Lettre de SPARADRAP n°10
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Lettre de SPARADRAP n°10
la S P Alettre R A D R de A P n° 10 Parce que c’est pas du jeu d’être malade ! Une association pour aider les familles et les professionnels quand un enfant est malade ou hospitalisé 48, rue de la Plaine 75020 Paris tél. : 01 43 48 11 80 fax : 01 43 48 11 50 [email protected] www.sparadrap.org de 9h à 13h et de 14h à 18h Centre de documentation : accueil gratuit du mardi au vendredi sur rendez-vous au 01 43 48 98 26 La lettre de SPARADRAP paraît quand elle est prête ! Directeur de la publication Didier Cohen-Salmon Rédactrice en chef Françoise Galland Coordination Myriam Blidi Réalisation graphique Sandrine Herrenschmidt Avec le soutien de la Par le hasard des chiffres, cette dixième livraison de la lettre coïncide avec les dix ans d’existence de notre association. Un regard sur les éditoriaux passés me convainc de la permanence de nos thèmes d’action : il y est question de respecter l’enfant comme sujet, de prendre au sérieux ses droits (ce qui ne signifie pas satisfaire tous ses désirs !). On y parle des parents, de leur rôle, de leur parole critique qui nous aide à faire mieux, des coopérations qui nourrissent notre activité. édito Il y a une décennie, les orateurs des premières journées de l’UNESCO sur la douleur de l’enfant se demandaient “à partir de quel âge l’enfant a-t-il mal ?”, ou si la douleur du nouveau-né est “mythe ou réalité” ? Ils déploraient l’absence de formes pédiatriques de médicaments contre la douleur, listaient “les examens qui font mal”, s’interrogeaient sur “les acteurs du déni”, montraient comment la terrible douleur de l’enfant brûlé a été enfin reconnue et soulagée… Durant ces dix ans nous avons été témoins des efforts déployés par les parents pour être présents auprès de leur enfant hospitalisé, en dépit de certaines routines absurdes et dépassées. Nous avons essayé de les aider, de faire connaître leur point de vue à travers des publications et des prises de parole. La réflexion des soignants aidant, la circulaire Kouchner a réaffirmé en 1998 le rôle des parents, partenaires et non visiteurs. Mais cette question est loin d’être réglée. Et les enfants ont aussi beaucoup à dire, comme l’ont montré les dessins publiés après le concours “L’hôpital raconté par les enfants”. Toutes ces questions ont avancé en dix ans, mais de façon trop inégale. Malgré notre fierté d’avoir effectivement fait évoluer certaines pratiques (des médecins anesthésistes nous confient qu’ils ne pourraient plus se passer de notre livret sur l’anesthésie de l’enfant), et même si le terme de bientraitance de l’enfant a maintenant droit de cité, chacun sent bien que les progrès sont fragiles. La crise que connaît actuellement l’hôpital pourrait les remettre en cause. Mais qui aujourd’hui pourrait admettre de revenir en arrière ? Plus que jamais, selon le mot d’un psychanalyste, il nous faut avoir le regard aigu et la parole vive pour informer, proposer, argumenter et dénoncer. L’existence de SPARADRAP, à travers sa réflexion interne, son centre de documentation et ses relais locaux, les contacts et collaborations qu’elle entretient, les documents qu’elle édite, les formations et les initiatives qu’elle propose, contribue à garantir que l’enfant malade ne sera pas oublié. Dr Didier Cohen-Salmon, Président Difficile de donner toutes les informations en quatre pages… rendez-vous sur www.sparadrap.org ! + Pour nos 10 ans, faites-nous un cadeau ! Répondez à ces deux questions : Quel est le document, l’objet ou l’action de l’association qui vous a le plus aidé depuis 10 ans ? Quel est le document, l’objet ou l’action qui serait à créer ou à mettre en œuvre dans les 10 ans à venir ? Nous attendons votre courrier, fax ou mél… Les 100 premiers recevront une surprise ! Merci ! Avec vous, on avance… éditer J’ai une maladie grave… On peut en parler ! Notre nouveau livret vient de paraître. nos activités former Il aura fallu plus de deux ans et de nombreuses réunions, pour mettre au point le projet, définir à qui s’adresser (enfants, parents ou soignants), trouver le ton et les mots justes pour aborder ce sujet difficile et complexe. SPARADRAP n’aurait pas pu le faire sans l’aide d’un groupe de travail* composé de personnes de terrain, motivées par ce projet, venant de divers horizons (psychologues, infirmières, parents, médecins, membres d’associations). Réalisé grâce à l’engagement de la Fondation de France et le soutien de la Fondation Groupama et de la Fondation Jacques Delagrange, ce livret veut aider les parents à maintenir ou à reprendre le dialogue avec leur enfant gravement malade; mais il aidera aussi tous les adultes qui l’accompagnent et bien sûr, tous les soignants. Comme le sujet est délicat et parce qu’il est essentiel que les parents soient associés à cette démarche, le livret est accompagné d’un petit mode d’emploi pour les parents. Ce livret va-t-il vraiment aider les enfants et les parents ? Va-t-il permettre de parler plus “sereinement” de la mort avec un enfant gravement malade ? Quand et à qui vaut-il mieux le donner ? Comment l’utiliser ? Ce sont vos remarques, critiques, témoignages sur l’utilisation de ce livret qui pourront nous le dire. N’hésitez surtout pas… merci. Association SPARADRAP * Merci à Caroline Ballée, Hélène Castonguay, Dr Didier CohenSalmon, Thérèse Dossin, Annick Ernoult, Marie Pierre Joseph, Isabelle Lévêque, Sophie Leruth, Bénédicte Minguet, Dr Nicole Silvestre, Dr Barbara Tourniaire. Commande par courrier, téléphone, fax ou Internet. 4 l’unité. Prix dégressifs selon quantité. sensibiliser Nous organisons un colloque intitulé “Parents d’enfants hospitalisés : visiteurs ou partenaires ?” Il aura lieu fin juin 2004 à Paris… Dès novembre, la date définitive et le pré-programme seront disponibles sur le site www.sparadrap.org et les préinscriptions ouvertes auprès de Comm’santé (Tél. : 05 57 97 19 19, Fax : 05 57 97 19 15). Attention, places limitées ! Lors du colloque, nous présenterons les résultats de l’enquête nationale sur la place des parents à l’hôpital qui se déroule cet automne grâce à la Direction Générale de la Santé dans les 100 services pédiatriques tirés au sort. 2 En 2004, SPARADRAP vous propose deux formations. Réservez vos places ! Le jeu, outil d’information pour préparer un enfant à un soin, un examen, ou une opération SPARADRAP en est convaincu, le jeu est l’un des moyens les plus efficaces pour informer les enfants (et leurs parents !). En France, de nombreux services pédiatriques l‘utilisent mais souvent d’une façon un peu “accessoire”, en fonction du temps disponible. Se former à cette approche peut permettre de reconnaître et de formaliser cette technique de préparation par le jeu, pour une meilleure prise en charge des enfants. Formatrice : Bénédicte Minguet, psychologue et responsable de l’humanisation des soins à la clinique de l’Espérance à Liège (Belgique) Durée : 3 jours Deux sessions prévues en 2004 : Les 10, 11,12 mars et les 14, 15, 16 octobre. Lieux et tarifs : Dans les locaux de SPARADRAP 450 par personne. Formation sur site à la demande 1200 (+ frais) pour 3 jours et 15 personnes maxi. Information et documentation : Tél. : 01 43 48 11 80, Mél : [email protected] Internet : www.sparadrap.org Mieux accueillir l’enfant et sa famille à l’hôpital Les équipes soignantes sont désireuses de faire évoluer leurs pratiques, de remettre en question les routines et les habitudes acquises. Une exigence de qualité se fait jour. Beaucoup de soignants aspirent à mieux accueillir l’enfant hospitalisé et ses parents. Mais la mise en œuvre de pratiques plus humaines, plus respectueuses des besoins des enfants, l’intégration des parents, la mise en place d’un projet sur ce thème dans un service n’est pas si aisée. Un effort systématique de formation des personnels s’avère nécessaire. Responsable de la formation : Dr Didier Cohen-Salmon, président de SPARADRAP Durée : 5 jours Dates prévues en 2004 et tarifs : Du 20 au 24 septembre, à Paris, 750 par personne. Renseignements et inscriptions : Association Musique et santé Tél : 01 55 28 81 00, Mél : [email protected], Internet : www.musique-sante.com Mais encore… Nous pouvons étudier et chiffrer toute demande de formation en rapport avec les actions de l’association. Formation continue ou initiale sur site ou dans nos locaux. Passer un jour dans notre Centre de documentation pour s’informer dans le cadre d’un projet de service c’est de la formation continue. L’accès au centre est gratuit, renseignezvous et demandez un modèle de convention… échanges Oser parler de la mort avec un enfant gravement malade ? Au cours de l’élaboration du livret J’ai une maladie grave… On peut en parler !, nous avons sollicité l’avis de relecteurs (professionnels, associations, parents, enfants…) pour nous assurer de sa pertinence et de sa qualité. La réaction d’Alain Le Pourhiet (auteur de Cueille la nuit, Éditions n°1) nous a particulièrement ému, mais néanmoins conforté dans notre démarche que nous savions délicate, forcément douloureuse. En voici des extraits, avec, en parallèle, la réponse du président de l’association. […] Pour avoir vécu la maladie, la longue et consciente agonie, puis la mort de ma fille Clémence, depuis ses 12 ans jusqu’à ses 16 ans, de 1988 à 1992, je puis vous dire à quel point votre rédaction me touche, car dans chacune des situations que vous mentionnez je reconnais celles que j’ai vécues. Je ne doute pas que chaque enfant malade, avec son propre caractère ne puisse retrouver sa propre situation, à chaque instant, dans le livret que vous proposez, et donc que la lecture de celui-ci ne puisse être à l’origine d’un dialogue constructif avec ses parents, avec ses frères et sœurs, avec des amis ou d’autres personnes, et surtout avec lui-même ; ce dialogue ne peut que converger vers un meilleur vécu de la maladie. Mais je crains néanmoins que l’intégralité du livret ne suggère à l’enfant de nouvelles angoisses, car l’enfant, (ou certains enfants en tout cas, les plus inquiets, cela eût été le cas de ma fille) sera tenté de chercher là ce qu’on pourrait lui cacher ailleurs, ou seulement comprendra-t-il qu’on puisse lui cacher quelque chose. […] Car l’enfant qui va mourir sait, au fond de lui-même, qu’il va mourir. Beaucoup d’enfants malades chercheront, ou auront vite trouvé, les dernières pages de votre fascicule, celles qui ne pourront qu’engendrer en eux de terribles interrogations. […] Outre le côté conversationnel qu’encourage votre livret au bénéfice clair d’un meilleur confort moral, il permettra à certains enfants, d’atteindre lentement à ces questions existentielles, et de trouver dans les questions graves elles-mêmes, sinon dans les réponses, la sérénité dont ils ont fondamentalement besoin. […] Pour en revenir au cas de ma fille, j’aurais eu quelque mal à lui faire lire votre fascicule (seulement à cause de la mort abordée) mais j’aurais sûrement, tout au fond de moi-même, souhaité qu’elle en prît connaissance par un intermédiaire quelconque. […] Alain Le Pourhiet […] Vos réactions à ce document, telles que vous nous les rapportez, correspondent bien à notre projet. Ce que nous voulons, c’est que les enfants, les parents retrouvent quelque chose de leur propre situation, se sentent par conséquent moins seuls, et soient incités à parler, à échanger, à chercher secours et soutien. Les risques dont vous faites état sont bien réels, nous en avons beaucoup discuté en groupe de travail. Avions-nous le droit de parler de maladies dont on risque de ne pas guérir ? De toute façon les enfants et les parents se poseront cette question, avec ou sans livret. Ils chercheront partout un signe, dans les silences, les non-dits et les contradictions des soignants, ils iront sur l’Internet... Rien ne pourra empêcher cette interrogation, qu’elle soit muette ou verbalisée. Ceux qui ne veulent vraiment pas aborder cet aspect des choses, pour se protéger ou pour protéger autrui, se concentreront, je pense, sur d’autres aspects du document. L’avenir le dira. De toute façon après un deuil, il y a toujours de quelque façon le regret, la culpabilité de n’avoir pas su dire, pas su être là, pas avoir été à la hauteur. Personne, je crois, n’y échappe. Cette interrogation persistante est un des modes par lequel la personne disparue manifeste sa “présence” en nous. Je dirai qu’elle nous est précieuse. […] Didier Cohen-Salmon on n’est pas tout seul… Créée en 1988 lors du premier congrès européen des pédagogues hospitaliers, l’association siège à Bruxelles. Elle réunit 340 membres représentant 13 pays de l’Union Européenne. HOPE a pour objectifs de promouvoir le droit des enfants malades à recevoir un enseignement à l’hôpital et à domicile, de mettre en commun, analyser et améliorer les pratiques pédagogiques adaptées aux jeunes malades, de veiller à l’application de la Charte Européenne des droits des enfants hospitalisés, de travailler en relation étroite avec les parents et les professionnels entourant l’enfant malade, de valoriser le professionnalisme des enseignants à l’hôpital et favoriser l’expression de leurs intérêts, et de développer la recherche sur l’enseignement de l’enfant malade et en diffuser les résultats. HOPE travaille actuellement à la rédaction d’une charte pour l’enseignement aux jeunes malades, et mène une réflexion sur le devenir de l’école à l’hôpital. HOPE, une association internationale qui regroupe les pédagogues hospitaliers HOPE en France : Élisabeth CAUCHON Centre scolaire de l’Hôpital d’enfants Armand Trousseau 26, av. du Dr Arnold Netter 75571 Paris Cedex 12 Tél : 33 (0) 1 44 73 61 87 Mél : [email protected] HOPE en Belgique : Christian LIEUTENANT (Président) École Escale Cliniques universitaires St Luc Av. Hippocrate, 10 BP 1200 Bruxelles Tél : 32 (0) 2 764 47 99 Site Internet : http://www.connect-to-hope.org 3 à lire Tous ces documents sont consultables au Centre de documentation mais ne sont pas vendus par SPARADRAP ces petits riens… qui font du bien PRATIQUES DE PSYCHOLOGUES EN PÉDIATRIE Apporter un peu de soi à l’hôpital… Depuis plusieurs années, les psychologues de l’hôpital d’enfants Armand Trousseau se sont regroupés au sein d’un Collège afin de mener une réflexion sur leurs pratiques. Dans ce livre, ils exposent avec rigueur et précision, quelles sont leurs missions. Ainsi, après avoir défini leur rôle en mettant l’accent sur l’écoute spécifique qu’ils pratiquent, ils présentent leurs méthodes et techniques d’intervention et exposent des cas concrets de prévention et de prises en charge thérapeutiques. Quand un enfant est hospitalisé les soignants voient surtout en lui la maladie à soigner, l’opération ou le bilan à faire, et c’est logique… Pour aider les soignants à le distraire ou à le rassurer efficacement, il est utile de conseiller aux familles d’apporter quelques objets personnels à afficher ou à disposer à côté du lit, même pour un séjour d’un ou deux jours. En effet, une photo de la famille, de la classe, de la maison, des dernières vacances, du sport pratiqué, de l’animal domestique… permettra de trouver plus facilement des sujets de conversation entre les soignants et l’enfant, d’éviter de percevoir l’enfant uniquement comme une maladie mais aussi comme une personne en relation avec la vie… Françoise LEFEVRE (coord.), Chantal de SINGLY (préf.) Hommes et Perspectives, 2002, 174 pp. PRENDRE EN CHARGE À DOMICILE L’ENFANT HANDICAPÉ Cet ouvrage décrit le fonctionnement des Services d’Éducation Spéciale et de Soins À Domicile. Il permet d’appréhender les enjeux politiques, sociaux et thérapeutiques d’un SESSAD, d’en comprendre les finalités, les missions, les objectifs, d’anticiper les évolutions culturelles et réglementaires et d’offrir une méthodologie d’élaboration de projet. Daniel TERRAL (dir.) Dunod, 2002, 174 pp. A CORPS OUVERT Ce livre est un témoignage vif et poignant d’une mère qui attend le retour de sa fillette de deux ans pendant que celle-ci subit une opération à cœur ouvert. Dans son livre, l’auteur laisse éclater la violence de ses émotions et de son désir d’être avec sa fille. Sandra JOXE Albin Michel, 2003, 165 pp. VIE ÉMOTIONNELLE ET SOUFFRANCE DU BÉBÉ Avec l’avénement des méthodes d’observation directe du bébé, les spécialistes de la santé mentale disposent maintenant d’outils efficaces pour décrypter les états émotionnels et les états de souffrance psychique des bébés. Dans cet ouvrage un collectif de psychiatres et de psychologues d’enfants expose les résultats de ces observations, dans une perspective de prévention des troubles du développement. Denis MELLIER Dunod, 2002, 225 pp. à noter DOULEUR ! SOUFFRANCE ! HANDICAP ! DE L’ÉVALUATION À L’ACCOMPAGNEMENT DE LA PERSONNE 17e journées d’étude de l’Association des Paralysés de France les 21,22 et 23 janvier 2004 à l’UNESCO, Paris. Renseignements et inscriptions : APF 19, bd Auguste Blanqui 75013 Paris Tél. : 01 40 78 69 52 - Fax : 01 45 65 43 45 apf.asso.fr ONZIÈME JOURNÉE “LA DOULEUR DE L’ENFANT, QUELLES RÉPONSES ?” 6 février 2004 à l’UNESCO, Paris. Renseignements : ATDE Pédiadol Tél. : 01 49 28 02 03 - Fax : 01 49 28 02 11 Mél : [email protected] Inscription : Comm’santé Tél. : 05 57 97 19 19 - Fax : 05 57 97 19 15 Mél : [email protected] LES ADOLESCENTS ET LA MUSIQUE À L’HÔPITAL 15 mars 2004, à la Cité de la musique, Paris. Renseignements et inscriptions : Musique et Santé Tél. : 01 55 28 81 00 - Fax : 01 55 28 81 01 Mél : [email protected] 4 Portrait de Caroline Ballée Sur l’air de La Maman des poissons de Boby Lapointe Paroles de Christiane Gonthier Si aujourd’hui la documentation Accueille tant de monde C’est bien parce que dans l’association Les documents abondent Quand elle arrive à l’assoc’ le lundi Elle file sur Internet Sa p’tite souris s’agite sur le tapis Jamais rien ne l’arrête La documentation c’est Miss Caroline Tous les jours et de bon matin Sans perdre de temps elle trottine Vers son micro et mine de rien Tous les messages elle examine Refrain : la documentation c’est pas du bidon On ne la voit jamais rêver la coquine Le fonds documentaire sans cesse examine Et même parfois se lance dans la formation La documentation c’est Miss Caroline Et puis quand tout va de travers Que nos “micros” sont en folie Qui vient nous sortir des ennuis Devinez qui est notre expert ? Refrain : Super Caro déboule c’est pas du bidon Elle attaque dans le vif des heures elle s’obstine Et puis quand tout à coup son œil s’illumine C’est qu’elle vient de trouver la bonne solution Pour l’info là aussi c’est Miss Caroline courrier Témoigner en BD… Fabien, 4 ans, et son papa nous racontent en image et avec humour son séjour à l’hôpital. Retrouvez la suite sur notre site ! pour nous soutenir Achetez nos documents Le catalogue est envoyé sur simple demande. Faites un don Nous vous ferons parvenir un reçu fiscal. Devenez membre actif Demandez notre formulaire d’adhésion par courrier ou découvrez-le sur notre site, rubrique Vie associative. Faites-nous connaître Nous pouvons vous faire parvenir des documents de communication en quantité (le catalogue, la présentation du centre de documentation, la Lettre…) merci ! L’association SPARADRAP fonctionne grâce à la Fondation Johnson & Johnson. La Direction Générale de la Santé la Fondation CNP et la Fondation de France la soutiennent fidèlement sur de nombreux projets. Elle reçoit aussi le soutien ponctuel d’autres fondations, mutuelles et laboratoires. Merci aussi à tous nos donateurs. SPARADRAP a vu le jour grâce à la Fondation de France. Octobre 2003 - La lettre de SPARADRAP n° 10 a été imprimée à 18000 exemplaires. ISSN : 1285-896X