TExANE - Numeridanse.tv

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TExANE - Numeridanse.tv
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE NANTES
CLAUDE BRUMACHON - BENJAMIN LAMARCHE
TExane
Création 1988 de Claude Brumachon pour 6 danseurs
Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon - Benjamin Lamarche
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire - 44000 Nantes
Tél : +33 (0)2 40 93 30 97 - Fax : +33 (0)2 40 93 30 11
Email : [email protected] - Site : www.ccnn-brumachonlamarche.com
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TEXANE
“Texane” part d’une nécessité intérieure. C’est une pièce sobre, sans costumes théâtraux,
ni décors excessifs. Une pièce où l’histoire est suggérée plus que racontée, où la narrativité
du geste prend le pas sur la narration anecdotique pour laisser sourdre l’émotion.
“Texane” part de mon enfance ; dans cette pièce je me vois enfant observateur du monde
adulte prolétaire. J’ai les souvenirs de ceux qui s’aimaient et de ceux qui se battaient. J’ai
essayé de les faire danser dans ma mémoire. L’esthétique est la grisaille du quotidien des
banlieues HLM.
Claude Brumachon
Texane a été primée trois fois au Concours International de Bagnolet en juin 1988 (prix de la
Fondation Cointreau récompensant la meilleure chorégraphie contemporaine ; prix Léonard
de Vinci attribué par le Ministère des Affaires Étrangères et prix Bird, choreography fund,
Laban foundation London).
Chorégraphie : Claude Brumachon
Assistant : Benjamin Lamarche
Répétiteur : Vincent Blanc
Interprètes : Steven Chotard en alternance avec Julien Grosvalet, Fabienne Donnio,
Lise Fassier, Elisabetta Gareri, Benjamin Lamarche (distribution en cours)
Musique : Christophe Zurfluh
Lumières : Philippe Mombellet
Costumes : Huguette Blanchard
Maquillages : Carole Anquetil
Régie générale : Jean-Jacques Brumachon
Durée du spectacle : 1 heure 10
Création en mars 1988 à Saint-Quentin en Yvelines
Coproduction : le Centre Chorégraphique National de Nantes, Le Pollen de Saint-Quentin en
Yvelines
Le Centre Chorégraphique National de Nantes est subventionné par l’État - Préfet de la
région Pays de la Loire - Direction Régionale des Affaires Culturelles, la Ville de Nantes, le
Conseil Régional des Pays de La Loire et le Conseil Général de Loire-Atlantique. Il reçoit
l’aide de l’Institut Français pour certaines tournées à l’étranger.
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1988 - 2008 > Les 20 ans de TEXANE
Quatre générations de danseurs, des dizaines de scènes, trois continents, du public bouleversé.
Le chant des baleines qui éclate à l’ouverture du rideau, la voix off d’une comédienne qui
parle, la lumière blanche blafarde, et l’énergie transformée en gerbe de sueur jaillissante.
“Texane”, vit, au-delà des interprètes qui l’ont accompagnée, par-delà le temps elle franchit
les âges. Il y a vingt ans, je me maquillais pour danser Texane. Accentuation des rides,
celles du front, autour de la bouche, quelques cernes. C’est qu’il fallait que je fasse bien
plus que mon âge. Une interprétation de danse et l’introspection d’une personne que je ne
connaissais pas trop. Les mains sur la table, Érika, Anne, Véronique(s), Nathalie, Isabelle
et Roxana, “Texane”. Aujourd’hui, plus de maquillage, plus de recherche de ce que je dois
être. La danse m’envahit, je m’y noie, j’y respire. La danse me comprend, je la prends à
plein corps. Énergie ? Violence ? corps-à-corps ? Je réponds matière, j’entends vie, vivre,
sur-vivre, vivre encore et toujours par cette danse qui étonne. Qui m’étonne et questionne.
Je passe, elle me traverse, je ne suis ni moi-même, ni un autre, je suis le vecteur d’une
chorégraphie, d’une œuvre. L’oubli de soi me projette hors du temps et le 18 mars 1988
devient aujourd’hui. L’art est intemporel, même daté, même devenue Histoire, l’œuvre est
un monde à part, une entité à part entière qui vit et vieillit avec sa maturité, ses enfants,
ses souvenirs et son présent.
Je danse “Texane”, aujourd’hui. Qu’est-ce qui peut me remémorer ce que je dansais il y
a plisieurs années. Quelles étaient mes préoccupations ? Comment habillais-je alors cet
homme perdu dans l’amour et ses impossibilités ? c’était hier. Aujourd’hui, j’habite cet
homme avec ma peau frottée aux tapis des scènes et traversé par les regards des publics.
“Texane” et ces “ petites filles” qui de Valérie, Sophie, Agnès en Yolande, Fabienne, Esther
et Ingrid ou Oriana ont finalement pris les traits de Lise, Élisabetta.
Ce n’est pas l’œuvre qui traverse le temps, non, c’est le temps qui passe à travers elle.
Le temps, les hommes et les femmes, danseurs, danseuses, public, techniciens, régisseurs.
L’œuvre se fout du temps comme de l’éternité. Cela n’a pas de sens pour elle.
Le duel des deux générations d’hommes : l’homme mûr et le garçon, existe, il a toujours
existé, sur scène comme dans cette réalité que nous supposons. Hier nous avions le même
âge, aujourd’hui de Frank à Pascal et Nick, d’Ernest, Stéphane et Christian à Gaël un autre
« petit garçon » entrera dans le rôle et « l’adulte » restera le même, changé dans son corps
inchangé dans son être.
Je suis content de continuer ainsi à danser, à travers le temps la puissance d’une œuvre que
j’aime.
Benjamin Lamarche
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Revue de presse – extraits :
Gérard Mannoni – LE QUOTIDIEN DE PARIS – 14 novembre 1988
En voyant les six danseurs de la compagnie tracer toutes ses figures vibrantes, agressives mais
parfaitement organisées, on songe à quelques arts de la fugue, à l’une de ces constructions
sans faille, dont les créateurs maîtrisaient jadis si bien l’architecture. Brumachon organise
l’espace, le temps, les groupes, les duos, les rapports humains avec une rigueur magnifique,
sans bavardage, sans concession au goût du jour, ni aux modes passagères.
Sylvie de Nussac – LE MONDE – 13 et 14 novembre 1988
Non seulement ça danse chez Claude Brumachon, mais ça soutient l’intérêt pendant soixante
minutes par des procédés purement chorégraphiques, c’est-à-dire sans le secours d’une
histoire, d’anecdotes, de costumes alambiqués ou de décor – sinon quelques tubes de néon
et trois tables.
(...) Cette danse est saccadée, violente ; même la tendresse y est brutale. Elle effectue une
recherche très poussée sur les sauts, dont elle présente une étonnante variété : dans les bras
ou sur le dos de son partenaire, corps arqué ou replié avec l’aide d’une table ou non, etc.
OUEST France – 25 janvier 1989
Texane, sans artifice, sans trompe-l’œil. Texane la nudité où éclate la danse, hypnotique
parfois (danseurs sous emprise) jusqu’au-boutiste, saccadée, déchaînée. La chorégraphie
impitoyable est riche et inattendue : postures, attitudes, cambrures, alignements non
conformes à la logique des corps.
J.F. B. – INFORMATIONS DIEPPOISES – 17 décembre 1991
En Texane, il n’y avait rien à comprendre. Sinon les émotions à recevoir dans leurs états
bruts. (...) En Texane, les gestes étaient des mots. Un poème pour tous les sens. C’était à
Voir- écouter, à recevoir et goûter. Les gestes faisaient des signes sans faire semblant. Signes
du désir qui va et vient, qui se sort et ressort des engourdissements, au prix d’une sueur
totale. En Texane, violence et tendresse se sont ligotées ensemble dans un cors à corps
fascinant (...)
E. B.- NORD LITTORAL – dimanche 14 mars 1999
Ne cherchez pas d’histoire ou de repères temporels dans sa danse. Ici, on est dans l’ordre du
suggéré, du ressenti. C’est un parti pris courageux, car on attend d’autant plus de force et
d’émotion du corps. Un parti pris courageux et réussi. On a quitté les danseurs impressionnés
par la richesse de leur vocabulaire gestuel, remué par leur intensité. Une intensité mise en
exergue par les thèmes musicaux de Christophe Zurfluh et les longs silences qui rythmaient
Texane.
Cécile Faver – PRESSE-OCÉAN – 11 novembre 2004
Pas de narration linéaire pourtant ici, mais un processus de création dual qui, tel un couple
se soumettant aux caprices et aux démesures d’un romantisme exalté, n’a pour seule
issue possible que de donner naissance à une forme chorégraphique jusque-là inconnue,
solidement structurée sans être rigide, au travers de laquelle le corps se réconcilie avec luimême comme avec le corps apprivoisé de l’autre. Texane jaillit à la lettre T du répertoire
de Claude Brumachon, comme un tournant. Mieux : une clé pour comprendre l’œuvre du
chorégraphe nantais.
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Claude Brumachon & Benjamin Lamarche
Après une formation aux cours du soir des Beaux-Arts de Rouen, Claude Brumachon découvre
la danse. Il trouve son premier grand engagement aux Ballets de la Cité de Rouen en 1978 où
il reste pendant deux ans, puis travaille avec plusieurs chorégraphes. En 1980, il commence
ses recherches avec Benjamin Lamarche qui deviendra son interprète privilégié et complice
de toutes ses créations. Dès cette époque, il compose ses premières pièces chorégraphiques,
Niverolles Duo du Col (1982), Il y a engoulevents sur la branche d’à côté (1983). Il participe
au concours de Bagnolet avec Atterrissages de corneilles sur l’autoroute du sud qui remporte
trois prix.
La compagnie ”Les Rixes” est fondée officiellement en 1984. En quatre ans, le chorégraphe
crée dix pièces dont deux majeures en 1988 : Texane (également primée au concours de
Bagnolet) et Le Piédestal des Vierges qui imposent leur style à une gestuelle reconnaissable.
Elle enchaîne rapidement des séquences de mouvements tranchés, acérés, découpant le
corps et l’espace. La réputation du chorégraphe s’installe.
En 1989 émerge Folie, de nouveau un très grand succès. Sa danse est d’une étonnante
virtuosité, poussant à son apogée les prouesses techniques de chaque danseur pour mieux
exprimer une émotion, un état. Scènes de désirs ou de souffrance, de violence et de sensualité,
ses pièces sont des récits de l’indicible, des miroirs de mondes intérieurs déchaînés, poussés
jusqu’au bout de leur loi.
Chaque jour, sans cesse à l‘écoute des différences, à chaque moment alertes et vigilants,
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche, se font chercheurs de mouvements poétiques et
énergiques. Ils créent une danse tour à tour énergique et tourmentée, lyrique et passionnée,
élevée et romantique puis terrestre et lourde de sens.
Des errances de Molière, ils font avec Histoire d’Argan le visionnaire (2007) un spectacle
lumineux et facétieux en hommage à l’artiste. De la société de consommation, ils font un
Festin (2004) charnel et sensuel où la proximité éclate au visage du spectateur. Avec Phobos
(2007), ils s’aventurent dans les peurs irrationnelles et universelles.
En 2012, ils créent Ashbury St, chorégraphie pour 14 danseurs, inspirée du mouvement hippie et qui rend compte de l’état de corps dans lequel l’être est face aux injustices.La même
année, ils continuent leur travail de création, La Traversée, avec un groupe d’adolescents
en situation de handicap du collège de la Durantière de Nantes. Un travail soutenu depuis
2009 par l’APAJH 44 (Association Pour Adultes et Jeunes Handicapés de Loire-Atlantique). En
septembre 2012, ils créent au festival Le Temps d’Aimer la Danse de Biarritz, d’Indicibles
Violences, premier volet d’un triptyque envisagé comme “un voyage à l’intérieur d’un volcan de chair extrême”.
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Pionniers, chercheurs, guides, ambassadeurs, Claude Brumachon et Benjamin Lamarche sont
animés par une volonté et un désir d’être — avec les danseurs — passeurs d’une danse, pour
éveiller la curiosité de tous et susciter un questionnement à l’égard de l’art vivant.
Ensemble, ils développent de nombreuses collaborations avec des compagnies de par le
monde, comme au Nigeria (pour Les Larmes des Dieux), au Chili avec la compagnie Movimiento (pour Los Ruegos), à Prague (pour Le Témoin), à Buenos Aires (pour La Conséquence)
et au Chili (pour Des Instants Volcaniques).
Claude Brumachon prépare actuellement une création Les Exilés qui aura lieu en juin 2014
au Musée Zadkine à Paris.
Le Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche dirigent le Centre Chorégraphique National de
Nantes (CCNN) depuis 1992. Claude Brumachon a signé plus de quatre-vingts-dix chorégraphies
originales avec ses propres danseurs, avec des danseurs de ballets français ou étrangers et
aussi avec des enfants. Le plaisir de danser s’associe au partage, aux rencontres avec un large
public dans les théâtres ou parfois dans des lieux insolites (hangars, bains romains, musées...).
La vie de la compagnie est rythmée par les créations et les tournées. La transmission du
répertoire est également importante pour Claude Brumachon et Benjamin Lamarche. Ils
animent des ateliers chorégraphiques et des stages auprès de danseurs professionnels ou
amateurs et organisent régulièrement au CCNN des répétitions publiques, des conférences
ou des rencontres autour de projections vidéos. Il s’agit de sensibiliser un public à la danse
en général et à la danse contemporaine en particulier ; d’éveiller la curiosité de tous et de
susciter des questionnements à l’égard de cet art vivant.
Le Centre Chorégraphique National de Nantes est subventionné par l’État - Préfet de la
région Pays de la Loire - Direction Régionale des Affaires Culturelles, la Ville de Nantes, le
Conseil Régional des Pays de La Loire et le Conseil Général de Loire-Atlantique. Il reçoit
l’aide de l’Institut Français pour certaines de ses tounées à l’étranger.
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Pièces créées par Claude Brumachon :
1982 Niverolles, duo du col
1983 Il y a des engoulevents sur la branche d’à côté
Epervière
1984 Atterrissage de corneilles sur l’Autoroute du sud
Nyroca Furie
Le Sirli de Béjaïa (pour le Jeune Ballet de France)
La Tristesse des pingouins dans l’Arctique
1985 Oc le narquois et Oriane l’effraie
1986 Le Roncier où songe l’aimante Pie-Grièche
Vagabond des Bastides
La Dérive des fous à pieds bleus
1987 Attila et Nana, les moineaux friquets
Les Querelles de Harfangs (pour le Jeune Ballet de France)
La Complainte du Gerfaut (pour les élèves du CNDC d’Angers)
1988 Texane
Bricolage Secret (avec la clase de CM1 de l’École Coquibus à Évry)
Le Piédestal des vierges
Les Naufragés (pour les élèves du Laban Center, Londres)
1989 Féline (commande du Groupe de Recherches Chorégraphiques de L’Opéra de Paris)
Folie
Le Chapelier Travail du chapeau (avec la clase de CM2 de l’École Coquibus à Évry)
1990 L’enfant et les sortilèges (pour l’Opéra de Nantes)
1991 Éclats d’Absinthe
Fauves (présenté dans un hangar nantais pendant les Allumées)
1992 Alice aux pays des Merveilles (avec une classe de CM2 d’une école de la Géraudière - Nantes)
Les Funambules du Désir (pour le Jeune Ballet de France et le ballet des Philippines à Manille)
Lame de Fond
Les Indomptés
Vertige
Les déambulations de Lola
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Pièces créées par Claude Brumachon :
1993 Nina ou la voleuse d’esprit (présenté au Musée des Beaux-Arts de Nantes)
Émigrants
Les Amants gris (pour le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris)
1994 Bohèmes Hommes
1995 Les Avalanches
1996 Les Larmes des Dieux (pièce franco-nigériane)
Una Vita (spectacle en extérieur)
Icare
1997 Bohèmes Femmes
Le Magicien d’Oz (avec des enfants de Malakoff)
La Blessure (duo commandé par Marie-Claude Pietragalla)
Les Nuits perdues (commande du Raatikoo Ballet d‘Helsinki)
Los Ruegos (commande chilienne)
Une Aventure Extraordinaire (jeune public)
1998 Dandy
Humains dites-vous !
1999 La fracture de l’âme
Embrasés
Les murailles d’hermine (commande du Ballet du Rhin)
La femme qui voulait parler avec le vent
Les voyageurs d’innocence (pour le Ballet de Marseille)
Absence (commande chilienne)
2000 Hôtel Central
Imprévus ou les porteurs de rêves
Pinocchio (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-Moulin/Malakoff)
Les Chemins oubliés ou le temps d’un songe (hommage à Jules Verne).
2001 Rebelles
Les Coquelicots Sauvages
2002 Voyages de Gulliver (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-Moulin/Malakoff)
L’Ombre des Mots (avec la section art dramatique du CNR)
Le Témoin (création franco-tchèque dans le cadre de Bohémia Magica)
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Pièces créées par Claude Brumachon :
2003 Boxeurs et Vagabondes
Écorchés Vifs (présenté au Musée Bourdelle à Paris)
L’héroïne ou la gloire imprudente (Commande du Ballet de Lorraine)
2004 Le Festin
2005 Orphée (opéra dansé présenté au Grand Théâtre de Limoges)
Les Petits Poètes (avec la classe de CM1 de l’Ecole Maison Neuve)
La Mélancolie des Profondeurs (avec l’ensemble vocal A Sei Voci))
2006 Ellipse
2007 Histoire d’Argan le Visionnaire
Silence
Phobos
2008 Le Labyrinthe
Androgynes
2009
Les Explorateurs de temps (avec 21 élèves de 5ème de deux classes APJH 44 (Association pour adultes et jeunes handicapés) du collège de la Durantière de Nantes.
Merveilleux ( avec et pour 25 élèves de l’école Maison Neuve de Nantes)
La Désobéissance (rituel)
2009 Les Explorateurs de Temps / Les Fugues
Merveilleux
La Désobéissance
2010 Liberté
Le Prince de verre
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Opulences Tragiques (Musée des Beaux-Arts de Nantes) 2012
Ashbury St. (dans le cadre des BIS 2012)
d’Indicibles Violences (Festival Le Temps d’Aimer la Danse de Biarritz)
2013 Un Bruissement de Volupté
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Informations pratiques :
Diffusion - production
Email. [email protected]
Communication
Anttar Tehami
Tél. +33 (0)2 40 93 31 77
Email : [email protected]
Administration
Francis Sastre
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Relations publiques
Pauline Talon
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Répétiteur et responsable pédagogique
Vincent Blanc
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Technique
Jean-Jacques Brumachon
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Comptabilité
Nicolas Chantebel
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Secrétariat
Roxana Del Castillo
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Renseignements
Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon – Benjamin Lamarche
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire – 44000 Nantes
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97 / Fax + 33 (0)2 40 93 30 11
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