Aurillac 2016 - Cantal Destination Espace Pro / Presse / Evènementiel
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Aurillac 2016 - Cantal Destination Espace Pro / Presse / Evènementiel
Festival International de Théâtre de Rue Aurillac 2016 30ème bis création graphique : Marc-Guerra.com Contact presse Anne Lacombe zinc production 9 rue de la Pierre Levée 75011 Paris + 33 (0)1 49 29 00 08 [email protected] Festival d’Aurillac Association Eclat BP 205 15002 Aurillac + 33 (0)4 71 43 43 70 [email protected] www.aurillac.net facebook.com/festival.aurillac Dossier de presse mise à jour 24 juin 2016 ASSOCIATION ÉCLAT Festival d’Aurillac BP 205 15002 Aurillac cedex Aurillac 2016 + 33 (0)4 71 43 43 70 [email protected] www.aurillac.net facebook.com/festival.aurillac Licences Eclat 1-1084092, 2-1084093, 3-1084094 Festival International de Théâtre de Rue et Le Rendez-vous des compagnies de passage Edition 30 bis du 17 au 20 août Les Préalables du 8 au 16 août Les Rendez-vous professionnels du 17 au 20 août L’histoire du Festival d’Aurillac est particulièrement atypique dans le paysage culturel français. Créé en 1986 et inscrit volontairement dans un territoire rural, il n’a cessé dès lors de s’imposer comme l’une des principales manifestations de spectacle vivant en France, festival de référence pour les pouvoirs publics, référence aussi à l’échelle européenne et internationale en matière de théâtre de rue. Tout en ouvrant la programmation à des formes très différentes, Jean-Marie Songy et son équipe ont créé avec les artistes de rue des relations fortes et durables. Ce festival a été construit grâce et avec les artistes de ce secteur du spectacle vivant. Depuis les débuts, le nombre de compagnies n’a cessé de croître : en 1986, Aurillac accueillait 6 compagnies officielles et 1 compagnie de passage ; aujourd’hui, la programmation officielle réunit environ 20 compagnies, une programmation reconnue à la fois pour sa qualité et son ouverture à tous et à toutes formes d’expression. Viennent en parallèle, pour constituer le grand marché du spectacle de rue, plus de 600 compagnies de passage, qui font du Festival d’Aurillac un événement exceptionnel de création, de recherche et de diffusion artistique. Des rendez-vous professionnels, conférences et rencontres publiques alimentent ces moments dédiés à la création. Le succès grand public de la manifestation a confirmé cette réussite. Durant le Festival, Aurillac triple sa population : plus de 130 000 personnes se croisent, durant les 4 jours. On y rencontre un public très divers, intergénérationnel et traversant toutes les classes sociales. En parallèle, les habitants du Bassin d’Aurillac se sont également appropriés le Festival. Les nombreuses éditions ont peu à peu formé localement un public friand et connaisseur du théâtre de rue. Ce qu’a bien montré le succès immédiat et grandissant des Préalables (*) initiés à partir de 1999, programmation de spectacles en amont du Festival dans des villes et villages de l’agglomération aurillacoise, du département et de la région. (*) Les lieux de représentations des Préalables 2016 seront disponibles début juin. Sommaire Édito de Jean-Marie Songy 4 Les compagnies & artistes Anne-James Chaton Icônes Association Roure Zéro Avril Carabosse Hôtel Particulier Compagnie Adhok Immortels Compagnie Escale Leurre H Compagnie N°8 Garden Party & Cocktail Party Compagnie Rasposo La DévORée Compagnie Woest (Pays-Bas) Leaving Normal Ex Nihilo In-Paradise Générik Vapeur La Deuche Joyeuse - Opéra de Parvis Gratte Ciel Place des Anges Groupe Zur Prochainement ! Ici-Même First Life, Aux Armes et cætera KompleX KapharnaüM L’Immobile La Folie Kilomètre Rivages Les Ogres & L’Agit Le Bal des Ogres Malaxe Entr(EUX) OpUS La Veillée Tout En Vrac La Cuisinière Tricyclique Dol Trouble 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 Les Rendez-vous professionnels 25 Le Parapluie, Centre international de création artistique 28 Les Partenaires 29 Le Festival, mode d’emploi 30 Accueil presse et accréditation 31 Le Rendez-vous des compagnies de passage Les Rencontres professionnelles Édito Suspendre le temps, Se bisser, se dire que ce que nous faisons mérite une suspension, de respirer, de reprendre le temps de parler et de se retrouver, pas que pour les souvenirs mais pour l’avenir, Une trentième pour la mémoire et la révision de nos cœurs, Une trente bis pour continuer, prendre son élan se regarder encore plus profondément dans les yeux, se dire ce que nous allons réellement changer, le faire… le faire vraiment ? Ou alors disparaître ? L’ASSOCIATION ÉCLAT Président : Philippe Meyer Vice-Présidente : Catherine Amalric Trésorier : Fred Sancère L’ÉqUIPE PERMANENTE DU FESTIVAL : Directeur : Jean-Marie Songy Administrateur : Christophe Paris Directeur technique : Cédric Ginouvès Assistante de direction : Marie-Jo Serieys Communication/Médiation : Laura Ignace Coordination administrative des compagnies de passage : Alain Brun Comptable : Sylvie Van Overbeck Aide comptable : Anne-Marie Lichnowski Régisseur général du Parapluie : Hugo Lecanu ASSISTÉE EN 2016 DE : Conseiller artistique : Fred Rémy Responsable des compagnies de passage : Fatma Nakib Régisseur général des compagnies officielles : Matthieu Bru Régisseur général des compagnies de passage : Antoine Dubois Responsable de l’accueil des professionnels : Laurence Schapman Responsable de la billetterie : Sara Vincent AVEC LE RENFORT DE : Accueil des compagnies de passage : Caroline Parisot, Thomas Pradinaud et Joséphine Songy Communication/Médiation : Audrey Soulé Administration : Thibaut Lopez et Maxime Tauran Certains détestent le théâtre parce qu’il dit haut et fort ce que certains écrivent, gardent et pensent tout bas, le théâtre ferait encore peur… la nuit. Pourtant dans les nuits de l’horreur, le théâtre avance aveugle et dans sa danse de mort il donne le ton d’une certaine utopie, d’une égalité éternelle, de visions idylliques, de rires apocalyptiques... Il fait sonner la vie ! Ce que des yeux lisent peut être brulé mais ce qui est montré en place publique étrangle le pouvoir des non-dits et capte l’attention, c’est simple et risqué, l’expression. Ce jeu du chat et de la souris est peut être trop bien connu des consciences bien pensantes qui s’amuseraient de nos naïvetés, mais qu’importe le jeu en vaut la chandelle ! L’émergence de mouvements planétaires « évolutionnaires » qui misent sur les forces citoyennes nous conforte dans nos gestes artistiques de rue. Ici, à Aurillac nous tenons debout dans le chaos* nos vœux pour 2016 ! Cette phrase inscrite comme une doctrine nous va bien, de nuit comme de jour. Soyons sérieux, une trente bis pour faire le point sur la créativité d’un secteur artistique qui ne cesse depuis cinquante ans de se développer, de nous étonner, détourner, surprendre et nous balader ailleurs. Défricheurs et défenseurs des nouveaux espaces de rue conçus pour les rencontres populaires accessibles à tous les artistes de rue gardent le cap de l’urgence de l’agora. Le « théâtre de rue » qui est devenu successivement le « spectacle de rue », « les arts de la rue » et aujourd’hui « l’art en espace publique », et demain « l’art public »… ce secteur artistique est instable de naissance, cela nous va bien et le cerner devient un exercice périlleux si l’on ne s’en donne pas les moyens tant cette famille s’est diversifiée et régénérée. Aurillac perpétue humblement pendant quatre jours ce sentiment de liberté d’expression en garantissant le désordre artistique sans condition… mais pas inconscient, un vrai joyau ! Nous gardons en tête l’esprit délicat et joyeux qui nous a envahi durant Aurillac 2015 et allons le prolonger durant cette « trentième bis » en apportant certains compléments artistiques. Au terme de cette « trentième bis » le panorama sera presque exhaustif et nous pourrons dormir tranquille sur un matelas de trésors, inspirant les générations futures d’artistes et de citoyens qui se passionnent pour la force de cette république des arts et des paroles dans les espaces publics des villes comme des campagnes. Ainsi le chemin de cette « trentième bis » sera peut-être plus tortueux, les artistes convoqués s’emploieront à tester nos modernités de communication tout en gardant le sens du drame urbain et parfois même de manière spectaculaire ! Vous allez encore y laisser des plumes ! Attachée de presse Anne Lacombe - zinc production Jean-Marie Songy Directeur du Festival d’Aurillac et du Parapluie * « Tenir debout dans le chaos » Daniel Conrod 4 CONTACTS Production et diffusion Françoise Lebeau Lebeau & Associés 25 rue Michel Le Comte 75003 Paris + 33 (0)6 30 60 17 76 [email protected] Presse Arnaud Pain Opus 64 [email protected] www.aj.chaton.free.fr 6 photographies sont disponibles sur le site du festival ANNE-JAMES ChATON Icônes Création 2016 Icônes nous raconte l’épopée du siècle passé à travers l’évocation de figures féminines marquantes. Le texte d’Anne-James Chaton, hommages aux héroïnes, hymne à la féminité, est porté par des artistes exceptionnels : le chanteur Nosfell, le danseur François Chaignaud et la jongleuse et auteure Phia Ménard. Icônes, une histoire du XXe siècle. Que serait l’histoire du XXe siècle si on la racontait à travers ses grandes héroïnes, artistes, femmes politiques ou résistantes ? Dans la lignée des Vies d’hommes illustres d’après les écrits d’hommes illustres, le poète sonore Anne-James Chaton écrit l’épopée du siècle passé au féminin en convoquant une quinzaine de figures, de Camille Claudel à Margaret Thatcher en passant par Jacky Kennedy, Marlene Dietrich, Virginia Woolf ou Janis Joplin. Grande Guerre, années folles, libération, décolonisation… les époques se succèdent dans l’ordre chronologique mais les « icônes » ne sont jamais nommées et se fondent dans un « Elle » unique... La puissance de la mémoire collective fait son œuvre et nous aide à déchiffrer les constellations disséminées autour de la narration centrale. Trois périodes donnent lieu à une collaboration avec des artistes qui interrogent la féminité. Ni concert ni performance, Icônes cherche à produire un espace visuel et sonore pour déployer ce récit d’un genre nouveau. Les 19 et 20 août durée : 1h10 - spectacle en accès payant Sur une idée originale de : Anne-James Chaton, d’après son roman « Elle regarde passer les gens » Editions Verticales, janvier 2016 Avec : Anne-James Chaton, Phia Ménard, François Chaignaud, Nosfell Collaboration artistique : Eric Didry Musique originale : Nosfell Création lumière : Erik Houiller Régie plateau et manipulations : Sylvain Caillat Le costume de François Chaignaud a été réalisé par : Maguelonne Jacquemond Production et diffusion : Lebeau & Associés Coproductions : Espace Malraux-scène nationale de Chambéry et de la Savoie, Le Théâtre-scène nationale de SaintNazaire Avec le soutien de : Drac Ile-de-France, Montevideo-Marseille, Fonds SACD, Musique de Scène, ADAMI et actOralMarseille, Théâtre Ouvert-Paris, le VIP En partenariat avec : École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre-Lyon Remerciements : Compagnie Non Nova Anne-James Chaton (France) Anne-James Chaton a publié plusieurs livres aux éditions Al Dante et a rejoint le label allemand Raster-Noton en 2011 avec Événements 09 puis Décade publié en 2012. Il a donné de nombreuses performances en France et à l’étranger. Il a travaillé avec le groupe de post-rock hollandais The Ex et publié un album, Le Journaliste (2008), avec le guitariste anglais Andy Moor avec lequel il développe depuis 2011 la série Tansfer, projet de quatre 45T dont l’album est paru en 2013 sur le label hollandais Unsounds. Il a collaboré aux albums Unitxt (2008) et Univrs (2011) de l’artiste allemand Carsten Nicolaï aka Alva Noto. En janvier 2009, il a créé le trio Décade, avec Andy Moor et Alva Noto. Il a également créé les pièces Napoli, Napoli avec le metteur en scène Benoît Bradel, Black Monodie, avec Phia Ménard pour la 64e édition du festival d’Avignon, et Le cas Gage, ou les aventures de Phinéas en Amérique avec le chorégraphe Sylvain Prunenec, pièce créée à l’occasion de l’édition 2013 du festival Uzès Danse à Uzès. En 2013, il débute une collaboration avec le chanteur-compositeur Nosfell autour du projet Icônes. La même année il forme le trio HERETICS avec Andy Moor et Thurston Moore, guitariste et chanteur du groupe américain Sonic Youth. Ses travaux plastiques et visuels, puisés dans ses matériaux d’écritures, ont fait l'objet de plusieurs expositions individuelles et collectives en France et à l’étranger. Anne-James Chaton a créé et co-dirige le festival Sonorités à Montpellier. 5 CONTACT Anne Corté Association Roure 24 rue Moustier 13001 Marseille [email protected] www.roure.be 1 visuel est disponible sur le site du festival Des photographies seront disponibles mi-juillet ASSOCIATION ROURE Zéro Avril Création 2016 - Résidence Le Parapluie Zéro Avril, prospective dérisoire de situation post-mortem propose de s’imaginer morts pour le plaisir d’une pirouette philosophique. Si nous sommes libérés de toutes les injonctions vitales et pratiques de nos existences, qu’est-ce qu’il nous reste ? L’hypothèse de l’Association Roure est le jeu et la réflexion ou leurs abysses : l’idiotie et la métaphysique. Nous sommes en plein 2014-18, et vous avez le choix : mourir ou regarder ceux qui ont choisi de mourir. Pour mourir (en Europe) : rendez-vous au guignol, 10 mn avant le début du spectacle. C’est une baignade, il y a 90 places. Vous échangerez vos panoplies de spectateur pour un costume californien de fantôme anonyme. Enfin on se ressemble et vous êtes sur scène. Ça vous rappelle quelque chose cette bonne ambiance? Et oui c’est comme avant la naissance. L’avantage c’est que maintenant que vous êtes morts vous pouvez enfin répondre à la question : nos émotions sont-elles uniquement des fluides corporels? Pour regarder (depuis l’Europe) : faites comme d’habitude : installez-vous au mieux possible. Face à vous une foule blanche va être traversée par des désordres, négociations et autres parades nuptiales voire idéologiques. Sous les flous, les fantômes sont-ils des insectes comme les autres ? Quelque soit votre choix, notre objectif est le même : traverser ensemble le second degré pour se promener dans les suivants. Du 17 au 20 août durée : 1h20 - spectacle en accès libre Association Roure Mise en scène : Anne Corté Avec : Panxo Jimenez, Alix Montheil, Maus Olive Salvo, Julien Frégé, Keyla Ramos, Léa Noygues, Camille Chatelain, Prisca Villa et Anne Corté Accompagnement artistique : Jonathan Sutton Objets : Nicolas Ramel et Charlotte Ducousso Régie : Clément Dreyfus Création lumière : Franck Besson Titre : Mathieu Ha Coproductions : Furies-Pôle National des Arts du Cirque et de la Rue en préfiguration-Châlons-en-Champagne, Pronomade(s)-Centre National des Arts de la RueEncausse-les-Thermes, Le Citron Jaune-Centre National des Arts de la Rue-Port-Saint-Louis-duRhône, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Festival Scènes de rue-Mulhouse Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, SACD-Auteurs d’Espaces Aide à l’écriture : Association Beaumarchais (France) Il y a une expression espagnole « fuera de serie » qu’on peut traduire par « hors-série » ou « avec un défaut de fabrication » et qui renvoie à la non-conformité par rapport à la série, à l’exception. L’association Roure, portée par Anne Corté, réunit des êtres « fuera de serie ». Anne Corté développe des performances baroques et sportives à l’école des Beaux-Arts de Marseille de 2004 à 2007 (Match de boxe lyrique en 2006, Balai de scooter en 2007). En 2008, elle part pour une épopée sud-américaine qui se finit sur les rives de l’Amazonie avec un piano. De 2009 à 2011, Anne Corté est apprentie à la FAI-AR (formation supérieure d’art en espace public). À sa sortie, elle crée l’Association Roure, une « société écran » basée à Marseille, pour diffuser Les Expériences de bananalité, partitions de passants contextuelles. L’idée était d’infiltrer des faux passants à l’intérieur de la vie d’une vraie rue, écrire une partition de micro-évènements pour qu’elle se frotte à l’aléatoire du réel et inviter les spectateurs à observer cette superposition d’un point de vue particulier. C’est le début des mini-mythologies et de la dramaturgie en motifs. La forme est expérimentée depuis une passerelle, depuis une vitrine de magasin de sport ou depuis les fenêtres d’une place. Puis vient l’envie d’immerger le public dans ces faux passants dans un écoquartier HLM ; la partition s’écrit ainsi pour 100 personnes (de 3 à 88 ans). En 2013, Anne Corté s’immisce dans le monde du BTP Marseillais, du salariat et de l’industrie et lance le projet T21 dit petochon, une réaction en chaîne verticale avec les salariés de l’entreprise de travaux en hauteur Profil. En 2014, Anne Corté crée Chien Provisoire : Neuf mois de vie commune avec un gallinacée à comparer leurs idioties et à s’inspirer de ce maître-performeur. Le duo s’est peuplé d’un bestiaire de fantômes et de papous, le dindon est mort et le fantôme a fait des petits. 6 CARAbOSSE CONTACT Lise Burgermeister Compagnie Carabosse 2 chemin de la Roche 79220 St Christophe sur Roc + 33 (0)5 49 05 24 61 [email protected] www.ciecarabosse.fr 5 photographies sont disponibles sur le site du festival Une création de : la compagnie Carabosse Direction et coordination artistiques : Gérard Court et Nadine Guinefoleau Mise en scène et direction d’acteurs : Martin Petitguyot Direction technique : Bertrand Dubois Chorégraphie : Laurent Falguiéras Composition et musique : izORel Avec : Christophe Bricheteau, Fanny Chabanne, Gérard Court, Sébastien Coutant, Delphine Dubreuil, Laurent Falguiéras, Nadine Guinefoleau, Vanessa Karton, Julien Pillet, Ingrid Strelkoff, Jacques Ville Décors et accessoires : Christine Baron, Anne Beauchamp, Stéphane Bouré, Gérard Court, Sylvie Cousin, Julie Croze, Bart Dubois, Fabrice Gilbert, Nadine Guinefoleau, Mathieu Laville, Jean-Philippe Madier, Pierre Mathiaut, Christophe Mineau, Martin Petitguyot, Myriam Prijent, Fred Rotureau, Bernard Sissan, Jean-Charles Soulisse et Les Ateliers du Moulin du Roc. Costumes : Véronique Rotureau Technique : Fabrice Gilbert Production et diffusion : Florence Ayrault, Lise Burgermeister, Patricia Klein et Gwenaëlle MorinRamaroson hôtel Particulier Résidence Le Parapluie « Nous baignons dans l’atmosphère flambante et chaleureuse du hall du Majextyx, un Hôtel bien… Particulier. Parmi nous ce soir : journalistes, chercheurs, insomniaques, curieux, naïfs, érudits. Nous sommes témoins de rencontres inattendues, de retrouvailles amères, de conversations surréalistes, d’aigres disputes. Nous assistons à la conférence du fameux professeur Pélissard sur le cerveau et les rêves. Mais ?!... dans quel espace-temps sommes-nous ? Comment nous retrouvons-nous dans la pénombre d’une chambre, à partager l’intimité du rêve de son locataire ? » De l’anonymat du hall d’entrée à l’intimité de la chambre des rêveurs, ce spectacle en plusieurs phases nous fait vivre en musique, une conférence sérieusement loufoque, pleine d’humour et de décalages. Architecture éphémère, Hôtel Particulier est une proposition théâtrale enflammée qui investit l’espace public avec une forme artistique qui conjugue la flamme - le vocabulaire de Carabosse, et le théâtre, qui lui prête sa voix. Un moment entre une complexe réalité et une banale fiction ! Les 17, 18 et 19 août durée : 2h - spectacle en accès payant Spectacle créé en 2015 Production : Compagnie Carabosse Coproductions : Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la Rue-Villeurbanne, Le Boulon-Centre National des Arts de la RueVieux Condé, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue en Poitou-Charentes-Niort, Le Hangar-Fabrique des Arts de la rue & Pôle National Cirque et Arts de la Rue-Amiens, La Maison des Arts-Brioux-sur-Boutonne, Le Moulin du Roc-Scène nationale-Niort, La Ville de Nogent-sur-Oise et le Festival Juste sous la lune, Le Festival Les Oreilles en Eventail-Ville de Saintes Aides à la création : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, Adami, Spedidam Mécènes : Airstar, Les Transports Pailler, Les Peintures Seigneurie, Hertz, La Quincaillerie Brossard, Layher Couëron La compagnie Carabosse est conventionnée par : Ministère de la Culture et de la CommunicationDrac Poitou-Charentes, Région Poitou-Charentes, Conseil Départemental des Deux-Sèvres Carabosse (France) Compagnie Arts de la Rue depuis plus de 20 ans, Carabosse crée sans relâche des turbulences poétiques dans l’espace public. Ce collectif d’artistes concepteurs, scénographes, comédiens, constructeurs, musiciens, bricoleurs, inventeurs, poètes, photographes, plasticiens y inventent des voyages imaginaires accessibles à tous. Ils sculptent assidûment de nouveaux espaces de liberté, dans un contexte toujours plus acrobatique, en dépit de la place insidieusement rognée du spectacle vivant et des arts de la rue, en Europe et sur les autres continents. La confrontation aux éléments, les voyages, les collaborations, les font avancer et leurs principales revendications restent les mêmes. Offrir un théâtre de rue généreux qui s’adresse à tous, jouer à transformer l’espace public et malaxer nos matériaux de base : une écriture poétique et humaine, la flamme dans tous ses états, le fer, le son, l’humour. Les propositions artistiques de la compagnie sont le fruit d’une écriture collective. Les artistes jouent avec le feu, l’eau, l’air, la ferraille, et beaucoup d’humain. Leurs tournées les font voyager de St-Christophe-sur-Roc à Moscou au pied du Kremlin, de Villeurbanne à Essakane en plein désert malien, de Anvers à Tirana (Albanie), de Rochefort à Adélaïde en Australie. Les scénographies des spectacles et installations-spectacles sont souvent de grande ampleur - à l’échelle d’une ville, un quartier, un parc - mais préservent une place à chacun, à l’intime, à l’émotion, au sens, à la liberté. 7 COMPAGNIE ADhOK CONTACT Asilys Deymarie Compagnie Adhok Maison des Associations 3 place Anatole France 93310 Le Pré Saint-Gervais + 33 (0)6 81 39 50 92 [email protected] www.adhok.org 2 photographies sont disponibles sur le site du festival Immortels Création 2016 - Résidence Le Parapluie Dans un monde de plus en plus complexe, quel avenir s’offre aujourd’hui à la jeunesse ? Après avoir porté son regard sur nos aînés dans le spectacle Échappées belles, la compagnie Adhok explore aujourd’hui le passage de l’enfance à l’âge adulte et cette autre question : « Qu'est-ce qu'être jeune, aujourd'hui ? ». À la sortie du nid familial, des jeunes gens doivent s’aventurer dans la vie et dans un nouvel environnement. À un âge où tout devrait être possible, ils prennent en pleine face la difficile réalité d’un horizon bouché et d’un avenir incertain. En deux temps, tels des parcours initiatiques, ces Immortels vont se livrer, se cogner et se révéler. L’envol : Cette fois, ils l'ont quitté le nid. Ils ont les ailes bien déployées et l'envie d'aller voir plus loin et plus haut. Ils ont le désir chevillé au corps et l'envie de se faire une place dans ce si vaste monde. Mais le vent souffle fort ces temps-ci. Dans quelle direction aller ? Faut-il attendre que la tempête se calme ou prendre le risque de l'envol ? Une création de : Doriane Moretus et Patrick Dordoigne Avec : Eliot Maurel, Inès Grunenwald, Jonathan Aubart, Jacob Auzanneau, Laurène Thomas, Maggi Mattia, Nathan Chouchana, Tom Verschueren et Yoanna Marilleaud Régie : Achil Bras Sonorisation : François Hubert Costumes : Mélanie Clenet et Fabienne Desfleches Création lumière : Julien Barbazin Création décors : Yanosh Hrdy et Magali Castellan Assistant : Guillaume Servely Avec la complicité de : Décor Sonore Résidence-association et aide à la création : L’Atelier 231-Centre National des Arts de la RueSotteville-lès-Rouen Résidences et aides à la création : Pronomade(s)-Centre National des Arts de la RueEncausse-les-Thermes, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Le Fourneau-Centre National des Arts de la RueBrest, Le Boulon-Centre National des Arts de la Rue-Vieux-Condé, La Paperie-Centre National des Arts de la Rue-Angers, Ville de Saint-Hilaire-deRiez, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la Rue-Villeurbanne, Le Moulin FonduCentre National des Arts de la Rue-Noisy-le-Sec, L’Archipel-Scène conventionnée-Granville, Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA-SACD Écrire pour la Rue, Association Beaumarchais-SACD Bourse à l’écriture Avec le soutien de : Fonds d’insertion pour Jeunes Comédiens de l'ESAD - PSPBB Avec la participation artistique de : Studio ESCA La compagnie Adhok est soutenue par : Le Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Île-de-France Le Nid : Sortir la tête du nid. Découvrir des yeux l'étendue du monde. Grandir et se faire les ailes avant de s'y risquer. Qui sait, au moment de se jeter dans le vide, ce qui se passera à terre ? Que se passe-t-il quand l'oisillon quitte le nid ? L'Envol, spectacle en mouvement et Le Nid, spectacle de place, laisseront la part belle à des chorégraphies urbaines offrant des perspectives à ces Immortels fragilisés et une caisse de résonance à de multiples interrogations à tous les spectateurs. Les 18 et 19 août durées : L’Envol : 40 mn - Le Nid : 1h spectacles en accès libre Compagnie Adhok (France) En 2012, le projet des Échappées Belles marquait l’apparition de la compagnie Adhok, au sein de laquelle Doriane Moretus et Patrick Dordoigne, impliqués dans le développement des arts de la rue depuis 30 ans, ont uni leurs savoir-faire. Il s’agit là de retrouvailles artistiques et d’un désir commun de développer un autre langage dans l’espace public, une nouvelle forme d’écriture rendue possible par la complémentarité de leurs expériences. Doriane Moretus a créé son univers artistique et développé un langage singulier, poétique, proche de la danse-théâtre, au sein de sa compagnie, la compagnie Doriane Moretus. Elle a par ailleurs été sollicitée par de nombreuses compagnies des arts de la rue pour ses compétences de comédienne, chorégraphe, auteure et metteuse en scène. Patrick Dordoigne est l’un des fondateurs de la compagnie Les Alama’s Givrés, au sein de laquelle il a œuvré pendant 18 ans en tant que co-directeur artistique, co-auteur et comédien. Il a également mis ses compétences au service d’autres compagnies des arts de la rue. 8 COMPAGNIE ESCALE CONTACT Lucile Malapert Compagnie Escale Le Grand Bourreau 37300 Joué-lès-Tours + 33 (0)2 47 65 95 94 [email protected] www.escaletheatregestuel.net 6 photographies sont disponibles sur le site du festival Leurre h Création 2016 Leurre H, une anticipation politique par 8 acteurs-circassiens 2017... Dans un pays qui pourrait être le nôtre, les élections présidentielles portent démocratiquement un parti d’extrême droite au pouvoir. Un groupe d’amis décide alors de se préparer à entrer en résistance. Ils réfléchissent à une manière de se former ensemble en vue d’interventions potentielles. Pour échapper à la contrainte d’une vie clandestine, ils imaginent camoufler leurs entraînements et la construction de leur groupe en une troupe de cirque itinérante. Ils rencontrent une entraîneuse est-allemande qui accepte de les accompagner. En même temps que le groupe mature sa détermination et son succès artistique, le spectacle qu’il montre devient la coulisse de ses préparations secrètes. Tout au long de leur quotidien, la radio égrène régulièrement les informations d’une société qui se transforme. 2020... Trois ans plus tard, la troupe est reconnue et l’heure H arrive enfin. Mais au moment d’agir, le groupe est divisé : pour transformer la société, l’art ne pourrait-il pas suffire? Ou faut-il vraiment s’engager dans l’action? Du 17 au 20 août durée : 1h20 - spectacle en accès libre Ecriture et conception : Grit Krausse et Hugues Hollenstein Aide à l’écriture : Olivier Torres Conseils historiques et politiques : Pascal Torre Mise en scène : Hugues Hollenstein Création collective de et avec : Grit Krausse, Julien Auger, Thibaut Brignier, Mathieu Lagaillarde, Mathilde Gorisse, Paula Paradiso et Solen Henry Compagnie Escale Coproductions : La Verrerie-Pôle National des Arts du Cirque-Alès, Le Boulon-Centre National des Arts de la RueVieux-Condé, Culture O Centre-Orléans, Ville de Tours-Label Rayon Frais, Le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest Avec le soutien de : Le pOlau-Pôle des Arts Urbains-Saint-Pierre des Corps, Le 37e Parallèle-Joué-Lès-Tours, Festival Parade(s)-Nanterre, Le Mans fait son cirque-Le Mans, Eclats de Rue-Ville de Caen, Communauté de communes de Bléré Val de Cher La compagnie Escale est conventionnée par : La Région Centre Val de Loire et est accompagnée par : La DRAC Centre et le Conseil Départemental d’Indre et Loire Grit Krausse et Hugues Hollenstein créent la compagnie Escale en 1991. Ils élaborent ensemble un langage théâtral basé sur le mouvement et le travail physique de l’acteur. Leur technique artistique est à la croisée de l’acteur, de la danse, du mime, du théâtre d’objet, du cirque, avec un penchant pour l’humour décalé et la performance physique. Ils intègrent peu à peu la parole comme le prolongement de leurs pratiques corporelles et travaillent avec plusieurs auteurs de théâtre en commande d’écriture (Hermas Gbaguidi, Sonia Chiambretto, Philippe Fenwick). Concepteurs de tous les spectacles d’Escale, Grit Krausse et Hugues Hollenstein participent depuis toujours à l’écriture de leurs pièces. Acteurs ivres de mouvement et équipe en rêve de voyage les membres de la compagnie Escale jouent à repousser les frontières du théâtre, du mime, de la danse, du cirque et du théâtre d'objet. Ils traversent les campagnes et les villes avec leur théâtre depuis bientôt 25 ans, et imaginent des pièces où l'engagement physique des acteurs transpire l'énergie et l'envie de vivre. Au fil de leurs chemins se dessine un théâtre total, où les acteurs sont au centre, les décors sont mobiles, les compositions musicales et les éclairages s'y infiltrent, et la parole est au bout. (France) 9 CONTACT Asilys Deymarie Compagnie N°8 202 avenue Jean Jaurès 93330 Neuilly-sur-Marne + 33 (0)6 81 39 50 92 [email protected] www.compagnienumero8.com 2 visuels et 2 photograhies sont disponibles sur le site du festival COMPAGNIE N°8 Garden Party & Cocktail Party Après le Monde de la finance, de la compétition et du pouvoir, la compagnie N°8 a une nouvelle passion : la grande Bourgeoisie, l'Aristocratie, la Noblesse, les Rentiers, ceux qui sont nés avec un service à vaisselle en or dans la bouche. Avec ces deux spectacles, la compagnie va jouer de la théâtralité de la vie mondaine, construite sur des faux airs où l’esthétique aristocratique de l’excellence peut donner libre cours à son imagination sans complexe. La grande futilité de la vie, l’ennui, l’opulence et l’insouciance d’une élite ou comment garder la face avec légèreté dans un monde qui s’écroule autour d’elle. Garden Party - Anthropologie de l'insouciance La France va mal, la France s'écroule, la France a perdu sa dignité ; ses valeurs et ses vertus tombent en ruine, le repli sur soi et l’égoïsme gagnent du terrain, le désespoir a envahi toutes les âmes… Toutes ? Non, car une caste résiste encore et toujours à la morosité déprimante : La Bourgeoisie ! Cette Élite nous donnera un cours de Savoir-Vivre, nous dévoilera une suite de tableaux champêtres et naïfs dont les sujets sont le bonheur et les valeurs, une invitation à une promenade du déni, une anthropologie de l'insouciance. Cocktail Party - Sociologie du superflu Alors que le monde s’écroule autour d’eux, un groupe d’hommes et de femmes s’amuse... La chance leur a souri et ils se portent bien, heureux et repus. Indifférents aux soucis du commun des mortels, ils se complaisent dans l’ennui et l’oisiveté. Quand l’Humain n’a aucun souci, il s’en crée pour se divertir, pour se prouver qu’il existe ou par vanité... Une vie de luxe, une sociologie du superflu. Création collective Direction artistique : Alexandre Pavlata Avec : Benoit Blanc, Stéfania Brannetti, Carole Fages, Susanna Martini, Frédéric Ruiz, Charlotte Saliou, Julien Schmidt et Christian Têtard Chorégraphie : Philippe Ménard Dispositif : Pierre Lenczner Costumes : Stéfania Brannetti et Jeanne Guellaf Régie générale : Fabrice Peineau Administration et production : Elsa Roques Diffusion et communication : Asilys Deymarie Spectacle créé en 2015 Production : Compagnie N°8 Aide à la création, coproductions et résidences : L’Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, Le FourneauCentre National des Arts de la Rue-Brest, Le Boulon-Centre National des Arts de la Rue-VieuxCondé, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue en Poitou-Charentes-Niort, Le Moulin Fondu-Centre National des Arts de la Rue-Noisyle-Sec, 2r2c-Coopérative de Rue et de CirqueParis, Le Temps des Rues-Paris Résidences : Les Anciennes Cuisines-Fabrique artistique de l’EPS de Ville-Evrard, Compagnie Vertical DétourNeuilly-sur-Marne, Daki Ling-Marseille Avec le soutien : Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Île-de-France, Région Île-de-France, Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis, Adami, Spedidam Garden Party : Les 14 et 15 août dans le cadre des Préalables et les 17, 18 et 19 août - durée : 1h Cocktail Party : Les 17, 18 et 19 août - durée : 1h10 spectacles en accès libre Compagnie N°8 (France) La Compagnie N°8 est une compagnie de théâtre de rue créée en 2008. Son ambition est de proposer des attentats artistiques, des images esthétiques vivantes, des situations burlesques, des scènes absurdes, des gestes poétiques... perturber le Grand Dormeur qui se niche en chacun de nous, souffler sur les poussières tristes et paresseuses qui étouffent lentement mais sûrement nos existences, offrir la possibilité d’un moment, d’un moment seul, bousculer les convenances qui (dé)règlent notre quotidien, danser sur les corps figés par un trop plein de consommation. Comme une envie d’être le poil à gratter dans le col d’un Décisionnaire, la poudre à éternuer d’un nez exécutif, le grain de sable d’une machinerie immobile et bruyante, broyant les rêves de possibilités différentes, étrangères et mystérieuses. La Rue : espace de liberté, lieu de confrontation, terre de rencontre. Pouvoir divertir et émouvoir, interpeller, énerver, via une promiscuité unique dans les Arts Vivants, pouvoir jouer pour tous, dans tous les lieux possibles et improbables. Le Théâtre de l’Invisible : la meilleure arme dont un artiste dispose pour revendiquer sa liberté et donc celle de tous les Hommes ; être là où on l’attend le moins, agir là où on le veut le moins. Comme dit Augusto Boal, créateur de cette forme théâtrale, c’est de « rendre visible une violence invisible », c’est-à-dire « révéler une violence ». En y apportant également une poésie, une grâce, une légèreté, un idéal humain, qui ferait ralentir la Machine. Après Donnez Nous Votre Argent (2006), satire féroce et absurde de la logique (illogique) sur l’appât du gain, Homo Sapiens Burocraticus (2009), ode sur le monde du travail et son aliénation, Monstre(s) d’Humanité (2012), vision de la fin du monde imaginée par les huit personnes les plus riches de la planète, ces incorrigibles rêveurs, optimistes récidivistes nous livrent aujourd’hui une allégorie sur l’actualité et sur une certaine décadence. Au fil de leurs chemins se dessine un théâtre total, où les acteurs sont au centre, les décors sont mobiles, les compositions musicales et les éclairages s'y infiltrent, et la parole est au bout. 10 CONTACT Mylène Cavé et Stéphanie Monnot-Liodenot Compagnie Rasposo 36 Rue des Orfèvres Cidex 1260 Cercot 71390 Moroges + 33 (0)3 85 47 93 72 [email protected] www.rasposo.net 3 photographies sont disponibles sur le site du festival COMPAGNIE RASPOSO La DévORée Création 2016 - Première en France La compagnie propose un travail autour de l’image de la femme de cirque et ce qu’on peut palper de sa féminité vulnérable. Sublimant ses aspects changeants de puissante et résistante amazone, de femme fatale, ou d’icône inaccessible, Rasposo a cherché les points de rencontre entre la « femme de cirque » et le mythe de Penthésilée*. Celles-ci sont toujours en équilibre entre la volonté de combattre à tout prix et celle de se laisser atteindre. Traquer leur faiblesse, leur orgueil, leurs passions dévorantes, leur renoncement. Rasposo crayonne un désarroi insolent qui reflète une sorte d’effritement inéluctable de toute conviction, un mélange de désinvolture et de tragique, une lucidité impertinente et désabusée. Les musiciens de la compagnie accompagnent par des morceaux aux influx nerveux, les artistes circassiens qui traduisent, par la mise en danger de leur corps, cette instabilité tragique, pour naviguer entre l’univers cru et charnel des tableaux de Francis Bacon et la sophistication ornementale et symbolique de ceux de Gustav Klimt. * Penthésilée, reine des Amazones, combat Achille. Ils tombent amoureux l’un de l’autre quand elle est blessée par celui-ci. Mais leur orgueil les pousse à se provoquer de nouveau. Dans ce champ de bataille, qui pourrait tout aussi bien être un lit bouleversé, Penthésilée tue Achille. Dans une rage frénétique, elle le dévore, aidée de sa meute de chiens. Prise de folie, devant l’horreur de son acte, elle se suicide. Ecriture, mise en scène : Marie Molliens Regard chorégraphique : Milan Hérich Collaborations artistiques : Fanny Molliens, Julien Scholl, Aline Reviriaud Création musicale : Benoît Keller, Françoise Pierret, Christian Millanvois Direction musicale : Benoît Keller Création costume : Solenne Capmas Avec : Marie Molliens, Justine Bernachon, Serge Lazar, Colline Caen, Robin Auneau Musiciens : Françoise Pierret, Benoît Keller, Christian Millanvois Régisseurs : Bernard Bonin, Thierry Azoulay, A.Gallée/P.Lelièvre et Marion Forêt Production et diffusion : Stéphanie Monnot-Liodenot Coproductions : La Verrerie d’Alès-Pôle National Cirque Languedoc-Roussillon, Le Printemps des Comédiens-Montpellier, Le Cirque Jules VernePôle National Cirque et Arts de la Rue-Amiens, Theater op De Markt–Dommelhof (Belgique), Circa-Pôle National des Arts du Cirque-Auch-GersMidi-Pyrénées, Espace Athic-Obernai/Festival Pisteurs d’Etoiles Soutiens à la résidence : Theater op De Markt–Dommelhof (Belgique), Circa-Pôle National des Arts du Cirque-Auch-GersMidi-Pyrénées, Académie Fratellini-La Plaine Saint Denis, La Grainerie-Balma-Toulouse Métropole Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, Conseil Départemental de Saône et Loire, Adami La Compagnie est conventionnée par : Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Bourgogne, Conseil Régional de Bourgogne Le 16 août dans le cadre des Préalables et les 17, 18 et 19 août durée : 1h15 - spectacle en accès payant Compagnie Rasposo (France) La Compagnie Rasposo créée en 1987, s'inscrit dans le paysage du cirque contemporain depuis bientôt 30 ans. Fondée par Fanny et Joseph Molliens, elle questionne les liens tissés entre le cirque et le théâtre, mais interroge également les codes circassiens originels à travers un regard actuel, théâtral, et émotionnel. Commençant par le théâtre de rue, la compagnie gagne les salles, jusqu'en 2002, où elle acquiert son premier chapiteau. Se succèdent alors, pendant vingt cinq années, quinze créations dont la mise en scène est assurée par Fanny Molliens. En 2009, Fanny Molliens co-écrit, avec sa fille Marie, le spectacle Le Chant du Dindon. En 2012, Marie Molliens prend la direction artistique de la compagnie. Depuis la ligne artistique de Rasposo s’est orientée vers une recherche de l’Intime, par un langage du corps en mouvement et une prise de risque extrême, traduisant une vision violente de nos émotions et nos problématiques intrinsèques. Fildefériste, acrobate, « enfant de la balle », Marie Molliens s'intègre, dès son plus jeune âge, dans les spectacles de la compagnie Rasposo. Sur scène depuis l'âge de quatre ans, descendante d'une lignée de femmes artistes (mère, grand-mère, arrière grand-mère...) et de parents qui lui permettent de vivre une enfance de saltimbanque, elle se forme au contact des circassiens qu'elle côtoie. Poursuivant sa formation à l'École Nationale du Cirque Annie Fratellini à Paris, elle y est alors, quatre années durant, élève du grand professeur de fil, Manolo Dos Santos. Parallèlement, et après de nombreux stages sous la direction de Géza Trager, ancien professeur du Centre National des Arts du Cirque, elle fait du main à main sa deuxième spécialité. Artiste polyvalente, Marie Molliens pratique également l'acrobatie et un certain nombre de disciplines aériennes. Elle se perfectionne sous les conseils de grands artistes : Abdel Senhadji, Antoine Rigot et Agathe Olivier. Forte de son expérience, Marie Molliens revendique la création de spectacle de troupe et de cirque sous chapiteau. 11 COMPAGNIE WOEST CONTACT Paulien Truijen Compagnie Woest Adriian van Bergenstraat 6.2 1056 JW Amsterdam Pays-Bas + 316 40719206 [email protected] www.ciewoest.com 3 photographies sont disponibles sur le site du festival Lien vidéo http://vimeo.com/86511342 Leaving Normal Leaving Normal vous invite à une promenade, dans une rue tout ce qu’il y a de plus banal, où l’on croise des personnages du quotidien : des joggeuses du dimanche, un couple d’amoureux sur un banc, un amoncellement de sacs qui se déplace sur ses deux jambes… Car c’est un monde parallèle dans lequel la compagnie Woest vous emmène à votre insu, un monde poétique ou absurde selon l’interprétation, dans lequel chacun développe ses propres lubbies, habitudes, déviances. En chemin, un évènement, qui devient un problème commun... qu'en faire? Chacun propose ses propres méthodes comme solution, et le problème passe de main en main, irrésolu… Alors on s’en débarrasse comme on peut, on continue son chemin et on l’oublie dès que possible ! Road-movie théâtral et chorégraphique, Leaving Normal décale légèrement le monde vers ce qu'il pourrait être, avec un brin d'imagination, une touche poétique et une base résolument surréaliste... Equipé d’une boîte à musique qui lui permet de moduler la bande son du spectacle, le public passe de spectateur à témoin ou participant selon les interprétations. Attention à ne pas vous faire embarquer dans leurs problèmes ! Les 8, 9, 10, 12, 13, 14 et 15 août dans le cadre des Préalables et les 17, 18 et 19août durée : 45 mn - spectacle en accès libre Compagnie Woest Avec : Wannes de Porre, Lorenzo Capodieci, Iris Carta, Miguel Do Vale, Paulien Truijen, Manon Avermaete Musique : Steven Holsbeeks boites à musique : Indianen Antwerpen Production et régie : Paulien Truijen Accompagnatrice du public : Camille Grant Spectacle créé en 2014 Coproductions : Amsterdam Fund for the Arts, Dansmakers Amsterdam (Pays-Bas) Woest est un collectif, créé par Manon Avermaete (Belgique) et Paulien Truijen (PaysBas), spécialisé dans le théâtre dansant. Au fil des années, il s'est fait une place dans ce genre particulier. Les pavements, intempéries et réactions imprévisibles du public sont autant de facteurs qui distinguent les spectacles de Woest des productions conventionnelles élaborées pour la scène. Les chorégraphies de Woest sont très exigeantes physiquement et parsemées d'un brin de surréalisme, la marque de fabrique de la compagnie. Le monde extérieur est considéré non seulement comme une scène gigantesque, il est aussi une source infinie d'inspiration. Depuis 2010, Woest produit des spectacles faisant appel à la participation directe du public. Les représentations partent d'une obsession pour en dépasser les limites conventionnelles. Woest tente de transformer l'ordinaire en quelque chose d'extraordinaire. Les premières représentations cadrant dans ce nouveau concept ont été réalisées durant le festival Oerol aux Pays-Bas. Par la suite, la compagnie s'est produite sur invitation dans toute l’Europe et au-delà. En 2013, Woest a entamé la création de Leaving Normal avec le soutien du Fonds amstellodamois pour les Arts et de la maison de production Dansmakers. Le projet s'est d'abord concentré sur des rencontres quotidiennes et sur la recherche d'endroits convenant à cette forme de spectacle. Très vite, la compagnie s'est aperçue que les lieux de représentation ne constituaient pas une contrainte, le spectacle pouvant facilement s'adapter à tout environnement. Après la mise au point finale du spectacle en 2014, Leaving Normal a été présenté dans différents endroits, tels que des parcs publics, une prison, un musée, un bois, un quartier résidentiel, une usine désaffectée, voire même à l'intérieur et autour de n'importe quel bâtiment... 12 EX NIhILO CONTACT Marianne Schlegel Ex Nihilo 36 rue de Tivoli 13005 Marseille + 33 (0)4 91 42 02 87 + 33 (0)6 95 80 56 79 [email protected] www.exnihilodanse.com 4 photographies sont disponibles sur le site du festival In-Paradise Création 2016 In-Paradise est une pièce chorégraphique pour huit danseurs et un musicien. Accumulation, empilement... Par la manipulation et la transformation, les danseurs apparaissent comme des personnages étranges ; évocations d’hommes ou de femmes venus d’ailleurs, de petits territoires mesurés et conquis. Nos sociétés, à la recherche d’une uniformisation et d’une normalisation toujours plus « rassurantes », s’effraient du grain de sable dans le rouage, du mouvement qui fait désordre. C’est ce mouvement que la compagnie Ex Nihilo met à l’honneur. In-Paradise révèle la vacuité de notre vie en société où nous ne cessons de nous agiter, faire, défaire, refaire par réel goût de l’urgence, ou de l’occupation frénétique. L’espace scénique est envahi, contraint et réorganisé par des amoncellements d’objets. Peu à peu, une métamorphose s’opère par les actions des danseurs. La musique rock, parfois lyrique crée une atmosphère cinématographique. Des voix off émergent faisant montre d’un dialogue intérieur incessant. Dans In-Paradise se joue la confiance dans le corps et dans le vivant, dans la capacité à rester en mouvement, éveillé et réactif. Une invitation au déplacement. Une quête d’équilibre, de complémentarité là où tout est bancal, au bord de la rupture. Une métamorphose qui invite le spectateur à imaginer sa propre histoire à travers ce qui se construit, se transforme sous ses yeux… sans évidence. Conception et direction artistique : Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot Danseurs : Jean-Antoine Bigot, Lisa Da Boit, Tom Grand Mourcel, Clément Lecigne, David Mazon, Corinne Pontana, Rolando Rocha, Satya Roosens Scénographie : Jean-Antoine Bigot assisté de Lucy Lagesse Musique : Pascal Ferrari Costumes : Julia Didier Production : Ex Nihilo Coproductions : KLAP-Maison pour la danse-Marseille, L'Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sottevillelès-rouen, CCN de Créteil et du Val de Marne-Cie Käfig, le Pôle des Arts de la Scène-Marseille La création a reçue le soutien de : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, SACD-Auteurs d'espaces, Adami, SPEDIDAM Avec l’aide de : Théâtre la Passerelle-Scène Nationale-Gap, Coopérative de Rue et de Cirque-2R2C-Paris Remerciements : La compagnie Générik Vapeur, La Cité des Arts de la Rue-Marseille, Lieux Publics-Centre National de Création en Espaces Publics-Marseille, Friche de la Belle de Mai-Marseille La compagnie est conventionnée par : Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ville de Marseille et est subventionnée par : Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône. Pour ses projets internationaux, Ex Nihilo reçoit le soutien de : SPEDIDAM, Institut Français, Ville de Marseille Les 18, 19 et 20 août durée : 50 mn - spectacle en accès libre Ex Nihilo (France) Ex Nihilo est une compagnie de danse contemporaine dirigée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot autour d’un désir commun : faire de l’espace public un lieu privilégié de création et de diffusion. Chaque spectacle est donc à la fois écrit mais également ré-envisagé en lien fort avec le lieu investi. Ex Nihilo tourne en France et à l’international depuis 1994 avec son répertoire, et partage également son travail en proposant des actions de transmission à travers des workshops, des trainings, des stages et des actions pédagogiques en milieu scolaire auprès de publics amateurs et professionnels. Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot ont co-écrit la plupart des pièces du répertoire de la compagnie Ex Nihilo : Loin de Là, Salida, Calle Obrapia #4. En 2002, ils développent un projet d’immersion dans le quartier Belsunce qui donne le jour au spectacle Passants qui pose les bases d’un long processus autour de la danse dans l’espace quotidien de la ville. De 2005 à 2007, la compagnie est associée à l’Atelier 231 où sont créés L’intérieur est toujours trop étroit et Trajets de Vie/Trajets de Ville, sélectionné par le réseau INSITU, réseau européen de création pour l’espace public et prix de l’Innovation au festival TAC en Espagne. De 2011 à 2013, Ex Nihilo est compagnie associée à KLAP, Maison pour la danse. Entre 2005 et 2007, Anne Le Batard collabore avec ZINC/ECM et mène des workshops Arts et Multimédias en Égypte et au Liban, avec des artistes visuels et des arts vivants. En 2009, suite à une commande du Centre Chorégraphique de Maguy Marin et des Ateliers Frappaz de Villeurbanne, ils créent leur premier duo, Assemblements puis le trio Si 3=3. En 2010, débute une collaboration avec le Festival Gwanchong Hanmadang pour Nal Boa, création franco-coréenne qui tournera durant 2 ans en Europe, Asie et Amérique du sud. Entre 2009 et 2014, ils développent un long projet : Apparemment ce qui ne se voit pas qui se déroule dans plusieurs pays d’Europe, d’Afrique du nord et Amérique du sud duquel naîtront deux spectacles Détail#3 pour l’intérieur en 2012 et Le Nom du Lieu pour l’extérieur en 2014. Ils entament alors un nouveau projet de coopération autour de la formation/transmission de jeunes danseurs égyptiens et marocains avec Nassim Al Raqs et l’Espace Darja à Casablanca. 13 CONTACT Caroline Genis Générik Vapeur Cité des Arts de la Rue 225 avenue des Aygalades 13015 Marseille + 33 (0)4 91 69 00 06 [email protected] www.generikvapeur.com 2 photographies et 1 visuel sont disponibles sur le site du festival De nouvelles photographies seront disponibles mi-juillet GÉNÉRIK VAPEUR La Deuche Joyeuse - Opéra de Parvis Création 2016 - Résidence Le Parapluie Un orchestre se rend dans une ville pour s’y produire, mais personne pour les accueillir… Rien ne se passe comme prévu ! Pour contrer l’ennui et jouer coûte que coûte, un big band improvisé fait d’un assortiment de volutes métalliques, de tulipes d’acier bedonnantes, d’engrenages et de pièces de carrosserie, va tout donner pour un inoubliable opéra de parvis … La Deuche Joyeuse, c’est le faire ensemble comme moteur et la bonne humeur comme carburant ! Allez... Hop... Taxi !!! « L’harmonie est rompue, les mots deviennent dangereux, les dessins explosifs, des poèmes s’échangent sous le manteau. Prohibition de la liberté dans l’art ? Ou des libertés elles-mêmes. Pour ne pas de se retrancher dans ses arrières pensées ou son fort intérieur, on se retrouve là sur des places, au marché, dans les gares, sur les aires, et souvent c’est joyeux par la diversité, les incohérences, les différences. Opéra de parvis, c’est comme un sursaut musical qui précède le silence, la musique du vivant. Une aventure humaine qui emprunte au lego le ludique, la simplicité, construire, bâtir pour faire exister au moins le contour du rêve avant qu’il ne s’effondre comme les mandalas ou les châteaux de sable des enfants. Pas d’indifférence, chacun a une place, de la sonorité de l'activité aux grandes émotions mélodieuses. Comme les cristaux de glace, on se rassemble puis se disperse à l’infini. Les événements collatéraux de cette attirance historique pouvant être tumultueux au contact de la réalité ». Caty Avram et Pierre Berthelot Auteur et metteur en scène : Pierre Berthelot assisté de Laurent Martin Direction artistique : Caty Avram Avec : Patricia Gomé, Goobi Patois, Jean-Paul Kuntz, Pierre Berthelot, Caty Avram, Laurent Martin, Bruno Montlahuc, Olivier Brun, Alexandre Lejeune, Alexandre Tabakov Création musicale : Pascal Ferrari, Vincent Sermonne, Tom Honoré, Hervé Richaud Dessins et graphisme : Bruno Montlahuc Création des instruments : Jean Marc Pisani Conception sonore et 3D : Pinx Bougourd Conception et construction mécanique : Alexandre Tabakov, Michi Priori Costumes : Virginie Breger Effets spéciaux : Alexandre Lejeune Régie: Olivier Brun Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la Communication, Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône, Ville de Marseille, Institut Français Aides à la création : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique–Aurillac, L'Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la Rue-Villeurbanne, Quelque p'Arts-Centre National des Arts de la Rue-Scène Rhône-AlpesBoulieu-lès-Annonay Remerciements : La FAI-AR-Marseille Le 14 août dans le cadre des Préalables et les 19 et 20 août durée : 1h - spectacle en accès libre Générik Vapeur (France) Générik Vapeur est une compagnie de théâtre de rue musical, créée en 1984 par Caty Avram, « cantactrice » rock et Pierre Berthelot, « comédien d’engins ». La troupe réunit le plus souvent une vingtaine d’artistes-techniciens aux savoir-faire multiples (de l'aérien à la vidéo, de la construction en tout genre à la création musicale et théâtrale...), pour créer dans l'espace public à l’échelle de la ville ou du paysage. Passionnée pour les friches industrielles et la mémoire des lieux, la compagnie choisit comme métronome la socio-poétique des villes et paysages, pour en jouer en images et mélodies. Depuis 2010, Générik Vapeur est installée à la Cité des Arts de la Rue, immense laboratoire d'expérimentation et de développement des arts de la rue, dans le quartier des Aygalades à Marseille. « La rue est la pince-monseigneur des territoires de l’art. Être porte-parole, d’une qualité de vivre, en être contagieux. La musique, les bruits, l’espace public à cœur et à cris. La mélodie socio-poétique comme métronome. Import-Export d’émotions de matières par des acteurs, des couleurs pour parler de l’humain le sujet, des rêves, d’actualité. Greffe de quotidien sur un art qui a l’air d’en vouloir au sens. La ville en décor naturel, paysage sculpté, Le public en un déambulatoire est invité à un corps à corps avec son époque. Des marées noires aux pages blanches d’identités inconnues, sans papier sans livret, le théâtre de rue scande des territoires à partager par la poésie insolente d’images insolites. Le théâtre de rue comme un transport en commun ». 14 GRATTE CIEL CONTACT Virginie Carter Gratte Ciel 32 bis rue J. Charcot 13200 Arles + 33 (0)7 87 63 10 17 [email protected] 16 photographies sont disponibles sur le site du festival Place des Anges La ville est un gigantesque chapiteau, sans toile ni structure. Les immeubles, les bâtiments, l’architecture même d’une place seront le nid de ce spectacle en « très grand aérien ». À 50 mètres du sol, des anges, beaucoup d’anges voltigent – à toute allure ou tout doucement – aux frontières de l’impossible. Si loin, si proches, leurs bruissements d’ailes font muter l’espace public en univers poétique. La pluie de leurs plumes s’empare soudain de la nuit. Un déluge, une profusion de plumes. Une avalanche d’émotions, un moment qui apaise les âmes, un de ces moments que l’on garde précieusement au creux de la vie. Le 20 août durée : 35 mn - spectacle en accès libre Gratte Ciel Une création de : Pierrot Bidon et Stéphane Girard Production et diffusion : Virginie Carter Direction technique : Arnold Gautheron Régie aérienne : Rémy Legeay Lumière : Jean-Marie Prouvèze Son : Rodolphe Moreira Costumes : Laura Tavernier Avec : des anges Production : Gratte Ciel (France) Gratte Ciel est une nouvelle compagnie qui développe des spectacles aériens en posant la question d’un cirque d’espace public. Son langage est né de la transposition des savoir-faire de la culture « plein air » de l'espace urbain. La lecture des lignes architecturales est une évidence graphique qui révèle et découpe des espaces aérés dans lesquels les membres de la compagnie se sont toujours exprimés. Pour beaucoup d’entre nous, le vide est synonyme de risque ou de peur. Pour eux, le vide est un espace d'expression pour une poétique aérienne qui leur permet de métamorphoser le rapport à la ville. La compagnie Gratte Ciel réunit grimpeurs, circassiens et danseurs qui travaillent à s'approprier l'architecture urbaine comme base scénographique pour un cirque aérien à grande hauteur. La direction artistique de la compagnie Gratte ciel est portée par Stéphane Girard qui fut le complice de Pierrot Bidon de 1995 à 2010. Stéphane Girard a cosigné plusieurs créations imaginées par le fondateur d’Archaos, homme passionné, aventurier, artiste à part, disparu en 2010 : Le Forgeron du temps, Circo da Madrugada, La Grume, Place des Anges et Terre fantôme. 15 GROUPE ZUR CONTACT Pauline Bontemps Groupe Zur Rue de la Paperie 49124 Saint-Barthélemy-d’Anjou + 33 (0)2 41 79 82 72 [email protected] www.groupe-zur.com 12 photographies sont disponibles sur le site du festival Lien Vidéo https://vimeo.com/158187518 Création collective Avec : Christophe Auger, Antoine Birot, David Boidin, Evelyne Caillet, Laure Chartier, Stéphane Delaunay, Nicolas Gallard, Olivier Guillemain, Loredana Lanciano, Flop Lefebvre, Baptiste Lechuga, Jean-François Orillon, François-Noël Pavie, Soraya Sanhaji, Lelia Serra Accompagnés de : Valentin Agrapart et avec la contribution de Swann, Bartholomé, Matteo, Sonia Gemayel et Fabien Gruau pour le film. Spectacle créé en 2015 Production : À Tout Hasard Associés - Groupe Zur Coproductions : Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Le Citron Jaune-Centre National des Arts de la Rue-Port-St-Louis du Rhône, Le Channel-Scène Nationale-Calais, Le Boulon-Centre National des Arts de la Rue Vieux-Condé, L’Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, La PaperieCentre National des Arts de la Rue-Angers Le Groupe Zur est conventionné par : Ministère de la Culture-DRAC Pays de la Loire, Région Pays de la Loire et subventionné par : Ville d’Angers. Avec le soutien de : Ministère de la Culture et le Communication-DGCA, Région des Pays de la Loire, Conseil Départemental du Maine-et-Loire, EPCC Anjou Théâtre, Ville d’Angers Prochainement ! Résidence Le Parapluie Vous êtes conviés à une projection de cinéma itinérant. Un écran est tendu et la séance démarre. Le film décrit plusieurs histoires de voyage et de leurs voyageurs, comme un long travelling nourri d’autant de styles d’images, d’écritures que de récits. Il met à l’écran différentes personnes en mouvement, dans différents endroits lorsque toutes ressentent le besoin ou comprennent que le moment est arrivé d’entreprendre le voyage. Certaines d’entre elles ne savent pas encore ce qu’elles cherchent, d’autres connaissent précisément la raison de leur migration. Toutes sont animées d’un besoin ou d’un désir de converger vers le même endroit. Progressivement l’écran de projection, le son, la salle, vont se modifier, vibrer et se dématérialiser. Une bascule s’opère et vous serez alors invités à traverser le film, l’écran, pour poursuivre et écrire vous-même et avec les artistes, une suite possible et vivante. Cet espace de « cinéma vivant », vous associera aux voyageurs, à leurs histoires et à la raison de leur convergence vers un même but. Les effets cinématographiques réalisés en temps réel, produiront des scènes et des installations pour continuer à vivre le cinéma, mais en itinérance cette fois. La dématérialisation de l’espace de projection colle à l’ouverture d’un hors champ jusqu’alors insoupçonné. Avant le générique de FIN. Du 17 au 20 août durée : 1h25 - spectacle en accès payant Groupe Zur (France) Depuis 1984, le Groupe Zur (Zone Utopiquement Reconstituée) rassemble des individus qui prennent plaisir à inventer en groupe, considérant l’acte de création comme une occasion d’aventure et d’expériences. Pour cela, ils travaillent leurs spectacles dans des lieux inattendus, imaginent in situ des interventions qui réagissent aux lieux de présentation. Basés sur la contamination des genres et des langages artistiques, dépassant les spécialisations, les membres du Groupe Zur développent un art entre l’image et l’acte, l’écrit et la parole, le muet et le sonore, le plan et le volume, le frontal et la proximité, où les formes picturales et cinématographiques dansent avec les formes théâtrales et sonores. Dans leurs réalisations, les images/sculptures sont des films/tableaux où l’acteur/personnage devient une émergence poétique et le spectateur un contemplateur actif. Et puis ils quittent les lieux, ne laissant sur place pour seule et unique trace de notre passage, celle laissée dans la mémoire des témoins de notre représentation. Leur cinéma n’est pas un film, il est théâtre d’évènements sensibles que sont leurs installations. Dans leur travail, une image se vit avant de se voir, c’est la condition extrême et ultime pour ne pas perdre pied avec le monde. 16 ICI-MêME CONTACT Aline Presumey Ici-Même 23-25 rue Ramponneau 75020 Paris + 33 (0)1 40 05 17 44 [email protected] www.icimeme.info 8 photographies sont disponibles sur le site du festival First Life, Aux Armes et cætera Création in situ Avec First Life, Ici-Même, équipe d’imagination urbaine, propose une expérience artistique individuelle et immersive. Equipé par les artistes d’un smartphone et d’un casque audio à 360°, le spectateur vidéo-guidé est invité à explorer les dessous de la cité dans une réalité augmentée. Héros d’une aventure presqu’ordinaire, le voici glissé dans la peau d’une demandeuse d’asile, d’une travailleuse clandestine ou d’un adulescent aux troubles de la personnalité. Aux frontières du réel et du virtuel, le visiteur évolue dans un monde tel que le vit et le perçoit le personnage qu’il incarne. First Life, aux armes et cætera propose trois parcours autour du thème crucial de l’identité et du droit d’asile... « A t-on la même vision du monde qu’un exilé, un éternel enfant ou une travailleuse au noir ? ». Nous marchons dans les mêmes rues, respirons le même air, mais nous ne voyons – ni ne vivons – les mêmes choses. Dans les pas, dans les yeux et les oreilles d’un autre, ses gestes deviennent les nôtres et nous percevons autrement sa condition urbaine. Tourné in situ, avec les acteurs d’Ici-Même accompagnés de participants et comédiens amateurs, chaque parcours se déroule dans un lieu précis d’Aurillac. Tout commence par une évasion... dans la peau d’une demandeuse d’asile, vous serez recueillis par des Wenzhoutins, vous apprendrez à rouler des raviolis, à parler notre langue, à mentir à l’Ofpra. Immersif et bienveillant, numérique et sensible, théâtral et cinématographique, First Life questionne le sens des réalités. Le 16 août dans le cadre des Préalables et les 17, 18 et 19 août durée : 1h - spectacle en accès payant Mise en scène : Mark Etc et Eric Ménard Scénographie : Christian Geschvindermann assisté de Nicolas Lavergne Régie : Sylvain Borsatti Avec (distribution en cours) : Dorsaf Ben Nasser, Céline Laurentie, Jacques Norgeville... Post production : Eric Ménard Production, diffusion : Hélène Roques Production : Ici-Même Coproduction : Théâtre Brétigny-Scène conventionnée Avec le soutien de : Conseil Départemental de l’Essonne, Arcadi, Ministère de la Culture et de la CommunicationDicream Ici-Même est conventionné par : Ville de Paris, Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Île-de-France Mark Etc est associé au Théâtre Brétigny Ici-Même (France) Ici-Même est une équipe d’imagination urbaine fondée en 1993 à Paris. Elle rassemble des comédiens, scénographes, photographes, vidéastes et plasticiens. Ici-Même réalise plus d’une trentaine de propositions artistiques embusquées dans la ville et le quotidien, qui portent un éclairage sur notre condition urbaine à travers des dispositifs pluridisciplinaires : installations, spectacles, protocoles d’exploration, productions audiovisuelles, éditions. Le groupe Ici-Même, dirigé par Mark Etc s’est fait connaître par des réalisations infiltrées dans la ville : mystifications sophistiquées, acteurs plus vrais que nature, dispositifs sur le fil de la réalité, mobiliers urbains prospectifs, maisons aux dimensions de places de parking… les interventions d’Ici-Même questionnent la place de la ville dans l’homme… ou l’inverse. Avec First Life, le groupe Ici-Même poursuit son travail de déconstruction des simulacres et marque le passage d’un théâtre infiltré dans le quotidien, à des écritures subtilement immersives et implicatives. 17 KOMPLEX KAPhARNAüM CONTACT Marion Gatier KompleX KapharnaüM 9 rue Francia 69100 Villeurbanne + 33 (0)4 72 37 12 16 [email protected] www.kxkm.net L’Immobile Texte de Stéphane Bonnard - Création 2016 - Première 10 photographies sont disponibles sur le site du festival 1 extrait son https://soundcloud.com/mca_808/immobile À la croisée de la performance, de la poésie sonore et de la pièce radiophonique, L’Immobile, est un conte urbain musical et électronique. Un homme à la sortie de son bureau s’arrête et ne repart pas. À la manière d’un moteur qui même immobile reste parcouru d’infimes mouvements, commence un soliloque où l’homme décrit ce qu’il voit, ce qu’il est, ce qu’il devient. A côté, des formules de finances quantitatives, des déclarations du PDG d’une entreprise mondialement connue, des inserts plus fictionnels, égrènent une autre musique. L’Immobile prend pour toile de fond un espace urbain structuré par le dogme libéral : circulation des biens, des services et des capitaux, la ville n’est plus qu’un flux fictionnel guidé dans des agencements d’espaces dévitalisés : le corps absent. À ce capitalisme, fort au point de façonner l’espace de la ville à son image, L’immobile répond par une forme de grève urbaine : s’extirper du flux, refuser de continuer à le nourrir, participer à son effondrement, et par la même, se rendre maître de son temps et de sa capacité à repenser le monde. L’Immobile, texte publié aux éditions « : esse que » est né d’un happening réalisé par l’auteur, Stéphane Bonnard en 2012. Pendant 12h, sur le Parvis de la Défense, il est resté à l’arrêt, pris dans le flux continu des travailleurs et des touristes. Là, il s’est laissé bercer, brasser, hypnotiser par 10 000 fragments de vies croisées. Suite à cette performance, France Culture a voulu réaliser une fiction radiophonique du texte. La rencontre à cette occasion avec le réalisateur Alexandre Plank a fait naître l'envie de proposer une forme in vivo. Auteur et interprète : Stéphane Bonnard Compositeur et interprète : Marc-Antoine Granier Collaborateur artistique : Alexandre Plank Scénographe, créateur lumière : Yoann Tivoli Accousmaticien : Raphaël Parseihan Chorégraphe : Géraldine Berger Styliste : Maud Lantelme Le festival accueille ce nouveau projet dans sa forme performative avant une création pour le plateau prévue au printemps 2017. Cet Immobile peut aussi s'écouter comme le synopsis d'un nouveau projet, dédié à la rue : Les Immobiles. À ce titre, il n'est pas impossible qu’au gré de ses déplacements dans la ville, le public croise les prémices de cette future intervention urbaine et soit même invité à éprouver cette posture bouleversante qu'est l'immobilité dans la ville. Le 16 août dans le cadre des Préalables et le 17 août durée : 50 mn - spectacle en accès payant Stéphane bonnard - KompleX KapharnaüM (France) L’Immobile est « : esse que » publié aux éditions Coproductions : KompleX KapharnaüM, Centre Dramatique National de Lyon Avec le soutien de : Théâtre Ouvert-Paris, Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Région Île-deFrance dans le cadre de l’EPAT Avec l’aide de : SACD L’Immobile a reçu l’aide à la création du Centre National du Théâtre La compagnie KompleX KapharnaüM est conventionnée et soutenue par : Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Auvergne-Rhônes-Alpes, Région AuvergneRhônes-Alpes, Ville de Villeurbanne Autodidacte, Stéphane bonnard co-fonde en 1996 avec Pierre Duforeau la compagnie KompleX KapaharnaüM. Il multiplie par ailleurs des collaborations avec des artistes, musiciens, vidéastes, comédiens et plasticiens. En 2004, lors de la co-écriture d’un projet avec Guy Alloucherie, il décide de prendre un peu plus au sérieux son travail d’auteur. Il poursuit alors un cycle sur le monologue et l’accentue par la création d’un tryptique : 25, en 2011 (repéré au festival Actoral ainsi qu’au NTH8 à Lyon) puis L’Immobile en 2013. Il travaille actuellement sur le dernier volet : Rudimentaire (une chaise d’écolier bloquée dans la Machine Monde). Depuis 2010, il anime aussi des ateliers d’écriture auprès de publics qui sont en délicatesse avec l’écrit. Implantée à Villeurbanne depuis 20 ans, la compagnie KompleX KapharnaüM réunit les talents de vidéastes, musiciens, techniciens, écrivains, performers, plasticiens, concepteurs et constructeurs autour de créations conçues pour l’espace public qui questionnent les hommes et les paysages, à la recherche de leur singulière beauté. Ces créations multimédias, au croisement de nombreuses disciplines artistiques, naissent d’une matière documentaire faite de vidéos, de sons, d’archives, de mots, d’ambiances réalisées ou collectées. 18 CONTACT Arnaud Poupin La Folie Kilomètre 51 place Jean Jaurès 13005 Marseille + 33 (0)6 64 89 86 68 [email protected] www.lafoliekilometre.org 2 photographies sont disponibles sur le site du festival Lien vidéo https://vimeo.com/134201285 LA FOLIE KILOMèTRE Rivages Création 2016 Rivages est un drive-in mobile pour bords de ville, un road-movie halluciné et poétique, une recherche du rêve et de l’étrange dans des paysages fabriqués en série. C’est la nuit. Les spectateurs sont convoqués avec leurs voitures pour une séance de cinéma. Ils démarrent leurs véhicules et rentrent à l’intérieur du film. Formant un cortège qui suit le personnage principal, le public va vivre une aventure cinématographique à la périphérie de la ville. Dans ce spectacle road-movie, le récit se déploie dans le paysage. Les vitres des voitures sont des écrans en mouvement ; la bande-son, mixée en direct, est diffusée par les autoradios. Le paysage se déroule comme une scène de cinéma dans le cadrage des vitres de la voiture. Il défile. On traverse des tableaux, des images s’effilochent, apparaissent et s’effacent. Les zones périphériques sont abordées comme des îlots, aux rivages de la ville et explorées comme des espaces de projection, de rêve et de divagation. La nuit est un levier d’apparition du fantastique et fantasmagorique. Messieurs, Mesdames, Dames, bonsoir ! Bienvenue dans notre drive-in mobile. Installez-vous confortablement dans votre voiture, allumez le moteur et branchez la radio. La séance va bientôt commencer... Passez la première, traversez l’écran... Direction artistique : Collectif La Folie Kilomètre Avec : Lucie Corouge, Franco Debière, Laurent Driss, Abigaël Lordon, Maël Palu, Julie Paule, Arnaud Poupin, Julien Rodriguez, Elsa Vanzande Voix additionelles : Djamel Afnaï, Eloïse Hallauer, Simon Rico, Dominique Trichet Technique : Émeline Guillaud, Guillaume Dufleid Collaborations : Camille Reysset, Sylvie Faivre, Julie Lefebvre, Tatiana Bertaud, Alex Lejeune, Georges Poupin, Alex Vagnon, Huyng Ji, Järva Engman Coproductions : Lieux Publics-Centre National de CréationMarseille, Animakt-Saulx-lès-Chartreux, le pOlau, pôle des arts urbains-Saint Pierre des Corps, l’Atelline-Villeneuve-lès-Maguelone, Orphéon, bibliothèque de théâtre-La Seyne sur Mer, l’Espace Périphérique-Paris, le Théâtre Durance-ChâteauArnoux, L’Abattoir-Centre National des Arts de la Rue-Châlon-sur-Saone, La Paperie-Centre National des Arts de la Rue-Angers Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA, SACD, DRAC Provence Alpes-Côtes d’Azur, Région Provence Alpes-Côtes d’Azur Partenaires : APCAR-Marseille, Grand Littoral-Marseille, EPASESaint Etienne Le 16 août dans le cadre des Préalables et du 17 au 20 août durée : 1h30 - spectacle en accès payant La Folie Kilomètre (France) Basée à Marseille, La Folie Kilomètre est un collectif de création en espace public fondé en 2011. Le collectif regroupe des artistes issus du spectacle vivant, des arts plastiques et de l’aménagement du territoire. À la croisée de ces pratiques, les membres de La Folie Kilomètre imaginent des expéditions, spectacles, promenades et ateliers. Ils questionnent la manière dont nous habitons, fabriquons et fantasmons aujourd’hui la ville et le paysage. Bigarrées et hybrides, leurs propositions entremêlent mises en fiction et dispositifs documentaires, installations visuelles et sonores, dessin et cartographie, explorations et randonnées artistiques. Leur travail fait émerger des lieux ordinaires les histoires qu’ils fabriquent dans notre imaginaire commun. Avec une pratique de terrain ancrée dans le temps et des méthodes d’investigation contextuelles, ces artistes explorent la poésie qui se dégage d’un espace vécu. Une complicité artistique et professionnelle éprouvée lors de la 3e promotion de la FAI-AR (Formation supérieure d’art en espace public) puis nourrie par des horizons ouverts et des rencontres permanentes caractérise l’énergie du collectif. La Folie Kilomètre regroupe des artistes aux horizons variés et aux parcours diversifiés. C’est sur cette multiplicité des regards et des expériences que le collectif se base pour construire ses créations, misant sur le partage des compétences et la transversalité des pratiques. 19 CONTACT Delphine Dumas L’Agit 61 rue St Jean 31130 Balma + 33 (0)5 61 24 85 48 [email protected] www.agit-theatre.org 1 visuel est disponible sur le site du festival LES OGRES ET L’AGIT ThÉâTRE Le bal des Ogres Une soirée de cinéma à ciel ouvert Les Ogres ont faim. Faim de rêves et de désordre. De public et d’étreintes. D’amitié et d’amour. Les Ogres ont les rêves à vif et l’énergie tapageuse de ceux qui croient encore au théâtre et au bonheur d’être ensemble. Ils vont de ville en ville, un chapiteau sur le dos, leur spectacle en bandoulière. Cœurs et tambours battants, ils en ont mangés des femmes, des enfants, du théâtre et des kilomètres. Mais aujourd’hui ils fatiguent et ils leur faut renouveler le désir. Alors que la fête commence ! La fête ? Quelle fête ? La fête c’est le Bal des Ogres. Ou comment un film qui a penché sa caméra sur ces grands vivants que sont les hommes et femmes de théâtre prend la poudre d’escampette et veut goûter à la liberté soulante du grand air. Pêle-mêle, le Bal des Ogres c’est : Une projection à ciel ouvert, De la paille et la belle étoile, Une soupe à l’oignon qu’on prépare ensemble en écoutant des histoires à rire et à pleurer, 203 706 images projetées aux quatre vents pendant 2h24, Puis une bande d’Ogres en chant et en os qui vous invitent à un bal électropiano à bretelle pour se dégourdir les jambes, taper du pied sur la terre froide et sauvage de la rue et secouer les puces du 7ème art… Le Bal des Ogres c’est une promesse qui n’en fait pas, C’est l’envie de mettre un coup de masse de chapiteau dans le quatrième mur, pour être ensemble surtout… avant, pendant et après… Et le temps d’une nuit étoilée, vous laisser convier par les comédiens des Ogres - tout droit sortis de l’écran - à la fête que le film appelle. L’appétit vient en vivant ? Alors faisons le pari doux et fou de retrouver au cinéma - par la rue, le grand air et les corps voraces - le règne du présent et de l’éphémère que le théâtre défend corps et âme. Que le cinéma soit lui aussi – le temps d’une soirée – un art vivant !? Le 16 août dans le cadre des Préalables durée : le temps d’un bal - en accès libre Les Ogres : Léa Fehner, Jérome bouvet, L’Agit (France) Sur une idée originale de : Léa Fehner et Jérôme Bouvet Avec la complicité de : L’Agit Théâtre Les Ogres (distribution en cours) : François Fehner, Marion Bouvarel, Philippe Cataix, Jérome Bouvet, Inès Fehner, Nathalie Hauwelle, Christelle Lehallier, Thierry de Chaunac, Simon Poulain, Ibrahima Bah, Florian Labriet Et sous réserve : Adèle Haenel, Marc Barbé, Daphné Dumons, Lola Duenas Musique : Philipe Cataix, José Fehner (alias Mangabey) Mixage vidéo : Julien Chigot Le film Les Ogres Réalisation : Léa Fehner Production : Bus Films Distribution : Pyramide films Léa Fehner a grandi à Toulouse dans le milieu du théâtre itinérant, aux côtés de l’Agit Théâtre fondé par son père, François Fehner. Se tournant vers le cinéma, elle intègre en 2002 le département Scénario de La Fémis, dont elle sort diplômée avec les félicitations du jury. Son projet de fin d'étude est le scénario de Qu'un seul tienne et les autres suivront, qu'elle tournera en 2008. Le film a été sélectionné en 2009 au Festival de Venise et a reçu le Prix Louis Delluc du premier film. Si on est de son enfance comme on est d’un pays, Léa Fehner fait un retour au pays natal pour son deuxième long métrage : Les Ogres, apnée romanesque dans le milieu du théâtre itinérant et de ses ouvriers de joie. Jérôme bouvet est co-fondateur et co-moulineur de 2 rien merci, compagnie de spectacles vivifiants née en 1999. 2 rien merci a créé un langage expérimental et populaire, intime et clownesque, tendre et rugueux, notamment avec Moulin Cabot, Gramoulinophone et Moulinoscope, une trilogie d’entresorts forains. La compagnie L’Agit Théâtre, depuis plus de 20 ans, a basé son action sur l’itinérance, cet espace de liberté qui se nourrit des problématiques rencontrées sur les pas de voyages majuscules et minuscules. La création théâtrale anime l’existence de la compagnie autour de textes contemporains, écho des préoccupations actuelles, parlant de différences de culture, d’identité, d’origine, de l’intime. L’Agit Théâtre, en relation avec les habitants, soulève les jupes de son chapiteau pour porter sur scène la parole recueillie et poursuit ses objectifs dans le souci d’améliorer et de faire évoluer son travail : Produire et diffuser des créations théâtrales dont l’objet est d’accompagner la diffusion populaire d’un théâtre d’auteur sur un répertoire contemporain, tant à l’international qu’au local ; initier des événements itinérants sur les quartiers prioritaires en s’appuyant sur des coopérations partenariales, des initiatives locales et la présence d’artistes sur le territoire. 20 MALAXE CONTACT Vincent Brut Malaxe Cité des associations - Boîte 48 93 La Canebière 13001 Marseille + 33 (0)6 46 73 38 53 [email protected] www.malaxe.fr 5 photographies sont disponibles sur le site du festival Entr(EUX) Création 2016 - Résidence Le Parapluie Entr(EUX) est une pièce chorégraphique autour d’une installation de vêtements dans une portion de rue. Entr(EUX), c’est un battement au cœur de la ville, un tissage de vie où les gens se croisent, se confondent, se lient. Depuis les fenêtres, des histoires débordent et tissent un étendoir, prolongement de soi. Se révèle alors ce qui se cache derrière nos murs, derrière nos façades, sous nos vêtements, sous la peau. Ici, les habitants s’étalent, se retrouvent, se découvrent, pour inventer de nouveaux rituels. Entr(EUX) est une traversée, un endroit à mi-chemin entre le dedans et le dehors. Un intervalle où l’on s’autoriserait à être nous-mêmes et où l’on fabriquerait un costume pour la rue, ma rue, ta rue. Auteure : Emeline Guillaud En collaboration avec : Ananda Montange, Bastien Anconina, Fanny Austry, Maitane Azpiroz, Simon Gillet, Bastien Pelenc, Gregory Cosenza, Thomas Barriere, Johanne Bailly, Adeline Debatisse, Géraldine Rieux, Jules Beckman Avec la complicité de : Elodie Foucher, François Derobert, Oriane Arce Administration : Lo Bòl, Comptoir du Spectacle, Vincent Brut Remerciements à : Pascaline Payet Descombes, Marie Paule, Bill, Linda Chassaigne, Catherine Galode Kufeld, Maud Orain. La compagnie est subventionnée par : Région Île-de-France pour une aide à la résidence territoriale Coproductions : Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Le pOlau-Pôle des arts urbains-Saint-Pierre-des-Corps, Lieux PublicsCentre National de Création-Marseille, L’AbattoirCentre national des arts de la rue-Chalon-surSaône Avec le soutien de : SACD-Auteurs d’espaces, FAI-AR-Formation supérieure d’art en espace public-Marseille, RAMDAM-Lieu pour ressources artistiques-Sainte Foy-lès-Lyon, La Gare à Coulisse-Base des Arts de la rue-Eurre, Le Cirque Trotolla-Die, Animakt-Lieu de fabrique pour les arts de la rue et d'ailleursSaulx les Chartreux, Le Citron Jaune-Centre national des arts de la rue-Port Saint Louis du Rhône, Le Plancher des chèvres-Association culturelle en milieu rural-Bounas-Haut Var, La Ferme de la Colle chez Le Begat Théâtre-Centre de résidence ouvert à toutes les disciplines artistiquesGréoux les Bains Aide à l’écriture : Association Beaumarchais-SACD Les 18, 19 et 20 août durée : 50 mn - spectacle en accès libre Malaxe (France) La compagnie Malaxe a été fondée par Émeline Guillaud en 2011. Malaxe pour : malaxer, amollir et mêler intimement. Ouverte au mélange et à la rencontre, la compagnie Malaxe est une matière à pétrir et à inventer. Elle porte dans ses gênes le besoin de créer avec « d’autres », artistes de tout poil, danseurs, musiciens, sculpteurs, plasticiens... et affirme un travail de recherche à la croisée des disciplines. Malaxe s’oriente vers des formes hybrides dans l’espace public, ces lieux « pas prévus pour », afin d’en proposer une nouvelle lecture inspirée de leurs aspérités, leurs possibles et leurs places dans la ville. La compagnie fabrique ainsi des formes pluridisciplinaires pensées et repensées pour les espaces qu’elle investit. Malaxe travaille dans un rapport physique aux choses et confronte les corps à leur environnement. Sensible aux notions de gravité, de poids, de tension, d’apesanteur, elle cherche à habiter les lieux pour ce qu’ils proposent et, pourquoi pas, en modifier leur perception. Soucieuse de développer une relation spécifique avec les publics, spectateurs, habitants, dans la rencontre et l’interaction, la compagnie ne prétend pas « faire du nouveau » mais tente simplement d’être, dans une expérience sensible et intuitive et de se surprendre dans une recherche sans limites. Les précédentes créations de la compagnie : 2012 : Limite de discrétion, chorégraphie pour une équipe de rugbymen et une danseuse volante. 2013 : Mole, un projet laboratoire pour deux individus et de la pâte (eau et farine !). 2015 : Soumis aux lois, une série de peinture à attraper du regard ou à saisir au vol. 21 OpUS CONTACT Aurore Giraud OpUS 12 rue Joseph Cugnot 79000 NIORT + 33 (0)5 49 05 69 07 [email protected] www.curiosites.net 12 photographies sont disponibles sur le site du festival La Veillée Mme Champolleau et Mr Gauthier, originaires de Ménetreux participent à une excursion organisée et sont logés durant leur séjour dans une maison de retraite locale. À l’occasion de leur dernière soirée, ils vont inviter leurs hôtes autour d’un feu pour partager une soupe à l’oignon faite maison. Mr Gauthier alimentera le feu et Mme Champolleau la conversation. Ils seront rejoints par René Garni, président du comité de jumelage de Ménetreux, puis par une aide soignante et un employé communal. Au cours de cette « causerie », il sera question d’étoiles, de Brigitte Bardot, de fondue savoyarde, de point de croix, d’enfileur à bas de contention et de médecine douce, mais aussi d’extraterrestres, de cuisinière à gaz, de pétrole en gel, d’épluchage d’oignons et de toréador. On assistera à un combat contre une bête féroce, au passage d’un char fleuri, à un solo de batterie et à un feu d’artifice de sorcière. On écoutera le silence, Bourvil, Simon et Garfunkel revus et corrigés. On parlera d’amour, de vie, de mort et de boudin maison. On prendra les vessies pour des lanternes et les rêves pour des réalités… Avec de véritables tranches de vies nourries d’histoires « imaginées », La Veillée met le réel de traviole et cul par dessus tête. Au-delà du burlesque, ce théâtre populaire et exigeant, aussi tendre qu’irrévérencieux, mêle écriture dramaturgique, textuelle, non textuelle et improvisation. Le langage artistique, pittoresque, rempli d’humanité, d’humour et de décalage, salue l’art brut comme les inventeurs de tout poil. Ainsi, la fiction vient bousculer le réel... à moins que ce ne soit l’inverse... Le 16 août dans le cadre des Préalables et les 17, 18 et 19 août durée : 2h - spectacle en accès payant Mise en scène : Pascal Rome assisté de Chantal Joblon et Ronan Letourneur Ecriture : Chantal Joblon et Pascal Rome Avec : Chantal Joblon, Pascal Rome, Ronan Letourneur, Capucine Pellet, Patrick Girot et Mathieu Texier Aiguillage : Cyril Jaubert Régie et constructions : Bruno Gastao, Laurent Patard, Mathieu Texier et Patrick Girot Costumes et accessoires : Tezzer Spectacle créé en 2014 Soutiens et coproductions : Les 3T-Théâtres de Châtellerault, Le ThéâtreScène Nationale-Angoulême, Les Tombées de la Nuit-Rennes, Maison des Arts-Brioux-surBoutonne, Sur le Pont-Centre National des Arts de la Rue-Aquitaine-Limousin Poitou-Charentes, Le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest, Le Carré-Les-Colonnes-Scène Conventionnée-Saint-Médard-en-Jalles, Ville de Tremblay-en-France, Ville de Champigny-surMarne OpUS (France) OpUS, l’Office des phabricants d’Univers Singuliers, est une compagnie de théâtre avec des gens qui ne font pas que du théâtre. Ils sont raconteurs de sornettes, machinistes à balivernes, couleuvriers chevronnés, bricoleurs de quart de poils, astiqueurs de mémoires vives ou ravaudeuses de bonnets de langues… Ce sont les « phabricants », de ceux qui chatouillent la vie sous les bras, qui glanent de drôles d’engeances et qui les transforment en drôles d’histoires, qui jouent à déshabiller le réel pour lui tricoter des chandails en vrai-faux… Sous l’impulsion de Pascal Rome, co-fondateur de la compagnie 26000 couverts, le théâtre de la compagnie OpUS explore les petits recoins de la vie. C’est une sorte d’observatoire des gens modestes… C’est parfois un atelier graisseux où se bricolent de jubilatoires pièces à conviction… C’est aussi, pourrait-on dire, un musée contemporain de la bonne humeur… Mais c’est surtout un espace de créations singulières où des histoires presque vraies viennent s’enrouler autour d’imaginaires excroissances du réel… Aujourd’hui, grâce à une belle équipe de compagnons de route, l’activité d’OpUS s’équilibre entre tournée du répertoire et créations tous azimuts : Les Dangers du fromage, spectacle vivant pour 1 comédien, La Quermesse de Ménetreux, spectacle vivant pour 16 comédiens, Les amphigouris, tentatives théâtrales et projets courts au Musée du futur… 22 TOUT EN VRAC CONTACT Nicolas Granet Tout En Vrac 8 rue des Bons Enfants 38000 Grenoble [email protected] www.toutenvrac.net 6 photographies et 1 vidéo sont disponibles sur le site du festival La Cuisinière Une demoiselle, fraîchement sortie d’un dessin de pin-up des années 50, s’affaire autour des fourneaux. Elle n’a qu’une chose en tête, devenir parfaite en concoctant la recette ultime : la tarte choco-caramel meringuée sur son lit de compote de pommes. En un tour de main, la farine se tamise, les œufs se battent, le caramel flambe et la recette tourne au vinaigre. La jeune femme n’est pas seule, elle doit croiser le fer avec une batterie de cuisine démoniaque. Désarmée face à l’alliance d’un fouet électrique, d’un robot ménager et d’un four à chaleur tournante, elle devra se battre férocement pour ne pas finir en rôti. La Cuisinière est un duel, celui d'une femme et de son outil de travail. Deux homonymes pour un dialogue théâtral qui se termine en pugilat. L'univers de la cuisine n'est plus un décor, c'est un organisme vivant accroché au quotidien de sa propriétaire. Qui contrôle qui ? Qui maîtrise qui ? Qui influence qui ? La jeune femme va devoir se battre pour imposer sa loi dans sa propre cuisine. Cherchant à bien faire, elle s'applique. Elle veut faire honneur à son statut de parfaite femme d'intérieur et s'expose à la complexité et à l'absurdité des règles de bienséance qu'elle s'impose. Forcément burlesque, son personnage se retrouve confronté à des situations qui lui échappent. Elle a beau tenter d'exister dans son imagerie de papier glacé, elle ne peut se conformer à un cadre qui l'empêche d'être elle-même. Un carnage culinaire. Les 10, 11, 13, 14, 15 et 16 août dans le cadre des Préalables et les 18,19 et 20 août durée : 35 mn - spectacle en accès libre Tout En Vrac Direction artistique : Nicolas Granet Écriture : Antoine Quirion et Charlotte Meurisse Mise en scène : Charlotte Meurisse Avec : Noémie Ladouce Décors : Nicolas Granet et Bénédicte Jacquier Costume : Aurélie Alcouffe Diffusion : Bénédicte Jacquier Production : Tout En Vrac (France) Les membres de Tout en Vrac sont des créateurs d'images vivantes, sauvages, ouvragées, viscérales, décalées. L’un des piliers de leur travail se situe au point de rupture entre la réalité et l’imaginaire. En investissant l’espace public, ils ouvrent une fenêtre dans notre quotidien pour rêver et faire rêver en grandeur nature. Il s’agit d’offrir un univers à la fois sensible et loufoque, entre merveilleux et démesure. Le réel est la matière première de leur imaginaire. De l'écriture aux points de soudure, ils mitonnent des spectacles qui se déploient dans un théâtre à ciel ouvert. Le spectacle vivant est mis au service d’une idée, d’une énergie, d’une histoire. À travers leurs spectacles fixes ou déambulatoires, ils sont toujours à la recherche d’une dramaturgie espiègle, d’une image spectaculaire ou d’une émotion juste. Dans la perspective d’un théâtre total et manufacturé, leurs créations sont portées par un amour de la construction plastique et des réalisations techniques. Et pour ce faire, ils réalisent avec passion décors, costumes et effets spéciaux. Pour le plaisir de chacun, Tout En Vrac réintègre la magie visuelle dans le théâtre. Tout En Vrac compose sa fantaisie théâtrale sur le terrain de jeu illimité qu’est la rue et met en formes et en images des histoires pour créer du rêve au milieu de la ville. 23 TRICyCLIqUE DOL CONTACT Peggy Kintzinger Tricyclique Dol 10 avenue de Chardonnet 25000 Besançon 09 50 75 95 11 [email protected] www.tricycliquedol.com 3 photographies sont disponibles sur le site du festival Direction artistique, scénographie, construction : Ben Farey Textes : Fabrice Melquiot, représenté par L’Arche, agence théâtrale Univers graphique et numérique : Guillaume Bertrand Jeu : Florent Blanchot Conception technique et technologique : artlab 3615 señor – Emmanuel Patoux, Guillaume Bertrand Voix : Laurie Comtesse, Doris Ittig, Georges Guerreiro, Christian Scheidt, Claude-Inga Barbey, Richard Vogelsberger, Stéphanie Schneider, Florent Blanchot, Armance Melquiot, Fabrice Melquio Production : Peggy Kintzinger, Nancy Abalo. Production : Collectif Tricyclique Dol Coproductions : Culture Commune-Scène nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais, Les Scènes du Jurascène nationale, Espace multimédia Gantner-service du département du Territoire de Belfort, MA scène nationale-Pays de Montbéliard. Résidences : Culture Commune-scène nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais, Bien UrbainBesançon, Les Scènes du Jura-scène nationale, Espace multimédia Gantner-service du département du Territoire de Belfort, MA scène nationale-Pays de Montbéliard, Le pOlau-pôle des arts urbains-Saint Pierre des Corps. Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA et DRAC FrancheComté, CNC-dispositif pour la création multimédia et numérique DICRéAM, Conseil Régional de Franche-Comté, Conseil Départemental du Doubs, Ville de Besançon Trouble Création in situ Trouble, c’est un voyage, un voyage en ville, un voyage vers les autres, c’est parler dans les autres et croire que les autres sont en soi. Expérience singulière d’arpentage poétique, voyage ostéophonique, introspection à découvert, Trouble vous emmène au cœur de l’espace urbain, guide votre regard vers ce qui vous entoure et le plonge dans ce qui vous habite. Trouble, ce sont des gens qui parlent dans la tête des gens. C’est l’humanité toute entière qui cherche un corps qui serait une oreille. L’humanité a des questions à (se) poser. Il faut se dire les choses. Écrire Trouble, c’est écrire dans l’espace public. C’est prendre l’espace public comme espace de jeu, espace à poétiser, espace du réel à muer en espace de rêve. Ecrire Trouble, c’est s’inscrire dans l’espace de tous, au nom de la poésie et de l’altérité, au nom de l’invendable et de l’être ensemble. Mais l’espace public est-il l’espace de tous ? L’espace public est-il encore public ? L’espace public ne serait-il qu’une agrégation d’espaces privatifs, réservés ? Espaces hygiénistes, espaces à vendre, à louer, espaces à aménager, espaces à négocier, espaces du deal permanent. Trouble, c’est nommer que la poésie est sans doute l’espace public par excellence, l’espace de tous les publics, l’espace affranchi des règles fossilisées, royaume se renversant sans cesse : l’espace libre, à libérer toujours, l’espace soustrait au négoce, au compromis. Trouble, c’est passer par les murs, le temps du voyage. Et laisser sur les murs des empreintes fragiles. Afficher des poèmes à voir et entendre. Pour quelques heures à partager, se laisser hanter. Existe-t-il encore un affichage public ? Un affichage libre ? Libre, qu’est-ce que ça veut dire ? Trouble, c’est une invitation à distinguer la parole construite du cri d’alarme, l’exercice d’empathie du coup d’éclat invasif. Un poème en ville, qui serait celui de tous. Du 17 au 20 août durée : parcours de 30 à 50 mn - spectacle en accès payant Tricyclique Dol (France) C'est leur commune fascination pour la magie des interactions mécaniques et le savant dosage des matières en réaction qui rassemble en 2001, Ben Farey, Guillaume de Baudreuil et Laurent Mesnier, autour du désir de matérialiser des univers et des histoires vivantes, bruyantes, ludiques et sensorielles. Entremêlant le récit et l'invention d'engins, de sculptures ou de scénographies évolutives, les formes artistiques développées par le collectif s'attachent à stimuler et faire jeu des perceptions. Toutes font sens avec l’espace, l’environnement ses composantes. Il s’agit de mettre en route un processus perceptif, cherchant à mettre en évidence ce que l’environnement raconte pour que le spectateur se réapproprie le sens latent, voire le réinterprète. Chaque pièce du répertoire cultive un rapport au public différent par son mode d’adresse, mais la récurrence réside dans l’implication du spectateur, la volonté de le solliciter, de le rendre actif et réactif à la proposition, en lui proposant un temps de l'ordre de l'expérience. Le collectif a 5 spectacles à son répertoire – Le Manège à JiPé (2002), Cheminement-s (2003), Source (2008), Contre Nature (2012) et Trouble (2016). Parallèlement à ses propres créations, il imagine des projets éphémères s'inspirant de l'espace et des gens, aventures spécifiques et in-situ réalisées pour des événements ou des commandes. Tricyclique Dol collabore également avec d'autres équipes au gré des rencontres et des appétits partagés, pour la conception et la réalisation de scénographies, d'accessoires et de machinerie. 24 Les rendez-vous professionnels Le Rendez-vous des Compagnies de passage Accueil des Compagnies de passage Bureau du Festival 20 rue de la Coste - 15000 Aurillac + 33 (0)4 71 43 43 74 [email protected] Ouvert de 10h à 19h du 15 au 20 août Pour les journalistes et professionnels : Ces documents sont à votre disposition gratuitement à l’accueil presse et professionnel sur présentation de votre badge d’accréditation. Le Festival d’Aurillac s’est, depuis sa création, attaché, en parallèle de la programmation dite officielle, à accueillir tous les artistes de rue qui souhaitent se produire dans les rues, squares et cours d’Aurillac. Le Rendez-vous des compagnies de passage aura lieu du 17 au 20 août. Aujourd’hui, ce sont plus de 600 compagnies qui se réunissent à Aurillac et font de notre événement un moment exceptionnel de création, de recherche et de diffusion artistique. Le programme des compagnies de passage est disponible dès le 16 août. Le catalogue 2016 des compagnies offre un véritable répertoire bilingue (Français-Anglais) des compagnies. Ne sont présentées dans cet outil que les compagnies professionnelles qui en ont fait le choix. Ces documents sont en vente aux points d’accueil du Festival. Les rencontres professionnelles Accueil des professionnels École Jean-Baptiste Rames 8 rue Jean-Baptiste Rames - 15000 Aurillac + 33 (0)4 71 43 43 82 [email protected] Ouvert de 14h à 19h le 15 août et de 9h30 à 19h du 16 au 20 août Entre le 17 et le 20 août, la ville ouvrira en grand ses portes aux spectacles, aux artistes et aux spectateurs. Mais le festival d’Aurillac est aussi le rendez-vous des programmateurs et des accompagnateurs, des observateurs et des critiques, des auteurs et des penseurs, des orateurs et des acteurs, des amateurs et des curieux du théâtre de rue et de l’art dans l’espace public. Autant de personnes qui ont des projets à présenter, des idées à partager, des concepts à éprouver, des débats à enflammer, des cris à pousser, des textes à déclamer, une liberté à exprimer… Comment provoquer et faire circuler la pensée au milieu de cette effervescence festivalière, créative et sensible ? Comment se rencontrer, échanger, prendre quand même le temps ? Au-delà des coins de portes, des bouts de ruelles ou des tables des cafés, le théâtre de rue a besoin de ces temps collectifs, ouverts et partagés… Ils paraissent nécessaires, ils sont simplement urgents ! D’autres actualités nous rattrapent et d’autres réalités s’imposent : Comment intégrer les nouvelles responsabilités liées à la sûreté, à la sécurité dans l’espace public en ces temps d’urgence, comment s’outiller, se former face à ces nouvelles mesures et règlementations ? Comment continuer à parler ensemble de participation, de collaboration, de co-construction dans la création artistique alors que les champs politiques, économiques, sociaux sont tout autant bouleversés par cette nouvelle donne ? Comment évoquer les relations déjà foisonnantes entre le monde de l’art et celui de l’aménagement des territoires ? Comment porter des propositions de dispositifs techniques et financiers pour donner un nouvel oxygène à la politique culturelle pour les arts de la rue au vue des prochaines échéances électorales ? Comment appréhender le récent 1% travaux publics, la nouvelle loi LCAP (liberté de création, de l’architecture et du patrimoine) ? L’espace public, résolument commun devient une ressource rare, un « bien » convoité, un champ de bataille, régulé d’une manière exponentielle. Au temps où la liberté de création rejoint comme principe fondamental la liberté d’expression, faudra-t-il se cacher pour l’exprimer ? Notre sens des responsabilités grignote-il notre besoin d’inconscience ? Ce qui se passe sur les pavés nocturnes des villes de France nous concerne-t-il ? Et ce qui se passe un peu plus loin, de l’autre côté de la méditerranée, toute cette humanité qui s’exprime, elle aussi, dans l’espace public, tous ces artistes qui résistent, tous ces enfants qui créent ? Cela nous concerne-t-il ? Le programme détaillé de ces rencontres est disponible dans le programme officiel téléchargeable sur le site du Festival Pendant 4 jours, nous vous convions à différentes rencontres, à tous ces temps nécessaires, à ces échanges féconds, à ces prises de parole urgentes : « Le Don du Sens #2 », Intervention de mise en débat dans l’espace public « Participation, Coopération et Co-construction ! Quels parallèles entre le champ de la création artistique et les champs politiques, économiques, sociaux et sociétaux ? » « Technique, sûreté et sécurité dans les arts de la rue à l’heure de l’état d’urgence » avec la FAI-AR, Formation supérieure d’art en espace public Présentation du Plan Guide « Arts et aménagement des territoires » avec le pOlau, pôle des arts urbains « Le livre blanc des arts de la rue » : atouts et propositions d’un secteur au cœur de l’espace public avec la Fédération Nationale des Arts de la Rue Les Présentations de projets de création 2017 proposées par HorsLesMurs et le Festival d’Aurillac Les rendez-vous d’organisations professionnelles telles que La Fédération des Arts de la rue, la FAI-AR, la SACD… Des temps de rencontres disséminés dans la ville avec des compagnies de passage et des collectifs… 25 Les rendez-vous professionnels La Fédération Nationale des Arts de la rue Permanences : Le 16 août de 9h30 à 19h et le 20 août de 10h à 15h Maison du Festival 20 rue de la Coste - 15000 Aurillac Les 17, 18 et 19 août de 10h à 19h Accueil des professionnels et de la presse École Jean-Baptiste Rames 8 rue Jean-Baptiste Rames - 15000 Aurillac Contact : Fédération Nationale des Arts de la rue + 33 (0)1 42 03 91 12 + 33 (0)6 33 81 22 93 [email protected] www.federationartsdelarue.org Le « Livre blanc des arts de la rue » : Atouts et propositions d'un secteur au cœur de l'espace public Notre société vit de profondes transformations : prolongation de l'état d'urgence, espace public à vif entre privatisation et réappropriation. L'échiquier politique et territorial français est en recomposition, entre le redécoupage des régions et la baisse des dotations aux collectivités territoriales. Les arts de la rue, dans leur pluralité d'expressions artistiques, posent en actes des valeurs de réappropriation de l'espace public, de faire collectif et d'émancipation individuelle dans le respect des droits culturels. Dans ce contexte, la Fédération Nationale des Arts de la rue est le porte voix d'une profession en fragilité et réaffirme la liberté de création dans l'espace public. Fruit de deux années d'échanges et de rencontres, le « Livre blanc des arts de la rue » se fait l'écho des revendications de notre secteur et propose de nouveaux dispositifs pour favoriser cette création. La Fédération des Arts de la rue vous invite à venir échanger autour de cet outil pédagogique sur les spécificités de la création artistique en espace public. La SACD - Dispositif Auteurs d’Espaces Le 19 août à 13h Rencontre avec les équipes artistiques soutenues, Linda Corneille, directrice du spectacle vivant SACD et Jérôme Thomas, Administrateur Arts du Cirque École Jean-Baptiste Rames 8 rue Jean-Baptiste Rames - 15000 Aurillac À travers Auteurs d’Espaces, la SACD soutient tant les jeunes compagnies que le travail d’auteurs confirmés. Dans les projets retenus chaque année, la SACD et les festivals partenaires s’engagent sur des projets qui affirment la spécificité de notre répertoire et l’innovation, ainsi que des équipes émergentes dans les arts de la rue. Pour que ces actions perdurent et s’amplifient, il est vital que les auteurs déclarent leurs œuvres, et précisément dans le répertoire Arts de la Rue. Être membre de la société des Auteurs, c’est également rejoindre une société mutualiste qui défend les œuvres et le droit à la création. quatre projets présents en 2016 au Festival d'Aurillac ont été soutenus : Rivages de la Folie Kilomètre In-Paradise d’Ex Nihilo Trouble de Tricyclique Dol Zéro Avril de l’Association Roure Les Éditions L’Entretemps Le 19 août de 12h à 13h Librairie - École Jean-Baptiste Rames 8 rue Jean-Baptiste Rames - 15000 Aurillac Des Mots, des auteurs, des acteurs. Présentation des 10 ans de la collection Carnets de rue. En présence de Claudine Dussolier et Frédéric Michelet Les présentations de projets de création 2017 Le 18 août de 9h30 à 12h30 École Jean-Baptiste Rames 8 rue Jean-Baptiste Rames - 15000 Aurillac À l’instigation d’HorsLesMurs et du festival d’Aurillac, les présentations de projets de création se dérouleront sur une journée. Professionnels, à vos agendas ! La liste des projets présentés sera disponible mi-juillet 26 Les rendez-vous professionnels Le Don du Sens #2 Intervention de mise en débat dans l’espace public Du 17 au 20 août de 14h à 15h Maison du Festival 20 rue de la Coste - 15000 Aurillac Animer un espace de réflexion collective et de débat public. Susciter la rencontre, l'échange, la prise de position et la compréhension. Créer une agitation politique à échelle humaine. questionner le sens de ce qui se déroule. L'art et la culture dans l'espace public… qu'est-ce que ça peut bien (nous) faire ? L'idée du projet Don du Sens est de renouveler la forme des rencontres thématiques, en les insérant dans un espace artistique et en cherchant la restitution de paroles qui seront déployées dans l'espace-temps du festival sous une multitude d'écritures. Ce que cherche Don du Sens est à la fois une ouverture des conversations, en termes de public et de paroles recueillies, et une prise en main par des créateurs, avec une écriture pour l'espace public. Le projet est pensé comme une création pour l'espace public, il prend place dans la rue mais ne se limite pas à ses aspects performatifs et prend la forme d'un projet transmédia : live, sonore, graphique, textuel, mémoriel. Il vise à restituer la parole d'artistes, de professionnels, du public, des habitants, des acteurs institutionnels, et d'interroger la diversité de ces acteurs, de faire émerger ce qui fait sens, et, au-delà, ce qui se passe, ce qui se donne, ce qui se prend. Don, contre-don, sens, cible, espace et temps du sensible. Don du Sens est donc à la fois un projet artistique, un média et une rencontre du festival. Le projet s'articule autour d'une question centrale : qu'est-ce qui se fabrique ici ? Autour de dispositifs de collectes de paroles non convoquées, de débats provoqués et d'interviews, Don du Sens se déploie dans l'espace-temps du festival sur des médias qui se répondent : - une performance live quotidienne - un volet graphique « urbain » - des « éclats radiophoniques » et sonores - un rassemblement de ces différents aspects de la création dans un lieu virtuel, un espace web, qui redéploie ces différentes écritures, les rend accessibles dans le temps du festival, et leur donne une vocation d'archives, de traces. Cette création s'appuie sur un metteur en scène, boueb, de la compagnie Les Grands Moyens, d'un créateur sonore, François baraize et d'un graphiste, Mickaël Madrignac. boueb. Après avoir cogné les trottoirs en crachant le feu, écumé les bistrots en jouant du rock et refait le monde sur les bancs de l’université de sociologie, après avoir fait majoritairement l’acteur ou le danseur pour des compagnies de rue, après avoir monté un triptyque de rue en solo, Boueb prend un temps pour se former à la FAI-AR à Marseille (Formation supérieure d’art en espace public). Directeur artistique des « Grands Moyens », il crée en 2012 sa Grève du Crime. Boueb provoque par des actes et prête à rire avec ses mots. Il se dit « persécussioniste ». Le rythme le met en mouvement, le geste livre ses émotions profondes. Il voulait faire la révolution, il est parti faire un petit tour. François baraize. Touche à tout de l'analyse des économies artistiques, des politiques culturelles et des dynamiques territoriales, formateur et chargé de cours à l’université Montpellier 3, François Baraize se définit comme un mercenaire de la communication politique, artistique et culturelle. Cycliste urbain, écologiste militant, journaliste culturel et producteur radio indépendant, il aime parler de la vie de ses contemporains, défendre des causes qui lui tiennent à cœur, faire avancer des idées, ou, plus prosaïquement, tenter de les faire partager, d’en tirer des débats, des échanges, des dialogues. Mickaël Madrignac, âgé de 24 ans est natif d’Aurillac. Après des études de communication puis de dessin en exécution graphique, il passe un Bac Pro artisanat et métier d'art en 2010. Il se met ensuite à son compte dans la région sous le nom de PUB Concept, nom venant de son pseudonyme artistique "PUB". Issu de la culture Graffiti/Urbaine, il démultiplie ses talents de graphiste, illustrateur, typographe, graffeur, peintre en lettre…, afin de répondre à des commandes diverses et variées. Il est aussi membre de Session Libre, association créatrice du festival « Les Sessions Volcaniques », qui défend les cultures urbaines et du « 10e Art Festival » (www.sessionlibre.com) 27 Le Parapluie Centre international de création artistique, de recherche et de rayonnement pour le théâtre de rue Le Parapluie est financé par : La Communauté d'Agglomération du Bassin d'Aurillac, Le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC AuvergneRhône-Alpes, La Région Auvergne-Rhône-Alpes, Le Conseil Départemental du Cantal Une visite du Parapluie est organisée le 19 août à 14h Inscriptions auprès de l’accueil professionnel et de l’accueil presse Le Parapluie, premier lieu de fabrique construit de toutes pièces et dédié au théâtre de rue a ouvert ses portes à Naucelles durant l’édition 2004 du Festival d’Aurillac. Composé de véritables espaces de travail : ateliers spécifiques de construction, studio de répétition et espace extérieur aménagé pour l’installation de chapiteaux, ce centre permet la construction et la mise en œuvre des projets de spectacles des compagnies accueillies en résidence. S’ajoutant au lieu d’hébergement, ce lieu de fabrique donne aujourd’hui au Festival d’Aurillac les moyens d’accueillir et d’accompagner les artistes tout au long du processus de création et toute l’année. Avec Le Parapluie, l’Association Eclat, productrice du Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac, affirme ainsi sa mission de Centre international de création artistique, de recherche et de rayonnement pour le théâtre de rue. Accueils en résidence en 2015 et 2016 : 2015 Le G.bistaki - The Baïna Trampa Fritz Fallen Carabosse - Hôtel particulier KompleX KapharnaüM - Do Not Clean Delices DADA - La Géographie des Bords Kumulus - Naufrage Groupe Zur - Prochainement Théâtre du Centaure - La 7e Vague La Française de comptage - Vous en voulez Le Phun - Palissades 2016 Adhok - Immortels 26000 couverts - À bien y réfléchir et puisque vous soulevez la question... Oposito - La Symphonie des sapins Les 3 points de suspension - Squash - divertissement pour subconscient Association Roure - Zéro Avril Malaxe- Entr(EUX) La FAI AR - Accueil de la 6e promotion avec le Théâtre de l’Arpenteur Compagnie Off- Wild Side Story Générik Vapeur - La Deuche Joyeuse-Opéra de Parvis La Française de comptage - Vous en voulez Alixem - BRAME ou tu me vois crier, papa ? La liste des compagnies accueillies en résidence - liste comprenant également les créations soutenues avant la construction du Parapluie - est disponible sur demande. 28 Les partenaires Le Festival d’Aurillac est financé par la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac le Ministère de la Culture et de la Communication le Conseil Régional d’Auvergne-Rhône-Alpes le Conseil Départemental du Cantal réalisé avec le soutien logistique de la Ville d’Aurillac et l’aide de la SACD-Auteurs d’Espaces CEMEA Auvergne l’Association Accent Jeunes Trans’Cab Pôle Médico-social Enfance de l’ADSEA du Cantal Partenaires économiques La Caisse Régionale de Crédit Agricole-Centre France, 1er partenaire privé La Caisse des Dépôts et Consignations Les 3 Caves HOP ! Air France S.N.C.F. direction de Clermont-Ferrand ERDF Electricité Réseau Distribution France Cantal Reprographie Société Bois et Paysages JC Decaux MAIF et les membres du Club Entreprise Auriplast BMW Centre Leclerc Aurillac Escot Télécom KPMG La blanchisserie Boisset La Chambre des Métiers Logisens Maison d’hôtes de la Chapellenie Poivre & Sel Traiteur Salon Dessange Aurillac Partenaires presse Libération Télérama La Terrasse France Culture La Montagne La Voix du Cantal Radio Totem France 3 Auvergne 29 Festival, mode d’emploi Comment se rendre à Aurillac Par avion : HOP ! Air France Réservations : www.hop.fr, www.airfrance.com et agences de voyages Par route : Accès depuis les sorties St-Flour ou Massiac de l’Autoroute A75 Accès depuis les nationales 122 et 120 Covoiturage : www.covoiturage.fr Par train : SNCF Tarifs découverte ou cartes valable sur l'ensemble du réseau SNCF Informations sur www.sncf.fr et www.ter-sncf.com/auvergne Comment se loger à Aurillac Office de Tourisme du Pays d’Aurillac + 33 (0)4 71 48 46 58 CEMEA Auvergne - Hébergement de groupes + 33 (0)4 73 98 73 73 Informations - Maison du Festival + 33 (0)4 71 43 43 70 billetterie Une mise en vente a lieu le 27 juin, uniquement sur place, à l’Office de tourisme pour les habitants de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac > du 28 juin au 14 août : www.aurillac.net et sur place à l’Office de Tourisme du Pays d’Aurillac > du 15 au 20 août : sur place à la billetterie du Festival Tarifs de 0 à 15 euros Accueil des professionnels et des journalistes du 15 au 20 août École Jean-Baptiste Rames, 8 rue JB Rames- 15000 Aurillac Accueil Professionnel tél. : + 33 (0)4 71 43 43 82 - fax : + 33 (0)4 71 43 43 83 Billetterie professionnelle : tél. : 33 (0)4 71 43 43 88 Accueil Presse tél. : + 33 (0)4 71 43 43 84 - fax : + 33(0)4 71 43 43 85 Application SmartPhone (Androïd et IOS) Vous pourrez consulter le programme officiel du Festival et découvrir en temps réel la programmation des compagnies officielles et des compagnies de passage. Téléchargeable à partir de mi-juillet 30 Accueil Presse Nouvellement installé à l’École Jean-baptiste Rames, le service de presse vous recevra le 15 août de 14h à 19h et du 16 au 20 août de 9h30 à 19h afin de faciliter votre travail. Pour nous permettre de préparer votre venue, merci de retourner le formulaire de demande d’accréditation avant le 2 août à : Anne Lacombe - zinc production 9 rue de la Pierre Levée - 75011 Paris + 33 (0)1 49 29 00 08 [email protected] Aurillac 2016 Demande d’accréditation Prénom, Nom :.................................................... Média :................................................................ Fonction :............................................................ Adresse :............................................................. Code postal, ville :.............................................. Tél. :.................................................................... DOCUMENTS ANNEXES DISPONIbLES SUR DEMANDE Le Festival depuis 1986 Liste des compagnies programmées Mobile :............................................................... Email :................................................................. Média Presse écrite O nationale Liste des compagnies accueillies Parution O quotidien O hebdo O mensuel O autre Tournées des compagnies Radio O nationale O régionale O locale Dossiers des compagnies et biographies des artistes Télévision O nationale O régionale O locale Agence de presse O nationale O régionale Les Résidences au Parapluie Photographies de presse Des photographies des compagnies réservées à l’illustration des articles sont téléchargeables sur le site du Festival : www.aurillac.net (rubrique Presse). Photographe O agence O régionale O locale O pigiste O web O indépendant Dates de séjour : du..................au..............inclus Lieu de séjour à Aurillac :................................... Avant tout téléchargement, vous devez obtenir un code d’accès auprès du service presse. 31