dossier de presse - Galerie Jérôme Poggi
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dossier de presse - Galerie Jérôme Poggi
MARIE REINERT Étude Geste (3:58:51), 2013 ; Étude Geste (3:55:40), 2013 ; Étude Geste (3:40:51), 2013 ; Dessins au crayon graphite sur calque Etude Geste est une série de dessins, où l’artiste tente d’augmenter sa productivité par la répétition d’un mouvement et d’un motif réalisés à l’aide d’une dipositif qu’elle a imaginé. + PETIT JOURNAL N.28 | JANVIER 2013 Née en 1971, elle vit et travaille à Berlin (DE). Son travail se situe à la frontière de la performance. Son œuvre se définie par un principe d’infiltration et de parasitage qu’elle développe dans différents contextes. Elle met en place des protocoles d’analyse et de déconstruction d’objets, d’organisations et de hiérarchies, qui lui permettent de construire une œuvre variée intégrant vidéo, dessins, actions performatives, sculptures et installations. DU 26 JANVIER AU 9 MARS 2013 + VITTORIO SANTORO You are still here, 2008, Is This a False Graphic Mirror of the World?, 2009 une voix répétant «You’re still here» est perpetuellement diffusée de manière différée sur cinq enceintes réparties sur les deux espaces d’exposition. HOW HIGH THE MOON EXPOSITION COLLECTIVE Commissariat : ANNA-EVA BERGMAN, JULIEN CRÉPIEUX ATTILA CSÖRGÖ JENNIFER DOUZENEL LARISSA FASSLER BERTRAND LAMARCHE MATHIEU LEHANNEUR, WESLEY MEURIS SOCIÉTÉ RÉALISTE MARIE REINERT VITTORIO SANTORO GEORGES TONY STOLL + HOW HIGH THE MOON réunit une douzaine d’artistes dont les œuvres entreprennent de représenter l’espace dans une perspective non plus euclidienne mais mentale. Cartographies, plans, relevés topographiques, paysages abstraits, visions célestes ou nomenclatures astrales, sont autant de « vues de l’esprit » à travers lesquels l’espace se révèle et se pense à une échelle dépassant la seule capacité oculaire. S’abstrayant de toute vision focale ou perspective, les œuvres multiplient les points de vue et nous hissent à des hauteurs au-delà desquelles l’horizon lui-même disparaît, pour se fondre dans le plan même de la vision. Si comme l’écrivait Victor Hugo, l‘horizon souligne l’infini, c’est sur ce seuil que nous situent les œuvres de l’exposition, à la limite d’un infini que l’esprit seul peut se représenter. Vittorio Santoro est né en 1962 (CH). Il vit et travaille entre Paris (FR) et Zurich (CH). Développant un travail conceptuel et référentiel, l’oeuvre de Vittorio Santoro prend la forme d’installations sonores, de sculptures ou de dessins. son travail questionne autant l’inscription de l’oeuvre dans l’espace et dans le temps que l’inscription ontologique de l’individu dans son espace social. GEORGES TONY STOLL Identification absurde n°13, 2012 ; Double vision n°15, 2006 Identification absurde n°13 est une oeuvre de la série de ses «peintures en laine» réalisées en canevas, révélant des motifs géométriques dans des couleurs éclatantes, Né en 1955, il vit et travaille à Paris. Georges Tony Stoll considère sa pratique comme un parcours dans ce qu’il appelle « le territoire de l’abstraction », « le sous-sol des archives » ou « le trou ». De la peinture à la photographie, les mêmes formes viennent s’animer ; les cercles, les cônes, les triangles, les formes oblongues aux coloris tantôt marqués sont les mêmes que lles formes capturées par son oeil photographique. + GALLERY JÉRÔME POGGI - UPCOMING KEES VISSER - EXPOSITION PERSONNELLE MARS - AVRIL 2013 JULIANA BORINSKI - EXPOSITION PERSONNELLE MAI - JUIN 2013 SOCIÉTÉ RÉALISTE - EXPOSITION PERSONNELLE JUIN - JUILLET 2013 GALERIE + JÉRÔME POGGI OBJET + DE PRODUCTION PETIT JOURNAL | N.28 | WWW.GALERIEPOGGI.COM GALERIE JÉRÔME POGGI PETIT JOURNAL | N.28 | + 115-117 RUE LA FAYETTE F-75010 PARIS +33 (0)9 5102 5188 + DU MARDI AU SAMEDI 10H-19H ET SUR RDV RDC, FOND DE COUR GALERIE JÉRÔME POGGI ANNA-EVA BERGMAN Dessins de 1951, 1955 et 1968 (Description des oeuvres) BERTRAND LAMARCHE Lac Noir, 2013, mine de plomb, collage vynile sur bois laminé peint et ciré A mi chemin entre une carte et une modélisation, l’oeuvre figure en creux un terrain vague, récurrent dans le travail de l’artiste, dont la présence se manifeste dans son absence. Peintre norvégienne de la nouvelle École de Paris, et épouse de Hans Hartung, elle est née en 1909 à Stockholm (SU), et morte en 1987 à Grasse (FR). Le Travail de Anna-Eva Bergman tend vers une expression simplifiée et dépouillée où la ligne devient le squelette indispensable de la peinture, non pas en tant que contour d’une forme, mais en tant qu’expression d’un rythme.. JULIEN CRÉPIEUX How High is the Moon, 2008, Tirage numérique sur papier tyvek Coala Antalis Reprenant les codes de représentation des cartes marines, How High is the Moon dresse la topographie fictive d’un plancher océanique situé sur le méridien imaginaire 181. Né en 1979, Julien Crépieux vit et travaille à Paris (FR). Que ce soit en réalisant des films, des installations, ou des collages, le travail de Julien Crépieux propose des dispositifs originaux, par l’appropriation d’images, de films, de textes, dont il détourne le mode d’apparition, donnant lieu à des œuvres empreintes d’une dimension aussi bien formelle que poétique. ATTILA CSÖRGÖ Orange Space, 2003/2005, installation Orange space fait dialoguer deux mêmes tirages photographiques, sous la forme de spirales, l’une présentée à plat dans un cadre, l’autre enroulée pour former une sphère. Réalisées avec un systeme photographique construit par l’artiste, l’image apparait comme la capture panoptique d’un environnement saisi à 360°. Attila Csorgo est né en 1965 en Hongrie (HU), il vit et travaille à Budapest (HU). Passionné par la perspective, les traités de géométrie et les mathématiques appliquées, cet artiste hongrois conçoit des installations extrêmement complexes qui peuvent apparaître à première vue comme du bricolage, mais provoquant des expériences visuelles dynamiques. JENNIFER DOUZENEL Adimant, 2011, Video, HD 6’10’’ Adimant révèle un paysage montagneux composée de verre pilé, dont la couleur et les reflets scintillants évoquent un paysage lunaire et réduisent la différenciation entre le ciel et la terre. Jennifer Douzenel est née à Melun en 1984 et vit et travaille à Paris (FR). Elle développe et expérimente ses démarches dans des environnements particuliers et étonnants, aspirant à l’évocation silencieuse d’une présence, à laquelle elle donne une consistance poétique par la vidéo. LARISSA FASSLER Place de la Concorde I, 2011, peinture, encre et crayon sur papier, cadre et plexiglas Ce dessin figure la place de la Concorde grâce à la superposition de tracés représentant le traffic de ses différents usagers. L’artiste a inscrit les déplacements mais aussi des évenements intervenus lors de son observation, donnant lieu à une carte basée sur la trace et non pas sur l’architecture urbaine. Né en 1966 à Paris, il vit et travaille à Paris (FR). Son oeuvre témoigne d’un intérêt généralisé pour les questions d’échelle et de modélisation, de mouvement et de temporalité, trouvant leurs origines aussi bien dans l’urbanisme lorsqu’il réalise des maquettes de ville que dans l’observation de phénomènes météorologiques , physiques ou lumineux. Son travail prend la forme d’installations, de sculptures, de vidéos et de performances. MATHIEU LEHANNEUR Demain est un autre jour, 2011, tirage numérique sur papier contrecollé sur aluminium (Description de l’oeuvre) Né en 1974 (FR), il vit et travaille à Paris. Objets thérapeutiques, design de l’invisible, ergonomie du désir... Depuis dix ans, Mathieu Lehanneur jongle avec les contradictions pour produire un design qui dépasse régulièrement les bornes de la discipline et attire des clients prestigieux du monde entier. WESLEY MEURIS A Building for Innovative Galleries, 2013, impression sur papier photo montée sur dibond, encadré Le plan présenté par l’artiste revient sur les fonctions spécifiques d’une galerie et la manière d’organiser au mieux, dans une architecture spécifique qui lui serait dédiée. The Great White Journey, 2012, Impression sur fotorag, contrecollé sur dibond Cette oeuvre annonce fictivement la première biennale se déroulant en Antartique, un continent encore intouché par le milieu artistique. Wesley Meuris est né en 1977. Il vit et travaille en Belgique (BE). Le travail de Wesley Meuris est à l’intersection de l’architecture et des systèmes scientifiques de recollement et de classifications. Son œuvre interroge les notions de conservation, et d’appréhension rationaliste de l’espace et du savoir. Son travail produit différents objets dont des enclos zoologiques spécifiques, des archives hypothétiques, du mobilier muséal et des expositions fictionnelles. SOCIÉTÉ RÉALISTE List of minor planets in Appendix: from 5666 (François Rabelais) to 6000 (United Nations), 2013, meubles percés une table d’écolier et ses chaises sont percées de trous composant la police «Appendix» qui ici énumère les identifiants de tous les asteroïdes repérés par l’agence spatiale internationale, restés anonymes, et compris entre 5666 (François Rabelais) et unitred Nations (6000) Société réaliste est une coopérative artistique fondée par Ferenc Grof (1972) et Jean-Baptiste Naudy (1982). Le travail de Société Réaliste s’articule autour de l’appropriation et du détournement d’outils de communications des figures de pouvoir (cartes, emblèmes, enseignes, architectures...). Par des systèmes de confrontations symboliques, leur travail affirme un regard critique sans jamais afficher une critique frontalement dénonciatrice. Née en 1975, Larissa Fassler vit et travaille actuellement à Berlin (DE). Larissa Fassler dévelloppe un travail de sculpture et de dessins architecturaux, qu’elle réalise d’aprés des relevés topographiques. PETIT JOURNAL | N.28 | GALERIE JÉRÔME POGGI PETIT JOURNAL | N.28 | GALERIE JÉRÔME POGGI