ŒDIPE TYRAN

Transcription

ŒDIPE TYRAN
Théâtre en Liberté présente
ŒDIPE TYRAN
SOPHOCLE
Du 18 septembre au 31octobre 2015
Samedi 17/10 à 19h - Dimanches 11 & 25/10 à 16h
Passionné de Shakespeare et de tragédie grecque, Daniel Scahaise a réuni pour sa dernière mise en scène,
les compagnons qui avec lui ont participé à l’aventure de Théâtre en Liberté.
Dans un dispositif épuré, Christophe Destexhe (Cyrano, Alceste) sera Œdipe entouré d’Hélène Theunissen
(Médée, La Cerisaie), Bernard Marbaix (Jules César, Galilée), Stéphane Ledune, Laurent Tisseyre,
Jaoued Deggouj, Daniel Dejean et Isabelle De Beir, Dolorès Delahaut…
Tous, nous essayerons de faire un spectacle passionnant, vivant, intense, respectueux de la tradition
enrichie par la modernité théâtrale.
« Œdipe, c'est l'homme par excellence, celui qui se heurte au chaos de la vie et qui tombe le
plus bas. Comme Antigone, il représente le parcours du combattant humain: ils font tout
pour trouver un chemin lumineux, et ils se ramassent tous les embruns, tous les écueils,
mais ils se relèvent. Ils font front. J'aime beaucoup leur courage, leurs passions, leur rage. »
Daniel Scahaise
On connait l’histoire : plus le puzzle se reconstitue, plus les preuves s’accumulent pour dénoncer Œdipe luimême ! Et plus l’évidence saute aux yeux de tous, moins le meurtrier comprend qu’il est à la fois juge et
coupable, plus il veut savoir et moins il sait qui il est lui-même… jusqu'à ce que l’aveuglante vérité lui
apparaisse ! Œdipe tyran est considéré comme la plus parfaite des tragédies grecques et la première pièce
policière, mais un « policier » qui va fouiller dans les tréfonds de l’âme humaine.
Une pièce mythique, un grand spectacle passionnant !
Avec Maxime Anselin, Barbara Borguet, Isabelle De Beir, Jaoued Deggouj, Daniel Dejean,
Dolorès Delahaut, Angelo Dello Spedale Catalano, Christophe Destexhe (Œdipe), Laurine Dombret,
Nadège du Bled, Bernard Gahide, Stéphane Ledune, Bernard Marbaix, Nora Nazarian,
Hélène Theunissen, Laurent Tisseyre, Emma Van Wetter, Gérard Vivane,
et Antoine Dandoy (Percussions), Christophe Delrée, Jérémy Grynberg, Renata Kambarova (Flûte),
Denis Marcelle, Anthony Molina-Diaz (Elèves du Conservatoire Royal de Bruxelles)
Traduction Bernard Chartreux
Mise en scène et scénographie Daniel Scahaise - Assistanat à la mise en scène Julie Lenain
Musique Originale Daniel Dejean - Création vidéo Vincent Pinckaers
Costumes Anne Compère - Coiffures Laetitia Doffagne - Régie/Lumières Bruno Smit
Un spectacle en collaboration avec la FPGL (Fédération des Professeurs de Grec et de Latin)
Première de presse : vendredi 18 septembre 2015 à 20h15
Résumé de la pièce
Ravagée par la peste, Thèbes se meurt. Œdipe, roi de la cité, consulte l'oracle pour tenter de sauver la ville:
la malédiction qui pèse sur la cité ne dépendrait que d'un seul être impur. Œdipe se met alors à rechercher
cet individu maudit pour le bannir définitivement de la cité. Un devin lui apprendra alors la terrible vérité:
c'est lui-même l'homme impur, celui qui a tué son père et épousé sa propre mère....
Considéré comme la tragédie des tragédies, Œdipe-tyran de Sophocle est aussi le texte fondateur de toute
la mythologie d'Œdipe.
Je veux savoir qui je suis
Frappé par la peste, les habitants de Thèbes appellent à l’aide leur roi tant aimé, lui qui les a jadis sauvés
des griffes de « la Sphinge aux chants perfides ». Les oracles sont interrogés : la malédiction divine pèsera
sur la ville tant que le meurtrier de l’ancien roi, Laïos, n’aura pas été découvert ! Alors Œdipe se mue en
enquêteur et, avec une soif de savoir frénétique, convoque publiquement tous les témoins de cette affaire
vieille de vingt ans – alors que lui-même vivait loin d’ici…
Œdipe tyran est souvent considéré comme la plus parfaite des tragédies grecques, un modèle du genre.
D’une composition et d’une écriture effectivement extraordinaires, d’une émotion absolument intacte, ce
chef-d’œuvre connu de tous reste néanmoins une énigme : nous ne savons rien ou presque de ce qu’était
une tragédie lors des grandes fêtes dionysiaques chaque année à Athènes. Nous ne conservons qu’un
texte, joué une seule fois en 425 av. J.C. Le spectacle rituel, chanté, dansé, sorte de performance qu’était
cette représentation, bien au-delà du seul texte, nous est à jamais perdu.
Se pencher sur Œdipe tyran, c’est dire à la fois cette distance et dans le même temps cette trace parlante
qu’est le texte tragique grec. C’est convier les spectateurs à vivre cette tragédie au « présent » de la
représentation et non comme un texte littéraire lointain et fermé sur lui-même.
Nous mettre à son épreuve, le mettre à notre épreuve.
Sophocle
« Il y a près de deux mille cinq cents ans, on écrivait en Grèce de bien beaux poèmes. Ils ne sont plus
guère lus que par des gens qui se spécialisent dans cette étude, et c’est bien dommage. Car ces vieux
poèmes sont tellement humains qu’ils sont encore très proches de nous et peuvent intéresser tout le
monde. Ils seraient même bien plus émouvants pour le commun des hommes, ceux qui savent ce que
c’est que lutter et souffrir, que pour les gens qui ont passé leur vie entre les quatre murs d’une
bibliothèque.
Sophocle est l’un des plus grands parmi ces vieux poètes. Il a écrit des pièces de théâtre, drames,
comédies ; nous ne connaissons plus de lui que quelques drames. Dans chacun de ces drames, le
personnage principal est un être courageux et fier qui lutte tout seul contre une situation
intolérablement douloureuse; il fléchit sous le poids de la solitude, de la misère, de l’humiliation, de
l’injustice ; par moments son courage se brise ; mais il tient bon et ne se laisse jamais dégrader par le
malheur. Aussi ces drames, quoique douloureux, ne laissent-ils jamais une impression de tristesse. On en
garde plutôt une impression de sérénité »
Simone Weil
En quoi ce texte est-il encore d'actualité ?
Tout le théâtre de Sophocle fait partie de notre héritage culturel et il est déjà l'héritage des générations
suivantes. Pourquoi? Parce que ça parle du fond du cœur humain et que ce cœur au cours des siècles est
toujours le même, avec ses qualités et ses défauts. L'amour, la famille, la société, sont des sujets qui nous
intéresseront toujours. Concernant la tyrannie, la violence, les génocides, les guerres, ce sont des
questions qui nous troublent mais qui resteront toujours sans réponse.
Sophocle l’auteur
Sophocle (496-405) est l’un des trois grands tragédiens grecs dont l’œuvre nous est partiellement
parvenue, avec Eschyle (526-456) et Euripe (408-406). Il est principalement l’auteur de cent vingt-trois
tragédies, ainsi que des drames satyriques. La plupart ont été perdues: il nous reste cent quatorze titres et
seulement sept tragédies, auxquelles ont peut ajouter les fragments importants du drame satyrique
«Les limiers», retrouvés en 1912. Sur les pièces subsistantes, on peut remarquer que trois concernent
directement le cycle thébain (Antigone, Oedipe Roi et Oedipe à Colone), trois concernent le cycle troyen
(Ajax, Electre, Philoctète), la dernière étant consacrée à Héraclès (Les Trachiniennes).
Sa carrière de tragédien débute au plus tôt en 468. Cette année-là, la trilogie dont fait partie son
«Triptolème» est couronnée du premier prix au grand concours des «Dionysies», notamment devant
Eschyle. Sophocle est le rival de ce dernier pendant douze ans, avant qu'Euripide le soit à son tour.
Sophocle tient cependant le record du nombre le plus élevé de victoires.
Sophocle apporta de nombreuses innovations à la composition et à la mise en scène de la tragédie. Il
introduisit notamment des personnages de second plan venant rejoindre les uns après les autres les deux
protagonistes habituels, et renonça au principe des «trilogies liées» pour écrire des tragédies aux sujets
indépendants d’un thème central, et diminua encore l’importance des parties chantées au profit des
parties parlées pour mieux nouer le drame. Ses pièces mettent en scène des héros souvent solitaires et
même rejetés (Ajax, Antigone, Oedipe, Electre), et confrontés à des problèmes moraux desquels naît la
situation tragique. Sa langue poétique (et cependant moins littéraire qu’Eschyle) et une sensibilité très
personnelle lui permirent d’enrichir d’émotions nouvelles les personnages auparavant décrits par les
légendes et Homère. Sans mettre en cause la toute-puissance des dieux, respectueux du rôle implacable
du Destin, il mit cependant en relief le pouvoir de la volonté humaine, sa grandeur, la part de liberté et de
libre-arbitre laissée à l’être humain. L’action passe alors davantage par la psychologie des personnages,
leur vérité intérieure, que par les péripéties. Avec lui, a-t-on dit souvent, la tragédie descendit du Ciel
jusque sur la Terre.
La naissance du personnage d’Œdipe
Le personnage d’Œdipe est un roi légendaire de Thèbes, fils de Laïos et de Jocaste. Il fut abandonné à la
naissance, car un oracle avait prédit qu’il tuerait son père et deviendrait l’époux de sa mère. Recueilli par
un berger, il fut élevé dans la cour de Polybe et Mérope, roi et reine de Corinthe, qui l’adoptèrent. Instruit
à son tour de l’oracle, il quitta ceux qu’il croyait être ses parents afin d’éviter que la prophétie se réalise.
Sur le chemin, il rencontre un homme avec ses serviteurs: Œdipe le tue, sans savoir qu’il s’agissait de Laïos,
son vrai père. La couronne de Laïos ainsi que la main de Jocaste, la reine, furent alors offertes à quiconque
tuerait le Sphinx en résolvant une fameuse énigme. Œdipe résolut l’énigme et reçut en récompense
Jocaste, sa mère, en mariage. Lorsque la vérité éclata, Jocaste se suicida et Œdipe se creva les yeux, avant
de quitter Thèbes pour toujours.
Bien avant d’être écrite, la légende d’Œdipe existait déjà dans la tradition orale. On retrouve ses
premières traces écrites la première fois dans L’Odyssée d’Homère (VIIIe siècle av. J.-C.). Cette légende a
ensuite fourni dans l’Antiquité le sujet de plusieurs tragédies. Le premier poète grec qui conta au théâtre
cette histoire fut Eschyle, dans une trilogie dont il ne nous reste que Les Sept contre Thèbes (467 av. J.-C.),
où le personnage est seulement évoqué. C’est Sophocle qui lui donna réellement sa dimension légendaire
en lui consacrant deux pièces: Œdipe Roi (vers 430 av. J.-C.), qui met en scène Œdipe, roi de Thèbes,
jusqu’à son aveuglement volontaire, et Œdipe à Colone (vers 406 av. J.-C.), le représentant dans son exil. La
légende d’Œdipe ne cessa dès lors d’inspirer les arts, mais aussi la psychanalyse, avec le fameux «complexe
d’Œdipe».
Un mythe fondateur
Œdipe tyran fait aujourd’hui partie de ses pièces les plus célèbres et les plus jouées.
L’histoire du héros Œdipe, roi de Thèbes amené à découvrir l’effroyable secret de sa naissance pour sauver
sa cité de la peste. Toute la tragédie d’Œdipe tyran consiste pour le protagoniste à retrouver cette identité
originelle, par le biais d’une enquête longue qui rencontre de nombreuses résistances. La recherche d’idéal
qui est celle d’Œdipe, l’idéal perdu d’une enfance dont le secret lui échappe, puis l’idéal d’une pureté et
d’un sacrifice qu’il oppose à la souillure du monde.
Le tour de force théâtral de la pièce réside en ce qui très vite, tout le monde en sait beaucoup plus que
l’enquêteur lui-même, et que nous assistons alors à la reconnaissance par Œdipe d’une vérité que nous
détenons, nous le voyons peu à peu, par un exercice paroxystique de la pensée, arriver à la vérité
insoutenable que nous connaissons dès le début.
Œdipe devient étranger, indéfiniment, à lui-même, et à nous-même qui le voyons. En retour, son aventure
rend notre propre identité d’être humain particulièrement fragile : existe-t-il en définitive quelque chose
qui soit « moi-même », que je puisse tenir pour sûr ?
Le pire ennemi de la tragédie, grecque en particulier, est la solennité, la fausse reconstitution (et son
pendant, la contemporanéité à tout crin), la pseudo ritualisation. C’est pourquoi ce projet propose
d’afficher clairement la théâtralité immédiate, brute, de cette œuvre en la centrant de façon directe et
unique sur le jeu et la parole.
L’Espace de la parole
Tous les signes de la représentation doivent ainsi s’organiser pour mettre en valeur la seule parole qui
fouille l’histoire, les histoires d’Œdipe. Face à lui, des acteurs se lèvent pour venir l’accompagner, le
contraindre, le retenir, le contredire dans son expérience. Ils se rassoient ensuite avec le public et sont
alors témoins de la pensée incarnée qui avance, se suspend, recule, crie son désarroi et sa rage. Ils
ressemblent aux spectateurs, leurs costumes sont contemporains, Œdipe leur parle tout autant qu’aux
autres spectateurs, la lumière baigne uniment l’ensemble du lieu de représentation… seule existe la parole,
l’échange, la confrontation, la quête.
Des gens viennent écouter Œdipe. Il y a les gradins de la salle, et sur la scène, d’autres gradins du même
genre, et puis quelques chaise (comme si on avait voulu pouvoir être plus près), sur chaque côté : cela
dessine globalement un espace rectangulaire au centre, entouré de spectateurs. L’un des côtés est troué
d’une sortie vers un palais invisible. Dans l’espace central, à même le sol du plateau, se dresse un grand
olivier. La lumière suivra le cours du jour du matin au soir, et la vidéo passant d’une forêt d’oliviers aux
nuages tourmentés de l’âme d’Œdipe nimbera l’ensemble du dispositif. Lorsque tous les spectateurs sont
assis, Œdipe, roi de Thèbes, se lève et leur parle … Sur le plateau on voit alors un corps d’enfant à l’agonie,
une femme le montrant à Œdipe. C’est la peste qu’on voit. Cette femme racontera à Œdipe que la ville ne
peut plus vivre ainsi, qu’il doit comme il l’a fait jadis, la sauver encore une fois.
Cette vieille histoire, nous la rapprocherons de nous en la racontant directement au public, en lui disant
qu’il s’agit de théâtre, en le lui montrant à chaque pas, en mettant en avant l’acteur et son jeu qui raconte
la fiction. Tout se passe au présent, la représentation se construit pas à pas avec le spectateur. Le pire
ennemi de la tragédie, grecque en particulier, est la solennité, la fausse reconstruction (et son pendant, la
contemporanéité à tout crin), la pseudo ritualisation. C’est pourquoi ce projet propose d’afficher
clairement la théâtralité immédiate, brute, de cette œuvre en la centrant de façon directe et unique sur le
jeu et la parole.
La tragédie grecque, par nature, est le lieu fondateur, absolu, d’un théâtre politique inventé par une
communauté rassemblée pour s’éprouver telle. Rien d’étrange en ce sens que notre travail rencontre
aujourd’hui le « modèle » de la tragédie grecque : la figure d’Œdipe.
L’Ecole des spectateurs
Répétitions ouvertes à partir du 20 août sur le grand plateau du théâtre. Découvrez les coulisses
d’une création théâtrale avec 17 comédiens, 3 musiciens, le metteur en scène ainsi que l’équipe technique
du spectacle.
Rencontre - débat : le samedi 24 octobre à 16h - « Œdipe, notre contemporain ».
Sont invités à ce débat le metteur en scène, Daniel Scahaise, le professeur Lambros Couloubaritsis,
philosophe, licencié et docteur en philosophie de l’Université Libre de Bruxelles, ainsi que le professeur
Ariane Bazan, psychologue et chercheuse à l’Université Libre de Bruxelles, (plateau en cours).
Cycle Musique à la Lettre, le lundi 26 octobre 2015 à 20h15- «Grèce vivante».
Hasapiko, Kalamatiano et autres musiques traditionnelles grecques cultivées tant au pays que par la
diaspora, seront au programme du premier Musique à la lettre de la saison. Le public du Théâtre de la
place des Martyrs aura la chance d’applaudir le très décoiffant violoniste Tcha Limberger en compagnie
des excellents Benjamin Clément, guitariste et Dimos Vougioukas, accordéoniste et fondateur du Trio
Tatavla. Textes lus par Hélène Theunissen.
QUELQUES RAPPELS
Les représentations ont lieu tous les mardis à 19h, du mercredi au samedi à 20h15, un samedi à 19h (selon
calendrier), deux dimanches à 16h (selon calendrier)
RESERVATION : 02/223 32 08 - Fax : 02/227 50 08
Réservation en ligne sur notre site web
Nos bureaux sont ouverts : du mardi au vendredi de 11h à 18h, le samedi de 14h à 18h.
Paiements : Bancontact – Visa – Mastercard – Diners Club
Virements : BE83 0682 3526 2615 à l’ordre du Théâtre de la place des Martyrs.
Info web : www.theatredesmartyrs.be - Courriel : [email protected]
Nous rappelons aux détenteurs de cartes Privilège-Fidélité de ne pas tarder à valider leurs places afin de bénéficier des
meilleures places numérotées dans la grande salle et pour éviter tout problème d’accessibilité dans l’Atelier (petite salle) vu son
petit nombre de sièges (environ 90 places). Les places de la grande salle sont numérotées.
Attention : les places non occupées au commencement du spectacle peuvent être réattribuées.
Types
Parterre
PRIX DES PLACES
Catégories
Individuels
Adultes
16.50 €
Seniors
14.00 €
Etudiants
10.50 €
Groupes
14.50 €
12.50 €
9.00 €
de –26 ans
Balcon
(grande
salle)
Adultes
Seniors
Etudiants
14.50 €
13.00 €
9.00 €
de – 26 ans
12.50 €
10.00 €
7.50 €
PRIX DES CARTES « PRIVILEGE-FIDELITE »
Tarifs après le 30/06/2015
Catégories
Types
€
14 spectacles
125,00
ADULTES
8 spectacles
100,00
6 spectacles
84,00
14 spectacles
75,00
ETUDIANTS
8 spectacles
58,00
(de -26 ans)
6 spectacles
51,00
La cafétéria du Théâtre vous accueille une heure avant les spectacles et, bien entendu, après ceux-ci. Vous y trouverez boissons chaudes et
froides et petite restauration selon l’humeur du jour. Après la représentation, vous pourrez y rencontrer les artisans du spectacle. N’hésitez
pas, lors de la réservation de vos billets, à réserver votre table.
Les accès au Théâtre de la place des Martyrs ?
(place des Martyrs 22 -1000 Bruxelles)
STIB :
Métro/Tram : arrêts De Brouckère et Rogier
Bus : arrêt De Brouckère
De Lijn :
Bus : arrêt Rogier
SNCB :
Gare du Nord- Gare centrale
Gare du Midi
Où puis-je parquer ma voiture ?
Parking Alhambra : 14 boulevard Emile Jacqmain.
Bénéficiez du tarif théâtre de 5,00 €
pour la soirée (de 18h00 à 1h00)
Pour tous renseignements
Relations avec la Presse – Barbara Borguet – 02/227 50 07
[email protected]
Le Théâtre de la place des Martyrs remercie ses partenaires

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