Actes SN 2013 le 3 février 2014 - Eglise protestante unie de France

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Actes SN 2013 le 3 février 2014 - Eglise protestante unie de France
Titre II – COMMISSIONS SYNODALES
Rapport de la Commission des ministères
Rapport de la Commission des Affaires générales
A - Rapport des commissions des ministères
A l’occasion du premier synode national de l’Eglise protestante unie de France, les commissions des
ministères de l’Eglise réformée de France et de l’Eglise évangélique luthérienne de France ont choisi
de présenter un rapport commun. En fonction jusqu’à ce synode, elles ont au cours de l’année écoulée,
chacune de leur côté et selon leur mission propre, suivi des personnes, pris des décisions et donné des
avis qui sont présentés dans la première partie de ce rapport. Elles ont travaillé sur des dossiers
communs et ont traité de questions particulières dont rendent compte les deuxième et troisième parties
de ce rapport, qui se conclura par une mise en perspective dans le temps et dans la reconnaissance.
I – BILAN DE L’ANNEE ECOULEE
Au cours de l’année écoulée, chaque CDM a tenu plusieurs sessions, au cours desquelles elle a pris
des décisions. Le mandat des CDM est différent, la CDM de l’ERF prenant des décisions tandis que
celle de l’EELF transmet un avis au conseil exécutif qui a autorité décisionnelle.
C’est pourquoi, dans un premier temps, cette partie présente séparément le bilan des deux CDM. Dans
un deuxième temps, une présentation plus détaillée des situations ministérielles est faite en commun
car les conditions de formation et d’exercice du ministère sont similaires.
1 – Des chiffres
Chaque CDM présente ici les décisions
principales qu’elle a prises.
Selon leur habitude, le bilan de la CDM-ERF
est celui de l’année civile, 2012 en
l’occurrence, et celui de la CDM-EELF est
celui de l’année écoulée d’un synode général à
l’autre.
conseil régional réformés, les inspecteurs
ecclésiastiques luthériens, le président du
conseil national, le secrétaire général, un
enseignant de l’IPT et un enseignant de la
faculté de Strasbourg. A ces sessions s’ajoutent
quelques réunions du « bureau » de la
commission, quatre membres qui rencontrent
un candidat pour faire le point avec lui, en
général après une décision négative.
En 2012, la CDM-ERF a tenu huit sessions, en
janvier, février, mars, avril, juin, septembre,
octobre et novembre. Chaque session
commence le vendredi en fin d’après-midi et
se termine le dimanche midi. La session de
février s’est déroulée à la faculté de
Montpellier, celle d’octobre à St Mathieu de
Tréviers près de Montpellier pour un week-end
de travail avec les étudiants en master 2
professionnel, et les autres sessions ont eu lieu
à Paris. La session de septembre a été
l’occasion d’un temps de travail avec le conseil
national, et en novembre la CDM a rencontré
pour une journée de réflexion les présidents de
Depuis le synode général de Belfort des 17-20
mai 2012, la CDM nationale de l’EELF s’est
réunie trois fois, les 13 juin, 17 octobre 2012 et
1er mars 2013. A ces trois réunions s’ajoutent
les rencontres mensuelles des sections
régionales de la CDM (Montbéliard et Paris)
qui permettent un accompagnement des
pasteurs et des autres ministres de notre Eglise,
et bien souvent de compléter le travail de la
CDM nationale.
1.1 – Décisions de la CDM-ERF
Les trois tableaux ci-dessous récapitulent les
décisions prises par la CDM-ERF en 2012.
Un candidat au ministère rencontre la CDM à
plusieurs moments de son parcours, en général
en année de licence 3 pour un avis avant
d’entrer en master, au cours du master 1 pour
une autorisation d’entrer en master 2
professionnel, et au cours de master 2 pour une
autorisation d’entrer en proposanat. Chacune
de ces rencontres est suivie d’une décision,
dont les deux tableaux ci-dessous rendent
compte pour ce qui concernent les entretiens
menés en 2012. Chaque entretien est précédé
d’un dossier transmis par le candidat, en
fonction de l’étape du parcours dans lequel il
se trouve.
400
Tableau 1 - Entretiens de la CDM-ERF en 2012 (voir le détail des décisions dans le tableau 2)
Années
1995
-2005
Moyenne
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
Total des entretiens de la
CDM
59
46
38
44
42
37
34
37
Autorisation master
19
12
14
16
19
9
10
14
Autorisation proposanat
18
15
11
12
7
13
13
6
Autorisation
ministres
venant d’une autre Eglise de
la Réforme
3
3
2
2
3
3
2
1
Décision autre
5
1
2
4
5
3
2
5
Non autorisation
14
15
8
10
8
9
7
10
Sans décision
2
Il y a eu un entretien avec deux décisions. Deux entretiens destinés à faire le point dans un parcours
étaient sans enjeu de décisionnel.
Tableau 2 - Détail des décisions de la CDM-ERF en 2012, après entretien
Détail des décisions après entretien
Entrée en master 1
Entrée en master 1 / master 2 professionnel
Entrée en master 2 professionnel
Entrée en proposanat
Entrée en proposanat dans un ministère spécialisé
Entrée en deuxième proposanat
Ministre venant d’une autre Eglise
Admission ministre venant d’une autre Eglise
Ministre associé
Reprise de ministère
Suffragance longue durée
Changement de fonction pour le ministère de « pasteur »
Le tableau ci-dessous rend compte d’une autre
série de décisions, que la CDM-ERF prend
sans recevoir l’étudiant, le proposant ou le
ministre pour un entretien avec l’ensemble de
la commission. Ces décisions peuvent être
informées par un ou plusieurs éléments qui se
OUI
6
1
7
5
1
NON
Sans décision
6
2
2
1
1
2
1
1
1
1
combinent : un dossier, un entretien avec le
président de la commission, un rapport
d’évaluation, un avis transmis par un conseil
presbytéral ou un conseil régional, le parcours
du proposant ou du ministre…
401
Tableau 3 - Décisions de la CDM-ERF en 2012, sans entretien, après évaluation sur le poste ou
entretien particulier et après rapports écrits et oral
Admission au ministère :
- après proposanat, comme pasteur
- après proposanat, comme aumônier des hôpitaux
- après période d’adaptation de ministre venant d’une autre Eglise, comme
pasteur
Proposanat :
- autorisation d’effectuer un deuxième proposanat
Changement de fonction :
- inscription au rôle dans la nouvelle fonction après période d’adaptation :
comme informateur régional
comme animateur jeunesse
comme aumônier des hôpitaux
- autorisation de changement de fonction avec période d’adaptation :
comme formateur en catéchèse
Suffragance :
- longue durée avec mandat de desserte
- courte d’été
OUI
NON
8
1
3
2
2
1
1
1
1
2
1
1.2 – Décisions de la CDM-EELF
La CDM-EELF a validé l’entrée en master 1 à
l’IPT de deux étudiants en théologie.
Elle s’est prononcée favorablement pour qu’un
étudiant effectue un proposanat dans l’Eglise
protestante unie de France.
2 – Des situations ministérielles diverses
Des ministres sont passés de l’ERF à l’EELF et
vice versa, ce qui est un sujet de
reconnaissance en ce temps qui précédait la
mise en place du rôle unique des ministres.
Ainsi, un pasteur et un proposant de l’ERF ont
commencé un ministère en 2012 dans l’EELF,
et trois ministres de l’EELF rejoindront une
région réformée en 2013.
Derrière les chiffres exposés plus haut, il y a
des situations humaines et ecclésiales diverses,
que nous détaillons ici en commun.
2.1 – Proposants
Dix proposants sont entrés en poste au 1er
juillet 2012 dans l’Eglise protestante unie de
France. Deux d’entre eux commençaient un
deuxième proposanat, sur un autre poste que le
premier, dans une autre région.
Huit d’entre eux sont proposants dans une
Eglise locale ou paroisse, en vue d’être admis
comme pasteurs. Les deux autres effectuent
leur proposanat sur un poste spécifique en vue
d’être admis pour l’un comme aumônier des
hôpitaux et pour l’autre comme informateur
régional.
La répartition des postes est la suivante : RP 2,
CLR 2, NN 2, CAR 1, Ouest 1, Inspection
Paris 1, Inspection Montbéliard 1.
La moyenne d’âge de ces proposants est de 37
ans ; le plus jeune a 25 ans et le plus âgé a 52
ans.
Quatre femmes et six hommes.
La moyenne d’âge et la répartition des sexes
sont dans la moyenne des années précédentes.
Les origines et parcours sont aussi, comme les
autres années, très divers :
Sept d’entre eux sont de nationalité française,
un tchèque, une allemande, une hongroise.
Trois d’entre eux sont nés dans une famille
appartenant à l’EPUdF (deux ERF et un
EELF), quatre dans une famille membre d’une
autre Eglise luthéro-réformée (Eglise de la
Confession d’Augsbourg d’Alsace-Lorraine,
402
Eglise réformée de Hongrie, Eglise
évangélique des Frères tchèques). Les trois
autres, issus du catholicisme, sont venus au
protestantisme par un cheminement personnel.
Etudes avant la théologie : BTS audio-visuel,
licence d’histoire, licence d’allemand, licence
sciences et techniques, biologie, maîtrise de
littérature-linguistique
allemande,
DEA
d’études philosophiques - études psychanalytiques.
Profession exercée avant de devenir
proposant : prêtre catholique, technicien du
spectacle, caissière, animateur périscolaire,
aumônier des hôpitaux, rédacteur de revue,
professeur d’allemand, animateur jeunesse.
Avant le master professionnel IPT, les études
de théologie ont été effectuées entièrement à
l’IPT pour cinq d’entre eux (dont, pour l’un,
une année de master 1 à Genève). Les autres
ont effectué une part de leurs études à la
faculté de théologie protestante de Strasbourg,
à l’université de théologie réformée de Pápa en
Hongrie, à la faculté catholique de Lyon. Un
proposant est docteur en théologie de l’IPT
(histoire moderne), un autre est docteur en
théologie de l’Institut Catholique de Paris. Un
proposant a effectué l’ensemble de sa
formation à Strasbourg, master professionnel
compris, avec l’accord de la CDM-ERF, en
effectuant toutefois son stage au sein de l’ERF.
2.2 – Ministres venant d’une autre Eglise
Trois ministres venant d’une autre Eglise ont
été inscrits au rôle des ministres de l’ERF,
après une période d’adaptation de deux ans. Ils
étaient auparavant respectivement pasteur de
l’Eglise évangélique vaudoise d’Italie (Chiesa
Evangelica Valdese), de la FJKM (Fiangonan' i
Jesoa Kristy eto Madagasikara – Eglise de
Jésus-Christ à Madagascar) à Madagascar et de
l’Eglise évangélique de Thuringe (Eglise
membre de l’Evangelische Kirche in
Deutschland – EKD).
Un pasteur de l’Eglise protestante unie de
Belgique – et auparavant pasteur au Canada – a
été inscrit au rôle des ministres de l’ERF après
avoir effectué une suffragance d’une année au
service d’un consistoire.
Après un temps d’adaptation, la CDM-EELF a
proposé l’agrégation au rôle des pasteurs de
l’EELF d’un pasteur venant d’une autre Eglise.
Originaire
de
l’Eglise
évangélique
presbytérienne du Togo, il est un ancien
envoyé de la Cevaa en Nouvelle Calédonie.
Tous les cinq ont été reconnus, consacrés ou
ordonnés dans le ministère dans leur Eglise
d’origine. Trois d’entre eux ont été accueillis
liturgiquement dans leur fonction de pasteur de
notre Eglise et les deux autres auront cet
accueil liturgique en 2013 (voir le tableau cidessous). Ils sont invités au synode de Lyon.
Tableau 4 - Accueil liturgique de ministres venant d’une autre Eglise
NOM
Date
Lieu
DENNIS Bruce
à venir
MERCURIO Stefano
30 septembre 2012
NENONENE Hope
à venir
RAZAFIMAHEFA Edmond
1er juillet 2012
URBAN Christine
14 octobre 2012
Deux ministres venant d’une autre Eglise, pour
qui la CDM-ERF avait donné respectivement
en 2010 et en 2011 une autorisation d’exercer
le ministère avec une période d’adaptation, ont
pris leur fonction en juillet 2012.
Il s’agit d’un pasteur de l’Eglise presbytérienne
des Etats-Unis (Presbyterian Church of U.S.A.
– PCUSA) nommé dans la région Est après une
Ministère
Région
Pasteur
SO
Pasteur
CLR
Pasteur
Montbéliard
Châtellerault
Pasteur
Ouest
Saint
Etienne
Pasteur
CAR
Lézan
année d’intérim dans la région CLR et un
pasteur de l’Eglise presbytérienne au Canada,
pasteur de l’Eglise protestante francophone de
Washington – Eglise membre de la CEEEFE,
Communauté des Eglises francophones
associée à la Fédération protestante de France,
nommé en région parisienne.
403
La CDM-ERF a rencontré un pasteur de
l’UEPAL (Union des Eglises protestantes
d’Alsace-Lorraine) qui avait commencé en
2009 une période d’adaptation sur un poste de
l’ERF, période interrompue pour graves soucis
de santé. Suite à cet entretien, la CDM a
autorisé ce ministre à entrer dans une nouvelle
période d’adaptation dans une autre Eglise
locale, à partir de juillet 2013.
La CDM-EELF a donné un avis favorable à un
pasteur de l’Eglise évangélique presbytérienne
du Togo pour exercer son ministère dans
l’Inspection de Montbéliard à la rentrée 2013.
Il est actuellement en poste à Rome, envoyé
Cevaa auprès de la communauté francophone.
Une ministre venant de l’église luthérienne de
Suède, est pasteur dans le Pôle Est de
l’Inspection de Paris, avec une implantation à
Pontault-Combault depuis 2011. Après ce
temps d’adaptation réussi, elle sera reçue
prochainement par la CDM de l’EPUdF en vue
de son agrégation au rôle des pasteurs de
l’EPUdF.
2.3 – Reprises de ministère
Deux anciens ministres de l’ERF, qui ne
figuraient plus au rôle, ont demandé à
reprendre l’exercice du ministère dans l’ERF.
La CDM-ERF a donné son autorisation pour
l’un d’entre eux qui, après avoir été pasteur de
l’ERF, était parti en 2002 pour raisons
familiales poursuivre son ministère dans
l’Eglise des Disciples du Christ aux EtatsUnis. Il a été nommé au 1er juillet 2012 dans
une Eglise locale en région parisienne. Un
autre ministre n’était plus inscrit au rôle depuis
2004 ; reçu fin 2011 par la CDM-ERF, il avait
été autorisé à reprendre le ministère et il a pris
ses fonctions au 1er juillet 2012 dans une Eglise
locale de la région parisienne.
Tous deux ont été réinscrits au rôle.
La CDM-EELF a demandé la réinscription au
rôle de ses pasteurs d’une pasteur qui n’y
figurait plus. Cette dernière a été nommée
rédactrice du journal « Echanges » de la
Région Provence Alpes Corse Côte d’Azur.
Elle a déjà assumé la fonction de rédactrice en
chef du journal « l’Ami chrétien » de
l’Inspection de Montbéliard. Elle a écrit des
articles pour diverses revues, en particulier
dans les Cahiers de la Réconciliation, revue du
Mouvement international de la réconciliation.
2.4 – Changements de fonction
La CDM-ERF intervient dans le processus de
changement de type de ministère.
d’une Eglise locale pour l’autre mi-temps) et
d’un équipier Cimade qui souhaite être pasteur
au sein d’une Eglise locale.
En 2012, elle a autorisé trois ministres à
changer de type de ministère, avec une période
d’adaptation de deux ans à partir du 1er juillet
2013 avant l’inscription de leur nouvelle
fonction sur le rôle des ministres. Il s’agit d’un
pasteur appelé à exercer le ministère
d’informateur régional, d’un pasteur qui sera
formateur en catéchèse à mi-temps (pasteur
A l’issue d’une période d’adaptation de deux
ans dans la nouvelle fonction, la CDM-ERF a
prononcé l’inscription au rôle de trois pasteurs
comme respectivement informateur régional,
animateur jeunesse et aumônier des hôpitaux.
2.5 – Ministres associés
ministre associé d’un pasteur de l’Eglise
protestante maohi (Tahiti), comme aumônier
des hôpitaux auprès des polynésiens en région
parisienne.
Elle a rencontré un pasteur de la PROK (Eglise
presbytérienne en République de Corée),
envoyé depuis 2009 par son Eglise au service
Un ministre associé est un ministre qui reste
ministre de son Eglise d’origine et qui, pour
quelques temps, se met au service de notre
Eglise, dans le cadre d’une convention entre
les deux Eglises.
En 2012, la CDM-ERF a émis un avis
favorable pour la prolongation du statut de
404
d’une communauté coréenne se réunissant à
Paris en lien avec une Eglise locale de l’ERF.
Elle a donné un avis favorable pour que son
ministère s’exerce avec le statut de ministre
associé ; sa mission s’inscrit ainsi dans le cadre
de l’accord de partenariat établi entre l’ERF et
la PROK depuis 2000.
2.6 – Suffragances
En 2012, une autorisation de suffragance d’un
an a été accordée par la CDM-ERF à une sœur
de Pomeyrol désirant, en accord avec sa
communauté et avec un conseil régional, se
mettre au service d’une Eglise locale.
Treize étudiants en théologie ERF ont effectué
un ou deux mois de suffragance dans une
Eglise locale.
L’EELF a accueilli deux étudiants en théologie
pour une suffragance d’été et un pasteur pour
une suffragance longue.
La CDM-ERF n’a pas accordé une suffragance
d’un an à un étudiant en théologie, estimant
que cette forme de service n’était pas
appropriée dans son cheminement vers le
ministère à ce moment de son parcours.
2.7 – Ordinations et reconnaissances de ministère
L’admission comme ministre suite à un
proposanat est suivie de la célébration
liturgique de reconnaissance du ministère dans
l’ERF, de l’ordination dans l’EELF. A partir
de cette année, ce seront des ordinations –
reconnaissances de ministère qui seront
célébrées. Il y en a eu douze en 2012.
Ces nouveaux ministres seront accueillis au
cours du synode national de Lyon.
Tableau 5 - Reconnaissances de ministère ERF en 2012
NOM
COLOMBIER Dominique
GIRARDEY Hugues
GRAND D’ESNON Philippe
LEVEILLE-BELUTAUD
Eléonore
LIBERMAN Nina
PERRIN-WILLM Geoffroy
SCHVARTZ Magalie
SEITZ Lilian
TONJE Juliette
Date
Lieu
Ministère
Aumônier des
hôpitaux
Région
9 septembre
La Rochelle
7 octobre
Grenoble
Pasteur
CAR
23 septembre
Versailles
Pasteur
RP
14 octobre
Saint Malo
Pasteur
Ouest
9 décembre
Bordeaux
Pasteur
SO
22 septembre
Nancy
Pasteur
Est
2 juin
Montauban
Pasteur
SO
23 septembre
Marseille
Pasteur
PACCA
4 novembre
Saint Brieuc
Pasteur
Ouest
Ouest
Tableau 6 – Ordinations au ministère pastoral EELF en 2012
NOM
DERUPT Aurélie
OPPERMANN Wulf
STENGEL-BLAIND Eliane
Date
Lieu
Ministère
Inspection
4 novembre
Montbéliard
Pasteur
Montbéliard
24 juin
Lyon
Pasteur
Paris
1er juillet
Paris
Pasteur
Paris
405
Eliane Stengel-Blaind quitte l’EELF pour un ministère pastoral dans l’UEPAL, dans la paroisse de
Butten. Elle prendra ses fonctions à la rentrée 2013.
II – DOSSIERS EN COMMUN
Au-delà des décisions qu’elles ont prises selon leur mandat propre, les deux CDM ont été attentives à
plusieurs dimensions de la vie de l’Eglise qui touchent au ministère. Les études de théologie, les
sessions de proposants et la réalité de l’exercice du ministère sont communs à l’ERF et à l’EELF ;
même si elles n’ont pas travaillé ensemble sur ces dossiers, les deux CDM les suivent en parallèle.
Elles ont également travaillé sur des dossiers communs plus concrets. Dans cette partie nous évoquons
ces différents points.
1 – Etudes de théologie
1.1 – Des étudiants
Chaque CDM a suivi les étudiants de « son »
Eglise, mais la formation des futurs ministres
de l’Eglise protestante unie de France se fait en
commun depuis très longtemps, dans le cadre
de l’Institut protestant de théologie, facultés de
Paris et de Montpellier. Quelques étudiants
font une partie de leurs études à la faculté de
Strasbourg. Les étudiants sont reçus à plusieurs
étapes de leur parcours, notamment en
troisième année de cycle de licence avant
l’entrée en master 1, puis durant le master 1
avant l’entrée en master 2 professionnel.
La cinquième année d’études, master 2
professionnel, s’effectue avec l’autorisation
préalable des CDM ; elle comporte un stage de
dix mois à mi-temps dans une paroisse, auprès
d’un pasteur. Durant l’année académique
2012-2013, onze étudiants sont en master 2
professionnel, dix de l’ERF et un de l’EELF.
Ils sont en stage dans différentes régions de
France (PACCA 4, CAR 2, CLR 2, RP 1, NN
1, Inspection de Montbéliard 1) et les sessions
mensuelles de reprise théologique ont lieu à la
faculté de Montpellier.
pour la première fois, un étudiant de l’EELF
participait à ce temps de partage. La CDMERF a revu en 2012 le programme de cette
rencontre, pour en faire un temps plus proche
d’une « retraite » que d’une session de
réflexion théorique, en accentuant la dimension
de partage autour du thème « vocation,
spiritualité,
ressourcement…
dans
le
ministère ». Cette session s’est déroulée en
octobre à St Mathieu de Tréviers près de
Montpellier, chez les Dominicaines du
Couvent de la Transfiguration.
Deux enseignants, un de l’IPT et un de la
faculté de Strasbourg, sont invités à chaque
session de la CDM-ERF : Thierry Legrand,
Marianne Carbonnier-Burkard, Elian Cuvillier,
Corina Combet-Galland, Gilles Vidal, Dany
Nocquet et Raphaël Picon ont pu ainsi
participer aux travaux de la commission, ce qui
est toujours très utile pour les entretiens avec
les étudiants, leur contribution aux réflexions
en cours et le lien avec les facultés.
Jacques-Noël Pérès a participé aux sessions de
la CDM-EELF, dont il est le vice-président.
Chaque année depuis près de trente ans, la
CDM-ERF organise un week-end avec les
étudiants en dernière année d’études. En 2012,
1.2 – Un parcours théologique
1.2.1 – Cinq années d’études
Au cours de sa session de septembre 2012, la
CDM-ERF a eu un temps de travail avec les
comités directeurs, le président de la CDMEELF, le président de la commission du master
professionnel et deux membres de la
commission académique, autour de la question
de la formation théologique des futurs
ministres de notre Eglise, et notamment du
master. Elle a pu exprimer sa reconnaissance
pour la formation dispensée par l’IPT aux
406
futurs ministres de notre Eglise et partager les
questions qui lui semblent importantes.
théologie au lieu de cinq. Cela est peut-être
important pour permettre à davantage
d’étudiants de s’inscrire, mais cela se fait au
détriment du cheminement théologique et du
mûrissement personnel.
* Le cursus d’étudiants qui passent dans
plusieurs facultés élargit le paysage, les
entrées, les cultures, mais peut se faire à
l’encontre de la cohérence d’un parcours ; des
pans entiers de théologie peuvent ne pas avoir
été rencontrés.
* Le développement des études à distance
permet à des étudiants d’obtenir une licence (et
bientôt un master dans certaines facultés
francophones) sans fréquenter la faculté. Cela
facilite les inscriptions des étudiants qui
exercent une profession ou qui vivent ailleurs,
mais ne permet pas de vivre ce qui est essentiel
en théologie : la confrontation à un enseignant
et à d’autres étudiants, pendant les cours mais
aussi en dehors, l’immersion dans le « bain »
théologique.
Le fait que la formation dure cinq ans est
essentiel car, au-delà de la culture théologique
et méthodologique acquise, il s’agit de mûrir
théologiquement. Si les compétences sont
validées académiquement, par la licence puis
par le diplôme de master – le mémoire est une
étape importante de cette capacité à être
théologien – il importe aussi que le futur
ministre ait pu digérer ce qu’il a appris pour
advenir à une parole habitée, un « je »
théologique. Ces cinq années permettent à
l’étudiant de traverser les quatre domaines
classiques de la théologie : biblique, historique,
systématique et théologie pratique, avant de
choisir celui dans lequel il va approfondir son
travail, en particulier pour son mémoire.
La théologie est centrale dans l’exercice du
ministère car elle est fondamentale comme
cœur de la vie de l’Eglise. Elle irrigue la
prédication et l’enseignement, mais aussi
l’écoute, l’animation, l’organisation… le
« sens » de ce que l’on fait – dans les trois
dimensions de ce terme : ce que l’on ressent,
ce que cela veut dire, la direction que l’on
prend… C’est pourquoi il importe de garder la
théologie comme centre de la formation des
futurs
ministres.
Cela
n’exclut
pas
l’apprentissage ou l’approfondissement de
compétences techniques – écoute, oralité,
animation, organisation… – mais les englobe.
La formation ne doit pas être utilitariste, portée
sur des savoir-faire, mais une formation
théologique axée sur un savoir et un savoir-être
théologiques. Une partie de la formation en
termes de compétences relationnelles ou
professionnelles peut s’acquérir en dehors de la
faculté : Bafa, théâtre, engagements personnels
dans l’Eglise, responsabilités associatives,
compétences venant de l’exercice d’une autre
profession...
Trois points questionnent :
* Les équivalences données en fonction des
diplômes obtenus précédemment dans d’autres
disciplines font qu’un étudiant peut voir son
parcours à la faculté réduit d’un à deux ans, et
donc faire parfois trois ans d’études de
Ces trois dimensions se développent et
appellent à être vigilants, notamment parce que
l’hétérogénéité des parcours et des origines
fragilise sur deux plans, celui de l’insertion
dans la culture de notre Eglise et celui de la
formation de liens entre futurs ministres. Nous
ne sommes plus dans la configuration
d’étudiants ayant baigné depuis toujours dans
l’ERF et dans l’EELF, se connaissant par les
mouvements de jeunes et naturellement à l’aise
dans la théologie luthéro-réformée comme
dans le fonctionnement de leur Eglise…
La CDM perçoit parfois un manque
d’appétence de certains candidats à la
réflexion, la découverte, l’invention, la
proposition théologiques. Il nous semble que
cela ne reflète pas une carence de
l’enseignement mais révèle l’air du temps :
nous ne sommes pas dans une génération
d’affrontements idéologiques et de références
intellectuelles par rapport auxquelles il faudrait
se situer, mais plutôt dans un temps de
pragmatisme ou d’expérience personnelle.
Cela ne concerne pas que l’Eglise, mais cela la
touche puisqu’elle vit dans son temps !
1.2.2 – Le master 2 professionnel
A cet égard, l’articulation spécifique du master
2 professionnel entre pratique et théologie est
plus que jamais indispensable. Les cinq années
de théologie forment des théologiens, futurs
407
pasteurs de notre Eglise, mais pas uniquement.
La dernière année est plus spécifiquement axée
sur le ministère. C’est la dernière année de
formation initiale avant l’entrée en proposanat,
où beaucoup de choses se récapitulent et se
mettent en place dans la perspective
ministérielle. C’est pourquoi un étudiant ne
peut entrer en master 2 professionnel qu’avec
l’autorisation de la CDM.
théologie pratique, ainsi que dans leur propre
dynamique de groupe ; le groupe est un
élément essentiel de la formation. L’alternance
stage/sessions est très utile à l’élaboration en
va et vient entre théorie et pratique, réalité de
l’Eglise et théologie.
L’année de master 2 professionnel est dense
pour les étudiants, à la fois en temps et en
implication personnelle. Il y a le stage, les
sessions mensuelles de reprise en faculté, le
travail théologique de validation, la rédaction
du mémoire. Et puis les rencontres avec la
CDM, l’écriture d’un commentaire personnel
de la Déclaration de foi de 1938 (pour les
candidats ERF ; dans l’EPUdF ce sera un
commentaire de cette Déclaration ou d’un livre
symbolique luthérien) et la rédaction d’un
projet ministériel, une rencontre avec le
secrétaire
général,
une
proposition
d’affectation, une visite au conseil presbytéral
concerné, l’organisation d’un déménagement… Le ministère sera dense aussi, très
vite.
C’est une année charnière entre la théologie et
le ministère. Elle revêt donc une importance
particulière : ce qui a été appris jusque-là peut
se s’épanouir en capacité à être soi-même
théologien ; elle est un moment d’affinement
du goût pour une réflexion théologique à
poursuivre tout au long d’une vie ; elle prépare
à l’exercice du ministère.
On constate le bénéfice de cette année qui
révèle à beaucoup le théologien qu’ils sont et
le pasteur qu’ils seront – ou non. Cette
révélation se fait par l’insertion en stage auprès
d’un pasteur, et par les temps de sessions de
reprise théologique à la faculté… plus encore,
par l’articulation entre les deux.
Le fait que le stage soit en dernière année n’est
pas l’idéal sur trois points.
* Cela ne permet pas le retour en faculté pour
se replonger dans une théologie mûrie – voire
modifiée – par l’expérience et prendre du recul
avant d’entrer dans le ministère.
* Cela conduit pour certains à finaliser leur
mémoire en catastrophe – il faut l’avoir rendu
pour pouvoir entrer en proposanat.
* Le calendrier ecclésial – proposition
d’affectation fin mars – contraint la CDM à
rencontrer les candidats lors de ses sessions de
fin janvier et de mi-février, au milieu de leur
stage, quand ils finissent une période
d’observation mais n’ont pas encore eu le
temps d’en tirer tous les bénéfices.
Il est important que ce soit une année de
théologie et non une année d’apprentissage de
savoir-faire professionnel. Certes, l’insertion
en stage permet de découvrir ou approfondir
des aspects concrets de vie de l’Eglise, de
pratique pastorale, de dynamique de groupe,
prise de parole, animation, écoute… Les
intervenants spécialisés dans les sessions à la
faculté viennent compléter ces dimensions.
Mais l’intérêt profond est que cela nourrit une
réflexion théologique. Il s’agit de penser en
articulation avec la réalité. Cela est
fondamental, tant pour la théologie que pour la
vie d’Eglise.
La durée de stage est essentielle, une année
entière (septembre-juin) permet de voir une vie
d’Eglise sur la durée et de peaufiner son travail
théologique sur plusieurs mois. Les dix
sessions à la faculté permettent aux étudiants
de
travailler
théologiquement,
avec
l’enseignant responsable du master 2
professionnel et les autres enseignants en
La CDM est bien consciente que cela est
compliqué par l’harmonisation européenne du
système LMD (Licence-Master-Doctorat)
mais, selon son regard, un stage en quatrième
année, suivi d’une année entièrement à la
faculté, serait plus bénéfique pour les futurs
ministres de notre Eglise.
408
2 – Formation des proposants et MVAE
Les proposants et les ministres venant d’une
autre Eglise en période d’adaptation participent
à trois sessions de cinq jours chacune. Depuis
plusieurs années ces sessions sont communes
aux proposants de l’ERF et de l’EELF. Sous la
responsabilité de la CDM-ERF, elles sont un
temps de prise de recul sur le vécu quotidien,
pour avancer vers plus d’assurance dans
l’exercice du ministère.
conflits, l’écoute, l’autorité. Les proposants ont
pu rencontrer les présidents du conseil national
de l’ERF et du conseil exécutif de l’EELF, le
trésorier du conseil national, sœur Evangéline,
Bernard Dugas, Hervé Ott, Christian Galtier.
La question du temps et de l’organisation a été
intégrée dans le programme des sessions. Il
sera sans doute nécessaire de consacrer à
nouveau une partie de cette formation à un
travail pratique de prise de parole en public,
avec un comédien.
Elles s’organisent selon trois axes :
* une visée ecclésiale : connaissance de
l’institution, de ses règles, de la déontologie
particulière à un ministre du culte.
* une visée pratique : découvertes et réflexions
sur des outils de travail, écoute, prise de
parole, gestion des conflits, gestion de son
temps, etc.
* une visée personnelle : travail sur l’identité et
la fonction, partage d’expérience.
Le président de la CDM-ERF a passé une
journée avec les proposants à chacune de ces
sessions, pour un temps de travail avec
l’ensemble du groupe et un moment de
rencontre individuelle avec chacun.
Chaque année, lors de sa session de février à
Montpellier, la CDM-ERF a un temps de bilan
et de réflexion avec les animateurs des sessions
de proposants et le directeur du master
professionnel, ce qui permet d’articuler ces
deux temps de formation.
En février 2013, le président de la CDM-EELF
a participé à cette rencontre.
En 2012, douze proposants ont participé à ces
sessions. Les deux animateurs de ces sessions
sont les pasteurs Françoise Pujol et Stephen
Backman. Les intervenants principaux font
travailler sur le sens du ministère,
l’organisation du temps, la question des
3 – Temps sabbatique
La CDM-ERF réfléchit depuis 2009 à une
possibilité de temps sabbatique pour les
ministres, qui pourrait être une pause de
quelques mois tous les dix ans afin de leur
offrir une occasion de ressourcement. Un
projet a été travaillé avec le conseil national de
l’ERF en 2010 et soumis à la CDM-EELF
début 2011, avant d’être présenté au synode
national ERF d’Orléans en mai 2011 et
rediscuté avec les comités directeurs. Un
groupe de travail a été mis en place pour
peaufiner ce projet ; il est constitué de
Christian Baccuet et Dominique Hernandez
(CDM-ERF), Béatrice Gourlan et Pascal
Hubscher
(CDM-EELF),
Marie-Hélène
Bonijoly et Bertrand de Cazenove (conseil
national).
Le projet a été soumis aux comités directeurs
le 24 mars 2013 et sera proposé pour avis aux
synodes régionaux de l’automne 2014, en vue
d’une décision du synode national 2015.
4 – Liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère pour un pasteur
et de reconnaissance de ministère pour un ministre admis dans un ministère spécifique
Dès cette année 2013, les nouveaux pasteurs de
l’Eglise protestante unie de France vont vivre
leur ordination – reconnaissance de ministère
et les nouveaux ministres admis dans un
ministère
spécifique
vivront
leur
reconnaissance de ministère.
Pour manifester qu’ils sont ministres de la
même Eglise, il a paru important aux deux
CDM qu’une liturgie commune puisse être
célébrée lors de ces cultes de fête,
d’engagement, de prière, d’envoi. Jusqu’à
présent les textes de référence pour ces cultes
sont la liturgie de reconnaissance de ministère
409
pour l’ERF (1988) et la liturgie d’ordination au
ministère pastoral pour l’EELF (2007). Les
CDM ont travaillé un projet de liturgie
commune d’ordination – reconnaissance de
ministère pour les nouveaux pasteurs de
l’EPUdF et de liturgie de reconnaissance de
ministère pour les ministres admis dans un
ministère spécifique. Après échanges avec les
comités directeurs, ce projet est présenté au
synode national de Lyon, en vue de son
utilisation avant l’adoption d’une liturgie de
référence par le synode national 2017.
Un rapport spécifique figure dans le dossier
synodal.
5 – Réflexion avec les présidents de conseil régional et les inspecteurs ecclésiastiques
Le 24 novembre 2012, une journée de travail a
rassemblé la CDM-ERF et les présidents de
conseils régionaux ERF, les inspecteurs
ecclésiastiques EELF, le président du CN, le
secrétaire général ainsi que Raphaël Picon (IPT
Paris) et Thierry Legrand (Faculté de
Strasbourg) ; le président de la CDM-EELF
était excusé.
changé, les recompositions structurelles de
l’Eglise, les personnes en lien avec l’Eglise qui
sont de moins en moins issues du monde
luthéro-réformé et ont parfois peu de bases
bibliques ou théologiques.
Le mode de fonctionnement de l’Eglise est à
travailler, notamment dans son rythme
hebdomadaire qui ne correspond plus aussi
bien qu’avant à la vie de ceux qui fréquentent
ses activités et ses cultes.
Cette rencontre, dense en contenu et riche en
qualité de partage, a été l’occasion d’un
échange profond sur la réalité de notre Eglise
dans ce qui touche à l’exercice du ministère
pastoral, pour pointer les questions à travailler
en ce qui concerne l’Eglise, le ministère, la
formation et l’accompagnement des ministres,
le discernement confié à la CDM.
Quel sera donc le ministère de demain ? Si les
dimensions de partage de l’Evangile et de
rencontres fraternelles restent centrales, alors
un travail sur le vocabulaire et le langage pour
une prédication adaptée semble tout à fait
nécessaire, de même qu’une vigilance sur la
relation comme dimension essentielle de la vie
en Eglise et donc du ministère pastoral,
relation qui ne doit pas être remplacée par une
communication virtuelle gardant le pasteur
captif de (ou protégé par) son écran
d’ordinateur.
Les conditions et la façon d’exercer le
ministère varient, ce qui tient à la fois à la
personnalité des ministres, à leur façon de
vivre leur vocation, à leurs origines culturelles
(MVAE, ministres d’origine urbaine en milieu
rural, ministres jeunes avec des paroissiens
plus âgés...) mais aussi à d’autres réalités que
sont le rapport au temps, aux rythmes, à
l’espace, au service, à la relation plus ou moins
aisée à l’autre, au travail en équipe avec les
collègues, avec les ministères locaux, avec le
conseil presbytéral. Le ministère attendu reste
globalement assez classique, celui d’un pasteur
généraliste assurant l’essentiel des tâches
pastorales dans sa paroisse – cultes, catéchèse,
visites, actes pastoraux – mais il peut être très
différemment habité selon les lieux, il ne se vit
pas de la même manière en grand centre
urbain, en secteur en restructuration ou en
région de grande dissémination.
Tout en notant que l’Eglise vit des cycles et
que ceux-ci se modifient régulièrement pour
revenir à un point d’équilibre, un maintien des
critères fondamentaux de discernement est
important, avec probablement certaines
accentuations sur l’esprit de service, le sens
relationnel, le désir essentiel de partager
l’Evangile... Si « Dieu donne à l’Eglise les
ministres dont elle a besoin », les formes
d’exercice du ministère varient et font aussi
évoluer l’Eglise, de même que la diversité des
pasteurs.
Il s’agit aussi de continuer à réfléchir sur la
formation initiale des futurs ministres pour y
favoriser certaines dimensions essentielles – le
sens de la vie communautaire par exemple –
qui s’exprimeront dans la façon d’habiter
ensuite le ministère. Devant la nécessité très
Quelques points de réflexion à poursuivre ont
été relevés.
Le ministère pastoral évolue selon les lieux,
selon les modes de vie sociétale qui ont
410
actuelle du travail en équipe (thème qu’il
faudrait reprendre pour le problématiser), il
serait utile de repenser une théologie pastorale
intégrant cette dimension du travail
« ensemble ».
Une réflexion sur l’accueil des ministres
venant d’une autre Eglise a permis de pointer
les temps et conditions nécessaires pour les
aider à vivre, selon les origines, le saut culturel
d’un pays et d’une Eglise parfois très éloignés
dans leur fonctionnement des nôtres, vers
l’Eglise protestante unie de France dont les
enjeux et les codes demandent une véritable
démarche de compréhension et d’adaptation.
La
rédaction
d’un
vade-mecum
d’accompagnement administratif des MVAE a
été mise en œuvre.
La formation des conseillers presbytéraux et
présidents de conseil presbytéral est également
fondamentale, tant comme lieu de partage et
d’encouragement que comme lieu de prise de
conscience de la dimension vocationnelle et
spirituelle de ces engagements dans un
ministère collégial.
6 – Rencontre des responsables francophones des ministères à Montbéliard
Chaque année, les responsables des ministères
des Eglises françaises, belges et suisses se
rencontrent pour trois jours de réflexion autour
de la question des ministères : présidents de
CDM, secrétaires généraux, responsables de la
formation permanente de l’Eglise protestante
unie de France, de l’UEPAL (Union des
Eglises protestantes d’Alsace et de Lorraine),
de l’EPUB (Eglise protestante unie de
Belgique), de l’Eglise protestante de Genève,
de l’Eglise évangélique réformée du canton de
Vaud, de l’Eglise réformée évangélique du
canton de Neuchâtel, de l’Union synodale
Berne Jura et de l’Eglise réformée évangélique
du Valais.
octobre à Montbéliard sur le thème « gestion et
spiritualité ». Après les deux rencontres
précédentes qui étaient trop axées sur une
vision de l’Eglise comme une entreprise à
manager, cette rencontre a été particulièrement
riche dans le partage autour de la dimension
spirituelle de l’exercice du ministère, au-delà
des questions concrètes d’accompagnement
des ministres et de leur parcours et de gestion
des ressources humaines de l’Eglise.
Les contextes, les enjeux et les défis sont très
différents d’une Eglise à l’autre mais ces
rencontres permettent aux responsables de
partager des questions transversales et de
mieux se connaître, ce qui favorise les relations
en cours d’année.
En 2012, c’était le tour de l’EPUdF d’accueillir
cette rencontre, qui s’est tenue du 24 au 26
III – DOSSIERS SPECIFIQUES
Chaque CDM a pu également suivre des dossiers spécifiques au cours de l’année écoulée. Cette partie
rend compte de quelques dossiers qui sont autant d’éléments de réflexion.
1 – CDM-ERF
1.1 – D’« évaluation » à « bilan »
évaluation inclut la connaissance que la CDM
a du futur ministre, les rencontres avec lui et
avec le conseil ecclésial responsable de son
poste, ainsi que l’avis du conseil régional.
Pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, dans une
société où la dimension d’évaluation tend à
prendre de plus en plus de place et de
radicalité, la CDM a choisi d’utiliser le terme
« bilan » pour les temps de consultation du
conseil presbytéral, plutôt que le terme
« évaluation » qui pouvait laisser entendre que
c’était au conseil presbytéral d’évaluer le
Durant le proposanat – ou la période
d’adaptation d’un ministre venant d’une autre
Eglise –, la CDM exerce sa responsabilité de
discernement. Elle est responsable de
l’évaluation du ministère du proposant ou du
ministre venant d’une autre Eglise, en vue de
leur admission.
Cette « évaluation » – au sens étymologique
d’« extraire la valeur » – est essentielle, elle
concerne un ministère dans son exercice au
sein d’une communauté ecclésiale. Cette
411
ministère du proposant ou du ministre venant
d’une autre Eglise.
conseil régional rencontre le conseil
presbytéral, et elle recueille l’avis du conseil
presbytéral lors d’une rencontre destinée à
faire le « bilan final » du proposanat ou de la
période d’adaptation ; le conseil régional est
associé à ces temps de mise en place et de
bilan et transmet aussi son avis à la CDM.
C’est la CDM qui évalue, et dans le processus
d’évaluation elle rencontre le conseil
presbytéral lors d’une « visite de mise en
place », elle reçoit le compte-rendu d’un
« bilan intermédiaire » au cours duquel le
1.2 – BAFA - BAFD
Dans le cadre de la préparation au ministère, la
CDM incite les étudiants à suivre la formation
au BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions
d’animateur) et si possible au BAFD (Brevet
d’aptitude aux fonctions de directeur). Ces
diplômes sont importants pour l’encadrement
d’activités
jeunesse,
mais
plus
fondamentalement sont l’occasion d’une bonne
formation à l’animation de groupe, la conduite
d’une activité, la mise en place d’un projet, le
travail en équipe, et une initiation à la
psychologie de l’enfant et de l’adolescent ainsi
qu’aux aspects règlementaires et légaux. Même
si le futur ministre ne se destine pas à être
animateur jeunesse ou directeur de camps
d’enfants ou d’adolescents, cette formation le
sensibilise à la dynamique de tout groupe
humain et s’avèrera utile dans l’exercice du
ministère.
La CDM n’a pas souhaité rendre ces
formations obligatoires, mais elle constate que
peu d’étudiants les suivent. Une incitation plus
forte et une explication plus claire des enjeux
du ministère sont sans doute à mettre en
œuvre.
1.3 – Supervision
Un vœu du synode régional Ouest de l’ERF,
réuni à Barbezieux du 19 au 21 octobre 2012,
« demande au conseil national et à la
commission des ministères de donner les
moyens aux ministres qui le souhaitent de
bénéficier d’une supervision individuelle ou
collégiale, ceci pour renforcer la cohérence de
l’exercice de leur ministère avec les
engagements pris lors de leur ordinationreconnaissance
de
ministère :
« Vous
poursuivrez votre formation spirituelle,
théologique, humaine. Ainsi, vous aurez à
cœur de renouveler l’élan de votre ministère ».
(Par exemple : - une liste de personnes
ressources disponible au secrétariat régional, possibilité
de
conversion
du
crédit
documentation semestriel pour financer cette
supervision.) ».
gnement des ministres et le soutien éventuel de
la part d’instances régionales, nationales ou de
partenaires pour les accompagnements
spécifiques du type supervision, en fonction
des situations.
Elle rappelle qu’un accompagnement est mis
en place dans le cadre du proposanat et de la
période d’adaptation d’un ministre venant
d’une autre Eglise : sans être de l’ordre de la
supervision, il est une proposition de partage
régulier avec un « pair » – pasteur ou membre
engagé de l’Eglise ayant de l’expérience et du
recul –, dans la confiance et la confidentialité,
pour pouvoir mettre en perspective ce que l’on
vit, déposer un fardeau, comprendre mieux ce
qui se joue dans telle ou telle dimension de son
ministère. Certains proposants en retirent
beaucoup de bienfait. Cette relation pourrait
être prolongée au-delà du proposanat. Et
chaque ministre pourrait entrer, de sa propre
initiative, dans une relation de confiance et de
partage avec un collègue de son choix.
La CDM renvoie au rapport de gestion du
conseil national présenté au synode national
2012, qui répondait à un vœu similaire en
distinguant plusieurs niveaux d’accompa-
412
2 – CDM-EELF
2.1 – Commission régionale d’accompagnement des ministères
Un vœu du synode général de Belfort (17-20
mai 2012) portait sur l’éventuelle mise en
place
de
commissions
régionales
d’accompagnement des ministères (CORAM)
et précisait que celle-ci pourrait concerner
aussi les pasteurs.
Eventuellement un groupe chargé de résoudre
un conflit à la demande du conseil régional
mais pas nécessairement.
Chaque Région est libre de créer une
commission régionale d’accompagnement des
ministères ou pas, et de la constituer de façon
différente avec des missions particulières.
Ses objectifs :
Recevoir et accompagner les proposants, les
étudiants en théologie, les prédicateurs, les
catéchètes et pourquoi pas aussi les présidents
de conseil presbytéral.
Elle pourrait être sollicitée pour donner un avis
avant de reconnaître liturgiquement les
prédicateurs (reconnaissance au niveau
régional, formation préalable).
Etre un lieu collégial d’écoute et
d’accompagnement des ministres qui le
demandent.
Composition :
La commission et son président pourraient être
nommés par le conseil régional. Le président
de la commission jugera de la nécessité ou
non de la présence de l’inspecteur
ecclésiastique. Ce dernier serait donc invité
pour telle ou telle circonstance et serait tenu
informé des questions traitées. L’inspecteur
ecclésiastique ne doit pas présider cette
commission.
2.2 – Rôle des pasteurs
La CDM-EELF a étudié le rôle des pasteurs de
l’EELF.
Elle l’a envoyé au conseil exécutif et ce dernier
l’a validé.
IV – VERS LA CDM DE L’EGLISE PROTESTANTE UNIE DE FRANCE
La CDM de l’Eglise protestante unie de France
sera élue au cours du synode national de Lyon.
Dans la suite de la décision 8 du synode
national / général extraordinaire de janvier
2011 à Paris, reprise dans la Constitution
(notamment dans l’article 22), elle aura comme
responsabilité principale de prononcer
l’admission des candidats aux ministères
personnels de l’Union, pasteurs et ministres
admis dans un ministère spécifique.
Dans ce cadre, elle suivra le parcours des
candidats durant leurs études et jusqu’à leur
admission à la fin de leur proposanat, ainsi que
les ministres venant d’une autre Eglise jusqu’à
leur admission à la fin de leur période
d’adaptation. Elle aura la responsabilité
d’autoriser les changements de type de
ministère et de suivre les ministres concernés
jusqu’à leur inscription au rôle dans le nouveau
ministère à la fin de leur période d’adaptation.
Elle aura à donner son autorisation dans le cas
d’une reprise de l’exercice du ministère par un
ancien ministre ne figurant plus au rôle. Elle
donnera un avis dans le cadre de la venue d’un
ministre associé. Elle autorisera les
suffragances.
Elle contribuera également à la réflexion de
l’Eglise sur le ministère et les ministères.
Pour l’EELF, cela changera sur trois points
principaux. La CDM-EELF transmettait un
avis au conseil exécutif, alors que la CDM de
l’EPUdF prendra des décisions. Après leur
admission, les ministres ne seront plus suivis
par la CDM mais par les conseils régionaux et
le secrétaire général. Il n’y aura plus de
sections régionales de la CDM.
En vue du passage de deux CDM à une seule,
les deux présidents des CDM ont depuis un an
coordonné les dossiers de candidature en
cours, pour éviter les doublons et permettre
aux candidats de passer d’une période à une
autre sans dommage. Les calendriers de
décision ont été harmonisés.
Le président de la CDM-EELF a été invité à la
session de la CDM-ERF à Montpellier les 1516-17 février 2013, et le président de la CDM-
413
ERF a été invité à la session de la CDM-EELF
à Dijon le 1er mars 2013. Ces invitations
croisées ont permis de mesurer quelques
différences de fonctionnement mais surtout la
proximité des éléments de discernement et de
réflexion, ce qui donne toute confiance dans le
fonctionnement de la nouvelle CDM !
V – RECONNAISSANCE
Pour terminer ce rapport commun des CDM de
l’ERF et de l’EELF, que soit ici exprimée la
reconnaissance de nos Eglises pour
l’engagement des membres sortants qui ne se
représentent pas pour un nouveau mandat au
sein de la CDM :
Jean-Pierre Gardelle, Pierre Usal, Corinne
Charriau (ERF),
Joël Dautheville, Jean-Frédéric Patrzynski,
Daniel Bouyssou, Marianne Frost, Samuel
Guinard, Elisabeth Jaquard, Pascal Hubscher,
Marc Ortlieb, Georges Mettetal, Mayanga
Pangu, Jacques-Noël Pérès, Mary RakotovaoSchwartz, Joachim Schmoll (EELF).
In fine, mais cela aurait pu être écrit avant
toutes choses au début de ce rapport, notre
reconnaissance va au Seigneur qui appelle des
hommes et des femmes à son service dans
notre Eglise, dans différents types de
ministères, missions, engagements, localement,
collégialement,
personnellement.
Il
accompagne les ministres au cours de leur
formation et dans l’exercice de leur ministère,
comme il accompagne notre Eglise, ses
membres, ses paroisses, Eglises locales,
groupes, ses lieux d’engagement et de
témoignage, ses temps de service et de vie,
dans un partage sans cesse renouvelé de
l’Evangile. C’est dans l’humilité et la
confiance qu’à chacune de leurs sessions, dans
la prière, les membres des CDM demandent à
Dieu d’inspirer leurs décisions qui, avec toute
l’attention nécessaire, faite de bienveillance et
de lucidité, se prennent dans le souci fraternel
tant des personnes rencontrées que de l’Eglise
qui sera, le cas échéant, le lieu d’exercice de
leur ministère.
Une reconnaissance particulière va à Evelyne
Ratti, qui a travaillé pendant 10 ans à mi-temps
comme secrétaire administrative de la CDMERF, avec discrétion et sens du service ; son
engagement a pris fin au moment de son départ
en retraite en février 2013. Bienvenue à
Laetitia Collin qui lui succède.
414
B - Rapport de la Commission des Affaires Général
La commission des affaires générales (CAG) tient à rappeler sa mission fixée lors du synode national
de Mulhouse en 1962 qui décida de confier à la commission des affaires générales un rapport
d’examen de la gestion du conseil national (Décision 47) et l’autorisa à ne pas limiter son rôle aux
seules questions soulevées par le rapport de gestion du conseil national (décision 48).
Pour établir ce rapport, la CAG s’est réunie le 26 avril rue de Clichy. Elle a ainsi pu rencontrer le
président du conseil national (CN) Laurent Schlumberger, le secrétaire général Bertrand de Cazenove
et trésorier national Daniel Gaubiac. Notre étude des différents dossiers a suscité entre nous des
discussions périphériques à la mission de la CAG et nous souhaitons aux délégués synodaux des
débats de même nature.
Cette année, nous avons modifié la présentation de notre rapport. Vous ne retrouverez pas toute
l’énumération des différents documents tels que vous les avez reçus. Nous avons voulu surtout attirer
votre attention sur des points qui nous ont semblés importants et vous inciter à lire les dossiers
envoyés.
REMARQUES GENERALES :
Au préalable, nous tenons à souligner qu’il est important d’avoir la nouvelle constitution proche de
vous pour comprendre des rapports. Cette constitution est disponible soit dans votre Eglise/Paroisse
soit téléchargeable sur le site internet de l’Eglise protestante unie de France (adresse : www.egliseprotestante-unie.fr > « Qui sommes-nous ? » > Constitution).
Nous rappelons que de nombreux synodaux seront nouveaux et par conséquent, les documents doivent
pouvoir être lisibles et compréhensibles par tous.
Nous attirons l’attention des synodaux à bien respecter le classement des différents dossiers et surtout
à faire la distinction entre : rapports, annexes et documents d’information.
Le rapport du conseil national rend compte de son activité au synode.
Les annexes du rapport et les rapports des différents services dépendant du conseil national rendent
compte des activités portées par le conseil national soit directement soit par un de ses services.
Les notes d’information restituent l’état des lieux de l’Eglise à un moment donné.
Ainsi, une introduction didactique à chaque rapport des commissions est utile comme par exemple
celle du rapport des « Relations internationales ». Il sera également utile de lire l'article 12 de la
constitution sur les attributions du conseil national et des commissions synodales et coordinations
nationales.
TITRE I : Points relevés
Le document introductif en 4 points est toujours bien apprécié et permet d’avoir une clef de lecture
rapide des rapports.
Un conseil : prenez le temps de lire le rapport du conseil national dense et précis qui est le reflet de
notre vie d’Eglise. A la lecture de ce rapport :
Réactivité et débat synodal : § 114 page 3 explique la proposition de l’annexe 9. S’il est évident qu’il
est difficile (et pour notre Eglise en particulier) de « marcher dans un monde qui court », malgré tout,
la réactivité demandée par le synode national au conseil national ne doit pas court-circuiter le débat en
synode régional. Par ailleurs, vu le peu de temps prévu pour le débat sur la fin de vie dans l’ordre du
jour (1 h 30), nous vous suggérons de préparer à l’avance vos modifications ou amendements à ce
texte proposé et qui ainsi alimenteront de manière constructive ce sujet synodal. Il appartient
également au synode national de décider quel sera l'usage de ce texte (diffusion vers les Églises
locales, base pour un travail des synodes régionaux, etc.)
415
Calendrier synodal : §126 page 5 : le synode national souhaite-t-il indiquer au conseil national des
priorités parmi la liste des sujets exposés ? Cela pourrait être l'objet de vœux.
La CAG souhaite que soit précisé le rôle des groupes de travail (§ 24 page 7 du rapport du CN) c’està-dire alimenter la réflexion des conseils presbytéraux, des synodes régionaux et du CN par un travail
de veille et non définir la parole de l’EPUdF sur ces questions sociétales.
Il est constructif de voir que même un vœu non voté par le synode peut alimenter une réflexion du
conseil national (voir § 15 page 3 pluri-appartenance).
La communication de l’Eglise protestante unie : § 23 page 6 : quel rôle sera celui de la conférence des
Présidents de région dans l’organisation de la communication interrégionale?
Création de postes décidés par les synodes régionaux : § 329 page 10 : le SN pourrait-il être informé
sur ces créations ? Les représentants des régions concernées pourraient témoigner. Par ailleurs, la
CAG a été informée des suppressions de postes par le secrétaire général (cf. projet de décisions)
Editions OLIVETAN § 63 page 15 : le SN pourrait-il connaître le montant de l’apport régulier pour
son retour à l’équilibre ?
Les annexes :
Réponses aux vœux : la réponse du CN au vœu page 2 induit-elle que les Eglises/Paroisses devraient
plutôt opter pour « notre pain quotidien » ?
La CAG apprécie la diffusion des cahiers des charges des postes nationaux à pourvoir à ce synode qui
permet une meilleure connaissance des postes.
Annexe 6 : La CAG rappelle aux synodaux que la nouvelle Constitution est disponible soit sur le site
internet ou auprès de leur président de CP et qu’elle est nécessaire pour une meilleure lecture de cette
annexe. La CAG soulève que les règles au point 3.3. sont sévères pour la défense. Ne peut-on laisser
une ouverture ?
Annexe 7 : ne faudrait-il pas rappeler le rôle de la commission académique pour une meilleure
compréhension ?
Rappel sur l’annexe 9 « à propos de la fin de vie humaine » cf. points sur le rapport du CN.
Documents d’informations :
La CAG constate qu’une quarantaine d’Eglises ont gardé le nom « Eglise réformée » sur environ 400
Eglises/Paroisses que compte l’Eglise protestante unie.
La CAG a apprécié les explications sur les modifications des statuts de l’UEPAL ainsi que ceux de
l’ASEMEPUdF.
La CAG souligne que le pôle national de formation (PNF), les relations internationales, le réseau
animation jeunesse, Théovie et la coordination Interrégionale pour l’évangélisation (CIPE) sont des
lieux de ressources pour l’animation de nos Eglises locales/Paroisses.
Rapport du Trésorier :
Remarques générales :
Analyse des comptes 2011 des Eglises locales : les tableaux sont difficilement lisibles du fait d’un
problème de mise en page.
La CAG soulève : le résultat de notre Eglise provient essentiellement des fonds spécifiques pour 1,2
M € sur les 1,6M € et non de la contribution des régions, le reste venant des économies de
fonctionnement. C’est un constat préoccupant : quelle animation financière mettons-nous en place ?
Révision de la carte des régions réformées : point 2.5 § 4 Combien de pasteurs concernés ? Pourquoi
faire une moyenne et ne pas traiter spécifiquement chaque cas ?
Demandes d’informations complémentaires :
Signification du sigle FIPE cité au point 3 page 3 du rapport des trésoriers ? Fondation pour les
Institutions protestantes européennes
Les « ensembles » point 4.2 mériteraient d’être mieux définis et le fonctionnement plus explicite parce
que cette problématique concerne toutes les régions.
Il serait souhaitable que le synode connaisse le coût de la nouvelle identité visuelle de notre Eglise.
416
TITRE II : COMMISSIONS SYNODALES
Commission des ministères (CDM)
La question de l’articulation entre la formation générale et la formation particulière au ministère
pastoral (master pro) traverse les rapports CDM et IPT (Institut protestant de théologie) ainsi que le
dossier financier. La CAG incite les synodaux à lire les trois rapports pour y trouver des éléments de
discussion.
TITRE IV : ELECTIONS QUADRIENNALES
La CAG incite à lire l’introduction et présentation des remarques sur les différentes instances qui
permettent de mieux appréhender le fonctionnement de l’Eglise.
TITRE V : REVISION DE LA CARTE DES REGIONS
Rappel : les synodaux doivent prendre connaissance du dossier.
A la lecture de ce titre V révision de la carte des régions, la CAG au point 3.3 regrette qu’il n’y ait
aucun élément financier et incite le synode à se pencher sur les observations émises par la région Nord
Normandie tant sur le problème financier que le pourvoi des postes. Elle espère que le synode entendra
des représentants de cette région sur ces sujets.
A l’issue de ce rapport, la CAG souhaite souligner auprès des synodaux quelques enjeux qui lui
paraissent particulièrement importants :
Comment notre Eglise peut-elle « marcher dans un monde qui court » ? La réactivité aux sujets de
société doit-elle se faire au prix du système presbytérien-synodal ? Le synode national souhaite-il
donner une orientation au conseil national ? (accélérer pour répondre plus vite, ralentir pour laisser à
tous les niveaux le temps du débat)
Comment faire vivre notre Eglise financièrement ? Le dossier financier montre la nécessité d'une
réflexion sur l'animation financière aux niveaux local, régional et national.
A travers les différents dossiers, nous ressentons le démarrage d’une vraie dynamique de
communication vers l’extérieur, déjà lancée depuis deux ans (protestants en fête, grand Kiff, Théovie)
mais qui se poursuit et se renforce.
L’équipe de la Commission des Affaires Générales :
Paul Doré, Eric George, Christiane Iribarren, Alain Millet, Jean-Pierre Rive et Patrick Russier
Invité Jean-Luc Eschemann.
417
Titre III – INSTITUT PROTESTANT DE THEOLOGIE
Rapport de la présidente du conseil de l’IPT
Annexes :
1. Statistiques des inscriptions pour l’année 2012-2013
2. Centres appartenant à la recherche publique française auxquels sont rattachés les enseignants
chercheurs de l’IPT
3. Liste des congrès, colloques, journées d’étude organisés ou co-organisés par l’IPT
4. Notices individuelles des enseignants chercheurs
5. Partenariats à l’international.
Rapport sur l'activité de
l'Institut protestant de théologie (IPT)
L'IPT a trois statuts, on pourrait dire trois visages : il est un service d'Eglise, un établissement
universitaire et une association. Le présent rapport se propose d'exposer comment, au cours de l'année
écoulée (2012-2013)1, il s'est efforcé de répondre aux différentes missions qui correspondent à ces
trois statuts.
I. Au service de l'Église : la formation
1. La formation des pasteurs
La formation des pasteurs est l'objet premier de l'IPT, sans lequel il n'existerait pas. C'est en ce sens
qu'il est d'abord un service d'Église. Il faut insister sur le fait que cette formation commence dès la
première année ; en effet l'existence d'un master professionnel (master pro) peut donner à penser que
c'est à ce niveau-là que commencent les choses sérieuses, le reste n'étant qu'une préparation. C'est
évidemment une vision faussée. La formation se fait d'abord sur les quatre premières années (trois
années de licence, plus la première année du master), où elle se trouve répartie en quatre grands
domaines ou départements : bible (textes de l'ancien et du nouveau testament, dans leur langue et avec
leur contexte) ; histoire du christianisme des origines à l'époque contemporaine, avec un accent
particulier sur la période de la Réforme, théologie systématique (dogmes et concepts de la pensée
chrétienne) ; philosophie et éthique ; théologie pratique (fondements des actes pastoraux, du culte, de
la prédication, de la catéchèse, de la diaconie etc.). Une spécificité de l'IPT est l'existence de sessions
thématiques ouvertes aux étudiants de toutes les années.
L'année de master pro propose d'une part un stage en paroisse, d'autre part dix sessions d'une semaine
pour tout le groupe. Les séminaires proposés lors de ces sessions étaient les suivants :
Séminaire de reprise théologique des pratiques à partir de problématiques issues du stage
Séminaire d'homilétique : acquisition de savoirs théoriques, exposés à partir d'ouvrages d'homilétique,
les apports de la rhétorique, les outils de la communication... Deux journées de travail avec un
comédien-formateur pour la prise de parole en public (voix, gestuelle, regard, posture corporelle,
articulation, capacité à se faire comprendre, à improviser...)
Ateliers d'homilétique : exercices pratiques de prédication et célébrations de culte suivis de reprise
critique en groupe
Séminaire sur autorité et management : rappels théoriques des grands principes ecclésiologiques de la
tradition luthéro-réformée, de sa compréhension des ministères notamment du ministère pastoral, des
lieux et modalités de l'exercice de l'autorité, tout cela mis en relation, en tension, parfois en
interpellation critique avec les outils du management issus du monde de l'entreprise : élaboration et
gestion de projet, accompagnement du changement, animation de groupe, gestion des conflits, etc,
avec la participation d'un consultant en management.
Séminaire de catéchétique.
Séminaire d'accompagnement pastoral.
Séminaire sur les actes pastoraux.
Sessions thématiques et interdisciplinaires (p.ex. le culte, liturgie et prédication, la visite...).
1
Les trois visages ne se superposant pas exactement, il en résulte des décalages, comme celui qui concerne la
durée à prendre en compte : du point de vue associatif, c'est l'année civile, mais du point de vue universitaire,
celle-ci n'est pas pertinente. Pour les activités proprement universitaires, je prendrai donc en compte à la fois
l'année 2012 et le premier semestre de l'année 2013.
420
Interventions d'experts sur des questions spécifiques : le droit des cultes en France, le droit ecclésial,
l'animation biblique, les finances dans l'Eglise, les aspects pastoraux de l'œcuménisme, les évolutions
ecclésiales et leurs traductions institutionnelles...
Il existe une commission du master pro, qui comprend à la fois les enseignants de théologie pratique
de l'IPT, des pasteurs et le président de la Commission des ministères. Elle est chargée de le faire
évoluer en suivant au plus près les besoins de l'Église, sans sacrifier la formation généraliste. La
Commission académique s'est par ailleurs chargée d'une évaluation de la filière master et donc (en
concertation avec la commission du master pro) du master pro qui existe depuis 2006. Elle devrait
avoir lieu en 2013-2014.
2. Les étudiants de l'IPT : statistiques
L'organisation des études suit le schéma du LMD (licence, master, doctorat), commun à la plupart des
universités européennes. Le tableau suivant présente les statistiques d’inscriptions pour l’année 20112012
(Voir aussi en annexe 1 le nombre de diplômes décernés et le détail des chiffres de cette année)
2009-2010
Licence
L1
L2
L3
Total licence
Etudes aménagées (CER,
cours à distance)
Total
2010-2011
2011-2012
2012-2013
2012-13 /
2011-12
53
22
20
95
53
55
29
21
105
31
65
27
17
109
72
54
38
31
123
52
-17 %
+41 %
+82 %
+13 %
-28 %
148
136
181
175
-3 %
Master
M1
M2Pro
M2 Recherche
Total master
Etudes aménagées
Total
31
12
33
76
1
77
20
13
29
62
1
63
25
6
15
46
5
51
18
11
22
51
21
72
-28 %
+83 %
+47 %
+11 %
ns
(+41 %)
Doctorat
37
37
28
27
-4 %
262
236
260
274
+5 %
315
319
237
226
-5 %
Nd
nd
12
16
+33 %
Auditeurs libres
312
220
287
282
-2 %
Total inscriptions
890
775
796
798
-
Total LMD
Cours décentralisés
cours d’initiation à
théologie
Chercheurs associés
et
la
421
Le tableau fait apparaître une stabilité du nombre total d'inscrits en 2012-2013, mais c'est une vision
incomplète, qui doit être affinée. En fait, les étudiants qui suivent le cursus complet sont plus
nombreux et c'est cela qui est le plus important (+13 % en licence, +11 % en master).
En licence, un sujet de satisfaction est le moindre écart entre les inscrits en première année et ceux de
deuxième et de troisième année : 54/38/27 contre 65/27/17 l'an dernier. Il y a eu en 2011-2012
beaucoup d'inscrits en première année à Paris et un suivi spécifique (cours de français d'étude et
tutorat) avait été organisé pour éviter un trop grand nombre d'abandons : cela a porté ses fruits. Le
groupe d'inscrits à Paris cette année (2012-2013) est un peu moins nombreux, mais plus homogène. À
Montpellier l'évolution des chiffres d'une année à l'autre est satisfaisante, avec peu d'abandons, mais le
nombre total reste relativement faible. D'où l'intérêt du projet d'enseignement à distance, porté par les
enseignants (Voir infra § 6).
En master les chiffres globaux sont en hausse (51 contre 46), mais le nombre d'inscrits en première
année a baissé. Le fait le plus notable est que le phénomène d'année creuse en master pro, qui avait été
inquiétant l'année dernière, ne s'est pas reproduit : 11 inscrits contre 6. Rappelons que l'inscription en
année de master pro (deuxième année du master) est conditionnée à l'accord de la Commission des
ministères : il serait malhonnête de laisser s'engager des étudiants dans la voie du ministère pastoral,
s'il apparaissait qu'ils ne sont pas adaptés à l'exercice de ce ministère dans l'EPUdF. Il est important de
préciser que le discernement de la Commission des ministères n'est pas fonction du nombre de
candidats ; elle discerne dans l'absolu.
Si les flux ne paraissent pas toujours conformes à la logique (par exemple 12 diplômes de licence
délivrés en 2011-2012 / 17 inscrits en master 1 en 2012-2013, voir annexe 1), cela tient au fait que les
parcours particuliers sont nombreux : arrivées avec des équivalences en cours de licence ou
directement en master, temps plus long pour obtenir chaque année, dans le cas d'étudiants qui
travaillent etc. N'oublions pas qu'un nombre important de vocations pastorales se déclare chez des
personnes ayant déjà une activité professionnelle, qui mettent donc plus de temps à accomplir leur
cursus.
Pour le doctorat, voir infra § 5.
Une convention avec la Faculté de théologie de Strasbourg permet aux étudiants qui le désirent de
prendre une double inscription en licence et, tout en suivant leur cursus entièrement à l'IPT, d'obtenir
une équivalence qui correspond à un diplôme d'État. Ils peuvent alors plus facilement s'orienter vers
une autre formation ou d'autres débouchés, s'ils ne souhaitent pas devenir pasteur. Pour l'instant cette
convention ne fonctionne qu'à Paris.
Enfin, l'IPT étant une association reconnue d'utilité publique, les étudiants ont accès aux services et
aux bourses du CROUS (12 bourses en 2012-2013). L'IPT délivre en outre des bourses spécifiques
pour ceux qui ne répondent pas aux critères du CROUS (15 bourses)
3. La mobilité étudiante
Les deux facultés de l'IPT ont de longue date des relations avec un assez grand nombre d'universités
étrangères, où la théologie tient une place importante. Des échanges d'étudiants existent donc depuis
longtemps, avec des dispositifs d'aide à la charge des établissements concernés, dont l'IPT. Mais, pour
ce qui concerne l'Europe, l'IPT est depuis cette année signataire de la charte Erasmus et bénéficiaire de
ses programmes : cela facilite et donc encourage la mobilité étudiante entre établissements. Cet
agrément, demandé depuis plusieurs années a enfin été obtenu en juillet 2012 et trois accords
d'université à université ont déjà été signés cette année : Heidelberg, Zurich, Wuppertal, quatre autres
sont en cours de signature : Rome, Edimbourg, Prague et Vienne. Une année d'études à l'étranger, avec
la découverte d'une manière différente d'aborder la théologie, ne peut être que bénéfique pour les
futurs pasteurs.
422
4. La formation des membres de l'Église
Les cycles d'initiation à la théologie restent très suivis, tant à Paris qu'à Montpellier (environ 80
inscrits dans chacun des deux sites). Cette soif de formation théologique – et non pas seulement
pratique – de la part des membres engagés de l'Église est un signe important : l'IPT est bien un
instrument au service de l'Église à ce niveau-là aussi. Les cours publics (un jour par mois) sont
articulés autour d'un thème, chaque enseignant de l'IPT faisant en sorte de faire découvrir, à partir de
là, sa propre spécialité. En 2012-2013 les thèmes étaient à Paris "L'animal et la théologie", à
Montpellier : "Religions entre elles : une conversation continue". Les cours décentralisés – en 20112012 à Lyon, Toulouse et Montpellier, en 2012-2013 à Bordeaux, Nice et Montpellier – participent de
la même logique et répondent à la même attente (environ 150 inscrits au total chaque année sur
l'ensemble des sites). La formation des prédicateurs laïcs (56 inscrits à Paris) fait intervenir à la fois
des enseignants de l'IPT et des pasteurs.
Il va de soi que ces formations, dont l'utilité et l'importance sont évidentes, ne donne pas à ceux qui la
suivent les mêmes compétences que la formation complète des pasteurs.
À Montpellier une université d'été s'est tenue en 2012, sur le thème "Le religieux et les religions : un
défi pour les Églises et la société" ; en 2013 deux universités d'été sont programmées, à Montpellier et
à Paris.
5. Le doctorat
Le doctorat fait partie du cursus LMD. Il est conçu pour se faire en trois ans, mais il faut souvent
davantage. Intervenant après le master recherche, il concerne des étudiants désireux de faire une thèse,
soit pour devenir enseignant chercheur dans l'avenir, soit pour compléter leur formation personnelle en
tant que pasteur. Les travaux sont nécessairement dirigés par un professeur, c'est-à-dire un enseignant
habilité à diriger des recherches ; il n'y en a pas dans toutes les disciplines à l'IPT, ce qui pose des
problèmes. Pour une partie des étudiants la thèse est inscrite en cotutelle avec un professeur de l’IPT et
un professeur d’un établissement universitaire français ou étranger : thèse « double sceau » à
Montpellier en lien avec plusieurs écoles doctorales de l’université Paul Valéry, thèses en cotutelle
avec l’EHESS à Paris. Cela permet aux doctorants de l’IPT d’être en contact avec des chercheurs de
disciplines voisines, de bénéficier de formations offertes dans ces universités et de faire connaître la
théologie protestante.
Pour l’année universitaire 2012-2013, 27 doctorants sont inscrits à l’IPT. Le nombre s’est stabilisé (28
doctorants en 2011-2012) après une baisse liée au fait que la Commission des études doctorales et de
la recherche a limité à six années consécutives le nombre d'inscriptions pour un doctorant. C'est la
pratique habituelle, qui a pour but d'inciter les doctorants à soutenir dans un délai raisonnable. On
compte 17 doctorants à Montpellier et 10 à Paris. Certains pasteurs en poste parviennent à mener à
bien une thèse, faisant ainsi bénéficier leur communauté d'une compétence à la fois spécifique (selon
la matière choisie) et générale, dans la mesure où un travail de thèse est en soi formateur sur tous les
plans. Cette année encore deux étudiants ont pu bénéficier d'une bourse doctorale.
Cette année universitaire a été particulièrement fructueuse : entre juillet 2012 et juillet 2013 sept thèses
ont été soutenues : trois en Nouveau testament, trois en Philosophie, une en Histoire. C'est une
proportion plus qu'honorable par rapport au nombre d'inscrits.
6. L'enseignement à distance
Un enseignement à distance existe dans les deux facultés, selon des modalités diverses. Actuellement
la Faculté de Montpellier se lance dans la mise en place d'un projet plus ambitieux d'enseignement par
internet, grâce à un financement spécifique. Il devrait à la fois prendre la suite des cours décentralisés
et permettre à des étudiants qui sont dans l'incapacité de suivre des cours de commencer leur licence ;
423
il reste souhaité, surtout pour les futurs pasteurs, qu'à partir de la troisième année, ils passent à un
enseignement "en présentiel". Le processus est prévu sur quatre ans, avec évaluation au terme.
II. Le fonctionnement universitaire
1. La théologie en France
La théologie est mal connue en France, y compris de la part des protestants. Le statut très
majoritairement laïc de l'enseignement dans notre pays a relégué – si l'on peut dire – la théologie du
côté des Églises, alors qu'ailleurs en Europe et dans le monde la théologie – qu'elle soit catholique ou
protestante – est une discipline comme une autre, souvent intégrée à l'université d'Etat. La théologie
n'est pas une sorte de survivance moyenâgeuse tolérée par un État laïc, elle est une science, qui occupe
sa place dans ce qu'on appelle aujourd'hui les SHS (Sciences humaines et sociales). Cela donne une
autre dimension à nos facultés, qui doivent en quelque sorte tenir leur rang, à la fois parmi les autres
facultés de théologie et dans l'ensemble des sciences humaines et sociales.
2. Enseignement et recherche
Les enseignants de l'IPT sont des enseignants chercheurs, comme dans les autres universités.
Enseignement et recherche se complètent et s'alimentent réciproquement. Les cours délivrés aux
étudiants ouvrent sur des domaines anciennement connus et balisés, mais aussi sur des champs
nouveaux, en recourant à des outils intellectuels contemporains. Le risque, s'il n'y avait pas de
recherche, serait de laisser se scléroser la théologie et aussi la formation des pasteurs, au risque d'être
en décalage non pas tant avec la société, car l'Église y veille, qu'avec la pensée contemporaine. Ce qui
pendant longtemps a été porté par quelques grands noms et quelques grands livres, est aujourd'hui
distribué, voire éclaté entre de multiples lieux de recherche universitaire. Cela a ses avantages et ses
inconvénients, mais c'est un fait et les enseignants de l'IPT – professeurs et maîtres de conférences – y
participent à la fois pour faire entendre la voix de la théologie protestante et pour y enrichir leur propre
réflexion. Les étudiants en bénéficient au premier chef.
Les enseignants ont par ailleurs le statut de ministres de l'Église, où ils assument la fonction doctorale :
c’est ainsi que, présents dans les synodes, ils peuvent fournir les éléments théologiques nécessaires à
la réflexion synodale. De son côté, l'Église finance les postes et est partie prenante dans le processus
de nomination.
3. Mouvements
L’Institut dispose en septembre 2012 de quinze postes d’enseignant-chercheurs, mis à disposition par
les Eglises, huit étant localisés à Montpellier, sept à Paris. En 2012, un poste était vacant à
Montpellier, en attente de son pourvoi à la rentrée 2013.
- À la rentrée 2012 est entré en fonction Pierre-Olivier LECHOT, comme Maître de conférences en
histoire moderne à la Faculté de Paris ; il succède à Marianne CARBONNIER-BURCKARD, partie à
la retraite.
- Au cours de l'année 2012-2013 a été mené un double processus de recrutement
En Nouveau testament à Paris, pour succéder à Corina COMBET-GALLAND, qui part à la retraite au
1er juillet 2013 ; Valérie NICOLET-ANDERSON a été nommée par les Comités directeurs, avec le
titre de Maître de conférences.
En Histoire moderne à Montpellier, pour succéder à Daniel BOLLIGER, qui a repris un poste de
pasteur en Suisse. Chrystel BERNAT a été nommé par les Comités directeurs, avec le titre de Maître
de conférences.
424
- Trois recrutements sont prévus en 2013-2014 pour une entrée en fonction le 1er juillet 2014
sur le poste d’Histoire du christianisme ancien et de patristique à la faculté de Paris, en remplacement
de Jacques-Noël PERES, qui partira à la retraite au 31 juin 2014.
sur le poste de Théologie pratique à la faculté de Montpellier, occupé précédemment par Claude
LEVAIN, qui a été nommé au 1er juillet 2013 Maître de conférences en théologie pratique sur le poste
incluant la direction du master professionnel, en remplacement de Michel BERTRAND.
sur le poste de Théologie systématique à la faculté de Montpellier, en remplacement de Jean-Daniel
CAUSSE qui a annoncé son départ au 30 juin 2014.
Les recrutements des enseignants chercheurs se font au terme d'un processus long et exigeant, qui
garantit leur compétence dans les domaines de l'enseignement et de la recherche. Il y a sur les dossiers
des avis d'experts d'autres universités, des auditions dans les facultés, un examen du conseil
scientifique, de la Commission académique et en dernier ressort, ce sont les Comités directeurs de
l'Église qui nomment.
4. Publications
Les publications des enseignants chercheurs sont de nature soit collective (Actes de colloques dirigés
ou codirigés par des enseignants-chercheurs de l’IPT) soit individuelle (livres, contributions à un
volume collectif et articles de revue). Il y a des variables selon les années, mais on peut dire que, pour
l’ensemble des enseignants, on compte chaque année entre 60 et 80 articles et contributions à des
recueils scientifiques, et 5 à 10 monographies ou directions d’ouvrage.
Pour le détail voir la page personnelle des enseignants chercheurs sur le site de l’IPT
(http://www.iptheologie.fr) ainsi que l'annexe 4
L’IPT a une revue scientifique, Etudes théologiques et religieuses. Classée B par l’Agence
d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, elle paraît tous les trimestres, ce qui
représente une périodicité exigeante. La revue a un statut associatif propre. Dirigée par Marc BOSS,
elle reçoit des contributions d’auteurs provenant d’un grand nombre d’universités françaises ou
étrangères. On peut dire qu’elle est l’une des principales vitrines de la théologie protestante
francophone. L’année 2012 a vu paraître les quatre numéros du tome 87. Les archives de 1926 à 1999
ont fait l’objet d’une première numérisation sur DVD-ROM en 2000. Un double projet de mise en
ligne des articles les plus récents sur un portail payant et de mise à disposition des archives sur un
portail gratuit est en cours de réalisation.
5. Organisation de la recherche
La recherche en France étant structurée de façon collective (équipes de recherche, centres de
recherche, réseaux de recherche), les enseignants chercheurs de l'IPT s'inscrivent dans ce cadre. Mais,
comme chaque discipline n'est généralement représentée que par une personne dans chaque faculté, les
enseignants chercheurs font partie d'équipes ou de centres rattachés à des établissements publics :
universités, écoles normales supérieures, CNRS, collège de France. C'est l'orientation disciplinaire qui
détermine ces appartenances.
La liste de ces centres figure en annexe 2
L'IPT possède aussi deux centres de recherche propres, qui rassemblent des enseignants chercheurs de
l'IPT et d'autres établissements.
Le Fonds Ricœur est particulièrement important à la fois par sa masse et par son rayonnement. Il a été
créé à la suite du don fait par le philosophe Paul Ricœur de sa bibliothèque personnelle à l'IPT Faculté
de Paris. À la fois fonds documentaire et centre de recherche, il organise des séminaires, colloques et
journées d'études dans tous les domaines abordés par Ricœur, y compris la théologie et l'exégèse.
425
Il est présidé par Olivier ABEL et dirigé par Nicola STRICKER, tous deux enseignants de l'IPT. Le
Fonds Ricœur peut recevoir des subventions spécifiques du ministère de l'enseignement supérieur et
de la recherche ou d'autres organismes. Il est soutenu par une Association Paul Ricœur. Cette année,
on notera trois faits marquants :
- le recrutement d'un ingénieur à mi-temps, par délégation d'un centre de recherche du CNRS lié
à l’EHESS, le CRAL (Centre de recherche sur les arts et le langage), qui travaillera à l’accueil
des chercheurs, à l’établissement de la bibliographie et à l’animation du site internet ; par
ailleurs l’important projet de numérisation des cours et articles, commencé il y a trois ans,
devrait être poursuivi, mais le Fonds Ricœur en cherche encore les moyens.
- l'obtention d'une bourse Pierre et Marie Curie de la part du Conseil de l'Europe, qui représente
un financement important, d'abord pour la chercheuse italienne qui l'a obtenue, mais aussi
pour l'IPT lui-même qui reçoit près de 20.000 euros pour organiser son accueil. Le Fonds
Ricœur est destiné à accueillir de plus en plus souvent des chercheurs boursiers de tous les
pays.
- la célébration du centenaire du philosophe, avec notamment une exposition (mars 2013) et
l’enchaînement de trois colloques internationaux, le premier de trois jours organisé avec le
réseau anglo-saxon et ibéro-américain des Associations Ricœur, puis une journée grand public
placée sous le patronage du Président de la République, enfin un dernier colloque de deux
jours organisé en partenariat avec l'université de Paris-Sorbonne (Paris IV) en novembre
2013.
Il est important que le Fond Ricœur reste clairement ancré dans l'IPT et contribue ainsi à la visibilité
de la théologie et de la pensée protestantes.
Le centre Maurice Leenhardt de recherche en missiologie, situé à Montpellier, est important par sa
spécialité, la missiologie, peu représentée dans le champ de la recherche francophone. Dirigé par
Gilles VIDAL, Marc BOSS, et Jean-François ZORN, il a notamment organisé cette année trois
journées d'études.
Il faut enfin mentionner l'Institut supérieur d'études œcuméniques (ISEO) à Paris, dont l'IPT est l'un
des trois membres fondateurs et qui organise un colloque annuel.
On trouvera en annexe 3 la liste des colloques et journées d’étude organisés ou co-organisés par l’IPT
La dimension internationale de la recherche en théologie protestante doit être soulignée, l'IPT étant en
relation à la fois avec les pays de tradition protestante (Europe du Nord, Etats unis), des pays membres
de la CEEVA (Afrique, Océanie), et des pays (Amérique latine, Asie) où le protestantisme est encore
"jeune".
On trouvera la liste des partenariats à l'international en annexe 5
6. Le conseil scientifique
La composition et le rôle du Conseil scientifique ont été modifiés dans les statuts. Il rassemble
désormais au moins une fois par an l'ensemble des enseignants chercheurs de l'IPT et de trois
enseignants chercheurs extérieurs et doit élaborer une politique de recherche pour l'IPT dans son
ensemble. Cette année, il n'a pas encore été réuni, mais devrait l'être prochainement.
III. L'association IPT
1. Le fonctionnement associatif
Le Conseil de l'IPT est composé du bureau (présidente, trésorier, vice-présidents, qui sont les deux
doyens), de représentants des enseignants-chercheurs, des étudiants, des Comités directeurs de
l'Église, de la faculté de théologie de Strasbourg, du personnel non enseignant et de personnalités
426
extérieures. L'administrateur de l'IPT y participe. Le conseil s'est réuni trois fois dans l'année,
alternativement à Paris et à Montpellier. En juin le conseil est suivi de l'Assemblée générale de
l'Association. Au cours de l'année il a entendu les rapports de la Commission des études doctorales, de
la commission du master pro. Il a eu, conformément aux textes en vigueur, une séance commune avec
la Commission académique. Il vote le budget et des résolutions qui concernent l'ensemble de l'IPT. En
2012 l'une de celles-ci a été le principe de la signature d'un contrat avec l'État (MESR). L'Assemblée
générale de 2012, pour sa part, a voté les nouveaux statuts de l'IPT, intégrant la mention de l'Église
protestante unie de France et quelques modifications comme la présence du conseil scientifique.
2. Les relations avec l'État et avec l'Europe
Nous n'avons pas encore été reçus par la Directrice de l'Enseignement supérieur et de la recherche. Le
processus de signature du contrat avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche est
plus long que prévu. Nous avons remis le rapport d'auto-évaluation, avec mention des objectifs pour
les prochaines années, en décembre 2012. Pour l'instant nous sommes en relation avec le Bureau de
l'Enseignement supérieur privé et le contrat devrait être signé avant l'été 2013. Dans l'immédiat, il n'est
pas question d'une évaluation par l'AERES ou l'organisme qui lui succédera. Je voudrais dire que
l'élaboration du rapport d'auto-évaluation a été très utile en interne, faisant prendre conscience à
chacun – à commencer par la présidente – de l'ensemble de la mission de l'IPT et de ses différentes
composantes.
La subvention du MESR, qui représente à l'heure actuelle un tiers de notre fonctionnement, est
annoncée en baisse d'au moins 10 %, comme l'ensemble des financements publics. Mais plus
inquiétant pour nos finances est le fait que seulement 50 % doivent être versés en mai, au lieu de 80 %,
le complément étant – comme toujours – fonction du budget du ministère à la fin de l'année. Pour ne
pas trop peser sur les finances de l'Église, l'IPT devra pouvoir compter davantage sur ses ressources
propres. C'est un chantier important qui s'ouvre.
Au niveau européen, je rappelle que nous avons obtenu cette année l'agrément qui nous permet de
bénéficier des programmes Erasmus (Cf. supra) ; la bourse Pierre et Marie Curie pour le Fonds Ricœur
(Cf. supra II, §5) est aussi accordée par les institutions européennes.
3. Le personnel non enseignant
Au 31 décembre 2012 l’association salarie 16 personnes (à temps complet ou à temps partiel), dont un
administrateur, des bibliothécaires, des personnels d’intendance, de comptabilité, de secrétariat et de
service.
A Paris, les deux postes à temps partiel (mi-temps) créés en septembre 2011 ont été maintenus. Le
premier poste correspond à un financement spécifique du ministère de l’Enseignement supérieur et de
la recherche pour le Fonds Ricœur; il a permis la numérisation d’articles, de cours polycopiés, de
manuscrits et d’ouvrages dédicacés (conservation patrimoniale). Une première série de cours sera mise
en ligne à la fin de l’année 2013. Le second poste, consacré à l’accompagnement méthodologique
(recherche documentaire, soutien en hébreu) des étudiants de première année à Paris a contribué à
diminuer le nombre d’abandons.
A Montpellier, l’Intendante de la faculté a annoncé son départ à la retraite fin avril 2013. Le processus
de recrutement est en cours.
Enfin, cette année encore, il importe de signaler le travail bénévole de Catherine GOLDENSTEIN
comme conservateur des archives au Fonds Ricœur. Je tiens à la remercier au nom de l’IPT pour cet
investissement en temps et en énergie dont l’IPT est, à travers le Fonds Ricœur, le bénéficiaire.
427
4. La campagne en faveur des études de théologie
Au cours de l'année 2012-2013 s'est mise en place la préparation d'une campagne de communication
destinée à mieux faire connaître les études de théologie. Une commission a travaillé à l'élaboration
d'une affiche et d'un dépliant, qui sont presque terminés. Le plus difficile, parce que l'enjeu est
important, a été de trouver un slogan et un "visuel". L'affiche comme le dépliant seront envoyés aux
paroisses et distribués aux rassemblements du Grand kiff et de Protestants en fête. Ils le seront aussi
dans les synodes régionaux et au prochain synode national.
Le but est de faire connaître les études de théologie, qui sont de vraies études, assurant une formation
pluridisciplinaire, et de donner à des jeunes l'envie de s'y lancer, avec ou sans projet pastoral. D'une
part on peut, après une licence, bifurquer vers d'autres masters ou d'autres formations ; d'autre part les
vocations pastorales peuvent naître au cours des études et augmenter le vivier est toujours positif.
Conclusion : l'IPT, une chance pour l'Église
Si l'IPT est au bénéfice de l'Église, qui finance ses postes d'enseignant et une partie de son
fonctionnement, l'inverse est vrai également : l'IPT est une chance pour l'Église. D'abord une chance
pour ses pasteurs d'être formés de façon approfondie et au plus près des évolutions de la connaissance
dans les différents domaines de la théologie ; et puis une chance pour l'Église elle-même, au moins
dans les deux régions concernées, de pouvoir, quand elle le souhaite, inscrire sa réflexion dans un
cadre universitaire où viennent des spécialistes de tous horizons, où les idées bougent, où la théologie
est vivante.
428
IPT Annexe 1
STATISTIQUES DES INSCRIPTIONS POUR L’ANNEE 2012-2013
(à la date du 31 mars 2013)
LICENCE
L1
L2
L3
Etudes aménagées
Paris
Montpellier
44
27
18
1
10
11
13
51
MASTER
M1
M2 Pro
M2 Recherche
Etudes aménagées
DOCTORAT
TOTAL LMD
Cours décentralisés et d’initiation
à la théologie
Chercheurs associés
Auditeurs libres, cours publics,
formation prédication, journées
d’études
TOTAL INSCRITS
---------90
--------85
78
148
203
79
---------371
Paris
7
Commun
Total
54
38
31
52
18
11
22
21
18
11
22
21
27
----------99
27
-----274
226
16
16
282
--------312
----------115
-----798
Montpellier
Commun
12
6
7
3
Total
DIPLOMES DECERNES EN 2011-2012
Licence 5
Master Pro
Master Recherche
Doctorat
3
429
6
7
IPT Annexe 2
Centres appartenant à la recherche publique française auxquels sont rattachés les enseignants
chercheurs de l'IPT
L'UMR 7192 Proche-Orient – Caucase : langues, archéologie, cultures: deux chercheurs de l'IPT en
sont membres (C. Lanoir, D. Nocquet).
Dans le cadre du LEM (Laboratoire d’étude des monothéismes, CNRS/EPHE/Paris IV) le groupe de
recherche « Acta Pilati » (édition, traduction et commentaire de textes du Corpus christianorum series
apocryphorum) : un chercheur de l'IPT (J-N Pérès) en est membre.
L'IPOA (Institut du Proche-Orient ancien) au Collège de France: C. Lanoir est membre du conseil
scientifique.
Le GRHP (Groupe de recherche sur l’histoire des protestantismes), avec un représentant de l'IPT (P-O.
Léchot) un représentant du LEM (CNRS/EPHE) et un représentant de l’Institut J-B. Say (Paris XII).
Le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences Humaines et Sociales de Montpellier
(C.R.I.S.E.S.), EA 4424 : 3 chercheurs de l'IPT en sont membres (M. Boss, J-D. Causse, E. Cuvillier).
Le Centre Interdisciplinaire d’Etudes du Religieux (CIER) – Maison des Sciences de l’Homme de
Montpellier, dont l’IPT est membre fondateur.
L’Institut des Hautes Etudes de la Justice (IHEJ) à Paris : un chercheur d l'IPT en est membre (O.
Abel).
Les Archives Husserl (UMR 8547, CNRS-ENS), avec lesquelles le Fonds Ricœur a un partenariat
ancien (O. Abel, N. Stricker).
Le CERPHI (Centre d’Etudes en Rhétorique, Philosophie et Histoire des Idées) de l’Ecole Normale
Supérieure de Lyon : un chercheur d l'IPT en est membre (O. Abel).
La Société des études syriaques (J-N. Pérès), dont l'IPT accueille le colloque annuel.
Au niveau international, appartenance à des centres ou des réseaux de recherche
Le RRENAB Réseau de recherche en narratologie et bible (monde francophone) avec 4 chercheurs de
l'IPT (D. Nocquet, C. Combet-Galland, E. Cuvillier, C. Lanoir, qui est membre du bureau de
l’association).
Le Centre de recherche international « Exégèse du texte biblique et psychanalyse », commun à la
Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université de Montréal, la Faculté de théologie de
l’Université Catholique de Louvain-La-Neuve, le département biblique de la Faculté de théologie de
Montpellier et le département de psychanalyse de l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3. Trois
chercheurs de l'IPT ont contribué à sa fondation en 2008 (J-D. Causse, E. Cuvillier, D. Nocquet) et
continuent à l'animer.
Le Groupe de recherche international « Christianisme : régulations et subversions » (CRES), dont
deux chercheurs de l'IPT sont co-responsables (M. Boss, J-D. Causse), les deux autres appartenant à
l'Université Laval, Québec.
Deux groupes de recherche sur le Nouveau Testament, en collaboration d'une part avec Facolta
Valdese de Rome, d'autre part avec la Kirchliche Hochschule de Wuppertal et l’Université Libre de
Bruxelles (C. Combet-Galland, E. Cuvillier).
L’Association internationale Paul Ricœur et l’Association for Ricœur Studies (O. Abel, N. Stricker).
L’Association internationale Paul Tillich de langue française (M. Boss, R. Picon), dont l'IPT accueille
le colloque annuel.
430
IPT Annexe 3
Liste des congrès, colloques, journées d’étude
organisés ou co-organisés par l’IPT,
(2012 et premier semestre 2013)
Journée d’études autour de l’héritage de « La métaphore vive » de P. Ricœur, Fonds Ricœur / CNRS
(Archives Husserl) / IPT, à l’Ecole normale supérieure de Paris, 14 janvier 2012.
Journée d’études avec Jean-Noël Aletti (Institut biblique pontifical de Rome), IPT Montpellier, 21
janvier 2012.
« Prosélytisme et œcuménisme » (II), journée d’étude du Centre Maurice-Leenhardt de recherche en
missiologie, IPT, Montpellier, 16 février 2012
Colloque international « Le sermon et la mort en France et en Angleterre aux XVIIe et XVIIIe
siècles », IRRAL (Univ. Montpellier III) / IPT Montpellier, 23-25 février 2012
Journée d'études « Confession de foi et de soi dans des récits de vie protestants (XVIe-XIXe siècle) »,
IPT Paris / GRHP, 3 mars 2012
Colloque ISEO (Institut supérieur d’études œcuméniques) « La réception de Vatican II : en cinquante
ans, quels effets pour les Eglises ? », à l’Institut catholique de Paris, 6-8 mars 2012.
Journée d’études « la philosophie des premiers romantiques. Autour de Manfred Frank », IPT / Fonds
Ricœur, 12 mars 2012.
Séminaire IPT inter facultés « Entre chronos et kairos », à Montpellier les 26-30 mars 2012.
« Prosélytisme et œcuménisme » (III), journée d’étude du Centre Maurice-Leenhardt de recherche en
missiologie, IPT, Montpellier, 5 avril 2012.
Séminaire « Ecriture et tradition », IPT Montpellier / Institut catholique de Toulouse, à Montpellier le
2 mai 2012.
Journée d'études « L'histoire d'Élie Neau, galérien pour la foi (1699) et sa suite américaine », IPT Paris
/ GRHP / CNRS (LEM), 12 mai 2012
VIe colloque international du RRENAB « Le lecteur », IPT Paris et Montpellier / RRENAB, à
Louvain-la-Neuve, 24-27 mai 2012.
Colloque international « La question du trauma dans l’interprétation du passé », IPT / Fonds Ricœur /
EHESS, à Paris 7-9 juin 2012.
Journée d’études « Temps et récit de Paul Ricœur au miroir de ses traductions », IPT / Fonds Ricœur /
EHESS (Artess), 25 juin 2012.
Colloque sur l’histoire de l’objection de conscience, IPT Paris, 19 octobre 2012
« Penser l’éthique en théologie » Journées organisées dans le cadre de Théodoc, réseau doctoral
européen des facultés de théologie de langue française, IPT Montpellier, 19-20 octobre 2012
Journée d’études avec Eberhard Jüngel, professeur de théologie systématique et de philosophie de la
religion à la Faculté de théologie évangélique de l'Université de Tübingen, IPT Paris, 9 novembre
2012
Journée d'études « La sanctification dans le méthodisme. Controverse et fécondité d'une notion
théologique » organisée par la Société d’études du méthodisme français (SEMF), IPT Montpellier, 10
novembre 2012
431
Colloque international de la Société des études syriaques, IPT Paris, 16-17 novembre 2012
Colloque international « Bachelard et le règne du langage », IPT Montpellier 22-24 novembre 2012
*
Journée d'études « Le créationnisme est-il une menace ? » IPT Paris, 14 janvier 2013
Journée d'études « Mal et pardon chez Paul Ricœur » Centre Sèvres / IPT / Fonds Ricœur 19 janvier
2013
« Histoire coloniale et histoire missionnaire » journée d’étude du Centre Maurice-Leenhardt de
recherche en missiologie, IPT, Montpellier, 21 février 2013
Journée d'études « L’actualité du soi. Approches phénoménologiques et herméneutiques » IPT / Fonds
Ricœur, 23 mars 2013
Colloque de l’Institut supérieur d’études œcuméniques (ISEO) « Du Dieu et César. Quelle parole
publique des Eglises ? », Institut catholique de Paris / IPT Paris, 9-10-11 avril 2013
« L’œcuménisme mis en œuvre, "afin que tous soient un" » (Jn 17,21) Session, IPT Montpellier (Villa
Maguelone), 6 et 13 avril 2013
« Nouvelles recherches et perspective en histoire des protestantismes », IPT Paris / GRHP, 23 février
2013
« Evangélisation, développement et histoire politique » journée d’étude du Centre Maurice-Leenhardt
de recherche en missiologie, IPT, Montpellier, 18 avril 2013
Journées d'études « Les Académies protestantes en Europe (XVIe – XIXe siècles). État de la recherche
et nouvelles perspectives », IPT Paris / GRHP, 20 avril 2013
Journée d'études « L’héritage kantien de Ricœur pour la philosophie de la religion : une
herméneutique de l’espérance », IPT / Fonds Ricœur, 13 mai 2013
Journée d'études « La Faculté de théologie de Montauban : un lieu d’études au carrefour des sciences »
IPT Montpellier, 14 mai 2013
« L'apocalypse selon Albrecht Dürer », série de quatre conférences sur l'Apocalypse, IPT Montpellier,
du 16 mai au 18 juin 2013
Journée d'études « La pseudépigraphie et ses enjeux dans l'Antiquité », IPT Montpellier, 22-23 mai
2013
Colloque de l'Association internationale francophone Paul Tillich : « Paul Tillich et la frontière », IPT
Paris, du 25 au 28 mai 2013
Symposium du RRENAB – Lyon 2013, 14-16 juin. Thème : la fiabilité des récits bibliques
Journée d'études « Bible et philosophie : l'actualité de la promesse. Que promet la promesse ? » Centre
d'études du Saulchoir / IPT / Fonds Ricœur, 17 juin 2013
Colloque de l'Atelier international de recherche sur les usages publics du passé « Quels usages publics
des lumières ? » EHESS / ENS Paris / IPT / Fonds Ricœur, 20-212 juin 2013
432
IPT Annexe 4
NOTICES INDIVIDUELLES DES ENSEIGNANTS CHERCHEURS
IPT Montpellier
Michel BERTRAND
Théologie pratique. Directeur du Master professionnel (séminaires et suivi des stages). Doyen de la
Faculté de Montpellier, membre du conseil de l’I.P.T. et du conseil de Faculté, de la commission du
Master professionnel et de la commission des aides. Coordonnateur des cours décentralisés de
théologie (Montpellier, Bordeaux, Nice) et de l’Université d’été. Conseil scientifique de la collection
« Etudes de théologie et d’éthique », Lit Verlag. Président de la commission Radio de la Fédération
protestante de France. Collaboration à différents médias (TV, radio, revues et journaux : presse
régionale protestante, Réforme, La Croix, Information-Evangélisation…).
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-bertrand&ou=mon
Marc BOSS
Membre du Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences Humaines et Sociales (CRISES, EA
4424), École doctorale 60 de l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3. Directeur/rédacteur de la revue
Études théologiques et religieuses ; codirecteur du Centre Maurice-Leenhardt de recherche en
missiologie ; membre du Conseil de Faculté de Montpellier et du Conseil de l’IPT. Membre du
Conseil national de l’Église réformée de France et coordinateur de son groupe théologique.
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-boss&ou=mon
Jean-Daniel CAUSSE
Membre du Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences Humaines et Sociales de Montpellier
(EA 4424), École doctorale 60 de l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3 ; Chercheur associé à
l’Institut des Hautes Etudes en Psychanalyse-Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, Paris ;
Directeur du département de psychanalyse de l’université de Montpellier III ; Responsable du Master
philosophie, psychanalyse et du doctorat en « Etudes psychanalytiques » à Montpellier III ; Président
de la Commission des Etudes Doctorales et de la recherche de l’IPT ; Membre du Conseil de l’UFR 1
de l’Université Paul-Valéry-Montpellier III ; Rédacteur adjoint de la revue Études Théologiques et
Religieuses ; Membre du comité éditorial de la collection « Le champ éthique » aux éditions Labor et
Fidès ; Président du Conseil d’administration de l’Association des Théologiens pour l’Étude de la
Morale (ATEM).
Livres publiés en 2012-2013 : Violenza divina. Un problema esegetico e antropologico, Bologne,
Edizioni Dehoniane Bologna, 2012, 182 p. (avec E. Cuvillier et A. Wenin) ; Traversée du
christianisme. Exégèse, anthropologie, psychanalyse, Paris, Bayard, 2013, 312 p. (avec E. Cuvillier)
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-causse&ou=mon
Elian CUVILLIER
Membre du Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences Humaines et Sociales de Montpellier
(EA 4424), École doctorale 60 de l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3 ; Membre du Conseil
Scientifique de l’Université Paul-Valéry-Montpellier 3. Membre la Studiorum Novi Testamenti
Societas (Cambridge). Membre fondateur du RRENAB (Réseau de Recherche en analyse narrative des
textes bibliques). Membre de l’Association Catholique Française pour l’Étude de la Bible (ACFEB).
Au niveau éditorial, membre du comité de lecture des collections « Le monde de la Bible » et
« Commentaire du Nouveau Testament » (éditions Labor et Fidès, Genève).
Livres publiés en 2012-2013 : Violenza divina. Un problema esegetico e antropologico, Bologne,
Edizioni Dehoniane Bologna, 2012, 182 p. (avec J-D. Causse et A. Wenin) ; Traversée du
christianisme. Exégèse, anthropologie, psychanalyse, Paris, Bayard, 2013, 312 p. (avec J-D. Causse) ;
L'Epître de Jacques (Commentaire du Nouveau Testament XIIIa - Deuxième série), Genève, Labor et
Fides, 2013, 290 p. (avec J. Assael)
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-cuvillier&ou=mon
433
Claude LEVAIN
Enseigne la Théologie Pratique à la faculté de Montpellier. Assure les séminaires « Accompagnement
pastoral » et de « Catéchétique » dans la cadre du master-professionnel. Membre du Pôle National de
formation de l’E.R.F. Membre du comité d’experts « Donneurs Vivants », pour l’Agence Nationale de
la Biomédecine. Membre de l'équipe Théovie. Membre du Comité Ethique et Scientifique de la
Fondation John Bost.
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=menu174&ou=mon
Dany NOCQUET
Il participe sur le plan de la recherche exégétique, aux congrès et symposium du RRENAB (Réseau de
Recherche en analyse narrative des textes bibliques), de l’ACFEB (Association Catholique Française
pour l’Étude de la Bible), du IOSOT (International Organisation for the Study of the Old Testament)
et aux Journées biblique de Leuwen. Dans le cadre de recherches sur le Proche-Orient ancien, il est
rattaché à l’UMR 7192 du Collège de France, animée par Thomas Römer. Il est membre d’un groupe
inter facultaire d’études de la Bible hébraïque pour des rencontres d’étudiants en Master et en doctorat
de Suisse et de France. Il est directeur de la collection biblique des éditions Olivétan « Au fil des
Écritures » destinée à un large public. Avec ses collègues, il est engagé dans la formation permanente
auprès des communautés catholiques et protestantes.
Livre publié en 2012 : Le livre de Job. Aux prises avec la justice divine, Au fil des Ecritures, Olivetan,
Lyon, 2012
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-nocquet&ou=mon
Gilles VIDAL
Maître de conférence en Histoire du christianisme à l’époque contemporaine (Licence et Master) et de
méthodologie. Co-directeur du Centre Maurice-Leenhardt de recherche en missiologie. Participation
au comité scientifique du Centre Interdisciplinaire d’Etude du Religieux (CIER) de la Maison des
Sciences de l’Homme de Montpellier. Membre du réseau d'échange et d'information sur les recherches
en sciences humaines et sociales francophones sur le Pacifique Sud (e-Toile Pacifique). Collaboration
occasionnelle avec le Groupe Sociétés Religions Laïcité de l’EHESS. Membre du comité de rédaction
de la revue « Perspectives Missionnaires ». Membre de la Société d’Histoire du Protestantisme de
Montpellier. Membre de l’Association Française Œcuménique de Missiologie (AFOM) et du Centre
de Recherches et d’Etudes de la Diffusion et l’Inculturation du Christianisme (CREDIC).
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=menu175&ou=mon
IPT Paris
Olivier ABEL
Président du Conseil scientifique du Fonds Ricœur, il a participé en 2012 à divers colloques et
séminaires internationaux, notamment à Genève, Rabat, Montpellier, Paris. Il est chercheur associé à
titre principal au CRAL (Centre de recherche sur les arts et le langage) de l’EHESS, et coordonne
aussi à l’EHESS avec Sabina Loriga un séminaire sur les usages publics du passé. Il fait partie d’un
réseau européen de recherche autour de Bayle. Membre du Conseil National de l’Eglise Réformée de
France depuis juin 2010, et de deux de ses commissions, il a animé de nombreuses conférences dans
les paroisses. Membre du Comité de rédaction de la revue Esprit, du Conseil scientifique du Centre
civique d’étude du fait religieux à Montreuil, du Conseil Ethique et Scientifique de la Fondation John
Bost, du Comité de rédaction de la revue Foi & Vie, il participe à titre d’organisateur au Forum des
Bernardins, et il est membre de la commission philosophie du Centre National du Livre. Il a poursuivi
ses chroniques dans La Croix, Réforme, l’émission mensuelle Traverses du monde sur Fréquence
protestante, et l’émission Kairos sur F2/Présence protestante.
Il a publié en 2012 : Paul Ricœur, Jacques Ellul, Jean Carbonnier, Pierre Chaunu, Dialogues, Genève,
Labor & Fidès.
Activités et publications en ligne : http://olivierabel.fr
434
Corina COMBET-GALLAND
Membre du Réseau de Recherche en Narrativité Biblique (RRENAB), elle a participé à son colloque
annuel à Louvain et dans ce même cadre de recherche, à un petit groupe de lecture avec les exégètes
du Centre Sèvres. Elle assure, avec Guy Balestier, secrétaire national de la CIPÉ, la responsabilité de
l’équipe de rédaction des Cahiers Bibliques de Foi et Vie ; elle est membre du conseil d’administration
de Foi et Vie. Elle fait partie des collaborateurs des Commentaires du Nouveau Testament chez Labor
et Fidès, à Genève. Elle est membre du Comité scientifique du Fonds Ricœur. Au niveau universitaire,
elle est intervenue à l'Université Inter-âges de Versailles, pour un week-end de formation biblique à
l'Institut Catholique de Paris. Envoyée par le Defap, elle a assuré pour la troisième fois un
enseignement intensif (60 heures de cours en juillet) à la Faculté de théologie protestante de Butare, au
Rwanda. Elle a le souci de la transmission des recherches académiques pour la vie de l’Église ; elle
contribue à la formation biblique continue sur le terrain, tant pour des pasteurs, en particulier avec la
CPLR, que pour des laïcs, par des conférences ou des animations de groupes.
Livre publié en 2012 : Pour Le Nouveau Testament Commenté, sous la direction de C. Focant et D.
Marguerat (Bayard / Labor et Fides), elle a rédigé le commentaire de 1 et 2 Pierre et de Jude.
Liste des publications : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-combet-galland&ou=par
Corinne LANOIR
Elle reste impliquée dans une réflexion sur les enjeux interculturels et pédagogiques de l’enseignement
biblique aujourd’hui, sur le plan académique et ecclésial, à l’IPT et en lien avec un projet de formation
du département « être église ensemble » de la fédération protestante italienne.
Elle a participé au colloque du RRENAB (Réseau de Recherche en analyse narrative des textes
bibliques, dont elle est membre du bureau), où elle a animé un atelier avec son collègue de
Montpellier, ainsi qu’au congrès de l’EABS (European association for Biblical Studies).
Elle est rattachée à l’UMR 7192 du Collège de France, animée par Thomas Römer et Dominique
Charpin. Elle est membre d’un groupe inter facultaire d’études de la Bible hébraïque pour des
rencontres d’étudiants en Master et en doctorat de Suisse et de France.
Elle est intervenue pour diverses conférences dans le cadre de divers groupes bibliques œcuméniques
(figures féminines et divinités dans le Proche Orient ancien, Ézéchiel, théologie de la libération…),
des émissions de Présence Protestante, un culte à France-Culture, des prédications en paroisse et des
interventions sur bible et homosexualité.
Elle a participé à diverses rencontres de la CEPPLE (Conférence des églises protestantes des pays
latins en Europe)
Elle est membre de la commission « bénédictions des couples pacsés » mise en place par l’EPUdF.
Elle est membre associée du Comité d’Edition de la Claudiana (Maison d’édition protestante
Italienne).
Elle a assuré un mois de formation biblique pour pasteurs et étudiants en théologie ou laïques engagés,
envoyée par le Defap au Nicaragua et par le Département Missionnaire suisse au Chiapas.
Pierre-Olivier LÉCHOT
Activités de recherche : Réalisation d’une HDR en cours à la Faculté de théologie protestante et
catholique chrétienne de Berne (Prof. Martin Sallmann). En lien avec l’Université du Maine et l’Ecole
pratique des Hautes Etudes, P.-O. Léchot coordonne le GRHP (Groupe de recherches d'histoire des
protestantismes), fondé en 2001. Trois journées d’études en 2013, dont une internationale en avril sur
les recherches à propos des académies protestantes (16e-19e siècles). Il participe également au
séminaire pluridisciplinaire "Politique et religion : recherches transatlantiques" (Versailles-SaintQuentin-Paris VIII-I.P.T.).
Il est en outre membre du groupe de recherche "Cultures of Knowledges" (universités d'Oxford et de
Prague) ; de l'International Society for Intellectual History (Oxford) ; de l'Association Jean-Jacques
Rousseau (Neuchâtel) ; de la Société suisse pour l'histoire du XVIIIe siècle (Fribourg) ; de
l'Association suisse pour l'histoire du Refuge huguenot (Berne), dont il a été président jusqu'en 2012 ;
du comité de rédaction du BSHPF ; du comité de la SHPF. Il a participé à cinq colloques ou journées
d’étude, à Paris, Lyon, Genève et Emden.
Responsabilités administratives hors IPT : Membre du conseil d’administration des éditions Labor et
Fidès.
435
Conférences et actions de formation dans différents lieux : paroisses franciliennes, paroisse SaintGuillaume de Strasbourg, paroisses de Suisse romande, Université populaire de Genève, Musée
international de la Réforme (Genève), Centre interrégional de perfectionnement du Jura.
Il a publié en 2012 une édition de la Profession de foi du vicaire savoyard de J.-J. Rousseau et codirigé
deux volumes collectifs.
Liens de la bibliographie sur le site IPT : http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-carbonnierburkard&ou=par
Jacques-Noël PÉRÈS
En conjugaison avec son enseignement de la patristique à l’IPT, Jacques-Noël Pérès enseigne à
l’Institut catholique de Paris l’éthiopien classique (ge‘ez) à l’ELCOA et l’histoire et la théologie des
anciennes chrétientés orientales à l’ISÉO, dont il est le directeur. Il est aussi chercheur libre au CNRS
(UMR 8584) et il collabore régulièrement avec le Centre d’études et de recherches orientales
d’Antélias au Liban. Il est membre de la Société asiatique, de la Société française pour les études
éthiopiennes, de la Société d’études syriaques, président de la Société pour l’étude de la littérature
apocryphe chrétienne et vice-président de l’Association pour l’étude de la littérature apocryphe
chrétienne. Il est en outre directeur de la publication de la revue Positions luthériennes et conseil
scientifique de la revue Apocrypha. Engagé dans les dialogues œcuméniques, il participe au Groupe
des Dombes et au Comité mixte catholique-protestant en France, il est membre du comité des
Semaines liturgiques Saint-Serge. Il représente d’autre part la Fédération protestante de France au
Comité du patrimoine cultuel (Ministère de la Culture).
Il a publié cette année comme directeur le volume Pratiques autour de la mort, enjeux œcuméniques,
Paris, Desclée de Brouwer, 2012 (Théologie à l’Université 24).
Liste des publications voir http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-peres&ou=par
Raphaël PICON
Responsabilité administrative principale : Raphaël Picon est depuis 2007 doyen de la Faculté de Paris.
Activités de recherche : Membre du Center for Process Studies (Claremont, USA), du Comité
d’organisation des Semaines d’études liturgiques (Conférences Saint-Serge), du Comité éditorial des
Editions van Dieren, de la Société internationale de Théologie pratique, du Comité scientifique de la
revue internationale de théologie et de spiritualité La Chair et le Souffle.
Rédacteur en chef du mensuel Evangile et liberté (articles publiés presque tous les mois).
Formation permanente des Eglises : En 2012, R.P. a donné une vingtaine de conférences grand public
(les services funèbres, Emerson, l’architecture des temples protestants, les prières dites de délivrance,
le dialogue interreligieux) et a participé à des programmes de formation pour les conseillers
presbytéraux et les prédicateurs laïcs notamment.
Il est souvent invité à participer à des émissions de radio et de télévision (Editoriaux de l’émission
« Protestants parlons-en, sur France 2 », notamment). Il prêche régulièrement en région parisienne et
en province.
Il a publié cette année aux éditions Labor et Fidès, Délivre-nous du mal. Exorcismes et guérisons : une
approche protestante.
Liste des publications sur http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-picon&ou=par
Nicola STRICKER
Activités de recherche : N.S. prépare son HDR à l’Université de Zurich (« La problématisation du sola
scriptura et l’approche herméneutique de Paul Ricœur »). Depuis avril 2012, elle est la directrice du
Fonds Ricœur.
En avril 2012, N.S. a donné une conférence sur l’espérance au temple de Lille. En juin, elle a participé
à une table ronde œcuménique sur « Croire. Une aventure contemporaine » (Saint-Eustache, Paris). En
tant que directrice, elle a présenté le Fonds Ricœur à plusieurs occasions, entre autres dans le cadre
d’une journée d’étude sur la traduction, organisée le 25 juin par le Fonds Ricœur et l’Ecole des Hautes
Etudes en Sciences Sociales. En septembre 2012, N.S. a participé au THAT-Camp Paris, un colloque
interdisciplinaire sur les humanités numériques. En octobre 2012, elle a donné une conférence sur le
rapport entre dogmatique et éthique dans le cadre de Théodoc, le réseau doctoral européen des facultés
436
de théologie de langue française. En décembre 2012, elle a codirigé et animé la session intensive des
facultés de Paris, de Montpellier et de Genève, consacrée au sujet de la vocation.
N.S. fait partie du Conseil scientifique du Fonds Ricœur. Elle est directrice adjointe d’Etudes
Théologiques et Religieuses et membre du comité de rédaction des Positions Luthériennes ainsi que de
celui des Etudes Ricœuriennes / Ricœur Studies. Elle est membre du comité directeur de la
Gesellschaft für die Geschichte des reformierten Protestantismus et du comité éditorial de la Fondation
Pasteur Eugène Bersier. N.S. est chargée d'écrire des expertises pour le Fonds National Suisse de la
Recherche.
Responsabilité administrative hors IPT : N.S. est membre du CA de la Faculté de théologie protestante
de Strasbourg.
Responsabilités ecclésiales : N.S. est chargée de célébrer au moins un culte par mois dans une paroisse
luthérienne. Elle est membre de la commission théologique de l’ANELF. En mars 2012, elle a
participé à l’assemblée préparatoire de la future Eglise unie à Versailles en tant que déléguée de l’IPT.
Pour la bibliographie voir http://www.iptheologie.fr/page.php?ref=p-stricker&ou=par.
IPT Annexe 5
Partenariats à l’international
Accords intégrés au programme Erasmus (échanges d'étudiants et d'enseignants) :
Zurich, Heidelberg, Wuppertal, Edimbourg, Rome, Vienne, Prague /IPT Paris
Autres accords
Faculté de Montpellier
Dans le cadre des villes jumelées, la Faculté est en lien avec les universités de Heidelberg en
Allemagne (depuis 1928) et Louisville aux USA (depuis 1970). Elle est aussi jumelée avec la Faculté
de théologie de Richmond aux USA. En 2001 un accord de coopération et d’échange a été signé avec
la faculté de théologie de l’université de Laval au Canada et renouvelé en 2006. En 2004, dans le cadre
de l’accord entre les Pôles universitaires des deux villes, un accord de coopération scientifique a été
signé avec la Faculté de théologie de l’Université de Sherbrooke au Canada. Ces relations se
concrétisent par des échanges d’étudiants et d’enseignants ; un accord concernant l’attribution de
bourses permet à des étudiants de Laval, Richmond, et Heidelberg de passer une année d’études à
Montpellier et réciproquement.
Faculté de Paris
La Faculté est jumelée depuis longtemps avec la Faculté de théologie de Wuppertal en Allemagne
(Bethel). Elle entretient des coopérations régulières avec les universités de Bonn, Heidelberg, Jena en
Allemagne, de Zürich en Suisse, de Lund en Suède, de Chicago, New York (Union Theological
Seminary) aux USA, de Kyoto au Japon. En 2002 un accord de coopération et d’échange
d’enseignants et d’étudiants a été signé avec la Faculté de théologie de Hanshin à Séoul en Corée du
Sud. Par l’intermédiaire de l’un des enseignants, la faculté est en relation avec le Centre d’études et de
recherches orientales (CERO) d’Antélyas au Liban.
437
Titre IV – ELECTIONS QUADRIENNALES
Rapport du groupe de préparation
Présentation des candidats
Liste des candidats par instance
RAPPORT DU GROUPE DE PREPARATION DES ELECTIONS
INTRODUCTION
Préambule
Le groupe de préparation des élections a été désigné lors de la séance commune des comités
directeurs42 des 27-29 Janvier 2012. Il n'est pas formellement une commission des nominations au sens
où en parle la nouvelle Constitution mais il a fonctionné comme tel. Un accord a été donné en ce sens
par la commission des affaires générales au conseil national de l'ERF. Le conseil exécutif a également
validé le principe. Ainsi les membres ont été choisis en analogie avec ceux d'une commission des
nominations : 1 personne désignée par chacune des instances : Pôle national de formation (PNF),
Coordination interrégionale pour l'évangélisation (CIPé), Commission des ministères (CdM),
Commission des affaires générales (CAG) ;
2 personnes désignées par le conseil exécutif ;
3 personnes désignées par le conseil national.
Voici les membres du Groupe de Préparation des Elections validés par les comités directeurs :
Commission des affaires générales
Valérie Mali
Commission des Ministères
Christian Seiler
Coordination interrégionale pour évangélisations
Christian Tanon
Pôle national de formation
Bernard Dugas
Conseil exécutif
Joël Dautheville et Jean-Claude Deroche
Conseil national
Daniel Gaubiac, Pierre Laurent, Isabelle Veillet
Les comités directeurs ont demandé à Joël Dautheville d'en être le coordinateur.
Ce rapport vise à donner quelques informations sur le travail du groupe et éclairer les propositions
validées par les comités directeurs, et à faciliter, peut-être, le vote des synodaux.
Un merci !
Le groupe de préparation aux élections tient à remercier les personnes qui ont déclaré leur
disponibilité assez tôt permettant ainsi de construire l'ensemble des propositions qui sont faites.
Il remercie également les Conseil national, Conseil exécutif, Commissions des ministères, Pôle
national formation, Coordination interrégionale pour l'évangélisation pour la définition des profils des
personnes et des compétences à rechercher. Les suggestions pertinentes des présidents de région et
inspecteurs ecclésiastiques ont également été précieuses. La réflexion du groupe a été ainsi nourrie par
tous ces apports et a permis l'orientation des recherches avec la prise en compte entre autres, du
passage à l'Eglise protestante unie.
Méthodes
Du fait du décalage des dates des assemblées générales électives et surtout des synodes régionaux
électifs repoussés de novembre 2012 à Mars 2013, le temps de travail du groupe a été raccourci de 4
mois par rapport à une année électorale classique. Il a donc été nécessaire d'anticiper les consultations
avec les aléas afférents à ce genre d'exercice.
Quelques chiffres
Plus de 160 noms de personnes ont été évoqués pour 95 sièges à pourvoir (66 titulaires et 29
suppléants) y compris la commission de discipline.
42
Les comités directeurs sont formés du conseil exécutif de l'Eglise Évangélique Luthérienne de France et du conseil
national de l'Eglise Réformée de France.
440
En ce qui concerne les rencontres : il y a eu 9 réunions dont 8 à Paris et 3 conférences téléphoniques,
sans compter les échanges de mails.
De nombreux contacts ont été pris pour connaître les disponibilités des personnes pressenties en cas
d'appel par les comités directeurs. Il y a eu beaucoup de réponses positives mais aussi des réponses
négatives pour raisons de santé ou de disponibilité familiale, professionnelle, qu'elles soient
ponctuelles ou non. Les contacts ont été fraternels.
Le groupe de préparation a rencontré les comités directeurs à 3 reprises (les 7 décembre 2012, 26
janvier et 23 mars 2013) pour rendre compte de ses travaux et écouter les suggestions. Le 23 mars, les
comités directeurs ont validé l'ensemble des propositions soumises au vote des délégués synodaux.
A la demande des comités directeurs, le groupe de préparation des élections a fait également des
propositions pour la commission de discipline. Celle-ci est nommée par le conseil national et n'est
donc pas soumise au vote du synode national. C'est pourquoi les propositions ne figurent pas dans ce
rapport mais sont transmises au conseil national.
Critères
Certains critères exigés par la Constitution et les décisions des Synodes de Belfort43 sont à respecter :
nombre de laïcs et de ministres, qualité de membres ou non du synode national, représentation
luthérienne, nombre de titulaires et de suppléants, etc.
D'autres critères, non constitutionnels, ont été pris en compte.
Recherche du plus grand équilibre possible :
entre les régions,
entre le nombre de femmes et d'hommes sur l'ensemble des sièges à pourvoir. Sur 66 sièges de
titulaires, il y a 37 % de femmes.
Recherche d'une composition des listes qui reflète le mieux possible la diversité de l'Eglise protestante
unie.
43
Voir la décision 8. Préparation des élections 2013 (SGN Belfort) :
Vu l'article 12 et 16 de la Constitution,
Vu le .§ 4 du Règlement d'application de l'article 16,
Sur proposition du conseil exécutif et du conseil national,
Le synode général/national décide, en vue de la préparation des élections qui auront lieu au cours de la première session du
synode national de l'Eglise protestante unie,
d'élire dix ministres au conseil national,
de fixer à six le nombre de membres titulaires et à trois le nombre de membres suppléants à élire pour la commission des
affaires générales,
de fixer à cinq le nombre de membres suppléants à élire pour la commission des ministères,
de fixer à sept le nombre de membres suppléants à élire pour la commission d'appel,
de fixer à sept le nombre de membres de chaque coordination nationale.
Voir les articles de la Constitution et du Règlement d'applications relatifs aux élections par le synode national dans ce
tableau récapitulant les références aux prescriptions de la Constitution à l'occasion du renouvellement quadriennal.
Organe
Constitution
Règlement d'application
Conseil Régional Conseil national
9 §§ 2 et 3 12§§let2
9, § 4.1.
Commission des affaires générales
12 § 6 et § 10 (suppléants)
12 §
6, a
Commission des ministères
12 § 6 et § 10 (suppléants)
22 §
9.1.
Commission de réexamen
22 §
10.1
Commission de théologie
12, §
5.2.
Commission de discipline
12, §
5.3.
Commission d'appel
12 § 6 et § 10 (suppléants)
12, §
6, c
Commission des finances
12 §
5.4.
Coordinations nationales
12, §
7
Délégation à l'AG de la FPF
11 § 2, 6° tiret (titulaire)
12 §5.2. (suppléants)
441
Remarques sur les différentes instances
Le conseil national : les membres ne sont pas appelés à être le porte-parole d'une région ou d'un
organisme, mais à faire vivre un ministère collégial avec des qualités d'écoute, un engagement à la
discrétion et à l'assiduité aux rencontres, avec le désir de prendre la parole et de stimuler l'Eglise
protestante unie dans sa mission d'annoncer l'Evangile. Le groupe a veillé à ce que toutes les régions
soient présentes au conseil national et a souhaité la présence d'un président de région ou d'un
inspecteur ecclésiastique pour contribuer au lien entre le régional et le national. Il a souhaité également
la présence de deux professeurs de théologie pour aider le conseil national à prendre de la distance sur
des sujets de société, de théologie systématique et pratique. Il a souhaité également que ces deux
professeurs viennent de chacune des deux facultés, Paris et Montpellier. Par ailleurs, il a semblé
important, malgré le petit nombre des luthériens, que le premier conseil national de l'Eglise protestante
unie ait une présence luthérienne significative (5 personnes au lieu de 4 minimum d'après la
Constitution). Il a cherché à réunir des hommes et des femmes, ministres et laïcs venant d'horizons
professionnels divers capables de travailler ensemble au service de l'Eglise protestante unie.
La commission des ministères : Vu les différentes cultures ecclésiales en la matière, et son cahier des
charges, il a paru important que des membres des anciennes commissions des ministères luthériennes
et réformées soient présents dans celle de l'Eglise protestante unie, pour faire vivre cette communion
luthérienne et réformée sur la question des ministères et l'accompagnement des proposants. Son travail
nécessite une forte implication de ses membres tout au long de l'année.
La commission des affaires générales : Elle a pour but de faire grandir le Synode national dans sa
façon de vivre et d'aborder les sujets à l'ordre du jour. Elle doit avoir une qualité pédagogique à
l'endroit des synodaux pour ne pas noyer les délégués sous un déluge de remarques, mais pour faire
ressortir l'essentiel qui permet au Synode de progresser dans sa mission. Elle doit être dotée de
compétences en matière de gestion de finances et de lecture « critique » des rapports. Ses membres
doivent être des personnes qui connaissent bien le fonctionnement de l'Eglise et des sages en capacité
d'exprimer des critiques sans s'enfermer dans une logique de contre-pouvoir.
La commission de discipline et la commission d'appel : La commission de discipline n'est pas élue par
le synode national mais nommée par le conseil national. A la demande des comités directeurs, le
groupe de préparation des élections a travaillé sur sa composition pour équilibrer les compétences et
les profils entre ces deux commissions. Dans un cas comme dans l'autre, il est demandé que ses
membres soient tout à la fois ouverts et à l'écoute des personnes et en même temps en capacité de
prendre des décisions parfois difficiles. La Constitution a prévu beaucoup de suppléants car les
titulaires peuvent être récusés ou se récuser eux-mêmes.
Les coordinations nationales : Elles sont précieuses pour l'animation théologique, la stimulation
pédagogique, missionnaire et catéchétique de l'Eglise et des églises locales/paroisses. Il est prévu de
les faire fonctionner ensemble tant leurs champs de réflexion et d'action sont proches. C'est pourquoi
le groupe de préparation des élections a réfléchi davantage à l'ensemble des deux qu'à chacune
séparément (cf. décision 11 du synode national de Belfort, 2012).
Rappels
La façon dont les suppléants, laïcs et ministres, seront appelés à devenir titulaires durant la prochaine
mandature de 4 ans sont stipulés au § 2 et 9 du Règlement d'application de l'article 16 :
Règlement d'application de l'article 16 § 2
Remplacement des titulaires
A la suite de la vacance d'un siège, l'ordre dans lequel les suppléants deviennent titulaires est
déterminé par le nombre de voix obtenues au moment des élections : en cas d'égalité des voix, l'ordre
est déterminé par tirage au sort.
442
Règlement d'application de l'article 16 § 9.3
Si la vacance d'un siège est susceptible de conduire à la représentation d'un collège inférieure au
minimum antérieurement décidé, le remplaçant doit être désigné... en tenant compte prioritairement
des membres suppléants élus au titre du même collège confessionnel.
Pour mieux connaître les personnes appelées, titulaires et suppléantes, chacune d'entre elles a été
invitée à se présenter sous formes de quelques lignes reproduites dans le rapport.
Conclusion
Comme le disait Talleyrand, Si cela va sans le dire, cela ira encore mieux en le disant. L'Eglise
protestante unie n'est pas l'ERF à laquelle se seraient ajoutées 2 régions luthériennes. Elle n'est pas non
plus un agrandissement de l'EELF qui passerait de 2 à 10 régions. En effet les instances comme le
conseil national et la commission des ministères ne sont pas la somme de chacune des instances
antérieures luthériennes et réformées. Elle est une Eglise unie qui s'oblige à penser et à vivre sous un
nouveau jour sa communion dans laquelle chaque tradition a sa place et fait de la place à l'autre. C'est
dans cet esprit que le groupe de préparation des élections a travaillé et aux dires de ses membres a
travaillé en toute fraternité et en pleine communion nourrie par l'aumônerie en début de séance.
Pour le groupe de préparation des élections Joël Dautheville, coordinateur
ELECTIONS
PRESENTATION DES CANDIDATS
1) CONSEIL NATIONAL
Titulaires
BARY (de) Emmanuel : né en 1945. Retraité. Inscrit dans la paroisse de Batignolles à Paris et dans la
paroisse de Levallois-Perret (région parisienne). Prédicateur laïc pendant mon service militaire,
embarqué dans la marine (1969-1970) et sans discontinuer à un rythme soutenu (environ 3 cultes par
mois) depuis 2000. Conseiller presbytéral de la paroisse de Salindres (près d’Alès) pendant 2/3 ans
dans les années 80. Catéchète (4ème année) dans la paroisse de Rambouillet 1996-2000. Administrateur
du CASP depuis environ 6/7 ans et de la Librairie protestante.
BOSS Marc : né en 1961 en République fédérale allemande, de nationalité suisse, marié, deux enfants.
Etudes en théologie, notamment à l’IPT, puis ministère pastoral dans l’Eglise réformée de France à
Nancy. Actuellement enseignant-chercheur en théologie systématique à la faculté de théologie de
Montpellier et rédacteur de la revue Etudes théologiques et religieuses. Membre du conseil national et
coordinateur de son groupe théologique depuis 2000.
BREYNE Jean-François : 49 ans, marié à Laurence, père de 4 filles et grand-père de deux petitsenfants. Etudes de théologie à l’IPT Paris puis Montpellier. Commence le ministère dans l’EELF
comme diacre, puis dans l’ERF comme pasteur en 1996 dans le Viganais, puis au service de l’Eglise
de Nîmes. Vice-président du conseil régional de CLR pendant deux mandats, responsable pendant
plusieurs années de la formation des prédicateurs régionaux. Très engagé dans l’œcuménisme et le
dialogue interreligieux. Aime le désert du Sahara et les « Pure malt » !
FIEVET Didier : né en 1952, pasteur de l’Eglise réformée de Toulouse (SO). Pasteur à 46 ans, depuis
1998, d’abord à Montpellier (6 ans), puis à Rennes (7 ans) et Toulouse (depuis 2 ans). Membre
pendant trois ans du conseil régional CLR, puis pendant 65 ans du conseil régional de l’Ouest,
membre du conseil national depuis 2011. Pasteur « polyvalent », néanmoins particulièrement intéressé
par la formation et le dialogue avec la culture.
443
FREY Jean : né en 1950, marié deux enfants, actuaire réassureur à la retraite. A toujours été paroissien
de l’Eglise protestante unie de l’Annonciation à Paris. Membre du conseil presbytéral pendant 18 ans,
il vient de le quitter après en avoir assuré la présidence pendant 9 ans. A participé à de nombreux
synodes régionaux et nationaux de l’ERF. Il garde des responsabilités au sein de son Eglise locale
mais est aussi engagé, aujourd’hui à Fréquence protestante et à la Fondation Pasteur Eugène Bersier.
HELLER Nadine : née le 9 mai 1965 à Colmar. Pasteur à l’Eglise protestante unie du Moyen-Eyrieux
(Ardèche). Issue de l’Eglise luthérienne en Alsace, j’ai fait mes études de théologie à la faculté de
théologie de Strasbourg après l’obtention de mon baccalauréat. Mon cheminement m’a ensuite amenée
à m’engager au sein de l’Eglise réformée de France. J’ai effectué mon DESS (master professionnel) à
l’IPT de Montpellier en 2004-2005, j’ai effectué mon proposanat dans l’Eglise réformée du MoyenEyrieux où je suis encore pasteur à l’heure actuelle.
HILDEBRAND Patricia : née en 1950, HEC et Sciences Po, responsable financière chez EADS,
créatrice d’une start-up informatique. Bientôt retraitée. Mère juive et père athée. Vient à la foi
chrétienne par mon mari, berlinois, protestant pratiquant. Trois enfants baptisés et confirmés. Président
du CP de la paroisse luthérienne de la Réconciliation à Suresnes. Les valeurs importantes auxquelles je
tiens : ouverture d’esprit – honnêteté et sens du partage. Mon objectif : service l’Eglise protestante
unie de France dans le cadres de mes compétences.
JOUVE Françoise : née le 9 juin 1957. Mariée, j’ai un fils et une fille. Psychothérapeute, thérapeute de
couple, conseillère conjugale et familiale de formation. Je suis au conseil national depuis mai 2010 ;
présidente de l’Entraide protestante de Montauban ; élue au conseil régional Sud-Ouest de l’Entraide
protestante ; catéchète pendant 10 ans. Je chante dans la chorale de ma paroisse. J’ai réfléchi dans un
groupe sur certains textes bibliques à la lumière de la psychanalyse.
LASLANDES Henry : marié, 2 enfants, 71 ans, d’origine catholique. Adhérent à l’ACAT (depuis
1982 ; membre du bureau pendant trois ans) et à « Primo Levi » (au conseil d’administration,
représentant l’ACAT, puis membre du bureau). Paroisse de Besançon de 1976 à 1986 (commission
financière). A Port-Royal, Paris jusqu’en avril 2003 (début Comme prédicateur laïc). Retour à
Besançon ; prédicateur laïc depuis 2005, membre du CP (2006-2009) ; depuis juin 2012, responsable
de la « commission protestante pour l’Unité des chrétiens » de la paroisse ; adhérent à l’Entraide
protestante et membre du conseil d’administration de l’association protestante d’action sociale. Passé
professionnel : directeur des audits et des ressources humaines.
LAURENT Christiane : née le 13 octobre 1956 à Montbéliard. Mariée, 3 enfants. Depuis janvier 2002,
directrice de la Résidence Surleau, EHPAD, à Montbéliard, un établissement de la Fondation Arc en
Ciel. Membre de la commission des ministères pendant une dizaine d’années, membre pendant
quelques années du conseil exécutif. Membre de la paroisse Etupes Exincourt Taillecourt, sans
mission particulière.
MESNIL Lucile : née en 1952, enseignante en lettres classiques, retraitée. J’ai vécu à Dijon, Talence
(33), Calais depuis 1979 où j’ai épousé Christian, enseignant – 3 enfants, une petite fille Elia – Je
passe trois mois par an en Lauragais (81) ; engagée dans l’ERF là où j’ai habité, présidente du CP de
Calais 12 ans, membre du pôle régional KT en Nord-Normandie jusqu’en 2011, déléguée Théovie en
NN depuis 2008, membre du CN et de l’équipe Théovie depuis 2010. Sensible à la formation, à la
transmission, à la vie (si fragile !) des petites Eglises, je poursuis avec joie mon engagement dans
notre Eglise.
MICHAU Marie-Christine (née Donzé), mariée, 5 enfants. Née le 14 mai 1949 à Belfort. Père
luthérien, mère catholique, éducation dans l’Eglise évangélique luthérienne de France. Professeur de
physique, retraitée. Membre du conseil presbytéral de la paroisse de Belfort-Giromagny (Pays de
Montbéliard) de 1994 à 2008. Président du conseil presbytéral de la paroisse de Belfort-Giromagny de
2003 à 2009. Au conseil exécutif de l’EELF depuis 2009. Membre du Comité central du COE depuis
2006. De 1998 à 2008 : études de théologie (Université Marc Bloch de Strasbourg, Faculté de
théologie protestante). Docteur d’état en théologie Engagements dans le dialogue œcuménique (FPF,
catholiques, CNEF…) et le dialogue interreligieux.
444
MORLACCHETTI Paolo : né le 4 décembre 1972 à Susa en Italie. Pasteur – Eglise locale de Canne
(PACCA). Né en Italie d’une famille protestante, j’ai été actif dans les mouvements de jeunesse
italiens et au sein de mon Eglise locale à Turin. Après des études littéraires et de langues étrangères,
j’ai obtenu la maîtrise de théologie à la Faculté vaudoise de Rome où j’ai suivi l’intégralité de ma
formation. En France depuis 2004, j’ai été pasteur dans le poste ERF de Petite Camargue, et depuis
2007, à Cannes.
PANGU Mayanga Elysé : né au Congo en 1957. Trois paroisses m’ont accueilli depuis le début de
mon ministère dans l’EELF : le Plateau de Blamont dans les années 80, le Châtelot dans les années 90
et Valentigney depuis 2002. Avec une dimension régionale importance : au conseil exécutif et à la
CDM nationale, au conseil du Défap et de la Cevaa. Père de trois enfants, un garçon de 19 ans, une
fille de 17 ans et une dernière de 13 ans.
PATRZYNSKI Jean-Frédéric : né le 17 septembre 1956. Pasteur, inspecteur ecclésiastique de la
région confessionnelle luthérienne de Paris. Ordonné au ministère pastoral le 21 novembre 1982.
Premier poste dans la paroisse de la Réconciliation à Suresnes. Aumônier de la clinique La Montagne
à Courbevoie. En 1997, deuxième poste dans la paroisse luthérienne de Lyon. Depuis intervenant
régulier sur les ondes de RCF. Troisième poste à partir de 2009, paroisse St-Matthieu de PontaultCombault. Installé dans le ministère d’inspecteur ecclésiastique de Paris le 1er mai 2011. Co-auteur du
livre « La souffrance assumée, le passe de la mort à la vie ».
PICON Raphaël : né en 1968, marié et père de trois enfants. Après des études de théologie à Paris,
Tripoli (Liban) et New-York, je deviens pasteur en 1994. Après un ministère dans la région NordNormandie de l'ERF et comme chargé de mission aux relations internationales de l'ERF, je suis
nommé, en 2002, à la Faculté de Théologie protestante de Paris où j'enseigne la Théologie pratique. Je
suis le doyen de la faculté depuis 2007 et rédacteur en chef du mensuel Evangile et liberté. J'aime
beaucoup la littérature, le cinéma et la photographie.
RICHARD Denis : 67 ans, marié avec Marie-Odile, 3 enfants qui approchent ou dépassent la trentaine
et nous demeurons à Bois-Guillaume et sommes membres de l’Eglise de Rouen. Retraité depuis juillet
2010 et antérieurement directeur des projets dans une société d’ingénierie spécialisée dans les
infrastructures : routes, autoroutes… Deux ans au Cameroun en tant qu’envoyé du Défap, à l’époque
« société des Missions » ; président de la FEEUF entre 1982 et 1986, responsable international de la
FEEUF et du Scoutisme français entre 1986 et 1993. Membre du conseil régional de la région NordNormand de l’ERF entre 1994 et 2009 ; trésorier du conseil régional entre 1997 et 2009 ; membre du
conseil national depuis 2010 et trésorier adjoint depuis fin 2011.
ROETMAN Jan-Albert : né le 15 février 1961 aux Pays-Bas. Marié avec Hetty Visscher. Nous avons
deux enfants. Après mes études à l’université d’Utrecht, j’ai fait mon proposanat dans la Vallée du Lot
en 1990. Depuis 1996, j’ai retrouvé mon profil nordique en occupant le poste de Dunkerque et ensuite
le poste de président du conseil régional de la région Nord-Normandie (2000-2009). Depuis 2010, je
suis pasteur à Lille et depuis 2007, membre du conseil national.
SCHLUMBERGER Laurent : né en 1957 – pasteur. Je suis marié avec Sophie (ministre, animatrice
biblique), père de famille et grand-père. J’ai été pasteur en poste successivement à Asnières-BoisColombes, Nantes, Laval, à la présidence du conseil régional de l’Ouest, à la Mission populaire
évangélique (Foyer de Grenelle) ; depuis 2010, je préside le conseil national.
Dans mon ministère pastoral, j’attache une importance particulière à la prédication, à l’écoute patiente
et singulière, au discernement de la place de chacune et chacun, à la rencontre. Dans le travail
d’équipe, j’essaie d’apporter clarté, recherche de cohérence, confiance, humour.
Par ailleurs, j’ai du goût par exemple pour la lecture de romans, le vol des bernaches sur la mer qui se
retire calmement au petit matin, les macarons, la musique écoutée et jouée, l’aéronautique, les huîtres,
les contrepèteries…
445
SERFASS Eric : né le 23 décembre 1962. 50 ans, marié, 3 enfants de 21, 19 et 15 ans. Membre de
l’Eglise réformée de Pau, région Sud-Ouest. Magistrat (juge de l’application des peines à Pau).
Membre sortant du conseil national. Depuis 2 ans, membre de l’Eglise réformée de Pau, conseiller
presbytéral depuis novembre 2011 et, antérieurement, 13 ans membre de l’Eglise réformée de Nantes
et Loire Atlantique dont 10 ans au CP et membre et conseiller presbytéral au sein des Eglises
réformées de Tours et de Clamart/Issy les Moulineaux.
Suppléants
ADZRA Victor : né le 7 juillet 1960. Pasteur Eglise protestante unie d’Ermont-Taverny (Région
parisienne). Après mes études de théologie à la faculté de théologie protestante de Yaoundé (19921996), j’ai été ordonné en 1999 pasteur de l’Eglise évangélique presbytérienne du Togo (EEPT), Elise
membre fondatrice de la Cevaa. J’ai servi en paroisse à Lomé et sa banlieue puis comme secrétaire
administratif de l’EEPT. Envoyé auprès de l’ERF en 2004, mon premier poste fut l’Eglise réformée de
Charenton-Créteil (RP). Je suis inscrit au Rôle de l’ERF depuis 2008. Je suis délégué de la RP au
synode national depuis 2010.
CHAVEL Frédéric : né le 5 mai 1975. Pasteur à la paroisse Saint-Jean – Inspection luthérienne de
Paris. Origines familiales luthériennes et catholiques. Choisit le protestantisme, activités de catéchèse
et groupe de jeunes. Etudes de théologie à Paris, Stras bourg, Berlin, Genève, spécialisation en
systématique – doctorat en cours. Stagiaire, proposant puis pasteur ordonné depuis 2002 à Paris-SaintJean. Président de consistoire, vice-président du conseil synodal de Paris, membre du conseil exécutif.
Intérêt particulier : l’œcuménisme de la diversité partagée.
COURNOT Marie-Pierre : née en 1965 – Médecin pendant 17 ans, actuellement étudiante en
théologie à l’IPT à temps plein. Eglise locale de Pentemont-Luxembourg en région parisienne.
Je fréquente depuis l’enfance la paroisse de Pentemont. J’ai été élue au conseil presbytéral en 2003,
puis au bureau du CP de Pentemont-Luxembourg en 2006 après la fusion des deux paroisses : 3 ans
vice-présidente, puis 2 ans présidente et de nouveau vice-présidente depuis 2 ans.
IMIZCOZ Daniel : né en 1951 à Bollène (84). Petit-fils et arrière-petit-fils de pasteur de l’Eglise
évangélique Espagnole (directement issue de l’évangélisation de l’ERF en Espagne). Fils de militaire
de l’armée républicaine espagnole, réfugié en France après la victoire des Franquistes en 1936.
Catéchisme avec le pasteur Alec Westphal, à Valence. Etudes supérieures à Grenoble. Réconciliation
avec l’Institution protestante et adhésion à l’association cultuelle de l’ERF de Grenoble dans les
années 90. Catéchète, webmestre de la paroisse. Création du 1er site web de l’Eglise réformée de
Grenoble. Membre du CP depuis 13 ans, trésorier pendant 3 ans, vice-président pendant 2 ans.
MUSI Giovanni : né le 17 octobre 1950 à Milan en Italie. Pasteur à Fressinières-Briançon-Queyras
(Hautes Alpes) depuis 2009. Je me suis rapproché de l’Eglise réformée de France depuis 1993 ayant
rencontré Samuel Sahagian pasteur de la paroisse du Luxembourg à Paris, ville dans laquelle j’ai vécu
de 1989 à 2009, j’ai été membre du conseil presbytéral de cette paroisse. En 2004, après avoir quitté la
banque où j’étais cadre supérieur, je me suis inscrit à l’IPT de paris et j’exerce le ministère de pasteur
depuis 2009.
NEME-PEYRON Vincent : né le 21 juillet 1963. Ministre de l’EPUdF à Asnières Bois-Colombes.
Institutionnellement, j’ai été membre du conseil régional en région parisienne (2003-2012) dont 3 ans
comme président du consistoire (2003-2006) puis comme vice-président, délégué au synode national
(2006-2012). J’ai été catéchète régional (1995-1998), formateur CPLR (2000-2003), représentant du
conseil national auprès des EEUdF (2010).
PARET Michel : né en 1957. Après avoir travaillé dans le milieu ecclésial et médico-social, je suis
depuis 2004 au service de Jésus-Christ comme aumônier à l’hôpital de Niort (Poitou) et pasteur pour
l’Eglise protestante unie de Fontenay-le-Comte et sud Vendée (région Ouest). Membre de la
délégation régionale au synode national (2009-2013), j’ai beaucoup apprécié cette dimension de la vie
de l’Eglise.
446
RAFINESQUE Christine : en 1986, accompagnée par le pasteur Jean-Claude Dubs à St-Germain-enLaye, je découvrais l’Eglise réformée de France lors de la préparation de mon mariage avec Arnaud
Rafinesque. D’appartenance catholique, née le 14 mars 1960, la communauté protestante m’a étonnée
par son ouverture spirituelle, sa tolérance, sa sobriété. C’est en 2002 que j’ai accepté la fonction de
trésorière d’Antibes. Depuis, je contribue à la dynamique de ma paroisse selon mes capacités et ma
disponibilité. Je me sens totalement engagée dans ma vie spirituelle, prête à aller plus loin.
ROCHE Annie-Claude : née le 11 avril 1943. Retraitée. Vie professionnelle : chercheur en biochimie,
Inserm-CNRS. Membre de l’Eglise réformée d’Orléans, 12 ans au conseil presbytéral, présidente
(2009-2012), membre du conseil régional de la région Ouest, secrétaire du bureau (élue le 16 mars
2013).
WARTELLE Sylvaine : originaire du Pays de Montbéliard, je vis depuis 15 ans dans la paroisse de
Belfort-Giromagny. Monitrice d’école biblique, j’ai participé à plusieurs instances : 10 ans au conseil
régional dont j’ai été secrétaire ; trésorière puis présidente de consistoire, en particulier lors de la mise
en place du projet « de redynamisation » dans notre région. Actuellement, je préside le conseil
presbytéral et suis au conseil de consistoire. J’ai 40 ans et suis mariée, mère de trois enfants.
Professionnellement : chargée de communication et évènementiel.
2) COMMISSION DES MINISTERES
Titulaires
BACCUET Christian : né le 23 décembre 1963. Né dans une famille engagée dans l’ERF, j’ai grandi
dans le Gard puis dans l’Ardèche. Après une licence d’histoire à Lyon, j’ai fait mes études de
théologie à Paris et à Montpellier et un service civil à l’ACAT. Je suis pasteur depuis 1991, en poste à
Nevers et Moulins en Centre-Alpes-Rhône (1991-1998), puis au Vésinet en région parisienne (19982007). Depuis 2007, je suis président de la commission des ministères de l’ERF. Entre autres
engagements, je suis membre du Groupe des Dombes.
CARAYON Gilbert : née le 20 mai 1952 à Montélier (26) Pasteur à Chabeuil-Châteaudouble dans la
région CAR de l’Eglise protestante unie de France. Pasteur dans l’Eglise adventiste de 1978 à 1989.
Dernier poste à Alger (Algérie), puis démission. Retour aux études de théologie de 1989 à 1991
(Faculté de théologie protestante de Strasbourg) ; proposanat à Evreux (RP) de 1992 à 1994, après un
stage en surnombre à Rouen ; pasteur à Evreux de 1994 à 1999 ; pasteur en Haute-Provence de 1999 à
2010 ; pasteur à Chabeuil depuis 2010.
COLOMBERO Annie : née en 1969, mariée et mère de trois ados, enseignante en classe élémentaire,
vit à Saint-Geniès de Malgoirès dans le Gard. J’ai été longtemps catéchète, je suis membre d’un CP en
Gardonnenque depuis 15 ans, de l’Equipe régionale de catéchèse en CLR depuis 6 ans et de la
commission des ministères depuis septembre 2012. C’est toujours dans la joie de Jésus-Christ que
j’espère contribuer à servir l’annonce de l’Evangile dans l’Eglise protestante unie de France.
DIMBAYE Mirana : née le 22 février 1953 à Madagascar. A travaillé de 1980 à 2004 dans l’Eglise
protestante du Christ-Roi en Centrafrique comme pasteur ; animatrice théologique et ensuite
responsable de la Solidarité protestante en Centrafrique ; de 1989 à 1995 envoyée Cevaa à l’Eglise
protestante du Sénégal. Pasteur de l’EELF-Montbéliard depuis 2004. A été membre de la CDM de
l’EELF.
ESCOT Marie-Françoise : née le 8 juin 1942. Membre de l’Eglise protestante unie de l’Est Varois
(PACCA). Mariée, sans enfant, psychologue clinicienne hospitalière à la retraite. Catéchète à 25 ans,
j’ai ensuite répondu à différentes demandes de l’Eglise. J’ai alors été secrétaire de conseil presbytéral,
rapporteur de sujets synodaux, membre de commissions régionales et nationales, prédicatrice,
aumônier puis modératrice de synode régional, avec en parallèle tous les engagements ponctuels et
joyeux si partagés. Membre à ce jour de la CDM depuis six ans.
447
GOURLAN Béatrice : née le 27 avril 1947. Infirmière à la retraite. Paroisse de Noisy-le-Grand
(Inspection Ile de France). Après avoir accompagné mes trois enfants sur leur chemin de catéchèse et
m’être nourrie spirituellement par l’écoute de la Parole durant une longue période, je me suis engagée
dans la communauté en tant que monitrice d’Ecole biblique, puis visiteuse paroissiale et depuis
l’année 2009, j’ai fait partie de la commission des ministères de l’Eglise luthérienne de France. Après
avoir fait plusieurs retraites chez les sœurs Diaconesses de Versailles, je suis engagée régulièrement
pour du bénévolat au sein de leur communauté.
HERNANDEZ Dominique : 50 ans, mariée, 3 enfants. Je suis pasteur dans le sud de la région
parisienne, en vallée de Chevreuse, depuis l’été 2011, après avoir exercé le ministère pastoral dans
l’est de cette région. Entre l’est et le sud, une année de congés m’avait permis de me replonger dans
les études à l’IPT. Un grand appétit de la lecture de la Bible me tient et soutient mon ministère. J’ai
longtemps participé à la cellule régionale d’animation biblique et j’assiste toujours avec bonheur aux
sessions de nouveau testament à la faculté. La lecture de bien d’autres livres et revues (beaucoup) ainsi
que la marche à pied (un peu) arrivent à trouver place dans le rythme des mois et des années. Je suis
membre de la commission des ministères depuis 2010.
SAUTTER Philippe : né en 1949. Officier de Marine en retraite. Eglise protestante unie de Grenoble
(CAR). A fréquenté plusieurs paroisses durant sa vie professionnelle (Brest, Toulon, Tahiti, région
parisienne) avec quelques mandats de conseiller presbytéral, avant de se fixer pour sa retraite à
Grenoble, dont il est actuellement président du CP. Membre de la commission des ministères de l’ERF
depuis juin 2007, délégué de la région CAR au synode national de l’EPUdF à partir de 2013.
TAUFER Richard : né en 1955 près de Nuremberg en Allemagne. Pasteur à Lillebonne, région NordNormandie. Etudes de théologie à Tübingen, Montpellier et Munich. Pasteur de l’Eglise luthérienne de
Bavière pendant quinze ans. Arrivé en France en 1995. Pasteur au Havre et depuis 2009 à Lillebonne
avec un mandat d’aumônier des hôpitaux au Havre. A la commission des ministères depuis juillet
2010. Attiré par le travail diaconal et missionnaire. Actif à l’Entraide protestante ainsi que dans
d’autres associations à vocation sociale. Participation en 2007 au programme d’échange de pasteurs du
Défap, à un projet d’échange de jeunes entre Angleterre, France et la Zambie sur trois années et une
action humanitaire et missionnaire au Congo (RDC) dans le cadre d’un projet consistorial).
WIECZOREK Marie-Hélène : 65 ans (née en 1947), mariée (depuis 42 ans), mère de deux enfants de
41 et 39 ans. Retraitée de l’Education nationale (professeur d’allemand en IUT, puis dans une ESC,
Secrétaire générale d’établissement d’enseignement supérieur). Musicienne.
Venant d’une famille agnostique, j’ai connu l’ERF par mon mari. Eglise locale de Nancy, puis Troyes
et maintenant Reims, comme membre et un temps présidente du CP. Présidente de l’Espace culturel
protestant de Reims, membre à voix consultative du synode régional région Est au titre des Œuvres et
Mouvements et déléguée départementale de la FPF aux réunions préfectorales sur la laïcité et les
libertés religieuses. Membre sortant de la CDM.
Suppléants
BANDELIER Anne-Laure : née le 3 septembre 1964 – célibataire. Professeur des Ecoles – paroisse du
Mont-Vaudois – Inspection de Montbéliard. Prédicateur laïque – conseillère presbytérale, actuellement
présidente du CP du Mont Vaudois, conseillère synodale/secrétaire de 1994 à 2006) ; membre de la
commission des ministères de l’EELF de 2006 à 2013.
GOGUEL Anne-Claire, épouse Bretegnier : née en 1964, mère de deux enfants. Pasteur en poste dans
l’inspection depuis 1994, successivement dans les paroisses de Vandoncourt-Dasle, BethoncourtBussurel-Vyans le Val et Vesoul. Engagement dans la Commission d’animation missionnaire.
448
GUBERT Geneviève : née en 1951, retraitée (assistante sociale), mariée à Alain (professeur). 3
enfants. Eglise protestante unie de Nevers, région CAR (puis région parisienne à partir du 1er juillet
2013). Membre du conseil presbytéral depuis 2008 ; présidente du consistoire Auvergne-Bourbonnais
Nivernais de février 2011 à février 2013 ; présidente d’une association œcuménique locale depuis 10
ans. Baptême catholique. Appel à la foi en 1974 en milieu évangélique. Paroisse ERF depuis environ
10 ans. En proximité de la Communauté du chemin Neuf depuis 1994 (membre de la Communion).
JACON Christophe : né le 29 juin 1971, informateur régional pour la région Sud-Ouest de l’Eglise
protestante unie. Membre de la communauté de la Corrèze et du nord du Lot. J’ai été proposant dans la
communauté de la Corrèze et du Nord du Lot de 2003 à 2005. J’y suis resté de 2005 à 2010. Pendant
une partie de cette période, j’ai été membre du conseil régional sous la présidence de Gérard
SCRIPIEC. J’ai ensuite été nommé en juillet 2010 sur le poste d’informateur régional que j’occupe
actuellement. J’ajoute que je suis docteur en théologie (Nouveau Testament) et que la théologie me
passionne.
RUSEN-WEINHOLD Ulrich : né le 23 janvier 1968 à Duisbourg en Allemagne. Aumônier au CHU
de Nice, rattaché à la paroisse locale de Nice (PACCA). J’ai grandi dans une ville ouvrière de la Ruhr
et ai fréquenté depuis mon enfance l’Eglise protestante unie et le mouvement de jeunesse UCJGYMCA. Après le service civil dans un diaconat d’une paroisse, je fais mes études de théologie à
Wuppertal, Heidelberg et Montpellier, toute ma formation pastorale en Allemagne (stage et proposanat
à Wupperal en Allemagne). Trois ans assistanat (NT) à la faculté de théologie de Wuppertal. Depuis
2006 en poste d’aumônier au CHU de Nice (50 %). J’ai développé une équipe de bénévoles qui
montre une présence de l’aumônerie et ses réflexions au sein du monde médical. Elle est accompagnée
par un groupe de parole, une formation continue et une sensibilité aux questions éthiques, liée à mon
engagement à l’Espace Ethique Azuréen. Je suis marié avec Christina WEINHOLD, pasteure à Nice,
père de Lukas (13 ans) et Joschka (10 ans).
3) COMMISSION DES AFFAIRES GENERALES
Titulaires
DORE Paul : né en 1957, marié à Christine, nous avons 3 enfants. Pasteur de l’Eglise protestante unie
de Jouy-en-Josas, Viroflay, Vélizy, Chaville (RP), en poste depuis 2004. 1999-2004 : études de
théologie à l’IPT faculté de Paris. 1987-2004 : paroissien puis conseiller presbytéral de la paroisse de
Bourg-la-Reine (EELF) secrétaire du conseil synodal de l’inspection de Paris entre 2000 et 2003.
ESCHEMANN Jean-Luc : né en 1954 à Thann (Haut-Rhin). Baptisé dans l’ECAAL à Mulhouse, puis
confirmé en 1968 dans l’ERAL à Thann où il a exercé un ministère de moniteur d’Ecole biblique.
Après de nombreuses années vécues à l’étranger, en Suisse (Zürich) et en Allemagne (Cologne), il
revient en France en 1993, devient fonctionnaire de l’Etat au ministère des affaires sociales et de la
santé, d’abord à Nantes, puis à Paris depuis 2004. Il y rejoint alors la paroisse des Billettes où il
deviendra moniteur d’Ecole biblique, membre du conseil presbytéral, secrétaire puis président à
compter de 2010, date à laquelle il est aussi élu au conseil synodal de l’inspection de Paris dont il est
le secrétaire. Il a été désigné en 2009 par l’EELF pour représenter la communauté luthérienne au sein
de la Commission des relations avec l’islam de la Fédération protestante de France. Divorcé, « père »
d’un enfant recueilli de nationalité togolaise né en 1981.
GEORGE Eric : j’ai 42ans, je suis marié et j’ai 3 enfants de 17, 16 et 12 ans. Je suis pasteur depuis
1995. J’ai exercé à Luneray entre 1995 et 2005 puis à Evreux où je suis encore en poste. Je suis
délégué au synode national depuis 2004 et j’entame mon troisième mandat comme membre du conseil
régional de Nord-Normandie. J’ai également été membre de la précédente CAG. Ces différents
engagements m’ont conduit à m’intéresser à notre fonctionnement presbytérien synodal, à ses
richesses, ses limites et surtout à ses exigences.
449
HUBSCHER Pascal : né le 18 août 1960, ordonné dans l’EELF en 1987, marié depuis 1983 avec
Agnès RIBOT, cévenole, 3 grands garçons indépendants. Pasteur au Perreux, à Noisy-le-Grand, sur un
projet luthéro-réformé à Bussy-St-Georges. Depuis 1997, en paroisse à Seloncourt puis Belfort.
Aujourd’hui aumônier protestant des hôpitaux et cliniques du Nord Franche-Comté. Vision : une
Eglise qui, avec d’autres, se pense comme une « aumônerie du monde ».
MILLET Alain : né en 1943, Retraité, membre de l’EPU du Pays d’Aix (PACCA). 1981-1996 :
responsabilités ecclésiales exercées dans les paroisses de Poitiers, Aix-en-Provence, Asnières-BoisColombes. 1996-2007 : conseiller presbytéral puis président de la paroisse réformée d’Asnières-BoisColombes, catéchète, délégué synodal. Depuis 2007, sur Aix : réviseur des comptes de paroisses en
PACCA, conseiller presbytéral de la paroisse réformée d’Aix, membre du conseil régional de l’Eglise
réformée en PACCA (vice-président), membre sortant de la CAG. Egalement trésorier diocésain du
Secours catholique.
RUSSIER Patrick : Membre du CP de l’Eglise à Alès et du synode régional en CLR, c’est avec joie et
reconnaissance que j’aborde ce deuxième mandat au sein de la commission des affaires générales de
notre synode national. Fonctionnaire des finances, je suis né en 1969. Je ne suis ni sportif, ni musicien,
pas vraiment manuel non plus ! Je vis à Florac en Lozère, et depuis le décès récent de mon père, avec
ma mère souffrant de la maladie du siècle, j’essaie de me ménager du temps libre pour le CP d’Alès et
les amis pour partager des agapes dont je suis friand.
Suppléants
BACKMAN Stephen : né le 10 mai 1966 à Marseille. Pasteur à Clermont-Ferrand du 1er juillet 1992
au 30 juin 2001 ; pasteur à Nîmes-Grand temple du 1er juillet 2001 au 30 juin 2010 ; pasteur à LyonEst depuis le 1er juillet 2010
GRANADE Christophe : né en 1956, marié 2 enfants. Pasteur successivement à Grenoble, Jeunesse,
Vallée Longue-Mimente et Nîmes depuis 2000.
MOURGUES Thierry : né en 1964 à Nîmes. Ex gérant de portefeuille reconverti dans l’immobilier
d’entreprise. EPU de Levallois (RP), impliqué ecclésialement en acte (vice-président de CP, délégué
synodal, modérateur), en pensée (rédacteur à Paroles protestantes), en paroles (prédicateur laïc).
Culturellement impliqué dans le protestantisme sur les lieux de culte protestants. Désir d’être
collégialement associé à la naissance et la gouvernance de l’Eglise protestante unie.
4) COMMISSION D’APPEL
Titulaires
DEBAT Pierre : 72 ans, marié, 5 enfants, 12 petits-enfants. Médecin honoraire des hôpitaux, militant
associatif. Membre de l’Eglise de Bresse Bugey Dombes ; ancien conseiller presbytéral et délégué au
synode régional, Modérateur et rapporteur au synode régional ; membre du synode national pendant 6
ans, prédicateur laïc ; a participé à des commissions de l’ERF et de la FPF. Conseiller régional de
CAR de 2003 à 2013.
DEMANGE Eric : 54 ans. Pasteur en poste dans l’ERF à Macon-Villefranche (1981-1991), Thaon
Remiremont (1991-2002) et Besançon et environs (2002-2012). En poste depuis l’automne 2012 à
Belfort-Giromagny (Région Montbéliard). Co-président du Comité Mixte Catholique - LuthéroRéformé en France. Marié, 3 enfants. Amateur de bande dessinée, vélo, trompette et plus récemment
de Géocaching. Délégué régional de l’immobilier depuis 2012, membre de la commission financière
régionale. Membre du Service Justice et Aumônerie des prisons de la Fédération Protestante de France
depuis 2003 en qualité d’aumônier protestant du centre de détention de Saint-Mihiel (Meuse) et de
l’Unité Hospitalière Sécurisée Inter-régionale de Nancy. Représentant de la Fédération Protestante de
France pour le département de la Meuse.
450
GUIN Jacques : né le 13 Juin 1938. Professeur Honoraire des Universités, Faculté de Droit et Sciences
Economiques, Doyen Honoraire. Conseiller presbytéral à Montpellier 6 ans en 1968-74, 6 ans en
1985-91, six ans et président du CP en 2006-2012, conseiller presbytéral de l’EPUMA depuis
novembre 2012, conseiller consistorial. Conseiller régional CLR 1991-1997, secrétaire dans le bureau
du CR. Délégué aux synodes régionaux et au Synode national. Ancien membre de la Commission
académique de l’IPT.
DORSI Jean-Georges : 58 ans, Marié, 3 enfants, Retraité de la Délégation Régionale de l’Immobilier
Est d’E.D.F. Depuis 2002, conseiller presbytéral de l’Eglise Réformée de Nancy et environs en
charge du secteur de Pont-à-Mousson, prédicateur, délégué aux synodes régional et national depuis
2010. Participation à l’organisation des forums des conseillers presbytéraux de la Région Est à
Chaumont en 2005 et 2007. Conseiller Régional depuis 2006, co-auteur du concept des Equipes
Pastorales Missionnaires, membre du comité de pilotage des EPM et référent au Conseil Régional.
FEILLENS Anne-Marie : née en 1965. Mariée, j’ai trois filles et je suis pasteur à Orthez depuis 2009,
après avoir exercé 14 ans à Besançon. C’est à l’IPT de Paris puis Montpellier que j’ai été formée.
J’aime particulièrement m’occuper du KT. J’aime aussi beaucoup faire des visites, avec le plaisir
réciproque de la rencontre.
HELLER Denis : 56 ans, marié, 4 enfants. Pasteur depuis 1984 ; à Thaon les Vosges, à Reims, puis
président du conseil de la région Est, président de la commission des ministères. Depuis 2007, en
poste à Paris Annonciation, membre du conseil régional région parisienne. Heureux de la constitution
de l’Eglise unie après plus de 30 ans d’interpellations des réformées disséminés de l’Est ! Persuadé
que la richesse de l’Eglise réside dans l’Evangile reçu et vécu et dans l’engagement de ses membres.
MITRANI David : né en 1958 (54 ans), marié à Valérie. Chrétien depuis toujours, grâce à Dieu ;
protestant depuis 1979 ; exerçant le ministère pastoral depuis 1985, consacré en 1987. J’ai d’abord été
en Uzège (30), puis en Cognaçais (16) et maintenant en Touraine (37) depuis 2006. J’ai été membre
du synode national, du conseil régional de CLR puis de l’Ouest, président de consistoire à plusieurs
reprises. Intéressé par l’histoire institutionnelle, la cosmologie, l’exégèse de l’Ancien Testament, les
œuvres de Tolkien, et aussi Harry Potter… pas vraiment geek, mais souvent devant l’ordi…
PIROTTE Janine : née en 1940, veuve, 2 filles et 5 petits-enfants, retraitée de l’Education nationale.
Longtemps conseiller presbytérale et présidente de la paroisse de Lille. Anime actuellement un groupe
de partage à la maison d’arrêt de Sequedin avec Béatrice Resslinger, aumônière de la FPF.
SCHMOLL Joachim : né en 1949 et baptisé dans une famille luthérienne, j’ai suivi mon instruction
religieuse dans la paroisse protestante des troupes d’occupation à Constance/RFA et j’ai été confirmé
par le pasteur de cette paroisse. A mon entrée dans la vie active, je me suis détaché de l’Eglise mais
suis toujours resté croyant. A l’annonce d’une grave maladie de ma femme en 1996, j’ai rejoint une
paroisse luthérienne à Paris dans laquelle j’ai rapidement été sollicité pour le CP, d’abord secrétaire
puis trésorier. Membre du synode régional en 2003 ,j’ai été élu au conseil synodal la même année et je
le préside depuis 2005.
SCHOENENBERGER Daniel : marié, 66 ans, 4 enfants, j’exerce encore à temps partiel une activité
professionnelle libérale (urbanisme). Membre du CR Sud-Ouest de 2003 à 2011, issu de l’Eglise unie
de la Montagne du Tarn (Vabres), je suis conseiller presbytéral après avoir été président dudit CP à
plusieurs reprises (avec deux périodes de vacance). Nous vivons en contact direct avec la nature sur le
haut lieu de La Pierre Plantée à proximité immédiate du musée du Protestantisme en Haut-Languedoc
(Ferrières). Je suis engagé avec mon épouse et nos deux garçons de 9 et 17 ans auprès des Baladins.
J’aime la pratique sportive, mais désormais à mon rythme et par hygiène de vie (course à pied,
natation, vélo, randonnée).
451
TRON Gisèle : née en 1946. Prof de lettres à la retraite, je suis depuis longtemps engagée dans
l’Eglise. J’ai été présidente de conseil presbytéral pendant presque 30 ans, présidente de consistoire,
membre du conseil de la FPF, membre de la commission des affaires générales, membre sortant de la
commission de discipline.
Suppléants
BONNEMA Ottilie : née en 1957 ; pasteur dans l’ERF - l’EPUdF depuis 1986 à Dole, Saverdun,
Clamart-Issy les Moulineaux, Saint-Cloud-La Celle St Cloud. Membre de la commission des
ministères de 2004 à 2010. Actuellement pasteur de l’EPU de Sanary sur Mer. Membre de l’équipe
des animateurs de stage de la CPLR.
DIELEMAN Margreet : née en 1955. Mariée, deux filles, historienne. Je prépare une thèse sur le
baptême dans les Eglises réformées de France (1559-1789). J’aime la musique baroque, la lecture,
l’écriture, la nature… Parcours ecclésial dans l’ERF : au CE d’Angers-Cholet (1997-2006) ; secrétaire
(3 ans), puis présidente (6 ans) ; ensuite au CR de l’ERF Ouest (2006-2013), secrétaire (3 ans), puis
vice-présidente (4 ans). Déléguée au synode national de 2010 à 2012, vice-modératrice en 2012.
DORSI Jean-Georges :
GUERY Jean-François : né en 1972. Après trois années d’études en Administration économique et
sociale, j’ai effectué mes 5 années de théologie à la faculté de théologie de Strasbourg. Pasteur d’une
paroisse urbaine pendant 8 ans, je suis en poste depuis 3 ans sur deux paroisses qui entament un
processus de regroupement. J’ai été, pendant quelques années le délégué luthérien au conseil
d’administration du Défap et depuis 3 ans, je suis vice-président du conseil régional de la région
Montbéliard et participe au groupe de travail institutionnel d’union des régions Est et Montbéliard.
GUIN Jacques : né le 13 Juin 1938. Professeur Honoraire des Universités, Faculté de Droit et Sciences
Economiques, Doyen Honoraire. Conseiller presbytéral à Montpellier 6 ans en 1968-74, 6 ans en
1985-91, six ans et président du CP en 2006-2012, conseiller presbytéral de l’EPUMA depuis
novembre 2012, conseiller consistorial. Conseiller régional CLR 1991-1997, secrétaire dans le bureau
du CR. Délégué aux synodes régionaux et au Synode national. Ancien membre de la Commission
académique de l’IPT.
KESSLER HEITZ Edith : née en 1952 en Alsace. Je suis pasteur depuis le 1er juillet 1978. Je suis
mariée, 2 enfants et 1 petite-fille. Actuellement, je suis pasteur dans le Haut-Doubs, à Pontarlier et
Morteau, membre du conseil régional de la région Est et du groupe de travail qui prépare
l’expérimentation de la région unie Est-Montbéliard.
ORTLIEB Marc : je suis marié et père de deux enfants, Naturothérapeute, Heilpraktiker, Ostéopathe,
né en 1951 et en activité professionnelle depuis 1977. J’ai commencé mon implication dans l’Eglise
après ma confirmation, dans les groupes de jeunes puis dans la chorale paroissiale et très vite après
mes débuts professionnels j’ai été sollicité pour faire partie du conseil presbytéral de la paroisse du
Mont Bart ; dont je suis actuellement le président. Je suis délégué synodal depuis 2000, puis j’ai été
élu au conseil régional ; depuis 2006, je suis président du conseil régional de l’inspection de
Montbéliard et membre du conseil exécutif.
SEYBOLDT Andreas : je suis né à Tübingen en Allemagne en 1964. Mon parcours spirituel dans
l’Eglise protestante du Württemberg m’a amené à envisager le ministère pastoral. C’est durant mes
années de lycée que s’est développé mon désir de vivre en France. Après mes études de théologie en
Allemagne, j’ai choisi de poursuivre à l’IPT de Montpellier. J’ai été pasteur en Vendée-Ouest de 1994
à 2000, à Lourmarin, de 2001 à 2005 et à Cavaillon.
452
SICARD Marie-Noëlle : née en 1943, je suis mariée à Didier Sicard, j'ai eu trois filles dont l'une est
décédée il y a 8 ans, j'ai 8 petits enfants. Actuellement, je suis Professeur des Universités émérite. J'ai
été Conseillère presbytérale à la paroisse du Luxembourg pendant 9 ans, puis à l'Oratoire du Louvre
pendant 6 ans, membre du Conseil régional de la région Parisienne pendant 10 ans (2003-2013) et les
trois dernières années vice-présidente, également présidente de l'association la Voix Protestante de
2003-2013. Je suis actuellement membre de la Commission académique depuis 3 ans.
5) COORDINATIONS NATIONALES
Titulaires
BITAUD Corinne : née le 02/07/1968, mariée, 4 enfants Formation : agronome, études in absentia à la
Faculté de Théologie de Strasbourg (maîtrise en 2004) EEUdF : diverses fonctions locales, régionales
et nationales. Membre d’un groupe de travail « vie spi » Eglise : catéchète (95-96), aumônier d’un
groupe œcuménique étudiant (2003-2006), administratrice AFFMIC (2004-2010), conseillère
paroissiale (2004-2006), membre de la commission des nominations de l’ERAL (2006), déléguée des
OEM au synode régional ERF Ile de France (depuis 2009), prédicatrice.
BORNE Anne-Marie : née en 1954, infirmière puéricultrice, formatrice, retraitée de la fonction
publique, en activité libérale ; Eglise locale : Montpellier (Hérault) et Meyrueis (Lozère) région CLR.
9 ans CP dont 6 de présidence à Montpellier, puis membre du CP à Meyrueis, 32 ans de catéchèse
(enfant, adolescent, jeune et adulte), assure des services funèbres, engagée aux actions de formation
dans l’Eglise, aux actions diaconales et aux diverses dimensions de culte.
BOULET Gwenaël : Décrire un parcours ecclésial en 500 signes est une gageure !
Disons, qu'en 36 ans, j'ai posé mes bagages dans 3 Eglises. Dieu m'a donné ces joies de venir à ma
rencontre dans l'Eglise catholique, de m'appeler au service de sa Parole dans l'Eglise luthérienne et
d'accompagner aujourd'hui mon ministère pastoral dans l’Eglise protestante unie de France.
Il m’ouvre l’espace des découvertes au synode (régional/national), au réseau jeunesse et au pôle
national de formation. Qu’il en soit remercié !
CHEVALIER Jean-Daniel : né en 1963, formateur, paroisse des Vosges Saônoises. Mère luthérienne
et père catholique. 1986 conversion, fréquentation des Equipes Notre Dame Jeunes (catho). 1987
baptême dans une Eglise FEEB, fréquentation du GBU. 1993-2013 EELF conseiller presbytéral
(présidence 1999 à 2010), prédicateur laïc, délégué consistoire et synode régional + général. 2005 à
2012 catéchète. Mots clé : Eglise confessante, œcuménisme, piétisme, racines juives.
DUGAS Bernard : né en 1946, marié avec Frédérique Dugas-Nègre qui est peintre et aumônier à la
Maison d’Arrêt de Limoges, 5 enfants, consultant en ressources humaines, retraité. Paroisse réformée
de Limoges (région Ouest), prédicateur laïc, président de la commission de formation permanente des
pasteurs de la Communion protestante luthéro-réformée. Membre sortant du pôle national de
formation – intervenant à l’Institut protestant de théologie en Master Pro.
FABIAN Thierry : né en 1962. Formé par son passage dans le scoutisme unioniste, marqué par son
accueil en Nouvelle Calédonie comme responsable d’un collège agricole entre 1986 et 1991, j’ai été
vite appelé au conseil presbytéral de l’Eglise réformée de Caen. Actuel président, je suis intéressé par
le renouvellement et la diversification des formes du culte afin d’en faire des moments de rencontre de
nos contemporains qui cherchent Dieu. J’ai été membre de la commission interrégionale pour
l’évangélisation lors de son dernier mandat.
FAISANDIER Anne : née en 1970,mariée à Olivier Raoul-Duval, lui aussi pasteur, 3 filles. En poste
au grand temple de Lyon, après avoir été à Montpellier. Pasteur de paroisse et heureuse de l’être,
accompagnant depuis 10 ans, la mue d’une communauté implantée en plein centre-ville autour d’un
vieux bâtiment trop grand et qui tente de s’ouvrir et d’accueillir tous ceux qui passent pour un bout de
chemin ensemble avec le Christ. Très intéressée par les champs de la transmission (catéchèse et
jeunesse) et de l’évangélisation (d’ailleurs ça se rejoint, non ?).
453
GIFFFARD Françoise : née le 11 février 1956. Paroisse Angers/Cholet, région Ouest. Ingénieur à Bull
(achats/négociation en composants électroniques et systèmes informatiques). Mes engagements
ecclésiaux sont les suivants : membre du conseil, prédicateur laïc, animatrice du groupe des lycéens,
responsable des actions communes avec une paroisse catholique voisine. J’interviens aussi sur RCF
Anjou. J’organise « vacances ensemble », 2 semaines inter générationnelles, consistoriales Bible et
montagne. Je suis la représentante régionale de Théovie, et formatrice au sein de l’équipe sur projet
« sens du culte », pour les nouveaux prédicateurs. Il y a quelques années, j’ai fait un master recherche
en théologie à l’IPT Paris, option Nouveau Testament.
KIRCHBACH von Agnès : née en 1952, pasteur de l’Eglise protestante unie à Saint-Cloud-La CelleSaint-Cloud en région parisienne. Je suis passionnée par tout ce qui concerne la formation et
l’accompagnement spirituel des jeunes comme des moins jeunes. Pour que se réalise cette première
mission de l’Eglise, il m’importe de veiller à ce que nos communautés locales soient des lieux
d’accueil, d’écoute et de prière, de solidarité et de service.
LE GUILLOU Jean-Pierre : né le 18 juin 1949. Je suis retraité de l’enseignement (linguiste,
enseignement supérieur – formation des professeurs des Ecoles). Je suis membre de l’Eglise locale de
Rennes (Bretagne), prédicateur laïque (depuis plus de 30 ans), conseiller régional (vice-président du
CR de la région Ouest), référent Edifier-Former, chargé pour le CR de la mise en place et du suivi du
projet « Evangélisation Centre Bretagne ». Dans le passé j’ai été jusqu’en 2011, conseiller presbytéral
à Laval, jusqu’en septembre 2012 président du bureau commun des 3 Eglises de Laval/Rennes/StMalo.
MAROTTO Corinne : née en 1964. Educatrice de jeunes enfants. Eglise de Bordeaux allant d'une
paroisse à l'autre, j 'ai commencé ma vie ecclésiale à Talence, puis je l'ai poursuivi au HA32 dans le
conseil d'administration. Dans ce cadre-là j'ai siégé au conseil presbytéral de bordeaux. Puis ma
sensibilité m'a dirigé vers la catéchèse à Mérignac puis à la Bastide.... Je me suis impliquée dans la
région sud-ouest dans l'équipe régionale d'animation puis dans l'équipe régionale de Catéchèse.
NENONENE Hope : né le 20 mars 1964 au Togo. Après le baccalauréat et un DEUG en philosophie,
je poursuis mes études en théologie à Yaoundé puis à Montpellier, sanctionnées par un Doctorat.
2005-2011 : envoyé Cevaa auprès de l’Eglise évangélique en Nouvelle-Calédonie et aux Iles Loyauté,
chargé de la paroisse protestante du Vieux Temple à Nouméa et de la formation des responsables de
l’Eglise. Marié à Bérengère, nous avons un fils, Nathan.
SCHÄCHL Katharina : née en 1969 , après mes études de théologie (Montpellier et Louisville, EtatsUnis), j’ai commencé à travailler pour « Théovie ». en 2008 j’ai terminé une thèse de doctorat en
histoire de la théologie. Entre-temps, j’ai accepté la responsabilité du service Théovie, ministère
reconnu en 2011. La formation biblique et théologique (me) permet d’acquérir et de repenser des
convictions ou, pour le dire avec Woody Allen, d’avoir toujours « des questions à toutes nos
réponses ».
SCHRUMPF Caroline : née le 21 janvier 1967 à Paris. Après des études de lettres et d’anglais, je suis
devenue pasteur de l’Eglise réformée de France en 1994. Mon ministère m’a conduite en Seine-etMarne puis dans les Yvelines. En 2009, j’ai quitté la région parisienne pour devenir pasteur de la
paroisse de Nantes et Loire-Atlantique. Je suis mariée et mère de trois enfants de 19, 17 et 12 ans.
Suppléants
APEL Christian : né en 1964. Pasteur à Mantes-Les Mureaux en région parisienne depuis le 1er juillet
2012. D’origine Allemande (EKIR), j’ai été auparavant pasteur à Bayonne-Biarritz, dans le Pays
d’Auge et à Arras, occupant pendant plusieurs années une place au sein du conseil régional de l’ERF
dans le Sud-Ouest et comme responsable du site internet de la région. Aumônier de prison à la maison
d’arrêt de Bayonne entre 2005 et 2012. Intéressé par les parcours Alpha.
454
CLERO MAZIRE Béatrice : née en 1970, d’une famille exclusivement catholique, je suis passée à la
Réforme à 21 ans, grâce à Dieu, à 132 mois comme enseignante au Yémen, à une prédication édifiante
et à une communauté rouennaise accueillante quand mon mari, notre fille et moi en avions le plus
besoin. Licenciée en philosophie, j’ai étudié la théologie à Paris. D’abord pasteur au Havre, j’exerce à
Boulogne Billancourt où je trouve l’accueil et l’humanisme que j’aime. Je milite pour que notre Eglise
accueille et bénisse inconditionnellement car c’est ainsi que j’ai été moi-même relevée.
LAGASSE Louise : née le 2 juillet 1952 au Togo. Je suis mariée, mère de trois enfants qui sont dans la
vie active. Membre de l’Eglise réformée de Martigues depuis 1983 où je me suis engagée dans la
catéchèse jusqu’en 2007. Co-fondatrice d’un groupe œcuménique de contes bibliques « Parole
Contée ». Mandatée pour trois ans par le conseil régional au synode de Toulon en 2007 comme
chargée de mission pour l’évangélisation par les récits bibliques contés. L’objectif étant d’aborder et
de faire vivre autrement les écritures. Je fais de la formation aux paroisses intéressées. Je fais partie de
l’équipe sortante de la Coordination interrégionale pour l’évangélisation (CIPE).
LINTZ Pascale : née en 1963, Eglise locale Montpellier. Chargée d’enseignement (grec biblique) à
l’IPT de Montpellier depuis 2005 et Chargée de mission Théovie depuis 2011. Rédaction en cours
d’une thèse double sceau Théologie (Ethique) à l’IPT et Etudes psychanalytiques (UPV Montpellier
3), sous la direction de Jean-Daniel Causse. Parcours ecclésial essentiellement axé sur la transmission
des savoirs et la formation tant des futurs pasteurs que d’un public plus large en recherche de
spiritualité.
PROPOSITIONS POUR LE CONSEIL NATIONAL
TITULAIRES
SUPPLÉANTS
Laïcs :
Laïcs :
Emmanuel de BARY
Jean FREY
Patricia HILDEBRAND
Françoise JOUVE*
Henry LASLANDES
Christiane LAURENT
Lucite MESNIL*
Marie-Christine MICHAU*
Denis RICHARD*
Eric SERFASS*
Marie-Pierre COURNOT
Daniel IMISCOZ
Christine RAFINESQUE
Annie-Claude ROCHE
Sylvaine WARTELLE
Ministres :
Victor ADZRA
Frédéric CHAVEL*
Giovanni MUSI
Vincent NEME-PEYRON
Michel PARET
Ministres :
Marc BOSS*
Jean-François BREYNE
Didier FIEVET*
Nadine HELLER*
Paolo MORLACHETTI
Mayanga PANGU*
Jean Frédéric PATRZYNSKI*
Raphaël PICON
Jan-Albert ROETMAN*
Laurent SCHLUMBERGER*
*Sortants du conseil exécutif de I'EELF ou du conseil national de l'ERF
NOM en italique = luthérienne
455
PROPOSITIONS POUR LA COMMISSION DES MINISTÈRES
TITULAIRES
SUPPLÉANTS
Laïcs
Laïcs
Annie COLOMBERO*
Marie-Françoise ESCOT*
Béatrice GOURLAN*
Philippe SAUTTER*
Marie-Hélène WIECZOREK*
Anne-Laure BANDELIER*
Geneviève GUBERT
Ministres
Anne-Claire BRETEGNIER
Christophe JACON
Ulrich RUSEN WEINHOLD
Ministres
Christian BACCUET*
Gilbert CARAYON
Mirana DIAMBAYE*
Dominique HERNANDEZ*
Richard TAUFER*
*Sortants de la CdM de I'ERF ou de FEELF
NOM en italique = luthérienne
PROPOSITIONS POUR LA
COMMISSION DES AFFAIRES GÉNÉRALES
TITULAIRES
SUPPLÉANTS
Laïcs
Laïcs
Jean-Luc ESCHEMANN
Alain MILLET*
Patrick RUSSIER*
Thierry MOURGUES
Ministres
Stephen BACKMAN
Christophe GRANADE
Ministres
Paul DORÉ*
Eric GEORGES*
Pascal HUBSCHER
*Sortants
NOM en italique = luthérienne
456
PROPOSITIONS POUR LA COMMISSION D'APPEL
TITULAIRES
SUPPLÉANTS
Laïcs
Laïcs
Pierre DEBAT
Janine PIROTTE*
Joachim SCHMOLL
Daniel SCHOENENBERGER
Gisèle TRON*
Margreet DIELEMAN
Jean-Georges DORSI
Jacques GUIN
Marc ORTLIEB
Marie-Noëlle SICARD
Ministres
Ministres
Éric DEMANGE
Anne-Marie FEILLENS
Denis HELLER*
David MITRANI
Ottilie BONNEMA
Jean-François GUÉRY
Edith KESSLER-HEITZ
Andreas SEYBOLDT
*Sortants
NOM en italique = luthérienne
PROPOSITIONS POUR LES
COORDINATIONS NATIONALES
TITULAIRES
SUPPLÉANTS
Laïcs
Laïcs
Corinne BITAUD (PNF)
Anne-Marie BORNE (PNF)
Jean-Daniel CHEVALIER (cipé)
Bernard DUGAS* (PNF)
Thierry FABIAN* (cipé)
Françoise GIFFARD (PNF)
Jean-Pierre
LE
GUILLOU
(CIPÉ)
Corinne MAROTO (cipé)
Louise LAGASSE* (CIPÉ)
Pascale LINTZ* (PNF)
Ministres
Christian APEL (CIPÉ)
Béatrice CLERO MAZIRE
(cipé)
Ministres
Gwenaël BOULET (PNF)
Anne FAISANDIER (cipé)
Hope NENONENE (cipé)
Katharina SCHÄCHL* (PNF)
Caroline SCHRUMPF (CIPÉ)
Agnès Von KIRCHBACH*
(PNF)
*Sortants
NOM en italique = luthérienne
457
Titre VI – REVISION DE LA CARTE DES REGIONS
Rapport
Projet de décision
Révision de la carte des régions réformées : Projet soumis au synode national 8 -12 Mai 2013
Préambule
Révision de la carte des régions
1.
Révision de la carte des régions –Historique et motivations
463
462
2.
2.1.
2.2.
2.3.
2.4.
2.5.
Le projet de révision de la carte des régions :
La Région Est
La Région Nord-Normandie
la Région Parisienne
la Région Centre Alpes Rhône
la Région Ouest
467
467
470
472
473
473
3.
3.1.
3.2.
3.3.
3.4.
3.5.
3.6.
3.7.
3.8.
3.9.
3.10.
3.11.
Avis des synodes régionaux
Région Provence-Alpes-Corse-Côte d’Azur
Région parisienne
Région Nord-Normandie
Région Cévennes-Languedoc-Roussillon
Région Ouest
Région Sud-Ouest
Région Est
Région Centre-Alpes-Rhône
Information des synodes régionaux des Inspections luthériennes
Synthèse des avis des synodes régionaux
Observations complémentaires des synodes
474
474
474
474
475
476
476
476
477
477
477
478
4.
4.1.
4.2.
4.3.
Le calendrier et les conséquences de la révision de la carte
Le calendrier
Implications régionales
Conséquences en matière de constitution du synode national
479
479
481
482
5.
Conclusion
486
6.
Projet de décision
486
459
Préambule
En 1969, le Synode national de l’ERF a approuvé la délimitation des circonscriptions régionales en 8
régions, dites « les grandes régions ». Le projet soumis au synode a été, suivant le rapport, remanié
jusqu’au vote final et il considérait que la carte de la Région Est n’était que provisoire, dans l’attente
d’un accord des autres Eglises des départements concordataires. Cet accord, attendu à l’époque, aurait
donné à la Région Est une autre configuration avec évidemment d’autres atouts.
Le rapporteur de 1969 pouvait conclure son rapport : « Les situations peuvent changer et la décision
demandée au Synode d’aujourd’hui (1969) n’est que pour un temps, comme en 1938. Un jour plus ou
moins lointain, cette question reviendra devant l’instance gouvernementale de l’Eglise Evangélique en
France. »
Le temps est venu, après ces étapes de 1969, 2006 création de l’UEPAL et au moment de la naissance
de l’Eglise protestante unie de France, de réviser la carte « provisoire » de la Région Est.
Le temps est venu, après cette longue période de « précarité » se manifestant dans les actes
quotidiens : impossibilité de tenir des objectifs financiers, difficultés de pourvoi des postes, de
satisfaire la demande du synode régional de la région Est, rappelée lors du synode national de La
Force en mai 2010 et approuvée par celui-ci, de procéder à la révision de la carte visant à restructurer
la Région Est. Démarche d’Eglise qui doit se vivre dans la solidarité des Eglises locales et des régions
envers la Région Est.
De nouvelles dynamiques locales surgissent : regroupement d’associations cultuelles, mise en
commun de moyens, expérimentations, Equipes missionnaires, et plus particulièrement la perspective
de relation structurelle avec l’Inspection luthérienne de Montbéliard. Ces dynamiques imposent d’agir
dès maintenant vers cette reconfiguration de la Région Est.
Le groupe de travail, mis en place fin septembre 2010 par le Conseil national, sur décision du Synode
national de la Force a étudié plusieurs scénarii et a proposé un avant-projet de révision de la carte de la
Région Est et des autres régions concernées : Nord-Normandie, Région Parisienne, Centre-AlpesRhône et Ouest.
En 2011, les conseils régionaux et les Eglises locales ont examiné ce projet qui a été soumis, selon les
procédures habituelles, à l’avis de l’ensemble des synodes régionaux réformés fin 2012 ; les deux
synodes luthériens en ont été informés. Aujourd’hui, le Synode national 2013, premier synode de
l’Eglise protestante unie de France doit se déterminer sur la nouvelle carte des circonscriptions
régionales.
Cette révision de la carte se place dans la perspective de la création de la Région unie de l’Est, qui
certes, fera l’objet de décisions ultérieures, mais il est important dans cette première étape, d’examiner
les conséquences institutionnelles de cette union entre régions, notamment sur la composition des
délégations au synode national.
Revoir les limites géographiques des régions, c’est aussi pour les Eglises locales concernées se tourner
vers d’autres communautés avec lesquelles il faudra recréer des habitudes, des rencontres, des projets,
et des missions communes, ce sont aussi des consistoires nouveaux qui seront à construire, ce sont des
craintes à surmonter, des peurs à dépasser, mais surtout des occasions de donner, de recevoir en fait de
dépasser les limites.
460
461
1) Révision de la carte des régions –Historique et motivations
Décision 19 du Synode national de la Force
Le synode national de la Force a, avec la décision 19, lancé le processus de révision de la carte des
régions :
« décide la mise en révision de la carte des régions de l’ERF (et sur propositions des synodes
régionaux, les circonscriptions consistoriales.)
Demande au conseil national d’ouvrir le débat avec les conseils régionaux afin de recueillir l’avis des
associations cultuelles concernées par la restructuration de la Région Est.
Charge les conseils régionaux de soumettre à leur synode régional, au plus tard à l’automne 2011 les
projets d’avis en vue du synode national de l’ERF de février/mars 2012 et des synodes nationaux
EELF et ERF du printemps 2012 qui devront se prononcer sur la délimitation des circonscriptions
régionales »
Dans sa session de novembre 2009, le synode régional de la Région Est a demandé au conseil régional
« de travailler sur les étapes et le calendrier de constitution d'une Région unie en collaboration avec le
conseil synodal de Montbéliard, le conseil national et les conseils régionaux des Régions CentreAlpes-Rhône, Parisienne et Nord-Normandie »
Cette demande du synode régional Est vise à la constitution d’une région unie de l'Église protestante
unie de France entre l'Église évangélique luthérienne du pays de Montbéliard et l'actuelle région Est de
l'Église réformée de France. Elle s'appuie sur la décision 22 des synodes général de l'EELF et national
de l'ERF de Bourg-la-Reine (2009) « demandant aux comités directeurs et au groupe de pilotage,
engagés dans le processus « Vers une Église Unie » d'étudier dès à présent :
Les moyens concrets visant à faciliter les collaborations les plus étroites entre les synodes régionaux
qui le souhaitent, en tenant compte des particularités de chacun d'eux,
les modifications institutionnelles nécessaires si deux synodes régionaux envisagent la mise en place,
par la suite, d’un synode uni1 ,
A la suite du synode de mai 2010, le Conseil national de septembre a mis en place un groupe de travail
chargé de mettre au point un ou des scénarios concernant cette révision afin de les soumettre aux
Eglises locales en vue des décisions à prendre lors des synodes régional et national. Ce groupe a étudié
plusieurs configurations et a proposé au Conseil national un avant-projet qui a été ensuite soumis à la
concertation des conseils régionaux et des Eglises locales pendant l’année 2011.
La révision de la carte de la Région Est modifie, par voie de conséquence, les limites des autres
régions voisines : Centre-Alpes-Rhône, Région Parisienne, Nord-Normandie et Ouest.
2.1. La Région Est : présentation succincte : Une région riche… de ses voisins !
« La région Est est la région la plus riche en potentiel de relation entre Eglises : au contact de 3 régions
de l’ERF (Région parisienne, Centre-Alpes-Rhône, Nord-Normandie), des Eglises luthériennes de
Montbéliard (EELF) et d’Alsace (ECAAL), réformées d’Alsace (ERAL), des Eglises belge (EPUB),
Luxembourgeoise, Neuchâteloise (EREN), vaudoise (EERV). De nombreuses Eglises membres de la
Fédération protestante de France ou en demande d’adhésion à celle-ci sont en outre présentes sur le
territoire de la région Est. La région Est est donc un lieu privilégié pour garder un esprit ouvert sur les
changements que vivent ces Eglises et sur les échanges à poursuivre pour une plus grande prise en
compte des richesses mutuelles. La région Est a tout à gagner dans ces perspectives relationnelles »
(Pasteur Marc Labarthe, président de la région Est, La Voix Protestante)
1
La rédaction de la décision 22 est en effet improprement rapportée dans les Actes du synode : le compte rendu
indique clairement que les rapporteurs avaient donné leur accord à la modification consistant à déplacer les
mots « par la suite » après « en place », et c’est sur cette rédaction modifiée que s’est prononcé le synode
462
Consistoires, Postes pastoraux, Foyers
Consistoires
ChampagneArdennesMeuse
Eglises locales
CharlevilleMézières/ Sedan
Verdun / Bar le
Duc-St Dizier
Châlons en
Champagne
Postes
pourvus en
2010-2011
Foyers
connus
Foyers
participants à la
vie financière
1
330
103
1
175
84
Postes
1
0
122
60
Epernay-Reims
2
2
750
250
Troyes
1
1
250
117
Chaumont
1
150
43
Nancy
3
1
840
300
Lunéville
1
1
180
78
Raon et St Dié
1
1
290
174
Epinal
1
1
284
120
Thaon-Remiremont
1
255
72
Besançon
2
750
320
Dole-Lons le
Saunier
1
290
95
Pontarlier-Morteau
1
1
191
84
Région
2
1
Total
20
11
4757
1900
LorraineVosges
FrancheComté
2
463
La Région Est : redécoupage d’un ouvrage pas terminé
Dans la présentation de la région faite dans Information-Evangélisation (Octobre 2007), il est rappelé
que la région Est est la plus petite des grandes régions créées. « Un découpage géographique fait sur
mesure en prévision de la réunion des quatre Eglises protestantes historiques du Grand Est ».
Le rapporteur au synode national de 1969 sur la modification de la carte des Régions précise dans son
rapport à propos de la Région Est :
« Il était important de vous apporter ces quelques matériaux nouveaux, mais je dois avant toute chose
compléter mon rapport, ainsi que cela vous était annoncé, en examinant le problème de la Région de
l’Est.
Vous savez les conditions dans lesquelles le rejet de l’Esquisse a fait l’objet d’une déclaration des
quatre bureaux en date du 1er mai dernier. Cette déclaration appelle « les régions où cohabitent des
Eglises d’appartenance confessionnelle différente à se tendre la main d’association et à trouver les
voies et les moyens d’une vie et d’un service en commun plus étroit ».
Je suis conduit à vous proposer aujourd’hui l’inscription dans notre carte d’une Région de l’Est. Elle
ne peut, pour des raisons qu’il est inutile de développer, comprendre les départements concordataires.
Il y a dans cette Région un petit nombre seulement de paroisses rattachées à notre Eglise réformée de
France (une trentaine de postes de pasteur environ). Il faut à ces paroisses un support administratif,
support que sera, si vous voulez bien me suivre, cette Région de l’Est.
Mais cette Région est tout particulièrement un de ces lieux où voisinent des paroisses appartenant à
des Eglises différentes : paroisses de l’inspection luthérienne de Montbéliard sur les mêmes territoires,
paroisses de l’Eglise réformée d’Alsace et de Lorraine, toutes voisines.
J’ai été frappé lors de ma visite dans cette Région du désir exprimé par les uns et les autres, au plan
local et consistorial en particulier, de trouver les voies et les moyens du travail en commun, et frappé
en même temps de la conviction de chacun que l’autre avait un service à lui rendre dans ce travail.
Il me paraît donc nécessaire que notre Synode encourage le Conseil régional de cette Région de l’Est à
essayer dans la plus grande liberté toutes les solutions qui engagent « vers une vie et un service
commun de plus en plus étroit avec les Eglises d’appartenance différente ». Cela peut se faire au
niveau du travail à la base dans chaque localité. Cela peut vouloir dire que le Synode de la Région de
l’Est pourra n’être qu’un court instant d’une assemblée plus vaste où ces Eglises se retrouveront avec
des Eglises d’appartenance différente.
C’est donc dans le sens de la création de cette Région de l’Est, dans une structure particulièrement
simple et ouverte vers les Eglises voisines que je demanderai au Synode de se prononcer dans son
ordre du jour. »
En 2006, les Eglises reconnues d’Alsace et de Moselle ont constitué une Union scellant, ainsi, la
géographie non terminée de la Région Est de l’Eglise réformée.
Vers une Région Unie entre l’Inspection de Montbéliard de l’EELF et la Région EST de l’ERF
Depuis le lancement du processus d’union entre les Eglises réformée et luthérienne, les 2 régions :
Région Est de l’ERF et Inspection de Montbéliard de l’EELF ont renforcé leurs liens par notamment :
la mise en place d’un secrétariat commun à Montbéliard,
l’organisation des synodes régionaux communs en novembre 2010, novembre 2011 et octobre 2012,
la création d’un poste d’informateur interrégional,
des pastorales communes.
L’inspection de Montbéliard de l’Eglise Evangélique Luthérienne de France :
Les 23 Eglises locales sont réparties sur partiellement 3 départements : Doubs, Territoire de Belfort et
Haute-Saône, les distances les plus longues entre Montbéliard et une Eglise locale n’excèdent pas 60
km et 1 heure de route. Cette concentration permet un mode de vie ecclésiale particulier, tant au
niveau de la fréquence des réunions, de leur durée, des activités partagées, des mouvements
pastoraux…, différent de celui des Eglises réformées où les distances limitent le nombre des réunions,
imposent des WE au lieu des sessions d’une journée, obligent à une forte solidarité pastorale.
464
Globalement en juxtaposant les 2 entités et avant toute révision de la carte réformée, on peut comparer
les « forces en présence » :
Eglises
EELF
Foyers connus
Foyers
cotisants
Audincourt
1839
900
Postes
pastoraux
pourvus en
2010-2011
4
Blamont
1648
697
5
Héricourt
2225
886
5
Saint Julien
1766
750
4
Consistoires
Inspection
ERF
Total
ChampagneArdennes
Lorraine-Vosges
Franche-Comté
3
7478
3233
21
1677
657
3
1849
744
4
1231
499
3
Région
1
Total
4757
1900
11
Le projet actuel de révision de la carte de la région Est trouve toute sa pertinence avec la constitution
de l’Eglise protestante unie.
Des initiatives locales de regroupement
Depuis de nombreuses années, des Eglises locales ont partagé des projets, mis en commun leurs
moyens et leurs forces. Il est évident que cette synergie a aussi été provoquée par un non-pourvoi de
postes pastoraux. Ces rapprochements ont incité ces Eglises à entamer des discussions sur des
regroupements ecclésiaux, voire des regroupements administratifs des Associations cultuelles. Cette
dynamique doit être confirmée et conservée dans les projets de révision de la carte.
Sont concernées :
Dans le Consistoire de Champagne-Ardennes, les AC de Sedan, Charleville-Mézières, Epernay-Reims
et Châlons en Champagne dans les départements des Ardennes et de la Marne ;
Dans le même Consistoire, Verdun est en procédure de regroupement avec Nancy et Lunéville dans le
Consistoire Lorraine-Vosges ;
Dans ce Consistoire, la communauté de Neufchâteau, qui dépendait de l’AC de Chaumont, s’est
rattachée à l’AC de Nancy ;
Dans le Consistoire de Franche-Comté, les AC de Dôle et Lons le Saunier sont en procédure de
regroupement administratif ;
Dans le même consistoire, les AC de Morteau et de Pontarlier souhaitent également se regrouper.
Il ne s’agit dans cette liste que des rapprochements explicitement envisagés, d’autres réflexions moins
avancées que les précédentes existent.
Plusieurs causes sont à rappeler dans ces regroupements et ces nouvelles synergies qui se
développent :
le non-pourvoi des postes qui obligent les paroisses pourvues et les ministres a une vraie solidarité ;
l’arrivée depuis la création de la région, des nouvelles infrastructures : autoroutes A4, A26, A36,
A5... ; les lignes ferroviaires rapides : LGV Est et Rhin-Rhône, qui invitent à des ententes à plus
longue distance ;
465
La mise en place de pôles urbains qui drainent ou attirent les populations environnantes pour les taches
et besoins quotidiens ;
Une érosion des populations constatée lors des derniers recensements :
les 5 départements du consistoire Champagne-Ardennes accusent une baisse de population entre 2008
et 1999 de 0,6 %, alors que la France métropolitaine a vu sa population croître sur la même période de
0,7 % ;
la projection entre 2008 et 2040 de l’INSEE donne une baisse de 1,25 % pour tous les départements de
cette région ;
Une certaine « désertification » des populations protestantes touchées par l’arrêt ou le départ
d’activités industrielles et économiques où elles étaient particulièrement présentes : industries lourdes,
de transformation et activités militaires ;
la création et le développement des nouvelles universités et des centres hospitaliers de référence
induisent des déplacements temporaires de population à prendre en compte : étudiants notamment. Ils
font naître également de nouvelles habitudes de déplacements intra-régionaux.
Une occasion unique de revoir la carte de la Région Est
La carte de la Région Est a été définie lors du synode de 1969, de façon provisoire mais il aura fallu
attendre le rapport final pour avoir une définition de cette région. Tout au long de son rapport, le
rapporteur rappelle que les propositions sont « en attente de … l’approbation par les 3 autres Eglises ».
Un projet régional émanant de l’ancienne Région Est et soumis à ce synode de 69, dit « Projet S »
préconisait d’ailleurs un tracé identique des limites de la région au projet proposé ci-après, à
l’exception des départements des Eglises concordataires. Cette situation aura pesé sur la vie de la
Région pendant toutes ces dernières années. Au moment de la création de l’Eglise unie, il est donc
important de « finir » les travaux du synode de 1969 et de permettre ainsi de nouvelles perspectives.
De nouvelles dynamiques sont apparues entre les Eglises locales, actions communes,
regroupements…, qu’il convient de conforter dès lors qu’elles s’inscrivent dans un projet régional
cohérent.
La création de nouveaux espaces ecclésiaux, ensembles, secteurs, consistoires, liés à cette révision de
la carte peut donner un autre souffle aux projets locaux ou consistoriaux.
Les synodes, régional de 2009 et national de 2010 ont réaffirmé dans leurs décisions cette demande de
modifier la carte de la Région. Les synodes général et national de 2009 ont explicitement engagé la
préparation de la création d’une Région unie.
Présentation du projet et information des conseils régionaux et locaux
Présentation du projet :
Celle-ci a eu lieu lors d’une rencontre, le 4 mars 2011, avec les représentants des conseils régionaux
des Régions Centre-Alpes-Rhône, Est, Nord-Normandie, Parisienne et Ouest et en présence de
l’Inspecteur ecclésiastique du Pays de Montbéliard.
Les conditions de la concertation ont été précisées lors de cette rencontre : initiative des conseils
régionaux, dossier préparé par le groupe de travail national, une démarche d’Eglise et la procédure
décisionnelle synodale.
Chaque conseil régional a étudié le projet et a informé les Eglises locales de sa région selon ses
modalités propres. Les synodes régionaux de novembre 2011 ont évoqué ce projet, que ce soit au
travers du rapport de gestion du conseil régional ou plus particulièrement dans l’Est par un travail en
groupe. Le conseil régional de la région Ouest s’est joint à cette démarche et le synode régional en a
été informé.
Débats au sein des Eglises locales
On notera qu’un travail important d’explications, visites a été fait par les différents conseils régionaux
et toutes les paroisses concernées directement par ce changement ont été informées et/ou visitées. Des
rencontres de consistoire ont également été consacrées à ce sujet.
Les conclusions très provisoires des réflexions de chaque conseil montrent :
Des évolutions dans l’appréhension du projet,
Une adhésion globale au projet,
466
Des regrets de « voir partir » et des inquiétudes de « savoir accueillir »,
que la démarche instaurée permet de relire la réalité de chaque Eglise, sa capacité, ses forces, son
évolution et ses projets, et son insertion réelle dans des dispositifs communs (bassin de vie, secteur..),
la nécessité d’accompagner ces changements : cadre consistorial, capacité financière, politique de
pourvoi des postes pastoraux...
Le projet de révision de la carte des régions : La Région Est
Configuration de la Région Est avant révision
467
Les critères retenus :
La future Région de l’Eglise unie sera centrée sur le
Pays de Montbéliard, qui présente une forte densité de
population protestante représentant 1,5 fois le nombre
de familles réformées de la région Est sur un territoire
qui ne mesure que 15 % de la région Est actuelle. Pour
éviter l’isolement de cette entité, faciliter les relations
entre les différentes communautés, il y a lieu d’assurer
une meilleure homogénéité de la Région autour de son
centre de gravité déplacé à Montbéliard.
Organiser et rééquilibrer la nouvelle région Est
réformée entre des pôles urbains attirants (Nancy-DijonBesançon) et des territoires de forte dissémination.
Depuis le synode national de 1970 où a été adoptée la
carte de cette « grande » Région, les infrastructures se
sont développées et notamment les axes transversaux
tels que A36, A5, A31 ainsi que la nouvelle ligne TGV
entre Dijon et Belfort en service depuis fin 2011.
Associer des formes ecclésiales cohérentes :
consistoires, pastorales…
Les Ensembles, secteurs ou bassins de vie, expressions
de nouvelles dynamiques locales doivent être
confortées, que ce soit dans la Région Est ou dans les
Régions limitrophes
Réviser la carte vers un équilibre financier avec des moyens humains optimisés ? Quel est l’espace où
la solidarité entre des communautés peut le mieux s’exprimer ?
Configuration de la Région Est Réformée proposée
Dans la Région Est actuelle, le Consistoire
de Champagne-Ardenne est découpé en 3
parties : l’ouest correspondant aux deux
départements de la Marne et des Ardennes
serait rattaché à la Région NordNormandie, la partie Est avec les
Départements de la Haute-Marne et de la
Meuse resterait intégrée dans la Région
Est avec le consistoire de LorraineVosges, et au Sud le département de
l’Aube et l’Eglise de Troyes rejoindraient
la région Parisienne.
Dans la partie Sud de la Région, la
paroisse de Dijon-Beaune et le
département de la Côte d’Or seraient
rattachés à la région Est. Les Eglises de
Saône-et-Loire ont entamé récemment une
démarche de création entre elles d’un
bassin de vie et il est donc cohérent, selon
les critères énoncés ci-dessus de maintenir
ce département et ces communautés dans
la région CAR.
TG
V
La région Est ERF regrouperait dans cette
configuration les Eglises suivantes
468
Région d’origine
Consistoire d’origine
Eglises locales
Est
Lorraine Vosges
Nancy
Région
après
révision
Est
Est
Lorraine Vosges
Lunéville
Est
Est
Lorraine Vosges
Raon l’Etape & St Dié
Est
Est
Lorraine Vosges
Epinal
Est
Est
Lorraine Vosges
Thaon & Remiremont
Est
Est
Champagne-Ardennes
Est
Champagne-Ardennes
Est
Champagne-Ardennes
Verdun
Est
Bar le Duc / SaintEst
Dizier
Chaumont
Est
Centre-Alpes-Rhône
Bourgogne
Dijon-Beaune
Est
Est
Franche-Comté
Besançon
Est
Est
Franche-Comté
Dôle-Lons le Saunier
Est
Est
Franche-Comté
Pontarlier-Morteau
Est
La carte suivante précise plus distinctement les limites proposées :
469
2.2. La Région Nord-Normandie
La région Nord-Normandie avant révision : elle s’étend sur 9 départements dans une forme de
croissant autour de Paris et est organisée autour de 4 consistoires : 2 consistoires en Normandie et 2
consistoires dans le Nord : Hainaut-Picardie et Flandres-Artois-Littoral.
Statistiques de la région actuelle (référence 2010)
Région
Postes
Postes
pourvus
FC
FP
FON
Basse-Normandie
5
4
1 001
500
432
Haute-Normandie
11
7
2 150
969
801
Flandres-ArtoisLittoral
9
6
1 516
753
632
Hainaut-Picardie
8
4
1 356
662
562
Région
3
2
36
23
6 023
2 884
2 427
Région
Normandie
Nord
Le projet de révision de la carte de la Région Nord-Normandie
Le projet de révision de la carte de la région Est propose de rattacher les 2 départements de Marne et
des Ardennes avec les 4 Eglises correspondantes à la Région Nord-Normandie.
L’Eglise de Château-Thierry, actuellement membre du consistoire Nord-Est de la région Parisienne, a
souhaité rester dans cette région. Une certaine cohérence géographique inviterait à regrouper cette
paroisse avec les Eglises de Champagne, Reims à 57 km et Epernay à 52 km, ou avec celle de
Soissons à 42 km, mais le conseil de cette Eglise met en avant sa position géographique en bordure de
la région parisienne (facilité des transports, relations trajet-travail…) et son intégration dans le
consistoire Nord-Est.
Il a aussi paru nécessaire de rééquilibrer la région Nord-Normandie-Champagne par l’ajout du
département de l’Oise et de ses 3 Eglises. L’intégration du département de l’Oise donnerait un sens à
470
un consistoire de Picardie, la desserte entre Amiens et Beauvais étant facilitée par l’autoroute A16, la
nationale 31 et l’autoroute A1.
Ces 3 Eglises, consultées, constituent le secteur de l’Oise et travaillent ensemble et accepteraient de
poursuivre cette collaboration au sein de la Région Nord-Normandie. Certes, l’Eglise de Creil est plus
parisienne par sa carte orange et son RER, mais elle souhaite poursuivre sa vie commune avec les
communautés sœurs de Beauvais et de Compiègne.
Beauvais deviendrait ainsi l’Eglise la plus proche, en dehors de la paroisse d’Amiens, du siège de la
Région. A relever également la naissance d’un axe horizontal comprenant 4 Eglises distantes de moins
de 60 km de Beauvais à Reims en passant par Compiègne et Soissons !
La Région Nord-Normandie-Champagne-Picardie (peut-être un nouveau nom ?) aurait ainsi des
limites identiques aux frontières des régions politiques : Haute et Basse Normandie, Picardie, NordPas de Calais et partiellement
Champagne-Ardenne.
Certes, les liaisons entre les différents
secteurs de la région se sont
notablement améliorées avec les
autoroutes A29, A13, A26, A16 et A1,
mais ce projet engendre des distances
et temps de parcours importants car,
sans rechercher les extrêmes, on peut
relever entre les pôles de la région :
Caen-Reims : 383 km et 3.35 h de
route
Lille Reims : 205 km en 1.53 h
Rouen-Reims : 291 km en 2.39 h de
route.
Cette contrainte, que d’autres régions
connaissent, parfois plus fortement
encore, est déjà vécue par Nord-Normandie qui a, pour certaines activités (rencontres catéchétiques, de
trésoriers), poursuivi le fonctionnement en 2 grandes zones : le Nord d’une part et la Normandie de
l’autre pour diminuer l’impact des distances. Cette nouvelle carte régionale donnera de l’importance à
la révision nécessaire des consistoires et des stratégies consistoriales à définir.
471
Statistiques de la région révisée (référence 2010)
Les Eglises suivantes rejoindraient la région Nord-Normandie :
Région d’origine
Consistoire d’origine
Eglises locales
Est
Champagne-Ardennes
Charleville-Mézières/Sedan
Est
Champagne-Ardennes
Châlons en Champagne
Est
Champagne-Ardennes
Epernay-Reims
Région Parisienne
Nord-Ouest
Beauvais
Région Parisienne
Nord-Ouest
Creil
Région Parisienne
Nord-Ouest
Compiègne
Consistoires
Basse-Normandie
Haute-Normandie
Flandres-ArtoisLittoral
Hainaut Picardie
Champagne
Oise
Région
Région
Nord
Normandie
Postes
5
11
Postes
pourvus en FC
2011
4
1 001
7
2 150
9
6
8
4
3
2
4
2
3
2
42
28
FP
FON
500
969
432
801
1 516
1 356
1 102
380
753
662
401
143
632
562
290
143
7 505
3 428
2 860
Les commentaires du conseil régional et des Eglises locales
Le dossier a été examiné en conseil régional et celui-ci n’a pas manifesté d’opposition à ce projet, et a
reconnu la cohésion de la proposition. Toutefois le conseil régional reconnaît que le consistoire
frontalier, Hainaut-Picardie, dont le pourvoi des postes est très fragilisé actuellement, devra être
accompagné plus spécialement, et dans le temps, afin qu’une nouvelle organisation, viable pour les
Eglises locales, soit trouvée.
La dynamique d’accueil est lancée, tout en étant conscient des difficultés liées à la réorganisation
nécessaire et à une nouvelle définition d’un projet régional.
Les conseillers régionaux ont animé par binôme des réunions dans les consistoires et des questions
sont apparues : quels consistoires et quel projet de consistoire ? Quel sera le soutien de l’Union dans la
phase d’après révision ? La révision des limites des consistoires, qui suivra la nouvelle carte régionale,
ne pourra se faire qu’après une période transitoire ou expérimentale ;
2.3. La Région Parisienne
Dans la configuration proposée, les associations cultuelles de Creil, Beauvais, Compiègne dans le
département de l’Oise seraient rattachées à la Région Nord-Normandie. Ceci affecte le Consistoire
Nord-Ouest : ce mouvement concernerait 3 postes sur 22 et ne devrait pas, sauf étude régionale,
modifier la carte de ce consistoire.
L’Eglise de Troyes et le département de l’Aube seraient insérés au consistoire Sud-Est de la Région,
mais la viabilité de ce consistoire et d’un réel projet consistorial est à reconsidérer, surtout si on prend
472
en compte le rapprochement déjà existant entre l’Eglise d’Auxerre et la communauté de Clamecy
dépendant actuellement de l’Eglise de Nevers.
Ceci est renforcé par la demande exprimée par les deux Eglises de Cosne-Sancerre-Bords de Loire
(Région Ouest) et de Nevers (Région Centre-Alpes-Rhône) de partager un poste pastoral et d’être
rattachées à la Région Parisienne.
2.4. La Région Centre Alpes Rhône
Le projet concerne le rattachement de l’Eglise de Dijon-Beaune-Côte d’Or à la Région Est. Le
consistoire de Bourgogne, outre sa dénomination, pourrait être révisé avec un départ de Villefranche
vers le Lyonnais et la création d’un bassin de vie entre les paroisses de Saône-et-Loire et de l’Ain.
Le conseil presbytéral de Dijon a été consulté et a manifesté un large accord, en notant que ce projet,
facilité par l’amélioration des transports, correspond à une réalité de plus en plus affirmée des relations
quotidiennes avec la région de Besançon. Une rencontre, le 1er décembre 2011, entre le conseil élargi
de Dijon et les présidents des régions Est, et Centre-Alpes-Rhône, et en présence de l’Inspecteur
ecclésiastique de Montbéliard, a permis de répondre à certaines inquiétudes sur l’insertion de l’Eglise
de Dijon dans une future Région unie, sur les questions financières et sur le pourvoi des postes. Cette
réunion a aussi dressé le constat que la délimitation proposée serait cohérente avec celles des EEUdF,
de la Cimade, de l’aumônerie des prisons et rappelé que de nombreux membres de la communauté de
Dijon venaient de l’Eglise luthérienne.
Le conseil régional a rencontré les conseils presbytéraux de Nevers et de Moulins dans la perspective
d’un rapprochement de l’Eglise de Nevers avec l’Eglise de Cosne-Sancerre-Bords de Loire de la
Région Ouest, rapprochement qui modifierait les relations actuelles entre Moulins et Nevers et les
autres paroisses voisines au sein de ce consistoire d’Auvergne (Montluçon, Vichy). Le conseil régional
a validé la demande de l’Eglise de Nevers d’être rattachée à la Région Parisienne.
2.5. La Région Ouest
L’Eglise de Cosne-Sancerre-Bords de Loire a la particularité d’être implantée sur 3 départements : le
Loiret, le Cher et la Nièvre. Située en limite de la Région Ouest, elle borde la région Parisienne et la
Région Centre-Alpes-Rhône. L’Eglise de Cosne-Sancerre-Bords de Loire a confirmé son souhait de
partager le poste pastoral avec l’Eglise de Nevers, distante de 60 km et d’être rattachée à la Région
Parisienne. Dans le même sens, qui consiste à conforter des relations existantes et cohérentes, la
communauté de Clamecy pourrait rejoindre la paroisse d’Auxerre en Région Parisienne.
473
3. Avis des synodes régionaux
3.1. Région Provence-Alpes-Corse-Côte d’Azur
Le synode régional de l’Eglise réformée en Provence-Alpes-Corse-Côte d’Azur réuni à Sanary sur mer
les 12-13 et 14 octobre 2012
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
suit le tableau sans changement
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité 36 voix : Pour 59 voix, Avis favorable
3.2. Région parisienne
Le synode de l'Eglise réformée de France en Région parisienne réuni les 19-20 et 21 octobre 2012
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Églises suivantes :
suit le tableau sans changement
et formule les observations complémentaires suivantes :
Pour faciliter l'accueil des Églises locales de l'Oise, de Marne et des Ardennes arrivant en Région
Nord-Normandie, le Synode de la Région parisienne demande que ces Églises puissent continuer à
bénéficier d'un journal régional en Nord-Normandie et d'un accès régionalisé au site Internet national
de l'Église unie.
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Église protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité 102 voix ; Pour 136 voix, Avis favorable
3.3. Région Nord-Normandie
Le synode régional Nord Normandie réuni à Forges les Eaux les 19 -20 et 21 octobre 2012.
1°émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées et au changement de
circonscription régionale des Eglise suivantes :
suit le tableau sans changement
Et formules les observations complémentaires suivantes :
Une période transitoire devra être laissée à la nouvelle région, qui succédera à la région NN, afin de
trouver son fonctionnement propre.
D’après les observations du trésorier régional, cette nouvelle région ne sera viable qu’à la condition
d’une solidarité financière.
Une solidarité sera également nécessaire afin que le pourvoi de chaque poste ne soit pas encore
fragilisé dans cette nouvelle région.
Vote : Majorité : 39 ; Pour 59, Contre 0, Avis favorable
474
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013 suivi des
contributions et clôtures des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions au 1er janvier 2014
Et formule les observations complémentaires suivantes :
En rappelant que le calendrier est très contraignant pour les régions concernées et pour l’union
nationale.
Vote : Majorité : 39 ; Pour : 60, Contre : 0, Avis favorable
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix
délibératives au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de
France du printemps 2014.
Vote : Majorité : 39 ; Pour : 1, Contre : 49, Avis défavorable
Explication de vote sur le point trois
L’hypothèse 2 du paragraphe 33-22, p20 (calcul des délégations régionales en vue de la constitution
du synode national) nous est présentée comme étant l’hypothèse la plus logique cependant :
Elle implique que le nombre de foyers versant des offrandes nominatives (FON) soit connu de manière
exacte par le conseil national, or l’expérience montre que ce n’est pas le cas et que le nombre de postes
est bien plus clairement établi.
Elle entraîne nécessairement la surreprésentation de la délégation NN. Dès lors, la réponse à l’injustice
provoquée par l’hypothèse 1 pourrait-être tout simplement d’augmenter plutôt le nombre de délégués
luthériens de la région Est.
De plus, même si ce n’est pas le but premier, la connotation financière sera perçue comme telle et
donnera l’impression que pour avoir le droit d’être représenté, il faut participer à la vie financière de
l’Eglise. Ce qui est une modification profonde de notre ecclésiologie et de notre théologie.
Enfin, la remarque du document (p. 21 première phrase) « C’est parce qu’il y a des paroissiens qu’il y
a des postes et des ministres » nous enferme dans une logique de desserte, au lieu d’une logique
d’Annonce de l’Evangile (nous envoyons des ministres en tous lieux pour annoncer l’évangile à nos
frères et sœurs).
Toutes ces remarques nous amènent à considérer que l’hypothèse deux est tout aussi discutable que la
première. C’est pourquoi il nous paraît qu’un débat synodal sur l’ecclésiologie est nécessaire avant de
procéder à de telles modifications de la Constitution. Or, le calendrier fixé par le point trois nous
imposerait de prendre une décision au printemps 2014 et donc sans que ce débat ait pu avoir lieu.
Pour cette raison le synode régional ne peut pas donner un avis favorable sur ce point 3.
Projet de décision
Interpellé par les implications immédiates des hypothèse de modification des délégations régionales au
synode national (point3.3 du document : révision de la carte des régions réformées projet soumis à
l’avis des synodes régionaux), le synode régional NN, …, appelle le conseil national de l’Eglise
Protestante Unie à ne pas soumettre au synode de projet de modification de la Constitution concernant
les délégations au synode national tant qu’un débat synodal sur l’ecclésiologie n’aura pas eu lieu.
Vote : Majorité : 39 ; Pour : 58, Contre : 1, Adopté
Projet de décision soumis au vote :
Le synode régional Nord-Normandie, réuni les 19, 20 et 21 octobre 2012 à Forges les Eaux,
Décide que l’explication de vote présentée aux membres du synode régional NN par les rapporteurs
sur le point 3 sera envoyée au conseil national de notre Église réformée.
Vote : Majorité : 39 ; Pour : 57 Contre : 2, Adopté
3.4. Région Cévennes-Languedoc-Roussillon
Le synode régional de la région Cévennes-Languedoc-Roussillon réuni les 19, 20 et 21 octobre 2012
475
1°émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
suit le tableau sans changement
Vote : Pour : 100, Avis favorable
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
Vote : Pour : 102 , Avis favorable
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Pour : 102, Avis favorable
3.5. Région Ouest
Le synode régional de l’Eglise Réformée de France, région Ouest réuni à Barbezieux les 19, 20 et 21
octobre 2012
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
suit le tableau sans changement
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité 51 voix ; Pour : 85, Contre : 0, Avis favorable
3.6. Région Sud-Ouest
Le synode régional de l’Eglise réformée de France en Sud-Ouest réuni dans sa 43ème session ordinaire
à Albi les 27 et 28 octobre 2012
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
suit le tableau sans changement
Vote : Majorité 53 voix ; Pour : 87, Avis favorable
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
Vote : Majorité 53 voix ; Pour : 89, Avis favorable
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité 53 voix ; Pour : 91, Avis favorable
3.7. Région Est
Le synode régional de la région Est réuni à Montbéliard du 26 au 28 octobre 2012
476
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
suit le tableau sans changement
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité : 16 voix ; Pour : 26 ; Contre : 0, Avis favorable
En outre, le synode régional a été invité à prendre plusieurs décisions relatives à la mise en place de la
région unie « Est-Montbéliard »
3.8. Région Centre-Alpes-Rhône
Le synode régional Centre-Alpes-Rhône, réuni à Voguë les 9, 10 et 11 novembre 2012,
1° émet un avis favorable à la nouvelle carte des régions réformées, et au changement de
circonscription régionale des Eglises suivantes :
2° émet un avis favorable au calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des
contributions et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert
des contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° émet un avis favorable au maintien inchangé de la répartition des délégations avec voix délibérative
au synode national jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du
printemps 2014.
Vote : Majorité : 83 ; Pour : 129 ; Contre : 2, Avis favorable
3.9. Information des synodes régionaux des Inspections luthériennes
Le processus lancé dans le cadre de l’Eglise réformée et ne concernant que les régions réformées, ne
nécessitait pas de recueillir l’avis formel des synodes régionaux luthériens, néanmoins les paroisses
des deux Inspections en ont été informées.
Les délégués des paroisses de l’Inspection de Paris ont eu connaissance du projet mais n’ont porté
aucun avis ni vœu.
L’Inspection de Montbéliard a suivi la préparation du projet de révision de la carte et le synode
régional a émis plusieurs décisions relatives à la mise en place de la région unie « Est-Montbéliard »
3.10. Synthèse des avis des synodes régionaux
Le tableau ci-dessous récapitule les différents avis concernant pour chaque point :
Le calendrier de mise
en œuvre
Prolongation temporaire des
délégations au synode national
Avis favorable
Avec compléments
Avis favorable
Avec compléments
Avis défavorable
Avec commentaires
Avis favorable
Avis favorable
Avis favorable
Régions
La révision de la carte
Provence-AlpesCorse-Côte d’Azur
Avis favorable
Nord-Normandie
Cévennes-LanguedocRoussillon
Ouest
Sud-Ouest
Région Parisienne
Est
Centre-Alpes-Rhône
Avis favorable
Avis favorable
Avis favorable
Avis favorable
Avec complément sur la mise en œuvre
Avis favorable
Avis favorable
477
Avis favorable
Certaines régions ont donné un avis global et d’autres ont distingué chaque point mais d’une façon
générale, le projet a été adopté à une très forte majorité ou unanimité.
Observations complémentaires des synodes
Région Nord-Normandie :
Le 1er point relatif à la nouvelle carte a été adopté à l’unanimité avec les compléments suivants :
« Une période transitoire devra être laissée à la nouvelle région, qui succédera à la région NN, afin de
trouver son fonctionnement propre.
D’après les observations du trésorier régional, cette nouvelle région ne sera viable qu’à la condition
d’une solidarité financière.
Une solidarité sera également nécessaire afin que le pourvoi de chaque poste ne soit pas encore
fragilisé dans cette nouvelle région. »
Le 2ème point concernant le calendrier de mise en œuvre a également été adopté à l’unanimité avec
l’observation suivante :
« En rappelant que le calendrier est très contraignant pour les régions concernées et pour l’union
nationale. »
Ces observations traduisent des préoccupations de deux ordres : le calendrier de mise en place de cette
nouvelle région d’une part et d’autre part la solidarité des autres régions ou de l’union nationale tant
sur un plan financier que du pourvoi des postes pastoraux.
Le processus de révision de la carte des régions a été lancé avec la décision 19 du synode national de
La Force en mai 2010 qui demandait en outre que les synodes régionaux soient appelés à donner leur
avis en automne 2011 pour une décision du synode national en mai 2012. Il est apparu que, pour
assurer une meilleure concertation avec les conseils régionaux et les Eglises locales, et entre les
conseils régionaux et les Eglises locales concernées directement, et faire en sorte que cet avis formel
des synodes régionaux témoigne d’une véritable appropriation de tous les acteurs, il était nécessaire de
repousser d’une année la décision du synode national.
Il est évident que pour la région Nord-Normandie, cette nouvelle configuration est importante,
amenant 20 % de postes en plus et une nouvelle délimitation des consistoires, et nécessitera l’attention
et le soutien des autres régions et de l’Union nationale.
Reprenant ces préoccupations, le Conseil national a proposé, lors du synode Belfort en 2012, de créer
un fonds « Régions » alimenté par l’ensemble des régions pour pouvoir pallier aux difficultés
financières liées à cette reconfiguration et, d’autre part, le synode de 2012 a approuvé des règles
pratiques sur la mise en application de la révision de la carte.
Le 3ème point de l’avis synodal concerne la répartition des délégations au synode national. Le synode
Nord-Normandie a refusé ce point et a donné une explication à sa décision.
Le synode Nord-Normandie demande qu’un débat sur l’ecclésiologie ait eu lieu avant de modifier les
délégations au synode national. Le débat souhaité concerne la référence à prendre en compte pour
définir le nombre de délégués au synode national.
Ce point est repris ci-après dans le chapitre 4 consacré aux conséquences de la révision de la carte.
Région Parisienne :
Les délégués au synode régional de la Région Parisienne ont marqué leur préoccupation pour les
Eglises qui changent de région et rappelé que les échanges d’information et/ou un journal régional
peuvent faciliter l’intégration.
« Pour faciliter l'accueil des Églises locales de l'Oise, de Marne et des Ardennes arrivant en Région
Nord-Normandie, le Synode de la Région parisienne demande que ces Églises puissent continuer à
bénéficier d'un journal régional en Nord-Normandie et d'un accès régionalisé au site Internet national
de l'Église Unie. »
Cette demande a été transmise à la région Nord-Normandie.
478
Région Est et Inspection de Montbéliard :
Les deux synodes régionaux ont également voté les décisions concernant la mise en place, sous forme
d’une expérimentation, de la région unie « Est-Montbéliard ». La première décision approuve
l’orientation générale du projet et les décisions suivantes permettent de lancer les dispositions
nécessaires à la création de la région unie : nom de la région, synodes et conseils régionaux communs,
pôle administratif unique. Ces éléments rentreront dans le cadre du projet qui sera soumis aux dix
synodes régionaux de fin 2013.
4. Le calendrier et les conséquences de la révision de la carte
4.1. Le calendrier
La précédente révision générale de la carte des régions de l’Eglise réformée de France a été décidée
par la décision XXXIV du synode national de St Jean du Gard (1964), en vue d’une décision au
synode national 1966. Elle a abouti, cinq ans plus tard, à la décision XII du synode national d’Avignon
(1969).
La décision 19 du synode national tenu à La Force en mai 2010 prévoyait un avis des synodes
régionaux au plus tard à l’automne 2011 en vue d’une décision lors des synodes général et national du
printemps 2012. En toute hypothèse, le calendrier envisagé en 2010 a déjà été reporté d’un an, tant
pour permettre l’étude approfondie des questions suscitées par la révision de la carte que de tenir
compte de l’ordre du jour déjà très chargé des synodes régionaux.
4.2. Le calendrier de révision de la carte des régions doit prendre en compte trois éléments
-A - L’accord sur la carte nationale proprement dite,
-B - La mise en œuvre de cette nouvelle carte, au niveau local, consistorial et régional, et ses
implications notamment dans la constitution des instances élues et le domaine financier,
-C - La révision corollaire de la répartition régionale des délégations au synode national avec voix
délibérative.
Dans le cas d’une révision de la carte des régions induisant la création simultanée de la région unie de
l’Est, deux hypothèses pouvaient être envisagées :
Respecter strictement le calendrier de la décision 19 du SN de La Force (2010), en constatant toutefois
le report d’un an de ce calendrier, et donc soumettre la révision aux huit synodes à l’automne 2012
pour prise de décision lors du premier synode national de l’Eglise protestante unie, en mai 2013, de
manière concomitante avec la mise en place de l’Eglise protestante unie,
Constater qu’un tel calendrier ne serait pas conforme à la décision 22 du SN de Bourg-la-Reine (2009)
– décision prise dans les mêmes termes par le synode général de l’EELF, ce qui lui donne quelque
motif d’être privilégiée – qui n’envisage la création d’une région unie que postérieurement à la mise
en place de l’Eglise protestante unie, et définir un nouveau calendrier tenant compte des autres
conséquences pratiques de cette décision.
Rien en effet dans les documents préparatoires et la décision 19 du SN de La Force ne montre qu’ont
été pris en compte :
4.3. Les conséquences pratiques régionales d’un tel calendrier :
La modification de la carte des régions ne pourrait être votée au plus tôt par le synode national qu’en
mai 2013, soit après la tenue des synodes régionaux électifs du printemps 2013. Pourrait-on auquel
cas, pour les régions concernées, prolonger de quelques mois le mandat des conseils régionaux en
fonction et prévoir de distinguer deux sessions extraordinaires du synode régional, l’une en mars 2013
(selon la composition proposée aux SR 2011, pour l’élection de la délégation au synode national,
indispensable pour la réunion de celui-ci) et l’autre en juin 2013 (selon la nouvelle composition, pour
l’élection du conseil régional et des commissions régionales élues)… tout en sachant qu’une troisième
479
session devrait être tenue, à l’automne 2013, pour notamment procéder au vote du budget pour l’année
2014 ? Cette multiplication des sessions au cours de la même année 2013 – et la brièveté du délai
disponible entre la décision du SN et la seconde session élective – ne justifieraient-elles pas de retenir
un autre calendrier, ce qui n’empêche pas l’approfondissement par ailleurs des actions conduites en
commun par les deux actuelles régions les plus concernées ?
la nécessaire révision corollaire de la répartition des délégations régionales au synode national.
La prise en compte simultanée des attentes et des contraintes a conduit à dissocier la révision de la
carte des régions réformées (phase 1) de la création de la région unie Est (phase 2), et à placer la phase
2 après la mise en place de l’Eglise protestante unie. Par souci de simplification, la première phase
devrait toutefois comporter l’absence de modification des délégations au synode national (pour autant
que toutes les régions réformées en conviennent).
Il est donc proposé de :
placer l’entrée en vigueur officielle de la nouvelle carte au 01 juillet 2013, sachant qu’elle ne sera
effective qu’à la reprise des activités, au 1er septembre, ce qui permet aux délégations au synode
régional d’automne d’être constituées conformément à la nouvelle carte
reporter la mise en œuvre financière de la nouvelle carte au 1er janvier qui suivra, pour respecter
l’exercice financier légal (et permettre à toutes les associations cultuelles concernées par le budget
découlant de la nouvelle carte de participer préalablement à son approbation).
Des étapes accélérées vers la Région unie
Le synode national 2013 est appelé à se prononcer sur la révision de la carte des régions réformées et
sur ses conséquences directes en matière de composition des délégations régionales au synode
national. Il était envisagé que les synodes régionaux de l’automne 2014 donnent un avis sur la création
de la région unie Est-Montbéliard, cette démarche faisant l’objet de la phase 2 décrite dans le
paragraphe 4.1.4 du présent document. Or les synodes régionaux de la région Est réformée et de
l’Inspection luthérienne de Montbéliard ont demandé que cette création soit anticipée d’une année et
proposée au synode national 2014. Les synodes régionaux de l’automne 2013 seront donc saisis pour
avis de la création de la Région unie qui serait dans cette perspective mise à l’ordre du jour du synode
national 2014. Pour compléter cette démarche, les modifications de la Constitution consécutives à la
création de la région unie seront également soumises aux synodes régionaux 2013 et au synode
national 2014.
En outre, la révision de la carte des régions provoque une modification de la composition des
délégations et la création d’une Région unie provoque une modification du nombre des délégations
(passant de 10 à 9). Aussi pour éviter ces décisions successives, il a été proposé à l’avis des synodes
régionaux 2012 et sera soumise au synode national 2013 la décision de ne pas modifier la composition
des délégations jusqu’au prochain synode national du printemps 2014.
De la révision de la carte à la Région unie, on obtient le calendrier suivant pour les points A et C du
début du § 4.1.2. :
SR
SN
Phase 1 : révision de la carte des régions réformées
Automne
2012
Avis des synodes régionaux sur la révision de la carte des régions réformées
Printemps
2013
Décision de révision de la carte des régions réformées (avec effet échelonné
du 1.7.2013 au 1.1.2014)
480
Révision de la carte des consistoires (régions concernées)2
Elections régionales complémentaires3
Automne
2013
Phase 2 : création d’une région unie
Automne
2013
Printemps
2014
Automne
2014
- Avis sur la révision de la carte des régions de l’Eglise protestante unie4 et la
composition du SN (voix délibératives)
Décisions sur la révision de la carte des régions de l’Eglise protestante unie
(avec effet échelonné du 1.9.2015 au 1.1.2016) et la composition du SN (voix
délibératives)
- Renouvellement complet de la délégation de la région unie Est au Synode
national et élections complémentaires (le cas échéant) pour les autres
délégations régionales au synode national
Implications régionales
Date d’élection et durée des fonctions des conseils régionaux et commissions régionales
Les conseils régionaux élus en mars 2013 l’ont été pour un mandat de 4 ans5 (Constitution, art.9, §2).
Il en est de même, le cas échéant, des commissions élues par le synode régional et responsables devant
lui (art.9 § 3, 1er tiret). Mais, de fait, les instances régionales seront renouvelées à l’automne 2016, soit
seulement trois ans et six mois après leur élection.
La modification de la carte des régions réformées, qui prendra effet après le renouvellement régional
de mars 2013 et avant celui de 2016, aura des conséquences différentes selon les régions concernées :
pour la région Nord-Normandie (qui constatera le plus grand nombre d’« arrivées »), la solution
pourra être trouvée en augmentant – dans un second temps - le nombre des sièges à pourvoir, en
respectant la procédure mentionnée au § 4 de l’article 16 de la Constitution et complétée par le
Règlement d’application du même article qui rappelle la nécessité de fixer lors de la session
précédente du synode régional, le nombre de conseillers à élire,
pour les autres régions, seul devrait être concerné un nombre limité de personnes : le cas échéant, elles
démissionneront des instances régionales auxquelles elles auront été élues en mars 2013, et devront
attendre le renouvellement de 2016 pour être éligibles aux instances de leur nouvelle région6.
La création de la région unie « Est-Montbéliard » entraînera d’autres conséquences pour l’inspection
luthérienne de Montbéliard et la région réformée Est, qui n’existeront plus à l’issue de ce processus.
Cette disparition des régions existantes entraînera de fait la fin des mandats des membres des conseils
et commissions régionales, c’est dire que les conseils et commissions élus en mars 2013 ne le seront
que jusqu’à la tenue du synode régional électif de la nouvelle région, à l’automne 2014, soit pour 20
La délimitation des circonscriptions consistoriales est de la responsabilité des synodes régionaux selon l’article
8 §3 de la Constitution.
3 Le calendrier des élections complémentaires des membres du conseil régional et des commissions régionales
est fixé par le synode régional en tenant compte de l’ application du § 4 du Règlement d’application de l’article
16 de la Constitution (en veillant à ce que le nombre ait été fixé lors de la session précédente), le mandat des
membres venant compléter ces instances régionales s’insère dans les limites de la période quadriennale en
cours.
4 Selon l’art.11 § 2 (2nd tiret) du projet de Constitution, la modification de la carte des régions relève d’une
décision du synode national, prise dans le cas d’espèce conformément au second alinéa du § 2 de l’article 6.
5 Pratiquement, le calendrier général de mise en place de l’Eglise protestante unie prévoit que les conseils
presbytéraux élus en novembre 2012 soient renouvelés au 1er trimestre 2016 (soit trois ans et demi seulement
plus tard, pour « compenser » en quelque sorte la prolongation de six mois des mandats précédents), afin que
les synodes régionaux puissent l’être à l’automne 2016 et le synode national au printemps 2017, soit bien
quatre année après le printemps 2013.
6 Tous les sièges de titulaires devront être pourvus en 2013 ; en revanche, pour les instances dont le nombre de
membres n’est pas fixé par la Constitution, une région « d’accueil » pourra décider, après la révision de la
carte, d’augmenter le nombre de sièges de titulaires à pouvoir et procéder à des élections complémentaires.
2
481
mois. Lors de ce 1er synode de la nouvelle région unie de l’Est, seront élus les membres du conseil et
des commissions pour la fin de la période quadriennale en cours.
Composition du synode régional : voix délibératives
Par sa décision n° 25 le synode national de Belfort en 2012 a accordé au synode régional de la région
Est, la voix délibérative aux associations cultuelles de Charleville-Mézières ou Sedan, qui ne disposent
pas pour elles seules d’un poste pastoral. Pour permettre à ces associations d’être présentes au synode
régional de l’automne 2012 dans leur nouvelle région, il convient de transférer la voix délibérative au
synode régional de la région Nord-Normandie.
Conséquences en matière de gestion financière des régions
Le calendrier de mise en place des régions « nouvelle carte » est établi selon les échéances suivantes :
1er juillet 2013 mise en place officielle de la région « nouvelle carte » date liée notamment au
mouvement des ministres, voir ci-après,
1er septembre 2013 mise en place effective de la région et de ses activités,
Novembre 2013, le synode régional composé de délégués « nouvelle carte » approuve le budget
régional 2014 tenant compte des solidarités inter-régionales (titre A) et entre Eglises locales de la
nouvelle région.
31 décembre 2013 : clôture de l’exercice 2013 « ancienne carte ».
Plusieurs points sont à considérer :
Le budget régional approuvé lors du synode de fin 2012 ne peut concerner que les Eglises qui
composent le synode à cette date afin que ce budget garde toute sa signification : décision synodale,
expression des solidarités, engagement des Eglises locales. Dans ce sens, les Eglises appelées à quitter
une région ne peuvent participer, du moins formellement, à la préparation et au vote du budget de la
région accueillante, et il est donc important de maintenir, pendant cette phase de transition du
deuxième semestre 2013, le lien entre les structures régionales d’origine et les Eglises appelées à
changer de région. Néanmoins, une concertation entre les conseils régionaux concernés permettra de
tenir compte dans la préparation de chaque budget des stratégies et contraintes liées notamment au
pourvoi des postes (titre B) et aux activités régionales (titre C). D’une façon générale, il serait
préférable dans cette période intermédiaire de privilégier les échanges financiers entre les régions
plutôt qu’entre Eglises locales en mouvement et régions.
Suivant ce principe énoncé ci-avant, les régions d’origine assureront le suivi et la comptabilisation des
règlements des contributions des Eglises locales jusqu’au 31/12/2013 et par voie de conséquence
établiront les documents de clôture des comptes de fin d’année selon « l’ancienne carte ».
Toutefois, tous les ministres présents à la date du 1er juillet 2013, qu’ils soient présents avant cette date
ou nommés à cette date dans des Eglises appelées à changer de région seront affectés à la nouvelle
région, et ce pour éviter des démarches administratives lourdes et à répétition avec les organismes
sociaux du fait du changement d’employeur. Une compensation financière sera faite entre les régions
concernées.
Pour les titres A et D, déterminés selon les orientations budgétaires du synode national 2012, les
budgets, et les contributions des Eglises locales, tiendront compte de la situation antérieure à la
révision de la carte et donneront lieu éventuellement à un échange entre régions en fin d’année.
Conséquences en matière de constitution du synode national
482
Rappel de la situation actuelle
A – Principes généraux
Le synode national est l’assemblée générale de l’union des associations cultuelles membres de l’Eglise
protestante unie de France. Ses membres avec voix délibérative sont désignés à deux degrés7 :
les associations cultuelles élisent des délégués au synode régional,
chaque synode régional élit des délégués au synode national selon les dispositions de l’article 10§2 de
la Constitution :
« Le nombre des représentants à élire par un synode régional [pour constituer la délégation au synode
national] est fonction du nombre des postes et charges d’aumônerie permanents de la circonscription,
tel qu’il résulte des décisions du synode national » (art.10 § 2 A 2nd alinéa).
B – Situation proposée pour la constitution initiale du synode national de l’Eglise protestante unie de
France
La répartition des sièges inscrite au A du § 2 de l’article 10 du projet de Constitution a été établie à
partir des indications mentionnées dans le tableau ci-dessous.
Région
EELF
Montbéliard
EELF Paris
ERF CAR
Postes et
charges
ministérielles
permanents
25
Part relative
5,31 %
Délégués
avec voix
délibérative
Part
relative
Dont
collège
confessionnel
« luthérien »
12
11,65 %
12
6
Dont
collège
confessionnel
« réformé »
22
91
4,67 %
19,32 %
6
16
5,83 %
15,53 %
ERF CLR
66
14,01 %
12
11,65 %
12
ERF E
19
4,03 %
6
5,83 %
6
ERF NN
34
7,22 %
8
7,77 %
8
ERF O
ERF
PACCA
ERF RP
42
8,92 %
8
7,77 %
8
36
7,64 %
8
7,77 %
8
87
18,47 %
16
15,53 %
16
8
7,77 %
8
3
2,91 %
2
103
100 %
20
ERF SO
49
10,40 %
Association pour la communion avec
l’UEPAL
TOTAL
471
100 %
16
1
83
8
19,4 %
80,6 %
Tableau 1 : situation 2009 retenue comme base pour l’Eglise protestante unie
Hypothèses de modifications de la constitution des délégations régionales
Hypothèse 1 : Ne modifiant que le nombre des délégués de la nouvelle région unie « Est »
A l’exception des associations cultuelles membres de l’union nationale et autorisées, à titre dérogatoire, à
désigner directement des représentants siégeant avec voix délibérative au synode national : cette possibilité n’a
été et n’est utilisée que par l’association cultuelle pour la communion avec l’Union des Eglises protestantes
d’Alsace et de Lorraine.
8 L’unité retenue (postes) représente 9,98 % et les délégués avec voix délibérative 19,4 %, soit une majoration
proche du coefficient 1,9
7
483
La nouvelle région unie provisoirement désignée « Est-Montbéliard » devrait comprendre au plus 35
postes et charges d’aumônerie permanents. Le principe d’égalité dans la représentation des régions
devrait donc amener cette région à déléguer autant de membres à voix délibérative au synode national
que les trois autres régions comparables (NN, O, PACCA), soit 8 délégués chacune. Au sein de cette
délégation, une répartition devrait en outre être réalisée entre les délégués membres du collège
confessionnel luthérien et ceux membres du collège confessionnel réformé. Une répartition9 60-40 %
justifierait, par exemple, que soient désignés 5 délégués luthériens et 3 délégués réformés.
Une telle hypothèse entraînerait deux conséquences :
les délégués luthériens de la région seraient moins nombreux au synode national que les délégués
luthériens de l’Inspection de Paris, alors qu’ils représentent une population bien plus nombreuse,
le nombre total des membres luthériens au synode national diminuerait de 7 unités, passant de 20 à 13,
pour un total réformé passant de 83 à 80, ce qui ramènerait la proportion du collège luthérien de
19,4 % à 14 % (- 28 %).
Un tel dispositif serait donc inadéquat et inadapté.
Hypothèse 2 : Modification de l’indicateur à prendre en compte pour la détermination des délégations
régionales au synode national
Une autre solution consisterait à modifier l’indicateur principal retenu pour la détermination de chaque
délégation régionale au synode national.
Il importe en effet de bien mesurer le caractère très « théorique » de la référence actuelle, compte tenu
de l’écart important constaté selon les régions entre le nombre total des postes effectivement et
régulièrement pourvus et le nombre total des postes et charges d’aumônerie permanents : le rapport
varie, au 1er juillet 2011, entre 83 % (PACCA : 30 sur 36, CAR : 77 sur 92) et un peu plus de 60 %
pour quatre régions (Inspection Paris : 14 sur 22 ; Est : 12 sur 20 ; NN : 22 sur 36 ; SO : 36 sur 57).
Devant de tels écarts, une telle référence demeure-t-elle pertinente et significative de la réalité des
régions concernées ? En outre, elle est susceptible de modifications au cours des années à venir, alors
même qu’il ne serait pas souhaitable de retenir une référence qui soit risquerait de parasiter les
restructurations régionales nécessaires en matière de postes, soit entraînerait de fréquentes révisions du
tableau des délégations.
Les comités directeurs en sont ainsi venus à envisager l’hypothèse de remplacer le nombre de postes et
charges d’aumônerie permanents, pourvus ou non pourvus, par le nombre des foyers de chaque région.
L’utilisation de cet indicateur devrait bien sûr être combinée avec les deux autres objectifs
préalablement convenus :
permettre le maintien d’une surreprésentation des confessions minoritaires (luthérienne au niveau
national, réformée dans la nouvelle région luthérienne-réformée),
prévoir un synode national d’un nombre de membres permettant une réelle participation de chacun et
un accueil dans des salles d’une contenance n’engageant pas des dépenses trop élevées (autant que
possible ne pas augmenter le nombre actuel total des délégués au synode national avec voix
délibérative, soit 103).
Dans cette hypothèse, le projet de modification des derniers alinéas 2 et 3 du A du § 2 de l’article 10
aurait été rédigé de la façon suivante :
« Le nombre de représentants à élire par un synode régional est déterminé en référence au nombre total
des foyers participant effectivement à la vie de l’Eglise.
Le nombre des délégués titulaires élus par le synode régional est le suivant :
[suit le tableau…] ».
Nouvelle proposition
9
Envisagée par les intéressés … et qui correspondrait à la répartition confessionnelle (68 %-32 % en ce qui
concerne les foyers), mais qui accorderait une majoration de représentation à la minorité réformée…
conformément au principe mise en œuvre nationalement pour le collège luthérien
484
Toutefois, il est apparu dans certains débats synodaux que la seule mention dans la Constitution de la
référence à un nombre de foyers d’une part, et d’autre part la connotation financière de ce nombre même si elle n’entre pas à ce titre en ligne de compte - pourraient être de nature à susciter un
malentendu quant au principe même fondant la répartition des délégations. Dans ces conditions, il a
semblé plus raisonnable aux comités directeurs de supprimer toute mention d’une référence principale.
Aussi le conseil exécutif et le conseil national ont-ils décidé de proposer aux synodes régionaux la
rédaction suivante : « Le nombre de représentants titulaires à élire par chaque synode régional est le
suivant » en la faisant suivre du tableau 2 présenté ci-après.
Cette nouvelle formulation ne ferait d’ailleurs que reprendre celle en usage dans l’Eglise Evangélique
Luthérienne de France depuis son synode général constituant d’avril 1906. La répartition elle-même
pourrait bien sûr être révisée périodiquement (par exemple toutes les huit années), par le moyen d’une
concertation interrégionale préparatoire à un projet de décision soumis par le conseil national au
synode national après avis des synodes régionaux.
La révision de la délégation des régions devrait ainsi permettre d’augmenter le nombre des régions
ayant une délégation numériquement « moyenne », d’inscrire la nouvelle région unie « EstMontbéliard » parmi celles-ci et d’augmenter le nombre des délégués envoyés par chacune d’entre
elles au synode national, sans pour autant modifier le nombre des délégués des autres régions.
Proposition de nouvelle rédaction de la Constitution
Si était retenue cette hypothèse, le projet de modification des deux derniers alinéas du A du § 2 de
l’article 10 pourrait voir la rédaction suivante :
Le nombre des délégués titulaires élus par le synode régional est le suivant :
[suit le tableau…] ».
Région
Inspection Paris
Région Est-Montbéliard
Centre-Alpes-Rhône
Cévennes-LanguedocRoussillon
Nord-Normandie
Ouest
Proposition de nouvelle
répartition des délégués
avec voix délibérative10
6
Part relative
Dont
collège
confessionnel
« luthérien »
6
12
Dont
collège
confessionnel
« réformé »
16
5,71 %
15,24 %
15,24 %
12
11,43 %
12
8
7,62 %
8
9,52 %
10
16
(-2)
10
(+2)
4
(-2)
16
Provence-Alpes-Corse-Côte
d’Azur
8
7,62 %
8
Région Parisienne
16
15,24 %
16
9,52 %
10
Sud-Ouest
10
(+2)
Association pour la
communion avec l’UEPAL
3
TOTAL
105
2,86 %
2
1
20
85
19,05 %
80,95 %
Tableau 2 : nouvelle répartition des délégués avec voix délibérative au synode national
10
Avec indication (entre parenthèses) de l’évolution du nombre total de délégués de chaque région
485
5. Conclusion
On ne peut conclure un rapport, lever le crayon et abandonner le dernier tableau sans remercier tous
ceux qui ont participé d’une façon ou d’une autre à sa préparation : les membres des conseils
régionaux qui sont allés présenter cette révision dans les Eglises locales, les rapporteurs aux synodes
régionaux,
remercier tous ceux qui ont douté, car leurs questions ont enrichi ce projet,
remercier tous ceux qui rentrant dans cette démarche, ont contribué à lever les réserves et commencé à
donner force et vie à ces propositions.
Mais en fait, ce dossier n’est pas clos : dès ce printemps les Eglises locales et paroisses vont se
pencher sur la création de la région unie « Est-Montbéliard » et cet automne les synodes régionaux
formaliseront un avis, dès maintenant les conseils régionaux et les équipes des consistoires vont
réviser les limites et peut-être les missions des consistoires. Les Eglises locales et les conseils
régionaux concernés vont aussi devoir passer de cette approche théorique, du dessin des limites de
territoire, du calcul des foyers et des postes vers la rencontre et l’accueil de nouvelles Eglises.
Lors de la dernière révision de la carte en 1969 et de la création des grandes régions, le rapporteur
rappelait l’inquiétude exprimée sous forme de parabole dans un synode régional : « est-ce que nous ne
passons pas notre temps à bâtir un réseau complet de canaux d’irrigation avec une étude savante des
déclivités, des diamètres de conduites et de leur débit horaire, pour nous apercevoir, une fois l’ouvrage
terminé qu’il n’y avait plus d’eau à faire circuler »
Alors, réaffirmons-le pour aujourd’hui comme en 1969, comme à chaque mutation qu’a vécu notre
Eglise : il y a de l’eau, ayons confiance dans le Maître qui nous donne la source, à nous de mettre en
place les tuyaux pour que cette source donne vie à tous ceux qui ont soif.
6. Projet de décision
Vu les décisions du conseil national proposant la révision de la carte des régions réformées au sein de
l’Eglise protestante unie de France ainsi que le calendrier de mise en œuvre de cette révision,
Vu les consultations menées depuis mars 2011 auprès des Conseils presbytéraux des Eglises locales
appelées à changer de région,
Vu les avis des synodes régionaux de l’automne 2012,
Le synode national réuni à Lyon du 8 au 12 mai 2013,
1° approuve le projet de révision de la carte des régions réformées, et le changement de circonscription
régionale des associations cultuelles suivantes :
Région d’origine
Est
Est
Est
Est
Est
Région Parisienne
Région Parisienne
Région Parisienne
Centre-Alpes-Rhône
Centre-Alpes-Rhône
Ouest
Consistoire d’origine
Associations cultuelles
Champagne-Ardennes
Champagne-Ardennes
Champagne-Ardennes
Champagne-Ardennes
Champagne-Ardennes
Nord-Ouest
Nord-Ouest
Nord-Ouest
Bourgogne
Auvergne-BourbonnaisNivernais
Charleville-Mézières
Sedan
Châlons en Champagne
Epernay-Reims
Troyes
Beauvais
Creil
Compiègne
Dijon-Beaune-Côte d’or
Nord-Normandie
Nord-Normandie
Nord-Normandie
Nord-Normandie
Région Parisienne
Nord-Normandie
Nord-Normandie
Nord-Normandie
Est
Nevers
Région Parisienne
Cosne-Sancerre-Bords de
Loire
Région Parisienne
Centre-Loire
486
Région après révision
2° approuve le calendrier de mise en œuvre de cette décision : 1er juillet 2013, suivi des contributions
et clôture des comptes par l’ancienne région pendant le 2ème semestre 2013 et transfert des
contributions à la nouvelle région au 1er janvier 2014,
3° décide de ne pas modifier la répartition des délégations avec voix délibérative au synode national
jusqu’à la décision du synode national de l’Eglise protestante unie de France du printemps 2014,
4° décide, à la demande du conseil régional de la région Nord-Normandie, de transférer à la
composition du synode régional de cette région, la voix délibérative attribuée pour la période
quadriennale 2013-2016 et dans le cadre de la région Est, par la décision 25 du synode national de
Belfort à l’une des associations cultuelles Charleville-Mézières ou Sedan.
487
Titre VI – LITURGIE D’ORDINATION-RECONNAISSANCE
DE MINISTERE (pasteur)
et RECONNAISSANCE DE MINISTERE
(ministères spécifiques)
1. Rapport
2. Projet de décision
Liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère Ensemble Centre-Tarn
d’un pasteur
et
Liturgie de reconnaissance de ministère
d’un ministre admis dans un ministère spécifique
1 – Une diversité de ministères
La diversité des ministères est une richesse de notre Eglise. On distingue trois types de ministères, qui
s’articulent les uns aux autres, au service de la mission de l’Eglise qui est d’annoncer, servir et vivre l’Evangile
auprès de tous les êtres humains.
1 - Des ministères locaux sont confiés à des membres de l’Eglise, au plan d’une Eglise locale ou paroisse ou
d’une région. Il s’agit par exemple des animateurs d’école biblique ou de catéchisme, des visiteurs, des
personnes à qui est confié un mandat pour la célébration du culte etc. Ces ministères personnels locaux ou
régionaux s’exercent sous la responsabilité du conseil presbytéral (ou ecclésial) ou du conseil régional.
2 - Les ministères collégiaux de l’Union partagent la responsabilité du gouvernement de l’Eglise. Il s’agit
notamment des conseils presbytéraux, des conseils régionaux et du conseil national.
3 - Les ministères personnels de l’Union sont confiés à des membres de l'Eglise, formés et discernés pour exercer
le ministère auquel ils ont été appelés et inscrits au rôle des ministres. Ils sont “ministres de l’Eglise protestante
unie de France”.
Parmi les ministres, certains sont pasteurs. Cela signifie qu’ils ont été admis par la commission des ministères
pour exercer le ministère de la Parole et des Sacrements, lequel inclut un ministère de communion, au sein d’une
Eglise locale ou d’une paroisse. Ils peuvent exercer pour un temps d’autres types de ministère, par exemple
aumônier des hôpitaux, informateur régional, animateur biblique etc. Ils portent le titre de “pasteur”.
Parmi les ministres, d’autres sont admis dans un ministère spécifique, par vocation, charismes et compétences
pour celui-ci, selon un appel personnel ou par discernement de la commission des ministères. Ils portent le titre
de leur ministère, par exemple “aumônier des hôpitaux”, “informateur régional”, “animateur biblique” etc.
Tous les ministres sont égaux entre eux.
2 – Reconnaissance liturgique des ministres
Après leur admission, les ministres sont reconnus liturgiquement dans leur ministère. La spécificité de chaque
ministère s’exprime dans les variantes proposées par la liturgie de reconnaissance. Suite à la décision du synode
national / général extraordinaire de janvier 2011 à Paris et dans le cadre de la Constitution de l’Eglise protestante
unie de France1, cette reconnaissance liturgique porte le nom d’“ordination – reconnaissance de ministère” pour
les pasteurs.
Quand un pasteur est appelé à exercer un autre type de ministère, ou quand un ministre admis pour un ministère
spécifique est appelé à exercer le ministère de pasteur ou un autre type de ministère spécifique, la commission
des ministère exerce son discernement et doit donner son autorisation. Quand cette dernière est accordée, une
liturgie d’accueil dans le nouveau ministère est célébrée.
L’ordination – reconnaissance de ministère d’un pasteur et la reconnaissance de ministère d’un ministre admis
dans un ministère spécifique manifestent liturgiquement leur entrée dans le ministère. Leur célébration prend
place dans un culte au cours duquel l’Eglise
« rend grâces à Dieu pour les dons qu’il lui fait à travers les femmes et les hommes qu’il appelle,
confesse que sa vie tire son origine de lui seul, Père, Fils et Saint-Esprit,
reconnaît publiquement et accueille à leur place dans le service de l’Eglise celles et ceux que Dieu a appelés à un
ministère,
reçoit leurs engagements et s’engage solidairement avec eux,
demande pour eux le soutien du Saint-Esprit pour l’exercice de leur ministère.
1
Voir la décision n° 8 du synode national / général extraordinaire de Paris, janvier 2011, paragraphes 6 et 8, et la
490
L’imposition des mains faite pendant l’épiclèse est signe de grâce, d’accueil, d’engagement et d’envoi »2.
Le culte au cours duquel a lieu cette célébration est un culte de fête qui rassemble, au-delà des membres de
l’Eglise protestante unie de France et de la famille du ministre, des membres d’autres Eglises et des personnes de
la société. C’est une célébration qui prend ainsi sens dans une dimension d’universalité de l’Eglise, de présence
de l’Eglise protestante unie de France dans la cité et de témoignage rendu au Seigneur.
A partir de cette année 2013, les ministres nouvellement admis le sont comme ministres de l’Eglise protestante
unie de France. Célébrer dès maintenant une liturgie commune d’ordination – reconnaissance de ministère pour
les pasteurs et de reconnaissance de ministère pour les ministres admis dans un ministère particulier
manifesterait qu’ils sont ministres de la même Eglise et serait à la fois une marque de communion dans la prière
et un témoignage visible d’unité. C’est pourquoi il est proposé au synode national de Lyon de recevoir un projet
de liturgie commune d’ordination – reconnaissance de ministère pour les nouveaux pasteurs et de reconnaissance
de ministère pour les nouveaux ministres admis dans un ministère spécifique.
3 – Une liturgie commune
Dans l’Eglise réformée de France, une liturgie de reconnaissance de ministère a été adoptée par le synode
national de Nantes (1988). Elle comporte des variantes pour les différents types de ministères personnels de
l’Union3. Dans l’Eglise évangélique luthérienne de France, une liturgie d’ordination au ministère pastoral a été
adoptée par le synode général de Sochaux (2007)4. Ce sont ces liturgies qui sont célébrées jusqu’à ce jour. Qu’en
sera-t-il à partir de maintenant, alors que le rôle unique des ministres de l’Eglise protestante unie de France est en
place ? Un synode régional a soulevé cette question5, que se posaient déjà les commissions des ministères de
l’Eglise réformée de France et de l’Eglise évangélique luthérienne de France.
On pourrait continuer à célébrer ces liturgies chacun à sa manière, selon la région confessionnelle, avec les textes
déjà existants. Mais, pour la force symbolique et spirituelle que cela revêt, les commissions des ministères et les
comités directeurs proposent de les célébrer dès cette année avec un même texte de référence.
Ce sont des textes liturgiques importants, et il est nécessaire que l’Eglise ait le temps de se les approprier et
éventuellement de les retravailler avant qu’un synode national les adopte pleinement. C’est pourquoi il est
proposé au synode de Lyon de recevoir ces projets et d’en approuver leur utilisation jusqu’à ce que le synode
national 2017 en adopte une version pérenne bénéficiant des retours de la période 2013-2016.
Les projets présentés au synode de Lyon ont été travaillés par les commissions des ministères de l’Eglise
évangélique luthérienne de France et de l’Eglise réformée de France à l’automne 2012, ainsi que par les comités
directeurs en janvier et mars 2013.
4 – Les projets présentés au synode national de Lyon
Pour faire droit à la décision du synode national / général extraordinaire de janvier 2011, deux projets de
déroulement liturgique sont proposés :
- un projet de liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère pour les pasteurs.
- un projet de liturgie de reconnaissance de ministère pour les ministres admis dans un ministère spécifique :
animateur de Centre, animateur de jeunesse, animateur en milieu universitaire, bibliste (ou animateur biblique),
catéchète (ou formateur en catéchèse), diacre, enseignant en théologie, évangéliste, informateur régional,
itinérant et chargé de mission, aumônier d’hôpital et animateur théologique. Cette liste reprend les ministères
figurant dans la liturgie de reconnaissance de ministère de l’Eglise réformée de France, en y ajoutant ceux
2
Constitution de l’Eglise protestante unie de France, règlement d’application de l’article 18 § 5.
Pasteur. Animateur de Centre. Animateur de jeunesse. Animateur en milieu universitaire. Bibliste. Catéchète. Diacre.
Enseignant en théologie. Evangéliste. Informateur régional. Itinérant et chargé de mission.
4
Dans le cadre de l’Alliance nationale des Eglises luthériennes de France (ANELF), elle est commune à l’EELF et à
l’EPCAAL. De son côté, le Conseil de l’Union des Eglises protestantes d’Alsace et de Lorraine (UEPAL) a adopté une
liturgie de reconnaissance du ministère pastoral et d’ordination, dans le cadre de l’union de l’EPCAAL et de l’EPRAL.
5
« Le synode régional de l’Eglise réformée de France – région Nord Normandie, réuni à Forges les Eaux les 19, 20 et 21
octobre 2012, interroge le conseil national sur la liturgie qui sera utilisée lors des ordinations – reconnaissances de ministère
qui seront célébrées dans un proche avenir, et demande que des indications précises soient données en temps utile ».
3
491
d’aumônier d’hôpital et d’animateur théologique qui n’y figurent pas. Il n’y a pas de liturgie prévue pour des
ministres autres que pasteurs dans la liturgie de l’Eglise évangélique luthérienne de France.
Ces déroulements liturgiques s’insèrent dans le culte après la prédication. Ce culte est, selon les habitudes de la
région confessionnelle, célébré dans une Eglise locale – celle où le ministère du ministre s’exerce – ou au cours
d’un culte régional. Le déroulement de l’ensemble du culte permet l’expression des sensibilités confessionnelles.
La liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère ou de reconnaissance de ministère est présidée par un(e)
« officiant(e) » qui représente l’autorité synodale. En général, il s’agit du président du conseil régional dans les
régions réformées et de l’inspecteur ecclésiastique dans les régions luthériennes, ou d’une personne désignée par
le conseil régional6.
Les projets ont été rédigés à partir des liturgies de l’ERF et de l’EELF déjà existantes. Ils se tiennent au plus près
d’elles. Ils y apportent quelques adaptations, harmonisations ou convergences, mais avec le moins de
modifications possibles pour rester dans la ligne des textes jusqu’ici en vigueur. Il a semblé important de préciser
deux points. D’une part, dans l’introduction à l’imposition des mains, qu’elle est signe de grâce, d’accueil,
d’engagement et d’envoi. D’autre part, dans la liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère, que
l’« ordination » insère le ministère du pasteur dans l’« ordre » de l’Eglise, c’est-à-dire à sa juste place pour que
l’Eglise soit édifiée, qu’elle remplisse sa mission et que la Parole soit proclamée ; l’ordination – reconnaissance
de ministère signifie ainsi à la fois la spécificité du ministère pastoral et son insertion dans la diversité des
ministères.
La liturgie réformée et la liturgie luthérienne sont très proches dans la formulation des engagements ; la
convergence des deux textes a été faite en éliminant les redondances et en distinguant les engagements communs
à tous les ministres et les engagements spécifiques à chaque ministère. Les engagements commencent ainsi par
une partie commune à tous les ministres, pour signifier qu’ils sont tous ministres, et sont suivis par des
engagements spécifiques au type de ministère, pour exprimer la diversité des ministères.
Il s’agit d’avoir une même liturgie dans ses fondamentaux, tout en restant ouverts à l’expression de sensibilités
différentes. Des variantes de textes sont donc possibles (louange, prière d’imposition des mains, répons), comme
cela est le cas, déjà, dans les liturgies de l’ERF et de l’EELF. Quelques variantes plus spécifiquement
luthériennes sont proposées, certaines d’entre elles étant déjà possibles dans la liturgie de l’EELF (signe de croix,
remise de l’étole) ; la pratique pour ces dernières est différente dans l’inspection de Montbéliard et dans celle de
Paris.
L’officiant(e) s’adresse au ministre en « vous ». Cela peut étonner dans une Eglise où le tutoiement est très
courant, mais il nous a semblé qu’il était important de garder une certaine solennité dans l’expression de ces
liturgies. Cela n’empêche pas, bien sûr, selon les personnes et les circonstances, d’utiliser le tutoiement fraternel
si l’officiant(e) estime que cela est mieux.
Le texte de la Déclaration d’union est lu au cours de ces liturgies. Le cas échéant, après 2017, cette déclaration
pourra être remplacée par la Déclaration de foi de l’Eglise protestante unie de France.
5 – Et après ?
Si le synode national de Lyon les reçoit et approuve leur utilisation, ces projets seront le support liturgique des
ordinations – reconnaissances de ministère des pasteurs et des reconnaissances de ministère des ministres admis
dans un ministère spécifiques qui seront dès maintenant et jusqu’en 2017. Ces projets seront communiqués à la
commission liturgique de l’ANELF.
Ces textes retravaillés seront présentés aux synodes régionaux 2016 en vue de leur adoption par le synode
national 2017. Bien que la Constitution ne prévoit pas la consultation des synodes régionaux dans le processus
d’adoption des liturgies par le synode national7, il nous semble important qu’ils puissent, dans trois ans et demi,
donner leur avis sur ces textes importants.
6
Constitution, règlement d’application de l’article 18 § 7.2.
Voir Constitution, article 11 § 1 et article 36, ainsi que le Règlement d’application de l’article 30. Il s’agit d’une procédure
différente de celle qui était pratiquée par l’Eglise réformée de France dans la modification de sa liturgie, la Discipline
indiquant que les synodes régionaux devaient au préalable examiner les projets mis à l’ordre du jour.
7
492
D’autres liturgies de référence pourront être présentées au synode national 2017.
Pour les ministres8,
- une liturgie de présentation des nouveaux ministres au cours du culte synodal qui suit leur ordination –
reconnaissance de ministère ou leur reconnaissance de ministère,
- une liturgie d’installation pour le changement de poste d’un ministre,
- une liturgie d’accueil dans le nouveau ministère à l’occasion d’un changement de type de ministère,
- une liturgie d’envoi pour un ministre envoyé au service d’une institution – Eglise, communauté, œuvre ou
mouvement – qui participe de la même mission que l’Eglise protestante unie de France.
De même,
- une liturgie de présentation d’un proposant lors de son entrée en fonction,
- une liturgie de présentation d’un ministre venant d’une autre Eglise issue de la Réforme lors de son entrée en
fonction au début de sa période d’adaptation,
- une liturgie d’accueil pour un ministre venant d’une autre Eglise issue de la Réforme après son admission
comme ministre de l’Eglise protestante unie de France9.
Des liturgies de reconnaissance de ministère pour les ministères locaux et pour les ministères collégiaux
pourraient également être mises en chantier.
La commission des ministères pourrait être chargée de mettre en œuvre la préparation des projets pour ces
différentes liturgies, en vue du synode national 2017.
6 – Un signe d’unité
Au-delà de l’aspect technique d’un processus ecclésial d’adoption d’une liturgie et de la mise au point toujours
perfectible de formules liturgiques, il nous semble que c’est un signe fort que de pouvoir, dès la création de
l’Eglise protestante unie de France, célébrer une même liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère pour
les nouveaux pasteurs, et une même liturgie de reconnaissance de ministère pour les nouveaux ministres admis
dans un ministère spécifique. C’est une manière de porter ensemble dans la prière les hommes et les femmes que
Dieu a appelés à son service et que notre Eglise reçoit comme ses ministres.
Les rapporteurs,
Christian Baccuet et Mayanga Pangu
p. 6 - Annexe 1 – projet de liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère pour les pasteurs
p. 12 - Annexe 2 – projet de liturgie de reconnaissance de ministère pour les ministres admis dans un ministère
spécifique
p. 22 - Annexe 3 – projet de décision
8
9
Voir Constitution, article 18 § 7.
Constitution, article 22 § 8.
493
Annexe 1
PROJET DE
LITURGIE D’ORDINATION - RECONNAISSANCE DE MINISTERE D’UN PASTEUR
En vert : variantes spécifiques luthériennes
(après la prédication)
INTRODUCTION
Officiant(e) :
La mission commune de l'Eglise est confiée à l'ensemble de ses membres. Par son baptême, chaque chrétien est
appelé à vivre sa foi et à en témoigner dans la solidarité avec tous ses frères et sœurs. En appelant des hommes et
des femmes, Dieu les donne à l'Eglise pour exercer des ministères divers et complémentaires. Tous ensemble, ils
témoignent de la fidélité du Christ à ses promesses et de la richesse de ses dons.
NN... s'est préparé à exercer le ministère de pasteur au sein de l'Eglise, ministère de l'annonce de la Parole de
Dieu et de la célébration des sacrements qui inclut un ministère de communion. Aujourd’hui, selon l'usage qui
remonte aux origines de l'Eglise, nous allons procéder à son ordination – reconnaissance de ministère. Cet acte
insère son ministère dans l’ordre de l’Eglise, c’est-à-dire à sa juste place pour que l’Eglise soit édifiée, qu’elle
remplisse sa mission et que la Parole soit proclamée ; il signifie à la fois la spécificité du ministère pastoral et
son insertion dans la diversité des ministères.
Frères et sœurs en Christ, voulez-vous l'accueillir au nom de toute l'Eglise comme pasteur ? Si telle est votre
intention, dites : "Oui, nous le voulons !"
Assemblée :
Oui, nous le voulons !
Officiant(e) :
Bénissons le Seigneur.
Assemblée :
Nous rendons grâce à Dieu !
LECTURE DE LA BIBLE
Officiant(e) :
Ecoutons ce que l'Ecriture sainte nous dit de la mission que le Seigneur confie à son Eglise, et des promesses qui
s'y rapportent.
Une lecture sans commentaire est faite ici, afin de compléter celles accompagnant la prédication. Textes
suggérés : Jn 20/21-23 ; Mt 28/18-20 ; Ro 12/1-6 ; I Co 12/4-6, 12-13 ; II Co 5, 19-0 ; Ep 4/4-7, 11-13 ; I Tim 6,
11-12 ; I Pi 2/4-5, 9-10 et 4/10-11...
494
LOUANGE
Variante :
Officiant(e) :
Nous te louons, nous te bénissons, Dieu notre Père.
Dans ton amour libérateur,
tu nous appelles, malgré notre faiblesse, à être tes
serviteurs,
porteurs de lumière et d’espérance,
solidaires de toute l’humanité.
Officiant(e) :
Seigneur, Dieu notre Père, dans ton amour libérateur,
tu t'es choisi un peuple pour devenir, à travers
l'histoire, le témoin de ton alliance, pour être, toujours
et partout, un signe d'espérance.
A la suite des croyants de tous les temps et de tous les
lieux, tu nous appelles, aujourd'hui, à notre tour, à te
servir et à être solidaires de toute humanité. Seigneur,
nous te louons et te bénissons.
Nous te louons, nous te bénissons, Seigneur JésusChrist.
Tu es venu en serviteur réconcilier tout homme avec
ton Père.
Tu as donné ta vie pour nous rendre notre humanité
véritable
et notre dignité d’enfants de Dieu.
Nous te louons, nous te bénissons, Esprit Saint.
Tu suscites l’Eglise ;
tu la rassembles pour l’adoration ;
tu l’envoies dans le monde ;
tu lui donnes la force de vivre sa foi et d’en
témoigner.
Nous te louons, nous te bénissons, Dieu trois fois
Saint.
Pour annoncer l’Evangile,
pour servir les hommes,
tu fais de nous les ouvriers de ton Royaume.
Pour construire la communauté,
pour aider chacun à prendre part à sa mission
tu donnes à ton Eglise les serviteurs dont elle a
besoin.
Amen.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Seigneur, Jésus Christ, Fils unique du Père envoyé par
lui au sein du peuple d'Israël, serviteur de tous, tu es
l'unique Seigneur et Sauveur.
Toi, le bon berger, tu as donné ta vie pour nous révéler
le sens de notre existence, et nous faire découvrir
la plénitude d'une humanité nouvelle.
Seigneur, nous te louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Saint-Esprit, Esprit d'amour, présence du Père et du
Fils, de génération en génération, tu manifestes la
puissance de la résurrection.
C'est toi qui suscites l'Eglise, et nous y rassembles pour
l'adoration. Tu l'envoies dans le monde, et tu nous
donnes la force de témoigner de notre foi à travers elle.
Seigneur, nous te louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Dieu trois fois saint, par le baptême,
tu plonges chacun dans la mort du Christ et tu le fais
renaître avec lui.
Pour annoncer cette Bonne Nouvelle,
tu fais de nous les ouvriers de ton Royaume. Pour bâtir
la communauté des croyants, tu donnes à ton Eglise
les serviteurs dont elle a besoin. Seigneur, nous te
louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons. Amen.
495
INVOCATION DU SAINT-ESPRIT
Officiant(e) :
Seigneur Dieu, nous te demandons de renouveler pour l'Eglise le don du Saint-Esprit, l'Esprit d'amour, de force
et de joie.
Ensemble chantons :
Assemblée :
Par exemple Alléluia 35-01, 35-06, 35-07, 61-56
PRESENTATION
LE NOUVEAU MINISTRE PREND PLACE FACE A L’OFFICIANT.
Un témoin :
Brève présentation du ministre et de son parcours (sauf formation théologique et admission par la commission
des ministères, faite par l’officiant ci-après).
Officiant(e) :
NN... a reçu sa formation théologique à ...
En date du ..., il -elle- a été autorisé (e) par la commission des ministères à entrer en proposanat et a été
nommé (e) sur le poste de ...
En date du ..., la commission des ministères a prononcé son admission au ministère de pasteur.
Aujourd’hui, mon frère -ma sœur-, dans la communion de l’Eglise universelle, nous vous recevons comme
serviteur -servante- du Christ au sein de l’Eglise protestante unie de France, dont nous écouterons la Déclaration
d'union. Vous proclamerez le message de grâce qu’elle exprime ; ainsi sera maintenue la prédication fidèle de
Jésus-Christ selon le témoignage apostolique et conformément à la tradition de foi et de vie chrétienne que nous
avons reçue de nos pères.
L’ASSEMBLEE SE LEVE.
LECTURE DE LA DECLARATION D'UNION
En confessant la foi de l’Église universelle : « Jésus-Christ est le Seigneur »,
l’Église protestante unie de France se reconnaît comme l'un des visages de l'unique Église du Christ et participe à
la mission d’annoncer l’Évangile au monde en paroles et en actes.
L’Église protestante unie de France s'inscrit dans la famille des Églises de la Réforme.
Avec la Concorde de Leuenberg, elle reçoit leur témoignage commun, tel qu'il a été exprimé dans la Confession
d'Augsbourg et les autres livres symboliques luthériens, comme dans la Confession de foi de La Rochelle et les
autres confessions de foi de la tradition réformée :
Unanimement, les Réformateurs ont confessé que le témoignage pur et originel de l’Évangile dans l'Écriture est
la norme de la vie et de la doctrine.
Unanimement, ils ont témoigné de la grâce libre et inconditionnelle de Dieu, manifestée dans la vie, la mort et la
résurrection de Jésus-Christ et offerte à quiconque met sa foi en cette promesse.
Unanimement, ils ont confessé que seule la mission impartie à l'Église de proclamer ce témoignage dans le
monde doit déterminer l'action et les structures ecclésiales, et que seule la parole du Seigneur demeure
souveraine par rapport à toute organisation humaine de la communauté chrétienne.
En même temps, ils ont reçu et confessé à nouveau la foi exprimée dans les symboles de l’Église ancienne, foi au
Dieu trinitaire ainsi qu'à la divinité et à l'humanité de Jésus-Christ.
L'Église protestante unie de France écoute et proclame l'Évangile de Jésus-Christ, message libérateur et
générateur de confiance.
L’Esprit saint la conduit dans des chemins nouveaux pour faire face aux questions d'aujourd'hui.
En affirmant son unité, elle entend maintenir la pluralité vivante des formes de la prédication, de la vie cultuelle
et ecclésiale, et de l'activité diaconale et sociale. Elle assume sa part de responsabilité dans le monde et appelle à
la liberté, nécessaire pour penser et pour agir.
496
A celui qui peut, par la puissance qui agit en nous, faire infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou
pensons, à lui soit la gloire, dans l'Église et en Jésus-Christ, de génération en génération et aux siècles des
siècles ! Amen !
L’ASSEMBLEE S’ASSIED.
ENGAGEMENTS
Officiant(e) :
Mon frère -ma sœur-, le ministère qui vous est confié par le synode national de l’Eglise protestante unie de
France fait de vous, là où vous êtes placé (e), un témoin de l’universalité de l’Eglise.
Dans la soumission mutuelle, vous travaillerez fraternellement avec tous ceux qui ont part à l’œuvre du Seigneur.
Vous serez responsable de vos frères et de vos sœurs. Vous les encouragerez par toute votre vie.
Vous serez discret (e) dans vos propos. Vous vous garderez de tout ce qui pourrait faire tomber les plus faibles.
Disposé (e) à accueillir et à écouter, vous serez auprès de chacun le témoin de l’amour exigeant de Dieu et de son
pardon qui libère. Vous garderez secrètes les confessions que vous recevrez.
Vous serez vigilant dans la prière, persévérant (e) dans l’écoute de la Parole, fidèle au repas du Seigneur,
assidu (e) aux assemblées de l’Eglise.
Vous poursuivrez votre formation spirituelle, théologique, humaine. Ainsi, vous aurez à cœur de renouveler
l’élan de votre ministère.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?
Ministre :
- Oui, je le veux (ou : - Je m’y engage). Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il me soit en aide.
Officiant(e) :
Vous que Dieu a appelé au ministère de pasteur,
Vous annoncerez la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ contenue dans l'Ecriture sainte, et vous célèbrerez les
sacrements institués par notre Seigneur, en conformité avec les confessions de foi reconnues par notre Eglise,
afin que soit rassemblée la communauté chrétienne et que, par l’Evangile, elle soit nourrie, édifiée, envoyée sur
les pas du Christ.
Vous chercherez la paix et la communion avec tous ; vous aspirerez à vivre dans la vérité, la justice et la charité
selon l'Evangile.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?
Ministre :
- Oui, je le veux (ou : - Je m’y engage).
Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il me soit en aide.
Officiant(e) :
Avec le conseil presbytéral, vous serez au service de l’unité du corps du Christ et de sa mission. Vous
rechercherez l'unité des chrétiens dans la communauté locale et dans l'Eglise universelle. Vous discernerez et
encouragez toute forme de service nécessaire au peuple de Dieu pour sa mission dans le monde.
Vous le ferez en collaboration avec vos frères et sœurs dans le ministère et avec tous ceux qui exercent une
responsabilité dans l'Eglise.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?
Ministre :
- Oui, je le veux (ou : - Je m’y engage). Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il me soit en aide.
ENGAGEMENTS SOLIDAIRES DE LA COMMUNAUTE
Officiant(e) :
Frères et sœurs,
Vous venez de recevoir les engagements de NN...
497
Ensemble, nous sommes appelés à travailler pour Dieu, à vivre notre foi et en témoigner dans la paix et
dans l'unité du Christ.
Nous prierons pour notre frère -sœur- et nous le -la- soutiendrons.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?? Manifestez-le en vous levant et en vous engageant à haute voix :
L’ASSEMBLEE SE LEVE ET DIT A SON TOUR :
Assemblée :
- Oui, nous le voulons. Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il nous soit en aide.
INTRODUCTION A L’IMPOSITION DES MAINS
Officiant(e) :
N..., nous allons vous imposer les mains. L’imposition des mains est signe de grâce, d’accueil, d’engagement et
d’envoi dans le ministère auquel vous êtes appelé (e).
J’invite à s’approcher ceux qui vont imposer les mains :
Chacun est appelé par son nom. Il est précisé à quel titre il participe afin de mettre en évidence la diversité des
ministères. On veillera à associer un ou plusieurs membres de la paroisse ou Eglise locale dans laquelle se
déroule le ministère du nouveau ministre.
IMPOSITION DES MAINS
LE NOUVEAU MINISTRE S’INCLINE OU S’AGENOUILLE. LES OFFICIANTS IMPOSENT LES MAINS.
Variante :
Variante :
Officiant(e) :
Prions.
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton SaintEsprit à notre frère –sœur que
nous recevons et établissons
comme pasteur dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la
faiblesse de ton serviteur -ta
servante-.
Garde-le -la- humble, fidèle et
courageux (se) pour annoncer ton
Evangile, sans être retenu (e) par
la crainte des hommes ou poussé
(e) par le désir de leur complaire.
Donne-lui de savoir écouter et
comprendre.
Accorde-lui les dons nécessaires à
l’exercice de son ministère.
Officiant(e) :
Prions.
Dieu
tout
puissant,
Père
miséricordieux, nous te rendons grâce
d'avoir appelé NN... à servir ton Eglise
dans le ministère pastoral.
Renouvelle continuellement pour lui elle- le don du Saint-Esprit; qu'il -elleannonce fidèlement ta Parole et serve
ton peuple en célébrant les sacrements
selon ta volonté. Donne-lui courage et
assurance pour témoigner de ton salut
devant tous les hommes. Répands ton
Esprit sur ton Eglise et tous ses
serviteurs afin qu'ils demeurent dans la
vérité jusqu'au jour où viendra ton
Royaume dans la plénitude de ta
gloire.
Par Jésus-Christ, ton Fils, notre
Seigneur.
Amen.
Assemblée :
Amen.
Officiant(e) :
Prions.
Dieu tout-puissant, notre Père, toi
qui appelles des hommes et des
femmes au service de ton Eglise,
accorde à NN... ton Saint-Esprit.
Conduis-le -la- et soutiens-le -la-,
afin qu'il -elle- accomplisse
fidèlement son ministère. Donnelui le courage de la foi, la force de
l'amour, la joie de l'espérance.
Habite en son cœur et mets tes
paroles en sa bouche ; qu'il -elleannonce la Bonne Nouvelle du
salut avec humilité, autorité et
persévérance ; et qu'il -elle- te
rende témoignage par sa vie toute
entière, pour la gloire de ton nom
et pour l'édification de ton Eglise.
Par Jésus-Christ, ton Fils, notre
Seigneur.
Assemblée :
Amen.
NN..., au nom du synode national et comptant sur la fidélité de Dieu, nous vous ordonnons au ministère de
l'annonce de la Parole de Dieu et de la célébration des sacrements, nous vous reconnaissons comme pasteur.
Que le Seigneur vous bénisse, qu'il bénisse votre ministère auprès de ceux et celles vers qui vous êtes envoyé (e).
498
Variante avec signe de croix :
Au nom du Père [+] et du Fils et du Saint-Esprit.
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Le ministre :
Amen.
LES OFFICIANTS BAISSENT LES MAINS. LE NOUVEAU MINISTRE SE RELEVE.
[ REMISE DE L'ETOLE
Officiant(e) :
NN..., recevez cette étole, comme signe de votre ministère.
Souvenez-vous de la promesse du Seigneur Jésus : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je
vous donnerai le repos. Prenez sur vous mon joug, et vous trouverez le repos de vos âmes. Oui,
mon joug est facile à porter et mon fardeau léger. » ]
ACCUEIL
Officiant(e) :
Eglise du Christ, réjouis-toi pour les ministres que le Seigneur te donne.
Et vous, NN..., vous n’êtes pas seul (e).
Réjouissez-vous d’avoir part à l’annonce de l’Evangile. Le Seigneur est fidèle !
Tandis que l’assemblée est invitée - suivant un ancien geste liturgique - à applaudir et à chanter un cantique de
louange (ou tandis qu'elle s'assied), le nouveau ministre échange le baiser de paix ou l’accolade avec les
officiants, avec ses collègues, ses collaborateurs et d’autres personnes représentatives de la diversité des
ministères.
Puis, éventuellement, le nouveau ministre adresse un message à l’assemblée ou prononce une prière, ou préside
la suite du culte.
L’accueil pourra être développé en fonction des situations.
Les communautés pourront exprimer de quelle manière elles reçoivent le ministère qui leur est donné.
(le culte se poursuit)
499
Annexe 2
PROJET DE
LITURGIE DE RECONNAISSANCE DE MINISTERE
D’UN MINISTRE ADMIS DANS UN MINISTERE SPECIFIQUE
En vert : variante spécifique luthérienne
(après la prédication)
INTRODUCTION
Officiant(e) :
La mission commune de l'Eglise est confiée à l'ensemble de ses membres. Par son baptême, chaque chrétien est
appelé à vivre sa foi et à en témoigner dans la solidarité avec tous ses frères et sœurs. En appelant des hommes et
des femmes, Dieu les donne à l'Eglise pour exercer des ministères divers et complémentaires. Tous ensemble, ils
témoignent de la fidélité du Christ à ses promesses et de la richesse de ses dons.
NN... s'est préparé à exercer le ministère de [préciser le type de ministère] au sein de l'Eglise.
Aujourd’hui, selon l'usage qui remonte aux origines de l'Eglise, nous allons célébrer sa reconnaissance de
ministère. Cet acte insère son ministère à sa juste place pour que l’Eglise soit édifiée, qu’elle remplisse sa
mission et que la Parole soit proclamée ; il signifie à la fois la spécificité du ministère de [préciser le type de
ministère] et son insertion dans la diversité des ministères.
Frères et sœurs en Christ, voulez-vous l'accueillir au nom de toute l'Eglise comme [préciser le type de
ministère] ? Si telle est votre intention, dites : "Oui, nous le voulons !"
Assemblée :
Oui, nous le voulons !
Officiant(e) :
Bénissons le Seigneur.
Assemblée :
Nous rendons grâce à Dieu !
LECTURE DE LA BIBLE
Officiant(e) :
Ecoutons ce que l'Ecriture sainte nous dit de la mission que le Seigneur confie à son Eglise, et des promesses qui
s'y rapportent.
Une lecture sans commentaire est faite ici, afin de compléter celles accompagnant la prédication. Textes
suggérés : Jn 20/21-23 ; Mt 28/18-20 ; Ro 12/1-6 ; I Co 12/4-6, 12-13 ; II Co 5, 19-0 ; Ep 4/4-7, 11-13 ; I Tim 6,
11-12 ; I Pi 2/4-5, 9-10 et 4/10-11...
500
LOUANGE
Variante :
Officiant(e) :
Nous te louons, nous te bénissons, Dieu notre Père.
Dans ton amour libérateur,
tu nous appelles, malgré notre faiblesse, à être tes
serviteurs,
porteurs de lumière et d’espérance,
solidaires de toute l’humanité.
Officiant(e) :
Seigneur, Dieu notre Père, dans ton amour libérateur,
tu t'es choisi un peuple pour devenir, à travers
l'histoire, le témoin de ton alliance, pour être, toujours
et partout, un signe d'espérance.
A la suite des croyants de tous les temps et de tous les
lieux, tu nous appelles, aujourd'hui, à notre tour, à te
servir et à être solidaires de toute humanité. Seigneur,
nous te louons et te bénissons.
Nous te louons, nous te bénissons, Seigneur JésusChrist.
Tu es venu en serviteur réconcilier tout homme avec
ton Père.
Tu as donné ta vie pour nous rendre notre humanité
véritable
et notre dignité d’enfants de Dieu.
Nous te louons, nous te bénissons, Esprit Saint.
Tu suscites l’Eglise ;
tu la rassembles pour l’adoration ;
tu l’envoies dans le monde ;
tu lui donnes la force de vivre sa foi et d’en
témoigner.
Nous te louons, nous te bénissons, Dieu trois fois
Saint.
Pour annoncer l’Evangile,
pour servir les hommes,
tu fais de nous les ouvriers de ton Royaume.
Pour construire la communauté,
pour aider chacun à prendre part à sa mission
tu donnes à ton Eglise les serviteurs dont elle a
besoin.
Amen.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Seigneur, Jésus Christ, Fils unique du Père envoyé par
lui au sein du peuple d'Israël, serviteur de tous, tu es
l'unique Seigneur et Sauveur.
Toi, le bon berger, tu as donné ta vie pour nous révéler
le sens de notre existence, et nous faire découvrir
la plénitude d'une humanité nouvelle.
Seigneur, nous te louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Saint-Esprit, Esprit d'amour, présence du Père et du
Fils, de génération en génération, tu manifestes la
puissance de la résurrection.
C'est toi qui suscites l'Eglise, et nous y rassembles pour
l'adoration. Tu l'envoies dans le monde, et tu nous
donnes la force de témoigner de notre foi à travers elle.
Seigneur, nous te louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons.
Officiant(e) :
Dieu trois fois saint, par le baptême,
tu plonges chacun dans la mort du Christ et tu le fais
renaître avec lui.
Pour annoncer cette Bonne Nouvelle,
tu fais de nous les ouvriers de ton Royaume. Pour bâtir
la communauté des croyants, tu donnes à ton Eglise
les serviteurs dont elle a besoin. Seigneur, nous te
louons et te bénissons.
Assemblée :
Seigneur, nous te louons et nous te bénissons. Amen.
501
INVOCATION DU SAINT-ESPRIT
Officiant(e) :
Seigneur Dieu, nous te demandons de renouveler pour l'Eglise le don du Saint-Esprit, l'Esprit d'amour, de force
et de joie.
Ensemble chantons :
Assemblée :
Par exemple Alléluia 35-01, 35-06, 35-07, 61-56
PRESENTATION
LE NOUVEAU MINISTRE PREND PLACE FACE A L’OFFICIANT.
Un témoin :
Brève présentation du ministre et de son parcours (sauf formation théologique et admission par la commission
des ministères, faite par l’officiant ci-après).
Officiant(e) :
NN... a reçu sa formation théologique à ...
En date du ..., il -elle- a été autorisé (e) par la commission des ministères à entrer en proposanat et a été nommé
(e) sur le poste de ...
En date du ..., la commission des ministères a prononcé son admission au ministère de [préciser le type de
ministère].
Aujourd’hui, mon frère -ma sœur-, dans la communion de l’Eglise universelle, nous vous recevons comme
serviteur -servante- du Christ au sein de l’Eglise protestante unie de France, dont nous écouterons la Déclaration
d'union. Vous proclamerez le message de grâce qu’elle exprime ; ainsi sera maintenue la prédication fidèle de
Jésus-Christ selon le témoignage apostolique et conformément à la tradition de foi et de vie chrétienne que nous
avons reçue de nos pères.
L’ASSEMBLEE SE LEVE.
LECTURE DE LA DECLARATION D'UNION
En confessant la foi de l’Église universelle : « Jésus-Christ est le Seigneur »,
l’Église protestante unie de France se reconnaît comme l'un des visages de l'unique Église du Christ et participe à
la mission d’annoncer l’Évangile au monde en paroles et en actes.
L’Église protestante unie de France s'inscrit dans la famille des Églises de la Réforme.
Avec la Concorde de Leuenberg, elle reçoit leur témoignage commun, tel qu'il a été exprimé dans la Confession
d'Augsbourg et les autres livres symboliques luthériens, comme dans la Confession de foi de La Rochelle et les
autres confessions de foi de la tradition réformée :
Unanimement, les Réformateurs ont confessé que le témoignage pur et originel de l’Évangile dans l'Écriture est
la norme de la vie et de la doctrine.
Unanimement, ils ont témoigné de la grâce libre et inconditionnelle de Dieu, manifestée dans la vie, la mort et la
résurrection de Jésus-Christ et offerte à quiconque met sa foi en cette promesse.
Unanimement, ils ont confessé que seule la mission impartie à l'Église de proclamer ce témoignage dans le
monde doit déterminer l'action et les structures ecclésiales, et que seule la parole du Seigneur demeure
souveraine par rapport à toute organisation humaine de la communauté chrétienne.
En même temps, ils ont reçu et confessé à nouveau la foi exprimée dans les symboles de l’Église ancienne, foi au
Dieu trinitaire ainsi qu'à la divinité et à l'humanité de Jésus-Christ.
L'Église protestante unie de France écoute et proclame l'Évangile de Jésus-Christ, message libérateur et
générateur de confiance.
L’Esprit saint la conduit dans des chemins nouveaux pour faire face aux questions d'aujourd'hui.
En affirmant son unité, elle entend maintenir la pluralité vivante des formes de la prédication, de la vie cultuelle
et ecclésiale, et de l'activité diaconale et sociale. Elle assume sa part de responsabilité dans le monde et appelle à
la liberté, nécessaire pour penser et pour agir.
A celui qui peut, par la puissance qui agit en nous, faire infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou
pensons, à lui soit la gloire, dans l'Église et en Jésus-Christ, de génération en génération et aux siècles des
siècles ! Amen !
502
L’ASSEMBLEE S’ASSIED. ENGAGEMENTS
Officiant(e) :
Mon frère -ma sœur-, le ministère qui vous est confié par le synode national de l’Eglise protestante unie de
France fait de vous, là où vous êtes placé (e), un témoin de l’universalité de l’Eglise.
Dans la soumission mutuelle, vous travaillerez fraternellement avec tous ceux qui ont part à l’œuvre du
Seigneur.
Vous serez responsable de vos frères et de vos sœurs. Vous les encouragerez par toute votre vie.
Vous serez discret (e) dans vos propos. Vous vous garderez de tout ce qui pourrait faire tomber les plus faibles.
Disposé (e) à accueillir et à écouter, vous serez auprès de chacun le témoin de l’amour exigeant de Dieu et de
son pardon qui libère. Vous garderez secrètes les confessions que vous recevrez.
Vous serez vigilant dans la prière, persévérant (e) dans l’écoute de la Parole, fidèle au repas du Seigneur, assidu
(e) aux assemblées de l’Eglise.
Vous poursuivrez votre formation spirituelle, théologique, humaine. Ainsi, vous aurez à cœur de renouveler
l’élan de votre ministère.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?
Ministre :
- Oui, je le veux (ou : - Je m’y engage). Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il me soit en aide.
Officiant(e) :
Engagements particuliers selon le type de ministère exercé.
Engagements particuliers d’un animateur de Centre
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’animateur (-trice) d’un Centre,
Vous saurez accueillir au nom du Christ tous ceux qui participent à ses activités.
A travers la rencontre, le partage, l’étude, la prière, vous serez, dans le respect et l’écoute de chacun, un témoin
du Seigneur.
Engagements particuliers d’un animateur de jeunesse
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé au ministère d’animateur (-trice) de jeunesse,
Vous serez, là où vous êtes placé (e), un témoin joyeux de l’amour du Christ, qui appelle à la vie.
Vous serez à l’écoute des jeunes dans leurs attentes et leurs recherches. Vous les aiderez à croître dans la foi et
les préparerez à répondre de l’espérance qui est en Christ.
Engagements particuliers d’un animateur en milieu universitaire
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’animateur (-trice) en milieu universitaire,
Vous serez auprès des étudiants et des enseignants un témoin joyeux de l’amour du Christ et un messager de son
Evangile.
Vous les entraînerez à placer au cœur de leurs études et de leurs recherches l’interpellation de la Parole vivante
de Dieu.
Engagements particuliers d’un animateur théologique
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’animateur théologique,
Vous vous attacherez à faire connaître Jésus-Christ aux hommes et aux femmes de notre temps.
En puisant à la source des Ecritures, vous éveillerez le désir d’une étude, d’une recherche et d’une écoute
personnelles et communautaires de la Bible, dans le respect de ceux avec qui vous travaillerez.
Attentif (-ve) au témoignage des apôtres et des prophètes, à l’actualité de la Parole et avec l’aide de l’Esprit
Saint, vous mettrez à disposition de tous vos connaissances humaines, exégétiques et théologiques.
503
Engagements particuliers d’un aumônier d’hôpital
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé(e) au ministère d’aumônier d’hôpital,
Vous servirez le Seigneur, en particulier dans le cadre du milieu hospitalier, en manifestant chaleur, amour,
attention aux malades, à leurs familles ainsi qu’à toute personne travaillant dans ce milieu.
Vous aurez le souci de maintenir le lien entre la personne hospitalisée et sa communauté d’origine.
Avec le conseil d’aumônerie, vous discernerez et encouragerez les ministères de visiteurs que Dieu donne à son
Eglise. Vous veillerez à leur formation et à leur accompagnement. Avec eux vous serez au service de l’unité du
corps de Christ et de sa mission.
Engagements particuliers d’un bibliste (ou animateur biblique)
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère de bibliste (ou d’animateur biblique),
En puisant à la source des Ecritures, vous éveillerez le désir d’une étude, d’une recherche et d’une écoute
personnelles et communautaires de la Bible, dans le respect de ceux avec qui vous travaillerez.
Attentif (-ve) au témoignage des apôtres et des prophètes, à l’actualité de la Parole, vous appliquerez à votre
étude, avec l’aide de l’Esprit-Saint, les ressources des connaissances humaines, exégétiques et théologiques.
Engagements particuliers d’un catéchète (ou formateur en catéchèse)
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère de catéchète (ou de formateur en catéchèse),
Le Seigneur vous confie la tâche d’instruire son peuple dans la connaissance de Jésus-Christ et de le préparer à
répondre de l’espérance qui est en lui.
Témoin de l’Evangile auprès des jeunes comme des aînés, vous mettrez dans votre enseignement la compétence
de votre savoir et la ferveur de votre foi.
Engagements particuliers d’un diacre
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère de diacre,
Le Seigneur vous demande de le servir dans la personne des petits, des pauvres, des souffrants, des exclus.
Vous serez attentif (-ve) aux détresses des hommes, aux injustices qui les frappent, afin que l’Eglise manifeste à
tous l’amour miséricordieux de son Maître et qu’elle témoigne de la dignité dont il revêt chaque être humain créé
à son image.
Engagements particuliers d’un enseignant en théologie
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’enseignant (e) en théologie,
Par votre recherche et votre enseignement, attentif (-ve) au témoignage des apôtres et des prophètes, vous
aiderez nos Eglises à sonder les Ecritures et à annoncer l’Evangile aux hommes et aux femmes de ce temps.
Vous appliquerez à votre étude les ressources humaines de l’intelligence et de la science et vous rechercherez la
lumière de l’Esprit Saint, qui seul révèle les mystères de la foi.
Vous collaborerez avec les enseignants de toutes les disciplines, et vous serez proche de ceux qui vous sont
confiés.
Engagements particuliers d’un évangéliste
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’évangéliste,
Vous vous attacherez à faire connaître Jésus-Christ aux hommes et aux femmes de notre temps.
Vous entraînerez les Eglises et le peuple chrétien dispersé à partager avec tous la bonne nouvelle de l’amour de
Dieu.
Attentif (-ve) au témoignage des apôtres et des prophètes, dans le respect des personnes et de leur culture, vous
chercherez les formes d’expression que requiert l’annonce de l’Evangile dans le monde contemporain.
504
Engagements particuliers d’un informateur régional
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé(e) au ministère d’informateur (-trice) régional(e),
Vous aiderez les Eglises de votre Région à se connaître entre elles, à apprendre les unes des autres et à être
solidaires.
Vous les aiderez à découvrir le témoignage de l’Eglise à travers le monde, pour qu’elles vivent leur foi dans la
communion de tout le peuple de Dieu.
Vous les aiderez à comprendre les événements de ce temps à la lumière de l’Evangile, pour qu’elles discernent
l’action et les appels du Seigneur.
Engagements particuliers d’un itinérant et d’un chargé de mission
Officiant(e) :
Vous qui êtes appelé (e) au ministère d’itinérant [ou de chargé de mission – préciser la mission],
Vous serez au service des Eglises, des groupes, du peuple chrétien dispersé, pour susciter et développer
l’annonce de l’Evangile au monde.
Dans votre rencontre avec des chrétiens aussi bien qu’avec des non-chrétiens, dans le respect des personnes et de
leur culture, attentif (-ve) au témoignage des apôtres et des prophètes, vous chercherez les formes d’expression
que requiert l’évangélisation du monde contemporain.
Est-ce bien là ce que vous voulez ?
Ministre :
- Oui, je le veux (ou : - Je m’y engage). Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il me soit en aide.
ENGAGEMENTS SOLIDAIRES DE LA COMMUNAUTE
Officiant(e) :
Frères et sœurs,
Vous venez de recevoir les engagements de NN...
Ensemble, nous sommes appelés à travailler pour Dieu, à vivre notre foi et en témoigner dans la paix et
dans l'unité du Christ.
Nous prierons pour notre frère -sœur- et nous le -la- soutiendrons.
Est-ce bien là ce que vous voulez ? Manifestez-le en vous levant et en vous engageant à haute voix :
L’ASSEMBLEE SE LEVE ET DIT A SON TOUR :
Assemblée :
- Oui, nous le voulons. Jésus-Christ est le Seigneur. Qu’il nous soit en aide.
INTRODUCTION A L’IMPOSITION DES MAINS
Officiant(e) :
N..., nous allons vous imposer les mains. L’imposition des mains est signe de grâce, d’accueil, d’engagement et
d’envoi dans le ministère auquel vous êtes appelé (e).
J’invite à s’approcher ceux qui vont imposer les mains :
Chacun est appelé par son nom. Il est précisé à quel titre il participe afin de mettre en évidence la diversité des
ministères. On veillera à associer un ou plusieurs membres de la paroisse ou Eglise locale dans laquelle se
déroule la cérémonie.
IMPOSITION DES MAINS
LE NOUVEAU MINISTRE S’INCLINE OU S’AGENOUILLE. LES OFFICIANTS IMPOSENT LES MAINS.
Prière particulière selon le type de ministère exercé :
505
Pour un animateur de Centre
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme animateur (-trice) de Centre dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui d’être accueillant (e) et disponible à tous.
Que son ministère aide ton Eglise à être attentive à tes appels et ouverte aux besoins des
hommes.
Pour un animateur de jeunesse
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme animateur (-trice) de jeunesse dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui d’être accueillant (e) et disponible à tous.
Donne-lui de manifester ta présence.
Pour un animateur en milieu universitaire
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme animateur (-trice) en milieu universitaire dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui d’être accueillant (e) et disponible à tous.
Donne-lui de manifester ta présence.
Pour un animateur théologique
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons comme animateur (trice) régional(e) dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui l’intelligence pour lire les Ecritures et travailler à leur interprétation, afin d’aider chacun à grandir
dans sa réflexion et sa foi.
Pour un aumônier d’hôpital
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme aumônier d’hôpital dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui de savoir écouter et accompagner ceux qui souffrent et ceux qui les soignent, ainsi
que leur famille, et d’être témoins auprès d’eux de ton Evangile et de ta présence aimante.
Pour un bibliste (ou animateur biblique)
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
506
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme bibliste (ou animateur (-trice) biblique) dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui la persévérance pour scruter les Ecritures, l’humilité et la sagesse pour aider ses
frères à la découvrir
Pour un catéchète (ou formateur en catéchèse)
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme catéchète (ou formateur (-trice) en catéchèse) dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Qu’il -elle- sache écouter et comprendre. Que sa parole, vivifiée par ton Esprit, parle au cœur
comme à l’intelligence de ceux qui lui seront confiés.
Pour un diacre
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère –sœur que nous recevons et établissons
comme diacre dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui l’amour, le courage, la patience pour bien accomplir son ministère.
Qu’en chacun de ceux qu’il -elle- servira, il -elle- reconnaisse ton visage.
Pour un enseignant en théologie
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme enseignant(e) en théologie dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Donne-lui l’humilité, la sagesse et la connaissance dans sa recherche et son enseignement.
Accorde-lui les dons nécessaires à l’exercice de son ministère.
Pour un évangéliste
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme évangéliste dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Remplis-le -la- d’humilité, de sagesse, de discernement, de hardiesse, d’amour et de foi.
Envoie-le -la- dans la puissance de ton Esprit pour que, par l’Evangile, l’intelligence et le cœur
des hommes s’ouvrent à Jésus-Christ et à l’espérance qu’il apporte.
Pour un informateur régional
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme informateur (-trice) régional(e) dans ton Eglise.
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
507
Donne-lui l’intelligence pour comprendre les événements du monde et la vie de l’Eglise,
l’humilité et le courage pour en rendre compte fidèlement.
Pour un itinérant et un chargé de mission
Officiant(e) :
Nous t’en prions, Dieu notre Père,
par Jésus-Christ, notre Seigneur,
accorde et renouvelle ton Saint-Esprit à notre frère -sœur que nous recevons et établissons
comme itinérant(e) dans ton Eglise [ou chargé(e) de mission – préciser la mission].
Accomplis ta force dans la faiblesse de ton serviteur -ta servante-.
Remplis-le -la- d’humilité, de sagesse, de discernement, de hardiesse, d’amour et de foi pour
que, par l’Evangile, l’intelligence et le cœur des hommes s’ouvrent à Jésus-Christ et à
l’espérance qu’il apporte.
NN..., au nom du synode national et comptant sur la fidélité de Dieu, nous vous reconnaissons comme [préciser
le type de ministère].
Que le Seigneur vous bénisse, qu'il bénisse votre ministère auprès de ceux et celles vers qui vous êtes envoyé (e).
Variante avec signe de croix :
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Au nom du Père [+] et du Fils et du Saint-Esprit.
Le ministre : Amen.
LES OFFICIANTS BAISSENT LES MAINS. LE NOUVEAU MINISTRE SE RELEVE.
ACCUEIL
Officiant(e) :
Eglise du Christ, réjouis-toi pour les ministres que le Seigneur te donne.
Et vous, NN..., vous n’êtes pas seul (e).
Réjouissez-vous d’avoir part à l’annonce de l’Evangile.
Le Seigneur est fidèle !
Tandis que l’assemblée est invitée - suivant un ancien geste liturgique - à applaudir et à chanter un cantique de
louange (ou tandis qu'elle s'assied), le nouveau ministre échange le baiser de paix ou l’accolade avec les
officiants, avec ses collègues, ses collaborateurs et d’autres personnes représentatives de la diversité des
ministères.
Puis, éventuellement, le nouveau ministre adresse un message à l’assemblée ou prononce une prière, ou préside
la suite du culte.
L’accueil pourra être développé en fonction des situations.
Les communautés pourront exprimer de quelle manière elles reçoivent le ministère qui leur est donné.
(le culte se poursuit)
508
Annexe 3
PROJET DE DECISION
Projet de décision relative à la liturgie d’ordination – reconnaissance de ministère et à la liturgie de
reconnaissance de ministère pour les ministres.
Le synode national de l’Eglise protestante unie de France, réuni à Lyon du 8 au 12 mai 2013, - vu notamment les
articles 11 § 1, 18 § 5, 18 § 7 de la Constitution,
- vu la liturgie d’ordination adoptée par le synode général de Sochaux (2007) et publiée par l’ANELF,
- vu la décision 14 du synode national de Nantes (1988) adoptant la liturgie de reconnaissance du des ministères
et des ministres,
- vu la décision 8 du synode général / national extraordinaire réuni à Paris les 15 et 16 janvier 2011,
- vu le rapport,
approuve l’utilisation jusqu’en 2017 des liturgies d’ordination – reconnaissance de ministère d’un pasteur et de
reconnaissance de ministère pour un ministre admis dans un ministère spécifique joints en annexe ;
demande à la commission des ministères de lui soumettre, lors du synode national 2017, une liturgie d’ordination
- reconnaissance de ministère d’un pasteur et une liturgie de reconnaissance de ministère pour un ministre admis
dans un ministère spécifique, qui bénéficient du retour de ces quatre années ;
charge la commission des ministères d’engager la préparation des mises à jour des autres liturgies de
reconnaissance de ministère (ministères collégiaux, ministères locaux) et de présentation, installation, accueil et
envoi des ministres.
509
Titre VII – CONSEIL, COMMISSIONS ET
COORDINATIONS
au 1er juillet 2013
CONSEIL, COMMISSIONS
ET COORDINATIONS
CONSEIL NATIONAL
Président : Laurent Schlumberger.
Vice-présidents : Patricia Hildebrand, Jean-Frédéric Patrzynski.
Trésorier : Denis Richard.
Secrétaire : Lucile Mesnil.
Secrétaire adjointe : Nadine Heller.
Membres : Emmanuel de Bary ; Marc Boss ; Jean-François Breyne ; Didier Fievet ; Jean Frey ;
Françoise Jouve ; Henry Laslandes ; Christiane Laurent ; Marie-Christine Michau ; Paolo
Morlacchetti ; Mayanga Pangu ; Raphaël Picon ; Jan-Albert Roetman ; Éric Serfass.
Suppléants : Victor Adzra, Frédéric Chavel, Marie-Pierre Cournot, Daniel Imiscoz, Giovanni Musi,
Vincent Nème-Peyron, Michel Paret, Christine Rafinesque, Annie-Claude Roche, Sylvaine Wartelle.
Secrétaire général : Didier Crouzet.
Directeur des services : Thierry Besançon.
Responsable administratif et juridique : Michel Haffner.
Responsable comptable et financier : N.
Conseiller juridique : Jean-Daniel Roque.
COMMISSIONS SYNODALES
COMMISSION DES MINISTÈRES
Président : Pasteur Christian Baccuet.
Membres : Mmes et MM. : Gilbert Carayon ; Anne Colombero ; Mirana Diambayé ; Marie-Françoise
ESCOT ; Béatrice Gourlan ; Dominique Hernandez ; Philippe Sautter ; Richard Taufer ; Marie-Hélène
Wieczorek.
Suppléants : Mme et MM. : Anne-Laure Bandelier, Anne-Claire Brétégnier, Geneviève Gubert,
Christophe Jacon, Ulrich Rusen Weinhold.
COMMISSION DES AFFAIRES GÉNÉRALES
Titulaires : Mme et MM. : Paul Doré ; Jean-Luc Eschemann ; Éric Georges ; Pascal Hubscher ; Alain
Millet ; Jean-Pierre Rive ; Patrick Russier.
Suppléants : Stephen Backman, Christophe Granade, Thierry Mourgues.
COMMISSION D’APPEL
Titulaires : Pierre Debat, Eric Demange, Anne-Marie Feillens, Denis Heller, David Mitrani, Janine
Pirotte, Joachim Schmoll, Daniel Schoenenberger, Gisèle Tron.
Suppléants : Ottilie Bonnema, Margreet DIELEMAN, Jean-Georges DORSI, Jean-François Guéry,
Jacques Guin, Edith Kessler-Heitz, Marc Ortlieb, Andreas Seyboldt, Marie-Noëlle Sicard.
512
ÉQUIPE D’ANIMATION
COORDINATIONS NATIONALES
Secrétaire national : Andrew Buckler
Membres : Corinne Bitaud, Anne-Marie Borne, Gwenaël Boulet, Jean-Daniel Chevalier, Bernard
Dugas, Thierry Fabian, Anne Faisandier, Françoise Giffard, Agnès von Kirchbach, Jean-Pierre Le
Guillou, Corinne Maroto, Hope Nénonene, Katharina Schächl, Caroline SCHRUMPF.
Suppléants : Christian Appel, Béatrice Cléro-Mazire, Louise Lagasse, Pascale Lintz.
Animation réseaux Jeunesse
Secrétaire national : Marc Schaefer.
Service national catéchétique
Chargée de mission nationale : Laurence Belling.
RELATIONS INTERNATIONALES
Secrétaire nationale : Claire Sixt-Gateuille.
COMMISSION DE DISCIPLINE
Titulaires : Mmes et MM. Chantal Aime, Gill Daudé, Bernard Du Grès, Denis Heller, Yves Noyer,
Janine Pirotte, Gisèle Tron.
Suppléants : Mme et MM. Olivier Brès, Thierry Sauquet, Agnès Schaeffer, Jean-Charles Wolff.
COMMISSIONS TECHNIQUES
a) Commission des finances
Président : Denis Richard, Trésorier du conseil national.
Membres : Mmes et MM. : Bertrand de Cazenove, Didier Crouzet, Jean-Marc Degon, Olivier Filhol,
Stéphane Griffiths, Pierre Grossein, Michel Haffner, Christiane Iribarren, Jean-Pierre Kures, Christian
Lacroix, Joerg Langendorf, Michel Marcucci, Nicole Marion, Michel Mazet, Valérie Mitrani, Francis
Moreau, Marc Ortlieb, Jean-Frédéric Patrzynski, Alain Pélissier, Fabrice Pichard, Gilles Pivot, Michel
Prat, Christine Rafinesque, Ghislaine Rossier, Jean-Daniel Roque, Laurent Schlumberger, Joachim
Schmoll, Emmanuelle Seyboldt, Christian Voitelier, Francis Walbaum, Sophie Zentz-Amédro.
Secrétaire : M. Thierry Besançon.
b) Commission des pensions
Président : pasteur Didier Crouzet, secrétaire général de l’EPUdF.
Membres : Mmes et MM. Nicole Berthoud, Thierry Besançon, Arnaud Clément-Grancourt, Jean-Marc
Kieffer, Daniel Gaubiac, Laurent Schlumberger, Vincent Nème-Peyron, Denis Richard, Jean-Daniel
Roque.
Secrétaire : Michel Haffner.
Pour tout renseignement sur les autres commissions, s'adresser au secrétariat général de l'Eglise
protestante unie de France.
REPRÉSENTANTS DE L’EGLISE PROTESTANTE UNIE DE FRANCE
a) AU CONSEIL DU SERVICE PROTESTANT DE MISSION
Véronique Mehl, Irène Schaerer, Claire Sixt-Gateuille, Françoise Sternberger et Jean-Pierre Zang.
b) À L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA CEVAA
Irène Schaerer.
513
POSTES ET NOMINATIONS
464 postes, 424 associations cultuelles
AU 1er JUILLET 2013
Cette liste est établie au 1er juillet de chaque année en conformité avec les décisions du
Synode national pour les postes permanents. Elle comprend de même tous les postes
temporaires créés pour deux ans par le conseil national avec leur date limite.
Entre parenthèses sont indiquées les associations cultuelles dont aucune n'est
prépondérante par rapport aux autres.
UNION NATIONALE
23 postes (dont 2 temporaires)
Président du conseil national : SCHLUMBERGER Laurent, 2010.
Secrétaire général : CROUZET Didier, 2013.
Président de la CDM : BACCUET Christian, 2007.
Secrétaires nationaux :
Evangélisation-Formation : BUCKLER Andrew, 2010.
Relations internationales : SIXT-GATEUILLE Claire, 2013.
Animation des réseaux jeunesse : SCHAEFER Marc, 2012
Chargée de mission du conseil national :
SCHÄCHL Katharina, Théovie, 2009
Equipe pastorale missionnaire région Est : PERRIER Eric, FONDJA NOUNDOU Patrice,
2009
INSTITUT PROTESTANT DE THÉOLOGIE :
Nouveau Testament (Paris) : NICOLET-ANDERSON Valérie, 2013.
Ancien Testament (Paris) : LANOIR Corinne, 2010
Philosophie et Éthique (Paris) : ABEL Olivier, 1984.
Théologie pratique (Paris) : PICON Raphaël, 2005
Histoire moderne (Paris) : LECHOT Pierre Olivier, 2012.
Nouveau Testament (Montpellier) : CUVILLIER Elian, 1991.
Ancien Testament (Montpellier) : NOCQUET Dany, 2006.
Dogmatique (Montpellier) : BOSS Marc, 1998.
Histoire ecclésiastique (Montpellier) : VIDAL Gilles, 2011.
Théologie pratique (Montpellier) : N.
Éthique (Montpellier) : CAUSSE Jean-Daniel, 1997.
Directeur du Master pro (Montpellier) : LEVAIN Claude, 2013
Histoire de la théologie à l'époque moderne : BERNAT Chrystel, 2013
Dogmatique (Paris) : STRICKER Nicola (Luth.), 2006.
Patristique (Paris) : PERES Jacques-Noël (Luth.), 1993
514
REGIONS ET CONSISTOIRES
*
CENTRE - ALPES - RHÔNE
88 postes, 85 associations cultuelles
Postes régionaux
6 postes, 1 association cultuelle
Présence Réformée en Centre-Alpes-Rhône (A.C.) :
Président du conseil régional : GROSSEIN Pierre, 2006.
Animateur en Évangélisation : N.
Informateur régional : HONEGGER Franck, 2004.
Bibliste : STERNBERGER Jean-Pierre, 2013
Animateur régional jeunesse : CREMER Jean-Luc, 2010
Chargé de mission Solidarités : DIETZ Jean, 2010
01 - Bourgogne
4 postes, 5 associations cultuelles
Bresse Bugey Dombes (A.C.) : N.
Chalon-sur-Saône (A.C. de Chalon-sur-Saône, Tournus et disséminés, Sornay et environs) :
M’BENGA Marcel, 2010
Mâcon (A.C.) : N.
Le Creusot et disséminés (A.C.) : OH Daniel, 2006
02 - Auvergne - Bourbonnais
3 postes, 5 associations cultuelles
Clermont-Auvergne (A.C.) : AUBLET Patrick, 2011.
Thiers1 (A.C. de Thiers les Sarraix) : HELMLINGER Matthias, 2009.
Vichy (A.C.) et Montluçon (A.C.) Moulins (A.C.) : CORREIRA Emmanuel, 2013.
03 - Loire
6 postes, 4 associations cultuelles
Firminy (A.C. de Firminy-Forez)2 : HELLER Nadine, 2013.
Saint-Chamond (A.C.) : HOUPERT Christophe, 2013.
1 Temps partagé avec AC de Clermont Ferrand
2
Temps partagé avec AC de St Etienne
515
Saint-Étienne - Forez (A.C. de Saint Etienne Le Forez) :
I.
CHRISTELER Vincent, 2013.
II.
URBAN Christine, 2010
III. N.2
Roanne (A.C.)3 : CARLIER Magali, 2009
04 – Grand Lyon
10 postes, 3 associations cultuelles
Lyon Terreaux (A.C.) : MILLET Bernard, 2012
Lyon (A.C.)
I. Guillotière : RAOUL-DUVAL Olivier, 2002.
II. Brotteaux : FAISANDIER Anne, 2003.
III. Ouest Change : LANGLOIS Xavier, 2011.
NESPOULET Franck, 2008.
IV. Est Lyonnais : CHARRIAU Corinne, 2008, BACKMAN Stephen, 2010
V. Oullins : STERNBERGER Françoise, 2013.
VI. Hôpitaux :
Lyon Aumônerie hospitalière I. : FABRE Nicole, 2011.
Lyon Aumônerie hospitalière II. : DANIELIAN Corinne, 2006
Villefranche-sur-Saône (A.C.) : N.
05 - Léman - Savoie
8 postes, 7 associations cultuelles
Annecy (A.C.) : GERARD Charlotte, 2007
Genevois et Giffre (A.C.) : DAVAL Didier, 2009
Bellegarde (A.C.) : N.
Chablais (A.C.) : LAMBOLEY Tünde, 2010
Pays de Gex (A.C.) : N.
Savoie (A.C.) :
I.
GIRARD Magali, 2006.
II.
RUPP ROULLAND Nicole, 2012.
Arve - Mont-Blanc (A.C.) : PIERRON Isabelle, 2009.
3
Temps partagé avec le consistoire
516
06 - Dauphiné
6 postes, 4 associations cultuelles
Bourgoin-Jallieu - Nord de l'Isère (A.C. de Nord-Isère) : PARDOEN Gérard, 2006.
Grenoble (A.C. de Grenoble, et A.C. de Voiron – Pont de Beauvoisin – Saint Marcellin) :
I. GIRARDEY Hugues, 2011.
II. N.
III. GEISER Joël, 2009.
IV. GUIBAL Pierre-Emmanuel, 2007.
Trièves-Matheysine (A.C.) : N.
07 - Montagne
5 postes, 6 associations cultuelles
Le Chambon-sur-Lignon (A.C.) : BRAUN Andréas, 2007.
Mazet Saint-Voy (A.C.) : SCHAEFER Johan, 2007.
Le Puy (A.C. Le Puy Yssingeaux et disséminés) : N.
Saint-Agrève (A.C. Secteur de St-Agrève) : REVERSAT Pierre, 2012.
Tence (A.C. de Tence et A.C. de Devesset) : BEGOUIN Hélène, 2010
08 - Valentinois - Haut-Vivarais
14 postes, 11 associations cultuelles
Annonay (A.C.) : MISSEMER Hervé, 2004.
Bourg-lès-Valence (A.C.) : N.
Beaumont-les-Valence (A.C. de Beaumont-Étoile) : AZEMARD Thierry, 2012.
Chabeuil (A.C. de Chabeuil et Châteaudouble) : CARAYON Gilbert, 2010.
Montmeyran (A.C. de Montmeyran – La Baume) : N.
Portes-lès-Valence (A.C.) : SINGER Christophe, 2006.
Romans (A.C.) : BIYOING Philippe, 2013.
Saint-Péray (A.C. de Saint-Péray-Guilherand-Granges-Toulaud-Cornas–Châteaubourg-St
Romain de Leps) :
I.
ZIEGLER Thierry, 2013.
II.
JOLY Régis, 2007.
Tournon (A.C de Tournon-Tain.) : RAKOTO Raony, 2013.
Valence (A.C.) :
I.
BRUNEL Jean-Paul, 2009
II.
N.
III.
Aumônerie hospitalière : SINGER Iris, 2013.
Vienne (A.C. de Vienne-Roussillon-Saint-Vallier) : GAVACHE Romain, 2008.
517
9 – Eyrieux - Doux
10 postes, 13 associations cultuelles
Alboussière (A.C. du Plateau d’Alboussière) : MIZZI Arielle, 2007.
Desaignes (A.C. de la Vallée du Doux) : N.
Haut-Eyrieux (A.C. du Serre-de-La-Palle et A.C. de Le Cheylard-le-Talaron) : N.
St Sauveur - La Pervenche - St Michel (A.C. de St Sauveur de Montagut et A.C. de la
Pervenche) : N.
Saint-Laurent-du-Pape (AC) : BOUILLON David, 2004.
Lamastre (A.C.) : N.
La Voulte (A.C. de la Voulte Beauchastel) : N.
Charmes-sur-Rhône (A.C.) : N.
Les Ollières Saint Fortunat (A.C. du Moyen Eyrieux) : N.
Vernoux (A.C. de Vernoux et A.C. de Chalencon) : CADOUX Richard, prop. 2012.
10 - Les Portes du Midi
16 postes, 23 associations cultuelles
Aubenas (A.C. d'Aubenas-Vals) : N.
Baronnies et Désert (A.C. Baronnies) : PERRENOUD Philippe, 2013.
Bourdeaux (A.C.) : ARNOUX Alain, 2013.
Crest (A.C.) : von ALLMEN Gilbert, 2013.
Est-Crestois (A.C.) : N.
Die-Bas-Diois (A.C. de Die et A.C. du Bas-Diois) : BAY Françoise, 2011.
Dieulefit (A.C.) : ARNOUX Sonia, 2013.
Haut-Diois (A.C. du Haut-Diois et de Valdrôme) : WOODWARD Noémie, 2010.
Le Pouzin (A.C. de l’Ouvèze-Payre) : MOURGUES Nicolas, 2011.
Puy St Martin (A.C.) : N.
Livron (A.C.) : VON ALLMEN-KOHLER Marianne, 2006.
Loriol (A.C. de Loriol-Cliousclat-Saulce) : CROISSANT Bernard, 2011
Montélimar (A.C. de Montélimar-Le Teil) : N.
Privas (A.C. de Privas-Flaviac) : RADAFIARIJAONA Dina, 2005.
Pont d'Arc (A.C.) : N.
Valréas (A.C. de Taulignan-Valréas) : GEOFFROY Pascal, 2007.
518
CÉVENNES-LANGUEDOC-ROUSSILLON
47 postes - 7 Charges d’aumônerie hospitalière, 81 associations cultuelles
Postes régionaux
5 postes, 1 association cultuelle
ACREPUdF
(A.C. Régionale de l’Eglise protestante unie en Cévennes-Languedoc-Roussillon)
Président du conseil régional : ZENTZ AMEDRO Sophie, 2010
Communication : ES-SBANTI. Rédouane, 2006
Informateur régional (Le Cep) : HEIMERDINGER Anne, prop. 2012
Animation Jeunesse : PRAT Ingrid1, 2013
Itinérance-Accompagnement-Evangélisation : N.
Consistoire de l'Aude et Pyrénées-Orientales
2 postes, 4 associations cultuelles
Ensemble de l’Aude :
(A.C. de Carcassonne) (A.C. EPU de Narbonne)
Poste de l’Aude : JAS Michel, 2009
Pyrénées-Orientales-Perpignan-Collioure (A.C. de Perpignan et des Pyrénées Orientales
membre de l’EPUdF) (A.C. de Collioure membre de l’EPUdF) : KONTZI MERESSE
Nicolas, 2011.
Consistoire de l'Hérault
8 postes – 1 charge d’aumônerie, 6 associations cultuelles
Béziers (A.C. EPU de Béziers) : MOUBITANG Anderson, 2004.
Sète et Bassin de Thau Centre-Hérault : (A.C. de Sète et Bassin de Thau) : NOCQUET
Eva, 2008
Ensemble de Centre Hérault
Centre Hérault (A.C. EPU Nord Hérault, A.C. de Faugères, A.C. Montagnac-SaintPargoire : NUNEZ Jean-Paul, 2013
Montpellier (A.C. de Montpellier et Agglomération et (A.C. de Pignan-Cournonterral) :
• Secteur Ouest : ES-BANTI Titia, 2006.
• Secteur mer et vignes : BOSSET Luc-Olivier, 2010
• Secteur Centre-ville I : JULIAN Jean-Pierre, 2009
• Secteur Garrigues : MIELKE-GOURIO Christine, 2013
• Secteur Centre-ville II : N.
• Charge d’aumônerie hospitalière : THOMAS Corinna, prop. 2012.
1 Temps partiel
519
Consistoire Piémont des Cévennes
6 postes – 2 charges d’aumônerie, 12 associations cultuelles
Ensemble "entre Cèze et Gardon"
« Cèze et Gardon » (A.C. du Bassin Alésien, A.C. de Cèze-Auzonnet-Bessèges, A.C. de
Cèze-Auzonnet-Les Mages, A.C. Cèze-Auzonnet-Saint-Ambroix) : N.
Cèze et Gardon 1 : FROMONT Philippe, 2009.
Cèze et Gardon 2 : DE TONNAC Christian, 2012.
Cèze et Gardon 3 : GALIA Eric, 2012
Ensemble "entre Gardon et Vidourle"
(A.C. EPU du Haut Vidourle, A.C. de Cros-Bourras, A.C. de Monoblet, A.C. du Coutach,
A.C. de Lezan-Canaules, A.C. de Lédignan-Ribaute les Tavernes, A.C. de Durfort, A.C.
de la Vallée de l’Ourne) :
• Gardon et Vidourle 1 : AMEDRO Christophe1, 2007.
• Gardon et Vidourle 2 : MERCURIO Stefano, 2010.
• Gardon et Vidourle 3 : COUSINIE Christophe, 2013
• Charge d'aumônerie hospitalière (Maison de santé protestante et Clinique Bonnefon à
Alès) : AMEDRO Christophe1, 2007.
• Charge d'aumônerie hospitalière (Hôpital d’Alès) : NICOLAS Charles, (EPREF)
Consistoire Gardon-Rhône
5 postes – 1 charge d’aumônerie, 10 associations cultuelles
Bagnols-Pont-Bourg (A.C. de Bagnols/Cèze-Pont Saint Esprit-Bourg Saint Andéol) :
WEZTSTEIN Joëlle, 2008.
Beaucaire Tarascon (A.C. de Beaucaire Tarascon) : LAIPE Roland1, 2001.
Ensemble de Gardonnenque : (A.C. de Brignon, A.C. de Saint-Maurice-de-Cazevieille, A.C.
de Saint-Chaptes, A.C. de Saint-Geniès de Malgoirès-Gajan) :
• Gardonnenque Poste 1 : ALEXA Véronique, 2011.
• Gardonnenque Poste 2 : SCRIPIEC Gérard, 2012.
• Poste de l’Uzège (A.C. de l’Uzège, A.C. de Blauzac, A.C. de Lussan, A.C. de SaintQuentin-La-Poterie) : INGELAERE Benoît, 2008.
Charge d'aumônerie hospitalière : LAIPE Roland1, 2010.
Consistoire de Nîmes
6 postes – 3 charges d’Aumônerie, 1 association cultuelle
Nîmes : (A.C. de Nîmes) : (Oratoire) : N.
Nîmes 1 : N.
1 Temps partiel
520
Nîmes 2 : DUMAS-LAIROLLE Aurélie, 2013.
Nîmes 3 : BREYNE Jean-François, 2002.
Nîmes 4 : MÜLLER Jean-Christophe, 2013
Nîmes 5 : N.
Nîmes 6 : MOKRI Zohra, 2013.
Charges d’Aumônerie hospitalière : TAMBON Lionel (hôpitaux de Nîmes 1, 2011 –
MÜLLER Denis (Maisons de retraite), DENTAN-VERSEILS Anne-Sophie (hôpitaux de
Nîmes 2), 2013.
Consistoire Causses-Aigoual
3 postes, 7 associations cultuelles
Postes des Causses (A.C. de Millau, A.C. de Pays Saint-Affricain, A.C. de Meyrueis) :
ORIEUX Monique, 2010.
Ensemble des Cévennes viganaises
Poste Cévennes Viganaise (A.C. du Viganais, A.C. d’Aumessas-St Jean du Bruel, A.C.
d’Aulas-Bréau-Arphy) : PRIVAT Philippe, 2009
Poste Valleraugue-Ardaillers-Taleyrac (A.C. de Valleraugue-Ardaillès-Taleyrac) :
SOCQUET-CAPT Viviane, prop, 2013.
Consistoire de Montagnes des Cévennes
5 postes, 15 associations cultuelles
Ensemble fédératif des Vallées Cévenoles
(A.C. des Hautes Vallées Cévenoles, A.C. de St André de Lancize, A.C. de St Germain
de Calberte, A.C. de St Jean-du-Gard membre de l’EPUdF, A.C. de Mialet- Corbes, A.C.
de St André de Valborgne-Le Pompidou, Bassurels, A.C. du Val de Salendrinque) (A.C.
EPREF Saumane-L’Estréchure, A.C. Les Plantiers) :
• Vallées Cévenoles 1 : N.
• Vallées Cévenoles 2 : PRAT Ingrid1, 2008
• Vallées Cévenoles 3 : JACOT Pierre-Alain (EPREF), 2011
Ensemble Nord
Entre Schiste et Granit (A.C. du Collet de Dèze, A.C. de Génolhac, A.C. de Vialas, A.C. de
Pont de Montvert) : AMBS-SCZAFARCZYK Fabienne, 2005.
Cévennes et Causses (A.C. de Mende, A.C. de Florac, A.C. de Vébron-Rousses, A.C. de
St Privat de Vallongue) : VION Etienne, 2011
1 Temps partiel
521
Consistoire Vaunage-Vistrenque
7 postes, 25 associations cultuelles
Ensemble de "Sommiérois-Vaunage"
(A.C. de Clarensac-St Côme, A.C. de Caveirac-Langlade-St Dionisy, A.C. de Sommières
et villages, A.C. de Cannes, A.C. de Combas, A.C. de Junas-Aujargues-Souvignargues,
A.C. de Aubais, A.C. Evangélique de Calvisson-Nages et Solorgues-Boissières membre
de l’EPUdF, A.C. de Congénies, A.C. de Nages et Solorgues) :
« Sommiérois-Vaunage » 1 : GARDELLE Jean-Pierre, 2004.
« Sommiérois-Vaunage » 2 : GRANADE Christophe, 2013.
Ensemble "Terres du milieu"
(A.C. Codognan-Mus, A.C. Mus-Codognan, A.C. Aigues Vives, A.C. Gallargues Le
Montueux, A.C. de Garrigues-Vistrenque, A.C. de Vergèze, A.C. du Lunellois) :
Terres du milieu 1 : FAUCHE Georges, 2006.
Terres du milieu 2 : DELANNOY Françoise, 2011.
Ensemble "Costières et Vidourle"
(A.C. de Vauvert, A.C. de St Gilles, A.C. de Beauvoisin, A.C. de Générac-Aubord, A.C.
de Saint Laurent d’Aigouze-Aigues-Mortes-Le Grau du Roi-La Grande Motte, A.C. de
Le Cailar, A.C. de Marsillargues, A.C. de Aimargues) :
Costières et Vidourle 1 : WHITE Malcolm, 2008.
Costières et Vidourle 2 : BLANC Nicolas, 2010.
Costières et Vidourle 3 : GAUDEMARD Yves, 2009
522
EST
15 postes, 1 charge ministérielle, 15 associations cultuelles
Postes régionaux
Présidente du conseil régional : SEYBOLDT Emmanuelle1, 2013
Consistoire de Lorraine-Vosges
7 postes, 1 charge ministérielle d’aumônerie, 7 associations cultuelles
Meurthe-et-Moselle I. (A.C. de Nancy et environs) : PERRIN-WILLM Geoffroy, 2010.
Meurthe-et-Moselle II. : DAUTHEVILLE Joël, 2013.
Meurthe-et-Moselle III. : N.
Charge d'aumônerie : GEIGER Isabelle, 2011.
Meurthe-et-Moselle IV (A.C. de Lunéville-Dombasle) : N.
Vosges-Meurthe (A.C. de Raon-l'Étape, A.C. de Saint-Dié) : N.
Vosges-Moselle I. (A.C. de A.C. Thaon-les-Vosges, de Épinal) : N.
Vosges-Moselle II. (A.C. de Remiremont,) : BEAUCHAMP Jean-Charles, 2011
Consistoire de Franche-Comté
4 postes, 5 associations cultuelles
Besançon et environs (A.C.) :
I. SEYBOLDT Emmanuelle1, 2013 - SEYBOLDT Andreas1, 2013.
II. PANIS Pierre-Emmanuel, 2009
Dijon-Beaune-Côte d’Or : ANTIER Guilhen, 2007
Haut-Doubs (A.C. de Morteau-Villiers le Lac, Pontarlier) : KESSLER HEITZ Edith, 2007.
Jura (A.C. de Dole, Jura Sud/Lons-le-Saunier) : SEYBOLDT Andreas1, 2013.
Meuse-Nord Haute-Marne (A.C. de Bar-le-Duc / Saint-Dizier, Verdun) : MENTZEL
Thomas, 2013.
Sud Haute-Marne (A.C. de Chaumont) : N.
1
Temps partiel
523
MONTBELIARD
23 postes, 1 charge ministérielle, 27 associations cultuelles
Postes régionaux
Inspecteur ecclésiastique : PICHARD Fabrice, 2013.
Informateur inter-régional : MACHABERT Gérald, 2010.
Charge ministérielle d’aumônerie des hôpitaux : HUBSCHER Pascal, 2009.
Consistoire Audincourt
4 postes, 9 associations cultuelles
Audincourt (AC) : NENONENE Hope, 2012.
Beaucourt (AC) Vandoncourt Dasle : MAILLARD Emmanuel, 2012.
Val d’Allan (AC) : GUERY Jean-François, 2009.
Delle Badevel : N.
Consistoire de Blamond
5 postes, 7 associations cultuelles
Mandeure Valentigney : PANGU Mayanga, 2002.
Montécheroux – Pont de Roide : NGASI Manyana, 2008.
Seloncourt : N
Vallon : LOUYS Jacques-Hervé1, 2008.
Plateau de Blamont : FRANCO Grégory, 2007.
Consistoire de Montbéliard
3 postes, 3 associations cultuelles
Montbéliard : FRANK Carine, 2013.
Béthoncourt : N.
Sochaux : BOULET Gwenaël, 2008.
Consistoire de Saint-Julien
3 postes, 3 associations cultuelles
Châtelot : NIMSGERN Yvonne, retraitée intérimaire.
Vallée du Rupt : N :
Mont Bart : SCHEELE Corinne, 2009.
1
Temps partiel
524
Consistoire d’Héricourt
5 postes, 4 associations cultuelles
Belfort :
1. DEMANGE Eric, 2012.
2. DIAMBAYE Mirana, 2009.
Vesoul : BRETEGNIER Anne Claire, 2004.
Vosges Saônoises : MASSENGO Georges, prop., 2013.
Mont Vaudois : KPOTI Samuel, MVAE, 2013.
525
NORD-NORMANDIE
43 postes (dont 2 temporaires), 43 associations cultuelles
Postes régionaux
3 postes, 1 association cultuelle
ACREPU-Nord-Normandie (A.C.) :
Président du conseil régional : FILHOL Olivier, 2010
Animation théologique régionale1 : N.
Pour le développement de l’Eglise : N.
Consistoire de Hainaut-Picardie
15 postes. 17 associations cultuelles
Aisne I. (A.C. de Saint-Quentin) : VAN DEN BOSSCHE Marie-Pierre, 2008.
Aisne II. (A.C. des disséminés de l’Aisne) : N.
Ardennes (AC de Charleville-Mézières, Sedan) : N.
Beauvais (AC) : DROIN Rémi, prop. 2013
Cambrésis I (A.C. de Cambrai-Walincourt) : FRESSE Sébastien, 2011
Cambrésis II (A.C. de Est-Cambrésis) : N.
Compiègne (AC) : MEAR Gilbert, 2009
Creil (AC) : RAHAMELISON Patricia, 2003
Landouzy-Parfondeval (A.C. de Landouzy la Ville, Parfondeval) : SKUBAL Petr,
prop. 2012
Marne I (AC de Châlons-en-Champagne) : N.
Marne II (AC de Reims-Epernay) : N.
Marne III (AC de Reims-Epernay) : GUTTINGER Marie-Laure, 2012.
Maubeuge (A.C. de Maubeuge et Avenois) : N.
Somme : (AC) : N.
Valenciennes - St-Amand-les-Eaux (A.C. de Lecelles-St-Amand, Valenciennes) :
VERSPEETEN Frédéric, 2004.
1
Poste temporaire et temps partiel
526
Consistoire de Flandres-Artois-Littoral
9 postes. 9 associations cultuelles
Côte d’Opale (A.C. Boulogne-sur-Mer-Berck-Devres-Calais-Saint Omer) : DUVAL
Jérémy, 2011
Littoral Nord (A.C. Dunkerque) : N.
Fives (A.C.) : DERUPT Aurélie, 2013.
Lille (A.C.) :
I. ALTEMÜLLER Eckhart, 2008.
II. ROETMAN Jan-Albert, 2010
Roubaix Tourcoing (A.C.) :
I. N.
II. Aumônerie des Hôpitaux de la Métropole : N.
Artois (A.C.) : SAUTTER Robin, 2006.
Douai, Bassin Minier (A.C. du Bassin minier, AC du Douaisis) : DIETZ François,
2010
Consistoire de Haute-Normandie
11 postes, 8 associations cultuelles
Bolbec (A.C. de Côte d’Albâtre/Caux) : KRONERT Volker, 2011
Dieppe (A.C.) : N.
Elbeuf (A.C.) : de PUTTER Loïc, 2013
Evreux (A.C.) : GEORGE Eric, 2005.
Le Havre (A.C.) :
I. HEYL Marion, prop. 2013
II. ROUANET Emmanuel, prop. 2012.
III. N.
Lillebonne (A.C.) : TAUFER Richard, 2009
Luneray (A.C.) : ROSSITER Andrew, 2006.
Rouen (A.C.) :
I : N.
II. : ZALAY Zoltan, 2007.
Consistoire de Basse-Normandie
5 postes, 8 associations cultuelles
Alençon (A.C.) : N.
Bocage Normand (A.C.) : TROCME Eric, 2012.
Caen (A.C. de Caen, Courseulles-Côte de Nacre, Bayeux) : NYANGONO Christiane,
2013.
Cherbourg – St Lô Manche Sud (A.C. de Cherbourg-Nord Cotentin, St-Lô Manche
sud) : ZOUMA Basile, prop. 2013.
Pays d’Auge (A.C.) : NOYER Yves, 2008.
527
OUEST
48 postes (dont 6 temporaires), 48 associations cultuelles
Postes régionaux
5 postes (dont 4 temporaires), 1 association cultuelle
Présidente du conseil régional (ACREPU Ouest) : MITRANI Valérie, 2006.
Animation biblique et théologique I. (ACREPU Ouest)1 : LUNG Hans, 2011
Animation biblique et théologique II. (ACREPU Ouest)1 : LUNG Hans, 2011
Animation Jeunesse I. (ACREPU Ouest)1 : N.
Animation Jeunesse II. (ACREPU Ouest)1 : N.
Consistoire de Bretagne
6 postes, 7 associations cultuelles
Brest et Nord Finistère (A.C. de Brest et Nord Finistère) : N.
Grand Ouest Morbihan-Sud Finistère (A.C. de Lorient Grand Ouest Morbihan, du Sud
Finistère) : STÜCKER Hervé, 2002.
Rennes (A.C. de Rennes) : PÜTZ Olivier, 2011.
Saint-Brieuc - Côtes d'Armor (A.C. des Côtes d’Armor) : TONJE Juliette, 2010
Côte d'Emeraude2 (A.C. Rance-Emeraude) : LEVEILLE BELUTAUD Eléonore, 2010
Morbihan Est2 (A.C. de Vannes-Morbihan Est) : FARIGOULE Pierre-François, 2010
Consistoire Centre-Loire
6 postes (dont 1 temporaire). 5 associations cultuelles
Blois et Loir-et-Cher (A.C. de Loir et Cher) : KUTASI Andras, 2011.
Bourges-Vierzon (A.C. de Bourges-Vierzon) : KRAUSE Angelika, 2009
Châteauroux (A.C. de l’Indre et Creuse) : N.
Orléans (A.C. d’Orléans) : CLERMONT (de) Guillaume, 2007.
Tours et Touraine (A.C. de Touraine) :
I. MITRANI David, 2012
II. N.
Consistoire Charente-Limousin
6 postes, 9 associations cultuelles
Barbezieux (A.C. de Barbezieux) : N.
Basse Marche2 (A.C. de Thiat, A.C. de l’EPU Villefavard) : N.
Cognaçais (A.C. de Cognac, de Châteauneuf, de Jarnac, de Segonzac) :
I. KOWAL Rodolphe, 2011.
1
2
Poste temporaire et temps partiel.
Temps partiel
528
II. N.
Charente-Nord et Angoumois (A.C. d’Angoulême et Nord Charente) : WEISS-DEAUX
Solange, 2010.
Limoges (A.C. de Limoges) : N.
Consistoire Charente-Maritime
8 postes dont 1 chargé d'aumônerie, 9 associations cultuelles
Saintonge Océan (A.C. de Saintonge Océan) : STEUERNAGEL Wolfram, 2012
Iles de Saintonge (A.C. des Iles de Saintonge) :
I. Etaules : BLOCK Michel, 2008.
II. La Tremblade : DEAUX Olivier, 2010.
La Rochelle (A.C. de La Rochelle confession réformée et A.C. de l’Île de Ré) : SECKEL
Marianne, 2011.
Charge ministérielle d'aumônerie de l'hôpital de La Rochelle (ACREPU Ouest) :
COLOMBIER Dominique2, 2010
Rochefort - Saint-Jean-d'Angély (A.C. de Rochefort, de St Jean d’Angély) : N.
Royan (A.C. de Royan) : NELSON Douglas, 2007.
Saintes et Sud Saintonge (A.C. de Saintes-Sud-Saintonge) : PULAÏ Edina, prop., 2012
Consistoire Loire-Océan
6 postes (dont 1 temporaire), 5 associations cultuelles
Angers (A.C. d’Angers Cholet) : BERTHOMIER Etienne, 2006.
Laval (A.C. de la Mayenne) : PÜTZ Olivier, 2011 ; LEVEILLE BELUTAUD Eléonore2,
2010.
Le Mans et La Sarthe (A.C. au Mans et dans la Sarthe) : LEFRANC Agnès, 2009.
Nantes et Loire-Atlantique (A.C. de Loire Atlantique) :
I. SCHRUMPF Caroline, 2009.
II. ANGLADE François, temporaire, 2011
Saumur2 (A.C. de Saumur) : RUFENACHT Etienne, prop. 2013.
Consistoire du Poitou
7 postes, 9 associations cultuelles
Châtellerault (A.C. de Châtellerault)2 : RAZAFIMAHEFA Edmond, 2010.
La Mothe-Saint-Héray - Saint-Maixent (A.C. du Canton de La Mothe-Saint-Héray, de
Saint-Maixent-L'École Souvigné) : RAKOTO Emmanuel, 2004.
Lezay (A.C. de Lezay) : RAZAFIMAHEFA Edmond, 2013.
Lusignan (A.C. du Canton de Lusignan) : EVELDHUIZEN Evert, 2006.
Melle et Celles (A.C. Celles-sur-Belle, de Melle-Celles-sur-Belle) : MASSOT Ariane, 2011.
2 Temps partiel
529
Niort (A.C. du Pays Niortais) : N.
Poitiers (A.C. de Poitiers) : POUPIN Roland, 2012
Consistoire de Vendée
4 postes, 5 associations cultuelles
Fontenay-le-Comte (A.C. de l’EPU de Fontenay-Le-Comte et Sud-Vendée) : PARET
Michel, 2004.
Bocage vendéen Est (A.C. de l’EPU de Moncoutant) : CLÉMENT Michel, 2005.
Bocage vendéen Ouest (A.C. de l’EPU du Bocage Vendéen, de l’EPU de Mouilleron-enPareds) : N.
Vendée Ouest (A.C. de l’EPU de Vendée Ouest) : LOWE James, 2008.
530
PROVENCE - ALPES - CORSE - CÔTE D'AZUR
34 postes, 2 charges ministérielles d’aumônerie, 28 associations cultuelles
ACREPU - Postes régionaux
3 postes, 1 charge ministérielle d’aumônerie
Président du conseil régional : PIVOT Gilles, 2009.
Rédacteur en Chef du journal Echanges (sans A.C.) : ZIEGLER Doris1, 2013
Témoignage-formation : N.
Charge ministérielle d’aumônerie Hôpitaux publics Marseille : N.
Consistoire de Rhône-Provence
7 postes, 6 associations cultuelles
Arles (A.C. du Pays d’Arles) : PLAA Cécile, 2007.
Avignon (A.C.) :
I. BADET Christian, 2007.
II. KLUMPP Sibylle, 2004.
Cavaillon (A.C de Cavaillon-Lubéron) : N.
Martigues (A.C.) : N.
Orange (A.C. Orange-Carpentras) : VISSER’T HOOFT Caspar, 2009
Salon (A.C. du Pays Salonais) : BURGGRAF-TEULIE Karin, 2011.
Consistoire Alpes-Pays d'Aix
6 postes, 5 associations cultuelles
Aix-en-Provence (A.C. du Pays d’Aix en Provence) :
I. N.
II. N..
Freyssinières-Briançon-Queyras (A.C.) : MUSI Giovanni, 2009.
Gapençais (A.C. Alpes du Sud) : VAN DEN WIELE Arnaud, prop. 2013.
Haute-Provence (A.C.) : MOUROU Bernard, 2011.
Lourmarin (A.C. Lourmarin-Val de Durance Pays d Aigues) : N.
Consistoire de l'Arc Phocéen
8 postes, 6 associations cultuelles
A.P.E.R.E.M. (A.C.) :
La Ciotat (A.C. de La Ciotat-Cassis-Ceyreste)
Marseille–Grignan (A.C. Marseille-Grignan Centre-Sud) :
I. N.
1
Temps partiel
531
II. N.
Marseille-Provence (A.C.) : SEITZ Lilian, 2010
Marseille-Sud-Est (A.C. Marseille Sud-Est Pays d’Aubagne) :
I. ILL Silvia, 2013.
II. MASSLER Frank, 2004.
Vitrolles-Marseille-Nord :(A.C.) : REUTER Iris, 2003
Consistoire de la Côte Varoise
4 postes. 3 associations cultuelles
Hyères (A.C.) : ALLIOT Charlotte, 2007
Sanary-sur-Mer (A.C. de Sanary-La Seyne) : BONNEMA Ottilie, 2008
Toulon (A.C.) :
I. MONTOYA Christophe, 2005
II. GANTZ Hervé, 2001
Consistoire de Côte d'Azur – Corse
8 postes, 1 charge ministérielle d’aumônerie, 8 associations cultuelles
Antibes (A.C. Antibes-Cagnes) : N.
Cannes (A.C.) : MORLACCHETTI Paolo, 2007.
Corse (A.C.) : WILSON Marie-Odile, 2013.
Est-Varois (A.C. Est-Varois) : N.
Grasse (A.C.) : BARBERY Christian, 2012.
Nice (A.C. Saint-Esprit) :
I. WEINHOLD Christina, 2006.
II. DELARUELLE Thibaut, 2013.
Charge ministérielle d’aumônerie : Hôpitaux publics Nice : RÜSENWEINHOLD Ulrich1, 2006.
Menton (A.C.) : MEYER Didier, 2002.
Vence (A.C.) : BARBERY Christian, 2012.
1 Temps partiel
532
RÉGION PARISIENNE
83 postes, 70 associations cultuelles
Poste de Circonscription
8 postes, 2 associations cultuelles (ACREPUF-RP et SREIF)
Président du conseil régional : de CAZENOVE Bertrand, 2013.
Animation biblique :
I. SCHLUMBERGER Sophie, 2013.
II. ROLIN Patrice, 2002.
Animation jeunesse et universitaire : N.
Informateur régional : GENTY Frédéric, 2013.
Aumônerie des prisons : DEYMIE Brice, 2009.
Auditoire E2P : N.
Poste du Conseil protestant en région parisienne
(nominations effectuées par le Conseil régional) 1 poste
Aumônerie des Aéroports, Orly : HERVÉ Stéphane, 2007.
Consistoire de Paris Sud-Ouest
15 postes, 12 associations cultuelles
Boulogne-sur-Seine (A.C. de Boulogne-Billancourt) : CLERO-MAZIRE Béatrice, 2008.
Chartres-Beauce et Perche (A.C.) : RAJOHNS Dina, 2009.
Clamart (A.C. de Clamart-Issy les Moulineaux-Meudon la Forêt) : SCHAEFFER Agnès,
2011.
Dreux Marsauceux (A.C.) : GONZALEZ David, 2013.
Meudon-Sèvres (A.C. de Meudon - Sèvres - Ville d'Avray) : SCHRUMPF Daniel, 2012.
Paris-Annonciation (A.C.) :
I. DAUDE Gill, 2008.
II. HELLER Denis, 2007.
Paris-Auteuil (A.C.) :
I. COCHAND Nicolas, 2013.
II. N.
Rambouillet - Chevreuse - Monfort-L'Amaury (A.C.) : PETIT Anne, 2011.
Saint-Cloud et la Celle Saint-Cloud (A.C.) : von KIRSCHBACH Agnès, 2009.
Saint-Quentin en Yvelines (A.C.) : SCHAECHTELIN Pierre-André, 2006.
Versailles (A.C.) :
I. GRAND d’ESNON Philippe, prop. 2010.
II. N.
Viroflay (A.C. de Jouy-en-Josas-Viroflay-Vélizy-Chaville) : DORÉ Paul, 2004.
533
Consistoire de Paris Nord-Est
21 postes, 18 associations cultuelles
Aubervilliers (sans A.C.) : N.
Aulnay-sous-Bois - Drancy (A.C.) : BOULINEAU Esther, 2009.
Champigny-sur-Marne (A.C.) : CISSÉ Alkaly, 2011.
Charenton-Créteil et environs (A.C. de secteur de Charenton-Créteil et environs) : PERRIN
Jean-Christophe, 2011.
Château-Thierry (A.C. de Château-Thierry-Monneaux) : SEBAS Marie-Emilie, 2008.
Lagny - Chelles-Marne-la-Vallée (A.C.) :
I. CHAPON Annie, 2013.
II. BERLOT Laurence, 2012.
Meaux (A.C.) : N.
Nanteuil-les-Meaux (A.C. de Nanteuil et A.C. de Saint-Denis-lès-Rebais : BRADDOCK
Quentin, 2013.
Pantin (A.C.) : BALESTIER Guy, 2013.
Paris-Belleville (A.C.) : JACQUEMUS Serge. 2003.
Paris-Béthanie (A.C.) : DURAND LEIS Christine, 2013.
Paris-Foyer de l'Âme (A.C. de Bastille-Foyer de l’Âme) : HUBAC Vincens, 2006.
Paris - Le Marais (A.C.) :
I. BOUCOMONT Gilles, 2004.
II. BRETONNES Caroline, 2013.
Paris - La Rencontre (A.C.) : AKLI Corinne, 2008.
Paris - Oratoire du Louvre (A.C.) :
I. WOODY James, 2009.
II. PERNOT Marc, 2007.
Le Raincy et environs (A.C.) : WÜTHRICH Serge, 2013.
Saint-Maur (A.C.) : ZANG Jean-Pierre, 2013.
Vincennes (A.C. de Vincennes-Montreuil) : CHONG Patrick, 2012.
Consistoire de Paris Sud-Est
21 postes, 21 associations cultuelles
Auxerre (A.C.) : N.
Boissy-Saint-Léger (A.C.) : KELLER Thomas, 2011.
Châtillon-Coligny (A.C.) : N.
Choisy-le-Roi (A.C.) : RAFENONIRINA Julia, 2007.
Corbeil-Essonnes (A.C. de Corbeil-Evry) : PETIT Didier, 2012.
Cosnes (A.C.) : N.
Fontainebleau (A.C. de Fontainebleau-Nemours-Montereau) : ROMAN-LOMBARD Odile,
2009.
Bicêtre – Juvisy - Vitry (A.C. de Banlieue Sud-Est de Paris) : MAKUNGA Lendo, 2011.
Melun (A.C.) : COYAULT Ruth-Annie, 2009.
Montargis (A.C.) : N.
534
Montrouge (A.C.) : HERVE Isabelle, 2008.
Nevers (A.C.) : N’GOUGO Fosto Guy-Bertrand, 2013.
Paris-Pentemont-Luxembourg (A.C.) :
I. WIBLE Simon, 2008.
II. MORLEY Jean-Paul, 2007.
Paris-Plaisance (A.C.) : HOLLARD-BEAU Béatrice, 2004.
Paris-Port-Royal Quartier Latin (A.C.) : PHILIPOUSSI Robert, 2010.
Robinson (A.C.) : KABONGO Philippe, 2003.
Sens et environs (A.C.) : BLANCHETON Jean-François, prop., 2012.
Vallée de Chevreuse (A.C.) : HERNANDEZ Dominique, 2011.
Vallée de l'Orge (A.C.) : YOUN Sook-Hee, 2008.
Villeneuve-Saint-Georges (A.C.) : SCHEBECK Robert, 2012.
Consistoire de Paris Nord-Ouest
19 postes, 21 associations cultuelles
Asnières - Bois-Colombes (A.C.) :
I. NEME PEYRON Vincent, 2010.
II. LOF Andreas, 2006.
Cergy-Pontoise (A.C de Cergy-Pontoise et environs.) : COFFINET Isabelle, prop., 2012.
Enghien (A.C.) : VIDAL Marc Henri, MVAE, 2012.
Houilles (A.C. de Houilles-Sartrouville-Maisons-Laffitte) : N.
Levallois-Clichy (A.C.) : TENREIRO Jean-Charles, 2013.
Mantes (A.C.) : APPEL Marc, 2012.
Marly-le-Roi et environs (A.C.) : N.
Neuilly (A.C.) : GAUDELET Bruno, 2011.
Paris - Batignolles (A.C.) : de BOURQUENEY Jean Marie, 2011.
Paris - Saint-Esprit (A.C.) : N.
Paris-Étoile (A.C.) :
I. PERNOT Louis. 1991.
II. BLONDON Florence, 2008.
Poissy (A.C.) : MOYAT Virginie, 2011.
Rueil et Nanterre (A.C.) : N.
Saint-Germain-en-Laye (A.C.) : N.
Sarcelles (A.C.) : N.
Ermont-Taverny (A.C.) : ADZRA Victor, 2011.
Boucle du Vésinet (A.C.) : CHAUMET Nathalie, 2008.
535
INSPECTION DE PARIS
22 postes – 21 associations cultuelles
Inspection en cours de reconfiguration des consistoires. Les indications ci-dessous sont
inscrites à titre provisoire.
Postes régionaux
Inspecteur ecclésiastique : PATRZYNSKI Jean-Frédéric, 2011
Pôle Rive Droite
(3 postes, 3 associations cultuelles)
Billettes (A.C.) : JOLY Alain, 2006
Rédemption (A.C.) : N.
Bon-Secours (A.C.) : BOUYSSOU Daniel, 2005
Pôle Rive Gauche
(4 postes, 4 associations cultuelles)
La Résurrection (A.C.) : N.
Saint-Jean (A.C.) : CHAVEL Frédéric, 2000
Trinité-Saint Marcel (A.C.) : LAZA NOMENJANAHARY Jean-Marcel, 2012
Vanves (A.C.) : N.
Pôle Nord
(4 postes, 4 associations cultuelles)
Saint-Paul (A.C.)1 : N.
Saint-Pierre (A.C.) : LÉPINE-LASSAGNE Arnaud, prop., 2012
Martin Luther (A.C. Saint-Denis) : HEIDEMANN Claudia, 2012
Saint-Marc (A.C. Noisy-le-Sec)2 : N.
Pôle Est
(3 postes, 3 associations cultuelles)
Noisy-le-Grand (A.C.) : N.
Saint-Etienne (A.C. Le Perreux) : N.
Saint-Matthieu (A.C. Pontault-Combault) : PACHECO-SAINSBURY Karine, 2011
Pôle Ouest
(3 postes, 3 associations cultuelles)
Ascension (A.C.) : N.
Courbevoie (A.C.) : N.
La Réconciliation (A.C. Suresnes) : N.
1
2
Temps partagé avec AC Saint-Pierre
Temps partagé avec AC Saint-Denis
536
Pôle Sud
(2 postes, 2 associations cultuelles)
Bourg-la-Reine (A.C.) : MULLER Marc Frédéric, 2010
Saint-Marc (A.C. Massy) : FOURNIER Frédéric, 2013
Province
(2 postes, 2 associations cultuelles)
Lyon (A.C.) : N.
La Transfiguration (A.C. Nice) : N.
537
SUD-OUEST
59 postes (dont 8 temporaires), 49 associations cultuelles
Postes régionaux
4 postes (dont 1 temporaire) (sans A.C.)
Président du conseil régional : PELISSIER Alain, 2012.
Informateur régional1 : JACON Christophe, 2010.
Chargés de mission régionaux :
BONNET Francine1 2 détachée sur le consistoire du Tarn, 2013.
MARTY Laurent1, chargé catéchèse, 2013.
Consistoire de l'Agenais
4 postes, 5 associations cultuelles
Agen (A.C.) : DESPLANQUE Christophe, 2010.
Vallée du Lot (A.C.) : VIALARD Marie-Françoise, 2009.
Nérac (A.C. d’Albret-Armagnac) : RAJAKOBA Hérizo, 2004.
Tonneins (A.C.) et Marmande (A.C.) : LEFEBVRE Pascal, 2011.
Consistoire de l'Ariège - Sud-Gascogne
3 postes, 7 associations cultuelles
Gers (A.C.) : N.
Ensemble de l'Ariège (A.C. de Vallée de l'Arize, de Calmont-Gibel, de Mazères, de FoixPamiers, de Saverdun, du Carla Bayle) :
I. PASCARAUT Agnès, prop., 2013.
II. N.
Consistoire du Béarn
8 postes, 10 associations cultuelles
Bayonne (A.C. de Bayonne, de Biarritz) : PAQUEREAU Nathalie, 2013.
Bellocq, Salies-de-Béarn (A.C. de Bellocq, de Salies-de-Béarn, de Sauveterre-deBéarn) : DENNIS Vernon-Bruce, 2013.
Mont-de-Marsan (A.C. des Landes) : MARTY Laurent1, 2008
Oloron-Osse (A.C. de Osse-Oloron) : JACOB Michel1, 2012.
Orthez (A.C.) : FEILLENS Anne-Marie, 2009.
Pau (A.C.) :
I. ROCHER Nicolas, prop., 2013.
II. JACOB Michel1, 2012.
Tarbes (A.C. des Hautes-Pyrénées) : N.
1
2
Poste à temps partiel
Poste temporaire
538
Consistoire de la Vallée de la Dordogne
6 postes, 5 associations cultuelles
Bergerac (A.C. du Bergeracois) :
I. BRINKMAN Elisabeth, 2010.
II. N.
Libourne (A.C. de Libourne/Castillon/Flaujagues) : LOUVET Catherine, 2012.
Périgueux (A.C.) : MUNCH Jacqui-Pierrot, 2008.
Moyenne Dordogne (A.C.) : N.
Sainte-Foy-Le Fleix/Les Briands (A.C. de l'Eglise réformée du Pays Foyen) : HULSHOF
Peter, 2005.
Consistoire de Guyenne
10 postes (dont 2 temporaires), 2 associations cultuelles
Arcachon (A.C. Littoral du Bassin et Nord des Landes) : PLOUVIET Philippe, 2009.
Bordeaux (A.C.) :
Bordeaux I. (Centre-ville) : MALI Valérie, 2011.
Bordeaux II. (Diaconat, Nord Médoc) : LIBERMAN Nina, 2010.
Bordeaux III. (Foyer Fraternel) : VERNIER Pascal, 1996.
Bordeaux IV. (Hâ 32, Sud-Médoc) : N.
Bordeaux V. (Nord-Ouest) : LABARTHE Marc, 2010.
Bordeaux VI. (Rive Droite) : DENIS Christophe, 2007.
Bordeaux VII. (Sud-Ouest) : GILLET Claude, 2006.
Bordeaux VIII. (Établissements Privés Protestants) : de BONNECHOSE Eric, 2010.
Charge ministérielle d’aumônerie hospitalière : MILLER Anne, 2012.
Consistoire du Montalbanais
2 postes, 5 associations cultuelles
Montauban (A.C. de Montauban, Barry d’Islemade, Meauzac) : SCHVARTZ Magalie, 2010.
Bas-Quercy (A.C. Quercy Route de Paris, Nègrepelisse-Bioule-St Etienne de Tulmont) :
RATOVOMANANA Hérizo, prop., 2013.
Consistoire de Rouergue-Haut-Quercy
3 postes, 3 associations cultuelles
Aurillac (A.C. du Cantal) : N.
Brive (A.C.) : STRUEMPLER Gérard1, 2011.
Rodez (A.C. de Rouergue) : SERRANO Luc, 2012.
1 Mi-temps
539
Consistoire du Tarn
11 postes, 10 associations cultuelles
Albi (A.C. de l’Albigeois) : N.
Ensemble Centre-Tarn (A.C. de Castres, de Montredon-Labessonnié, de Réalmont, de
Roquecourbe) :
I. MULLER Pierre, 2006.
II. PY-THEODOR Nadine, 2010.
III. N.
Ensemble Sud-Tarn (A.C. de Mazamet et Alentours, A.C. de Saint-Amans, de LabastideRouairoux et aumônerie hospitalière) :
I. N.
II. N.
III. Hôpitaux2 : N.
Montagne du Tarn (A.C.) :
I.3 MOURIER Emmanuel, 2013.
II. BERGERON Franck, 2009
Lauragais (A.C.)3 : PUJOL Françoise, 2013.
Prospection Ouest : N
Consistoire de Haute-Garonne
8 postes (dont 2 temporaires), 2 associations cultuelles
Toulouse (A.C.) :
I. N.
II. NIZET Jean-Pierre, 2009.
III. FIEVET Didier, 2011.
Hôpitaux : DESPLANQUE Agnès, 2010.
Ouverture : N.
Secteur de langue allemande1 : BERTHEAU Gésine, 2009.
IV. (Université) : FIEVET Didier, 2011.
Saint-Gaudens (A.C. Comminges)2 : N.
1 Poste temporaire
2 Mi-temps
3 Temps partiel
540
RÉPERTOIRE DES DÉCISIONS SYNODALES
1938-2013
Dans ce répertoire figurent en caractères maigres les décisions synodales ayant une portée
générale qui ont été prises successivement depuis le rétablissement de l'Église réformée de
France dans son unité, par les Synodes nationaux de Paris-Saint Esprit 1938, Bordeaux 1939,
Montauban 1940, Alès 1941, Valence 1942, Paris-Batignolles 1943, Paris-Luxembourg 1944,
Paris-Étoile 1945, Lyon 1946, Mazamet 1947, Grenoble 1948, Paris-Saint Esprit 1949, Nîmes
1950, Chambon sur Lignon 1951, Paris-Oratoire 1952, Amiens 1953, Le Havre 1954,
Strasbourg 1955, Royan 1956, Marseille 1957, Poitiers 1958, Paris-Jubilé 1959, Toulouse
1960, Valence 1961, Mulhouse 1962, Orthez 1963, Saint Jean du Gard 1964, Nantes 1965,
Clermont-Ferrand I. 1966, Clermont-Ferrand II. 1966, Vabre 1967, Royan 1968, Avignon
1969, Dijon 1970, Pau 1971, Nancy 1972, Saint Laurent d'Aigouze 1973, Lyon 1974,
Martigues 1975, Lyon 1975, Creil 1976, Angers 1977, Sainte-Foy-la-Grande 1978, Calais
1979, Dijon 1980, Viviers 1981, Valence 1982, Nancy 1983, Dourdan 1984, Strasbourg 1985,
Chantilly-Gouvieux 1986, Nîmes 1987, Nantes 1988, Marseille 1989, Enghien 1990, Orthez
1991, Annecy 1992, Le Havre 1993, Montpellier 1994, Paris 1995, Mazamet 1996, Reims
1997, Rezé-les-Nantes 1998, Fréjus-Saint Raphaël 1999, Lyon 2000, Soissons 2001, Nîmes
2002, Bordeaux 2003, Cognaçais 2004, Aix en Provence 2005, Paris 2006, SochauxMontbéliard 2007, Toulouse 2008, Bourg-la-Reine/Clamart, 2009, Fondation John Bost/La
Force, 2010, Paris 2011 (synode extraordinaire), Orléans 2011, Belfort 2012.
Dans ce répertoire figurent en caractères gras les décisions synodales ayant une portée
générale qui ont été prises successivement depuis la création de l’Eglise protestante unie de
France, par les Synodes nationaux : Lyon 2013 (EPUdF)
A
ACAT 2001 - 31
Actes pastoraux, 1994 - 28
Action apostolique commune, 1966 - 9 ; 1944 - 22 ; 1995 - 9
Accords avec Églises étrangères, 1992 - 34
Accords théologiques et dialogues œcuméniques, 1994 - 25
Action diaconale, 2003, 23
Accueil des fidèles des Eglises d’autres pays, 2010 - 29
Administration centrale, 1963 - 28
Afghanistan 2001 - 32
Afrique 1985 - 12 ; 1986 - 22 ; 1992 - 54 ; 1996 - 24
Alcoolisme, 1939 - 57 ; 1969-31 ; 1984 - 21
Allocations :
- de premier établissement, 1969 - 32 ; 1984 p. 85
- pour enfant à charge, 1989 - 19 et 20 ; 1990 - 24
Alsace et Lorraine, 1953 - 41
Amiante, 2006 - 25
Aménagement du territoire, 1994 - 32
Amérique latine, 1979 - 30 ; 1983 - 45
Annuaire, 1951 - 23
Argent, 1953 - 19 à 21
Armement nucléaire et Polynésie, 1983 - 41
Armements, 1954 - 40 ; 1958 - 26
Arménie, 1993 - 13
541
Assemblées générales du protestantisme français :
- Nomination des délégués, 1949 - 27
Assistants de l'Église, 1974 - 16
Associations cultuelles : 2004 - 31
- Associations cultuelles à vocation régionale de l’Eglise protestante unie, 2012 - 7
- Associations cultuelles régionales à vocation immobilière, 1996 - 15 - 25 ; 1997- 10 ;
1998 - 26
- et Églises 1958 - 17 ; 1959 - 28
- Assemblées générales, 1954 - 7
- Liste électorale, 1958 - 18
- Statuts type, 1938 - 48 - 1974 - 5 ; 1980 - 40 ; 1987 p. 78 ; 1991 - 8 ; 1992-30 1993 - 10 ;
1994-8 ; 1995-20 ; 2001 - 5
- Statuts type EPU : 2012 - 20
Association pour les familles pastorales, 1994 - 14
Associations familiales protestantes (AFP) 2007 - 27
Assurances automobiles, 1960 - 6
Aumônerie militaire, 1957 - 26
Autorité dans l'Église, 1964 - 49 ; 2008 - 18
B
Baptême, 1951 - 16 ; 196824 ; 1990- 14; 1991 -5 ; 1992 - 9, 10, 11
1993 - 26 ; 1998 - 3
- Baptême, Cène, Signes 1999 - 34
- Liturgie, 1954 - 15
Baptême adulte 2007 - 32
Baptême - Eucharistie - Ministère, 1985 - 17
Baptistes (Dialogue avec les), 1994 – 27
Bible (la référence à),1986 - 35
Bibliothèque (indemnité), 1984 p. 85
Bourses 2è cycle, 1984 p. 87
Brevetabilité du génome humain, 2000 - 25.
C
Carte des circonscriptions (voir « révision »)
Catéchèse des enfants et des adolescents, 1988 - 20 ; 2001 - 39 ; 2002 - 3
Point KT 2004 - 26
Catéchèse et sacrements, 1968 - 24 ; 1985 - 18 ; 1997 - 22, 28
Catéchuménat : Age, 1948 - 22
Catéchumènes :
- Instruction religieuse et réception, 1947 - 8
- Confirmation, 1953 - 27 ; 1960 - 36
- Cycle commun de catéchisme, 1944 - 21
Catholicisme, 1955 - 14 ; 1961 - 27, 28 ; 1962 - 6 ; 1964 - 31 ; 1966 (2) - 4. 7, 40
- Demande de célébrations eucharistiques communes, 1962 - 26 ; 1970 - 35
Cène du Seigneur (la), 1981 - 20
Cévaa, 1973 - 19 ; 1974 - 15 ; 1975 - 2 ; 1999 - 30
- Échange de personnel, 1979 - 27 ; 1985 - 13
Chômeurs (aide aux), 1984 - 23
Cimade, 2009 - 23
CIPE : suppression du poste, 2013 - 7
542
Circonscriptions : 1971 - 35 ; 2006 - 5
- Révision de la carte, 1969 - 12 ; 1970 - 8
Civilisation nouvelle et Rassemblement de la Communauté chrétienne, 1970 - 33
Code de la nationalité, 1993 - 11 et 12
CNEF, 2010 - 28.
Collectes officielles, 1971 - 14
Colloque interrégional 2001 - 38
Commissaire aux comptes, 1997 - 2 ; 2009 - 16
Commissions :
- d'action apostolique, 1975 - VI. (Cahier des charges) ; 1979 - 29 ; 1980 - 8 ; 1983 - 4
- Administratives et techniques, 1938 - 18
- des Affaires générales, 1962 - 47 à 49 ; 1965 - 5 ; 1968 - 11 ; 1977
- d'Animation de l'IPT, 1982, p. 91
- de la Catéchèse, 1957 - 13 ; 1971 - 4 ; 1973 - 12 ; 1974 - 14 ; 1975 - 5 ; 1979 - 37 ; 1982 16 ; 1986 p. 85 directives
- « Couple, famille, société », 1996 - 10
- de discipline, 2000 - 21
- des Églises évangéliques d'expression française à l'extérieur, 1964 - 22
- Diaconie, 1961 - 34 ; 1966 (2) - 32
- Finances, 1938 - 18, 19
- Générale d'Évangélisation, 1939 - 28 ; 1968 - 25 ; 1970 - 12, 1971 - 4 ; 1974 - 3 (Cahier
des charges) ; 1979 - 29 ; 1982 - 18
- des Immeubles, 1938 - 18, 21
- juridique, 1938 - 18, 20 ; 1983 p. 94
- de Liturgie, 1938 - 18, 22 ; 1950 - 4 ; 1975 - 15
- du Mariage, 1944 - 17 ; 1947 - 15 ; 1996 (voir « couple, famille, société »)
- des Ministères (règlement), 1959 - 55 ; (p. 114 - Synode 1968) ; 1974 - 6 ; 1979 - 35 ;
1982 - 21 ; 1986, p. 88 cahier des charges
- des Nominations, 1965 - 3 et 4 ; 1980 - 16 et 17
- Programmatique, 2006 - 3
- Rurale, 1968 - 12
- Synodales
(directives), 1968 - 25 ; 1971 - 4
(listes), 1968 - 32
(effectifs), 1968 - 11
- Théologique de la FPF, 1964 - 11
Communauté de Taizé, 1958 - 11
Communication, 1984 - 17 ; 2013 – 5 ; 2013 2 - 5
Conditions d'exercice du ministère pastoral 2000 - 41
Conférence Églises protestantes Pays latins d'Europe, (appel) 1977 - 38
Conférenciers, 1962 - 40
Confesser Jésus - Christ, 2005 - 19
Confirmation, 1953 - XXVII. ; 1960 - 26
- réception des catéchumènes 1947 - 8 ; 1968 - 24
Conjoncture, 1948 - 26
Consécration pastorale, 1940 - 24
Conseiller juridique, 1983 - p. 95
Conseils :
- d'Églises chrétiennes en France, 1987 - 2
- National, 1938 - 18 ; 1943 - 9 ; 1944 - 46 ; 1951 - 8 ; 1965 - 5 ; 1967 - 4 ; 1968 - 25
543
- national évangélique français (CNEF) 2010 - 28.
- Œcuménique des Églises, 1950 - 23 ; 1961 - 22 ; 1983 - 38 ; 1991 - 37 ; 1997-24
- Presbytéraux, 1947 - 30 ; 1970 – 21 ; 1973 - 3
- Régionaux, 1938 - 23 ; 1944 - 7 ; 1947 - 30 ; 1961 - 11 ; 1964 - 33 ; 1970 - 21
- de l'IPT, 1982, p. 91
- Permanent luthéro-réformé (vocation du), 1988 ; 2001 - 34 ; 2004 - 27 Consistoires, 1938
- 31, 32 ; 1939 - 21 ; 1966 (2) - 12 ; 1970 - 8 et 21 ; 1971 - 30 – 8 ; 1994 - 9 ; 2006 - 5
Consistoire : création du Titre E, 2013 - 21
Convictions du Synode contre la haine, la xénophobie, 1988 – 30, Coordinations, 1992 - 17
Cotisations (versements de), 1949 - 33
Coutumier, 1960 - 26
Culte (le sens du), 1989 - 34
D
Débat 2000, 2002 - 22
Defap, 1971 - 8 et 34 ; 1979 - 28 ; 1980 - 30 ; 1985 - 13 ; 1993 - 28 ; 1994 - 15 ; 2008 - 19,
2011 - 6 (programme de travail 2012-2014)
Déménagements (frais de), 1946 - 12
Désarmement (armes bactériologiques et atomiques), 1950 - 24
Désordre social et engagement personnel ; 1952 - 11 ; 1984 - 20
Dette des pays du Tiers Monde, 1989 - 39
Développement mondial, 1970 - 7
Diaconie, 1961 - 34 ; 1966 (2) - 32 - 2005 - 1.7 ; 2006 - 27 ; 2010 - 32.1, 2, 3 et 4
Dialogues œcuméniques, 1994 - 25 ; 1999 - 25
Dialogues interreligieux 2001 - 30
Directives aux CN et aux commissions, 1968 - 25 ; 1971 - 4
Discipline :
- Révision, 1995-29 ; 1959 - 13 à 17 ; 44 à 57, 50 à 76 ; 1985 - 2 ;
- 1999 - 17,19 ; 2003 - 12
- Modification, 1956 - 32 ; 1992 - 5, 6, 7, 21, 22, 24 ; 1995 - 10 ; 1996 - 16 ; 1997 - 20 ;
2000 - 17 ; 2001 - 16
- Mesures transitoires, 1985 - 3
Dissémination, 1969 - 9 ; 1985 - 19 ; 1986 p. 84 cahier des charges
Divorcés (bénédiction nuptiale), 1944 - 17 ; 1947 - 15 ; 1949 - 14
Droits de la personne, 1970 - 36 ; 1979 - 19 ; 1982 - 5 ; 1999 - 23
Droit d'asile, 1991 - 34 ; 2004 - 38
E
Eclaireuses et Eclaireurs unionistes de France 2011 - 14
Écoles (question scolaire), 1984 - 18
Écriture (référence à), 1982 - 23 ; 1986 - 35
Édifier - Témoigner (mission de l'Église), 1989 - 7 ; 1991 - 3, 4 - 26, 17 ; 1994 - 24
Édition d'écrits protestants, 1991 - 27
EELF/ERF - processus de rapprochement, 2007 – 25, La Force 2010 et Paris 2011 (synode
extraordinaire) - 2 (procédure de discussion et vote), 4 (votes pour les projets de décisions
n’ayant reçu aucun amendement), 5 (choix de l’UN comme support juridique), 6 assemblée
préparatoire), 7 (Règlement assemblée préparatoire), 8 (Ministères et ministres), 9 (nom de
l’Eglise unie), 10 (durée des mandats électifs), 11 (calendrier de renouvellement des CP et
délégations ERF)
Eglises chrétiennes en France (Conseil d'), 1987 - 2
544
Eglises étrangères associées aux synodes régionaux, 1971 - 37
Eglise évangélique luthérienne de France, 2006 - 8
Eglise locale (membre), 1960 - 33
Eglise et malades, 1958 - 22
Eglise orthodoxe russe. 1964 - 46
Eglise protestante unie de France - communion luthérienne et réformée (voir aussi EELF/ERF
processus de rapprochement), 2012 - 4 (Constitution et Règlement d’application), 5 (statuts
de l’Union nationale), 6 (statuts-type des AC), 7 (statuts des AC à vocation régionale), 8
(Règlement des synodes), 9 (Politique et organisation financières), 10 (Calendrier et
modalités d’application), 11 (préparation des élections 2013), 12 (Délégations
exceptionnelles temporaires du synode national au conseil national), 13 (Disposition fixant
la procédure en matière de sanctions disciplinaires), 14 (Coordinations nationales dans
l’Eglise unie), 15 (Traitement des ministres en 2013), 16 (contributions des régions et
inspections au titre A en 2013), 18 (préparation des budgets régionaux 2013), 19 (message
aux paroisses et Eglises locales)
Eglise réformée (gouvernement), 1961 - 11 ; 1962 - 29
Église réformée en Algérie, 1963 - 2, 24 ; 1966 (2) - 28
Eglise réformée d'Alsace et de Lorraine, 1964 - 1 ; 1975 - 4
Eglise universelle 2003, 26 et 27
Élections, 2004 - 13 ; 2001 - 8 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 23 - 29 - 25 - 26 - 27 - 28 ; 2004 - 6 - 7
- 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 ; 2006 - 11, 12, 13, 14, 15 ; 2007 -14 à
23 ; 2010 - 3 à 9 et 21 à 24 ; 2012 - 12.
Eléments d'orientation pour l'Union nationale, 2004 - 30 ; 2006 - 28
EREI (relations de l'ERF avec les), 1939 - 35 ; 1944 - 20 ; 1956 - 8 ; 1961 - 25 ; 1988 ; 2009 17 (voir aussi UNEPREF)
Emploi, chômage, exclusion sociale, 1994 - 24
Employeurs et employés protestants 1939 - 58
Emprunts d'État, 1939 - 51
- hypothécaires, 1961 - 31 ; 1944 - 21
Enseignement catéchétique, 1943 - 31 ; 1944 - 21 ; 1970 - 11 ; 1975 - 5 ; « Ensembles », 1973
- 23
Entreprises nouvelles, 1970 - 12 ; Livre blanc, 1971 - 16
Équipement informatique, 2003, 22
Essais nucléaires, 1973 - 29 ; 1983 - 41
Essais nucléaires en Polynésie française 2003, 25
Éthique sexuelle et familiale, 1977 - 48
Étrangers 1979 - 20 ; 1984 - 19 ; 1987 - 10 ; 1989 - 38 ; 1994 - 30 ; 1995 - 30 - 7 ; 1996 - 30 ;
1997 - 27 ; 1998 - 30 - 31 ; 1999 - 33 ; 2004 - 39 ; 2006 - 23
- Accueillir l'étranger, 1992 - 44
- Situation des étrangers en France, 2010 - 30
Études de théologie :
- Formation préalable, 1969 - 36
- Réforme 1972 - 10 ; 1978 - 10, 11, 12
- Bourses 2e cycle, 1984 p. 87
Étudiants en théologie :
- délégués aux sessions synodales, 1968 - 41
- Stages, 1942 - 11
- Connaissances et formation, 1983 p. 90
Europe, 1992 - 47 - 2005 - 16
Euthanasie - fin de vie - soins palliatifs, 2012 - 33 ; 2013 - 37
545
Evangélisation, 1959 - 59 ; 1963 - 16, 17 ; 1970 - 12 ; 1974 - 31 ; 1975 - 29 ; 1977 - 7 ; 1997 29
Évangélistes, 1939 - 23
Evangile (transmission de), 1976 - 20
Evangile et service, 1990 - 12
Expérimentations 2008 - 7 (message aux synodes régionaux) ; 2010 - 20.
F
Facultés de théologie, 1939 - 15 ; 1948 - 19 ; 1955 - 6 et 18
- Nomination, 1960 - 30 ; 1969 - 14 ; 1970 - 26 ; 1972 - 4 ; 1982 p. 71
- Règlement 1967 - 23 ; 1982 p. 71
- Relations avec les autres facultés, 1985 p. 102 ; 1988
Faim (dans le monde), 1984 - 25
Famille et éducation morale de la jeunesse, 1942 - 27
Fédération des Institutions chrétiennes, 1960 - 39
Fédération protestante de France :
- Appel contre les pauvretés, 1985 - 20
- Forme régionale, 1965 - 8
- Intercommunion, 1962 - 27
- Justice et prisons, 1986 - 36
- Présence de l'ERF à la, 1967 - 10. Délégation, 1980 - 39 ; 1991 - 13, 1 ; 1995 - 16, 17,
28 ; 1996 - 17
- Assemblée générale 2002 - 13 ; 2006 - 22 - Assises : 1999 - 23, 24
- Rapport au synode national, 1989 - 36 - Statuts. 1962 - 3
- Théologie (Commission), 1964 - 11 ; 1966 - 7 Charte, 1992 – 48
- Synchronisation de la désignation de la délégation à l’AG, avec calendrier, 2013 - 4
Femmes (place des), 1975 - 18 ; 1979 - 23 ; 1988 - 29
Femmes de pasteurs (situations des) 1967 - 37
Fichier paroissial et registres. 1942 - 29
Finances :
- Analyse budgets 1979 - 26
- Animation financière, 1969 - 27
- Attribution de pouvoirs au CN, 1951 - 8
- Choix financiers, 1992 - 39
- Commissaire aux comptes 2008,14
- Comptes des Eglises locales, 1997 - 18 ; 2000 - 5
- Crédit documentation, 1991 - 22 ; 1992
- Dépenses synodales. 1970 - 19 - 15 ; 1994 - 19
- Finances de l'Union : éléments d'analyse et de perspectives, 1993 - 18
- Indemnité de reclassement, 1991 - 17
- Information financière, 1967 - 29 ; 1969 - 30
- Nombre de desservants, 1995 - 20
- Organisation, 1938 - 8 ; 1942 - 22
- Politique et solidarité immobilières, 1993 - 17
- Publication des comptes des régions, 1942 - 22
- Répartition des charges entre Titres A et C, 1993 - 25
- Répartition du titre A, 1993 - 4
- Solidarité régionale ; 1958 - 5 ; 1882 - 34 ; 1993 - 3 ; 1994 - 16
- Versement des cotisations paroissiales, 1949 - 33 ; 1953 - 20
- Versement des régions à la caisse centrale, 1942 - 24
546
(voir aussi décisions SN 2012 rubrique EELF/ERF procession d’union)
Fiscalité, 1997 - 12
Fonctionnement du système presbytérien synodal, 1986 - 29
Force de frappe, 1963 - 33, 34
Formation :
- biblique, 1946 - 35
- civique, 1959 - 58
- dans l'Église, 1979 - 33 ; 1985 - 19 ; 1995 - 8
- des ministres, 1985 - 11 et p. 108
- préalable aux études de théologie, 1969 - 36
Fraude fiscale. 1959 - 58
G
Gouvernement de l'église locale, 1962 - 29
Guerre, 1950 - 24 ; 1952 - 22
Guerre d'Algérie 2001 - 35
Guerre et paix, 1948 - 26
Guerre subversive, 1963 - 20
H
Homosexualité, 1999 - 29 ; 2001 - 36 - 37 ; 2004 - 27
Honorariat, 1943 - 20
Huis clos, 1960 - 40 : 1996, 19 ; 2009 - 20
I
Immeubles :
- Équipement immobilier, 1951 - 9 ; 1966 (2) - 21 ; 1967 - 27 ; 1970 - 19 et 20 ; évaluation,
1989 - 15
Immigrés (situation des), 1981 - 17 ; 2007 - 26 ; 2008 - 17
Impôts :
- Remboursement, 1944 - 47 : 1945 - 16
Indemnité de cessation d’activité, 2010 - 27.
Indemnité 1er établissement et bibliothèque, 1984 p. 85
Indemnité de logement, 1990 - 23
Indemnité de résidence, 1990 - 21
Information dans l'Église, 1964 - 11 et 49 ; 1976 - 26
Information - Evangélisation. 2004 - 28 ; 2005 - 12
Institut Protestant de Théologie, 1972 - X ; Statuts, 1974 ; 1976 - 25 ; 1982 p. 91 ; 1992 Textes réglementaires 25 - Évaluation, 1996 - 8 ; 1998 - 19 - Fonds d'urgence ; 1998 27 ; Rémunération des enseignants ; 1999 - 9 - Dispositions relatives aux enseignants ;
2000 - 16 - Evaluation ; 2001 suites évaluation ; 2006 - 24 - hébergement stagiaires plan quinquennal 2008 - 2012, 2007 - 13, 2012 - 17 (plan quinquennal 2013-2017) ;
2013 – 19 (stages)
Institutions œuvres et mouvements 2002 - 19
Instruction religieuse :
- adultes, 1941 - 36
- réception des catéchumènes, 1947 - 8
- respect du jeudi, 1938 - 53
Intercession, 1953 - 42
Intérimaires (nomination), 1945 - 8
547
Invitation à la fraternité, l'accueil, le partage, 1988 - 30
Irlande, 1991 - 33
Islam, 1957 - 14
Israël - Palestine 2002 - 21, 2011 - 12 (Un bateau pour Gaza)
J
Jeûne, 1957 - 20
Jeunesse, 1999 - 31, 1941 34 (Jeunesse paroissiale Mouvements de Jeunesse), 1950 - 14 ;
1966 (2) - 7 ; 2002 - 20 , 1997 - 26 (Journées mondiales), 2010 - 31 (Réseau Jeunesse), 20119 et 10 (préambule et priorités pour l’animation jeunesse)
« Joyeux Dimanche », 1964 - 43
Juifs et Eglise réformée de France, 1941 - 33
Justice, 1941 - 43 ; 1979 - 19 et 21
Justice, Paix, Sauvegarde de la création, 1990 - 16
K
Kosovo, 1999 - 26
L
Laïcité scolaire, 1960 - 8
Laïcs :
- information des, 1944 - 49 ; 1961 - 20
Lieux où vit l'Église, 1979 - 31
Listes de lectures bibliques, 1976 - 35
Liturgie :
- d'accueil d'un nouveau membre dans l'ERF, 2007 - 32
- de baptême d'un adulte au cours du culte dominical, 2007 - 32
- de consécration des ministères non pastoraux, 1962 - 27
- du culte dominical, 1948 - 11 ; 1996 - 14 - 15 - 16 - 17
- diverses, 1950 - 4 ; 1959 - 48 ; 1966 (2) - 40 ; 1969 - 32 ; 1975 - 15 ; 1979 - 34 ; 1996 24, 25 ; 1997 - 23
- de reconnaissance des ministères et des ministres, 1988 - 14
- d'accueil des ministres, 1988 - 14
Logement (droit au), 1952 - 10
M
Malades (l'Église et les), 1958 - 22
Madagascar, 1992 - 51
Mandat de desserte, pour la célébration du culte, 1983 p. 87 ; 1989 - 35
Mandat des délégués au synode national 2003, 24
Mariage, 1967 - 35 ; 1982 - 20 ; 1984 - 26 ; 1997 - 23
- de divorcés. 1947 - 15 ; 1949 - 14
- commission du mariage, 1944 - 17 ; 1995 - 34
- mixtes. 1957 - 8 ; 1966 (2) - V ; 1970 - 34
Marxisme, 1959 - 57
Membres d'Église, 1958 - 14 à 20 ; 1960 - 33 ; 1995 - 35
Message aux Églises locales, 2000 - 23
Mesure particulière à l'occasion du cinquantenaire de 1938, 1988 - 18
Mesures disciplinaires et sanctions, 1968 - 26
Migrants, 1977 - 28
548
Ministères :
- accès au ministère pastoral, 1938 - 49 ; 1990 - 7
- apostoliques (Defap), 1974 - 15
- commun de l'Eglise et gouvernement de l'église locale, 1962 - 29
- des diacres, 1961 - 34 ; 1965 - 19
- de l'Eglise et des Ministères, 1957 - 17 ; 1973 - 27 ; 1981 - 21 ; 1990 - 6
- de l'Église et ministère pastoral, 1946 - 29 ; 1995 - 7 ; 2006 - 26
- de l'Union, 2004 - 40
- examen périodique, 1969 - 33
- féminins, 1962 - 27
- formes nouvelles, 1957 - 17 ; 1970 - 4
- laïcs, 1974 - 16
- liturgie et diversité des ministères, 1969 - 32 ; 1983 - 29 ; 1984 - 6
- non pastoral, 1962 - 27 ; 1970 - 4
- paroissiaux et non paroissiaux, 1967 - 9
- pastoral de la femme, 1962 - 27 ; 1965 - 36 ; 1966 (1) - 8
- prolongation, 1947 - 31
- reconnaissance des, 1984 - 6 Mission de l'Église, 1989 - 7
Mission parmi les peuples païens, 1957 - 16
Missions :
- Action apostolique commune, 1966 (2) - 9
- Defap, 1971 - 8 ; 1974 - 15
- projet missionnaire, 2001 - 40
Société des Missions, 1962 - 4, 5 ; 1963 - 18 ; 1971 - 8
Mission populaire évangélique, 1939 - 27 ; 1942 - 19
Monaco, 2005 - 8
Montée de l'extrême droite, 1997 - 25
Mutuelles médicales et chirurgicales, 1976 - 17
N
Naissances (limitation des), 1965 - 46
Namibie (libération), 1977 - 35
Nationalismes, 1960 - 15, 31
Nicaragua, 1981 - 23
Niemöller Martin (message à), 1977 - 36
Non-violence, 2001 - 33
Nouvelle - Calédonie, 1983 - 43 ; 1985 - 15 ; 1986 - 37 ; 1988 - 21
Nouvelles formes de sociabilité, 2009 - 25
Nucléaire (l'Église à l'ère), 1967 - 30.35 ; 1968 - 7, 8 ; 1975 - 21 ; 1980 - 43 ; 1983 - 41 ; 1992
- 52 ; 1999 - 27
O
Objecteurs de conscience, 1948 - 26 ; 1949 - 31 ; 1950 - 22 ; 1952 - 23 ; 1963 - 31 ; Aide
1974 - 20
Œcuméniques :
- Rencontres, 1961 - 27
- Relations, 1983 - 30
Œuvres et Mouvements :
- Ministère (des), 1983 - 40
- Pension de retraite du personnel des, 1965 56
549
- Représentation au SN, 1966 (1) - 1, 2 ; 1968 - 1 ; 1972 - 6 ; 1977 - 8 ; 1980 - 46 ; 1991 6 ; 1994 - 12 ; 1997 - 8 ; 2000 - 12 ; 2006 - 10, 2012 - 27 (période 2013-2016)
Ordination, 1961 - 18, 24 ; 1966 – 7 (voir aussi : « Reconnaissance des ministères)
- des anciens prêtres, 1964 - 32
Orientations pour l'Église, 1964 - 46
P
Paroisses :
- message aux, 1980 - 34
- révision de la liste, 1958 - 8 ; 1963 - 11 ; 1972 - 8
- révision de la carte, 1971 - 25 et 26
Parole, parentalité, espérance, 2007 - 24
Pasteurs :
- ayant exercé 7 ans dans le même poste, 1970 - 30
- Consécration pastorale, 1961 - 18, 24 ; 1966 (1) - 7
- de circonscription, 1944 - 30
- Mise à la retraite, 1966 (1) - 6
- Nominations, 1945 - 8 ; 1961 - 11 ; 1964 - 23 et 24 ; 1966 (1) - 4 et 5 ; 1970 - 22 ; 1971 26
- Non affectés à un poste, 1967 - 21 ; 1970 - 22
- Renouvellement intellectuel et spirituel, 1950 - 37
- Retraités, 1947 - 23
- Veuves de pasteurs (pensions), 1948 - 17 ; 1990 - 17
- PCBM 1994 - 23
Pays latins d'Europe, 1977 - 38 (migrants)
Pauvreté, 2004 - 36
Peine de mort, 1963 - 30 ; 1976 - 24
Persécutions, 1953 - 43 ; 1956 - 30
Photographies dans les temples, 1951 - 22
Politique (le chrétien et la), 1952 - 24 ; 1958 - 24
Politique et placements financiers, 2009 - 26
Portugal (protestants), 1982 - 15
Postes de pasteurs, 2004 - 32
- Cahier des charges, 1971 - 26
- Modifications, 1938 - 12 ; 1953 - 40 ; 19863 - 11 ; 1976 - 22 ; 1991 - 9 ; 1992 - 31 ; 1993
- 9 ; 1994 - 10 ; 1995 - 41 ; 2000 - 15; 2001 - 6 ; 2012-23
- Pourvoi, 1980 - 2 ; 1989 - 37 ; 1990 - 30 ; 1991 – 28
- Suppression postes régionaux, 2013 - 7
- Révision décennale de la liste, 1958 - 8 ; 1963 - 11 ; 1972 - 8
- Temporaires (représentation aux S.R.), 1973 - 13
- Prédication, 1952 - 26
Pour un développement social pour tous, 2000 - 24
Prédicateurs laïcs, 1964 - 44
Presbytères :
- Chauffage et logement, 1957 - 5
- Prisonniers politiques au Viêt Nam, 1973 - 24
Processus de rapprochement EELF/ERF, 2007 - 25 ; 2009 21 et 22
Professeurs de théologie (statut), 1972 - 4
Programmes scolaires (réforme) 1995 - 38
Proposanat, 1964 - 17 ; 1968 - 31
550
Prosélytisme, 1963 - 16 et 17 ; 1964 - 25
Protection morale des jeunes travailleurs, 1944 - 50
Protocoles :
- avec l'Église réformée d'Algérie, 1963 - 2, 24
- avec la Société des Missions, 1963 - 18
- avec l'Union de prières de Charmes, 1973 - p. 101
- avec l'Église réformée d'Alsace et de Lorraine, 1975 - 4
- avec l'Accueil fraternel 1987, p. 104
- avec la Communauté du Chemin Neuf, 1987, p. 106
R
Raciale (discrimination), 1964 - 47
Racisme, 1980 - 14, 15 ; 1982 - 2
Radios chrétiennes en France, 1997 - 30
Radio - Télévision, 1955 - 30 ; 19863 - 32
Réception dans l'Église des nouveaux venus et admission à la Cène, 1964 - 35
Recherche théologique, 1971 - 3 ; 1982 - 19
Reconnaissance liturgique des ministères, 1984 - 6 ; 1988 – 14 ; 2013 - 31
Reconnaissance des diplômes entre la France et le Vatican, 2009 - 24
Reformation pastorale, 1975 - 6 ; 1977 - 3
Réforme (voir programmes scolaires) Paris 38
Réfugiés (statut des), 1987 - 11
Régime presbytérien synodal, 1969 - 35 ; 1973 - 27 ; 1977 - 2 ; 1986 - 24
Régions :
- révision de la carte des..., 1969 – 12 ; 1970 – 8 ; 2010 – 19 ; 2012 - 18 (préparation
budget 2013) ; 2013 – 19, 35
- Expérimentations 2008 - 7
- Rencontre des présidents et du conseil national, 1985, p. 104
Registres paroissiaux, 1942 - 24 ; 1958 - 7
Règlement général d'application 2003, 21
Règlements :
- de l'Administration centrale, 1961 - 12 ; 1967 - 4
- règlement général d'application de la Discipline, 1976 - 10 ; 1985 - 7 ; 1988 - 3 ; 1991 16 - 17 - 18 ; 1992 - 23, 26, 27 ; 1995 - 6 ; 1996, 21 - 2000 - 18 ; 2002 - 4 - 5 - 6
- règlement intérieur du SN, 2004 – 6 ; 2010 – 26.
- pour les commissions administratives et techniques, 1938 - 18 et 22 ; 1993 - 14, 15, 16
- pour la commission du ministère pastoral, 1938 - 17 ; 1999 - 18, 20, 21
- pour les consistoires, 1938 - 31 et 32
- pour les Facultés de théologie, 1943 - 25 ; 1967 - 23 ; 1972 - 4
- pour le synode national, 1960 - 40 et 41 ; 1966 (2) - 39 ; 1967 - 9 ; 1972 - 6 ; 1977 - 33 ;
2000 – 20
- pour les véhicules des parcs automobiles régionaux : 2013 - 20
- pour les étudiants en théologie : 2013 - 19
Relations internationales, 1997 - 24 ; 20, 03 - 26, 27 ; 2008 - 8 (Algérie)
Renouveau des vocations pastorales, 1998 - 24
Respect des Droits de l'Homme, 1953 - 43 et 44 (Finaly), 45 (Rosenberg)
Retraites, 1938 - 8 ; 1948 - 15 ; 1957 - 6 ; 1966 (1) - 6 - 1970 - 16 (ANEP) ; 1979 - 13 ; 1980 26 ; 1984, p. 86 ; 1988 - 26 ; Plan, 1989 - X ; 1990 - XVII ; 1995 - 4 ; 1996 - 19 ; 1997 - 13
(ANEP) ; 1999 - 12 ; 2004 - 18
Réunion (La), 1992 - 50
551
Réviseur des comptes des Eglises locales : 2003 – 19,
Rurale (question), 1965 - 45
- Témoignage protestant en monde, 1989 - 40
S
Sacrements 2001 - 22
Sainte Cène (participation à la), 1968 - 24 ; 1983 6 ; 2004 - 37
La Cène du Seigneur (texte CPLR), 1981 - 30
Salariés de l'UNAC - ERF, 1994 - 7 p.
Sans - papiers (voir Étranger) 2001 - 29
Sanctions et litiges, 1968 - 27 ; 1977 - 30 et 31
Scoutisme (voir Eclaireuses et Eclaireurs unionistes de France)
Sectes, 1956 - 37 ; 1996 - 28
Société dans les locaux paroissiaux, 1994 - 31
Service (Evangile et), 1990 - 12
Services de circonstances, 1950 - Actes, pp. 144 et 145
Signalisation des protestants, 1951 - 24
Situation sociale, 1950 - 25
Société centrale d'Évangélisation (nouveaux statuts), 1974 - 2 ; 1991 - 19
Société des Missions, 1957 - 16 ; 1962 - 5 ; 1963 - 18 ; 1966 - 9 ; 1971 - 8
Solidarité, 1985 - 19 ; 1990 - 30 ; 2000 - 26
Statistiques, 1949 - 19 et 37
Statuts :
- associations cultuelles, 1938 - 48 ; 1974 - 5 ; 1981 p. 79 ; 1987. p. 78 ; 1995 - 40
- de la Fédération protestante de France, 1962 - 3
- Société Centrale d'Évangélisation, 1974 - 2
- Union nationale-ERF, 1940 - 4 ; 1970 – 23 ;1989 - 22 ; 1995 - 39 ; 1997 - 21 ; 1999 - 22
Stratégie, 1961 - 40 ; 1962 - 18 ; 1963 - 12
Structures du monde moderne, 1949 - 12 et 13
Stupéfiants, 1969 - 31
Synode national :
- Appel au, 1957 - 25
- Aumônerie, 1965 - 55
- Commissions, 1976 - 9
- Composition, 1966 (1) - L ; 1968 - 41 ; 1970 - 21 ; 1972 - 6 ; 1976 - 11
- Dépenses, 1970 - 19
- Election des commissions, 1956 - 35
- Election du modérateur, 1952 - 19
- Méthode de travail, 1946 - 23 ; 1957 - 12 et 13 ; 1971 - 36 ; 1980 - 18 ; 1982 - 24
- Préparation, 1961 - 11
- Procès - verbal des séances, 1960 - 40
- Publication des décisions, 1960 - 26
- Règlement, 1959 - 9 ; 1960 - 41 ; 1966 (2) - 39 ; 1975 - 7 ; 1988 - 2 ; 1991 - 14 - 15 ;
1996 - 23 ; 2002 - 7
Synodes régionaux :
- Charges et responsabilités 1966 - 11
- Composition, 1970 - 21 ; 1971 - 37 ; 1976 - 11 ; 1977 - 5, 6
- Ordre du jour, 1941 - 22
- Préparation, 1957 - 12 et 13
552
T
Télévision, 1955 - 30
Textes officiels (Conseil national et FPF) :
- Transmission, 1958 - 29
Théologie :
- Autres, 1980 - 32
- Fonds de solidarité, 1980 - 41
- Textes d'accord FPF, 1964 - 11 ; 1966 (2) - 7
Théovie, 2008 – 20, 2011 - 8 (bilan 2008-2011)
Togo, 1992 - 48
Traitements, 1938 - 8 ; 1977 – 23 ; 2013 – 16, 17
- Enquête, 1990 - 27
Travail : pour qui, pour quoi, travaillons-nous ? 1981 - 14
Travailleurs :
- Situation des travailleurs, 1977 - 37
U
UNAC - ERF, 1970 - 23 ; 1989 - 22 (statuts)
Une Eglise qui, se réforme. 2007 - 7
UNEPREF (ex EREI), 2009 - 17
Union de prière de Charmes, 1973 p. 101
Unité des Églises en France :
- Esquisse et thèses « de Lyon », 1966 (2) - 7 ; 1969 - 13 ; 1971 - 2
Unité des Églises issues de la Réforme, 1991 - 36
V
Vacances :
- Expériences sur les lieux de, 1969 - 34
- Postes pastoral, 2009 - 18
- Présence de l'Église au monde des, 1973 - 24
Validation des décisions et mesures prises de 1961 à 1966 ; 1966 (1) - 3
Véhicules de l’Eglise : 2013 - 20
Vers une Eglise protestante unie, 2009 - 21 et 22
Visite médicale obligatoire des pasteurs, 1964 - 4
553
QUELQUES SIGLES UTILISES
ACAT
ACIRP
ACRImmo
AP2E
ANELF
ARAPEJ
BAFA
BAFD
CAG
CAR
CDM
CECEF
CEEEFE
CEPE
CEPPLE
Cevaa
CIMADE
CIPE
CLR
CN
CNEF
COC
COE
CP
CPCV
CPLR
CR
CRI
CWM
DEA
Défap
DESS
DEUT
DGFI
E
EAEE
EARB
EELF
EEUdF
EKIR
EMPP
ENC
ENM
EOP
EPCAAL
Action des chrétiens pour l’abolition de la torture
Association cultuelle immobilière de la région parisienne
Association cultuelle régionale immobilière
Association protestante pour l’éducation et l’enseignement
Alliance des Eglises luthériennes de France
Association réflexion action prisons et justice
Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur
Brevet d’aptitude aux fonctions de directeur
Commission des affaires générales
Région Centre Alpes - Rhône
Commission des ministères
Conseil d’Eglises chrétiennes en France
Communauté d’Eglises protestantes francophones
Communion d’Eglises protestantes d’Europe
Conférence des Eglises protestantes des pays latins d’Europe
Communauté d’Eglises en mission
Service œcuménique d’entraide
Coordination interrégionale pour l’Evangélisation
Région Cévennes – Languedoc – Roussillon
Conseil national
Conseil national évangélique de France
Commission d’orientation catéchétique
Conseil œcuménique des Eglises
Conseil presbytéral
Comité protestant de centres de vacances
Communion protestante luthéro-réformée
Conseil régional
Commission régionale immobilière
Christian world mission (Cévaa anglaise)
Diplôme d’études approfondies
Service protestant de mission – département français d’action apostolique
Diplôme d’études supérieures spécialisées
Diplôme d’études universitaires technologiques
Document de gestion financière et immobilière
Région Est
Sigle allemand pour l’Association protestante pour la formation des adultes en
Europe
Equipes d’animation et de recherche biblique
Eglise évangélique luthérienne de France
Eclaireuses et Eclaireurs unionistes de France
Eglise évangélique en Rhénanie
Entraide médicale protestante pastorale
Equipe nationale de catéchèse
Equipe nationale Mission
Equipes ouvrières protestantes
Eglise protestante de la Confession d’Augsbourg d’Alsace et de Lorraine
554
EPRAL
EPUdF
ERF
ETR
FEEB
FPE
FPF
FdP
FPPR
IOM
IPT
KEK
MIRLY
MPEF
NMD
NN
O
PACCA
PNF
PRECAR
PRO-FIL
RCF
RP
RRN
RTT
SCE
Eglise protestante réformée d’Alsace et de Lorraine
Eglise protestante unie de France
Eglise réformée de France
Etudes théologiques et religieuses
Fédération des Eglises évangéliques baptistes
Fédération protestante de l’enseignement
Fédération protestante de France
Fondation du protestantisme
Fondation pour les pasteurs retraités
Institutions, œuvres, mouvements
Institut protestant de théologie
Conférence des Eglises européennes
Mission dans l’Industrie région de Lyon
Mission populaire évangélique de France
Nombre maximum de desservants
Région Nord Normandie
Région Ouest
Région Provence Alpes Corse Côte d’Azur
Pôle national de formation
Présence réformée en Centre Alpes Rhône
Protestants et Filmophiles
Radios chrétiennes en France
Région Parisienne
Recueil des règlements et notices
Réduction du temps de travail
Société centrale d’évangélisation – Société de communication et d’édition de
l’ERF
SHPF
Société d’Histoire du protestantisme français
SN
Synode national
SO
Région Sud-Ouest
SR
Synode régional
UEPAL
Union des Eglises protestantes d’Alsace et de Lorraine
UNAC-ERF Union nationale des associations cultuelles de l’Eglise réformée de France
UNEPREF Union nationale des Eglises protestantes réformées évangéliques de France
555
TABLE DES MATIERES
Synodes régionaux ..........................................................................................................................
Délégués et invités...........................................................................................................................
2
3
PROCES VERBAL DES SEANCES ET DECISIONS
Décisions
1 - Election du Bureau du synode..................................................................................................
2 - Emploi du temps ......................................................................................................................
3 - Election complémentaire à la CAG..........................................................................................
4 - Synchronisation délégation à AG de la FPF ............................................................................
5 - La communication....................................................................................................................
6 - Les enseignants de l’IPT et le pourvoi des postes....................................................................
7 - Les postes .................................................................................................................................
8 - Récapitulatif du mouvement des ministres ..............................................................................
9 - Procédure en matière de sanctions disciplinaires .....................................................................
10 - Approbation des comptes annuels intégré et des actes de gestion financière et
d’administration légale des biens.............................................................................................
11 - Affectation du résultat 2012 de l’Union nationale ...................................................................
12 - Election des membres titulaires du conseil national ................................................................
13 - Election des membres titulaires de la commission des ministères ...........................................
14 - Election des membres titulaires de la commission des affaires générales ...............................
15 - Budget Titre A en 2013 ............................................................................................................
16 - Traitement des ministres en 2013 ............................................................................................
17 - Traitement des ministres en 2014 ............................................................................................
18 - Contributions des régions au titre A 2010................................................................................
19 - Etudiants de l’IPT, Aide à l’étudiant........................................................................................
20 - Véhicule de l’Eglise : règlement cadre ....................................................................................
21 - Consistoire, création d’un titre E .............................................................................................
22 - Election des titulaires pour les Coordinations nationales.........................................................
23 - Election des titulaires pour la Commission d’appel .................................................................
24 - Election des suppléants pour le Conseil national .....................................................................
25 - Election des suppléants pour la Commission des affaires générales........................................
26 - Election des suppléants pour les Coordinations nationales ......................................................
27 - Election des suppléants pour la Commission des ministères ...................................................
28 - Election des suppléants à la Commission des ministères.........................................................
29 - Associations cultuelles, attributions de voix délibératives dans les synodes régionaux ..........
30 - Associations cultuelles, regroupements, dissolutions ..............................................................
31 - Projet de décision relatif à la liturgie d’ordination-reconnaissance de ministère et à
la liturgie de reconnaissance de ministère pour les ministres ..................................................
32 - Vœu sur les questions touchant à l’écologie ............................................................................
33 - Vœu sur le discernement et l’accompagnement des ministères non pastoraux .......................
34 - Vœu concernant le transhumanisme ........................................................................................
35 - Modification de la carte des régions réformées .......................................................................
36 - Modérateur du synode national 2014 à Avignon .....................................................................
37 - A propos de la fin de la vie humaine........................................................................................
38 – Message aux paroisses et aux Eglises locales .........................................................................
556
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69
69
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76
76
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79
81
85
TITRE I
Conseil national
Introduction aux rapports du conseil national des coordinations et des services de l’union ...........
90
Rapport du conseil national .............................................................................................................
Annexes :
1. Vœux des synodes régionaux au Conseil national .............................................................
2. Nominations, délégations, équipe ......................................................................................
3. Secrétaire général - Descriptif du poste..............................................................................
4. Secrétaire national chargé de la communication - Cahier des charges...............................
5. Secrétaire national chargé des relations internationales - Cahier des charges....................
6. Dispositions fixant la procédure en matière de sanctions disciplinaires ............................
7. Dispositions relatives aux enseignants de l’IPT et au pourvoi des postes.........................
8. Service de la formation permanente des pasteurs de l’Eglise protestante unie ..................
9. La fin de la vie humaine .....................................................................................................
92
117
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131
134
136
145
156
161
Documents d’information
1. AC membres de l’UNACEPUdF – Communion luthérienne et réformée .........................
2. Rôle de l’Eglise protestante unie de France .......................................................................
3. Récapitulatif du mouvement des proposants ......................................................................
4. Nouvelle organisation des services : les fiches de fonction des responsables....................
5. Protestantisme & Images ....................................................................................................
6. Théovie ...............................................................................................................................
7. Association cultuelle pour la communion avec l’UEPAL .................................................
8. Association de solidarité et d’entraide en faveur des ministres de l’EPU ..........................
164
185
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208
215
217
219
224
Rapport de l’Equipe nationale :
1. Coordination Interrégionale Pour l’Evangélisation (CIPE) ...............................................
2. Pôle national de formation (PNF) ......................................................................................
3. Animation des réseaux jeunesse .........................................................................................
4. Relations Internationales – année 2012 -2013....................................................................
227
234
243
249
Défap ...............................................................................................................................................
Délégation à l’AG de la Fédération protestante de France ..............................................................
Communiqué à l’issue de l’AG de la Fédération protestante de France des 19 & 20/01/13 ...........
266
268
269
Rapport des trésoriers ......................................................................................................................
Annexes 1 Administration légale des biens – conventions de mise à disposition ...........................
Annexe 1.2. Rapport financier .........................................................................................................
Annexe 1.3. Les comptes de l’Eglise Evangélique luthérienne de France.......................................
Annexe 1.5. Analyse des comptes 2011 des Eglises locales............................................................
Annexe 2. Budget 2014 et dispositions diverses ..............................................................................
Annexe 2.5. Fonds dédiés ................................................................................................................
Fonds Animation-Evangélisation-formation .........................................................................
Fonds d’équipement ..............................................................................................................
Fonds retraite.........................................................................................................................
Fonds Pension .......................................................................................................................
Fonds d’action sociale ...........................................................................................................
Fonds Assurance ...................................................................................................................
Fonds donation Muriel Cellérier ...........................................................................................
Fonds Relations internationales ............................................................................................
Fonds IPT ..............................................................................................................................
Fonds presbytères ..................................................................................................................
Fonds projets pluriannuels ....................................................................................................
274
282
283
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352
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354
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356
357
358
359
557
Fonds Eglise Unie .................................................................................................................
Fonds Régions .......................................................................................................................
Annexe 2.6. Révision de la carte des régions réformées ..................................................................
Annexe 2.7.a Convention de stage Master Professionnel ................................................................
Annexe 2.7.b Aides aux étudiants de l’IPT (Paris – Montpellier / cycle 1 et master pro) ...............
Annexe 3.1.a La rémunération des ministres ...................................................................................
Annexe 3.1.b Traitement des ministres en 2013 ..............................................................................
Annexe 3.2. Prévoyance et entraide pour les ministres en activité ..................................................
Annexe 4.1. Comptes 2012 des Régions et Budget 2013 ................................................................
Annexe 4.2. Responsabilité de l’UNAC-EPUdF .............................................................................
Annexe 4.3. Les Ensemble : principes et méthodes .........................................................................
Annexe 4.4. Contribution au service protestant de mission-Défap ..................................................
Annexe 4.5. Véhicules de l’Eglise – Règlement cadre ....................................................................
Annexe 5.1. ASEMELRF ................................................................................................................
Annexe 5.2. AFERF .........................................................................................................................
Annexe 5.3. SCE ..............................................................................................................................
360
361
362
364
364
375
377
379
381
384
388
389
390
393
394
395
Titre II
COMMISSIONS SYNODALES
Rapport de la Commission des Ministères ......................................................................................
Rapport de la Commission des Affaires Générales (CAG) sur le cahier synodal ...........................
400
415
Titre III
INSTITUT PROTESTANT DE THEOLOGIE
Rapport du président du Conseil de l’IPT .......................................................................................
Annexes :
1. Statistiques des inscriptions pour l’année 2012-2013 ........................................................
2. Centres appartenant à la recherche publique française auxquels sont rattachés les
enseignants chercheurs de l’IPT .........................................................................................
3. Liste des congrès, colloques, journées d’étude organisés ou co-organisés par l’IPT .........
4. Notices individuelles des enseignants chercheurs ..............................................................
5. Partenariats à l’international ...............................................................................................
420
429
430
431
433
437
Titre IV
ELECTION QUADRIENNALES
Rapport du groupe de préparation ...................................................................................................
Présentations des candidats .............................................................................................................
Liste des candidats par instance ......................................................................................................
440
443
455
Titre V
REVISION DE LA CARTE DES REGIONS
Rapport ............................................................................................................................................
Projet de décision ............................................................................................................................
558
459
486
Titre VI
LITURGIE D’ORDINATIONRECONNAISSANCE DE MINISTERE (pasteur)
et RECONNAISSANCE DE MINISTERE (ministères spécifiques)
Rapport ............................................................................................................................................
Projet de décision ............................................................................................................................
490
509
Titre VII
CONSEIL, COMMISSIONS et COORDINATIONS au 1/07/2013
Conseil, Commissions et Coordinations..........................................................................................
Postes et nominations ......................................................................................................................
512
514
***
Répertoire des décisions synodales .................................................................................................
541
***
Quelques sigles utilisés ...................................................................................................................
554
***
Table des matières ...........................................................................................................................
559
556