
SOMMAIRE Une grande finalité, quatre axes prioritaires : ..................................................................................................... 3
Haut‐niveau ............................................................................................................................................................ 3
Jeunes ..................................................................................................................................................................... 3
Formation ............................................................................................................................................................... 3
Promotion et évènementiel ................................................................................................................................... 3
1. Développement territorial : objectif 10 000 licenciés........................................................................................ 4
1.1. Renforcer la structuration fédérale................................................................................................................. 5
1.2. Poursuivre le développement des équipements sportifs ............................................................................... 5
1.3. Projet des circuits de couleur et création d’une licence loisir‐santé .............................................................. 6
1.4. Développement des raids multisports (ou adventure racing) ........................................................................ 7
2. Les jeunes ........................................................................................................................................................ 7
2.1. Objectifs généraux .......................................................................................................................................... 7
2.2. Développer la qualité de l'accueil des écoles de CO ....................................................................................... 7
2.3. Pérenniser et élargir l’offre de pratique jeune ............................................................................................... 8
2.4. Attirer le public jeune par une pratique de qualité de la CO dans les écoles et les centres de loisirs ........... 8
3. La formation .................................................................................................................................................... 8
3.1. La formation fédérale...................................................................................................................................... 8
3.2. La formation professionnelle .......................................................................................................................... 9
4. Haut‐niveau, le Parcours de l’excellence sportive............................................................................................. 9
1. L’accès à haut niveau du PES............................................................................................................................... 9
2. Le haut niveau ................................................................................................................................................... 11
5. Médical.......................................................................................................................................................... 12
1. Le comité sport santé FFCO .............................................................................................................................. 12
2. Programme global de prévention du dopage et des conduites à risques 2013‐2017 ...................................... 12
3. Programme d’éducation et de prévention santé, dopage des orienteurs sur 3 thèmes privilégiés ................ 14
Annexe schéma et objectifs
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UNE GRANDE FINALITE, QUATRE AXES PRIORITAIRES : 10 000 licenciés Simplifier la perception de notre activité est indispensable pour capter et fidéliser de nouveaux pratiquants. Notre référentiel couleur (balises couleur) est simple et tout à fait adapté à la compréhension du novice. Son adaptation (limitée) en « circuits couleurs » et la création d’une licence « loisir‐santé », viendraient avantageusement compléter notre offre « compétition ». Haut‐niveau Fer de lance de la Fédération depuis plusieurs années, les résultats probants du HN ont placé la France parmi les nations fortes de notre discipline. Pour rester dans cette dynamique, il est essentiel de conforter le travail des pôles, d’élargir la détection et développer les regroupements HN. Toutes ces démarches en parfaite relation avec les projets déjà en place. Jeunes Le projet O+ est techniquement en place, il dispose toutefois encore d’un grand potentiel de déploiement. La pratique de qualité doit être encore accompagnée grâce à nos outils spécifiques : les Ecoles de CO, les conventions avec le sport scolaire, la formation des enseignants et les parcours permanents. Formation Boussole de nos projets, en adéquation avec l’évolution technique de la Course d’Orientation, la formation doit être proche du licencié. Développons son maillage territorial pour déployer les bienfaits de la réforme réalisée durant la précédente olympiade. Promotion et évènementiel Donnons à l'événementiel une place importante dans notre stratégie de promotion et de développement de la Course d'Orientation en accueillant chaque année une course internationale et en valorisant davantage notre calendrier La cohésion entre les orienteurs et la notoriété de la CO en seront stimulés. Projet fédéral 2014‐2017 3/15
1. Développement territorial : objectif 10 000 licenciés Les 4 axes stratégiques de l'olympiade doivent converger pour nous permettre d'atteindre l'objectif 10 000 licenciés : En simplifiant la perception de notre activité Pour capter de nouveaux licenciés nous devons simplifier notre pratique d'entrée dans l'activité, au niveau local, en utilisant des circuits au niveau de compétence, plus compréhensibles du grand public (et non de distance et catégories). Ce référentiel de compétence existe déjà au travers de la méthode fédérale, qui a permis de construire la formation de l'orienteur et le dispositif des balises de couleur. Ce référentiel couleur, simple, nous parait adapté à la compréhension du novice qui vient se renseigner ou pratiquer pour la première fois la CO. En proposant une nouvelle offre licence Au travers du dispositif des circuits de compétence, l'objectif longtemps repoussé de créer une nouvelle licence pourrait ainsi voir le jour. Il est tout à fait envisageable d'associer à cette nouvelle entrée dans l'activité, une licence " loisir‐santé " qui permettrait de participer (uniquement) à ces compétitions " couleur " dans la limite de certains circuits (ainsi qu’aux rand’o sur un jour). Cet accès restrictif (appliqué également aux pass’o) permettrait de laisser une large place à la licence compétition : accès aux circuits couleurs « difficiles », à l'ensemble des championnats de ligue et compétitions du groupe national, aux classements coupe de France et CN, etc. Avec un accompagnement en communication Cette démarche de projet se doit d’être accompagnée d'un véritable plan de communication, nécessaire à sa réussite par la mise à disposition de tous les outils de communication de la FFCO auprès des structures déconcentrées (site internet, revue fédérale, charte graphique, banderoles, plaquettes et roll‐up spécifiques aux circuits de couleur, etc.). Et une meilleure dynamique évènementielle La promotion de notre sport auprès du grand public passe par un renforcement de nos organisations à caractère international pour obtenir une visibilité suffisante auprès des médias et sensibiliser sur la pratique de la course d’orientation en France. La Fédération souhaite renforcer sa proximité avec les pratiquants actuels pour augmenter la mobilisation de chacun dans notre sport. Notre fédération, ayant l’agrément du ministère des sports et la délégation pour 3 de ces spécialités (à pied, à VTT et à ski), se doit de prendre en compte et œuvrer pour répondre à un certain nombre d’objectifs ministériels transversaux : la féminisation, l’accès aux personnes en situation de handicap, et le développement durable. Objectifs transversaux La féminisation : incitation auprès des structures affiliées et déconcentrées pour promouvoir la CO auprès des jeunes filles et des femmes, tant au niveau de la pratique, que de l’engagement dans des missions à responsabilités de dirigeants (Présidente, secrétaire et trésorière, d’encadrement, (entraîneur) d’arbitrage ou d’expertise dans la pratique sportive (traceuse et contrôleuse nationale) Pourcentage de licences féminines et suivi de l’évolution du nombre de femmes dans des missions de dirigeants et missions techniques d’expertise. L’accès à la pratique pour les personnes en situations de handicap : un projet d’enquête de recensement des structures affiliées proposant des activités aux personnes en situation de handicap est prévu par le ministère début septembre 2013. La démarche de projet : ‐ recenser sur la France à partir de l’enquête du ministère des sports, les structures de la FFCO proposant une pratique aux personnes en situation de handicap. ‐ créer une sous‐commission spécifique ‐ établir un questionnaire pour connaître les types de pratiques, la fréquence, leur mode de fonctionnement, et leurs besoins ‐ partage des expériences : 2 supports : le site FFCO et articles dans la revue fédérale. Nombre de clubs accueillant des personnes en situation de handicap (= objectif national) Projet fédéral 2014‐2017 4/15
Le sport et le développement durable : dynamiser les actions en matière de développement durable par des campagnes d’information et d’aide au montage de dossier pour les organisations de niveau national dans le respect du développement durable. Les actions en matière de développement durable qui se pratiquent régulièrement au niveau des pratiquants : co‐
voiturage et transport en minibus 9 places, quelques fois transport en commun, existence de forums de co‐voiturage. Au niveau des organisations de courses : compétitions avec labels de développement durable. Utilisation fréquentes de toilettes sèches, bidons d’eau, vaisselle compostable, verre recyclable, tri sélectif sur site, sur les grosses organisations (2000 coureurs), électricité à partir de panneaux solaires. L’action fédérale doit permettre de mettre en valeur ces actions existantes de développement durable, d’en augmenter le nombre, et de les pérenniser. 1.1. Renforcer la structuration fédérale Objectifs : ‐ mieux communiquer sur les différentes actions du projet fédéral, à mettre en œuvre aux différents échelons fédéraux. ‐ connaître l’interlocuteur responsable des différents projets fédéraux au niveau des structures déconcentrées pour un meilleur retour des informations et bilans. Moyens : ‐ exiger la désignations de référents au niveau des structures déconcentrées, comités départementaux et ligues, concernant les projets phares de la FFCO ‐ créer les conseils de zones pour les projets nécessitant une coordination interligues. Soutien de la DTN à la mise en place. ‐ désignation d’un CTS référent dans chaque commission. ‐ relancer et aider à la mise en place des ETR. Coordination de la DTN. ‐ poursuite de séminaires pluriannuels des CTN et CTR à missions nationales. Au moins 1 séminaire annuel de tous les CTS et au moins 2 séminaires dans chacune des 2 actions : développement dont la formation et haut niveau. 1.2. Poursuivre le développement des équipements sportifs Jusqu’à présent, seuls les équipements permanents, scellés, sont reconnus comme équipements sportifs pour la pratique de la course d’orientation. Or, si ces équipements sont parfaitement adaptés à la découverte et à l’initiation de la course d’orientation et s’ils sont un moyen reconnu de promotion de la course d’orientation, ils ne le sont pas pour la pratique régulière, pour l’entraînement et le perfectionnement des licenciés, et encore moins pour l’entraînement à haut niveau. C’est pourquoi, l’un des objectifs prioritaire de cette olympiade est la reconnaissance de la carte de course d’orientation, cartographiée par un arpentage et des relevés de terrain précis, au mètre près, comme équipement sportif indispensable à la pratique de la CO. Dans cet objectif là, la FFCO doit : 1. Poursuivre le recensement des cartes de CO et le RES des PPO sur Géoportail, accessible sur le site internet de la FFCO. Ce recensement, réalisé avec le même opérateur de géolocalisation que le Ministère (API Géoportail) sera à la disposition du RES une fois que celui‐ci sera en phase d’achèvement. Un système de compteur permettra à terme de connaitre la superficie exacte de notre patrimoine cartographique. ‐ Simplifier la déclaration des espaces de pratiques sur le site FFCO et à la BNF pour les référents cartographiques. ‐ Enregistrer l’emprise territoriale des cartes de CO et PPO 2. Pérenniser les accès aux espaces de pratiques. Améliorer et harmoniser les problématiques d’accès aux sites de pratiques. Convention nationale avec l’ONF, conventions avec les parcs naturels. Projet fédéral 2014‐2017 5/15
3. Poursuivre le développement des espaces de pratique de haut niveau sur le territoire, en collaboration avec les structures déconcentrées et le soutien de la DTN (expertise et contrôle) ; conventions FFCO et structures déconcentrées, dans un double objectif d’entraînement de haut niveau et d’organisation d’évènements grand public. 4. Actualiser le règlement cartographique et la charte graphique des cartes de CO, mettre en ligne les symboles spécifiques cartes d’apprentissage. 5. Mise en place et réalisation d’une application Smartphone pour un accès facilité aux espaces de pratiques et à l’agenda. 1.3. Projet des circuits de couleur et création d’une licence loisir‐santé 1. Constats ‐ diagnostic 1.1. Effectifs La situation actuelle montre que la progression de nos effectifs reste lente, voire en dessous de nos espérances, depuis de nombreuses années. De plus, cette progression reste fragile, et nous devons à la fois stabiliser les effectifs par une offre de pratiques motivante et structurée dans les clubs et innover pour attirer un nouveau public. Depuis 2008, les efforts de structuration des clubs pour améliorer l'accueil des jeunes dans les écoles de CO ainsi que les entrainements adultes, la réforme des formations, ont participé à la légère augmentation des effectifs. Cependant, nous sommes encore loin de pouvoir proposer un accueil d'égale qualité sur l'ensemble du territoire et cet effort de structuration demeure un objectif essentiel sur la prochaine olympiade afin de mieux "fidéliser" nos pratiquants. 1.2. Lisibilité de notre pratique Notre pratique manque de lisibilité auprès du grand public voire même auprès de nos licenciés. Pour capter de nouveaux publics, il est nécessaire de simplifier le système actuel et de le rendre plus accessible. 2. Stratégie Pour assurer la promotion de notre sport pour le plus grand nombre et renforcer notre recrutement, il est nécessaire de : ‐ fidéliser les licenciés en réduisant le « turn‐over » en communiquant mieux sur l'itinéraire de formation du coureur d'orientation encore mal connu et en proposant un éventail de pratiques accessibles à tout public. ‐ capter de nouveaux licenciés en simplifiant notre pratique d'entrée dans l'activité, au niveau local, en utilisant des circuits aux niveaux de compétence plus compréhensibles du grand public (et non de distance et catégories). Ce référentiel de compétence existe déjà au travers de la méthode fédérale qui a permis de construire la formation de l'orienteur et le dispositif des balises de couleur. Ce référentiel couleur, est simple, et adapté à la compréhension du novice qui vient se renseigner ou pratiquer pour la première fois la CO. 3. Propositions des circuits de couleur au niveau régional 3.1. Le principe Toutes les compétitions régionales ou locales, hors championnats de Ligue tout format, doivent proposer uniquement des circuits identifiés par une couleur, dans nos différentes spécialités. Cet aspect est simple à mettre en place car déjà bien connu de l'ensemble des orienteurs à travers la méthode fédérale. Les inscriptions sur les différents circuits sont totalement libres, les responsables de club devant être particulièrement attentifs aux choix des circuits au regard du niveau de leurs licenciés. 3.2. La mise en œuvre Proposition de circuits par niveau de compétence en modulant la longueur dans toutes spécialités (CO à pied, en raids, rand’O, CO à VTT et CO à ski) et pour tous les formats de course. 4. Création d’une nouvelle licence « loisir‐santé » Il est tout à fait envisageable d'associer à cette nouvelle entrée dans l'activité, une licence "loisir ‐ santé" qui permettrait de participer uniquement à ces compétitions "couleur" dans la limite des circuits Vert à Jaune (ainsi qu’aux Rand’O sur 1 jour). Cet accès restrictif (appliqué également aux Pass’O) permettrait de laisser une large place à Projet fédéral 2014‐2017 6/15
la licence compétition : accès aux circuits Orange à Noir, à l'ensemble des championnats de ligue et compétitions du groupe national, aux classements coupe de France et CN.... 5. Communication, un aspect indispensable à la réussite du projet La communication est un des vecteurs essentiels pour véhiculer une image à la fois attirante et compréhensible de notre activité. Actuellement, le manque de lisibilité en matière de stratégie de communication, l'absence de matériels et d'outils de communication de qualité à disposition des acteurs locaux, leviers essentiels du développement, ne participent pas, voire amplifient le problème de lisibilité de la course d'orientation. Cette démarche de projet doit être accompagnée d'un véritable plan de communication nécessaire à sa réussite par la mise à disposition de tous les outils de communication de la FFCO (site internet, revue fédérale, charte graphique, banderoles, plaquettes et kakémonos spécifiques aux circuits de couleur...). Ce projet doit être diffusé, partagé et accepté par les acteurs locaux pour qu'il devienne une partie du socle commun des actions menées par la fédération. 1.4. Développement des raids multisports (ou adventure racing) Le fil conducteur de ces raids multisports de nature est la course d’orientation, quand sont utilisées des cartes aux normes IOF, la navigation, quand le support est autre et moins précis. Plusieurs activités de déplacement telles que la course à pied, le VTT et le canoë forme une base commune aux raids multisports. D’autres activités de pleine nature viennent compléter les formats de courses. Une licence « raids » a été créée en 2003. En 2004, la FFCO a organisé le premier trophée national des raids multisports de nature. Au cours de l’olympiade 2005‐2008, la FFCO s’est clairement positionnée pour être la fédération des raids multisports de nature. Le ministère avait alors tranché pour la création d’un groupement. Lors de l’AG de la fédération internationale d’orienteering (IOF) en juillet 2012, un groupe de travail a été créé au sein de l’IOF pour étudier le dossier de l’adventure racing, pratiqué par un certain nombre de fédérations affiliées à l’IOF. L’évolution du dossier au niveau du groupe de travail va dans le sens d’une proposition d’intégration de l’adventure racing au sein de l’IOF. Dans l’optique du développement, la FFCO souhaite renforcer son action au niveau des raids d’orientation et des raids multisports. Plusieurs actions sont prévues : ‐ constituer un dossier de demande de délégation en vue d’un dépôt auprès du ministère des sports. ‐ soutenir l’IOF au sein du groupe de travail Adventure Racing en vue d’organiser les 1ers championnats du monde en 2015 ou 2016. ‐ créer un calendrier national des raids multisports d’orientation, avec son règlement, et son cahier des charges organisationnelle et sécuritaire. 2. Les jeunes 2.1. Objectifs généraux Augmenter le nombre de pratiquants jeunes y compris les jeunes filles et améliorer leur pratique. [indicateurs : Nombre de licenciés jeunes ] Améliorer l’offre de pratique pour les jeunes tout en maintenant la qualité. 2.2. Développer la qualité de l'accueil des écoles de CO ‐ Inciter les licenciés adultes à se former pour encadrer les jeunes: formations d’animateurs et de formateurs d’animateur dans les ligues déficitaires et de moniteurs à poursuivre. Inciter les ligues à communiquer plus régulièrement sur les formations. ‐ Mettre à disposition des supports d'apprentissage et d’entrainement (fiches + simulations) ‐ Améliorer la lisibilité et l'aspect communication sur les écoles de CO sur le site fédéral. Projet fédéral 2014‐2017 7/15
‐ Améliorer qualitativement les critères de la labellisation des écoles de CO. Etre exigent dans leur application et en améliorer la procédure de contrôle. [Indicateurs : Nombre d’écoles de CO et le Nombre de jeunes en école de CO] 2.3. Pérenniser et élargir l’offre de pratique jeune Les balises de couleurs : ‐ Communiquer davantage au niveau des structures déconcentrées sur le système de balises de couleur. Ajouter de manière plus systématique les niveaux orange et violet (budgéter la réalisation de ces 2 couleurs en plus). ‐ Favoriser la multiplication des passages de balises au sein d’une même ligue (plus d’offre, moins de déplacement). ‐ Envisager l'extension du dispositif sur l’UNSS et l’USEP, comme un tremplin vers le club. [Indicateurs: Nombre de passages de balises] Le challenge des écoles de CO : ‐ Développer le challenge des écoles de CO au niveau des zones pour les 14 ans et moins ‐ Sécuriser les organisations 2 ans à l’avance en l’intégrant, en priorité, dans le calendrier fédéral ‐ Créer et organiser, au niveau des ligues, un challenge régional des écoles de CO [Indicateurs : nombre de clubs participant au challenge des écoles de CO] Etablir un programme d'animation de situations ludiques ‐ Proposer et rendre systématique la présence d’atelier d’activité CO sur les compétitions pour les 12 ans et moins O’camp : ‐ Maintenir et si opportunité, multiplier l'offre O' Camp [Indicateur : Nombre de jeunes à O’camp ‐ Fonctionnement de 2 O’camp] Les RDE : maintenir les 3 week‐ends RDE de rassemblement des meilleurs jeunes par zone. [Indicateur : nombre de jeunes] 2.4. Attirer le public jeune par une pratique de qualité de la CO dans les écoles et les centres de loisirs ‐ Aides techniques aux enseignants, à formaliser dans le cadre de conventions nationales (UNSS, UGSEL, USEP..). ‐ Décliner ces conventions au niveau local (ligues, CD) ‐ Faciliter l’accès aux sites de pratiques (cartes, fichiers OCAD, circuits permanents) ‐ Poursuivre la mise à jour du recensement des cartes de proximité. Conventions pour les équipements sportifs (cartes CO et PPO) ‐ Fournir des supports d'enseignement (fiches O’abc,...) [Indicateur : Nombre de conventions nationales puis locales avec les fédérations affinitaires] 3. La formation 3.1. La formation fédérale ¾ Poursuivre la formation initiale en veillant particulièrement aux Ligues « déficitaires ». [Indicateurs : nombre de diplômés par Ligue dans chaque diplôme ; de formateurs ; de nouveaux diplômés dans l’année] • Formations de formateurs assurées par la DTN dans les Ligues exprimant un besoin. • Réalisation de statistiques par Ligue. • Intervention « active » de la commission dans les Ligues « déficitaires ». ¾ Améliorer la formation continue au niveau national et régional. [Indicateurs : nombre de présents aux séminaires nationaux + nombre de séminaires régionaux] • Passage à un séminaire TN+CCN tous les ans. Séminaire ENT tous les deux ans. Aide à la commission arbitrage pour le séminaire annuel DN+AN. • Relance du projet de forum sur le site internet fédéral. • Inciter et aider à la création de séminaires régionaux ; instaurer des conditions d’exercice aux diplômes TR‐CCR‐DAR. Projet fédéral 2014‐2017 8/15
¾ Créer une formation pour les cartographes bénévoles. [Indicateur : nombre de formations régionales à partir de l’hiver 2014‐2015] • Réaliser une enquête auprès des Ligues pour connaître les besoins. • Construire les contenus de formation. • Accompagner la mise en place les formations régionales. ¾ Mettre en place des formations pour les enseignants (EPS et 1er degré) via une collaboration avec les fédérations scolaires à décliner au niveau régional. [Indicateur : nombres de formateurs UNSS] • Aide à la commission jeune pour formaliser les conventions nationales puis les déclinaisons régionales. • Réalisation du contenu de formation en collaboration avec des enseignants licenciés FFCO. • Animation d’une formation nationale de formateurs UNSS (et avec d’autres fédérations affinitaires). ¾ Mise à jour régulière des formations existantes. [Indicateur : contenus à jour et répondant aux besoins des formateurs et des stagiaires] • Mise à jour des contenus. • Ajustements du document « contenus généraux » (prérequis, modalités de validation, etc.…). • D’ici la fin de l’olympiade, faire un point avec tous les formateurs pour de possibles évolutions. ¾ Communication. • Identifier un référent formation dans chaque Ligue. • Proposer une réunion annuelle des référents. • Publication de 2 articles « de fond » par an dans CO Mag + encarts au besoin dans LOC. • Mise à jour du site internet. 3.2. La formation professionnelle ¾ Création d’un CQP Animateur. [Indicateur : création effective d’ici 2014 ; premiers diplômés d’ici 2016] • Déclarer la fédération comme organisme de formation • Concevoir les contenus de formation du CQP ¾ Création d’un CQP Cartographe en collaboration avec la commission équipement. [Indicateur : création effective d’ici 2014 ; premiers diplômés d’ici 2016] ¾ Poursuite des formations CS CO. [Indicateur : nombre de diplômés par an] ¾ Envisager une formation DEJEPS d’ici la fin de l’olympiade. [Indicateur : mise en place effective de la session d’ici 2016] 4. Haut‐niveau, le Parcours de l’excellence sportive Objectifs : maintenir les résultats de la France au plus haut niveau chez les hommes et atteindre le top 6 pour être médaillées ensuite chez les filles. 1. L’accès à haut niveau du PES L'accès au haut‐niveau, désormais de la responsabilité des ligues s'organise autour de 2 dispositifs complémentaires et d'un type de structure. 1. Les deux dispositifs complémentaires : Objectifs généraux: ‐ impliquer davantage les ligues dans la formation des espoirs, futurs élite de demain. ‐ poursuivre la dynamique de formation des éducateurs (moniteurs et entraîneurs) et ainsi accroitre les compétences et autonomie des clubs et des ligues en matière d'encadrement et d'entraînement. Projet fédéral 2014‐2017 9/15
1.1. Les groupes ligues Créer à l'initiative et gérer par les ligues, ils font partie des missions des Equipes Techniques Régionales (ETR). Objectifs généraux : ‐ proposer des stages et des week‐ends d'entraînements sur des terrains différents des entraînements réguliers afin d'augmenter le bagage technique des jeunes. ‐ créer l'émulation des jeunes d'une même région en se regroupant régulièrement à l'entraînement. Principes généraux : le développement ligues étant très différents, Les ETR ont en charge de définir les objectifs des groupes "ligue", le public concerné, les modalités de fonctionnement ainsi que d'en faire l'évaluation. 1.2. Le réseau de développement des espoirs (RDE) Ce projet fait partie du projet fédéral "jeunes". Ce réseau comprend 3 week‐ends d’entraînement sur chacune des 4 zones, destinés aux jeunes des clubs et des groupes d’entraînement régionaux mis en place sur le territoire. Objectifs : ‐ renforcer l'émulation d'entraînement chez les jeunes par la confrontation directe et régulière, ‐ améliorer le niveau de pratique des jeunes sportifs, ‐ initier un lieu de détection des entraîneurs fédéraux et de la DTN. Principes généraux : la ligue support du regroupement RDE est l’organisateur. Son rôle est de préparer, accueillir les participants et coordonner les séances d’entraînement. Chaque responsable de structure régionale d'entraînement a la charge de l’encadrement de ses jeunes. La DTN coordonne le dispositif au niveau national. Dans le cadre de la structuration fédérale, un référent par ligue et par zone seront les interlocuteurs privilégiés de la DTN, dans la mise en place du dispositif (dates, lieu, organisateurs). Les entraîneurs nationaux du groupe France ‐ 18 et des entraîneurs fédéraux sont associés pour apporter un soutien méthodologique et technique, en amont et durant le WE du RDE, selon les besoins des organisateurs. Le public concerné : destinés aux jeunes issus des groupes d’entraînement régionaux (groupes ligue) et des clubs, étant déjà dans une logique de pratique compétitive (pas d’initiation). Jeunes filles et jeunes hommes des catégories 14, 16, et 18, âgés de 13 à 18 ans. Evaluation : un bilan qualitatif et quantitatif de chaque RDE est effectué par l'entraîneur référent du WE et transmis au CTN coordonnateur des RDE. 2. Les SLE, structures locales d'entraînement. Les SLE, initialement structures associées du PES, sont maintenues comme structures d'accès au haut niveau mais deviennent avec les nouvelles directives ministérielles du ressort de la politique des ligues. La DTN reste coordinatrice et conseillère de leur création et de leur évaluation avec les responsables des structures et les présidents de ligues. Objectifs : ‐ qualitatifs: augmenter l’offre quantitative et qualitative d’entraînement des meilleurs jeunes des clubs, en laissant la possibilité à la structure juridique de rattachement (club, comité départemental ou ligue) la mutualisation des entraînements entre différentes structures d'entraînements, de proximité. ‐ quantitatifs: 10 SLE pour 2017, réparties sur le territoire en fonction des bassins de licenciés jeunes. Principes généraux : Les projets des SLE (création et fonctionnement) sont désormais du ressort des ligues en coordination avec la DTN, pour une répartition géographique cohérente et équilibrée et pour l'aide éventuelle nécessaire à la mise en place et au respect du cahier des charges. Le public concerné : jeunes filles et jeunes hommes des catégories D et H 14, 16, 18, âgés de 13 à 18 ans pour l'entrée en SLE. Peuvent être maintenus dans la SLE jusqu'à la catégorie junior, D et H 20, jusqu'à 20 ans. Evaluation annuelle tripartite : DTN, président de ligue et responsable de la SLE en référence au cahier des charges. Ces dispositifs groupes ligues, RDE et les SLE permettent à la DTN une première détection des jeunes pour la sélection en groupe France ‐ de 18 ans. Projet fédéral 2014‐2017 10/15
2. Le haut niveau Afin de préparer au mieux les SHN aux compétitions de référence, le PES de la FFCO est organisé en structures pôles et en 2 dispositifs : les groupes France et les équipes France. 2.1. Evolution du PES : Création d'un pôle France Jeune Suite au bilan du PES 2009 ‐ 2012 et aux points faibles constatés, et dans la suite logique du PES 2009‐2016, la solution de la création d’un pôle France Jeune s’est avérée être toujours pertinente. Ce pôle s’adresse aux sportifs âgés de 18 à 23 ans, càd aux sportifs des catégories junior et senior. Le passage d'une catégorie à l'autre est difficile pour les juniors au regard de la longévité et de l'importance de l'expérience des seniors à HN en CO. Une attention particulière doit être portée dans l'évolution progressive de la quantité et qualité d'entraînement pour cette tranche d'âge. Une structure d'entraînement propre à ce niveau, est devenue nécessaire pour favoriser l'émergence de l’élite future. Après la validation par les élus de la création du pôle France Jeune, il a fallu en définir le lieu d'implantation. Une analyse approfondie des besoins a été effectuée tant en matière de spécificité sportive (qualité, quantité et variété des sites de pratiques) qu’en matière d’offre d’études (diversité et possibilité d’aménagement des études) tout en recherchant une certaine unité de lieu. L’étude a abouti au choix de Clermont‐Ferrand. La FFCO a validé la création du pôle France « Jeunes » à Clermont‐Ferrand en comité directeur le 13 février 2013, et présenté à l’AG 2013 le 25 mars. L’ouverture est prévue pour la rentrée scolaire 2013‐214. Des contacts ont été engagés par la DTN afin de préparer cette ouverture du pôle en septembre 2013 avec la ligue de CO d’Auvergne, auprès de la DRJSCS, du CREPS de Vichy et des collectivités territoriales. Juridiquement, le pôle France Jeune sera porté par la ligue d’Auvergne. Ce nouveau PES va permettre la continuité dans l'entraînement de haut niveau des coureurs d'orientation depuis les structures d'accès au haut‐niveau, les SLE, le pôle espoir puis le pôle France Jeune et le pôle France Elite. 2.2. Les structures "pôles" du PES Les pôles permettent un entraînement quotidien à bi ‐ quotidien de préparation à la fois technique, physique et mentale en course d’orientation. (cf. cahiers des charges pour les détails) a. le pôle espoir de Fontainebleau disciplines HN : CO à pied et CO à VTT Le public concerné: les sportifs hommes et dames de 15 à 20 ans, lycéens, puis en CO VTT, étudiants. b. le pôle France Jeune de Clermont‐Ferrand discipline HN : CO à pied Le public concerné: hommes et femmes, en étude post‐bac âgés de 18 à 23 ans, c'est à dire junior et jeunes seniors. c. le pôle France Elite de Saint Etienne: discipline HN : CO à pied Le public concerné: hommes et femmes, en étude post‐bac ou professionnel, avec décharge ou emploi aménagé, âgés de 23 ans et plus. Exceptionnellement, si le niveau du sportif le justifie, un junior peut entrer au pôle France Elite. Une période de transition va être aménagée pour les sportifs entrés au pôle France depuis 2 ans, ayant commencé des études sur Lyon ou Saint Etienne, dont le cursus d'études n'existe pas sur Clermont ‐Ferrand. Cette période de transition durera jusqu'à ce que le sportif termine ses études en ayant toujours le niveau requis ou bien s'il n'a plus le niveau attendu, auquel cas, il sortira du pôle France. 2.3. Les dispositifs a. Les Groupes France Chaque sportif sélectionné par la DTN pour entrer en groupe France s’engage annuellement à accepter son appartenance à un groupe France. Il s’engage à respecter le règlement haut niveau et son contrat d’objectif personnalisé, définit avec l’entraîneur national du groupe et le DTN. ‐ Le groupe FRANCE senior de CO à pied Projet fédéral 2014‐2017 11/15
Regroupe les coureurs de catégorie seniors H et D 21 E inscrits sur les listes de haut niveau ministérielles. Le groupe France senior est divisé en 3 sous‐groupes distincts ayant chacun ses objectifs propres : le groupe « médailles », le groupe « top 20 » et le groupe « développement ». Ce mode d’organisation nouveau permet de rendre plus lisible l’évolution du niveau de juniors à seniors performants à l’international. Voir les détails en annexe 3 du règlement HN. ‐ le groupe FRANCE junior de CO à pied Regroupe les coureurs « junior » âgés de 18 à 20 ans, licenciés en H ou D 20E inscrits sur les listes ministérielles jeunes ou espoirs ou hors liste ayant le potentiel et détecté par la direction technique nationale. Pour certains cas précisés en annexe, les sportifs inscrits dans le groupe pourront se voir imposer un sur classement. ‐ le groupe FRANCE moins de 18 ans de CO à pied Regroupe 20 jeunes coureurs de catégories H et D16 et H et D18 1ère année détectés et sélectionnés sur les résultats de la saison en cours et lors du stage de sélection fédérale final. Certains d’entre eux peuvent être inscrits sur la liste espoir au regard de leur résultats et / ou de leur potentiel. Pour certains cas précisés en annexe, les sportifs inscrits dans le groupe pourront se voir imposer un sur classement. ‐ le groupe FRANCE de CO à VTT Regroupe les coureurs de CO à VTT pouvant représenter la France dans toutes les manifestations internationales officielles de CO à VTT ou ayant le potentiel pour y prendre part. Ces coureurs peuvent être inscrits sur les listes ministérielles ou espoir, en fonction de leur niveaux de résultats et / ou de leur potentiel. Pour certains cas précisés en annexe, les sportifs inscrits dans le groupe pourront se voir imposer un sur classement. b. Les équipes de France Les équipes de France seniors, juniors et moins de 18 ans, de CO à pied et de CO à VTT sont composées des coureurs sélectionnés, conformément aux critères définis dans les annexes du règlement haut niveau de la FFCO, aux compétitions de référence, de préparation ainsi qu’aux stages de préparation. (cf. annexes 3, 4, 5 et 6) Les sélections en Equipe de France des moins de 18 ans sont ouvertes à tous les coureurs HD16 et HD18. Les sélections en Equipe de France Junior ne sont ouvertes qu’aux sportifs H ou D20E inscrits sur listes ministérielles et/ou appartenant au groupe junior. Les sélections en Equipe de France Senior ne sont ouvertes qu’aux sportifs inscrits sur listes ministérielles. 5. Médical 1. Le comité sport santé FFCO Création d’un comité sport – santé au sein de la FFCO. Le comité « sport‐santé FFCO » fera le lien entre les pratiques physiques et sportives déjà organisées par la FFCO pour ses licenciés et les pratiquants potentiels notamment dans le cadre de prescriptions d’activités préconisées à titre préventif ou curatif . Cela permettra de promouvoir la pratique de la course d’orientation à des fins de santé pour ses pratiquants mais aussi de rendre plus accéssible la pratique de la course d’orientation à de nouveaux publics (« seniors » hébergés en établissements spécialisés, personnes vivant avec une maladie chronique et qui ne seraient pas déjà licenciées, etc.). 2. Programme global de prévention du dopage et des conduites à risques 2013‐2017 Le programme de prévention contre le dopage de la fédération française de course d’orientation prend en compte les directives ministérielles et tient compte également des particularités de la pratique en course d’orientation. Le constat de la commission médicale de la FFCO : tant au niveau national, qu’international, il n’existe pas de véritable culture de dopage en course d’orientation. La FFCO reste cependant très vigilante mais sur tous les contrôles antidopage effectués en France depuis 1981, 5 cas seulement se sont révélés positifs dont un seul pouvait laisser suspecter une attitude de dopage. Les objectifs : conserver la même vigilance et n’avoir aucun cas de dopage. Projet fédéral 2014‐2017 12/15
Cette absence de culture du dopage doit se pérenniser. La vigilance doit être strictement maintenue, par une information régulière pour lutter contre le dopage et prévenir les conduites à risques, mais aussi dans notre sport, pour prévenir les maladies transmises par les tiques. Les moyens mis en œuvre : • La prévention du dopage de tous les licenciés, est faite : ‐ au niveau régional, par les informations transmises aux associations sportives émanant des directions régionales jeunesse et sports et cohésion sociale, et par les comités régionaux olympiques et sportifs. L’organisation de nos compétitions, en plein air, ne permettent ni l’infrastructure, ni le temps pour faire sur les lieux même des évènements sportifs, de la prévention des conduites à risques (dopage, drogue (cannabis), et maladies contre les tiques). ‐ au niveau fédéral, par les informations contre le dopage et la prévention des conduites à risques consultables dans la partie médicale du site FFCO, (actuellement en restructuration). De même, plusieurs des règlements de la FFCO, qu’ils soient médical, haut‐niveau, et le document de la surveillance médicale en compétition font état de la lutte anti‐dopage. Depuis 2012, chaque parent de licencié mineur doit signer un document autorisant tout prélèvement nécessitant une technique invasive effectuée dans le cadre de la lutte contre le dopage. Le parent est également informé par les responsables de club que l’absence d’autorisation est assimilée à un refus de se soumettre, et est une infraction à la législation antidopage. • La formation pour l’organisation des contrôles antidopage et la formation des escortes, se fait au niveau régional par l’intermédiaire des formations mises en place par les DRJSCS et les CROS. Le constat est qu’elles sont peu suivies par les organisateurs de la FFCO. Des formations internes à la FFCO pour les organisateurs vont être mises en place. • La prévention contre le dopage des sportifs de haut niveau, est faite chaque année, au niveau fédéral. Sont concernés, les SHN et sportifs en liste « espoir », ainsi que les sportifs non listés en groupe fédéral et en structure du PES. ‐ Les sportifs ne sont inscrits sur liste ministérielle et ne peuvent faire partie d’un groupe fédéral qu’après avoir signé leur engagement dans la lutte anti dopage. Chaque sportif s’engage à avoir pris connaissance et accepté contre signature les règles antidopage de l’IOF (fédération internationale d’orientation), le règlement haut niveau et de la charte du sportif de haut niveau, qui mentionne le respect obligatoire des règles anti dopage. ‐ A chaque compétition internationale, les règles à respecter dans le cadre de la lutte anti dopage et lors des contrôles sont rappelés aux sportifs. En cas de contrôle anti dopage, les sportifs contrôlés sont accompagnés d’une personne de l’encadrement médical. ‐ La commission médicale informe, aide si besoin et suit les sportifs de haut niveau faisant partie du système de localisation ADAMS de l’agence mondiale anti dopage (WADA). ‐ Chez les sportifs du groupe France moins de 18 ans, lors des stages fédéraux, la formation a été faite à l’aide du logiciel « trivial, prévention dopage » bien adapté à ce groupe. Mais cette formation a du être abandonnée par manque de temps et de disponibilité de l’encadrement lors des stages. La préparation des entraînements de course d’orientation étant chronophage, le temps libre est trop court pour mener à bien ‐ de telles activités lors des stages. On peut aussi regretter que ce logiciel n’ait pas eu de mise à jour récente. L’information se fait davantage sous forme de discussion, en stage et dans les structures du PES. Les pôles font aussi appel pour des réunions de prévention conte le dopage et les conduites à risques au médecin coordonnateur des DRJSCS. ‐ Dans un cadre plus général de prévention des conduites à risques, des informations, davantage sous forme de mises en garde, sont transmises aussi en stage fédéral sur les compléments alimentaires et les boissons énergisantes. Projet fédéral 2014‐2017 13/15
• Depuis 2012, les entraîneurs fédéraux et les CTS, ont une information dans le cadre de la formation continue des entraîneurs sur les conduites à risques, dopage, drogue en particulier le cannabis et l’alcoolisation paroxystique, à ne pas négliger non plus car certainement plus fréquente dans la pratique de notre sport que d’autres conduites à risques. Le but de cette formation est de leur permettre de gérer ces situations de manière plus efficace et de mieux les prévenir. Cette formation sera reconduite. 3. Programme d’éducation et de prévention santé, dopage des orienteurs sur 3 thèmes privilégiés • Mise en place d’un module de formation sur les problèmes sanitaires dues aux conditions de pratiques en nature, prévention et conduite à tenir : ‐ En premier lieu : les tiques (prévention des maladies transmises par les tiques), les réactions allergiques plantes, insectes…, les conditions climatiques (chaud, froid etc…) ‐ Formation obligatoire aux gestes de premiers secours : « Les 1° gestes qui sauvent » ‐ La prévention du dopage et des conduites à risques • Publics concernés : ‐ dans le cadre des diplômes fédéraux : à tous les niveaux de formation fédérale : animateur, moniteur et entraîneur. ‐ aux sportifs de haut‐niveaux et aux groupes France lors des stages ou week‐ends haut niveau • Moyens : ‐ Programme de formation et fiches pédagogiques adaptées aux différents publics. ‐ S’appuyer sur les formations existantes pour les premiers secours. • Objectif et Evaluation : ‐ tous les futurs « brevetés fédéraux » doivent avoir reçu une formation sur ces sujets dans leur cursus d’études ainsi que tous les sportifs des groupes France sur l’olympiade. ‐ taux de « formés »/participants Projet fédéral 2014‐2017 14/15
Objectif de développement : 10 000 licenciés
Schéma (pages 1 et 2) et Objectifs DEVELOPPEMENT TERRITORIAL Ligues : projet de développement, référent, ETR CD : gestion équipement, référent, projet, Clubs : accueil, encadrement régulier, organisations, projet HAUT‐NIVEAU – PES et accès au HN Objectifs généraux: maintien du niveau de la France au plus haut niveau international. Etre médaillés (émulation des jeunes, acquisition de compétences, vitrine de la FFCO, qualité carto) PES : préparer de façon optimum aux compétitions de référence dans les 2 disciplines de HN Objectif généraux: acquisition de compétences, gage de qualité des pratiques, de l’accueil, de l’encadrement TOUT PUBLIC
Elargir notre public : jeunes et étudiants, femmes, personnes en situation de handicap … JEUNES
Objectifs généraux : augmenter le nombre de licenciés jeunes et améliorer leur pratique. FORMATION: bénévole et professionnelle SPORT‐LOISIR‐SANTE
Objectif: promotion santé par la course d’orientation créer une licence loisir – santé toucher une population non compétitrice et développer les activités CO pour inciter à la pratique de l’inactif « bien portant » jusqu’aux malades chroniques
EVENEMENTIEL Objectif général : améliorer la visibilité sur le terrain et l’attractivité pour tous Communication
Objectif général : Améliorer l’image et augmenter la notoriété de la FFCO et de la CO Organisation de la pratique sportive en course d’orientation
Commission arbitrage :
Objectifs généraux : ‐
Améliorer l’accueil pour tous, du néophyte aux compétiteurs dans les spécialités : CO à pied dont la CO en raid et la rand’O, CO à VTT, CO à ski, CO handisport : Simplifier pour une meilleure lisibilité de la pratique au niveau régional – circuits de couleurs liés aux niveaux de compétences, dans toutes les spécialités. Renforcer la formation initiale et continue des arbitres et délégués, au niveau régional et national pour toutes les spécialités. Augmenter le nombre d’experts (obligation de l’expert en N1, évolution pour la N2 en 2016). ‐
‐
Refonte et rationalisation l’ensemble du calendrier national (libérer des créneaux locaux). ‐
Les différents classements: objectifs du CN et de la coupe de France. ‐
Se doter d’un logiciel GEC adapté à tous nos besoins (animation, import des combinaisons de relais, lien avec inscription en ligne, gestion des raids, export CN …), élaborer cahier des charges, appel d’offre: faire évoluer sportsofware (importation export OCAD) Développer sur l’ensemble du territoire les calendriers régionaux en CO pédestre dont rand’O et CO raids et CO VTT (et CO ski pour massifs) Simplification du règlement des compétitions : un règlement commun (qui prime) et des spécificités liées au mode de déplacement. Cahiers des charges des compétitions en accord avec règlement. Sous‐commission : CO à Sous‐commission pied raids multisports Cahiers des charges à revoir en lien direct avec Projet adventure règlement racing de l’IOF : étude du dossier en raids CO et Rand’O vue d’une demande Revoir le CF des raids CO (calendrier, réglements) de délégation. Développer d’autres Relancer un formes de raids CO. calendrier national Développer les rand’O des raids multi‐
sur le territoire sports (règlement, Convention avec la cahier de charge FFRando organisationnel et sécuritaire)
Sous‐commission
: CO VTT Revoir règlement spécialité en cohérence avec règlement commun Développer calendrier régional (au moins 2 CO VTT dont 1 cht de ligue) Commission médicale : Créer un comité sport‐santé Prévenir et préserver la santé de tous les pratiquants Lutter contre le dopage : communiquer sur différents supports, formation de l’encadrement, des organisateurs Réaliser le suivi médical réglementaire des SHN et espoirs Sous‐commission: CO ski Sous‐commission : calendrier (gestion) 3 WE CO à ski CF Revoir règlement spécialité en cohérence avec règlement commun Attribution dans le respect de la rotation Pérennisation et développement de nos espaces de pratique : conventions ONF et parcs, conventions cartes de haut niveau (soutien DTN) et structures déconcentrées. Reconnaissance de la carte comme équipement sportif Représentation FFCO au conseil national du ski nordique Sous‐commission : classements Représentation de la FFCO à Nordic France avec une approche de l’association des Maires des stations de sports d’hiver Gestion des différents classements et évolution des outils (informatisés classement des raids informatisés) Sous‐commission : CO et handicap Recensement des actions dans les clubs fin 2013. Objectifs après l’enquête aux clubs. Commission : équipements sportifs
Poursuivre le RES cartes et PPO sur Géoportail Simplification déclaration site et BNF pour référent carto – enregistrement emprise territorial Réactualisation règlement cartographique et charte graphique Mise en ligne symboles spécifiques cartes d’apprentissage Travail sur la mise en place et réalisation d’une application Smartphone PROJETS SYNTHETIQUES DES PLAN D’ACTIONS PHARES des COMMISSIONS. Actions transversales : renforcer la communication des objectifs et de toutes les actions, inciter à la féminisation, et au développement durable, dans toutes les actions. JEUNES
1. Développer les écoles de CO Nombre et qualité (inciter formateurs d’animateurs, aide à la communication Améliorer critères et contrôle labellisation 2. Pérenniser et élargir l’offre de pratique jeune Pérenniser le Challenge des écoles de CO au niveau des zones (10 à 14) Poursuivre le développement Passage des balises (de vert à violet) Poursuivre O camp 3 RDE regroupements des meilleurs jeunes, détection des jeunes talents : gagner en qualité 3. Recruter via l’école et centre aéré conventions clubs – établissements Faciliter l’accès aux sites de pratiques (cartes CO, PPO) Conventions et participation au CMN, CMR fédérations affinitaires Poursuite O ABC FORMATION
1. Poursuivre formation initiale : solliciter les ligues déficitaires en diplômés, en formateurs régionaux. 2. Accentuer la formation et formation continue des experts (arbitres, délégué et lutte contre le dopage) et des traceurs, contrôleurs au niveau national et régional relance du projet d’un forum formation. 3. Créer une formation pour les cartographes bénévoles (cartes de proximité, initiation, sprints…) 4. Mettre en place une formation des enseignants en collaboration avec les fédérations affinitaires (conventions) et former les formateurs. 5. Formation des animateurs de club à l’accueil du sport ‐santé (fiches pédagogiques adaptées) en lien avec le centre de santé du CREPS de Vichy. 7 .Poursuite de la formation du CS CO. Et envisager une formation DEJEPS pour la fin de l’olympiade. L’évènementiel au cœur de notre stratégie de promotion et de développement : 1. Accompagner l’organisation de courses d’orientation (compétitions et loisirs) plus « communicantes ». 2. Favoriser l’organisation en France chaque année d’un évènement international compétitif et grand public de plusieurs jours 3. Favoriser et accompagner l’émergence de candidatures françaises à l’organisation de compétitions internationales au calendrier IOF HAUT‐NIVEAU 1. Poursuivre le développement de l’accès au haut‐niveau des jeunes : des SLE aux Groupes France et veiller à la féminisation des équipes. 2. PES ‐ Structures pôles : Préparer aux compétitions de références jeunes et juniors (dans les 2 disciplines HN) et seniors en CO à pied pour atteindre le HN mondial tant masculin que féminin. 3. PES ‐ Groupes France: Maintenir une qualité et quantité de stage et compétitions optimales pour performer aux compétitions internationales dans les deux disciplines. Se donner et optimiser les moyens en ressources humaines, fonctionnement, et finances. 4. Accompagner le développement socioprofessionnel et personnel du SHN. 6. Création du contenu du CQP animation et poursuite de la création d’un CQP cartographe ou module facultatif . EVENEMENTIEL
MEDICAL
COMMUNICATION Objectif : Prévenir la santé du pratiquant 1. articles de préventions maladies et blessures spécifiques – site FFCO rubrique médicale à activer et à rendre opérationnel – O Mag 2. Mise en place du comité sport santé FFCO ‐proposer des fiches pédagogiques adaptées à des pathologies chroniques compatibles avec la pratique de la CO. Travail en synergie avec CNOSF – CREPS de Vichy – Médecin fédéral – DTN. 3. Révision si nécessaire du règlement médical et cahier des charges des compétitions ; études des demandes de sur classement 4. Protection de la santé du pratiquant : SMR‐ accompagnement sanitaire du sportif Objectif : Prévenir et Lutter contre le dopage et les conduites addictives La communication comme vecteur de promotion de notre activité en interne et externe à la Fédération : 1. Structuration et entretien d’un réseau de journalistes et de relations publiques 2. Accompagner les autres commissions dans l’organisation de leur plan de communication dans le cadre d’une stratégie globale 3 Accroitre la visibilité et les mises à jour du site internet pour la communication interne et externe 5. Accompagnement en communication des ligues, comités et clubs à l’aide d’une boite à outils en ligne 6. Organisation et animation des supports de communication fédéraux : Magazine, lettres aux clubs et communiqués de presse 7. Développer les supports de promotion audiovisuels 1. Communication sur différents supports (revue fédérale, site fédéral …) 8. Développer et maintenir la présence de la FFCO dans les médias sociaux 2. Information en réunion pour les SHN 9. Associer davantage le HN a la communication fédérale 3 . Formation des organisateurs et escortes