Le mot du Président N° 21

Transcription

Le mot du Président N° 21
Janvier 2007
N° 21
Le mot du Président
Le grand moment de
l’actualité de notre
association à relater dans ce
bulletin est à mon avis
l’inauguration du Centre de
documentation du patrimoine
culturel immatériel qui s’est
déroulée le 14 novembre
dernier au Perrier, au 4 place
Louis de la Rochejacquelein
en présence d’officiels, de
nombreux adhérents
d’Arexcpo, de personnes
intéressées par notre action et
d’artisans ayant participé aux
travaux.
Madame Viviane Raballand,
Maire du Perrier, a rappelé la
visite par des conseillers
municipaux de nos anciens
locaux trop exigus, leur prise
de conscience de la
possibilité pour Arexcpo de
s’installer dans l’ancien
presbytère et la mise à
disposition du bâtiment pour
30 ans.
Puis, j’ai fait un rappel
historique, à savoir le
passage de Tap Dou Païe,
créé en 1970, à Arexcpo en
1977, la création
d’EthnoDoc, section
d’Arexcpo en 1997, puis
association à part entière en
2006 gérant les six salariés,
et le nouveau nom de la
section Comité d’usagers
d’EthnoDoc. Après avoir
rappelé l’intérêt de la
position centrale du Perrier et
le côté pratique des nouveaux
locaux, j’ai remercié les
financeurs institutionnels
ayant apporté leur
contribution : Communauté
de Communes Océan Marais
de Monts, Conseil Général
de la Vendée et Conseil
Régional des Pays de la Loire.
J’ai ensuite détaillé les quatre
orientations prévues : Centre
de documentation du MaraisBreton Vendéen, Centre de
documentation d’archives et de
documentation ethnographique
de la Vendée, Centre de
documentation ethnographique
en Pays de Loire, Centre
EthnoDoc- Arexcpo et RADdO
à vocation nationale et
internationale.
Monsieur André Ricolleau,
Président de la Communauté
de Communes, a, quant à lui,
évoqué l’importance des
actions d’Arexcpo et le soutien
de la Communauté de
Communes tant pour les
dépenses d’investissement que
pour celles de fonctionnement,
en particulier sa participation à
un emploi tremplin.
Monsieur Dominique Souchet,
Président de la Commission
des Actions culturelles du
Conseil Général de la Vendée
a souligné l’originalité du
Centre, l’ampleur et
l’importance du travail
d’Arexcpo qui a permis
l’ouverture de ce « centre
d’accueil de la mémoire
ethnologique vendéenne,
centre de traitement de cette
mémoire, centre de ressources
et centre de consultation ».
Il a aussi souligné le choix
pertinent du Perrier au cœur
d’un pays attaché à ses
traditions, et la pertinence du
moment puisque l’année Jean
Yole vient d’être lancée à
l’occasion du cinquantième
anniversaire de sa disparition,
Jean Yole ayant beaucoup
aimé et décrit le Marais
Breton-Vendéen.
Madame Mado Coirier,
Conseillère Régionale, a pour
sa part insisté sur les Emplois
tremplins que la région Pays
de la Loire aide à financer, au
nombre de deux pour notre
association.
Pour conclure, tout le monde a
formulé des vœux confiants
pour l’avenir et la réussite de
ce centre tout à fait original.
Autre sujet d’actualité : le
trentième anniversaire d’
Arexcpo que nous fêterons en
juin 2007. Nous aurons
l’occasion d’en reparler mais
dès maintenant vous trouverez
en page trois le début d’une
grande rétrospective qui
continuera dans les numéros
suivants du bulletin et qui
rappellera beaucoup de
souvenirs à nombre d’entre
vous.
Et bien sûr je compte sur la
présence du plus grand nombre
à notre Assemblée Générale du
02 février 2007.
Meilleurs vœux à tous.
Philippe Côme
Le rendez-vous
incontournable :
l’Assemblée Générale annuelle
d’Arexcpo le
2 février 2007
Madame Annette
Ollivier, notre première secrétaire fondatrice, est décédée le
29 octobre dernier.
Elle a contribué au
développement de
notre association par
sa culture, sa rigueur,
son dévouement…
Elle laisse aux Maraîchins un travail de
mémoire avec son
ouvrage Album des
Montois et les archives d’un second volume en projet.
Nous nous associons à
la grande peine de ses
proches.
De gauche à droite : Philippe Côme, Viviane Raballand,, Dominique Souchet, Mado Coirier et André Ricolleau. Cliché J.-P. Bertrand.
Boune annaïe, bounne sentaïe à tous pour 2007
Page
1/4
NOS PARTENAIRES : Neptune FM, la radio de l’Ile d’Yeu
Début 1983, l'association Neptune FM va être créée. La mairie accepte alors de fournir un local, de subventionner du matériel mais demande que l’association assure les frais de fonctionnement. En juin 1983, elle diffuse
ses premières émissions sur 95,3 mhz. La ligne de conduite est précise : Radio Locale à fond, et chanson française au maximum avec une ouverture aux jeunes. Le périmètre géographique fermé de l'Ile d'Yeu oblige à se
concentrer sur la vie locale, riche de ses 80 associations. En 1988, la radio très appréciée des islais, fonctionne
plutôt bien. La commune, satisfaite des prestations, propose de nouveaux studios dans le Fort de Pierre Levée, la
Citadelle. Un nouveau bureau voit le jour et repart de plus belle.
L’esprit de la radio étant très local, dès le matin les émissions sont émaillées d’informations islaises : météo
marine, vacation pêche, départ des bateaux, heures de marées, rendez-vous associatifs, professionnels, administratifs (très important sur une île). Très vite la vie islaise alimente notre radio, nous recevons des personnalités, des
responsables, des vieux marins… Nous animons une émission qui permet aux auditeurs de chanter sur l’antenne
les chansons qu’ils aiment. Nous recevons des gens qui parlent le patois islais (CD conservés par Arexcpo).
Arexcpo est valorisée par Neptune FM
Une animatrice de Neptune FM, Nathalie André, découvre le travail de l’association Arexcpo. Très vite, elle
fera partie de l’association et, profitant de la richesse des enregistrements que celle-ci détient, elle met en place
une émission : « la mémoire des Vendéens ». Ainsi, chaque jeudi matin, elle diffuse les chansons anciennes d’un
des 31 cantons de la Vendée. Souvent, des auditrices, ou auditeurs, réagissent par rapport à la version diffusée.
Celle qu’ils connaissent est différente. Les responsables d’Arexcpo perçoivent très vite l’intérêt d’une réelle collaboration pour recueillir ces nouveaux témoignages.
Très intéressée par cette démarche, Nathalie fera elle même le collectage de ces anciennes chansons islaises qui, associées à d’autres enquêtes,
donnera le jour à une édition. Dénommée Vendée, mémoire en chansons,
canton de l’Ile d’Yeu, le coffret est constitué de deux CD audio lancé en
décembre 2003 en collaboration avec la Commune, des aides du Conseil
général de la Vendée, du Conseil régional des Pays de la Loire et du Ministère de la Culture et de la Communication.
De gauche à droite, Nathalie André, Gérard Château,
Charline Turbé, la doyenne, et Laurent Imbert
Depuis le début de cette série d’émissions, nous avons également des
relations avec Pierre-Marie Dugué qui représente Neptune FM sur le
continent dans l’esprit Arexcpo : interview de chanteuses, musiciens,
écrivains vendéens.... Nous avons le même esprit et les deux outils se
complètent parfaitement. Bien que ciblé sur le local islais, Neptune FM
reste un outil ouvert à tous projets associatifs et culturels, dont ceux
d’Arexcpo.
En 1992, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel accorde une nouvelle convention à Neptune FM et une autorisation d'émettre sur 91,9 mhz. L'association fonctionnera désormais en Catégorie B. Ce choix permettra d'alimenter l'antenne avec la collaboration de radios du continent et de diffuser ainsi 24 H sur 24 H. Gracieusement, plusieurs radios seront choisies pour compléter les programmes durant quelques années.
En 2003, la radio fête ses 20 ans et retrouve une seconde jeunesse avec l'arrivée d'un nouveau président et
d’un nouveau conseil d'administration. Grâce au soutien de la Commune, l'association achète un ordinateur et un
logiciel de programmation. La radio va alors diffuser 24h/24h ses propres programmes de manière complètement
autonome. La couleur musicale s'affirme, les programmes s'enrichissent et de plus en plus d'auditeurs du continent
manifestent leur attachement à la radio islaise. Deux jeunes de l'Ile d'Yeu qui ont fait leurs premiers pas à Neptune
FM partent à l'école STUDEC, à Paris, pour devenir technicien radio professionnel.
C’est en 2005 que le premier salarié est embauché en tant que technicien à plein temps grâce à nouveau à une
subvention municipale. La radio compte une trentaine d'animateurs et d'animatrices pour une vingtaine d'émissions.
2006. la radio tourne bien, les finances sont modestes mais saines, nous avons gardé l'âme de la radio et l'esprit associatif. En 2007, doit s’engager une série de retransmissions des émissions de Joseph Renaud et Jean-Pierre
Bertrand, Habitudes d’hier et d’aujourd’hui, en collaboration avec RCF 85. Vingt-trois ans après je suis fier de
faire partie de cette bonne équipe et espère que les chansons traditionnelles s’envoleront de Neptune FM encore
longtemps.
Page
2/4
Gérard Château,
En 2007, Arexcpo fête ses trente ans - (1er épisode 1969-1977) : les prémisses
L’avant Arexcpo : Tap Dou Païe
C’est François Simonneau qui trouve le nom de Tap Dou Païe, il a seize ans en cette fin d’année 1969.
Le groupe folklorique est né d’un besoin exprimé par des adolescents lors de la fondation de la Maison des Jeunes. Les meneurs, André Barreteau et Jean-Charles Van Overbeke, suite à un article de presse relatant les recherches d’un jeune collectionneur de coiffes, invitent Jean-Pierre Bertrand à prendre en charge l’habillement des candidats au folklore. Pour l’apprentissage des danses, on fait appel à Irène et Marius Billet qui avaient gagné le
concours de danse maraîchine qu’organise l’Union des Commerçants et Artisans. Le sonneur Henri Pontoizeau, dit
Riquett’ est sollicité. Quelques semaines plus tard, le rejoint Jean-Pierre Palvadeau. L’assemblée constitutive se
déroule en janvier 1970. Le 15 février suivant, première présentation public, parution au Journal Officiel, le 26
mars suivant. Tout s’enchaîne très vite.
L’UCA Montois invite TDP à l’élection des reines. C’est le succès. On les retient pour les feux de Saint-Jean
1971 : le paiement de la reconstitution d’une veuze sera le salaire.
Des pièces qui associent théâtre et folklore sont lancées : succès sans réserve et toutes les séances sont jouées à
guichets fermés. C’est, en 1971, Les noces d’Armindine, en 1972, La veillée de bignaïe…
Le premier rassemblement de tous les groupes folkloriques de Vendée est une nouvelle initiative qui donne le
Préveil, le 16 juillet 1972. Dix groupes sont présents et donnent un spectacle à Saint-Jean-de-Monts. Une série de
festivals folkloriques se déroulera jusqu’en 1978
En 1971, TDP se rapproche de l’UPCP. C’est à cette occasion que le groupe sort pour la première fois du département : le 11 juillet, il est en spectacle à la Mothe-Saint-Héray, en 1972 Parthenay. En 1975, le groupe se désengage de la fédération poitevine qui n’associe pas TDP à ses collectes sur l’île de Noirmoutier.
Dès la fondation de TDP, ce qui le démarquera de ses collègues, c’est la recherche des éléments qui constituent
la singularité d’une communauté ethnique. Les travaux sont portés vers le costume folklorique. En 1973, la période
de début XIXe siècle au début XXe siècle est couverte et offre un vestiaire inégalé en Vendée. Violon, veuze, piboles accompagnent les accordéons. Les veillées apportent de nouvelles danses… Mais ces évolutions ne plaisent pas
à tous et c’est la scission qui donne naissance à Torniquett’, le 17 janvier 1973.
Quelques jours plus tôt, le 10 janvier, c’est le premier enregistrement sonore avec conservation de la bande magnétique. Ce principe donnera les assises sérieuses d’une activité qui distinguera dorénavant le mouvement.
La collecte d’images a débuté avec les séances de projection Le
pays de Monts en 1900, en décembre 1973. L’iconographie est empruntée et transformée en diapositives. Michel Bertrand, cofondateur
du Photo-Club assure cette tâche. Pierre Averty le relayera.
A cette même occasion, une exposition est présentée dans le hall
du Cinémont. C’est la première d’une longue série.
A l’assemblée générale du 12 janvier 1974, l’exposition déjà citée donne des ailes : on parle de la création d’un musée dans une
bourrine. Tiens ! tiens !
Le 16 mars suivant TDP adhère officiellement à la Confédération
nationale des groupes folkloriques. Cette participation ne corresSouvenirs, souvenirs ! : 1ère sortie de Tap Dou Païe, le 15 février 1970,
pondant pas non plus aux aspirations des Montois, le mouvement,
à l’hospice de Saint-Jean-de-Monts
avant tout folklorique, est abandonné en 1978.
Après Charlerois, en Belgique, c’est l’Autriche en cette année 1974. Les déplacements vont se succéder : Danemark, Allemagne, Angleterre, Espagne, Portugal, Québec, Russie…
La Noce maraîchine, mise en scène à Soullans, le 15 juin 1975, déclenche le besoin d’élargir TDP à d’autres
compétences. C’est là que naît le futur Photo-Club et Ciné-Club. Des reportages sont assurés par les futurs fondateurs. L’opération de collectage regroupe les photographes et cinéastes pour la collecte du répertoire des musiciens. Cette même année, le voyage au Danemark, avec la visite de Friedland-muset, conforte l’idée d’un musée
maraîchin, mais selon le concept "musée de plein-air". Avec la rencontre de Francis Ribémont, conservateur départemental, puis Georges-Henri Rivière, en 1977, cela deviendra l’écomusée du Daviaud.
Le 17 janvier 1976, TDP devient la Société de Recherches et d’expression des traditions populaires du Marais
Breton vendéen. Une section philatélie, parce que des jeunes danseurs s’intéressent à cette activité, et Sounurs
maraîchanes forment les deux premiers organes satellites. Lors de cette même assemblée générale est annoncée
le développement des activités de recherches dans les archives, par des enquêtes… Un appel aux photographes
amateurs, aux érudits, est lancé. Les manifestations (festival, expositions, feux de la Saint-Jean, spectacles…)
organisées plusieurs fois par an nécessitent une équipe spécialisée, un comité à cet effet est constitué pour seconder TDP. Les vents sont bons en cette année 1976. De nouvelles ambitions pointent à l’horizon 2007.
A suivre…
Page
3/4
Actualité … en bref
Arexcpo en Vendée
Ferme du Vasais
85160 SAINT JEAN DE
MONTS
Téléphone :
02 28 11 42 51
Adresse de messagerie :
[email protected]
Une nouvelle relation vient d’être engagée avec le département des archives ethnomusicologiques
de l’université Laval, à Québec. Madame Carole Saulnier, directrice-adjointe de ce service a été très
attentive à nos travaux dans ce domaine, notamment ceux relatifs aux bases de données informatisées. Il a été convenu de poursuivre cette collaboration.
Dès l’installation des outils pour l’archivage des chansons et des musiques de tradition orale sur la
plate-forme accessible par Intranet, son service l’utilisera pour l’inventaire des riches collections
que détient l’université québécoise. Un premier lot d’archives a été confié à EthnoDoc.
Du 6 au 18 décembre, c’est l’université des Antilles et de la Guyane qui nous a détaché l’un de ses
documentalistes-informaticiens, Thomas Devaux. Il est reparti à Cayenne après formation aux outils
informatiques. Il est chargé d’archiver les fonds de culture orale collectés auprès des communautés
guyanaises. Son travail est l’une des étapes d’un vaste chantier coordonné par André-Marie Despringre, chercheur du CNRS. Nous reviendrons sur ces sujets.
Yves BATARD
Interview réalisée par Jean-Michel
LUQUET
Suivre au jour le qui
se passe à Arexcpo,
c’est possible en allant sur
www.arexcpo.org,
puis programme,
puis sur occupation
de la ferme du Vasais.
Avec ce nouveau
vecteur
d’informations, on a
plus d’excuses.
Retenir une date ?
même circuit.
Bulletin d'information
conçu par Arexcpo en
Vendée, réalisé par
EthnoDoc et adressé
gratuitement à leurs
adhérents
L'informatique ?
De la gestion à l'image
Ce sera, finalement, un concours
(heureux) de circonstances qui
aura permis à Arexcpo de bénéficier des compétences de son
"grand argentier" Yves Batard.
Ce dernier, habitant Nantes, mais
ayant une résidence secondaire à
Saint-Jean-de-Monts, s'intéressait
de très près à l'informatique, d'autant qu'il s'agissait de l'essentiel de
son activité professionnelle, surtout orientée vers la gestion d'entreprises. Anticipant les apports de
l'informatique au traitement de
l'image, il profitait de sa fin de vie
professionnelle pour devenir
curieux de l'évolution de ces tech-
niques. C'est Louis-Marie Pelloquin qui lui donnait les coordonnées de Jean-Pierre Bertrand : belle aubaine pour EthnoDoc qui était confrontée à la
nécessaire numérisation des
supports vidéo existants !
" A cette époque (nous étions
en 2001), je ne connaissais pas
du tout Arexcpo ! Pour être
parfaitement clair, je ne suis
absolument pas ethnologue ni
même spécialiste de la sauvegarde de la mémoire. Il s'agissait de récupérer des images
qui existaient sur des supports
fragiles… Jean-Pierre s'était
déjà penché sur le problème et,
à ses côtés j'ai pu progresser ".
Aujourd'hui, Yves est le spécialiste de la transcription des
films anciens, qu'il s'agisse de
formats de cinéma ou de vidéo.
Telle est donc l'activité
qu'Yves exerce régulièrement
au sein de l'Arexcpo.
Mais ses compétences dépassant largement le contexte de
l'informatique et de l'image, il
fut mis à contribution, en 2002,
pour prendre en charge la trésorerie d'EthnoDoc.
Et, comme un bonheur n'arrive
jamais seul (surtout pour
Arexcpo en cette circonstance!), Yves se vit confier le
poste de trésorier de l'ensemble
d'Arexcpo avec l’aide efficace
de Marie-Gabrielle Renaudineau, trésorière-adjointe.
En toute modestie, il pondère
l'importance de cette fonction :
chaque section est indépendante et a sa propre gestion. "Il
s'agit donc de consolider les
comptes fournis par les sections pour en faire une présentation globale à chaque fin
d'exercice ".
Ses présentations, en assemblée générale, sont unanimement appréciées pour leur clarté et leur pédagogie. " Je suis
très content car toutes les sections, même les plus petites,
ont accepté de traiter leur
comptabilité sur informatique.
A partir de là, tout devient plus
facile pour présenter les comptes ! ".
Yves Batard illustre parfaitement la complémentarité de
compétences qui permet à
Arexcpo de développer ses
activités, " grâce à une utilisation de l'informatique digne
des professionnels les plus
chevronnés ".
…et le " coup de cœur " d’Arexcpo, par Astrid Tordeux, étudiante à l’IUT de la
Roche-sur-Yon
En terre et végétaux, constructions traditionnelles en Vendée, par Jean-Pierre Berrand
Page
4/ 4
Au cœur des marais vendéens, de la plaine et du bocage, à la découverte des constructions de nos
ncêtres. Un peu de terre, de sable, de roseaux et voilà quelques bourrines… Des images d’hier et
’aujourd’hui nous font voyager et découvrir notre culture.
Une tradition retrouvée à travers cet album photo qui nous aide à comprendre notre histoire, nos
aysages…
Aux éditions SILOË. Peut être obtenu auprès de Mémoire des Vendéens – Arexcpo.