1/1 PRESSE Le Chant de Talaïmannar, Serge Safran, éditions du

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1/1 PRESSE Le Chant de Talaïmannar, Serge Safran, éditions du
PRESSE
Le Chant de Talaïmannar, Serge Safran, éditions du Castor Astral, 1978
Pied de nez à l’impérialisme culturel de la capitale, l’existence du poète. Pied de nez à
l’impérialisme bordelais l’impression périgourdine du poète bordelais. L’important, c’est que
ce travail courageux manifeste l’existence de ces lieux privilégiés où l’on ose encore. Et
Périgueux est de ces endroits. Grâce, en particulier, à Pierre Fanlac, bien connu des
Périgourdins. Mais aussi de certains « étrangers », qui ont nom Pierre Seghers, ou Safran…
Car Safran — c’est lui le poète bordelais – a de l’ambition. Retenez bien ce nom (…)
Dans le cliquetis des lynos et la respiration hachée des rotatives, « Le Chant de Talaïmannar »
s’élève, fragile et essentiel. « Talaïmannar ? C’est un petit port de Ceylan… »
Sylvain Viaut, Sud-Ouest, mercredi 22 mars 1978
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En librairie
POESIE
Le Chant de Talaïmannar, par Safran, Le Castor astral, 160 pages, 28F.
« La poésie de tous qu’un apporte avec soi… L’âme du voyage et l’orage du jour… » De
villes en mots, de mots en émois, Safran, jeune poète bordelais, nous mène en « doucereuse »
poésie. Vers la jouissance d’écrire et de vivre l’aujourd’hui. À lire pour donner un rythme à sa
vie. Dans les mots et tous les jours.
L’Express, 22 au 28 mai 1978
LE CHANT DE TAÏMANNAR : tant d’histoires, de mémoire errante, d’ombres à essayer de
fixer. SAFRAN lie amoureusement « l’or au trait » « par-delà la musique logique des mots ».
Sphynx
J’ai beau me dire et me répéter que les poètes n’aiment pas qu’on les compare à d’autres, ce
chant me fait songer irrésistiblement à ceux d’Apollinaire ! Le même souffle long, les mêmes
heurts d’images mêlant tout à la fois des paysages urbains et d’étranges voyages. Le même
calme aussi à dérouler la vie.
Christian Poslianec, L’Éducateur
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