Département de Photochimie Générale DPG UMR 7525 Université
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Département de Photochimie Générale DPG UMR 7525 Université
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Département de Photochimie Générale (DPG) – UMR 7525 de l'Université de Haute Alsace février 2008 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Département de Photochimie Générale (DPG) – UMR 7525 de l'Université de Haute Alsace février 2008 Rapport du comité d'experts L'Unité de recherche : Nom de l'unité : Département de Photochimie Générale (DPG) Label demandé : UMR N° si renouvellement : 7525 Nom du directeur : M. Xavier ALLONAS Université ou école principale : Université de Haute Alsace (Mulhouse) Autres établissements et organismes de rattachement : CNRS Date(s) de la visite : 17 – 18 décembre 2007 2 Membres du comité d'évaluation Président : M. Yves GNANOU, Ecole Polytechnique, Palaiseau Experts : M. Sébastien GAUTHIER, CEMES-CNRS Toulouse M. Robert JEROME, Université de Liège, Belgique M. Guy JEZEQUEL, Université Rennes 1 Rennes M. Keitaro NAKATANI, Ecole Normale Supérieure Cachan M. Eugène RAOULT, Université Rennes 1 Rennes Expert(s) représentant des comités d’évaluation des personnels (CNU, CoCNRS, CSS INSERM, représentant INRA, INRIA, IRD…..) : M. Christophe CHASSENIEUX, Université du Maine Le Mans, expert représentant la section 11 du CN M. Philippe CHAUMONT, Université Claude Bernard Lyon, expert représentant la section 33 du CNU M. Christophe DELERUE, UMR 8520 IEMN – ISEN, Villeneuve D'Ascq, expert représentant la section 6 du CN M. François FAJULA, Institut Charles Gerhardt, Montpellier, expert représentant la section 14 du CN M. Ange PANCRAZI, Université Cergy-Pontoise, Cergy-Pontoise, expert représentant la section 12 du CN Observateurs Délégué scientifique de l'AERES : M. Georges HADZIIOANNOU M. Claude LECOMTE Représentant de l'université ou école, établissement principal : M. B.DURAND, Le Vice-Président de l’Université de Haute-Alasace Représentant(s) des organismes tutelles de l'unité : M. Jean-François BAUMARD, directeur scientifique adjoint du département Chimie (CNRS) M. Domique CHANDESRIS, directeur scientifique adjoint du département MPPU (CNRS) 3 Rapport du comité d'experts 1 z Présentation succincte de l'unité Personnels permanents chercheurs : 13 dont 2 non publiants • Université (enseignants –chercheurs) : 7 • Organismes : U.H.A. ; C.N.R.S. • Ecoles : Ecole Nationale Supérieure de Chimie • Professeurs et Directeur de Recherche : 5 • Maîtres de Conférences et Chargés de Recherche : 8 • Titulaires de l’HDR : 7 • Titulaires de la PEDR : 3 dont Personnels non permanents chercheurs : • Doctorants : 11 • Post-docs : 4 Production scientifique Publications de rang A : 105 • Revues reconnues du domaine : 84 • Conférences reconnues du domaine : 133 • Conférences invitées : 33 • Ouvrages ou chapitres :144 • Brevets : 14 Autres productions : • Articles de colloques : 29 • Documents associés à des contrats : 38 Contrats institutionnels : 21 • Contrats ANR : 7 • Contrats CEE : 3 • Contrats CPER : 1 Contrats Industriels : 16 4 2 z Déroulement de l'évaluation Les membres du comité de visite se sont réunis le 17 Décembre et ont auditionné tour à tour les directeurs de six laboratoires ou institut dont voici la liste : I-Institut de chimie des surfaces et interfaces de Mulhouse (ICSIM- UPR 9069) II-Laboratoire de matériaux à porosité contrôlée (LMPC- UMR 7016) III-Département de photochimie générale (DPG- UMR 7525) IV-Laboratoire de physique et de spectroscopie électronique (LPSE- UMR 7014) V-Laboratoire de chimie organique et bioorganique (COB- UMR 7015) VI-Laboratoire propre intégré de l’ENSCMu (LPI) Puis, ils ont entendu le directeur de la fédération de recherche –matériaux (FR 2798) et enfin le porteur du projet du Laboratoire de Recherche Commun (LRC). Dans une visite séparée, le directeur de la formation de recherche en évolution (FRE 3026), intitulée Nanomatériaux pour les systèmes sous sollicitations extrêmes (NS3E) a été auditionné. Au cours de ces auditions, les membres du comité ont été renseignés sur la gouvernance et la fabrique de la science au sein de ces unités, à travers l’expression de leur stratégie scientifique, de leurs grands résultats et de leurs projets. A la suite des auditions de ces directeurs, le comité s’est divisé en petits groupes, pour la visite des différentes unités ; à travers une série de présentations scientifiques, la qualité des travaux réalisés dans chacune de ces unités a pu être expertisée. Les membres du comité ont profité de ces visites pour rencontrer les personnels et dialoguer avec eux. Concernant le DPG : Le rapport fourni est clair, soigné, bien structuré et de bonne qualité, même si des points de repère par rapport au contexte international et quelques schémas supplémentaires auraient été les bienvenus. Outre les aspects purement scientifiques et les indicateurs, le rapport présente en bonne place l'hygiène et la sécurité, la formation et l'informatique. L'exposé du Directeur était clair, tout comme les présentations des responsables d'équipe. Pour terminer, la visite du site (bâtiment de bureaux éloigné du campus universitaire) a permis de se rendre compte de certaines conséquences de l'accident dramatique de Mars 2006 qui a coûté la vie à un chercheur de l’Unité. En dehors des aspects scientifiques et des questions de gouvernance de l'Unité en ellemême, les problèmes de structuration du pôle "Matériaux" sur le site de Mulhouse ont été abordés. 3 z Analyse globale de l’unité, de son évolution et de son positionnement local, régional et européen S'il fallait caractériser cette Unité par un seul mot clé, ce serait "photopolymère". De l'étude des processus rapides à l'utilisation des matériaux, les chercheurs de l'Unité travaillent tous dans cette thématique. Les travaux sur le mécanisme des processus de photo-polymérisation et la formulation des matériaux sont de notoriété internationale et s'appuient sur un savoir-faire à la fois acquis et en constante évolution. L'exploitation des photopolymères pour la structuration de matériaux (photolithographie) est également une activité bien reconnue sur le plan international. Le développement vers les matériaux hybrides ("sol-gels", introduction de nano-particules métalliques) constitue une activité émergente du laboratoire que développe une nouvelle équipe. Dans son exposé, le Directeur de l'Unité a bien souligné cette cohésion thématique et le spectre continu des activités qui s'étendent de la compréhension de mécanismes rapides à la structuration de matériaux multi-composants. 5 L'Unité est bien intégrée dans la FR2798 (DPCM2). Elle contribue à 8 projets de la FR, dont 5 avec le LCOB. Les membres de l’Unité sont présents dans les instances nationales (CNU) et locales (commission des spécialistes, CA, Vice-Présidence précédente). Via ses 7 enseignants-chercheurs, elle est présente dans les formations (notamment les Masters). On note également une très bonne intégration dans le tissu économique local (relations industrielles). 4 z Analyse détaillée de l’activité scientifique L’Unité a produit 84 et 99 publications respectivement dans des revues avec et sans comité de lecture (ACL et SCL), ce qui représente une moyenne de 3,5 publications par chercheur par an. Le nombre de conférences invitées est de 33. L’expertise des membres de l’Unité a donné lieu à la production de 13 ouvrages ou chapitres d’ouvrages. Le nombre de brevets est de 14. Ces indicateurs sont globalement équivalents à ceux de la période précédente (sauf pour les conférences invitées, compte tenu des circonstances) et montrent une très bonne production du laboratoire. La qualité de la production (notamment des ACL) est bonne et, fait remarquable, se répartit entre des journaux de photochimie, de polymères, d’optique, voire de chimie organique. Cela montre une reconnaissance qui s’étend au-delà du cercle des photochimistes. Elle est expliquée par le spectre d’activités dans le domaine des photopolymères qui relève aussi bien de la photophysique des mécanismes rapides photoinduits, que de la formulation, la chimie des polymères, les matériaux hybrides, ou encore de l’optique. Même si les développements scientifiques de l’Unité sont solidement ancrés dans leur savoir-faire "classique", les chercheurs n’hésitent pas à intégrer des apports nouveaux pour l’Unité ou des évolutions récentes issus d’horizons différents, ou encore s’attaquent à des défis importants (phénomènes à deux photons, spectroscopie vibrationnelle résolue en temps, polymérisation radicalaire contrôlée, modélisation moléculaire, photolithographie haute résolution dans l’UV profond, nanoparticules métalliques ou encore le procédé solgel). On ne peut qu’encourager cet effort d’intégration, qui permet une évolution thématique certaine par rapport à la période précédente. Le nombre de thèses soutenues est de 11, dont la moitié en 2004. Le recrutement des doctorants se trouve limité par le nombre de bourses "Ministère" disponibles. L’Unité consacre néanmoins quelques "fonds propres" (issus de contrats) pour financer des thèses. Le faible nombre de HDR soutenue provient d’un "trou" de génération et des soutenances peuvent être espérées dans les deux années à venir. 5 z Analyse de la vie de l'unité Une analyse globale du budget du laboratoire (environ 350 k€) montre un équilibre entre les sources récurrentes des tutelles, les contrats publics (incluant les collectivités locales) et les contrats industriels. Concernant les dépenses, en 2004-2005, le fonctionnement représentait une petite moitié et le reste se répartissait équitablement entre les équipements et les salaires. L’accident de Mars 2006 a nécessité le déblocage de fonds (1,5 M € de l’Université, du Ministère et du CNRS pour 4 M € de sinistres) qui ont été en grande partie investis pour le rééquipement de l’Unité. Les soutiens de base sont utilisés principalement pour assurer le fonctionnement quotidien et les achats collectifs de l’Unité. Le comité s’est entretenu avec les membres de l’Unité réunis en Assemblée Générale (en l’absence du Directeur de l’Unité). En effet, il n’existe pas de Conseil, les membres de l’Unité ayant l’habitude de discuter de manière informelle ou de se réunir en Assemblée Générale "chaque fois qu’il est nécessaire". Les doctorants semblent être bien intégrés dans la vie du laboratoire. L’animation scientifique existe, même si la tenue de séminaires semble être irrégulière. Un grand effort est fourni par les responsables de l’hygiène et sécurité, de la formation et de l’informatique. Malgré l’absence de ligne budgétaire dédiée à la formation (partie recherche) de l’Université, la responsable veille à la formation des personnels indifféremment de leur tutelle, aussi bien sur des techniques spécifiques au laboratoire que sur des formations générales (bureautique, gestion, …). Quant à l’hygiène et sécurité, un document unique a été réalisé et le responsable a veillé aux 6 respects des normes lors de la réinstallation dans les locaux actuels. On peut noter également des actions de communications scientifiques à l’extérieur. Le comité a pris note de quelques préoccupations actuelle des membres de l’Unité : l’absence de vision sur l’échéancier de l’aménagement des locaux qui empêche de sortir des équipements de leur bâche ou encore l’éloignement par rapport au campus qui complique la vie des enseignants-chercheurs et des doctorants qui travaillent sur des sujets en collaboration avec les autres Unités de la FR. Les dernières années ont été caractérisées par des changements : direction de l’Unité, départ de deux responsables d’équipe, décès d’un responsable d’équipe nouvellement nommé. L’arrivée de 3 MdC et 3 CR (dont un à la mutation) a maintenu les effectifs, mais 3 chercheurs/enseignants-chercheurs sont nés dans les années 40. Il existe par ailleurs un fossé entre ces derniers et leurs collègues de plus de dix ans (sauf un). Quant aux ITA/IATOS, 2 des 6 sont nés dans les années 40. Il faudra s’attendre à un changement important du paysage de l’Unité d’ici quelques années et veiller au renouvellement des personnels. 6 z Conclusions — Points forts : Malgré sa petite taille, cette Unité connaît une reconnaissance indéniable auprès de la communauté scientifique internationale et du monde industriel. Cette notoriété ne se limite pas au domaine "traditionnel" de l'Unité comme les mécanismes ou la formulation de photopolymères, mais s'étend également à des études plus récentes sur les matériaux hybrides ou encore des sujets de pointe comme la photolithographie à haute résolution. Une grande force des membres de cette Unité est leur capacité à mobiliser des moyens matériels et humains pour réaliser des développements instrumentaux nouveaux (ou pour reconstruire en améliorant). Les aspects tels que l'hygiène et la sécurité, la formation ou l'informatique sont pris au sérieux. — Points à améliorer : Ainsi que le montrent les indicateurs, la proportion de contrats (en particulier institutionnels) récents ou en cours est faible ce qui peut-être une source de préoccupation. Par ailleurs, les contrats institutionnels sont ou ont été portés par un nombre limité de personnes. L'animation scientifique, notamment sous forme de séminaires, gagnerait à être plus régulière et plus fréquente. Les départs (notamment des cadres) intervenus ces dernières années et les départs prévisibles donnent l'image d'une réorganisation "permanente" et risquent d'exposer prématurément un trop grand nombre de jeunes chercheurs à des responsabilités prenantes. — Recommandations : Le comité encourage fortement les jeunes chercheurs à passer leur HDR et à poursuivre et même renforcer les collaborations existantes avec les Unités environnantes. Les années à venir correspondent à une période où l'Unité aura à gérer le "fossé des générations" mentionné précédemment. Le nombre et la diversité d'origine des chercheurs de moins de 40 ans sont autant de forces qui devraient apporter une valeur ajoutée à la "tradition" photopolymères de l'Unité, mais attention à ne pas disperser les forces dans des initiatives tous azimuts. 7 7 z Conclusions générales sur le site Le Département de Physique et Chimie des Matériaux de l’Université de Haute-Alsace possède à travers ses quelques six laboratoires -plus celui situé à St Louis- un dispositif d’enseignement et de recherche de premier ordre dans le domaine des matériaux. Des travaux de recherche sur pratiquement toutes les grandes familles de matériaux –polymères, métaux, carbones, céramiques, oxydes, semi-conducteurs - y sont conduits, tant du point de vue de leur synthèse que de leur caractérisation ou de l’utilisation et cela dans des dimensionnalités variables. Les secteurs directement concernés par ses travaux sont aussi ceux où la demande sociétale est la plus forte : transport, énergie, nanotechnologies, optique, spatial, santé, etc..L’Université de Haute-Alsace, le CNRS et la Région Alsace ont contribué de manière significative à la constitution de ce « pool » de compétences mulhousien, riche d’enseignants-chercheurs, chercheurs, ITA/IATOS, post-docs, doctorants, etc.. de talent. Et pourtant, à part quelques « spikes » très visibles émanant de thématiques telles que la physique des phénomènes interfaciaux, certains matériaux à porosité contrôlée, et d’autres issus de la photopolymérisation, l’impression d’ensemble qui se dégage du département de matériaux de l’UHA est celui d’un potentiel insuffisamment exploité. Les personnels ne sont pas directement en cause : leur attachement au site mulhousien, leur enthousiasme pour la science –en particulier celui des jeunes chercheurs-, la créativité dont beaucoup font preuve, la solidarité qu’ils ont manifestée après l’accident dramatique de Mars 2006 représentent un inestimable capital qu’il s’agit de ne pas dilapider. Les raisons de cette impression mélangée où l’excellent côtoie le banal sont connus : interminable querelle des statuts –UPR versus UMR-, dissension entre responsables, incapacité à parvenir à une meilleure intégration thématique en dépit des efforts méritoires du directeur de la défunte fédération de recherche. Même si toutes les composantes ne s’y sont pas associées, le projet d’un Laboratoire de Recherche Commun (LRC) est un premier pas dans la bonne direction qu’il s’agit de poursuivre. En l’état, et tel qu’il a été présenté au comité, le document de base de ce LRC représente en effet plus une manifestation de bonnes intentions et un relevé des compétences des laboratoires qu’une véritable ambition scientifique pour le site de Mulhouse. Pour transformer ce premier effort de rapprochement en un véritable projet de site, il faudrait que l’ensemble des composantes explicitent clairement les grands questionnements scientifiques dans lesquels elles s’inscrivent, à la fois en chimie, physique et physico-chimie des matériaux. Tout aussi nécessaire est le positionnement de chacune d’entre elles vis-à-vis des thématiques plurisdisciplinaires sociétales que sont l’énergie, la santé, les transports, sans occulter les problèmes liés à la gouvernance. En d’autres termes, tous les personnels sont appelés à passer d’une logique de mise en exergue de leurs compétences à celle d’un projet concerté pour le site mulhousien. C’est à ce prix que le département de physique et de chimie des matériaux de l’UHA gagnera en visibilité et en lisibilité tant aux plans national qu’international. Le risque à terme est de voir le site de Mulhouse devenir essentiellement un centre de compétences bien doté en personnel technique et en infrastructure, mais duquel les meilleurs vont se détourner : il est encore temps de se mobiliser sur un projet collectif. 8 UNIVERSITE DE HAUTE-ALSACE CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE DEPARTEMENT DE PHOTOCHIMIE GENERALE UMR CNRS n°7525 ENSCMU, 3 rue Alfred Werner 68093 Mulhouse Tél : + 33 (0)3 89 33 50 11 Fax : +33 (0)3 89 33 50 14 e-mail : [email protected] Prof. Xavier ALLONAS Mulhouse, le 10 mars 2008 Ref : AER_MULH_007-UMR7525-GH-V1.pdf Rapport du comité d’experts de l’AERES Volet général : commentaires Le Département de Photochimie Générale UMR 7525 a bien noté le rapport, très positif et encourageant, du comité d’évaluation et souhaiterait apporter un certain nombre de précisions d’ordre général. La stabilisation récente des équipes a permis de relancer avec succès la politique contractuelle, et ce point n’est plus un sujet de préoccupation pour les trois prochaines années. Ceci a d’ailleurs conduit à une augmentation conséquente du nombre d’étudiants de thèse. Il est bien évident que la politique de recrutement, et en particulier le renouvellement des postes est un point particulièrement important pour l’Unité. Toutefois, le succès du renouvellement dépend principalement des tutelles. Afin de préparer cet avenir, un certain nombre d’HDR seront soutenues d’ici à deux ans. Concernant la structuration de la recherche sur le site mulhousien, l’Unité a toujours été favorable a un rapprochement. Cependant, il est indispensable que celui-ci se fasse de façon concertée, avec une recherche consensuelle de solution. En ce sens, l’Unité s’associe pleinement à la réponse du directeur du DPCM2 au rapport d’audit concernant cette Fédération de Recherche. Xavier Allonas Directeur UMR 7525