dossier de presse - (france) - t2g theatre de gennevilliers centre
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photo : Pascal Victor FRANCE – SPECTACLE MUSICAL Pascal Dusapin, André Wilms Momo du 4 au 10 février 2011 spectacle musical jeune public, à partir de 5 ans Représentations : vendredi 4, mardi 8, mercredi 9, jeudi 10 février à 9h30 et 14h30 samedi 5 février à 14h et 18h30 Tarifs : 11€ / 9€ / 5€ Réservation : sur place ou par téléphone au 01 41 32 26 26 / du mardi au samedi de 13h à 19h ou [email protected] et en ligne sur : www.theatre2gennevilliers.com Service de presse : Théâtre de Genneviliers : Philippe Boulet — 01 41 32 26 10 — [email protected] FRANCE – SPECTACLE MUSICAL Pascal Dusapin, André Wilms Momo du 4 au 10 février 2011 musique, Pascal Dusapin (nouvelle version, commande de T&M) mise en scène, André Wilms texte, Leigh Sauerwein décor, Nicky Rieti lumière, Bernard Jamond costumes, Elisabeth Tavernier avec Richard Dubelski, récitant et cymbalum Alexandra Greffin, violon Cédric Conchon, violoncelle Marina Moth, clarinette Florentino Calvo, mandoline / guitare durée : 40 mn Momo est édité en livre-disque par Gallimard Jeunesse dans la collection « Mes premières découvertes de la musique » production : T&M - Paris. photo : Pascal Victor Momo vit dans un cirque avec son grand père le très célèbre clown Huberto. Il aime courir entre les caravanes, il aime regarder Bettina lʼacrobate. Son grand-père le destine à être clown, mais le pauvre Momo nʼaime pas les clowns… Heureusement les animaux du cirque sont les amis de Momo. Ils vont lʼaider à découvrir qui il est et à trouver sa place sous le chapiteau. Composé par Pascal Dusapin, ce petit « opéra » pour un récitant et quatre musiciens évoque avec humour et poésie lʼunivers particulier et mystérieux du cirque et donne ainsi vie à tous ces personnages. Saisissant lʼart du conte et de lʼillusion, ce spectacle, signé par André Wilms, reconstruit à lʼintérieur dʼune boîte magique tout un imaginaire propre à lʼenfance et accompagne visuellement cette fable musicale. Momo Composée pour 9 instruments et récitant, lʼhistoire de Momo était initialement destinée à un livre-disque illustré, racontée par André Wilms (Editions Gallimard Jeunesse). Le succès de cette initiative éditoriale fut immédiat. À Strasbourg, en septembre 2000, devant 300 très jeunes spectateurs, Pascal Dusapin dirigea pour lʼoccasion un orchestre dʼélèves du conservatoire qui accompagnait André Wilms. La réaction fut « spectaculaire » ! De là vient lʼidée de créer un spectacle jeune public à partir de cette histoire de Momo. T&M, à qui lʼon doit la création française du deuxième opéra de Pascal Dusapin dans une mise en scène dʼAndré Wilms (Medeamaterial, automne 2000), a convaincu le compositeur et le metteur en scène de sʼattaquer à cet exercice. La partition a donc été réécrite et mise en scène dans un décor de Nicky Rieti, présentée pour la première fois dans le cadre de la Saison Jeune Public de Nanterre en novembre 2002. Avec Momo, l'ambition de T&M est d'offrir au jeune public un spectacle riche et étonnant, signé par des artistes reconnus qui se mesurent ainsi pour la première fois à ce genre particulier. "Commande des Editions Gallimard Jeunesse, créée en 1996 pour un livre-disque, ces musiques pour Momo sont ainsi "entrées au répertoire" de la musique pour enfants. T&M a souhaité quʼil devienne un spectacle et mʼa demandé de réorchestrer la partition. Pour toute lʼéquipe, des décors à la mise en scène, pour les musiciens, cʼest en fait un énorme travail. Ça nʼa apparemment pas lʼambition de Medeamaterial ou de To Be Sung, mais dʼune certaine manière, cʼest encore plus compliqué. Il faut jouer et ruser avec les contraintes - salles peu équipées, brièveté du temps dʼinstallation technique - et ne pas abaisser le niveau dʼexigence artistique. Est-ce quʼil y a des concessions musicales en fonction de lʼauditoire ? Il faut être léger, lisible, mais ça reste mon écriture." Pascal Dusapin "Jʼavais participé à lʼenregistrement du disque en tant que comédien. Je le mets en scène aujourd'hui comme je ferais un spectacle pour adultes, avec la même rigueur, en me gardant dʼinfantiliser lʼouvrage. Je repense à cette expérience menée par Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe avec des enfants du primaire : selon eux, la philosophie ne les rebutait pas du tout. Apparemment, la musique contemporaine, en tout cas celle-là, ne les rebute pas non plus. Momo est une pièce formidable, où le contemporain s'associe au ludique. Dusapin, pour moi, est un compositeur “joyeux”. Cʼest ce qui me plaît dans sa musique. Rien à voir avec le dogmatisme ou lʼaspect sinistre de beaucoup de musiques. Finalement, cʼest un des projets les plus difficiles que je monte ; pour le scénographe et les interprètes aussi. Dʼénormes contraintes, et lʼobligation dʼêtre toujours inventif, et de créer une forme ouverte, pour que les enfants puissent trouver leur place dedans, rêver avec." André Wilms Momo et les instruments de musique, le texte Nous allons vous raconter lʼhistoire de Momo, lʼenfant du cirque qui ne voulait, ni être un clown, ni dompteur, ni garçon dʼécurie, ni lanceur de couteau, ni contorsionniste, ni fil de feriste, ni compositeur, ni chef dʼorchestre, ni raton laveur… mais CHUT… Marche (p. 3 de la partition) Il était une fois un petit garçon appelé Momo qui vivait dans un cirque. Le cirque voyageait de ville en ville. Momo adorait courir entre les caravanes, et sauter de lʼune à lʼautre. Mais quand il faisait cela, son grand père passait la tête à la fenêtre et criait : « Arrête ça tout de suite Momo ! tu vas te casser le cou ! Arrête ça tout de suite Momo ! tu vas te casser le cou ! » Le grand-père de Momo était un clown célèbre, il sʼappelait le Grand Huberto. Souvent, il disait : « Momo, tu sais, un de ces jours je serai trop vieux, tu prendras ma place, tu seras un grand clown. » Mais Momo nʼétait pas sûr de vouloir être un grand clown. Quand on dressait la tente dans une ville nouvelle, Momo regardait Bettina, lʼacrobate, qui sʼexerçait. Elle lui souriait. Momo lʼaimait bien. Mais si le Grand Huberto attrapait Momo à grimper sur lʼéchelle de corde avec Bettina, il hurlait : « Descends immédiatement ! tu veux donc te casser les deux jambes ! » Valse (p. 9 de la partition) Et puis le spectacle commençait. Quand Huberto entrait en trébuchant sur la piste illuminée, tous les gens hurlaient de rire. Tango (p. 12 de la partition) Et quand Huberto jouait du violon ils sortaient leurs mouchoirs. Mais Momo nʼarrivait pas à trébucher et à tanguer. Et quand il jouait de son petit violon, personne ne pleurait. Un soir Huberto perdit patience. « Momo, espèce dʼidiot ! cria-t-il, tu nʼes bon quʼà faire le garçon dʼécurie ! va nourrir les animaux ! - Huberto ! dit Bettina de sa voix douce, tu nʼes pas juste avec Momo ! » Momo sortit en courant dans la nuit. Il se glissa sous la caravane de Bettina et fondit en larmes. « Je ne veux pas être un clown, sanglota-t-il, je nʼaime pas les clowns ! » Berceuse (p. 20 de la partition) Soudain Momo entendit des voix. Cʼétait lʼéléphant et lʼours. « Écoute Momo, écoute nous ! Arrête de regarder tes pieds ! Si tu veux vraiment savoir qui tu es, regarde en lʼair ! - Momo, Momo ! murmurèrent le cheval et le lion. Regarde le ciel ! regarde les oiseaux ! regarde les étoiles ! - Et pour quoi faire regarde le ciel, regarde les oiseaux, regarde les étoiles grommela Momo, je ne suis quʼun garçon dʼécurie ! » Une belle lune ronde éclairait le cirque. Tout à coup le cheval se mit à hennir, lʼours commença à grogner, et lʼéléphant à barrir. Le lion leva la tête et rugit. Momo courut loin pour échapper à tout ce vacarme. Puis il sʼarrêta pour reprendre son souffle. Devant lui, la tente se dressait dans la pénombre. Momo sʼallongea au milieu de la piste. Au-dessus, le trapèze se balançait doucement. À présent on aurait dit que tous les animaux chantaient pour lui : « En lʼair, Momo, en lʼair ! Regarde en lʼair ! ». Il se mit à grimper le long de lʼéchelle de cordes, il atteignit le sommet de la tente. Personne ne criait : « arrête tu vas tomber » Les mains de Momo se refermèrent sur la barre de bois. Cʼétait doux. Momo commença à se balancer dans les airs. Dʼavant en arrière, dʼarrière en avant. Momo riait, il riait fort. Il volait de plus en plus haut, de plus en plus vite, il avait lʼimpression dʼavoir fait cela toute sa vie. « Quʼest-ce qui se passe ici ! cria le Grand Huberto. Où est Momo ? » Tous les gens du cirque étaient là, le nez en lʼair. Alors Huberto leva les yeux, lui aussi. « Oh ! » sʼexclama-t-il. Et puis « Ah ! », et encore « Oh ! ». Là-haut, tout là-haut, Momo volait dans les airs. Comme un oiseau. Bettina escalada lʼéchelle de cordes, et tendit les mains à Momo. Lentement ils se laissèrent glisser jusquʼau centre de la piste illuminée. Alors le Grand Huberto prit Momo dans ses bras, et sʼécria : « Momo, Momo, pardonne-moi, je voulais faire de toi un clown, mais là je dois te lʼavouer, tu mʼépates, tu es un acrobate ! Jamais plus je ne serai sévère avec toi, lʼidiot cʼétait moi ! » « Hourra ! » crièrent les gens du cirque, « Vive Momo ! ». lʼéléphant sonna de sa trompe, le lion rugit comme au cinéma, lʼours se dandina comme un danseur de tango, et le cheval hennit comme un chanteur enroué. Une grande parade sʼimprovisa aux cris de « Vive Momo, lʼenfant oiseau ! ». texte de Leigh Sauerwein adaptation de André Wilms Edité par Gallimard Jeunesse dans la collection "Mes premières découvertes de la musique. Pascal Dusapin Pascal Dusapin est une des personnalités incontestables de la musique française d'aujourd'hui dont lʼœuvre trouve désormais une large diffusion. En 2008, son sixième opéra Passion est créé au Festival dʼArt Lyrique dʼAix-en-Provence (mise en scène Giuseppe Frigeni, direction Franck Ollu). Son premier opéra Romeo & Juliette fait lʼobjet dʼune nouvelle production à lʼOpéra Comique (mise en scène Ludovic Lagarde, direction Alain Altinoglu) et Medea est repris au Théâtre de Gennevilliers, dans la mise en scène dʼAntoine Gindt. En 2006-2007, son cinquième opéra Faustus, The Last Night, mis en scène par Peter Mussbach est présenté au Théâtre du Châtelet à Paris (Victoire de la musique 2007), repris au Staatsoper de Berlin, publié en DVD par Naïve, fait lʼobjet dʼune nouvelle production au Festival de Spoleto (Etats-Unis). De février à mai 2007, il est professeur au Collège de France (chaire de création artistique). Medeamaterial, fait lʼobjet dʼune nouvelle production mise en scène et chorégraphiée par Sasha Waltz (Luxembourg, mai 2007, Berlin, septembre 2007). Reverso sa dernière partition dʼorchestre est créée au Festival dʼAix-en-Provence par lʼOrchestre Philharmonique de Berlin sous la direction de Sir Simon Rattle. Essentiellement autodidacte, il a suivi les séminaires de Iannis Xenakis de 1974 à 1978, été pensionnaire de la Villa Medicis à Rome de 1981 à 1983 et compositeur en résidence à l'Orchestre National de Lyon en 1993 et 1994. Lauréat du prix de la vocation en 1977, il a également obtenu le prix Hervé-Dugardin (Sacem) en 1979 et, en 1993, le prix de l'Académie des beaux-arts, celui du Syndicat de la Critique et le Grand Prix de la Musique du Ministère de la Culture. En 1998, 2002 et 2007, il obtient les Victoires de la Musique. En 2007 il est lauréat du Prix Dan David. Plus de quatre-vingt œuvres jalonnent une carrière qui se développe dans tous les domaines de la composition : instrument seul, musique de chambre, orchestre, opéra. Certaines ont particulièrement contribué à sa notoriété, notamment ses cinq opéras (Romeo & Juliette, 1989 ; Medeamaterial, 1992 ; To Be Sung, 1994, Perelà, Uomo di fumo, 2003, Faustus, The Last Night, 2006), deux oratorios (Niobée, 1984 ; La Mélancholia, 1992), ses quatuors à cordes (1983, 1990, 1993, 1997, 2005), des grandes pièces d'orchestre dont Assaï (1985) et Haro (1986) qui furent chorégraphiées par Dominique Bagouet et, en cours, un cycle de « solo pour orchestre » : Go (solo n°1, 1992), Extenso (solo n°2, 1993-94), Apex (solo n°3, 1995), Clam (solo n°4, 1997-98), Exeo (solo n°5, 2004), Reverso (solo n°6, 2006), ses pièces pour chœur créées par le Chœur Accentus de Laurence Equilbey (Granum Sinapis, Umbrae Mortis et Dona Eis, 1997-98), son concerto pour piano (A Quia, créé à Bonn en septembre 2002, par Ian Paice et l'Orchestre de Paris sous la direction de Christoph Eschenbach) et ses études pour piano (première intégrale par Ian Paice, en 2002, au Festival dʼAutomne à Paris). Les références littéraires et artistiques de Pascal Dusapin témoignent dʼun réel désir de ne pas enfermer sa démarche dans de pures considérations musicales. Ses compositions se nourrissent ainsi dʼune réflexion généreuse qui laisse une grande part à la sensualité, comme le révèlent les multiples ramifications de son travail et la facilité avec laquelle il passe de formats ambitieux à des pièces intimistes qui reposent de façon plus immédiate sur la qualité instrumentale. Son écriture, très tôt émancipée de ses premières influences (Edgar Varèse, Iannis Xenakis, Franco Donatoni), ne renonce jamais à un certain lyrisme ainsi quʼau déploiement d'une énergie maîtrisée qui conjugue rigueur de lʼorganisation formelle et liberté de lʼinvention. Ses œuvres sont éditées aux Editions Salabert (Universal Music Publishing Group) Discographie (sélection) : Romeo & Juliette, Medeamaterial, To Be Sung, Perelà, Uomo di fumo, A Quia, Sept études pour piano, La Melancholia, Requiem(s), Celo, Watt, Quatuors à Cordes, Musiques solistes… André Wilms André Wilms est comédien et metteur en scène. Au théâtre, André Wilms a travaillé notamment sous la direction de Klaus Michael Grüber dans La Mort de Danton, André Engel dans Baal, Week-end à Yaick, Kafka, Hôtel moderne, En attendant Godot, La Nuit des chasseurs, JeanPierre Vincent dans Vichy fictions, Le Dispensaire, Le Bureau de poste, La Peste, Le Palais de justice, Michel Deutsch et Philippe Lacoue-Labarthe, Les Phéniciennes, Christian Colin, Othello, Jacques Lasalle, Tartuffe, Bernard Sobel, Le Cyclope, Walter le Moli, Marat-Sade, Ann Bogart, Assimil, Jean Jourdheuil et Jean-François Peyret, Paysage sous surveillance, La Route des chars, Les Sonnets, La Nature des choses, Luigi Nono, Prometeo, Heiner Goebbels, Ou bien le débarquement désastreux, Max Black, Eraritjaritjaka, Deborah Warner, Maison de poupée, Matthias Langhoff, Dieu comme patient, Georges Lavaudant, La Mort dʼHercule, Les Cenci, Les Trachiniennes. Au cinéma, depuis 1972, il a joué notamment dans Coup pour coup de Marin Karmitz, Il faut tuer Birgit Haas de Laurent Heynemann, Tartuffe de Gérard Depardieu, La Vie est un long fleuve tranquille, Tatie Danielle et Tanguy dʼEtienne Chatiliez, Monsieur Hire de Patrice Leconte, La Lectrice de Michel Deville, Drôle dʼendroit pour une rencontre de François Dupeyron, Europa Europa dʼAgnieszka Holland, La Vie de bohème, Léningrad cow-boys meet Moses, Juha dʼAki Kaurismäki, LʼEnfer de Claude Chabrol, Bienvenue chez les Rozes de Francis Palluau, Le Temps dʼun regard dʼIlan Flammer et Ricky de François Ozon. Depuis la fin des années quatre-vingt, André Wilms signe ses propres mises en scène au théâtre et à lʼopéra. Il a ainsi monté au Festival International de Montpellier La Conférence des oiseaux de Michaël Lévinas (1988) et Le Château de Barbe Bleue de Béla Bartok (1990), à lʼOpéra de Montpellier Le Château des Carpathes de Philippe Hersant (1993), au Marstall de Munich Tollertopographie dʼAlbert Ostermaier (1995) et La Philosophie dans le boudoir du Marquis de Sade (1997). Au Théâtre des Amandiers à Nanterre, il monte Alfred, Alfred de Franco Donatoni (1998) et Pulsion de F.X. Kraetz (1999) au Théâtre de la Colline. En lʼan 2000, il crée à Munich La Noce chez les petits-bourgeois de B. Brecht et Kill your ego, et Medeamaterial se joue à Nanterre. Il met en scène Histoires de famille de Biljana Srbljanovic qui se joue au TNP Villeurbanne et au Théâtre de la Colline (2002). Au Schauspiel de Francfort, il monte La Vie de Bohème dʼaprès Henri Murger et Aki Kaurimäski (2001), Shakespeare avec Macbeth et Songe dʼune nuit dʼété, Les Bonnes de Jean Genet, La Dernière bande de Samuel Beckett, LʼOpéra de quatre sous de Bertolt Brecht, Barbe bleu espoir des femmes de Dea Loher et 10 Pièces courtes de Beckett. En février 2005, il met en scène Les Bacchantes dʼEuripide à la Comédie-Française. En février 2010, il est conseiller scénique sur Le Paradis et la péri de Schumann, à la Cité de la Musique à Paris. En juin 2010, il met en scène Le Père de Michael Jarell et Heiner Müller, au Théâtre de lʼAthénée, dans le cadre du festival Agora. A lʼautomne 2010, il met en scène Agit Prop, avec lʼOrchestre de lʼOpéra de Rouen, et le chœur Accentus, sous la direction musicale de Laurence Equilbey, à lʼOpéra de Rouen et à la Cité de la Musique à Paris. André Wilms est lauréat de la Villa Médicis hors les murs. Ses collaborations musicales sont nombreuses, en particulier avec les compositeurs Heiner Goebbels ou Georges Aperghis dans le domaine du théâtre musical. Nicky Rieti Peintre et scénographe, il est lʼauteur de nombreux décors qui auront marqué lʼhistoire du théâtre et de lʼopéra de ces dernières années. Collaborateur régulier des metteurs en scène, André Engel, Bernard Sobel, Jean Jourdheuil ou JeanFrançois Peyret, ses scénographies sont à la fois spectaculaires et poétiques. Il a travaillé pour eux dans les plus grandes institutions dʼEurope, comme à lʼOpéra Bastille, à la Comédie-Française, à la Scala de Milan… Richard Dubelski Percussionniste et comédien, il sʼest initié au théâtre musical avec Georges Aperghis dont il a été un des plus formidables interprètes pendant de longues années (Enumérations, Jojo, H…). Depuis plus de dix ans, il crée ses propres spectacles qui mélangent musique, théâtre et réflexion sur la société. Saison 2010 / 2011 2010 USA OPÉRA Armide Jean-Baptiste Lully, Antoine Plante, Pascal Rambert Du 18 au 25 septembre JAPON THÉÂTRE Hot Pepper, Air Conditioner and the Farewell Speech We Are the Undamaged Others Toshiki Okada Du 2 au 5 octobre Du 7 au 10 octobre Avec le Festival dʼAutomne à Paris ESPAGNE THÉÂTRE Cʼest comme ça et me faites pas chier Rodrigo García Du 5 au 14 novembre Avec le Festival dʼAutomne à Paris JAPON ART test pattern [n°3] Ryoji Ikeda Du 1er au 11 décembre FRANCE THÉÂTRE Esse que quelquʼun sait où on peut baiser ce soir ? Jʼai répondu au bois Eric Da Silva Les 3 et 4 décembre 2011 Les Maîtres Contemporains (une histoire du théâtre) Patrice Chéreau, Claude Régy, Bernard Sobel et Jean-Pierre Vincent De janvier à juin SUISSE THÉÂTRE Lʼavenir seulement Mathieu Bertholet Du 13 au 29 janvier ISLANDE THÉÂTRE Le musée de la mer Marie Darrieussecq, Arthur Nauzyciel Du 3 au 8 février FRANCE THÉÂTRE MUSICAL Momo Pascal Dusapin, André Wilms Du 4 au 10 février Avec T&M – Paris FRANCE THÉÂTRE Lʼindestructible Madame Richard Wagner Christophe Fiat Du 3 au 19 mars FRANCE THÉÂTRE « 16 ans » Pascal Rambert Du 1er au 19 mars SUISSE FRANCE DANSE Obvie / Lanx / Nixe / Obtus & Knockinʼ on Heavenʼs door Cindy Van Acker & Pascal Rambert Du 25 mars au 2 avril FRANCE DANSE Nos images Publique Mathilde Monnier Du 26 au 30 avril Du 3 au 7 mai MUSIQUE PERFORMANCE THÉÂTRE DANSE Le festival (tjcc) Très Jeunes Créateurs Contemporains Du 26 au 28 mai Et ça continue Cartes blanches cinéastes // films 2010 – 2011 tournés dans Gennevilliers, Christophe Honoré, Homme au bain, Joachim Lafosse, En notre absence, Bertrand Bonello, Where the boys are, Lodge Kerrigan, Return to the dogs Les Rencontres philosophiques avec Emmanuel Alloa et 4 philosophes invités Les Ateliers dʼécriture et de lecture Répétitions ouvertes sur les spectacles créés à Gennevilliers Gens de Gennevilliers III Jean-Pierre Thibaudat Ou ça commence Nan Goldin, lʼartiste new yorkaise photographie Gennevilliers Retrouvez toutes les infos et plus sur : www.theatre2gennevilliers.com Infos pratiques Théâtre de Gennevilliers Fondateur Bernard Sobel Direction Pascal Rambert 41 avenue des Grésillons 92230 Gennevilliers Standard + 33 [0]1 41 32 26 10 Réservations + 33 [0]1 41 32 26 26 www.theatre2gennevilliers.com Réservation sur place ou par téléphone au +33 [0]1 41 32 26 26 du mardi au samedi de 13h à 19h télépaiement par carte bancaire Vente en ligne sur : www.theatre2gennevilliers.com Revendeurs habituels : Fnac / Carrefour 0 892 683 622 (0.34 euros/min), fnac.com, Theatreonline.com, 0 820 811 111 (prix dʼune communication locale), TickʼArt, Starter Plus, Ticketnet, Billetreduc, Ticketac, Sélection Loisirs, Cultura, Kiosque jeune, Crous et billetteries des Universités Paris III, VII, VIII, X, Maison du Tourisme de Gennevilliers Accessibilité Salles accessibles aux personnes à mobilité réduite. Dispositif dʼécrans (certains soirs) pour les spectateurs sourds et malentendants. Le FoodʼArt Restaurant au sein du T2G, avant ou après le spectacle Tel. + 33 [0]1 47 93 77 18 Accès Métro Ligne [13 ] direction Asnières-Gennevilliers, Station Gabriel Péri [à 15 mn de Place de Clichy] Sortie [1] puis suivre les flèches rayées rouges et blanches de Daniel Buren Accès Bus Ligne [54] direction Gabriel Péri ; arrêt Place Voltaire Navettes retour vers Paris : mercredi, vendredi et samedi soir après la représentation, des navettes gratuites vous raccompagnent vers Paris. Arrêts desservis : Place de Clichy, Saint-Lazare, Opéra, Châtelet et République. Accès voiture - Depuis Paris - Porte de Clichy : Direction Clichy-centre. Tourner immédiatement à gauche après le Pont de Clichy, direction Asnières-centre, puis la première à droite, direction Place Voltaire puis encore la première à droite, avenue des Grésillons. - Depuis lʼA 86, sortie n° 5 direction Asnières / Gennevilliers-centre / Gennevilliers le Luth. Parking payant gardé à proximité. Le Théâtre de Gennevilliers est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication, la Ville de Gennevilliers et le Conseil Général des Hauts-de-Seine.