dossier de presse

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SACRE (35')
Creation 2004, Reprise en 2015
Chorégraphie, lumières et costumes: Emanuel Gat
Musique : Le Sacre du Printemps, Stravinky
Pièce pour 5 danseurs
Production: Emanuel Gat Dance
Co production : The Suzanne Dellal Centre (Israel) ; Festival Uzes Danse, Monaco
Dance Forum
Avec le soutien de : la Dellal foundation, Theatre de Olivier d'Istres, Ballet MonteCarlo, the Foundation of Philippe de Rothschild.
Première mondiale : Festival Uzes Danse 2004
Reprise 2015 : Emanuel Gat Dance
En résidence à Montpellier Danse, Agora - Cité Internationale pour la Danse et à la
Maison de la danse intercommunale Ouest-Provence
La pièce a reçu un Bessy Award en 2006 pour ses représentations au Joyce Theater à New
York.
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EXTRAITS DE PRESSE
New York times, 17 Juin 2015
"Le "Sacre du Printemps" est hors du commun. C'est une sorte de cascade,
accompagnée par le sacrifice rituel de Stravinsky, sur une piste de danse bondée,
occupée par trois femmes et deux hommes qui s'entrecroisent dans un ruban de
Moebius dansant, évoluant par des passes de salsa et de swing.
Cette interprétation de la partition (…) est éloquente - tout autant qu'elle l'était
déjà en 2006, lorsque la compagnie de M. Gat l'a présentée pour la première fois à
New York." - Brian Seibert
Ephemeralist , 18 Juin 2015
"Les cinq danseurs évoluent à travers les passes frémissantes et ondulantes de
salsa de Gat, dans une lumière tamisée qui met en valeur le tapis rouge qui
délimite l'épicentre de l'action et qui, en même temps, donne une touche de
domesticité.(...) Ils tissent les mouvements de façon impeccable et fluide sur la
musique du Sacre de Printemps de Stravinsky. Cela reste un rituel hypnotique et
inexorable, orchestré par des pulsions purement primitives" - Susan Yung
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Le Monde, 2004
"Danser la salsa sur Stravinsky, c’est possible. Pour preuve : la prestation
brûlante du chorégraphe Emanuel Gat. Sa relecture du «Sacre du Printemps»
se révèle aussi iconoclaste qu’excitante. L’artiste israélien a misé sur la
nervosité lascive de la salsa qui se coule dans le ruissellement percussif de la
musique. Quant à la montée du sexe, elle explose avec cette pointe de fatalisme qui
est au coeur de l’engrenage amoureux. À toute allure, les couples se forment,
chaloupent et se brisent pour changer de partenaire sans que le mouvement ne
s’arrête, composant une chaîne ininterrompu de salsa au point que l’on finit par ne
plus repérer les interprètes. Dans ce tourbillon, on perçoit avec acuité, la pulsion
de la musique de Stravinsky. Tout est beau et dangereux, dans cette partie de
chasse moderne, où le suspense reste vif : les hommes désignent une élue
alternativement, pour mieux faire monter l’angoisse jusqu’au choix final." - Rosita
Boisseau
Le Figaro 2006
"...Salsa au sommet d'un volcan. Ce merveilleux et stupéfiant mélange est
interprété avec élégance et désir " - Rene Sirvin
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Trailer :
https://www.youtube.com/watch?v=2lhz5KTK6WQ&app=desktop
Calendrier de tournée :
http://egdfr.squarespace.com/calendrier/
Photos :
A venir
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GOLD (2013, 50')
Musique: J.S.Bach, Variations Goldberg. Piano, Glenn Gould
Chorégraphie et lumières et costumes : Emanuel Gat
Avec : Pansun Kim, Michael Lohr, François Przybylski, Ashley Wright and
Daniela Zaghini
Bande son additionnelle : « The Quiet in The Land », arrangée et écrite par Glenn
Gould
Lumières : Emanuel Gat en collaboration avec Guillaume Février
Conception son : Emanuel Gat en collaboration avec Frédéric Duru
Production Emanuel Gat Dance
Coproductions 2013 : Festival Montpellier Danse 2013, Théâtre de la Ville, Paris,
deSingel- Campus Artistique International, Anvers, Lincoln Center Festival 2014,
New York, CCN Roubaix Nord-Pas de Calais Carolyn Carlson. Avec le soutien du
Conseil Général des Bouches du Rhône et de la Fondation BNP Paribas
Reprise 2015 : Production Emanuel Gat Dance
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GOLD est la version revisitée en 2015 de "The Goldlandbergs" créée en 2013.
« La justification de l'art réside dans la combustion interne de ce qu'il embrase dans
le cœur des hommes, et non dans ses manifestations publiques, extérieures et
creuses. L'objectif de l'art n'est pas le déclenchement d'une sécrétion momentanée
d'adrénaline, mais la construction progressive, sur la durée d'une vie entière, d'un
état d'émerveillement et de sérénité. » Glenn Gould
« GOLD» raconte l’histoire d’une famille. Pas à la manière d’une narration factuelle,
mais plutôt sous la forme d’un commentaire métaphorique sur la vie à travers un
point de vu intime sur la nature complexe des relations humaines. La partition
chorégraphique nous permet d’entrer dans l’espace intense et silencieux des
individus s’engageant l’un avec l’autre. Sans volonté de reproduire l'expérience de la
réalité, la pièce propose diverses observations sur les structures sociales et la
manière dont elles affectent les individus.
La bande son utilisée superpose deux partitions distinctes : « The Quiet in the Land »
(« Le Calme du Pays »), un documentaire radiophonique créé par Glenn Gould en
1977 et les « Variations Goldberg » de Bach jouées par Gould lui-même.
Décrit comme poème oral, documentaire sonore ou radio contrapuntique, « The
Quiet in the Land » est le dernier des trois documentaires rassemblés dans « La
Trilogie de la solitude », produite par Gould pour la Société Radio-Canada entre
1967 et 1977 et conçus à la manière de compositions musicales.
Une superposition de plusieurs lignes de discours, musique et sons d'ambiance,
donne naissance à un montage dramaturgique complexe qui évoque la forme de la
fugue. Une sorte de musique de la voix humaine combinant la parole à la musique,
les idées aux émotions, l'interprétation à l'imagination.
« The Quiet in the Land » est un portrait de la communauté mennonite de Red River,
au Manitoba, région du nord canadien. Ce documentaire présente un groupe
religieux longtemps séparé des principaux courants, décrivant ses évolutions et
adaptations au fil des pressions croissantes subies par cette communauté tout au long
du vingtième siècle. Il se compose de neuf entretiens, de l’enregistrement d’un
service religieux, de répétitions d'une chorale d'enfants mennonites, ainsi que
d'autres musiques et de divers effets sonores.
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Ce portrait complexe et approfondi aborde directement des problèmes, défis et
conflits qui sont intemporels. En particulier la recherche d'un équilibre efficace
entre diverses tendances, influences, principes et objectifs contradictoires. La
séparation, le matérialisme, la mode, la complexité de la vie, la foi, la réticence à
remettre en question sa propre culture, l'apparence, la modération, la technologie, la
théologie, la philosophie, l'humanisme, l'isolement, les conflits, la division, l'unité, la
paix, les préoccupations sociales, la politique et les arts sont autant de thèmes
abordés.
Ce champ sonore riche et dynamique est soigneusement juxtaposé au magistral
enregistrement des Variations Goldberg par Gould, réalisé en 1981, quelques mois
avant sa mort. L’Aria d'ouverture et de fermeture, et certaines des variations
s’imbriquent à l’environnement textuel dramatique, lui faisant contrepoint, le
soulignant, le référençant. Pour un examen du territoire fragile et chargé, qui se tient
entre l’auditif et le visuel, le sonore et le cinétique, le verbal et le sensoriel.
« GOLD» utilise la chorégraphie comme méthode d’articulation d’une pensée
par l’exploration des réseaux dynamiques et complexes des relations humaines.
Elle permet une observation des individus, une étude de leurs conduites et
comportements, tentant de révéler leurs motivations et les forces qui les régissent.
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EXTRAITS DE PRESSE :
Le Monde - Rosita Boisseau , 28 mars 2014
"Cette ambiance solaire, surprenante au regard de pièces récentes de Gat, plutôt
amateur de pénombre douce, colle à l’esprit ludique et malicieux de ce spectacle
pour huit interprètes. Tantôt sautant comme des cabris, tantôt se glissant à quatre
pattes sous un partenaire, causant et batifolant jusqu’à grimper les uns sur les
autres dans un méli-mélo de jambes et de bras, ils circulent d’un bord du plateau à
l’autre avec une désinvolture élégante.
Bonheur d’être en scène, de jouer avec une conduite spectaculaire qui laisse
apparemment (un peu) libre aux entournures."
"Une fois encore, observer l’écriture gestuelle d’Emanuel Gat est jouissif. Chez lui,
la chorégraphie a tout d’un organisme vivant qui se faufile sur le plateau pour
contaminer les corps et leur faire prendre des formes qui se relayent les unes les
autres. Comme une tache d’huile qui glisse, se décompose et se recompose
autrement mais dans une même énergie, le mouvement est sans cesse reconduit. Une
nuance particulière dans The Goldlandbergs : Gat laisse non seulement la porte
ouverte aux humeurs, mais il incruste sa danse dans des situations presque
quotidiennes qui suspendent son cours."
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Le Figaro, Ariane Bavelier, 25 juin 2013
" Dans ses «Goldlandbergs», présenté en ouverture de Montpellier Danse, Emanuel
Gat travaille sur le principe de la fugue, cher à Bach. Cet art de l'imitation et du
contrepoint où les thèmes glissent de l'un à l'autre, se démultiplient, se regroupent et
se redéploient, porte le principe même de la mélodie intérieure. "
"La pièce est écrite à fleur de peau, sur le frisson, dans une sublime délicatesse.
Précise et parfaitement interprétée (...) Emanuel Gat manie son art très personnel de
la chorégraphie comme une science qu'il pousse de plus en plus loin, pour traduire
des réflexions de plus en plus subtiles "
Les Echos, Philippe Noisette, 25 juin 2013
"Gat parle de « commentaire métaphorique sur la vie à travers un point de vue
intime sur la nature des relations humaines ». Il imagine dès lors des corps pliés en
deux, des tableaux où le mouvement est à l'arrêt. Et, surtout, des duos racés qui
racontent la peur de l'autre ou l'attirance. "
L’humanité, Muriel Steinmez, 25 juin 2013
" Musique, voix humaine et notes au piano sont sur un pied d'égalité .Le choix du
chorégraphe consiste à ne rien illustrer, mais, par moments, l’évidence d’une
connivence entre l’instrument et les corps en jeu touche au cœur. "
Libération, Marie-Christine Vernay, 26 juin 2013
" Emanuel Cat est autant un peintre qu'un metteur en scène ou chorégraphe II
souligne ce que l'on pourrait ne pas voir une main, un pied, un saut. Sans
maniérisme Ce qui progressivement devient des variations, en accord avec les
Variations Goldberg de Bach jouées par Glenn Gould, est raffine. Emanuel Cat ne
laisse rien au hasard. En simples slips, les danseurs et danseuses s'emparent du
plateau pour le transfigurer. Ils deviennent des icônes Tout est transcendé, sans
doute grâce a la voix et aux notes si finement perlées de Gould. (…) La danse est
délibérément debout et on est ravi par les adages de duos et par la ferveur qui
envahit la salle. Rien de religieux, mais Emanuel Gat a de toute évidence un rapport
fort au sacré. "
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Presse complète :
http://egdfr.squarespace.com/the-goldlandbergspress/
Vidéo d'extraits de GOLD très prochainement ...
Calendrier : http://egdfr.squarespace.com/calendrier/
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