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SUPPLÉMENTS EN COLLECTION DE
GALLIA PRÉHISTOIRE
RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS
Gallia Préhistoire assure la publication des recherches et des fouilles archéologiques concernant les temps
préhistoriques – depuis le Paléolithique inférieur jusqu’à l’âge du Bronze – dans le cadre géographique de la France
élargi à l’espace européen limitrophe.
La revue a pour mission de publier des articles de synthèse et de faire connaître les résultats des principaux chantiers
évalués par le Conseil national de la recherche archéologique ou les CIRA.
Revue d’archéologie, Gallia Préhistoire est ouverte, à propos de chaque site étudié, aux disciplines susceptibles
d’élargir le champ de la recherche.
TEXTE
(Date de remise des manuscrits à Gallia : janvier)
Le texte est remis sur support informatique (cédérom, ZIP ou disquette Macintosh, Word 5
à 2001), accompagné d’un tirage papier en 3 exemplaires.
Fichiers numériques
• Découper le manuscrit remis sur support informatique en plusieurs fichiers. Par exemple, 1 fichier par chapitre. Il en
est de même pour la bibliographie (1 fichier à part).
• Idem pour le début de l’ouvrage comportant l’avant-propos, l’introduction, les abréviations (la préface étant
facultative) et la fin du volume regroupant les résumés, les tables des figures, tableaux et graphiques, l’index, la table
des matières, le texte résumé de 4e de couverture.
• Comme pour l’ensemble des illustrations, il est rappelé que les tableaux et graphiques doivent être extraits du texte
et remis sur fichiers informatiques séparés. Leur appel dans le texte suffit à guider leur emplacement lors de la mise
en page textes-illustrations.
Résumés : fournir un résumé en français (et éventuellement en anglais) de 2 pages maximum.
Gabarit du texte
• Page dactylographiée uniquement au recto.
• Numéroter les pages de 1 à n.
• Le texte doit être saisi « au kilomètre », en mise en page normale. Il est vivement recommandé de ne pas utiliser de
feuilles de style.
Présentation du texte
Titres : indiquer la hiérarchie des titres et intertitres (système par arborescence : 1, 1.1, 1.1.1., etc.). La typographie
correspondante sera appliquée à Gallia. Ne pas dépasser 5 niveaux dans cette hiérarchie.
Italiques : réservées aux titres d’ouvrages, de périodiques et aux mots en langue étrangère.
Majuscules : Les formations géologiques, les périodes archéologiques et les noms d’espèces animales ou végétales
(en latin, mais non en français) prennent des initiales majuscules.
Abréviations (voir annexe II)
• Ne pas confondre abréviations et sigles (qui s’écrivent sans points).
• Donner une liste des abréviations utilisées.
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Notes infrapaginales
• Pas de notes automatiques mais les regrouper sur un fichier informatique autonome.
• En limiter le nombre et les numéroter en ordre croissant de 1 à n.
• À appeler dans le texte dans l’ordre numérique sous la forme d’un exposant, sans parenthèses.
Appels bibliographiques dans le texte
Exemples :
(Callender, 1965, p. 145) ;
(Callender, Desbat, 1990) ;
(Desbat et al., 1987, p. 38-50, fig. 2, n° 3) ;
(Dedet, 1998a)
Utiliser et al. dans l’appel s’il y a plus de 2 auteurs.
Lorsque plusieurs appels se suivent, les classer par ordre chronologique des publications (Callender, 1965 ;
Desbat et al., 1987).
Appels des illustrations dans le texte
• Bien distinguer l’ordre numérique d’appel des tableaux et des graphiques de celui des figures : les figures sont
numérotées en chiffres arabes ainsi que les cartes et les plans en nombre important ; les tableaux et graphiques sont en
chiffres romains :
(fig. 1), (fig. 2, n° 1), (fig. 3 , nos 1, 6) ;
(carte 12), (plan 5).
(tabl. I), (tabl. VII) ; (graph. I), (graph. III)
• Pas d’appels des illustrations dans les titres et intertitres.
• Figures (fig.) et tableaux (tabl.) s’écrivent avec une minuscule dans les appels.
• Lorsque le nombre des cartes ou des plans est important (10 et +), il est possible de les distinguer de l’ensemble des
figures et les nommer (carte 8), (carte 12), etc. De même pour les plans (plan 6, plan 17, etc.).
Légendes
• Elles doivent être complètes. Ne pas oublier :
. description du mobilier,
. description des trames,
. description des symboles utilisés, etc.
. crédit de l’illustration joint à la légende : noms des auteurs des dessins ou clichés, sigle des organismes de
rattachement.
• Elles sont regroupées sur des fichiers informatiques séparés (un fichier pour les légendes des figures, un fichier
séparé pour les légendes des tableaux et des graphiques) sous la forme suivante :
Fig. 1 – .....................
Tabl. I – ....................
Graph. I – ....................
Fig. 2 – .....................
Tabl. II – ....................
Graph. II – ....................
Bibliographie
• Distincte des notes infrapaginales, elle est regroupée sur un fichier informatique indépendant et classée par ordre
alphabétique des noms d’auteurs.
• Règles bibliographiques (voir annexe I).
Nota bene : tout dossier ou ouvrage thématique réalisé en collectif d’auteurs ne doit comporter qu’une seule
bibliographie, regroupant toutes les références bibliographiques mentionnées par les différentes contributions ou
articles composant le sommaire.
Index
Si besoin est, élaborer un index.
Tables
Distinguer :
- Table des figures
- Table des tableaux
- Table des cartes
- Table des matières.
Liste des auteurs
Nom(s) et prénom(s) des auteurs en entier.
Adresses complètes avec les numéros de téléphone (pour la rédaction).
Nom et adresse des laboratoires ou des organismes de rattachement.
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Couverture
• Prévoir un ou plusieurs projets d’illustrations pour la couverture.
• Rédiger un texte court pour la 4e de couverture incluant la présentation de l’ouvrage (20 lignes environ) ainsi que les
éléments biographiques de l’auteur principal (3 à 5 lignes).
Propriété littéraire et artistique
Toute reproduction de texte ou illustration est soumise à l’autorisation du propriétaire (auteur, éditeur, musée, etc.)
conformément à la loi sur la propriété littéraire et artistique. La demande d’autorisation doit être faite par l’auteur. Les
frais afférents sont à sa charge.
Contrat d’édition
Il est établi entre l’auteur et CNRS Éditions. Le nombre d’ouvrages d’auteur est déterminé lors de la signature de ce
contrat.
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Annexe I
NORMES BIBLIOGRAPHIQUES
Il importe que les références bibliographiques contiennent tous les éléments suivants pour :
UNE CONTRIBUTION ou UN ARTICLE DANS UN PÉRIODIQUE
Nom(s) (de tous les) auteur(s) + Initiale(s) du (des) prénom(s). Indiquez le cas échéant si directeur ou éditeur
scientifique (dir.) ou (éd.).
Date du millésime du périodique : “ Titre article ”, Nom du périodique [nom complet et développé], N° de la tomaison
du périodique, [éventuellement date de publication si elle est différente du millésime], Pagination de l’article [début-fin].
AMBERT P.
1982 : « Le dolmen de Pech Menel à Quarante (Hérault). Annexe 2. La sépulture de Pech Laurier à Quarante (Hérault) »,
Archéologie en Languedoc, 5, p. 17-18.
BAFFIER D.
2004 : « Le premier art paléolithique, mammouths et rhinocéros », Les Dossiers d’Archéologie, n° 291, p. 82-87.
DELLUC B., DELLUC G., VIALOU D.
1995 : « La grotte de la Mouthe (Les Eyzies). Une étude de l’abbé Breuil. La découverte et l’archéologie. La décoration
pariétale », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, CXXII, p. 523-536 et 645-668.
LEJEUNE M.
1997 : « La représentation des variations saisonnières dans l’Art paléolithique », L’Anthropologie, t. 101, n° 1, p. 36-82.
UN OUVRAGE
Nom(s) (de tous les) auteur(s) + Initiale(s) du (des) prénom(s). [Indiquez le cas échéant si directeur ou éditeur
scientifique (dir.) ou (éd.)]
Date de publication [ou À paraître ou Sous presse ou Sans date] : Titre et sous-titre complets, Lieu d’édition, Éditeur,
Nb de pages, [éventuellement Nb de figures, Nb de tableaux, Nb de planches, Nb de cartes].
CLOTTES J., COURTIN J.
1994 : La Grotte Cosquer, peintures et gravures de la caverne engloutie, Paris, éd. Seuil, 200 p. 191 fig.
GUILAINE J.
1967 : La civilisation du vase campaniforme dans les Pyrénées françaises, Carcassonne, éd. Gabelle, 240 p.
MAY F.
1986 : Les sépultures préhistoriques. Étude critique, Paris, éd. du CNRS, 264 p.
LEROI-GOURHAN A.
1965 (1ère édit.) : Préhistoire de l’Art Occidental, Paris, éd. Mazenod, 482 p., 804 fig. (2e édit., 1971, 502 p.).
UNE CONTRIBUTION DANS UN OUVRAGE COLLECTIF (supplément ou collection :
DAF, etc. et catalogue d’exposition)
Nom(s) (de tous les) auteur(s) + Initiale(s) du (des) prénom(s). [Indiquez le cas échéant si directeur ou éditeur
scientifique (dir.) ou (éd.)]
Date de publication [ou À paraître ou Sous presse ou Sans date] : “ Titre de la contribution ”, in Nom(s) du (des)
directeur(s) ou éditeur(s) scientifique(s) de l’ouvrage collectif + Initiale(s) du (des) prénom(s) du(des) directeur(s) ou
éditeur(s) scientifique(s) de l’ouvrage collectif [Précisez si directeur(s) ou éditeur(s)], Titre de l’ouvrage collectif, Lieu
d’édition, Éditeur (Nom complet de la collection ou du supplément, N° du volume dans la collection ou n° du
supplément), Pagination de la contribution [début-fin].
ALLAIN J.
1979 : « L’industrie lithique et osseuse de Lascaux », in LEROI-GOURHAN ARL., ALLAIN J. (DIR.), Lascaux inconnu,
Paris, Éditions du CNRS (coll. Suppl. à Gallia Préhistoire, XII), p. 87-120.
DRENTHE E., LOHOF E.
2005 : "Mounds for the dead. Funerary and burial ritual in Beaker period, Early and Middle Bronze Age", in LOUWE
KOOIJMANS L. P., VAN DEN BROEKE P. W., FOKKENS H., VAN GIJN A. L. (ED)., The Prehistory of the Netherlands,
vol. 1, Amsterdam, Amsterdam University Press, p. 433-454.
LORBLANCHET M.
5
1992 : « Les grottes paléolithiques ornées en France », in Catalogue de l’exposition La naissance de l’Art en Europe,
Union Latine, 65 bd des Invalides 75007 Paris.
VALLADAS H., TISNERAT N., ARNOLD M., KALTNECKER E., OBERLIN C.
2005 : « Les datations de la grotte Cosquer », in CLOTTES J., COURTIN J., VANRELL L., Cosquer redécouvert, Paris,
éd. Seuil, 255 p., ill.
UNE CONTRIBUTION DANS DES ACTES DE COLLOQUE
Nom(s) (de tous les) auteur(s) de la contribution + Initiale(s) du (des) prénom(s).
Date de publication [ou À paraître ou Sous presse] : “ Titre de la communication ”, in Nom(s) du (des) directeur(s) ou
éditeur(s) scientifique(s) du colloque (s’il y en a) + Initiales du (des) prénoms, Titre du colloque, Lieu du colloque, Date
du colloque, Lieu d’édition, Éditeur, Pagination de la communication [début-fin].
ALLARD P., ANDRÉ M.-F., CHAMBON Ph., LAFAGE F., PRAUD F., VALERO C.
1998 : « La sépulture collective de Vignely " La Porte aux Bergers " (Seine-et-Marne), Le Néolithique du Centre-Ouest
de la France », Actes du 19e colloque interrégional sur le Néolithique (Poitiers, 1994), Chauvigny, éd. APC,
p. 395-401.
BARFIELD L. H.
2001 : "Beaker lithics in northern Italy", in NICOLIS F. (ED.), Bell Beakers today: pottery, people, culture, symbols in
prehistoric Europe, Bell Beakers today. Pottery, people, culture, symbols in Prehistoric Europe, Proceedings of the
International Colloquium Riva del Garda (Trento, Italy, May 1998), ed. F. Nicolis, Provincia Autonoma di Trento,
Servizio Beni Culturali, Ufficio beni Archeologici, vol. II, p. 507-518.
BILLARD C., BLANCHET J.-C., TALON M. (ET COLL.)
1996 : « Origine et composantes du Bronze ancien dans le nord-ouest de la France », in MORDANT C., GAIFFE O. (ÉD.),
Cultures et sociétés du Bronze ancien en Europe. Actes du 117e Congrès national des sociétés savantes, ClermontFerrand, 1992, Paris, éd. du CTHS, p. 579-601.
POUR DES THÈSES, TRAVAUX UNIVERSITAIRES
Nom auteur + Initiale du prénom.
Date : Titre, Référence du type de travail universitaire [thèse de doctorat, mémoire de maîtrise, etc.], Université de
soutenance et ville, Nombre de pages [éventuellement nombre de volumes].
BAILLY M.
2002 : La flèche et l’éclat, Production et consommation des outillages lithiques taillés de la fin du Néolithique au début
de l’Âge du Bronze entre Saône et Rhône, thèse de 3e cycle, Univ. de Franche-Comté, Besançon.
Dans un ouvrage c'est la page de titre qui sert de référence. S’il y a un doute, prière de nous envoyer la
photocopie de ladite page.
Si besoin est, des exemples de références bibliographiques peuvent être consultés sur notre site internet :
http://www.mae.u-paris10.fr
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Annexe II
ABR É VIATIONS
Ne pas confondre abréviations et sigles (qui s’écrivent sans points).
Exemples :
CNRS, EDF
Les abréviations ne prennent jamais la marque du pluriel et ne sont jamais suivies d’un point.
------------------------------------------------------------Mesures
écrire :
de longueur :
mm
=
millimètre
3 mm
cm
=
centimètre
0,3 cm
m
=
mètre
18,15 m
km
=
kilomètre
9,2 km
-------------------------------------------------------------Mesures
de surface :
are
=
are
ha
=
hectare
m2
=
mètre carré
km2
=
kilomètre carré
-------------------------------------------------------------Poids :
g
=
gramme
kg
=
kilogramme
mg
=
milligramme
-------------------------------------------------------------Largeur, longueur, épaisseur et diamètre ne sont jamais abrégés dans une phrase.
Autres abréviations courantes :
M.
MM.
Mme
Mmes
Mlle
Mlles
p.
fig.
tabl.
s.
s. d.
s. l.
etc.
Monsieur
Messieurs
Madame
Mesdames
Mademoiselle
Mesdemoiselles
page
figure
tableau
siècle
sans date
sans lieu
CONSIGNES POUR LES ILLUSTRATIONS GALLIA
Vos illustrations proposées doivent etre créées et travaillées à partir de fichiers natifs sur :
- Photoshop (images pixellisées),
- Illustrator (plans, graphiques, coupes stratigraphiques, dessins d'objets, cartes vectorisés),
- Excel (tableaux),
ou éventuellement numérisées ("scannées"), enregistrées et transmises à Gallia sur support CD,
DVD ou par internet (taper : http://www.mae.u-paris10.fr/intranet/ftp/main.php).
Voici quelques informations relatives aux dimensions de vos figures à intégrer dans la maquette :
FORMAT DES FIGURES :
18,5 cm (largeur de page maxi)
N
0
A
NUMÉRISATION :
10 cm
22,5 cm (hauteur maxi)
9 cm
(largeur de colonne maxi)
B
légende :
Les documents en noir et blanc sans niveau de gris (plan de fouille, dessin d'objet au trait, etc.) doivent être scannés
en 1200 dpi. Les autres documents du style photo ou qui comportent des dégradés de gris doivent être numérisés
en 300 dpi (minimum). Dans les 2 cas, cochez l'option 24-bits couleur (même pour un document qui sera édité en noir et blanc)
et enregistrez au format tiff.
LE TRAITEMENT DES IMAGES :
Le nettoyage, la mise à échelle et la définition d'une image pixellisée (photographie) se traitent sur Photoshop.
Si vous souhaitez incorporer du texte dans une figure pixellisée :
- utilisez la police de référence (Arial) 6 pt "regular" pour l'échelle et 8 pt maximum pour les autres indications textuelles,
- n'applatissez pas les différents calques ou niveaux afin de permettre la retouche éventuelle,
- dans un souci de normalisation, l'orientation Nord et le type d'échelle peuvent vous etre envoyées.
Une fois vos illustrations travaillées, enregistrez-les selon le format suivant :
- Photoshop EPS pour les documents (Bitmap, option blanc transparent) en 1200 dpi.
- Tiff ou Psd pour les images pixellisées Photoshop (niveau de gris ou couleur) en 300 dpi.
- Illustrator AI ou EPS pour toutes les figures vectorisées et traitées depuis Illustrator.
Rappel : ne transmettre aucun document enregistré en format Jpeg ou Pdf.
RECOMMANDATIONS IMPORTANTES :
- La police utilisée pour les illustrations à Gallia est Arial.
- Au-delà de 4 nuances de gris (NB inclus), pensez à créer des trames (sous Illustrator).
- Ne transformez pas une image pixellisée depuis Photoshop dans Illustrator (mode vectoriel) et inversement.
- Respectez la définition minimale (300 dpi) pour toute image pixellisée.
- Ne générez pas de cadre pour les images.
- Les épaisseurs de traits (graisse) ne doivent pas dépasser 0,5 pt dans vos dessins vectorisés (Illustrator)
- Si possible travaillez avec les versions les plus récentes de Photoshop et d'Illustrator (version CS5, CS5.5, CS6)