monopoly pricing
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cours Cours d’Économie de l’Entreprise: Le monopole Département Économie HEC cours Ou en sommes nous? La concurrence Partie 1 • prix de marché est une donnée • à laquelle les entreprises adaptent leur production (offre) • sans prendre en compte l’impact sur le prix de leur niveau de production Le monopole Partie 2 • Modifier les conditions de l'environnement concurrentiel •autre extrême • décide seul du prix pratiqué • la quantité produite/vendue est déterminée par la fonction de demande cours Plan 1. Monopole: quand une entreprise a un pouvoir sur le prix 2. Tarification (=fixation du prix) optimale en monopole 3. Règle du « markup » 4. Applications: Utiliser le revenu marginal pour évaluer les décisions de prix La « sunk cost fallacy » Tarification adaptée, produits « uniques » Monopoleur multiproduit et cannibalisation Propriété intellectuelle et franchises 3 cours Introduction : De Beers • Vous êtes chargé(e) de la politique tarifaire • De Beers a un pouvoir de marché incontestable – En augmentant votre prix, vous gardez certains de vos clients – Vous avez donc une certaine marge de manœuvre pour fixer vos prix. • Le prix actuel du carat est de P = $300, et les ventes attendues sont de Q = 330 carats, inférieures au montant des stocks – Vous anticipez pouvoir servir des clients additionnels – Quel est l’impact de la vente d’un carat supplémentaire sur votre revenu? – Est ce que ce supplément de revenu est supérieur au coût engendré? cours De Beers : Revenu Total Pour tout volume de vente Q, le revenu total est Revenu total: RT(Q) = P × Q Prix ($ par carat) 960 RT(Q) = P(Q) × Q = (960 - 2Q) × Q = 960Q - 2Q2 Les ventes dépendent du prix fixé : Q(P) = 480 - 0.5P 300 Autrement dit, le prix à fixer dépend du volume des ventes souhaité : P(Q) = 960 - 2Q 0 Revenu Total Quand vous vendez 330 carats = $99,000 par semaine 330 Quantité (carats par semaine) Courbe de demande 480 cours De Beers : Revenu Marginal Quel est le revenu additionnel (brut) tiré de la vente d’un carat additionnel ? La demande (inverse) étant P = 960 - 2Q, il faut proposer un prix de 960 - 2(331) = $298 pour vendre 331 carats. Il vous faut donc diminuer le prix de $300 à $298 pour pouvoir vendre un carat de plus. Donc le revenu marginal est de $298, non? Non! RT en vendant 330 carats = $99,000; RT en vendant 331 carats = $298 × 331 = $98,638 La vente d’un carat additionnel décroît le revenu total de $362! Le revenu marginal est de - $362! cours De Beers -- Revenu Marginal: Aire A: revenu supplémentaire issue de la vente d’un carat de plus Différentes terminologies pour la zone B: dilution Effet infra-marginal Prix ($ par carat) Aire B: perte de revenu du fait que les 330 carats sont vendus à un prix plus faible. Revenu Marginal: A-B Dilemme Volume / marge : vente d’une unité de plus génère P(Q + 1) de revenu additionnel, mais coûte Q × ΔP/ΔQ (dilution). 300 298 la 0 B A Courbe de Demande de De Beers 330 331 Quantité cours Le monopole : la théorie cours Le monopole – La théorie • Entreprise en situation de monopole sur un marché où la demande est q(p) – Si pratique un prix p, la quantité vendue est q(p) – Pour vendre q, le prix de vente p est tel que q(p)=q • Le profit réalisé, en fonction du volume de vente q, est π(q)=R(q)-c(q) • Maximum lorsque Rm(q)=cm(q) • Cette condition est valable quel que soit le contexte : concurrence, monopole, etc. cours La théorie : Rm=Cm Si Rm(Q) > Cm(Q), le revenu généré par la vente d’une unité supplémentaire est supérieur au coût engendré. • On peut donc accroître le profit en augmentant les volumes de vente! Si Rm(Q) < Cm(Q), l’économie de coût générée par la réduction marginale des ventes est supérieure à la perte de revenu engendrée • On peut donc accroître les profits en diminuant les volumes de vente! R(q)=p q En CPP, Rm(q)=p En monopole, Rm(q)=p + q p’(q) < p cours Le cas d’ une fonction de demande linéaire $/unité Prix/Quantité à l’optimum Demande (inverse) : P = a – bQ Revenu total P optimal R(Q) = Q(a – bQ) Revenu marginal Rm(Q) = a – 2bQ Dans le cas linéaire (et seulement dans ce cas), le revenu marginal a la même ordonnée à l’origine et une pente double Cm D Rm > Cm Rm < Cm Augmenter l’output Diminuer l’output Réduire le prix Accroître le prix Q optimale Quantité Rm Attention : une erreur fréquente consiste à écrire Rm(Q) = dR/dP. C’est faux!!! Le Rm est la variation de revenu due à la vente d’une unité supplémentaire, et non pas la variation de revenu résultant de l’augmentation du prix d’1$ (ou 1€). cours Revenu marginal et Elasticité-prix Le revenu marginal est donné par Rm(q) = p’(q) q + p(q) = p(q)[1+p’(q) q/p(q)] = p(q)[1-1/E] A l’optimum, on a Rm=Cm Cm = P × (1 - 1/E) (P – Cm)/P = 1/E : c’est la règle du mark-up En pratique, le CVM constitue une bonne approximation du Cm. On approxime alors le mark-up par la marge brute P E= E=1 D E=0 Rm Quantité cours Résumé (I) La comparaison de Rm et Cm fournit un moyen systématique pour comprendre ce qui détermine le prix optimal, plutôt que des approximations telles que: “un monopoleur peut fixer le prix qu’il souhaite.” “le prix pour minimiser ou diminuer les coûts”… Même si Rm = Cm est toujours vraie, ce n’est pas toujours facile à appliquer en pratique Néanmoins c’est un principe unificateur qui nous aide à trier dans la myriade d’informations ce qui est de ce qui n’est pas pertinent pour les décisions de prix. Nous verrons beaucoup d’applications de ce principe! 13 cours Résumé (II) La définition d’un monopole n’est pas basée sur la taille de la part de marché mais sur la capacité à fixer des prix au dessus de ceux de CPP. Le monopole choisit ses prix tandis qu’en CPP, les entreprises sont des preneurs de prix (price-takers)! Ceci a les implications suivantes: en CPP: Cm = Rm = p en monopole: p > Cm = Rm = p(q) + p’(q) × q (car p’(q) < 0) A l’optimum, Rm = Cm est vraie quelle que soit la structure de marché Pour une fonction de demande donnée, un monopole restreint sa production pour capturer les gains tirés de revenus plus importants (« il joue p contre q ») 14 application Exemple d’illustration 1: changement des coûts fixes Votre fournisseur de tableur augmente le prix de sa licence annuelle de 500,000€ à 550,000€ A la suite de cette augmentation, votre patron vous demande de réfléchir aux 2 questions suivantes Le prix pratiqué était-il optimal ? Comment réagir ? Faut-il répercuter la hausse des coûts sur le prix de vente ? application Données €/unité C(q)= 745,000 + 30 q Cm(q) = 30 L’an dernier, les ventes étaient de 20.000 unités, pour un prix de 50 € On estime qu’il aurait fallu abaisser le prix à 49 € pour vendre 1.000 unités supplémentaires CTM 30€ Cm = CVM Quantité application Donc : Sur la base des données disponibles : Le coût marginal était approximativement de 30.000 pour 1.000 unités supplémentaires. Le revenu marginal de: 21,000*49-20,000*50=29,000 Donc ? L’augmentation de la licence a-t-elle modifié Le revenu marginal ? Le coût marginal ? Donc ? application Exemple d’illustration 2: la « sunk cost fallacy » En 1998, Edgar Bronfman (CEO de Seagram Co.) avance que pour être viable dans le long terme, les studios de cinéma doivent proposer un prix qui permette de couvrir leurs coûts de production et de distribution. Selon lui: il est donc dénué de sens que les consommateurs payent le même prix pour voir un film qui a coûté $2 millions (Pulp Fiction) que pour en voir un qui a coûté $200 millions (Titanic, Pearl Harbor) “Il s’agit d’un modèle de tarification qui n’a aucun sens… Je pense que l’ensemble de l’industrie doit repenser ce système. » Qu’en penser ? application Structure de coût de l’industrie du cinéma $/unité L’investissement initial est très important et le coût marginal (reproduction) très faible. Algorithme de Bronfman : on se fixe un objectif de ventes Prix recommandé on en déduit les coûts unitaires, et le prix souhaité de vente CM Cm Est-ce que cela a un sens? Quantité (unité par an) Objectif de vente pour le calcul du coût unitaire application Tarification – suite Supposons que la demande soit comme dessinée $/unité Il est impossible de vendre la quantité souhaitée au prix souhaité A Le studio fait alors des Prix recommandé pertes économiques représentées par l’aire A CM Est-il possible de faire mieux? Cm D Nb unités Vendues à ce prix Quantité (unités par an) Objectif de vente pour le calcul du coût unitaire application Tarification – suite Oui! En appliquant la règle: Rm = Cm. $/unité On a toujours des pertes économiques (aire B) mais elles sont plus faibles que dans le cas précédent. tarifer pour couvrir les coûts irréversibles, C’est la «sunk cost fallacy». Les coûts irrécouvrables ne doivent pas entrer en compte dans la décision économique. Prix recommandé B CM P optimal Cm D Nb unités vendues à ce prix Q optimal Rm Quantité (unités par an) Objectif de vente complément Discussion Les économistes disent : lors de la fixation du prix, l’entreprise doit ignorer les coûts irrécouvrables. Les managers prétendent, eux : pour créer de la valeur à long terme, le prix de vente doit au moins permettre de couvrir le coût des investissements. Comment concilier ces deux points de vue ? Point Clé: le Coût est un Concept Dynamique complément Décision d’Entrée dehors 0€ Entre et paye coût S Les conditions changent! • Demande, coût, intensité si elle différente des anticip. De nlles infos sont disponibles Décision de Sortie Fixation du prix Sort - S€ S’engage à rester en subissant un coût additionnel F Les conditions changent à nouveau! Prix possibles P1 [VP de (RT1 - CVT1 - CF)] - (F + S) P2 [VP de (RT - CVT - CF)] - (F + S) 2 P3 2 [VP de (RT3- CVT3 - CF)] - (F + S) La question à se poser est: Quels sont les coûts pertinents au moment de la prise de décision? Tous les coûts sont pertinents à un moment ou à un autre mais pas nécessairement à tout moment. Le coût est un concept dynamique! Un coût peut donc être hautement pertinent à un moment et ne plus l’être, par exemple, une fois que l’engagement de continuer à produire est pris. complément Monopole ou concurrence? complément Marchés parfaitement concurrentiels Les industries qui peuvent être décrites comme parfaitement concurrentielles représentent 30% du PIB créé dans les pays développés. Exemples: - Biens issus de l’agriculture (blé, jus d’orange, porc…) - Matériaux bruts (cuivre, zinc, charbon…) - Matières premières (acier, aluminium, produits chimiques industriels…) - Transport en gros - Pêche - Productions normalisées (plastiques…) ou services (nettoyage, programmation JAVA…) complément MONOPOLES - Monopoles naturels (courbes de CM décroissantes) : industries de réseaux (chemins de fer, gaz, plateformes informatiques) - Monopoles légaux (protégés par la loi) : banque centrale, biens brevetés (médicaments, GPS, Ipad…), monopoles d’exportations dans certains pays, monopole de l’alcool (Suède) - Basés sur l’accès exclusif à certaines ressources (terres rares en Chine, Norilsk Nickel, De Beers) - Monopoles locaux limités (avantage géographique qui donne un pouvoir sur les prix): stations essence, boulangeries… - Quand il y a un unique acheteur sur un marché, on parle de monopsone cours Le monopole : la discrimination par les prix cours Introduction -- Motivation Le 5/11/1999, le juge Jackson publie ses « Findings of Facts » dans le procès Microsoft. Il y démontre que Microsoft est un monopole. Belle trouvaille, avec une part de marché de 90% depuis 10 ans… Attention, la part de marché n’a pas grand chose à voir avec le fait d’être un monopole. Ce qui compte, c’est le pouvoir de marché. Argumentaire du juge Jackson: Microsoft pratique la discrimination par les prix. cours Typologie Définition : « Vente de biens techniquement similaires à des prix différents » Au premier degré : chaque unité du bien est vendue à un prix correspondant à la propension maximale à payer de l’acheteur. – Des consommateurs différents payent des prix différents – Un consommateur donné paye différents prix pour différentes unités. Au second degré : le prix unitaire payé par un consommateur dépend de la quantité achetée, mais pas de l’identité de l’acheteur. Le prix moyen payé par un consommateur dépend donc de sa consommation totale. – Tarification non linéaire Au troisième degré : le prix unitaire payé par un consommateur dépend du consommateur (e.g., étudiants/adulte…), mais pas de la quantité achetée cours Discrimination par les Prix Exemples et discussion : • Dans les restaurants, fixation de prix différents à déjeuner et à diner • Forfaits (ski, téléphone, …), cartes d’abonnement • Tarifs senior/étudiants • Pourquoi les noms figurent-ils sur les billets d’avion, mais pas sur les billets de concert/match ? cours Discrimination au premier degré • Surplus du producteur : A + B + C + D = A + B + E • Surplus des consommateurs : E+F • Surplus du producteur: (1er degré): A + B + C + D + E + F + G + H Dif fé rent • Surplus des consommateurs (1er degré) : 0 s P M E Prix pro pos és F Cm(Q) P C A C D B H G P(Q) Rm(Q) QM Q cours Commentaires Il s’agit essentiellement d’une référence d’ordre théorique : La discrimination au 1er degré est rarement possible : – La propension à payer des consommateurs n’est en général pas observable – Il est difficile d’empêcher les arbitrages (e.g., revente…) – Il peut exister des limitations légales (e.g., assurance, banque…) Quelques exemples rares: – Avocats, Comptables – Vendeurs (Marchandage) – Universités aux US cours Discrimination au second degré Le prix unitaire payé dépend de la quantité consommée Exemples : • forfait mobile • abonnements culturels, • packs alimentaires Prend souvent la forme d’une « Tarification en 2 parties ». Principe : on fixe indépendamment - le Droit d’entrée (T) - le Droit d’usage (P) Exemples : Clubs de sports (adhésion plus paiement à la séance) Rasoirs et lames cours Tarification en deux parties : le cas de consommateurs homogènes Hyp : les consommateurs ont tous la même fonction de demande P = 10 - Q On considère un consommateur représentatif P (€) Supposons que Cm = 2 10 P = 10 - Q Supposons le prix d’usage fixé à 5 : En l’absence de prix d’entrée, le profit du monopole est l’aire de B, 15 En l’absence de prix d’entrée, le surplus du consommateur est l’aire de A, 12.5 C’est aussi le prix d’entrée maximal que le consommateur est prêt à payer Le profit est alors de 15+12.5=27.5 Si maintenant le prix d’usage est baissé à4: Le monopole peut augmenter son droit d’entrée, et augmenter son profit 5 4 A B D indiv. 2 5 6 Q cours Tarification en 2 parties -- le cas de consommateurs homogènes Lorsque le prix d’usage P décroît vers le coût marginal, et que le droit d’entrée est fixé à son niveau optimal, le profit du monopole augmente Le prix d’usage optimal est donc P* = Cm A ce prix, le surplus global est maximal mais …. Le surplus des consommateurs est nul Cette conclusion repose sur l’hypothèse que les consommateurs sont identiques P (€) P (Arbitraire) P Optimal C Cm Q cours Cas de consommateurs non homogènes Que se passe-t-il si il y a deux types de consommateurs, non distinguables, et supposons que les consommateurs de type 1 soient prêts à payer plus. Dilemme : Le monopole peut pratiquer un prix élevé afin d’extraire le surplus du type 1 … mais les consommateurs de type 2 ne consomment pas Ou pratiquer un prix plus faible et attirer tous les consommateurs, en laissant du surplus au type 1 Solution : Le fait de proposer différentes formules en laissant les consommateurs libres de choisir leur formule peut permettre au monopole d’augmenter ses profits cours Illustration Un monopole peut proposer un accès HD ou BD à Internet. Le coût de production est le même, normalisé à zéro. Les 100 consommateurs se divisent en 2 groupes différents: • 40 sont des utilisateurs réguliers. Ils sont prêt à payer 100 pour le HD et seulement 30 pour un accès normal. • 60 sont des utilisateurs occasionnels. Ils sont prêt à payer 50 pour le HD et seulement 25 pour l’accès normal. Donc : • les réguliers valorisent davantage l’accès que les occasionnels • valeur ajoutée du haut débit est supérieure pour les réguliers • le HD est plus rentable que le BD cours Illustration -- Suite • Si le monopole pouvait distinguer les consommateurs: – Offrirait le HD à un prix de 100 ou de 50 selon le type. Profit: 7000. Impossible en pratique. • Si le monopole est contraint de ne proposer qu’un seul type d’accès: – Il faut offrir le HD à un prix de 50. Profit: 5000 • Si le monopole peut proposer les deux types d’accès: – Il faut offrir le BD à 25 et le HD à 95. Profit: 5300 cours Discrimination au 3ème degré Monopole pratique des prix différents sur des segments donnés du marché. Illustration: Supposons qu’un monopole fait face à 2 segments de consommateurs, A et B, parfaitement distinguables. Supposons que l’élasticité-prix du segment A est supérieure : EA > EB > 0. A l’optimum (pour le monopole), les prix PA et PB pratiqués sur les deux segments vérifient - PA = Cm/(1 - 1/EA) - PB = Cm/(1-1/EB) Comme EA > EB, on a PA< PB : plus la demande est élastique, plus le prix pratiqué est faible cours Illustrations Tarifs étudiants; Carte senior Soldes cours Conclusion 3 conditions doivent être satisfaites: Existence d’un pouvoir de marché. Capacité de l’entreprise à identifier « qui est qui »! Il ne suffit pas de connaître la courbe de demande (comme nous l’avons supposé jusqu’à maintenant, mais de savoir qui est où sur la courbe de demande…) Capacité de l’entreprise à éviter la possibilité de revente par les consommateurs (ceux qui payent peu auront tendance à revendre à ceux qui payent beaucoup…) cours Discrimination par les Prix La possibilité de satisfaire ces différentes hypothèses nous permet de comprendre pourquoi certains biens sont offerts à un prix unique (CDs, automobile…) alors que d’autres font l’objet de discrimination par les prix (ciné, services légaux…) (=problème arbitrage) pourquoi la discrimination est en général limitée: Microsoft propose un prix entreprise et un prix particulier… (= problème d’acquisistion d’information) cours Concepts à connaître Monopole Revenu marginal Arbitrage (tradeoff) volume (quantité)-marge (prix) Règle du Markup Elasticité-prix de la demande Discriminations par les prix au Premier, Second et Troisième Degrés 43