La Salette dans ma vie - Sanctuaire Notre

Rassemblement Européen des Laïcs Associés
aux Missionnaires de Notre-Dame de La Salette
10 – 12 septembre 2010
Sanctuaire de Notre-Dame de La Salette
La Salette dans ma vie
Lors de mon premier pèlerinage à La Salette j’étais profondément touchée par des magnifiques
montagnes et des fleurs si variées. De bon matin sur le mont Planeau mon coeur s’est ouvert largement
et je restais sous la croix, pleine de louange et de remerciement, toute émerveillée par le fait que la
Mère de Dieu avait choisi pour son apparition cette hauteur, ce repos, cette solitude. Toute consciente
j’ai réfléchie sur la sanctification du dimanche. Est-ce que je la réalise? C’est ce qui me poussait à faire
soigneusement rien que le plus important. Mon amitié avec Marie devenait de plus en plus grande et
c’est ainsi que je me suis approchée du chapelain. C’est là que je pouvais déposer les soucis et les
intentions de ma famille, de mes filles. Marie, comme Mère qui intercède, m’a comprise. Mon désir était
de faire un pèlerinage à la Belle Dame de La Salette une ou deux fois par an.
Ma vie quotidienne a beaucoup changé, parce que le message de Marie est un appel urgent à
nous tous. Mon prochain pas était la réconciliation. Ce qui veut dire se confesser, enfin, très
personnellement, et toujours plus souvent. Ce sacrement m’a donné la force et le calme et de voir
comme une oblation la critique que je recevais toujours à ma place de travail.
Par Marie à Jésus ! Ma foi devenait de plus en plus profonde, y compris le désir de recevoir la
communion chaque jour. Le fac-similé à Untere Waid me rappelait l’apparition. Par l’abstinence tous les
vendredis je voulais encore un autre sacrifice de louange.
Quand le Père Piotr a fondé la Famille de La Salette, je suis devenue le premier membre, pleine
d’enthousiasme. Cette communauté est pour moi une liaison précieuse entre oraison et amitié. En plus,
j’aime bien soutenir tous leur désirs. Par les circulaires régulières du Père Piotr nous connaissons le
message d’une manière méditative. Un grand merci, Père Piotr.
De plus en plus je suis contente, pleine de joie, tranquille.
Lors de mon dernier pèlerinage en juillet 2010 m’a touchée une phrase du message: Le carême,
ils vont à la boucherie, comme les chiens. L’explication: Gloutonnerie ! Enfin une raison de renoncer à
des choses superflues. C’est de petits pas qui m’ont toujours mieux approchée de Jésus et Marie. Ils
m’aident à vivre la réconciliation, à aimer le prochain, ce qui veut dire de chercher et de trouver Dieu
dans chaque personne, en toute humilité aller vers l’autre, le pardonner. C’est ainsi que cela va de soi
d’offrir mon aide à un membre de la famille de La Salette qui souffre de cancer. Dans mon voisinage je
m’engage spontanément s’il faut aider. J’apporte la communion aux malades. C’est des heures
enrichissantes pour moi et pour les malades. C’est ainsi que je tâche de réaliser La Salette dans ma vie.
Il me semble important que je me réconcilie avec moi-même. Oui, à La Salette j’ai trouvé la
réconciliation avec mon passé, dans le sacrement de la confession. C’est depuis ce temps-là que je ne
sens plus la solitude en moi, tout au contraire – la force, la vigueur. Dans le temps d’une crise une
inquiétude m’a motivé pour l’adoration eucharistique. Un grand merci pour ce don !
Marie nous montre le chemin à son Fils. À cette source toujours saillissante l’eau dénoue la
dureté de la pierre. LUI, il est avec moi, jamais je ne suis seule. C’est bien ça qui me rend libre !
Les roses – signes de l’amour
Les roses sur la tête de Marie – Pense en amour
Les roses sur les épaules de Marie – Porte en amour
Les roses aux les pieds de Marie – Approche-toi des autres en aimant.
Je grave ces mots en mon coeur et je veux en enrichir ma vie quotidienne.
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