Le défi de la parole

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Le défi de la parole
Le défi de la parole
Jacques 1.19-27
« Dans les années 70, j'étais enfant, puis adolescent, et on me prévenait des dangers
que représentaient les hippies, les gauchistes, la musique rock, les charismatiques et les
catholiques. J'étais jeune adulte dans les années 80, puis étudiant, et on me me mettait
en garde contre les drogués, les homosexuels, les matérialistes, les théologiens libéraux
et les sidéens. J'étais jeune marié dans les années 90. Le mur de Berlin venait de
tomber. J'eus deux enfants. Je commençai un ministère pastoral suite à dix ans
d'engagement chrétien et d'évangélisation dans une petite ville de Provence. Avec une
poignée de chrétiens hétéroclites, je m'engageai dans l'aventure d'une nouvelle
communauté évangélique.
Et puis, le ver vint pourrir la pomme. La discorde apparut dans notre petite église. Les
attentes des uns ne correspondaient plus aux dons des autres. Ma vision du ministère
pastoral fut remise en question (…). Les réunions du conseil de l'église devinrent
pesantes et conflictuelles. Ma famille fut mêlée aux critiques. Je me mis à penser à
l'impensable : « Et si je devais quitter cette église ? » Finalement le culte vint où je
devais une dernière fois lever les bras en récitant la bénédiction de Moïse : « Que
l'Eternel te bénisse et te garde ! Que l'Eternel fasse briller sa face sur toi et t'accorde sa
grâce ! Que l'Eternel lève sa face vers toi et te donne la paix ! ». Et ce même jour, je
donnai ma démission (…).
Parmi les interrogations qui me taraudent l'esprit encore aujourd'hui figure évidemment
celle de savoir pourquoi Dieu permet que ses enfants s'entre-déchirent. Je suis hanté par
le regard stupéfait de certains amis, jeunes chrétiens, lorsqu'ils réalisèrent l'étendue des
dégâts relationnels dans ce conflit. Pourquoi Dieu permet-il que de jeunes croyants
subissent de telles situations ? Je dus faire le deuil des espoirs et des engagements
chrétiens d'une décennie de ma vie. Dans la tempête des questions, je fus interloqué
quand je réalisai que les pires blessures de ma vie m'avaient été infligées par des gens
qui n'étaient ni communistes, ni homosexuels, ni athées. Non, ceux qui m'avaient blessé
étaient des chrétiens qui lisaient leur Bible tous les matins et ne manquaient jamais un
culte, sauf pour cas de force majeure. Qui plus est, ils n'étaient ni catholiques, ni
charismatiques. »
« Sommes-nous condamnés à subir cette ronde de déceptions, de tensions et de divisions
dans nos églises ? Je ne sais pas. Certains semblent y parvenir. En attendant, une
meilleure compréhension des mécanismes qui provoquent les tensions entre les
chrétiens pourrait certainement nous permettre de remplacer un peu plus souvent le
cercle vicieux des conflits par la valse de la grâce. »
Témoignage de Jonathan Hanley, dans son livre Une église rayonnante, aux Editions
Farel. Jonathan Hanley dit qu'il aimerait voir dans nos églises une meilleure
compréhension des mécanismes qui provoquent des tensions entre les chrétiens. Afin de
pouvoir prévenir et éviter si possible des blessures et des divisions.
L'épître de Jacques parle de ces mécanismes. Tout vient d'une petite partie de notre
corps : la langue ! Autant la parole peut faire vivre, redonner espoir, restaurer et édifier.
Autant elle peut détruire, casser, briser, meurtrir et tuer...
Le texte que nous allons étudier nous avertit sur les dangers et les dégâts occasionnés
par nos paroles dans l'église. Jacques 1.19-27 nous parle de trois fausses compréhensions
de l'usage de la parole. Il est possible de :
– 1. Se tromper en pensant que notre colère accomplit la volonté de Dieu.
– 2. Se tromper en pensant qu'écouter la parole de Dieu suffit.
– 3. Se tromper en pensant être « spirituel » tout en étant incapable de dompter sa
langue.
1. Se tromper en pensant que notre colère accomplit la volonté de Dieu.
Jacques 1.19-21 :
« Mais que chacun de vous soit toujours prêt à écouter, qu'il ne se hâte pas de parler, ni
de se mettre en colère. Car ce n'est pas par la colère qu'un homme accomplit ce qui est
juste aux yeux de Dieu. Débarrassez-vous donc de tout ce qui souille et de tout ce qui
reste en vous de méchanceté, pour recevoir, avec humilité, la Parole qui a été plantée
dans votre coeur, car elle a le pouvoir de vous sauver. »
Proverbes 10.19 : « Celui qui parle beaucoup ne manque pas de pécher, mais celui qui
met un frein à ses lèvres est un homme avisé. »
Proverbes 13.3 : « Qui veille sur ses paroles préserve sa vie, mais celui qui ouvre grand la
bouche court à sa ruine. » Proverbes 17.28 : « Le sot lui-même passe pour sage s'il sait
se taire ; qui tient sa bouche close est intelligent. » Ecclésiaste 7.9 : « Ne t'irrite pas
trop vite, car c'est dans le coeur des insensés que la colère élit domicile. »
« Celui qui se met en colère contre son frère sera traduit en justice » (Matthieu 5.22). Et
l’apôtre Paul écrit aux chrétiens : « Débarrassez-vous de la colère, de l’irritation »
(Colossiens 3.8). « Amertume, colère, irritation, éclats de voix, insultes : faites
disparaître tout cela du milieu de vous » (Ephésiens 4.31). Car, dit Jacques, « ce n’est
pas par la colère qu’un homme accomplit ce qui est juste aux yeux de Dieu » (Jacques
1.20).
Je pourrais avancer l'excuse que lorsque je me mets en colère, j'accomplis la justice de
Dieu par mon comportement. Mais est-ce vraiment le cas ?
Je pourrais aussi avancer l'excuse que lorsque je me mets en colère, je manifeste la
bonne colère de Dieu à mes enfants, mon conjoint ou mes voisins... Mais est-ce vraiment
le cas ?
Soyons francs : une bonne et juste colère, vraiment maitrisée et justifiée, est d'une
rareté incroyable ! Nous avons tendance naturellement à nous laisser emporter par la
colère plutôt que de la maitriser parfaitement.
Jacques nous rappelle quels dégâts peut provoquer une multitude de paroles. Ne vous
pressez pas de parler ! Et plus nous parlons, plus nous avons des occasions de nous
mettre en colère y compris dans l'église.
Mais... Dieu a agi !
Le verset 21 se traduit littéralement par « Etant débarrassés de toute saleté et de tout
surplus de méchanceté (remarquez le temps passé, à cause de la libération offerte par
Jésus-Christ, voir Romains 6), accueillez en douceur la parole implantée en vous pouvant
sauver votre âme. »
A l'opposé d'une multitude de paroles et de colères soi-disant « voulues par Dieu », la
manière de grandir dans la maitrise de soi est de choisir d'accueillir avec humilité la
parole que Dieu a implanté en nous.
Comment faire pousser cette parole plantée en nous ? Jacques nous met en garde contre
un autre danger auquel nous sommes souvent confrontés dans nos milieux :
2. Se tromper en pensant qu'écouter la parole de Dieu suffit !
Un jeune boxeur reçoit sa première leçon ; son entraîneur lui inflige une sévère
correction et lui demande : « Tu as une question maintenant ? » « Oui, vous ne donnez
pas plutôt des cours par correspondance ? »
Oui à la théorie, non à la pratique !
V22 : « Mettez en pratique la parole et ne vous contentez pas de l'écouter en vous
trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. »
La tromperie de la religion
Voici le deuxième danger auquel Jacques nous confronte ce matin : nous tromper en
pensant que « je viens au culte, aux études bibliques, j'écoute les enseignements, je lis
ma Bible, c'est ce que Dieu attend de moi » !
Et Jacques de s'exclamer : « Attention, vous vous trompez vous-mêmes en pensant
qu'écouter, lire la Bible ou discuter de sujets bibliques suffit ! »
Si la Bible ne produit aucun fruit, si elle ne change pas notre vie à l'image de Jésus, alors
autant ne pas la lire plutôt que de croire qu'on a fait notre devoir de « bon chrétien » en
nous trompant nous-mêmes et en trompant les autres !
La religion, c'est accomplir un ensemble de rites, d'actes (même de très beaux actes !)
pour attirer la faveur de Dieu, pour être aimé par Dieu : lire sa Bible tous les jours,
prier régulièrement, venir tous les dimanches au culte, avoir une bonne morale, donner
la dîme tous les mois... Toutes ces choses sont bonnes en elles-mêmes MAIS si elles sont
notre but, alors elles sont une offense pour Dieu ! Parce qu'elles prennent la place de
Dieu.
Lire la Bible et assister aux réunions d'église n'ont aucune valeur et ne servent à rien en
elles-mêmes si elles ne débouchent pas sur la mise en pratique de la Parole de Dieu.
Notre but n'est pas de lire la Bible, d'assister aux réunions de l'église, d'être moral, de
donner la dîme... Notre but est de grandir à l'image de Jésus-Christ, de lui ressembler
de plus en plus, de grandir dans notre relation avec lui, de l'aimer de plus en plus.
Ne croyons pas que Dieu veut que nous lisions la Bible et écoutions des sermons. Il veut
que nous mettions la parole en pratique et que nous menions une vie transformée à
l'image de Jésus-Christ !
V23-25 : « En effet, si quelqu'un se contente d'écouter la Parole sans y conformer ses
actes, il ressemble à un homme qui, en s'observant dans un miroir, découvre son vrai
visage : après s'être ainsi observé, il s'en va et oublie ce qu'il est.
Voici, au contraire, un homme qui scrute la loi parfaite qui donne la liberté, il lui
demeure fidèlement attaché et, au lieu de l'oublier après l'avoir entendue, il y conforme
ses actes : cet homme sera heureux dans tout ce qu'il fait. »
L'inverse de la religion : la joie de vivre la parole de Dieu
On raconte l'histoire d'un prédicateur qui a prêché sur tel texte biblique. La semaine
suivante, il se met à prêcher le même message. Le dimanche suivant, il prêche à
nouveau sur le même texte. Alors quelques-uns viennent lui poser la question :
« pourquoi prêchez-vous la même chose depuis trois dimanches ? » Et lui de répondre
« Jusqu'à ce que vous mettiez en pratique la Parole de Dieu » !
A qui ça sert que je prêche ? Pourquoi venir écouter une demie-heure de sermon chaque
semaine si cela ne débouche pas sur la mise en pratique de la parole ?
Celui qui « plonge les regards »dans les écrits bibliques, qui ne lit ou n'écoute pas
superficiellement pour oublier aussitôt, et qui persévère dans la mise en pratique,
« celui-là sera heureux dans son activité » v25.
La religion asservit, elle rend esclave d'une pratique. La mise en pratique de la parole de
Dieu, à l'inverse, rend heureux, comme le dit Jacques. Parce qu'elle est vivante et
efficace, parce qu'elle est vraie dans tout ce qu'elle dit, parce qu'elle est sûre, et qu'elle
est entièrement inspirée de Dieu. Elle est entièrement digne de confiance. Pas un seul
mot dans les écrits originels n'est hors de la volonté de Dieu ! Elle est 100% inspirée par
Dieu.
Quel est l'effet du miroir sur nous ? On voit tout ce qui ne va pas : un bouton par ci, une
ride par là, des yeux fatigués, des traits tirés. Ou au contraire on remarque ce qui est
beau « Oh, j'ai maigri » !
La parole de Dieu est comme ce miroir : si nous la lisons avec sérieux, sans la balayer
d'un coup d'oeil, nous nous y voyons. Nous voyons ce qui doit changer dans notre vie,
nous voyons tout ce que Dieu a déjà réalisé pour nous. La Bible nous révèle Dieu. La
Bible nous dévoile ce que nous sommes vraiment.
Ma vie chrétienne a été grandement fortifiée le jour où je suis revenu d'un week-end de
jeunes en 2003. A l'issue de ce week-end, j'étais convaincu que je devais prendre la
parole de Dieu au sérieux. Pas juste la lire vite-fait ou juste écouter des sermons vitefait et passer à autre chose ! Et cela a changé ma relation vis-à-vis de cette parole. Elle
est devenue vivante pour moi, elle me parlait, me touchait, parce que ma vision d'elle
avait changé. Elle n'est pas une obligation religieuse, un devoir à faire sous peine d'être
sanctionné par le Dieu saint. Elle est la vie, elle est Dieu, elle est puissante pour celui
qui la prend au sérieux. Une fois mise en pratique, elle transforme, avec l'action de
l'Esprit, notre vie entière.
J'aimerai vous aider à mettre en pratique la parole sans vous borner à la lire ou à
simplement l'écouter. Pour cela, un outil très simple, 2 questions à se poser en lisant la
Bible :
– Qu'est-ce que ce texte m'apprend sur l'homme ?
– Qu'est-ce que ce texte m'apprend sur Dieu ?
Si nous prenons le temps de nous poser ces 2 questions en lisant la Bible, alors nous en
ressortirons presque à chaque fois des applications concrètes pour nos vies.
3. Se tromper en pensant être « spirituel » tout en étant incapable de dompter
sa langue !
V26-27 : « Mais si quelqu'un croit être religieux, alors qu'il ne sait pas tenir sa langue en
bride, il s'illusionne lui-même : sa religion ne vaut rien. La religion authentique et pure
aux yeux de Dieu, le Père, consiste à aider les orphelins et les veuves dans leurs
détresses et à ne pas se laisser corrompre par ce monde. »
La fausse spiritualité
En introduction, Jonathan Hanley disait qu'il serait bénéfique pour nos églises, de
comprendre le fonctionnement des blessures et des divisions afin de les éviter.
Un des grands mensonges auquel nous pouvons adhérer est de croire que nous sommes
spirituels, attachés à Dieu, alors que nous sommes incapables de tenir notre langue en
bride et de vivre dans la pureté. On peut très bien passer pour homme ou une femme
exemplaire, dévoué, un bon chrétien, mais notre manière de se comporter dit autre
chose ! Voilà un grand danger dans nos églises.
« Fais ce que je dis, mais pas ce que je fais. »
Si quelqu'un se pense être consacré, dévoué, exemplaire, engagé, mais qu'il ne sait pas
maitriser sa langue et ses propos, alors il se trompe lui-même !
La vraie spiritualité
Le mot « religion » a évolué en 2000 ans. A l'époque du Nouveau Testament, elle était
synonyme de piété, de spiritualité, d'adoration à Dieu. Maintenant, elle est synonyme de
traditions et de rites accomplis pour gagner la faveur de Dieu. C'est un de ces mots qui
ont évolué.
C'est pour cela que Jacques parle de la « religion pure », la bonne, la vraie, celle qui
n'est pas une tromperie. On pourrait le traduire par la « véritable adoration », le « vrai
culte », la « véritable consécration » c'est celle-ci : visiter les orphelins et les veuves
dans la détresse et se garder pur.
Autrement dit, la véritable adoration n'est pas de chanter « Purifie mon cœur, rend-moi
aussi pur, que l'or et l'argent » ou « ensemble nous pouvons porter nos fardeaux, nos
joies, et proclamer l'amour que Dieu met dans nos vies » et puis une demie-heure après
critiquer telle personne dans l'église et mépriser telle autre qui est dans le besoin !
Le vrai adorateur, celui qui rend un vrai culte à Dieu est celui qui recherche la pureté de
cœur et la pureté d'action. Un coeur pur et des actions pures. Voilà le vrai culte, voilà la
véritable adoration.
Ne nous trompons pas en pensant être un « bon chrétien » tout en étant incapable de
dompter sa langue et de mener une vie dans la pureté. Voilà quelle est la vraie religion.
Conclusion
3 dangers qui nous guettent dans l'église :
– 1. Se tromper en pensant que notre colère accomplit la volonté de Dieu.
La parole des hommes accompagnée de colère, peut blesser et meurtrir très
profondément. Soyons lents à parler, mais prompt à écouter et nous éviteront bien des
tensions et des blessures inutiles.
– 2. Se tromper en pensant qu'écouter la parole de Dieu suffit.
Prenons le temps de comprendre et de mettre en pratique la Parole de Dieu. Pour cela,
j'ai imprimé des signets sur lesquels j'ai noté les 2 questions qui peuvent nous aider dans
notre lecture biblique à en retirer des applications. Servez-vous, ils sont là pour vous
aider dans la mise en pratique. Parce que la lecture sans la mise en pratique n'est rien.
3. Se tromper en pensant être « spirituel » tout en étant incapable de dompter sa
langue.
Ne nous trompons pas de culte. La vraie consécration à Dieu consiste à vivre dans la
sainteté dans son cœur et dans ses actes.
–
Romains 15.5-7, 13 : « Que Dieu, source de toute patience et de tout réconfort, vous
donne de vivre en plein accord les uns avec les autres, conformément à l'enseignement
de Jésus-Christ. Ainsi, d'un même coeur et d'une seule voix, vous célébrerez la gloire du
Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ... Que Dieu, qui est l'auteur de l'espérance,
vous comble de toute joie et de sa paix par votre confiance en lui. Ainsi votre coeur
débordera d'espérance par la puissance du Saint-Esprit. »
« Mettez en pratique la parole et ne vous contentez pas de l'écouter » Jacques 1.22
Qu'est-ce que ce texte m'apprend sur l'être humain ?
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Qu'est-ce que ce texte m'apprend sur Dieu ?
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