25 ème saison Votre dossier de presse en quelques lignes.

25 ème saison
lundi 11 mai 2015.
Votre dossier de presse en quelques lignes.
I) Le Théâtre de la Valette : 25 saisons bien remplies !
II) La saison 2015-2016
Titre de la pièce
Résumé
Précédentes créations
Auteur
Metteur en scène
Distribution
Le Théâtre de la Valette vous souhaite une bonne conférence !
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I) Le Théâtre de la Valette :
25 saisons bien remplies !
Avec seulement 100 places dans un village du Brabant-Wallon, la création du Théâtre de la Valette
aurait pu ressembler à une folie. Pourtant, depuis sa création, l’ancienne grange a vu défiler de grands
metteurs en scène (Adrian Brine, Frank Dunlop, Paul Bénédict, Albert-André Lheureux,
Michel Wright, Jean-Claude Idée,…) et de grands acteurs belges (Jacques Lippe, Jacqueline
Bir, Fernand Abel, André Debaar, Gérald Marti, Jean-Claude Frison,…).
Le théâtre s’est exporté à plusieurs endroits du monde : les pièces « Gustave et Alexandre » et « Et
puis…Bastogne » ont tourné aux Etats-Unis, « Les lettres de mon Moulin » ont été jouées à Eyguière
pour le centenaire de la mort de Daudet, la pièce « Seul à Waterloo, Seul à Saint-Hélène » de Paul
Emond a été représentée devant la famille Régnier à Monaco.
N’oublions pas non plus les nombreuses représentations de ses productions à travers la Communauté
Française de Belgique.
De manière générale, les pièces du Théâtre de la Valette racontent une histoire concrète, simple mais
intelligente et qui permet de nombreux questionnements et prolongements.
Le Théâtre de la Valette accorde une grande place aux auteurs belges : Amélie Nothomb, Paul
Emond, Pierre Guyaut-Genon, Jean-François Viot, Jean-Pierre Galet, Jacques de Decker, …
Il a aussi créé plusieurs pièces écrites « sur mesure » pour commémorer des évènements de notre
Histoire : d’abord la seconde guerre mondiale avec « Et puis…Bastogne » et, l’an dernier la première
guerre mondiale avec « Albert, douze heures de grâce », créée sur l’initiative d’André Flahaut.
En outre, le Théâtre de la Valette a contribué à populariser de nombreux classiques via des
adaptations théâtrales : « Dracula », « Scrooge », « La Dame aux Camélias », « Le Petit Prince », « Le
Rouge et le Noir », « George Dandin », « L’avare », « Le jeu de l’amour et du hasard », « Le pain de
ménage » … sans oublier « L’école des femmes » créée en plein air au château de Baudemont.
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II) La saison 2015-2016 :
Du rire aux larmes
en passant par l’Histoire.
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1) Sarah et le cri de la langouste
De John Murrell
Adaptation de Georges Wilson
Comédie historique
Du 17/9 au 20/9 et du 8/10 au 1/11/15
Résumé
Sarah Bernhardt… un nom qui, en l’absence d’Internet et de la télévision, a fait le tour du globe et que
la postérité n’oubliera jamais !
Nous sommes à la fin de l’été 1922. Volontairement exilée à Belle-Ile-en-Mer, la diva vieillissante à qui
il ne reste plus qu’une jambe, rassemble une dernière fois ses souvenirs avec un complice attentif : son
fidèle secrétaire Georges Pitou. Dès le début de la pièce, on comprend pourquoi il était impossible de
refuser quoi que soit à la star française tant étaient grands son charisme et son talent, imparable sa
répartie, et incroyablement romanesque sa vie.
Au fil de dialogues apparemment décousus, Sarah Bernhardt évoque les épisodes marquants de sa
vie : sa relation tumultueuse avec sa mère et sa sœur cadette, son enfance chez les religieuses, ses
différents amants et, bien entendu, sa carrière mondiale gérée notamment par l’impresario Jarett. Elle
n’hésite pas à « jouer » littéralement sa propre vie avec son secrétaire, qui se prête au jeu bon gré mal
gré. Les informations biographiques sont admirablement bien intégrées à la pièce qui dessine une
relation poignante entre deux personnages aussi hauts en couleurs que fragiles et touchants. Leurs
portraits sont en 3D : extérieurs, intérieurs et colorés. Entre les lignes, on voit les deux protagonistes
lutter avec panache contre leur peur de la mort.
Précédentes créations
Créée en anglais en 1977, la pièce fut adaptée, mise en scène et jouée à Paris par Georges Wilson,
accompagnée de Delphine Seyrig en 1982 au Théâtre de l’Œuvre.
« Une des pièces les plus attachantes, les plus gaies, les plus sensibles qu’on puisse voir en ce
moment. » FRANCE SOIR 6 octobre 1982
« Dans cette messe étrange, le théâtre est tout entier contenu : le rêve, la création, la recréation, l’humour et même la joie, l’intelligence, le déguisement et le mensonge, la vérité des
êtres, la démesure, la tragédie, l’exaltation, servis par deux comédiens qui atteignent ici le point
extrême de leur talent » LE CANARD ENCHAÎNÉ, 13 octobre 1982
En 2002, la version d’Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène par Bernard Murat a été interprétée
par Fanny Ardant et Robert Hirsch au Théâtre Édouard VII.
En Belgique, Jacqueline Bir a joué les deux versions, la première en 1985 en compagnie de Roger
Dutoit dans une mise en scène de Bernard De Coster, la 2ème en 2011 avec Alexandre von Sivers
dans une mise en scène de Daniel Hanssens.
Pour sa saison 2015-2016, le Théâtre de la Valette a choisi l’adaptation de Georges Wilson.
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Auteur
Né en 1945, John Murrell est un auteur canadien multi-primé dans son pays d’origine
(Officier de l'Ordre du Canada, Ordre d'Excellence de l'Alberta,…). Enseignant à ses
débuts, il a écrit une dizaine de pièces dont il a plus d’une fois assuré l’adaptation
théâtrale. Traducteur d’auteurs français (Racine) russes (Tchekhov) et d’Ibsen, il a
aussi écrit deux livrets d’opéra: « Filumena » et « Frobisher ».
Le metteur en scène
Adrian Brine :
Né à Londres, Adrian Brine jouit d’une carrière internationale qui l’a mené à
fréquenter les plus prestigieux théâtres d’Angleterre, de France et de Belgique où
il travaille régulièrement depuis 50 ans. On retient ses mises en scènes
marquantes au Théâtre de Poche, au Rideau de Bruxelles dont il fut « metteur
en scène invité permanent » pendant 42 ans et au Théâtre National dirigé par
Jacques Huisman où il créa « Silence en coulisses » avec Léonil Mc Cormick.
Il créa aussi plusieurs spectacles au Théâtre de la Valette qu’il fréquenta
assidument à ses débuts (« La dame en noir », « De si tendres liens », …). Adrian
Brine nous a fait découvrir, avant tout le monde, des auteurs britanniques dont
la notoriété est devenue mondiale : Tom Stoppard et Alan Ayckbourn
notamment.
A Paris, sa mise en scène de « Un Mari Idéal » au Théâtre Antoine fut couronnée
de deux Molières, dont un du « meilleur spectacle de l’année » et 10 nominations;
au Théâtre de la Porte St Martin, « Le bel air de Londres » gagna un Molière :
celui du « meilleur comédien » pour Robert Hirsch.
Adrian Brine est aussi l’auteur d’un livre sur le jeu Shakespearien.
Distribution
Suzanne Colin : Sarah Bernhardt
Institutrice de formation, Suzanne Colin démarre une carrière théâtrale dans les
années 60. Après un passage par le Théâtre de l'Enfance, elle joue sur les scènes
du Théâtre National de Belgique, du Rideau de Bruxelles et, surtout, de la
Compagnie des Galeries (notamment « Fanny » dans « César »de Pagnol).
C’était déjà en compagnie de Léonil Mc Cormick et d’Adrian Brine qu’elle
avait créé un spectacle phare du Théâtre de la Valette « De si tendres liens».
En 40 ans de carrière, elle a joué plus de 150 pièces.
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Léonil Mc Cormick : le secrétaire, Georges Pitou
Né aux Etats-Unis, Léonil Mc Cormick est un auteur belgo-américain. Auteurcompositeur-interprète, il bifurque rapidement vers le théâtre en entrant à l’INSAS. Dès
sa sortie, il est engagé dans différents théâtres : Rideau de Bruxelles, Théâtre Royal du
Parc, Compagnie des Galeries pour laquelle il joue notamment Albert dans « Le mariage
de mademoiselle Beulemans » et au Théâtre National où il créée « Silence en coulisses ».
Après s’être retiré de la scène, il ouvre un magasin, puis un bar à Waterloo et, enfin, un
restaurant à Ittre. C’est à la suite d’une conversation bien arrosée qu’il y créée la première
pièce avec son partenaire et ami Jacques Lippe («Connaissez-vous la voir lactée?» de
Karl Wittlinger) qui donnera naissance au Théâtre de la Valette.
Les autres pièces et succès s’enchainent et, rapidement, Léonil Mc Cormick constitue une
saison dont nous sommes aujourd’hui à la 25ème édition. La biographie de l’homme se
confond dès lors avec celle de son théâtre dans lequel il jongle avec les casquettes de
directeur, de metteur en scène, d’acteur et quelques fois d’auteur.
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2) Une semaine… pas plus !
De Clément Michel
Comédie contemporaine
Du 12/11 au 13/12/15
Résumé
Comment se débarrasser de sa compagne quand on est lâche et qu’on ne veut pas porter la
responsabilité de la rupture ?
Paul croit avoir trouvé la solution : pour pousser Sophie à quitter l’appartement commun, il invite un
ami, Martin, à jouer l’encombrant colocataire qui vient squatter chez eux. Malheureusement pour
Paul, heureusement pour le spectateur, rien ne se passe comme prévu. De mensonges en quiproquos,
les réactions des personnages n’en finissent plus de nous étonner et les retournements de situations
loufoques se succèdent sans répit.
Qui aurait pensé que Martin serait beaucoup plus vivable que prévu, qu’il réparerait l’évier, ferait la
cuisine, dégotterait un nouveau boulot à Sophie ? Malgré ses multiples efforts et les cours « d’anti
savoir-vivre » donné par Paul, Martin plait à Sophie au point que celle-ci n’espère plus qu’une chose :
le départ de celui qui voulait la chasser. Y parviendra-t-telle ?
Une pure comédie contemporaine aux dialogues croustillants dans laquelle le plaisir du verbe et du
bon mot se savoure à chaque instant.
Précédentes créations
La pièce a été créée en 2011 au Théâtre de la Gaîté Montparnasse dans une mise en scène d’Arthur
Jugnot et de David Roussel. L’auteur y incarnait le rôle de Paul. Toujours jouée 3 ans après sa
création, la pièce a notamment tourné au Théâtre des Béliers parisiens, au Théâtre Michel et au
Théâtre Fontaine.
« Drôlerie irrésistible » TÉLÉRAMA
« L'une des meilleures comédies à l'affiche » FIGAROSCOPE
Auteur
Clément Michel est auteur, comédien et réalisateur. « Une semaine… pas plus ! »
est sa 4ème pièce. Traduite en Russie, en Corée et en Espagne, elle est montée pour la
première fois en Belgique.
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Le metteur en scène
Jean-Paul Andret :
Comédien, metteur en scène et journaliste, le grand public connait surtout Jean-Paul
Andret pour son JT de 13h et ses émissions à succès sur RTL-TVI. C’est oublier qu’il a
débuté une carrière de comédien professionnel dans les années 60, au Théâtre du
Méridien notamment, et qu’il y est revenu depuis plusieurs années, d’une part en tant
que metteur en scène de la troupe du « Télévie » et, d’autre part, en tant que fidèle
collaborateur du « Théâtre de la Valette ».
C’est à lui que nous devons la mise en scène du « Banc » de Sibleyras et la reprise de
« La dame en noir » de Mallatratt.
Distribution
Benoît Strulus, Martin, l’encombrant colocataire
Depuis sa sortie Conservatoire Royal de Bruxelles, Benoît Strulus a essentiellement joué
dans des comédies au Théâtre Royal des Galeries et au Théâtre de la Valette (« Le
Bourgeois Gentilhomme », « Monsieur et Madame Roméo et Juliette », « Moins deux »,
« Les lettres de mon moulin », « Venise sous la Neige »,…). Récemment, c’est lui qui
incarné S.M. le Roi Albert Ier dans « Albert, 12h de grâce », pièce créée à la Chambre
des Représentants en août 2014. Par la force de son travail et de son talent, il s’est imposé
comme une des valeurs sûres du Théâtre de la Valette.
Au cinéma, Benoît a notamment tourné dans « Une chanson pour ma mère » et à la
télévision dans « Marie Curie, une femme sur le front ».
Florent Minotti, Paul
Sorti du Conservatoire Royal de Bruxelles en 2010, Florent Minotti a entre autre joué
au Théâtre Royal des Galeries (« La Jalousie » de Sasha Guitry) et avec le Magic Land
Théâtre (« La surprise du chef » de Patrick Chaboud). Il a également créé plusieurs
spectacles jeunes comédiens au Théâtre de l’Aléna à Liège et au Centre Culturel Bruegel.
Ce comédien sera une des surprises de la saison 2015-2016. Toute l’équipe du Théâtre de
la Valette lui souhaite déjà une grosse M….
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Laetitia Chambon, Sophie
Cette actrice mannequin multi linguiste a joué à plusieurs reprises au Théâtre de Poche
sous la direction d’Olivier Coyette (« La parole d’Oreste élevée comme une
demeure », « Le temps est une invention des Blancs »,…) et a réalisé une longue tournée
avec la Compagnie des Galeries (« Les Belles sœurs » d’Eric Assous). Laetitia
Chambon a récemment créé un seul en scène « La Maladie de la Mort » au Centre
Culturel des Riches-Claires.
Cette saison, elle a conquis le Théâtre de la Valette par sa prestation éblouissante et
juste dans « A l’école Rita » de Willy Russell. Le public lui a réservé chaque soir une
véritable ovation.
Niveau cinématographique, elle vient de tourner dans 3 longs métrages : « Le Grimoire
d'Arkandias », « 46 XX » et « Traumland ».
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3) Diplomatie
Cyril Gély
Pièce historique
Du 14/1 au 21/2/16
Résumé
Août 1944 à Paris. Les troupes alliées sont aux portes de la ville. Dietrich von Choltitz, le gouverneur
militaire de la ville, doit exécuter l’ordre formel d’Hitler de détruire la capitale. Tout est en place.
Entré par une porte secrète, Raoul Nordling, le consul de Suède (neutre pendant la 2ème guerre
mondiale) fait irruption dans le bureau du gouverneur militaire.
Nordling ne va pas ménager ses efforts pour convaincre le général allemand de renoncer au pire. Tous
les arguments et moyens de persuasions possibles seront exploités. Combien de millions d’innocents
mourront-ils pour rien ? Quels joyaux patrimoniaux seront-ils détruits ? Quelles conséquences ce
carnage « inutile » aura-t-il pour l’Allemagne d’après-guerre ?
Nordling semble avoir réponse à tout ce que peut lui opposer von Choltitz et inversement, jusqu’à ce
que ce dernier lui révèle une des dernières cruautés du régime nazi : la prise en otage des familles des
officiers allemands. Concrètement, si Choltitz ne détruit pas Paris, sa famille tout entière sera déportée.
Avec une incroyable justesse et une humanité poignante, la pièce nous place face au choix cornélien
d’un homme sur les épaules duquel repose une des décisions les plus lourdes de l’Histoire. A l’heure où
des terroristes détruisent des vestiges vieux de plusieurs millénaires, « Diplomatie » est plus que jamais
d’actualité.
Précédentes créations
Jouée en 2011 au Théâtre de la Madeleine par Niels Arestrup et André Dussolier, la pièce de
théâtre de Cyril Géry a été portée à l’écran par Volker Schlöndorff en 2014 avec le même duo.
« Certes, "Diplomatie", c’est du théâtre filmé, mais quand il est filmé avec autant d’intelligence,
quand le texte est de cette qualité, et que les deux acteurs sont au sommet de leur art, c’est un
véritable régal. » HUGUES DAYEZ, LA PREMIERE, 12 mars 2014
A l’origine, il y a surtout le « best-seller » de Larry Collins et Dominique Lapierre « Paris brûle-til ? » immortalisé à l’écran par René Clément avec Orson Welles dans le rôle de Raoul Nordling et
Gert Fröbe dans celui de von Choltitz.
Auteur
Titulaire d’un master en ingénierie financière, Cyril Gely est à la fois acteur,
romancier et dramaturge. Il est, entre autre, l’auteur de « Signé Dumas », pièce
couronnée en 2003 par 7 Molières et interprétée par Francis Perrin.
« Diplomatie » vient de recevoir le César de la meilleure adaptation (2015).
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Le metteur en scène
Michel Wright,
Michel Wright est à la fois comédien, metteur en scène, écrivain et professeur.
Passionné par la direction d’acteurs, iI a signé une quarantaine de spectacles en Belgique
en en Suisse. Il s’est fait une spécialité d’adapter des grands classiques au théâtre. La
plupart d’entre eux ont été créé au Théâtre de la Valette (« Dracula », « Sherlock
Holmes », « La Dame aux Camélias »,…) Récemment, il a adapté et mis en scène « Les
larmes de Nietzsche… » d’Irvin Yalom à la Comédie Claude Volter, ce fut un immense
succès.
Il est l’un des fondateurs des Universités Populaires du Théâtre et très actif au sein
des Utopiques en Marche.
Distribution
Jean-Claude Frison, Raoul Nordling
Avec 200 spectacles à son actif, Jean-Claude Frison est un monument vivant du
théâtre belge. Sa technique en or, sa voix envoutante, son talent extraordinaire en ont
fait un acteur hors norme qui attire du public sur son seul nom.
Comédien phare du Théâtre National de Belgique où il a créé un « Cyrano »
mythique, il est un des derniers acteurs à avoir été engagé « à l’année », en l’occurrence
au Théâtre Royal du Parc.
Il est régulièrement venu jouer au Théâtre de la Valette, notamment dans « le Banc »,
« Dracula », « L’Affrontement » ou encore « Voyage avec ma tante » dans lequel il
incarnait une foule de personnages loufoques bien éloignés de son emploi traditionnel de
« Don Juan ».
Léonil Mc Cormick, Le général von Choltitz
Cfr. Supra.
Réunis la saison dernière dans « Le Banc », le duo Frison/Mc Cormick fait merveilles :
le contraste des physiques, des personnalités et des jeux d’acteurs donne lieu à une
merveilleuse entente artistique.
Jean-Paul Andret
Cfr. supra.
Benoît Strulus Cfr. Supra.
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4) Trahisons
De Harold Pinter
Adaptation Daniel Mesguish
Comédie anglaise
Du 3/3 au 17/4/16
Résumé
Deux anciens amants se retrouvent au fond d’un bar. Emma avoue à Jerry qu’elle a dévoilé leur
relation secrète à son mari Robert, il y a … deux ans.
Pourquoi ? Comment en est-on arrivé là ?
Il faudrait remonter le temps pour le comprendre… C’est littéralement ce qui se produit. Le suspens
n’est pas de savoir ce qui va se passer mais de comprendre les origines et les causes de ce qui ont mené
ce trio amoureux (mari, femme, amant) à sa situation actuelle. Qui est victime ? Qui est bourreau ?
Qui a trahi qui ? Chacun construit à rebours sa propre vérité.
Loin des vaudevilles, cette pièce nous montre des rapports humains dans ce qu’ils ont de complexe, de
subjectif, d’irrationnel.
Précédentes créations
Créée en 1978 au Royal National Théâtre de Londres, « Trahisons » fut montrée pour la première fois
en France en 1982 au Théâtre Montparnasse avec André Dussolier dans le rôle de Jerry.
La Belgique la découvrira avec un peu d’avance au cours de la saison 79-80 au Théâtre National avec
Jean-Claude Frison, Raymonde Avenière et Claire Wauthion dans une mise en scène
d’Adrian Brine.
En 2014, c’est Denis Podalydès de la Comédie française qui s’est attaqué ce monument du répertoire
contemporain.
Auteur
Prix Nobel de littérature 2005 et Chevalier de la Légion d'honneur en 2007, Harold
Pinter (1930-2008) peut se targuer d’avoir inscrit, de son vivant, la plupart de ses
pièces au répertoire des grands classiques contemporains (Le Monte-plats, Hot House,
l’Amant, Victoria Station, Un pour la route, C’était hier, Moon Ligth, Ashes to Ashes…).
Joué et repris partout dans le monde, il est autant adulé en Angleterre qu’en France
où il est inscrit au répertoire de la Comédie Française.
Auteur tantôt absurde, tantôt réaliste, il place les relations humaines et la
communication au centre de ses préoccupations. Ses personnages, souvent
imprévisibles se démarquent par leur côté « étrange » qui les fait sortir de l’ordinaire.
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Le metteur en scène
Léonil Mc Cormick
Cfr supra.
Distribution
Delphine Charlier
Delphine Charlier est une des grandes habituées du Théâtre de La Valette. Depuis
« Frankie and Johnny in the clair de lune » et « Le tour d’écrou » (mise en scène de
Frank Dunlop) plus aucune saison ne peut se faire sans elle (« Une heure et demi de
retard », « Rendez-vous », « Shirley Valentine », « Comédie sur un quai de gare »,…)
Delphine Charlier a aussi participé à plusieurs spectacles d’été à Villers-la-Ville (« Le
Bossu », « Milady », « La Reine Margot »…)
Niveau cinématographique elle a tourné dans « Combat avec l’ange » réalisé par
Marian Handwerker.
Laurent Renard
Sorti du Conservatoire Royal de Bruxelles en 1993, Laurent Renard a principalement
joué à L’XL Théâtre sous la direction de Bernard Damien (« L’Opéra des Gueux »,
« Lysistrata », « Journal d’une femme de chambre »,…) et à la Comédie Claude Volter
(« Les athlètes dans leur tête », « Le canard à l’orange »,…).
Au Théâtre de la Valette, on a pu le voir récemment dans « Au bout du désert » et dans
« Albert, 12h de grâce ».
Sa mise en scène « d’Etat de couples » multiplie les tournées depuis sa création en 2009.
Laurent Renard est aussi jouteur à la Ligue d’Impro.
Xavier Percy
Xavier Percy est l’auteur et metteur en scène de « Au bout du désert » présenté en
début de saison au Théâtre de la Valette. Jouteur puis arbitre à la ligue d’Impro, son
énergie galopante l’a conduit à incarner une panoplie incroyable de personnages dans le
mythique « Tour du monde en 80 jours », adapté et mis en scène par Thierry
Debroux au Théâtre Royal du Parc.
Au cours de ses 33 ans de carrière, Xavier Percy a eu l’occasion de se produire un peu
partout en francophonie.
Il fut un des premiers comédiens de sa génération à faire carrière à Paris, notamment
au Théâtre de la Colline.
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5) La Vérité
De Florian Zeller
Comédie de mœurs
Du 28/4 au 29/5/16
Résumé
Le sous-titre de cette comédie très parisienne dit tout : « Des avantages de la taire aux inconvénients
de la dire. »
Au centre du jeu, deux couples d’amis et une seule vérité : Michel a une liaison avec Alice, la femme de
son meilleur ami, Paul. La théorie de Michel tient en quelques mots : si l’on se disait la vérité, le monde
exploserait, en tout cas celui des couples.
Un mari, sa femme, sa maîtresse… le cocktail est à nouveau réuni, cette fois dans le registre de la
comédie, de la bonne comédie ! Que sait ma femme ? Que sait ma maîtresse ? Que sait le mari de ma
maîtresse qui est aussi mon meilleur ami ? Qui aura le plus de culot ? Qui prêchera le mieux « le faux »
pour s’approcher le plus possible du « vrai » ?
Les dictons « Tel est pris qui croyait prendre » et « A trompeur, trompeur et demi » n’ont jamais sonné
aussi juste.
Une comédie aux dialogues savoureux et irrésistiblement bien ciselés !
Des personnages comme on les aime : menteurs, lâches, culottés ; joués par des acteurs comme on les
aime : généreux, jouissant autant que le public des répliques et des évènements inattendus…des
hommes en somme !
Précédentes créations
La pièce a été créée au Théâtre Montparnasse en 2011, par Pierre Arditi, Fanny Cottençon,
Patrice Kerbrat et Christiane Millet, dans une mise en scène de Patrice Kerbrat. Elle a été
diffusée sur France 2 en 2013.
« Epoustouflant » NOUVEL OBSERVATEUR
« Du grand art » FIGARO MAGAZINE
« Florian Zeller réussit, avec "La Vérité", un réjouissant et hitchcockien moment de théâtre...»
TÉLÉRAMA
Auteur
A seulement 36 ans, Florian Zeller a déjà connu plusieurs succès populaires et reçu
diverses reconnaissances du monde de la critique. Primé tout d’abord pour ses romans
(Prix de la fondation Hachette, Prix Interallié,…), il a rapidement trouvé de grosses
pointures pour donner vie à ses pièces de théâtre : Catherine Frot dans « Si tu
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mourrais », Catherine Hiegel dans « La Mère », Robert Hirsch dans « Le Père »,
Fabrice Luchini dans « Une Heure de tranquillité ».
Florian Zeller est en ce moment joué un peu partout à Paris, Bruxelles et traduit dans
une dizaine de langues.
Les metteurs en scène
Jean-Paul Andret et Léonil Mc Cormick
Cfr. Supra
Distribution
Léonil Mc Cormick
Cfr supra
Jean-Paul Andret
Cfr supra
Delphine Charlier
Cfr supra
Catherine Claeys
Comédienne polyglotte, Catherine Claeys présente la particularité de jouer aussi
bien en néerlandais qu’en français. Elle s’est produite un peu partout en Belgique
aussi bien dans les grands théâtres bruxellois que dans des sociétés pratiquant le
« théâtre en entreprise » et dans des troupes « jeune public ». Aussi à l’aise dans le
répertoire classique que contemporain, elle excelle tout particulièrement dans le
comique. Les abonnés du Théâtre Royal des Galeries où elle a joué 21 pièces à ce jour
et de la Comédie de Bruxelles n’ont pas pu ne pas la remarquer. Le Théâtre de la
Valette est très fier de vous la présenter.
Le Théâtre de la Valette vous remercie de votre présence,
et vous souhaite une saison année théâtrale !
Au plaisir de vous revoir.
L’équipe du Théâtre de la Valette.
Retrouvez toutes les informations du dossier de presse en version téléchargeable sur
www.lavalette.be
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