Elp, 21 novembre le 2008, Guadalajara, Jalisco

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Elp, 21 novembre le 2008, Guadalajara, Jalisco
Elp, 21 novembre le 2008, Guadalajara,
Jalisco :
Le dernier sourire du… capitaliste ? du
capitalisme ? Et la Gioconda*
* à charge Alberto Sladogna, un membre de l'elp et du colective
« El sabo/er del psicoanálisis»
“La crise, non du discours du maître, celle du
discours capitaliste… est ouverte. Je ne leur dis
absolument que le discours capitaliste est
faible, idiot, au contraire est quelque chose
follement astucieux verdad? Très astucieux, mais
destiné à éclater, en fin est le discours le plus
astucieux qu' on a jamais eu.”Jacques Lacan
Le sourire est une expression du “sujet” qui n'est pas laissé
recueillir par sa parenté, suffit d' observer le sourire
énigmatique du bebe. Le sourire comme affection , comme
sentiment n'est pas réprimée, est partagé. Qu'il est-ce que rit
quand le bebe le fait ?[1] Freud à ecrit sur le sujet du sourire
certaines questions sur la mère de Leonardo[2], Lacan plus
subtile indique le sourire de Dore, celle aimée de Freud, en
étant retiré de l'analyse[3], au moment d'une certaine crise
industrielle qui affectait l'entreprise de son père.
Carlos Marx quelque chose a devine de l'articulation de la plusvaluer avec le symptôme ou le symptôme du plus-valoir, l'a fait
grâce au rire et au sourire. Un jour Carlos Marx se demande de
manière innocente “De qu'est-ce que rit-il le capitaliste en
voyant le profit qui reste ?” Le capitaliste avec « un sourire
jovial »[4] il a obtenu un miracle : l'argent a été transformé
en capital et, durant l'année 2008, dans ces jours d'octobre, le
capitaliste et le capitalisme a produit aujourd'hui un autre
miracle : il a transformé le capital dans… une montagne de
déchets. Maintenant il résulte que ils nous atosigan de
chiffres, et veulent nous faire prendre le rire de Carlos Slimun des dix multimillionnaires mexicaine qui apertien à la list
de Forbes ; il a seulement perdu la moitié de sa fortune. Sera
nécessaire et obligatoire de prendre ce « symptôme » du
capitalisme de la même manière que le maître moderne ? Le
capitalisme a des affections ? A des sentiments ? Les provoquer
il le produit mais « a » ? Peut-être l'analyse a quelque chose
dire à ce sujet de la cause objet du désir face à Hilflosigkeit
–desamparo salvaje- dans l’actualite ?
Les participants peuvent voir un vidéo de 8 minutes dans cette
adresse : http://www.dailymotion.com/swf/k4xZCPES6iu8eaHSpY
The Last Laugh - George Parr - Subfavoriser - sous-titre by
erioluk
Ceux intéressés à assister peuvent contacter à María Gutiérrez
Z. : <[email protected]>
[1] Le sujet a été traité par Gilles Deleuze dans” L'inmanencia
: une vie…”, Giorgio Agamben dans “L'inmanencia absolue” cfr. :
Essais sur biopolítique. Excès de vie, Paidós, Espaces du savoir
67, Buenos Aires, 2007. Cette articulation avec l'objet de ce
qui est plusvalor et la cause objet du désir a été abordée avant
pour deux membres de l'elp : Juan Carlos Piegari à Buenos Aires
(2008), et par Jean-Louis Sous dans Est-il superflu qui
capitaliste rit ? ,2008 [de prochaine apparition dans spagnole
dans
artefactos
#2, Mexico, DF)
[2] S.Freud, Une souvenir infantile de Leonard de Vinci ;
[3] J. Lacan, Écrits 1.